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  • Saison 3 en vue pour la pépinière d’artistes de l’Aéronef, de la Cave aux poètes et du Grand Mix - La Voix du Nord
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    Saison 3 en vue pour la pépinière d’artistes de l’Aéronef, de la Cave aux poètes et du Grand Mix
    La Métropole de Lille financera bien une troisième saison de la PAM, pépinière d’artistes « musiques actuelles ». L’Aéronef, la Cave aux poètes et le Grand Mix couvent chacun un groupe pour l’aider à réussir sa professionnalisation.

    Par Bruno Renoul | Publié le 16/12/2016

    Toutes les parties intéressées voient dans la PAM l’instrument idéal pour muscler la scène locale métropolitaine. La Métropole de Lille, qui finance ce dispositif à hauteur de 70 000 € par an. Les salles de spectacle qui l’ont conçu et le portent, l’Aéronef de Lille, le Grand Mix de Tourcoing et la Cave aux poètes de Roubaix. Et bien sûr les artistes qui en ont bénéficié.

    Alors ça va continuer : Olivier Henno (UDI), qui était alors encore vice-président à la culture avant les modifications survenues dans l’exécutif métropolitain le 15 décembre, a annoncé cette semaine le maintien de la subvention en 2017. Pour une troisième saison, donc.

    « 
    Ce dispositif nous a permis de rencontrer des gens, de sortir de la région et de notre entourage

     »

    Depuis 2015, chacune de ces trois salles parraine et suit un groupe en particulier, dans l’objectif de l’aider à franchir le palier de la professionnalisation. « Dans les critères de choix, il y a l’artistique, bien sûr, mais aussi la volonté et la capacité à franchir ce cap », explique Nicolas Lefèvre, le directeur de la Cave aux poètes, qui juge que « sur les 800 groupes qui existent dans la métropole, tous n’ont pas ce souhait ».

    Concrètement, les groupes choisis bénéficient d’un accompagnement personnalisé, fait de rencontres avec des professionnels, d’organisation de résidences et de concerts, et de participation à des ateliers pour apprendre à créer un clip ou à exister sur les réseaux sociaux.

    Evrst, Be4tSlicer et Numérobé
    La première année, le gros lot a été décroché par Chamberlain, Antoine Pesle et Le Duc Factory. Mathieu, l’un des deux membres du duo Chamberlain, juge avec le recul que la PAM a servi d’accélérateur à son groupe. « On avait déjà un contenu artistique, mais quand on envoyait des mails, ça se perdait dans le cosmos, sourit-il. Ce dispositif nous a permis de rencontrer des gens, de sortir de la région et de notre entourage. » Aujourd’hui, tout va bien pour le duo, qui vient de signer avec un agent et un label.

    Cette année, les trois groupes qui bénéficient de ce dispositif – Evrst, Be4t Slicer et Numérobé (voir vidéos ci-dessous) – ont pu à leur tour jouer aux Trans Musicales de Rennes, ou à Crossroads, le nouveau festival de showcases de la Condition publique, à Roubaix. Cette semaine, ils suivaient une session de formation de deux jours. Les voilà (presque) prêts à voler de leurs propres ailes !❞

  • Workshop d’Antoine Pesle à l’EF2M
    http://www.legrandmix.com/actionculturelle/2016/04/19/workshop-dantoine-pesle-a-lef2m

    Qui est Antoine Pesle ? 

    Eduqué tout petit devant les clips MTV, Antoine Pesle s’enivre peu à peu de ces chansons pop écrites à une époque où légèreté et fantaisie étaient omniprésentes. Son 1er EP, « Amour Lemon EP », en est le témoignage. « J’aime les tubes radio, lorsque l’assemblage de peu de choses sonne comme une évidence, lorsqu’une chanson fait sourire en la chantant et donne envie de danser. »

  • PAM ! : le nouvel instrument des musiciens de la métropole lilloise pour faire bang plutôt que pschitt - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/region/pam-le-nouvel-instrument-des-musiciens-de-la-metropole-ia19b0n3223419

    L’Aéronef, le Grand Mix, la Cave aux poètes et la MEL mettent leurs billes en commun pour monter la première pépinière d’artistes de la métropole. Objectif de PAM ! : offrir à des artistes les outils pour cogner dur.

