person:bill cosby

  • Rire de soi a un prix. Voilà pourquoi Hannah Gadsby arrête l’humour
    https://www.nouvelobs.com/rue89/notre-epoque/20180710.OBS9478/rire-de-soi-a-un-prix-voila-pourquoi-hannah-gadsby-arrete-l-humour.html

    Déconstruction critique du stand-up et de l’industrie de l’humour en général, "Nanette" interroge alors le concept même de blague, qui n’aurait besoin que d’une situation initiale et d’une chute – drôle –, au détriment de la "vraie" fin d’une histoire qu’un public ne saurait supporter.

    Elle avait commencé par dire que le garçon de l’arrêt de bus ne l’avait pas tapée parce qu’il ne "tapait pas les femmes". On avait rigolé. A la fin du spectacle, elle revient sur ses propos en expliquant qu’il l’a bel et bien tabassée, qu’elle n’a ni porté plainte ni été à l’hôpital : "J’étais persuadée que c’était tout ce que je méritais."

    Ce témoignage en guise de colonne vertébrale, "Nanette" transcende la fonction cathartique du spectacle : il n’est plus question de ménager le public, de le libérer d’une tension ou d’un stress, mais d’interroger la manière dont il se considère au sein de la société. Spectateurs, êtes-vous des oppresseurs ?

    Alors Hannah Gadsby arrête l’humour, le rire est mort et "Nanette" est le théâtre d’une colère qui s’érige notamment contre la domination de l’homme blanc hétérosexuel, dont elle relève la susceptibilité, non sans ironie, dans l’après #Metoo :
    ""Pour la première fois de l’histoire, vous êtes une sous-catégorie de l’humanité. Vous dites ’Non, on a inventé les catégories, on n’est pas censés jouer, on est neutres’. Plus du tout. Personnellement, j’ai toujours été jugée sur ce que je suis : j’ai toujours été une grosse gouine moche. Je suis morte à l’intérieur, je suis blindée, je peux gérer. Mais vous, les gars, vous êtes fragiles.""
    Avoir peur des hommes

    S’appuyant sur sa formation en histoire de l’art, elle attaque les représentations des femmes, condamnées à être "vierges" ou "putes", ainsi que "l’art majeur" dont les acteurs font bloc autour de Picasso, par exemple, "qui s’est tapé une mineure" en la personne de Marie-Thérèse Walter.

    Elle parle des hommes célèbres dont il faut "protéger la réputation". Les "Donald Trump, Pablo Picasso, Harvey Weinstein, Bill Cosby, Woody Allen, Roman Polanski". ("Ces hommes ne sont pas des exceptions, ils sont la règle.")

    Elle insiste aussi sur les dommages générés par ces réflexes patriarcaux, notamment dans le cadre de l’affaire Monica Lewinsky :
    ""Si les humoristes avaient fait leur travail correctement et s’étaient moqués de l’homme qui avait abusé de son pouvoir, peut-être que l’on aurait une femme expérimentée à la Maison-Blanche, au lieu d’un homme qui reconnaît ouvertement avoir agressé sexuellement des jeunes femmes simplement parce qu’il le pouvait.”"

    #grand_homme #humour #féminisme

    • Citation de Picasso présente dans son spectacle et dont je n’arrive pas à trouvé d’autre source :

      Dès que je quitte une femme, je devais la bruler. En détruisant la femme, on détruit le passé qu’elle représente.

      Mais quel enflure ! En cherchant des citations misogynes de picasso google m’a proposé aussi la mysogynie de Bazelitz, Kundera

      Sur la misogynie de picasso :
      http://homocoques.fr/2-articles/596-en-etudiant-picasso-j-ai-decouvert-le-monstre

      Et je m’en sens mal car Picasso fut sans conteste un génie. Je crois qu’il a basculé en psychopathe autour de Guernica et de la guerre. La gloire et l’argent alors assurés, il a vécu avec le sentiment d’une impunité totale. Au début des années 1950, par exemple, il confisque leur passeport à deux petites Américaines venues le voir. Il leur prodigue « des gâteries » - quel euphémisme sordide - pendant deux jours avant de leur rendre leurs papiers.

