• Le Maire, Mussolini et le musée

    En Italie, le maire #Giorgio_Frassineti estime que l’éducation est aujourd’hui le seul moyen de combattre l’#héritage du #fascisme. À #Predappio, sa ville, qui est aussi la ville natale de #Mussolini devenue une destination de #pèlerinage_fasciste, il veut créer un #musée sur le fascisme. Son successeur à la mairie poursuivra-t-il ce combat ?

    https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/67258
    #film #film_documentaire #documentaire

    #néo-fascisme #Casa_del_Fascio #urbanisme #mémoire #histoire #Braunau_am_Inn #négation #Berghof #Munich

  • Des centaines de milliers de pèlerins présents au premier jour du hadj à La Mecque
    https://www.lemonde.fr/religions/article/2023/06/25/des-centaines-de-milliers-de-pelerins-presents-au-premier-jour-du-hadj-a-la-

    Des centaines de milliers de pèlerins présents au premier jour du hadj à La Mecque
    Après trois ans de limitation du nombre de participants en raison de la crise sanitaire, plus de deux millions de pèlerins sont attendus cette année en Arabie saoudite dans la ville sacrée de l’islam.
    Le Monde avec AFP
    Publié le 25 juin 2023 à 10h49, modifié le 25 juin 2023 à 11h00
    Sous une chaleur écrasante, le hadj a débuté dimanche 25 juin à La Mecque avec des centaines de milliers de musulmans, le premier pèlerinage avec autant de fidèles dans le royaume saoudien que lors des années ayant précédé la pandémie de Covid-19.Plus de deux millions de pèlerins, venus de 160 pays, sont attendus cette année dans la ville la plus sacrée de l’islam, dans l’ouest de l’Arabie saoudite, après trois ans de limitation du nombre de participants en raison de la crise sanitaire. Au cœur de la Grande Mosquée de La Mecque, les fidèles ont commencé samedi à effectuer le tawaf, soit les processions autour de la Kaaba, une grande structure cubique drapée d’un tissu noir brodé d’or, vers laquelle les musulmans du monde entier se tournent pour la prière.
    Un des cinq piliers de l’islam, le hadj doit être accompli au moins une fois dans la vie d’un musulman pratiquant qui en a les moyens. Il consiste en une série de rites religieux accomplis pendant plusieurs jours dans la ville sainte et ses environs.Les pèlerins se rendront dimanche soir à Mina, à environ 5 kilomètres de la Grande Mosquée, avant le rite principal au mont Arafat, où le prophète Mahomet aurait prononcé son dernier sermon.
    L’accueil des deux principaux pèlerinages musulmans, le hadj et l’omra (petit pèlerinage), confère du prestige et une légitimité aux dirigeants saoudiens. (...)
    Le hadj, qui coûte au moins 5 000 dollars par personne, est une importante source de revenus pour le premier exportateur mondial de pétrole, qui tente de diversifier son économie. Avant la pandémie de Covid-19, il rapportait plusieurs milliards de dollars par an. Les autorités espèrent cette année se rapprocher du seuil des 2,5 millions de pèlerins atteint en 2019, après avoir accueilli 926 000 visiteurs en 2022. En 2020 et 2021, au plus fort de la crise sanitaire, quelques milliers de personnes seulement avaient été admises.C’est aussi l’occasion, pour les autorités saoudiennes, de montrer des signes d’ouverture dans le royaume ultraconservateur, face aux nombreuses accusations de violation des droits humains. Ainsi, depuis 2021, l’Arabie saoudite autorise les femmes à faire le pèlerinage sans être accompagnées d’un tuteur masculin. Parallèlement, en août 2022, la justice saoudienne condamnait la jeune doctorante en médecine Salma Al-Chehab à trente-quatre ans de prison pour avoir partagé des messages en faveur des droits des femmes.

    #Covid-19#migrant#migration#postcovid#arabiesaoudite#mecque#pelerinage#islam#sante

  • Confusion sur l’organisation du pèlerinage à La Mecque
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/06/13/confusion-sur-l-organisation-du-pelerinage-a-la-mecque_6130038_3224.html