    PAM !, ce n’est pas le nom d’une blonde pulpeuse en maillot de bain rouge qui affole les types en short sur le sable chaud d’une plage de Malibu. PAM !, c’est, pour trois formations musicales de la métropole lilloise, un nouveau joujou extra devant leur permettre de faire crac boum hue ; trois lettres qui résument une nouvelle appellation musicale d’origine contrôlée : pépinière d’artistes de la métropole lilloise.
    Un laboratoire créé par trois salles de spectacles du cru : l’Aéronef à Lille, le Grand Mix à Tourcoing, la Cave aux poètes à Roubaix, ainsi que la Métropole européenne de Lille. « Chaque salle a son mode d’accompagnement des artistes. Ici, l’idée est de mutualiser nos savoir-faire pour donner un coup d’accélérateur à des projets musicaux identifiés et dont certains ont déjà leur public », expliquent Benoit Olla, directeur de l’Aéro, Boris Colin du Grand Mix et Nicolas Lefèvre de la Cave aux poètes. Et bien au-delà des frontières régionales.
    « On les aide à travailler à 360 º, sur tous les champs nécessaires pour mener à bien leur projet »
    Premières pousses de cette pépinière : le duo Chamberlain (electro), le groupe Le Duc Factory (rock seventies) et Antoine Pesle (electro). Pendant un an ou plus, « on les aide à travailler à 360 º, sur tous les champs nécessaires pour mener à bien leur projet », détaille Nicolas Lefèvre : enregistrement, vidéo, rédaction de biographie, travail en résidence, approche de l’environnement professionnel, de l’économie du milieu musical, communication…
    « Nous ne sommes pas des managers, précise Boris Colin. On construit le projet avec les artistes en leur offrant un cadre, notre réseau, nos compétences. » Un soutien nécessaire. « Un groupe comme le nôtre joue depuis cinq ans. On a l’expérience des concerts, de différentes salles, mais il nous manquait certains outils, témoigne Thom, membre du Duc Factory, pour continuer à nous développer. Là par exemple, on a pu tourner un clip, enregistrer un album. Cela va nous permettre de démarcher des producteurs, des labels… Et puis, au départ, nous ne sommes que musiciens. On n’a aucune connaissance des acteurs économiques du milieu musical. Or, c’est indispensable. Tous ces outils, maintenant, on les a. À nous de bien les utiliser. »

    Concert gratuit ce jeudi soir
    Chamberlain, Antoine Pesle et Le Duc Factory donnent un concert gratuit ce jeudi 17 décembre, au Grand Mix. De 18 h à 22 h, place Notre-Dame à Tourcoing (invitations à retirer en ligne sur www.legrandmix.com).

  • Perez au Grand Mix à Tourcoing : « Le chaud-froid, ça donne du relief à la musique » - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/region/perez-au-grand-mix-a-tourcoing-le-chaud-froid-ca-ia26b58810n3169308

    Perez au Grand Mix à Tourcoing : « Le chaud-froid, ça donne du relief à la musique »

    Après deux concerts annulés, Eagles of Death Metal (le groupe du Bataclan) samedi soir et Kadavar dimanche, le Grand Mix rouvre ses portes ce jeudi soir, pour un rendez-vous afterwork avec Perez.