      ...

      Otto Van Rees, un de ses voisins à l’époque du Bateau-Lavoir, a dit de lui : « C’est un horrible Espagnol, un cinglé. Il est peut-être un artiste merveilleusement doué mais il n’a strictement que ses intérêts en vue. Nous étions tous aussi pauvres que des rats et nous nous aidions mutuellement. Picasso ne rendait jamais rien. » Françoise Gilot qui fut une de ses compagnes et lui a donné deux enfants hors mariage a eu aussi ces mots : « Picasso peint avec le sang des autres. » Cela le résume bien. Sa jouissance est prioritaire sur tout, et faire jouir l’autre n’est absolument pas son souci. Je ne pense même pas qu’il ait su que les femmes puissent éprouver du plaisir.

      ...

      L’image de Picasso est celle de la liberté absolue. Or c’était aussi un censeur. Il a fait interdire les mémoires de Fernande et a voulu récidiver quand Françoise a publié son témoignage. Il a également fait interdire de toutes les bonnes galeries parisiennes l’artiste Luc Simon qui lui succédait dans les bras de Françoise.

      ...

      Il aura haï les femmes qu’il a eues au point de les battre et de les enfermer. Marie-Thérèse a employé le mot viol. Françoise a eu une joue percée par une gauloise allumée et ne parlons pas de la tragédie sadomaso avec Dora Maar. Marie-Thérèse et Jacqueline se sont suicidées. Maya, une de ses filles, et Marina, une de ses petites-filles, ont dit des choses sur leur gêne éprouvée gamines… Tous, en particulier ses amantes, n’auront été que des esclaves à son service, n’ayant droit ni au désir ni aux sentiments. Loin de lui, elles peuvent mourir, elles le devraient même. Les seules femmes ayant tenu tête auront été son première mécène Gertrude Stein et Françoise Gilot pour laquelle j’éprouve un immense respect.

      #viol #sadisme #violences_sexuelle #violences_masculine

  • Rebecca Solnit : « Réduire les femmes au silence a toujours été la stratégie en vigueur »
    https://www.nouveau-magazine-litteraire.com/idees/reduire-les-femmes-au-silence-strategie-en-vigueur

     ?

    Jugez-vous toujours le terme « mansplaining » (ou « mecsplication » en français) imparfait ? Vous regrettiez, à l’époque, qu’il essentialise un défaut masculin.

    Aujourd’hui, il me plaît. J’avais des réserves mais, il y a plusieurs années, une jeune femme m’a confié que jusqu’à l’apparition de ce mot, ces expériences vécues ne pouvaient pas être nommées, empêchant ainsi le lien avec des tendances plus vastes et des courants plus souterrains. Le terme est donc très utile et souvent utilisé en anglais. J’aimerais que la blogueuse qui l’a inventé en réponse à mon essai se l’approprie car, à l’origine, il ne vient pas de moi…

    En quoi la répartition de la parole est-elle genrée ?

    Des études ont démontré que les femmes sont plus souvent interrompues – même à la Cour suprême ! Le statut et le respect dont bénéficient traditionnellement les hommes se manifestent par la place que prennent leur parole et l’écoute suscitée. Mais cela évolue puisque les femmes accèdent à des postes à responsabilités et que de plus en plus de personnes sont prêtes à les écouter – même si, paradoxalement, les femmes sont aussi éduquées à se discréditer les unes les autres.

    Spéciale dédicace aux Seenthisien·nes (@intempestive et @simplicissimus, au moins) qui avaient contribué à la traduction du titre dans une autre version.