    Confusion sur l’organisation du pèlerinage à La Mecque
    Une nouvelle procédure d’obtention des visas, mise en place par l’Arabie saoudite, sème le désarroi parmi les candidats au départ et les acteurs français de cette prescription rituelle.
    Par Cécile Chambraud
    Publié hier à 01h55, mis à jour hier à 09h37
    Après deux ans de suspension en raison de la pandémie de Covid-19, les autorités saoudiennes ont rouvert les portes du royaume aux musulmans étrangers pour le grand pèlerinage à La Mecque, qui aura lieu cette année du 7 au 12 juillet. Mais à moins d’un mois du début de l’événement, une nouvelle procédure d’obtention des visas, mise en place par le pays hôte, sème la confusion et le désarroi parmi les candidats au départ et les acteurs français de cette prescription rituelle, que les musulmans qui en ont les moyens doivent accomplir une fois dans leur vie. Elle désorganise le fonctionnement habituel – d’ailleurs passablement opaque – du marché du hadj (aussi appelé « grand pèlerinage »). Déjà fragilisées par deux années de disette liées à la situation sanitaire, certaines des agences de voyages françaises spécialisées craignent de devoir mettre la clé sous la porte.
    Comme l’a révélé le site d’information SaphirNews, le ministère saoudien du hadj a en effet annoncé, lundi 6 juin, que, désormais, pour espérer obtenir un visa spécifique, les candidats au grand pèlerinage établis en Europe, en Amérique et en Australie (dans les pays musulmans, la régulation appartient aux pouvoirs publics) devraient obligatoirement passer par une plate-forme numérique unique, Motawif.
    Après une semaine de flottement, les inscriptions en ligne ont ouvert vendredi 10 juin dans la soirée, pour trois jours. Pour faire acte de candidature, il faut avoir moins de 65 ans et posséder un schéma vaccinal complet contre le Covid-19. Dès mardi 14 juin, un tirage au sort déterminera qui, parmi les inscrits, aura droit à un visa. Au nombre d’environ 9 200 cette année pour la France, les places sont plus rares qu’avant la pandémie, où le nombre de visas accordés oscillait entre 22 000 et 25 000. Il s’agit d’un changement de logique. Jusqu’à présent, les visas étaient accordés par les autorités saoudiennes par le biais des agences de voyages, pourvu que celles-ci aient obtenu un agrément, renouvelable chaque année auprès des autorités saoudiennes. Ces visas étaient répartis de manière inégale. Trois ou quatre grosses agences en obtenaient plusieurs milliers, les autres nettement moins. Certaines, d’ailleurs, en rétrocédaient quelques-uns à des sous-traitants, alimentant une économie souterraine.Mais les agences de voyages n’attendent pas d’obtenir l’agrément et les visas pour verser des acomptes et réserver les prestations qui figurent dans le forfait vendu aux clients, à savoir les billets d’avion pour Djedda, les nuits d’hôtel à La Mecque et à Médine, les places dans les tentes de Mina, où les pèlerins passent trois ou quatre nuits, et les transports en bus entre les hôtels et les différents lieux du pèlerinage. Pour couvrir ces frais, les agences demandent donc une avance aux clients, qui leur sont souvent apportés (moyennant une commission) par des « rabatteurs ». En espérant avoir les visas.Pour ces agences et pour les clients, les sommes avancées sont importantes. En 2019, les forfaits de base se montaient à 4 400 euros par personne pour quinze jours et 6 000 euros pour trois semaines – les séjours s’étendent au-delà du pèlerinage stricto sensu, avec notamment une extension à Médine. Les versions haut de gamme, avec des prestations supérieures, peuvent monter bien au-delà. Cette année, selon SaphirNews, les prix de base auraient grimpé autour de 8 500 à 9 500 euros. Comme tous les ans, les agences ont donc engagé des frais, mais elles ne savent pas, aujourd’hui, si elles pourront fournir les prestations promises à leurs clients. Elles n’ont en effet toujours pas reçu l’agrément et savent qu’elles n’auront pas les visas. Les pèlerins tirés au sort auront-ils encore recours, malgré tout, à leurs services, ou choisiront-ils ceux offerts par la plate-forme saoudienne ? Cette incertitude les inquiète. D’autant que les prix proposés, à titre indicatif, par Motawif, démarrent plus bas et s’étagent de 6 300 à 9 900 euros. Pourquoi les autorités saoudiennes ont-elles procédé de manière aussi brusque ? Pour Leïla Seurat, chercheuse associée au Centre de recherches sociologiques sur le droit des institutions pénales, qui a conduit une étude sur le marché du hadj à la demande du bureau central des cultes du ministère de l’intérieur, elles ont « sciemment voulu provoquer la désorganisation et la fermeture de certaines agences. C’est un moment de rapport de force, avec pour objectif de faire un grand ménage dans les agences occidentales afin, à terme, de faire du pèlerinage une occasion de développer le tourisme dans le pays et d’en privatiser la gestion ». Il y a deux ans, cette réorganisation avait déjà été appliquée à la oumra – le « petit pèlerinage », plus court et qui peut être accompli tout au long de l’année –, que les musulmans peuvent désormais organiser à leur guise sans passer par les agences. La chercheuse inscrit ces réformes dans Vision 2030, le programme de modernisation et de diversification impulsé par le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed Ben Salman. « Aujourd’hui, quelque 3 millions de personnes participent au hadj chaque année, indique-t-elle. Le projet est de porter ce nombre à 30 millions. » Et de les faire rester plus longtemps, en tant que touristes.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#lamecque#sante#pandemie#pelerinage#religion#visa#tourisme#economie

  • Arabie Saoudite : un million de pèlerins autorisés à la Mecque cette année – Libération
    https://www.liberation.fr/international/arabie-saoudite-un-million-de-pelerins-autorises-a-la-mecque-cette-annee-
    https://www.liberation.fr/resizer/XSVzXacDPqp53FiAxK8LFjeWf2A=/1200x630/filters:format(jpg):quality(70):focal(3325x2118:3335x2128)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/OH5D3LPHIBEQLMDQBIXZ3JERJU.jpg

    Post-Covid
    Arabie Saoudite : un million de pèlerins autorisés à la Mecque cette année
    En Arabie Saoudite, un million de musulmans du monde entier seront autorisés à participer au pèlerinage annuel à la Mecque. Une première depuis le début de la pandémie de Covid-19. L’image de l’immense esplanade déserte entourant la pierre noire de la Kaaba semble être un lointain souvenir. Ce samedi, l’Arabie saoudite a annoncé qu’un million de musulmans pourraient participer au grand pèlerinage à la Mecque, le hajj. Les pèlerins étrangers, qui n’étaient plus autorisés à y participer depuis le début de la pandémie de Covid-19, pourront de nouveau fouler le sol du lieu le plus sacré de l’islam. Le gouvernement saoudien tient à assurer la sécurité des pèlerins « tout en veillant à ce qu’un maximum de musulmans dans le monde puissent accomplir le hajj » peut-on lire dans le communiqué du ministère du Hajj, publié ce samedi. Le ministère précise avoir « autorisé un million de pèlerins, étrangers ou nationaux, à accomplir le hajj cette année ». La possibilité d’effectuer le pèlerinage sera toutefois soumise à plusieurs conditions. Les pèlerins devront être vaccinés, avoir moins de moins de 65 ans, et les voyageurs venant de l’extérieur de l’Arabie saoudite devront présenter un test PCR négatif de moins de 72 heures. Avant la pandémie de Covid-19, environ 2,5 millions de fidèles se pressaient chaque année pour le pèlerinage annuel à la Mecque, l’un des plus grands rassemblements religieux au monde. Le hajj est l’un des cinq piliers de l’islam et doit être accompli par tous les musulmans qui en ont les moyens, au moins une fois dans leur vie. Se déroulant chaque année aux mêmes dates du calendrier musulman, il consiste en une série de rites religieux accomplis pendant cinq jours dans la ville la plus sacrée de l’islam, et dans les régions environnantes de l’ouest de l’Arabie saoudite.Mais durant la crise sanitaire, les autorités saoudiennes avaient autorisé seulement 1 000 pèlerins en 2020, et 60 000 résidents du Royaume l’année suivante, tous vaccinés contre le coronavirus et choisis par tirage au sort. Cette décision d’exclure les pèlerins arrivant de l’extérieur de l’Arabie saoudite était une première dans l’histoire moderne du royaume.
    Les pèlerins ne sont pas les seuls à se réjouir de cette décision d’accueillir un million de fidèles. Coiffeurs, voyagistes ou vendeurs de souvenirs… A La Mecque, ce sont des centaines de milliers d’emplois qui ont pâti de la pandémie ces deux dernières années. Ce quasi-retour à la normale est d’une importance capitale pour le gouvernement saoudien, qui a fait du tourisme religieux la deuxième source de revenus du pays.Avant la pandémie, les deux principaux pèlerinages musulmans, le hajj et la Oumra, rapportent quelque 12 milliards de dollars (10,2 milliards d’euros) par an à l’Arabie saoudite, qui tente de diversifier son économie ultra-dépendante du pétrole. Les revenus pétroliers du pays ayant chuté lourdement avec la baisse des prix du baril, le prince héritier Mohammed ben Salmane (MBS) avait lancé en 2016 l’ambitieux plan « Vision 2030 », qui prévoyait notamment d’augmenter le nombre de pèlerins venus de l’étranger de 9 à 30 millions d’ici 2030. D’autant plus que pour les dirigeants saoudiens, le pèlerinage à la Mecque est aussi une question de prestige, puisque la responsabilité des sites les plus sacrés de l’islam contribue à leur légitimité politique.Pays du Golfe le plus touché par la pandémie de Covid-19, le royaume d’environ 34 millions d’habitants a enregistré plus de 751.000 cas de coronavirus depuis le début de la pandémie et 9 055 décès, selon les données du ministère de la Santé. Début mars, les autorités saoudiennes ont annoncé la levée de la plupart des restrictions liées au Covid, notamment la distanciation sociale dans les lieux publics et la quarantaine pour les arrivants vaccinés, tandis que les masques ne sont désormais obligatoires que dans les lieux fermés.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudie#sante#pelerinage#pandemie#vaccination

