organization:comité de vigilance

  • Populariser le savoir ? Pour une histoire populaire !
    https://tempspresents.com/2015/04/06/populariser-le-savoir-michel-deniau

    Fragments sur les Temps Présents continue sa série de rencontres à propos des humanités numériques et de la présence de la recherche en sciences humaines et sociales sur le web. A nos invités de nous dire : comment doit intervenir socialement le chercheur ? quel rôle doit-il tenir sur le web ? que penser de l’idée d’ « humanités numériques » ? comment produire une « vulgarisation » pertinente et efficace ?

    Il effectue ainsi un important travail de diffusion de la culture scientifique et humaniste, exprimé par le sous-titre de son blog « Se battre pour défendre l’Histoire et la populariser ». Il a participé au Comité de Vigilance sur les Usages publics de l’Histoire, jusqu’à un désaccord (explicité ici). Il n’y a certes ni règle ni dogme à Fragments sur les Temps Présents, mais, globalement, les contributeurs du site penchent plus vers la ligne défendue par Liberté pour l’Histoire : c’est là une raison supplémentaire pour proposer à nos lecteurs un point de vue quelque peu différent, mais très légitime. Les sciences humaines et leurs usages numériques ont un besoin pressant de débats pluralistes, loin des vaines tribunes d’admonestations réciproques qui tiennent trop souvent lieu de placebo au débat intellectuel. Le travail réalisé par Michel Deniau est celui d’un amoureux de la discipline historique qui a pris en compte les nouvelles dimensions sociales de celle-ci à l’ère des réseaux. C’est un cas auquel de nombreux collègues historiens, politistes, etc. devraient réfléchir, c’est un activiste du savoir populaire qu’ils devraient écouter.

  • Comité de Vigilance face aux Usages publics de l’Histoire : La loi sur les génocides, le cas arménien et l’écriture de l’histoire : la position du CVUH.
    http://cvuh.blogspot.com/2011/12/la-loi-sur-les-genocides-le-cas.html

    En revanche, le texte voté le 22 décembre dernier par les députés français nous paraît inopportun et politiquement contestable car, en cherchant à pénaliser toute contestation de ce génocide, il entrave plutôt qu’il ne favorise les nécessaires débats avec les intellectuels, les responsables et l’opinion turcs sur la qualification de ce crime et l’écriture de son histoire.

    #histoire #génocide_arménien #loi #CVUH