    [infokiosques.net] - Quand les hommes m’expliquent
    https://infokiosques.net/spip.php?article1501

    Oui, des personnes des deux sexes surgissent lors d’événements publics pour disserter sur des choses qui n’ont rien à voir ou des théories complotistes mais cette pure confiance en soi agressive de parfaits ignorants est, dans mon expérience, genrée. Les hommes m’expliquent, à moi et à d’autres femmes, qu’ils sachent ou non de quoi ils parlent. Certains hommes.

    • Ils sont nombreux mais se résument globalement à : « N’écoutez pas cette personne, ne la croyez pas, ne laissez pas ses mots avoir de conséquences. » Ce qui sous-entend que la femme serait folle, qu’elle se fait des idées, qu’elle a tout inventé (voire, selon Freud, qu’elle aurait aimé que cela arrive). Les femmes seraient donc toujours trop (ou pas assez !) émotives. Les victimes doivent même faire très attention à leur « performance » lors des procès, sinon leur témoignage pourrait être perçu comme l’expression d’une rancune pour blesser un homme, là se trouve la formule magique qui permet de détourner l’attention du délit commis par un homme – par exemple, un viol – pour se concentrer sur les conséquences dramatiques que ce crime aura pour lui. Comme si la victime, et non pas le système judiciaire (ou l’accusé), était responsable des conséquences.

      Réduire au silence et ignorer les femmes a toujours été la stratégie en vigueur, c’est d’ailleurs ainsi que Harvey Weinstein a pu s’en prendre à 109 femmes sans aucune conséquence, tout comme (ndlr : le comédien) Bill Cosby, qui aurait agressé et drogué des femmes pendant une cinquante d’années. Ces femmes ont été raillées, voire punies pour avoir élevé la voix. Aux États-Unis, 70 % des femmes qui se plaignent de harcèlement sexuel au travail subissent d’ailleurs des représailles. Cela encourage les femmes à se taire tout en permettant à la violence sexiste de perdurer.

    • Désolée le curieux, tu peux te garder tes remarques anti-féministe super bien argumentées à coups de memes. Tu ne feras pas de vieux os sur Seenthis, c’est pas le genre d’endroits où le trolling sexiste est apprécié.

      Et oui, @simplicissimus, la discussion a disparu mais son souvenir demeure ;-).

      Encore une ressource autour de ce chouette texte.
      http://blog.ecologie-politique.eu/post/Quand-les-hommes-m-expliquent

  • Du danger de (trop) s’indigner en ligne
    http://abonnes.lemonde.fr/big-browser/article/2017/10/20/du-danger-de-trop-s-indigner-en-ligne_5203946_4832693.html

    L’indignation de leurs utilisateurs est un des carburants qui font tourner Twitter ou Facebook. Elle est recherchée et encouragée par ces multinationales car elle est au cœur même du fonctionnement des plates-formes qu’elles ont créées. Le contenu à fort quotient émotionnel génère le plus de likes, de commentaires, de partages – une des émotions qui rapportent le plus est la colère. Pour que ces services, que nous utilisons gratuitement, soient rentables, ces entreprises ont besoin de toujours plus de trafic, donc de revenus publicitaires. Elles ont intérêt à ce qu’on y reste le plus longtemps possible.

    C’est une réalité qu’on a trop tendance à oublier lorsqu’on traite de polémiques nées sur les réseaux sociaux. Molly Crockett, professeure adjointe de psychologie à l’université Yale (Connecticut), le rappelle justement dans « Indignation morale à l’ère digitale », une étude qui s’intéresse « à la façon dont la technologie peut transformer l’expression de l’indignation morale et ses conséquences sociales ».

    Le dernier mouvement qui est apparu, massif et organique, est incarné en France par le hashtag #balancetonporc avec lequel des milliers de femmes ont partagé sur Twitter leurs expériences d’agression ou de harcèlement sexuels. A moins d’une semaine d’existence, on ne peut pas encore dire s’il restera une explosion cathartique de victimes tentant de se libérer d’un poids trop longtemps enfoui, ou s’il aboutira à des avancées tangibles pour lutter contre le harcèlement et les violences envers les femmes.