  • Arabie Saoudite : un million de pèlerins autorisés à la Mecque cette année – Libération
    https://www.liberation.fr/international/arabie-saoudite-un-million-de-pelerins-autorises-a-la-mecque-cette-annee-
    https://www.liberation.fr/resizer/XSVzXacDPqp53FiAxK8LFjeWf2A=/1200x630/filters:format(jpg):quality(70):focal(3325x2118:3335x2128)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/OH5D3LPHIBEQLMDQBIXZ3JERJU.jpg

    Post-Covid
    Arabie Saoudite : un million de pèlerins autorisés à la Mecque cette année
    En Arabie Saoudite, un million de musulmans du monde entier seront autorisés à participer au pèlerinage annuel à la Mecque. Une première depuis le début de la pandémie de Covid-19. L’image de l’immense esplanade déserte entourant la pierre noire de la Kaaba semble être un lointain souvenir. Ce samedi, l’Arabie saoudite a annoncé qu’un million de musulmans pourraient participer au grand pèlerinage à la Mecque, le hajj. Les pèlerins étrangers, qui n’étaient plus autorisés à y participer depuis le début de la pandémie de Covid-19, pourront de nouveau fouler le sol du lieu le plus sacré de l’islam. Le gouvernement saoudien tient à assurer la sécurité des pèlerins « tout en veillant à ce qu’un maximum de musulmans dans le monde puissent accomplir le hajj » peut-on lire dans le communiqué du ministère du Hajj, publié ce samedi. Le ministère précise avoir « autorisé un million de pèlerins, étrangers ou nationaux, à accomplir le hajj cette année ». La possibilité d’effectuer le pèlerinage sera toutefois soumise à plusieurs conditions. Les pèlerins devront être vaccinés, avoir moins de moins de 65 ans, et les voyageurs venant de l’extérieur de l’Arabie saoudite devront présenter un test PCR négatif de moins de 72 heures. Avant la pandémie de Covid-19, environ 2,5 millions de fidèles se pressaient chaque année pour le pèlerinage annuel à la Mecque, l’un des plus grands rassemblements religieux au monde. Le hajj est l’un des cinq piliers de l’islam et doit être accompli par tous les musulmans qui en ont les moyens, au moins une fois dans leur vie. Se déroulant chaque année aux mêmes dates du calendrier musulman, il consiste en une série de rites religieux accomplis pendant cinq jours dans la ville la plus sacrée de l’islam, et dans les régions environnantes de l’ouest de l’Arabie saoudite.Mais durant la crise sanitaire, les autorités saoudiennes avaient autorisé seulement 1 000 pèlerins en 2020, et 60 000 résidents du Royaume l’année suivante, tous vaccinés contre le coronavirus et choisis par tirage au sort. Cette décision d’exclure les pèlerins arrivant de l’extérieur de l’Arabie saoudite était une première dans l’histoire moderne du royaume.
    Les pèlerins ne sont pas les seuls à se réjouir de cette décision d’accueillir un million de fidèles. Coiffeurs, voyagistes ou vendeurs de souvenirs… A La Mecque, ce sont des centaines de milliers d’emplois qui ont pâti de la pandémie ces deux dernières années. Ce quasi-retour à la normale est d’une importance capitale pour le gouvernement saoudien, qui a fait du tourisme religieux la deuxième source de revenus du pays.Avant la pandémie, les deux principaux pèlerinages musulmans, le hajj et la Oumra, rapportent quelque 12 milliards de dollars (10,2 milliards d’euros) par an à l’Arabie saoudite, qui tente de diversifier son économie ultra-dépendante du pétrole. Les revenus pétroliers du pays ayant chuté lourdement avec la baisse des prix du baril, le prince héritier Mohammed ben Salmane (MBS) avait lancé en 2016 l’ambitieux plan « Vision 2030 », qui prévoyait notamment d’augmenter le nombre de pèlerins venus de l’étranger de 9 à 30 millions d’ici 2030. D’autant plus que pour les dirigeants saoudiens, le pèlerinage à la Mecque est aussi une question de prestige, puisque la responsabilité des sites les plus sacrés de l’islam contribue à leur légitimité politique.Pays du Golfe le plus touché par la pandémie de Covid-19, le royaume d’environ 34 millions d’habitants a enregistré plus de 751.000 cas de coronavirus depuis le début de la pandémie et 9 055 décès, selon les données du ministère de la Santé. Début mars, les autorités saoudiennes ont annoncé la levée de la plupart des restrictions liées au Covid, notamment la distanciation sociale dans les lieux publics et la quarantaine pour les arrivants vaccinés, tandis que les masques ne sont désormais obligatoires que dans les lieux fermés.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudie#sante#pelerinage#pandemie#vaccination

  • Fin de la distanciation physique à La Mecque pour les fidèles vaccinés, une première depuis la crise sanitaire
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/10/17/fin-de-la-distanciation-physique-a-la-mecque-pour-les-fideles-vaccines-une-p

    Fin de la distanciation physique à La Mecque pour les fidèles vaccinés, une première depuis la crise sanitaire. Plusieurs restrictions limitant l’accès à ce site avaient été imposées, avant d’être progressivement assouplies ces derniers mois, notamment pour les pèlerins vaccinés.