    On dit que vos sets sont des « prestations électroniques jouissives ». C’est-à-dire ?
    « Par rapport à ce qu’on peut entendre sur disque, il y a un travail sur l’adaptation des morceaux qui les rend plus psychédéliques, plus sauvages, plus intenses. Et en tant que chanteur, par l’interprétation et le jeu de scène, j’essaie d’arriver à quelque chose de plus libéré, plus énergique. »
    Comment articulez-vous la musique entre programmation et live ?
    « Comme sur l’album, j’essaie de mélanger le côté très implacable de la musique d’ordinateur avec des sonorités plus organiques jouées sur des basses, des guitares, des percussions, des claviers. En live, il y a aussi des musiciens qui m’accompagnent pour retranscrire cet aspect un peu plus humain de ma musique. »
    On sent aussi parfois un décalage entre le son et les paroles, c’est quelque chose que vous cultivez ?
    « Ce que je recherche, ce sont les contrastes. Par exemple entre le côté un peu martial de la musique électronique et l’incarnation d’un texte, ou les sujets. La musique peut aussi avoir un côté très lumineux, très pop, et en même temps un truc très gueule de bois, un peu désabusé. J’aime bien jouer sur du chaud-froid comme ça, je trouve que c’est ce qui donne du relief à la musique. »

    Qu’est-ce qui fait naître un titre, plutôt les mots ou le tempo ?
    « Je n’ai pas de méthodologie rigide, mais c’est quand même souvent un thème qui déclenche une chanson. J’enregistre beaucoup de musiques sans savoir si je vais les utiliser, et c’est au moment où j’ai l’idée des paroles que là je vais piocher dedans. Ensuite, c’est un travail de va-et-vient pour arriver à quelque chose de pertinent. »
    Vous avez choisi de chanter en français, pourquoi ?
    « Plus jeune je chantais en anglais dans des groupes de rock, par mimétisme, parce que j’avais surtout écouté de la musique anglo-saxonne. Et finalement, en prenant de la bouteille, j’ai pensé qu’en anglais je n’étais pas en pleine possession de mes moyens. Chez beaucoup d’auteurs anglo-saxons que j’admire comme Morrissey des Smiths ou Jarvis Cocker de Pulp, il y a une appropriation de la langue anglaise, avec tout ce qu’il peut y avoir d’argot, que je ne pouvais pas atteindre. J’avais l’impression d’être dans une forme d’imposture, de ne jamais être complètement à ma place. Quand j’ai lancé ce projet en solo, j’ai eu envie de donner davantage de place à l’écriture, et il me semblait essentiel de passer au français pour avoir un spectre plus large d’expression. »
    Jeudi 19 novembre, à partir de 18h, au Grand Mix, place Notre-Dame, Tourcoing. Gratuit.
    www.legrandmix.com. https://www.facebook.com/Perezofficial
    Afterwork
    Le Grand Mix n’a pas attendu la chronique de Charline Vanhoenacker sur France Inter (« Paris sans terrasse, sans spectacle... bienvenue à Tourcoing ») pour diversifier son offre. Après le goûter-concert pour les petits, voici l’afterwork pour les grands. Des artistes à découvrir gratuitement le 3e jeudi du mois (Everydayz et Bagarre ont précédé Perez ; suivront Le Duc Factory, Antoine Pesle et Chamberlain en décembre, Housse de racket en janvier). L’artiste joue vers 19 h, au milieu d’une soirée avec bar et petite restauration qui ouvre à 18 h, se clôt à 22 h. Un nouveau rendez-vous dont le succès sera analysé en fin de saison.

  • Démarrage du projet COMIX
    http://www.legrandmix.com/actionculturelle/2015/10/02/1er-service-pour-les-eleves-de-comix

    COMIX est un nouveau projet développé entre le Grand Mix et les élèves de SEGPA du collège Mendès France à Tourcoing. Il aura lieu durant l’année scolaire 2015/2016.

    COMIX a pour objectif la découverte des métiers et s’adresse à une cinquantaine d’élèves de la 6ème à la 3ème.

    Pour ce premier exercice, 5 élèves de 3ème de la section Hygiène, Alimentation et Service ont préparé et servi les goûters aux spectateurs du goûter-concert d’Antoine Pesle, le 30 septembre dernier.