    Il n’est pas surprenant que cette prise de parole collective ait pu naître et essaimer sur les réseaux, mais comme le dit le chercheur Olivier Ertzscheid sur Rue89, « ce serait une catastrophe que ces débats commencent et terminent sur Twitter ou sur Facebook. Comme ce serait une catastrophe de croire que ces plates-formes protégeront ». Si ces espaces deviennent des agoras numériques où des problèmes de société émergent et débordent jusque dans la « vie réelle », c’est qu’ils remplissent un vide laissé par les pouvoir publics et les médias.

    Pour Twitter et Facebook, #balancetonporc n’est qu’un hashtag parmi d’autres, intéressant uniquement dans la mesure où il rapporte du trafic. Olivier Ertzscheid rappelle, lui aussi, une vérité qu’on oublie trop souvent :

    « Il n’y a pour ces plates-formes ni victimes ni bourreaux, ni opprimés ni oppresseurs, seulement des usagers et des clients. »

    #Médias_sociaux #Indignation #Activisme #Olivier_Ertzscheid

    • Le texte oublie que ce tag est utilisé par les victimes, c’est pas un tag pour s’indigner, c’est un flot de témoignages par les victimes exaspérées (très majoritairement des femmes). Ceux qui s’en indigne ce sont les gens (tres majoritairement des hommes) qui ont fait les autruches jusqu’ici et qui sont indignés de ne plus pouvoir le faire.
      ce texte fait vraiment pensé à du #mansplannig et une atténuation de la violence de ce que vivent les victimes qui est au dela de l’indignation car c’est de la révolte et de la rébellion.
      Dire que c’est une explosion cathartique c’est aussi deja désactivé et effacé l’idée de révolte. La #catharsis c’est un défouloir symbolique pas une réclamation de justice concrète et politique. Si ces témoignages sont réduit à une vulgaire catharsis ca implique que ca ne sois que de la comédie et que une fois les spectacle fini les choses reprenne leur place, c’est a dire que les hommes pourrons à nouveau violer et agressé en paix.

    • Après, il faut aussi voir la critique globale faite aux médias sociaux, qui permettent l’activisme, mais plus difficilement la construction d’alternatives. Voir le livre de Zeynep Tufekci Twitter and tear gas (traduction à venir au printemps).
      Mais ce à quoi nous assistons est vraiment exceptionnel, vient juste après l’altercation télévisée entre Sandrine Rousseau et Christine Angot, les mises en cause de Denis Baupin (qui était à l’époque vice-président de l’Assemblée nationale). Le New-York Times ne s’y est pas trompé en soulignant l’importance de l’affaire Weinstein... spécifiquement pour la France. C’est que se trouve aujourd’hui une conjonction d’événements et de sentiments assez rares, et qui donc ouvre des perspectives totalement nouvelles. Le moment particulier dans lequel « la peur change de camp », et qui signale des basculements essentiels.

    • Je te met pas en cause @hlc moi aussi je met des articles avec lesquels je suis pas d’accord pour l’archivage. Je réagis à l’article pas à ton choix de le relayé. Et je suis d’accord pour les pbl causé par les réseaux sociaux mais pas de la manière dont en parle Olivier Ertzscheid et cet article (c’est à dire #androcentrisme et #mansplanning ) .

      edit @vanderling cet article est très interessant. Merci pour le signalement.

      « Woody Allen, Bill Cosby, Roman Polanski, DSK, Ghomeshi, Sklavounos, Trump, Cantat… J’en oublie, liste Mme Aurousseau. Le vent souffle fort, la tempête se préparait et la vague actuelle ne vient pas de nulle part. Si on l’envisage dans sa continuité, dans ces tempêtes successives, et qu’on regarde l’ouragan actuel… oui, peut-être qu’en le situant dans un temps continu, à l’échelle occidentale, peut-être qu’on assiste à un changement de culture. »