    Après un an et demi de protocole sanitaire drastique en raison de la crise sanitaire, La Mecque reprend des allures de normalité. Les fidèles vaccinés ont pu prier côte à côte, dimanche 17 octobre, dans la Grande Mosquée de La Mecque. Une première depuis le début de la pandémie de Covid-19, après la levée de la distanciation sociale par les autorités en Arabie saoudite.Cette mosquée de La Mecque, premier lieu saint de l’islam, accueillait des millions de musulmans avant la propagation du SARS-CoV-2, fin 2019. Plusieurs restrictions limitant l’accès à ce site avaient ensuite été imposées avant d’être progressivement assouplies ces derniers mois, notamment pour les pèlerins vaccinés.« La Grande Mosquée peut désormais être utilisée à pleine capacité, avec l’obligation pour les employés et les visiteurs de porter un masque à tout moment », a annoncé le ministère de l’intérieur dans un communiqué publié par l’agence de presse officielle SPA. La décision s’applique dès dimanche au profit des personnes entièrement vaccinées contre le Covid-19, a-t-il précisé. Les lieux publics, comme les transports, les restaurants ou encore les cinémas, pourront également fonctionner à pleine capacité dans tout le pays et le port du masque n’est plus obligatoire en extérieur, selon le communiqué.
    Les signalisations au sol marquant la distance à respecter ont été retirées à l’intérieur et aux alentours de la Grande Mosquée, construite autour de la Kaaba. Cette structure cubique noire vers laquelle les musulmans du monde entier se dirigent pour prier lors du hadj, le grand pèlerinage annuel, reste toutefois inaccessible.Sur Twitter, SPA a diffusé des images de fidèles priant côte à côte. Depuis le début de la pandémie, les vidéos et photos d’une poignée de musulmans priant loin les uns des autres à La Mecque avaient fait le tour du monde, tant elles tranchaient avec les foules habituelles qui se rassemblent sur le site lors des pèlerinages.En temps normal, le hadj et l’oumra (petit pèlerinage), rapportent quelque 12 milliards de dollars (10,2 milliards d’euros) par an à l’Arabie saoudite, qui tente de diversifier son économie ultra-dépendante du pétrole.L’Arabie saoudite a officiellement enregistré près de 548 000 cas d’infection dont 8 760 décès. Le gouvernement a accéléré début août la campagne de vaccination, dans le but de relancer le tourisme, d’accueillir événements sportifs et spectacles et d’assouplir les restrictions.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#sante#pelerinage#vaccination#tourislme#economie

  • Covid-19 : l’Arabie saoudite rouvre ses frontières aux vaccinés pour le pèlerinage de la omra
    https://www.seneweb.com/news/International/covid-19-l-arabie-saoudite-rouvre-ses-fr_n_354436.html

    Covid-19 : l’Arabie saoudite rouvre ses frontières aux vaccinés pour le pèlerinage de la omra
    Après 18 mois de fermeture, l’Arabie saoudite a annoncé qu’elle allait rouvrir ses frontières aux pèlerins étrangers pour l’omra, à condition qu’ils soient vaccinés avec un sérum reconnu par Riyad et qu’ils se soumettent aux règles de quarantaine.L’Arabie saoudite va rouvrir le pèlerinage de la omra, le petit pèlerinage à La Mecque, aux pèlerins de l’étranger vaccinés contre le Covid-19, a rapporté dimanche 8 août l’agence de presse saoudienne officielle.Les autorités saoudiennes commenceront à accepter les demandes d’entrée dans le pays à partir de lundi, précise l’agence. Les frontières avaient été fermées il y a quelque 18 mois en raison de la pandémie due au coronavirus.
    Jusqu’à présent, seuls les pèlerins vaccinés résidant en Arabie saoudite pouvaient prétendre à un permis pour effectuer la omra. Les pèlerins étrangers désireux de se rendre à La Mecque devront également être vaccinés, avec un sérum reconnu par l’Arabie saoudite, et se soumettre aux règles de quarantaine, a ajouté l’agence saoudienne, citant le ministère chargé des pèlerinages.Le petit pèlerinage, qui contrairement au hajj peut être accompli tout au long de l’année, attire en temps normal chaque année des millions de visiteurs du monde entier. L’épidémie de Covid-19 a fortement perturbé ces pèlerinages, sources importantes de revenus pour le royaume qui rapportent quelque 10,3 milliards d’euros par an.L’Arabie saoudite avait ces dernières années investi des milliards dans l’industrie du tourisme pour diversifier son économie pétrolière. Longtemps reclus, le royaume a délivré ses premiers visas touristiques en 2019. Entre septembre 2019 et la fermeture des frontières en mars 2020, elle a délivré 400 000 visas touristiques.Le gouvernement a accéléré début août la campagne de vaccination, dans le but de relancer le tourisme et d’accueillir des événements sportifs et des spectacles. La vaccination est désormais obligatoire pour entrer dans les établissements publics et privés, y compris les établissements scolaires et les lieux de divertissement, ainsi que pour utiliser les transports publics.Depuis le début de la crise sanitaire, l’Arabie saoudite a officiellement enregistré plus de 5321 000 cas de coronavirus et plus de 8 300 décès.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#sante#religion#pelerinage#islam#frontiere#circulation#tourisme#visas#vaccination

  • Covid-19 : l’Arabie saoudite va rouvrir ses frontières aux pèlerins vaccinés
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/08/covid-19-l-arabie-saoudite-va-rouvrir-ses-frontieres-aux-pelerins-vaccines_6

    Covid-19 : l’Arabie saoudite va rouvrir ses frontières aux pèlerins vaccinés
    L’Arabie saoudite va rouvrir les portes du pèlerinage de l’oumra (petit pèlerinage) à la Mecque aux pèlerins de l’étranger vaccinés contre le Covid-19, a rapporté, dimanche, l’agence de presse saoudienne officielle. Les autorités saoudiennes commenceront à accepter les demandes d’entrée dans le pays à partir de lundi, précise l’agence. Les frontières avaient été fermées il y a quelque dix-huit mois en raison de la pandémie.