      Une chose est sûre : tous les spécialistes s’entendent pour dire que ce qui marquerait vraiment un changement, ce serait un électrochoc du système judiciaire — depuis les services de la police jusqu’à la loi, en passant par la façon de l’appliquer — afin « qu’il n’y ait plus une femme sur trois, chiffre Chantal Aurousseau, qu’il n’y ait plus un homme sur quatre qui vivent un événement traumatique lié à leur genre » et qu’il y ait beaucoup, beaucoup plus que trois agressions sexuelles déclarées sur 1000 qui se concluent par une condamnation.
      « MeToo » depuis longtemps MeToo existait déjà. La militante noire Tarana Burke l’a dit une première fois, et fortement, en 1996 — bien avant l’envol, en 2006, de Twitter. C’était un slogan, pas destiné à devenir viral mais à forger une solidarité, plus souvent une sororité, chez les victimes racisées et démunies qui se retrouvent dans des secteurs où organismes de soutien et centres d’aide ne se rendent pas.
      Selon la spécialiste des relations difficiles, des conflits et du harcèlement Chantal Aurousseau, #MoiAussi « est un choix de mots incroyablement juste », choix qui a pu contribuer à nourrir la déferlante. « Ce sont très souvent ces mots-là les premiers, dans l’histoire d’une femme qui témoigne. Juste un like, une émoticône, un “moi aussi” peuvent être déclencheurs. Un petit bout de texte de rien, s’il est bien reçu, peut ensuite ouvrir sur toute une nouvelle appropriation de son propre récit », indiquait Mme Aurousseau lors d’une présentation de l’étude « Témoigner de son agression sexuelle sur les réseaux sociaux : quelle expérience pour les femmes ? », dont elle est coauteure.

      « À force de dire “moi aus­si”, poursuit la professeure en entrevue, ça permet à ces femmes de se voir, de réaliser qu’elles veulent prendre une distance, puis de le faire ; et intérieurement, cette distance les protège de futurs événements. Même si elles ne sont pas arrivées à dire “non” au moment où ça se passait, sentir qu’en dedans d’elles il y a un “non” qui se dit, qui se dresse, fait qu’elles se sentent en sécurité. On a découvert que ce n’est jamais un témoignage, mais “un processus de témoignage” qui fait le travail et qui se construit à travers toutes sortes de gestes. »

      et j’en profite pour isolé un article linké dans ledevoir :
      3 agressions sexuelles déclarées sur 1 000 se soldent par une condamnation. Pourquoi ?

      C’est le seul crime violent dont le taux n’a pas diminué depuis 1999. À quelle étape du processus judiciaire le système laisse-t-il tomber les victimes ?
      http://lactualite.com/societe/2017/10/19/3-agressions-sexuelles-declarees-sur-1-000-se-soldent-par-une-condamnati

      L’article parle du taux très faible de condamnations 3 pour mille par rapport aux total des agressions déclarés par sondages et sur les 3 752 accusations qui passent au tribunal, la moitié (48 %) se soldent par un verdict de culpabilité. L’article parle du Canada, mais en France les condamnations sont souvent ridicules cf : http://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/arras-pas-de-calais-le-pere-violait-sa-petite-fille-et-la-mere-ne-disait-

    • L’extrait du texte d’Olivier Ertzscheid a été choisi par le journaliste du Monde et placé dans le contexte de son propre article. Je pense que le texte original veut dire autre chose, centré sur l’analyse des médias sociaux (qui est le projet général d’O.E.). Je ne le lis pas comme « donnant des conseils » (mansplanning), mais comme décrivant ce qu’il voit.
      On le trouve à :
      http://affordance.typepad.com//mon_weblog/2017/10/balancetonporc.html

    • Le texte de O.E est moins pourris que celui du e-monde.fr mais il prête quand même de drôles d’idées aux gens en particulier aux femmes.

      Mais accepter que ces débats commencent et se terminent sur Twitter ou sur Facebook serait une catastrophe. Comme serait une catastrophe de croire que ces plateformes protégeront la parole des victimes.

      Je voie pas qui accepte que ca commence et finisse sur twitter et justement les victimes ne donnent pas de noms puisqu’elles savent que la justice donnera raison aux agresseurs comme elle le fait habituellement.

      et il donne quant meme des conseils aux victimes (conseils que je trouve pas mauvais) : « Parce qu’un coup de dé jamais n’abolira le hasard. Et qu’un hashtag jamais, ne rendra la justice. »

    • @mad meg, ce serait bien que tu laisses les personnes de religion juive ou musulmane répondre.

      A l’étranger, c’est le hashtag #Metoo qui a été choisi. Je me demande pourquoi, c’est #balancetonporc en France.

      Il ne faut pas oublier non plus, que le porc a subit une opération chirurgicale l’empêchant d’être un agresseur sexuel.
      P.S. dénoncer, pas dénoncé.

    • Ne pas avoir de testicules comme tu dit du porc ne garantie pas que tu ne puisse pas etre un agresseur sexuel. Aussi pour les juives et les musulmanes j’espère que tu ne considere pas ces personnes comme un bloc qui déciderait d’une manière unique ! Moi j’ai parlé de la notion de pureté pas du choix que feront les femmes. Sinon tes remarques antisémites et ton deni classiste et maintenant ton utilisation des musulmanes sont vraiment détestable. Tu es un grand joueur de #bingo

      @unagi quelle horreures ces réactions sur Twitter. Je plein ce femmes qui se prennent ces torrents de merde masculinistes. Êt l’autre qui exige des noms histoire qu’en plus les victimes se prennent des condamnation pour diffamation ( vu que c’est parole contre parole pour prouver un viol ou une agression sexuelle alors que les Twitter seront des preuves à charge contre elles’

    • @unagi . Effectivement, je n’appartient à aucune de ces 2 religions, c’est pour cela que je pose la question.
      J’ai des amis/relations dans ces 2 religions, je leur poserai la question Lundi.
      Je pensais que sur SeenThis, j’aurai la réponse.

      Curieux @mad meg que tu trouve ma question antisémite , tu catalogues rapidement. Prend le temps de t’expliquer. Pourquoi oublies tu les musulmans.
      Sur twitter, cela aurait été sale . . . .
      Il est vrai que tu as l’exclusivité de la parole quel qu’en soit le moyen.

      As tu déjà participé à une conférence débat autrement que par ordinateur interposé ?
      Avec des des êtres humains ?

      L’utilisation de la tête de porc sur une synagogue, ou de mosquée se porte bien en France.
      C’est pour cela que je pose la question sur l’utilisation d’un hashtag avec le mot porc dedans.
      Ailleurs, c’est le hashtag #metoo .

      J’espère qu’Acrimed nous fera un article sur cette question.
      Le titre de l’Article repéré par Hervé Le Crosnier était : Du danger de (trop) s’indigner en ligne
      Je rajoute : Et de poser des question.

    • Ce que je trouve antisémite c’est pas cette question là c’est ta comparaison entre les femmes victimes d’agressions qui utilisent le tag #balancetonporc et les collabos de la gestapo et ton utilisation du mot #délation . cf : https://seenthis.net/messages/638677#message638741

      Pour ta question d’ici je trouve que c’est de l’instrumentalisation de ta part des femmes juives et musulmanes c’est donc une combo de paternalisme sexiste, islamophobe et antisémite si tu veux le détail. Et je pense ca parceque sur le sujet de ces dénonciations des violences sexuelles que subissent les femmes tu ne cesse de chercher le déni par tous les moyens. Tes premiers messages pour attenué l’aspect sexuel des agressions en effacant l’aspect genré es agressions pour en faire un problème de classes sociale. Ensuite ton utilisation de la gestapo pour qualifier les dénonciatrices et maintenant tes histoires de porcs. Comme quoi les musulmanes et les juives ne pourraient pas écrire le mot porc sur twitter pour dénoncer des agresseurs sexuels sur twitter. Et au passage tu glisse plein de culture du viol insidieuse dans tes messages. Par exemple ta parenthèse sur la castration des porcs qui fait comme si les agressions sexuelles étaient uniquement possibles de la part de mâles non castrés. Je laisse pas passé ce genre de choses.