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#sante#religion#islam#pelerinage#lamecque#frontiere#circulation#vaccination#pandemie

  • Hajj 2021 : les musulmans pourront-ils se rendre à La Mecque ?
    https://www.seneweb.com/news/Societe/hajj-2021-les-musulmans-pourront-ils-se-_n_347185.html

    Hajj 2021 : les musulmans pourront-ils se rendre à La Mecque ? C’est un soulagement pour de nombreux musulmans. Contrairement à l’année dernière, où seul un nombre limité de Saoudiens et de résidents du royaume — environ 1000, contre plus de 2 millions habituellement — avaient été autorisés à effectuer le hajj, le grand pèlerinage annuel à La Mecque aura bien lieu, a annoncé dimanche 9 mai, le ministre saoudien du Hajj et de la Omra, Mohammed Saleh Benten. Mais si des pèlerins venus des 4 coins de la planète pourront à nouveau fouler le sol des lieux saints, ils devront se conformer à des conditions drastiques en raison de la pandémie de Covid-19.« Le Hajj devra s’organiser conformément aux contrôles et aux normes qui assurent la santé et la sécurité des pèlerins pour effectuer leurs rituels facilement », a ainsi expliqué l’agence de presse saoudienne.
    L’ARABIE SAOUDITE A AUTORISÉ EN AVRIL DERNIER LES MUSULMANS VACCINÉS OU QUI ONT GUÉRI DE LA COVID-19 À EFFECTUER LA OMRA
    Ces conditions, dont le détail n’est pas encore encore connu, pourraient reposer avant tout sur la vaccination préalable des pèlerins. « L’Arabie Saoudite a autorisé en avril dernier les musulmans vaccinés ou qui ont guéri de la Covid-19 à effectuer la Omra (« petit pèlerinage » qu’il est possible d’accomplir à n’importe quel moment de l’année). Il est fort probable que les mêmes règles s’appliquent au hajj », commente un agent de voyage parisien spécialisé dans le hajj et la omra. Néanmoins, selon l’agence de presse britannique Reuters, avec plus de 7000 morts du Covid, des restrictions similaires à celles de l’année 2020 ne sont pas à exclure.
    Cinquième pilier de l’islam, le pèlerinage à La Mecque représente un moment fort de la vie des musulmans. Cette année, le hajj devrait démarrer le 17 juillet et prendre fin le 22 juillet, après la célébration de l’Aïd El Kébir

    #Covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#islam#religion#sante#mecque#pelerinage#vaccination#circulation#frontiere#restrictionsanitaire

  • India loses a complex plot as Covid surges back - Asia Times
    https://asiatimes.com/2021/04/india-loses-a-complex-plot-as-covid-surges-back

    India is in the grip of a massive second wave of Covid-19 infections, surpassing even the United States in terms of new daily infections.
    The current spike came after a brief lull: daily new cases had fallen from 97,000 new cases per day in September 2020 to around 10,000 per day in January 2021. However, from the end of February, daily new cases began to rise sharply again, passing 100,000 a day, and now crossing the 200,000 mark.
    Night curfews and weekend lockdowns have been reinstated in some states, such as Maharasthra (including the financial capital Mumbai). Health services and crematoriums are being overwhelmed, test kits are in short supply, and wait times for results are increasing.
    How has the pandemic spread? Residents in slum areas and those without their own household toilet have been worst affected, implying poor sanitation and close living have contributed to the spread.
    One word that has dominated discussions about why cases have increased again is laaparavaahee (in Hindi), or “negligence”. The negligence is made out to be the fault of individuals not wearing masks and social distancing, but that is only part of the story.Negligence can be seen in the near-complete lack of regulation and its implementation wherever regulations did exist across workplaces and other public spaces. Religious, social and political congregations contributed directly through super-spreader events, but this still doesn’t explain the huge rise in cases.
    The second wave in India also coincides with the spread of the UK variant. A recent report found 81% of the latest 401 samples sent by the state of Punjab for genome sequencing were found to be the UK variant.Studies have found this variant might be more capable of evading our immune systems, meaning there’s a greater chance previously infected people could be reinfected and immunised people could be infected.
    Many states have set up expert committees to re-examine and verify Covid-19 deaths after criticism that reported death rates were not accurate. Many states made corrections in mortality figures, and the full extent of undercounting is being actively researched.

    District-level mortality data, both in the first wave as well as in the current wave, confirm that the global case fatality rate of 3.4% was breached in several districts of states such as Maharashtra, Punjab and Gujarat. Case fatality rates in some of the worst-affected districts were above 5%, similar to the 5% mortality level in the US.
    What are the challenges this time?A majority of the cases and deaths (81%) are being reported from ten (of 28) states, including Punjab and Maharashtra. Five states (Maharashtra, Chhattisgarh, Karnataka, Uttar Pradesh and Kerala) account for more than 70% of active cases. But the infection seems to have moved out of bigger cities to smaller towns and suburbs with less health infrastructure.
    Last year, the government’s pandemic control strategy included government staff from all departments (including non-health departments) contributing to Covid control activities, but these workers have now been moved back to their departments. This is likely to have an effect on testing, tracing and treating cases. And health-care workers now have a vaccine rollout to contend with, as well as caring for the sick.
    What now?In early March the government declared the endgame of the pandemic in India. But their optimism was clearly premature.Despite an impressive 100 million-plus immunizations, barely 1% of the country’s population is currently protected with two doses. The India Task Force is worried that monthly vaccine supplies at the current capacity of 70 million to 80 million doses per month would “fall short by half” for the target of 150 million doses per month.Strict, widespread lockdowns we have seen elsewhere in the world are not appropriate for all parts of India given their effect on the working poor. Until wider vaccination coverage is achieved, local containment measures will have to be strengthened.This includes strict perimeter control to ensure there is no movement of people in or out of zones with local outbreaks, intensive house-to-house surveillance to ensure compliance with stay-at-home orders where they are in place, contact tracing, and widespread testing.It should go without saying large congregations such as political rallies and religious festivals should not be taking place, and yet they have been.Strong leadership and decentralised strategies with a focus on local restrictions is what we need until we can get more vaccines into people’s arms

    #Covid-19#migrant#migration#inde#sante#travailleurmigrant#deplacementinterne#pelerinage#transmission#confinement

  • Pélérinage 2021 aux lieux saints de l’Islam : « Il faut s’y mettre dès à présent... » (Aïssata Tall Sall, ministre des affaires étrangères)
    https://www.dakaractu.com/Pelerinage-2021-aux-lieux-saints-de-l-Islam-%C2%A0Il-faut-s-y-mettre-des-

    Le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Aïssata Tall Sall, reste optimiste quant à la tenue de cette édition 2021 du pèlerinage aux lieux saints de l’Islam. Elle a rappelé récemment, à l’occasion de la rencontre avec les voyagistes privés, la nécessité de se préparer pour un bon déroulement de l’édition prochaine. Il faudra également s’y préparer en prenant en compte le volet vaccination qui est d’ailleurs un aspect indispensable pour cet événement mondial. « C’est vrai qu’on n’a pas encore de confirmation sur la tenue ou non du Hajj (pèlerinage) de 2021 à cause de la pandémie de Covid-19, mais il faut, dès maintenant, poser la problématique des vaccins pour essayer d’y remédier au niveau diplomatique », a rappelé la ministre Aïssata Tall Sall devant les voyagistes privés. Cette dernière a également soulevé avec les voyagistes privés et des responsables de la délégation générale chargée du pèlerinage aux lieux saints de l’Islam, l’urgence de se focaliser sur les difficultés rencontrées généralement dans le cadre de la préparation de cet événement. « Les difficultés, on doit ensemble et dès à présent, s’y atteler et les résoudre surtout dans ce contexte de crise sanitaire », a-t-elle ajouté tout en rappelant que le ministère sous sa tutelle, ne doit avoir aucunement de surprises si la date du pèlerinage venait à etre confirmée.

    #Covid-19#migrant#migration#senegal#religion#islam#sante#pelerinage#politique#vaccination

  • Covid-19: Over Two Million Around the World Have Died From the Virus - The New York Times
    https://www.nytimes.com/live/2021/01/15/world/covid19-coronavirus

    As India prepares to begin an ambitious coronavirus vaccination program this weekend, more than 700,000 Hindu pilgrims gathered to take a dip in the Ganges River on Thursday, the start of the Kumbh Mela, one of the largest religious gatherings in the world.The faithful who traveled to Haridwar, the holy town at the foothills of the Himalayas that is the site of this year’s pilgrimage, said a dip in the freezing waters will cleanse them of their sins and provide blessings that extend through several generations.
    The authorities said that about 1,000 people had been fined for not wearing masks or maintaining social distance, but Sanjay Gunjyal, a police official monitoring the crowd, acknowledged the difficulty of trying to enforce the rules. “In a limited space, crowd management and maintaining social distancing is extremely difficult,” he said.India has recorded at least 10.5 million coronavirus cases — the world’s second-highest total after that of the United States — although the South Asian nation’s outbreak is widely believed to be worse than the official figures suggest.At least 2,500 security personnel were stationed along the river, where Covid-19 testing centers were set up and attendees’ fevers were being checked.“Their belief system was paramount and not the fear to catch Covid,” said Manoj Singh Negi, a spokesman for the police department monitoring the event. “That they got to touch the holy waters was the overriding sentiment.”

    #Covid-19#migrant#migration#inde#sante#religion#pelerinage#migrationinterne

  • La spiritualité wixárika à notre époque

    Eduardo Guzmán Chávez

    https://lavoiedujaguar.net/La-spiritualite-wixarika-a-notre-epoque

    Le peuple wixárika vient de très loin dans le temps. Les chercheurs travaillent sur les archives coloniales des missionnaires qui les ont rencontrés au XVIIe siècle et sauvegardent les témoignages onomatopéiques qui rôdent dans la parole wixárika pour décrire un peuple qui, pendant la conquête de la Sierra Madre occidentale, n’était pas remarquable par sa force politique ou sa puissance militaire à côté des Coras et des Tepehuanos voisins, mais qui se distinguait déjà à l’époque comme un bastion spirituel d’une lignée lointaine.

    Leur conquête par les Espagnols a été relativement facile et a imprimé certains traits catholiques que les Wixaritari ou Huicholes ont su honorer sans que cela perturbe la résonance originelle de leur propre cosmovision.

    De nos jours, si nous avions la chance d’assister à la célébration catholique du chemin de croix pendant la Semaine sainte dans l’une des communautés nucléaires, nous serions frappés de constater une profondeur et une dévotion dignes du christianisme primitif.

    Mais le peuple wixárika vient de bien plus loin dans le temps. C’est un lieu commun, quand on parle d’eux, de leur attribuer la qualité supérieure d’être l’une des cultures indigènes les plus pures du monde. (...)

    #Mexique #Huichol #spiritualité #cosmovision #fidélité #solaire #calendrier #pèlerinage #guérisseurs #sagesse #mégaprojets #déforestation

  • Virus cases exceed 7 million in India - Asia Times
    https://asiatimes.com/2020/10/virus-cases-exceed-7-million-in-india

    India’s coronavirus cases surged past seven million on Sunday, taking it ever closer to overtaking the United States as the world’s most infected country.Health ministry data showed a rise of almost 75,000 cases on Sunday, taking the total to 7.05 million, second only to the US which has recorded 7.67 million infections.Experts say that the true number may be much higher, with testing rates in the vast country of 1.3 billion people – home to some of the planet’s most crowded cities – much lower than in many other countries. This is borne out by a string of studies measuring antibodies to the virus among the Indian population that have indicated infection rates could be several times higher than officially recorded.
    India’s death toll of 108,334 as of Sunday is also lower than in the US and other countries with higher caseloads. The United States has recorded 214,000 deaths while Brazil, with two million fewer infections than India, has lost nearly 150,000 lives so far.Possible factors for this include India’s relatively young population, immunity thanks to other diseases, and under-reporting. The rise in infections in India comes as the government continues to lift restrictions to boost an economy battered by a severe lockdown imposed in March. On Thursday, cinemas are set to re-open – albeit at 50% capacity – and experts fear the upcoming festival season when large crowds gather for public celebrations will exacerbate the situation. Anticipating a fresh surge in cases, the government has issued strict guidelines and capped the number of revellers for the two main Hindu festivals of Dussehra on October 25 and Diwali next month. On Friday, Prime Minister Narendra Modi launched a mass awareness campaign, encouraging the public to wear masks, practise hand hygiene and maintain physical distance. “Our collective efforts have helped saved many lives. We have to continue the momentum and protect our citizens from the virus,” Modi tweeted. The virus initially hit major metropolises such as Mumbai and New Delhi, but has since spread to almost every corner of the huge country, including the remote Andaman and Nicobar islands. Recently, the daily number of new cases has fallen from a peak of almost 100,000 in mid-September to around 60,000-70,000.But Preeti Kumar of the Delhi-based Public Health Foundation of India said it was too early to assume India has passed the peak.

    #Covid-19#migrant#migration#inde#sante#circulation#urbain#insularite#religion#pelerinage#hindouisme

  • Entre la Biélorussie et l’Ukraine, des centaines de pèlerins juifs coincés par le Covid-19 renoncent à leur pèlerinage
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/09/18/entre-la-bielorussie-et-l-ukraine-des-centaines-de-pelerins-juifs-coinces-pa

    A cause de la pandémie, la ville ukrainienne d’Ouman ne peut accueillir les dizaines de milliers de fidèles. Certains ont essayé de contourner les restrictions sanitaires et se sont retrouvés bloqués à la frontière. La plupart ont finalement rebroussé chemin

    #Covid-19#migrant#migration#ukraine#bielorussie#religion#pelerinage#sante#judaisme#frontière

  • Jewish pilgrims retreat from Ukrainian border
    https://apnews.com/33305011e0e51429612352e53add9537

    Thousands of Hasidic Jews, stuck at the Ukrainian border for days due to coronavirus restrictions, have turned back without reaching their destination, the grave of a revered rabbi, officials said Friday. About 2,000 ultra-Orthodox Jewish pilgrims had traveled through Belarus in hope of reaching the Ukrainian city of Uman to visit the grave of Nachman of Breslov, an important Hasidic rabbi who died in 1810.Thousands of the Hasidic pilgrims visit the city each September for Rosh Hashana, the Jewish new year. It’s celebrated Sept. 18-20 this year, and some pilgrims had managed to get to Uman before Ukraine closed its borders in late August amid a surge in COVID-19 infections. Thousands of others traveled via Belarus, which hasn’t barred foreign visitors from entering

    #Covid-19#migrant#migration#ukraine#bielorussie#sante#religion#pelerinage#frontiere#judaisme

  • Covid-19 : Israël se reconfine pour les fêtes du Nouvel An juif
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/09/14/coronavirus-israel-se-reconfine-pour-les-fetes-du-nouvel-an-juif_6052115_321

    Ce retour à l’isolement est le résultat d’un échec politique : le gouvernement a renoncé la semaine dernière à imposer un confinement local à des villes arabes et ultraorthodoxes, parmi les plus pauvres du pays, les plus touchées par l’épidémie. Les alliés religieux de M. Nétanyahou, indispensables à son gouvernement de coalition, s’y étaient refusés.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi En Israël, la deuxième vague de Covid-19 touche surtout les communautés ultraorthodoxes et arabes
    Israël pouvait se féliciter d’avoir mieux fait face que d’autres à la première vague, en confinant rapidement et en fermant ses frontières, en mars. Mais l’épidémie était repartie à la hausse dès le mois de mai. Les autorités s’interrogent encore pour savoir si cela est dû à la réouverture des écoles. Elles ont multiplié depuis les arbitrages illisibles, et déplorent le manque de discipline des Israéliens.Pour Arnon Afek, membre de l’équipe qui coordonne la réponse sanitaire, les fêtes de fin d’année représentent « le moment le moins inapproprié. Mais sans stratégie de sortie, ce sera inutile : vous obtiendrez un pays très appauvri et un nouveau reconfinement à terme ». Cette stratégie se met en place depuis deux mois : le gouvernement entend décentraliser le traitement de l’épidémie, en travaillant avec les maires, reconfiner au cas pas cas les points chauds, et fait confiance à l’armée pour tracer les contaminations et tester les cas suspects. Mais l’architecture informatique nécessaire à un tel système ne sera opérationnelle qu’en novembre au plus tôt. Cela laisse craindre que le reconfinement s’éternise après la fin des fêtes.

    #Covid-19#migrant#migration#israel#sante#santepublique#religion#frontiere#pelerinage#reconfinement

  • Hadj 2020 : le moment de repenser l’organisation du pèlerinage est-il venu ? - MiddleEast Eye

    Le pèlerinage annuel du hadj a débuté, mais la quasi-totalité des 2,5 millions de musulmans qui avaient prévu de le faire cette année ont été relégués sur la ligne de touche, contraints d’observer de loin cet événement colossal.
    Figurant parmi les cinq piliers de l’islam, le hadj est une obligation au moins une fois dans leur vie pour tous les musulmans qui en ont les capacités financières et physiques.
    Mais cette année, seules 10 000 personnes – résidant toutes en Arabie saoudite – peuvent participer à ce pèlerinage de cinq jours, une fraction de ce qu’elles étaient l’année dernière.

    #Covid-19#migrant#migration#religion#pelerinage#islam#sante#restrictionsanitaire#pauvrete

    https://www.middleeasteye.net/fr/decryptages/hadj-2020-pelerinage-musulman-mecque-arabie-saoudite-reforme

  • Iraq issues ’total curfew’ for Eid al-Adha - Al Monitor
    COVID-19 cases have increased to historic highs of around 2,000 a day in Iraq.The curfew will be in place from July 30 until Aug. 9, according to a statement today from the Iraqi government. Past total curfew orders in Iraq have mandated a ban on non-essential movement and business, meaning people could only go to local supermarkets and pharmacies.

    https://www.al-monitor.com/pulse/originals/2020/07/iraq-eid-al-adha-total-curfew-virus.html

    #Covid-19#migrant#migration#religion#pelerinage#islam#sante#restrictionsanitaire#pauvrete

  • Final days of hajj and Eid festival impacted by coronavirus
    https://apnews.com/bcfbbbff56fe0774888c78d340f881d6

    The hajj pilgrimage has also been drastically impacted by the virus. Last year, some 2.5 million pilgrims took part, but this year as few as 1,000 pilgrims already residing in Saudi Arabia were allowed to preform the hajj.
    The Saudi Health Ministry said there have been no cases of the COVID-19 illness among this year’s pilgrims. The government took numerous precautions, including testing pilgrims for the virus, monitoring their movement with electronic wristbands and requiring them to quarantine before and after the hajj. Pilgrims were selected after applying through an online portal, and all had to be between the ages of 20 and 50 years-old.
    Just after dawn on Friday, small groups of pilgrims — masked and physically distancing — made their way toward the massive multi-story Jamarat Complex in the Saudi valley area of Mina. There, the pilgrims cast pebbles at three large columns. It is here where Muslims believe the devil tried to talk the Prophet Ibrahim, or Abraham, out of submitting to God’s will.

    #Covid-19#migrant#migration#religion#pelerinage#islam#sante#restrictionsanitaire#pauvrete

  • Début du grand pèlerinage de La Mecque, à l’ère du coronavirus
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/07/29/debut-du-grand-pelerinage-de-la-mecque-a-l-ere-du-coronavirus_6047613_3210.h

    Les fidèles musulmans sélectionnés pour le hadj ont commencé mercredi 29 juillet le grand pèlerinage de La Mecque, le plus restreint de l’histoire moderne, avec de nombreuses précautions sanitaires pour cause de pandémie de Covid-19. Par petits groupes, menés chacun par un guide, les fidèles ont procédé à sept circonvolutions autour de la Kaaba, au cœur de la Grande Mosquée de La Mecque, selon des images en direct des télévisions saoudiennes. S’abritant du soleil sous des parapluies, portant des masques et se tenant à distance les uns des autres, ces pèlerins ont tourné autour de la construction cubique vers laquelle s’orientent les fidèles musulmans du monde entier pour leurs prières, sous l’œil vigilant de policiers et autres officiels. Ils ont ensuite fait à sept reprises le chemin entre Safa et Marwa, sur les pas de Hajar, épouse du prophète Abraham. Selon la tradition, elle avait parcouru le chemin pour chercher de l’eau à son fils, le prophète Ismaïl, jusqu’à ce que la source de Zamzam jaillisse à ses pieds. Le chef de la force spéciale de la Grande Mosquée, Yahia Al-Akil, a déclaré à la télévision publique El-Ekhbariya que ces rites se sont déroulés « en un temps record et en toute fluidité ».

    #Cocid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#islam#pelerinage#sante#protocolesanitaire

  • Pèlerinage limité à La Mecque au temps du Covid-19
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/07/28/pelerinage-restreint-a-la-mecque-au-temps-du-covid-19_6047498_3210.html

    Les sept minarets de la grande mosquée de La Mecque vont se sentir seuls. En raison de la pandémie de Covid-19, le grand pèlerinage, l’un des cinq piliers de l’islam, qui débute mercredi 29 juillet, sera organisé dans un format très réduit. Au lieu de voir défiler 2,5 millions de fidèles, comme l’année dernière, la cité la plus sainte du monde musulman ne devrait accueillir que quelques milliers de croyants, 10 000 au maximum. Une affluence minimale, quasi-symbolique, qui constitue une première dans l’histoire de l’Arabie saoudite, royaume fondé en 1932.Pour éviter que le hadj ne se transforme en « super-contaminateur », à la manière du rassemblement évangélique de Mulhouse fin février mais à la puissance 1 000, les autorités saoudiennes ont décidé de maintenir la fermeture de La Mecque aux pèlerins étrangers. Cette décision avait été prise fin février, à l’orée de la crise sanitaire. Alors même qu’aucun cas d’infection par le Covid-19 n’avait été enregistré dans le pays, Riyad avait suspendu la délivrance de visa pour l’omra, le petit pèlerinage, qui peut être effectué tout au long de l’année. L’autorisation de participer au grand pèlerinage, qui se tient traditionnellement à l’approche de la fête de l’Aïd-el-Kébir, la plus importante date du calendrier musulman, n’a donc été délivrée qu’à une poignée d’habitants du royaume. 30 % d’entre eux sont des Saoudiens, professionnels de la santé et membres de l’armée, qui ont attrapé le Covid-19 dans le cadre des efforts déployés par l’Etat pour lutter contre cette maladie, ont guéri et se voient ainsi récompensés pour leur dévouement. Les 70 % restant sont des résidents étrangers, choisis par tirage au sort.

    #covid-19#migrant#migration#arabiesaoudite#islam#mecque#pelerinage#sante#personnelsanté#residentetranger#aidelkebir

  • Coronavirus : le grand pèlerinage de La Mecque maintenu, mais avec un « nombre très limité » de pèlerins
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/06/22/coronavirus-le-grand-pelerinage-de-la-mecque-maintenu-mais-avec-un-nombre-tr

    La pandémie due au nouveau coronavirus touche l’un des plus importants rassemblements religieux au monde. L’Arabie saoudite a annoncé, lundi 22 juin, le maintien, à la fin de juillet, du grand pèlerinage musulman de La Mecque, l’un des cinq piliers de l’islam. Mais le nombre de fidèles sera limité à un millier de personnes, de toutes nationalités, « se trouvant à l’intérieur du royaume » saoudien, conformément aux mesures de précaution pour contenir la propagation du Covid-19. En 2019, le grand pèlerinage dans la ville sainte de l’ouest de l’Arabie saoudite avait attiré 2,5 millions de fidèles. Les autorités tablaient sur 2,7 millions de pèlerins pour 2020, selon le ministère chargé de l’organiser. C’est la première fois dans l’histoire moderne du pays que les musulmans étrangers doivent renoncer au pèlerinage annuel

    #Covid-19#migration#migrant#arabiesaoudite#lamecque#pelerinage#etranger#sante#propagation#pandemie

  • Coronavirus imperils Ramadan meals, assistance in Gaza- Al Monitor

    The Muslim holy month of Ramadan is a time for giving, with mosques and charities feeding thousands, but coronavirus has left many in the Gaza Strip wondering how they will manage this year.

    “The markets and mosques are closed. The good people who give us money or aid each Ramadan are facing a tough situation,” said 47-year-old Palestinian Salah Jibril, who is unemployed.

    He and his wife live with their six children in a cramped two-bedroom flat on the outskirts of Gaza City.

    He said his family normally counted on using the assistance they received during Ramadan to help them throughout the rest of the year.

    “This is the hardest Ramadan we have faced. We don’t know how we will cope,” he added.

    #Covid-19#Moyen-Orient#Gaza#Religion#Islam#Ramadan#Pèlerinage#Société_civile#Politique#migrant#migration

    https://www.al-monitor.com/pulse/contents/afp/2020/04/health-virus-palestinians-ramadan.html

  • Muslims mark Ramadan with unprecedented virus lockdowns- Al Monitor
    Muslims around the world began marking Ramadan under coronavirus lockdown on Friday with unprecedented bans on family gatherings and mass prayers, while a pushback in some countries has sparked fears of a surge in infections. This year, the holy daytime fasting month will be a sombre affair for many across Asia, the Middle East and North Africa. Widespread rules have been imposed...
    #Covid-19#Moyen-Orient#Monde#Religion#Islam#Ramadan#Pèlerinage#Société_civile#Politique#migrant#migration

    https://www.al-monitor.com/pulse/contents/afp/2020/04/health-virus-islam-ramadan.html