    • Rendre visible ce qui a lieu, c’est plus que s’indigner, c’est chercher à rendre inacceptable.

      En arabe Halouf (animal impur) est une insulte usuelle. Et il faut ignorer beaucoup pour ne pas le savoir. Idem pour Hellüf en hébreu. Le cochon a pas de chance, omnivore comme nous, il est une figure repoussoir de l’animalité (considéré comme sale, cannibale, si les conditions s’y prêtent) qui est aussi la nôtre. Cochon, porc, schwein, pig, je sais pas si il y a une seule langue ou le terme cochon soit pas injurieux mais j’en serais étonné. Les humains (et parmi eux les hommes au premier chef) sont bien sûr les plus dangereux des animaux, mais lorsqu’ils sont qualifié d’un nom d’animal c’est en général pour pointer une humanité considérée comme défaillante, vue comme soumise à ses instincts les plus vils, indigne.
      Oui, @bce_106_6, cette façon de coller du gestapo et du camp de ci de là hors de propos est non seulement fautive (que peut-on croire décrire ou caractériser ainsi, à tors et à travers..) est insupportable. Et comme je ne suis pas un chien qui opine lorsqu’un morceau de sucre ou de viande lui est offert, les « cadeaux » n’y changent rien.

      Ces prises de parole sont libératrices et c’est ce qui compte. Faire mine de voire que cela ressemble à de la délation alors même que rares sont les noms cités (pas de preuve = procédure pour diffamation), c’est encore une fois tout mélanger.
      Plus qu’une dénonciation, terme effectivement ambigu, j’y vois une critique en acte, il y a un nous les femmes et pas un chacune son histoire, son traumatisme aussi, dire la violence subie est une modalité de combat.

      Une twiteuse disait 1/qu’elle craignait que cela ne change rien 2/puis raconte avoir vu un « frotteur » se prendre des coups de sac (sic) d’autres femmes que celle directement visée.
      https://twitter.com/Lili_etc/status/921123065429360642

      Donc, là le message est clair : si tu te hasarde à faire le porc, fait gaffe à tes miches. Ça me semble pas mal.

      Et puis depuis d’autres positions dominées que celle des femmes, on sait très bien ce que ça donne d’en dire en détail l’inacceptable (si bien naturalisé lorsqu’il est tu), de le contester, et d’agir en conséquence. Cela manque un peu partout, alors faut pas bouder. Je crois qu’on va entendre parler d’effets concrets dans l’espace public, au travail, et, pour une toute petite partie sans doute, dans les familles.

    • Pour répondre plus brièvement à @bce_106_6 : ta question est absurde, les juives et les musulmanes pratiquantes, plus que les autres, ne verront aucun inconvénient à traiter leurs agresseurs du nom de l’animal qui les répugne le plus !
      Ce sont plutôt les amoureuses des animaux qui pourraient hésiter...

    • Avant tout Dror, mes félicitations pour ta retenue et ta politesse.

      Pourquoi cette question ?
      Je me méfie de l’unanimité des MSM (Main Steam Média) et des MS Médias Sociaux, à propos du hashtag vengeur #balancetonporc .
      Il y avait unanimité à propos de #jesuischarlie dans un premier temps.
      Je cherche une explication.

      Je maintient ma question, et seules les femmes juives ou musulmanes ont la réponse, pas d’inquiétude, j’en fréquente.
      Par ailleurs, comme tu l’as deviné, je faisais une étude sur les insultes utilisées sur SeenThis.
      Ma collection de copies d’écran commence à être intéressante.
      Pour ce qui de coller du gestapo ce n’est pas moi qui m’arroge d’avoir la vérité et le monopole sur un sujet de ce blog.

      Il va y avoir des effets concrets dans l’espace public, au travail, et, pour une toute petite partie sans doute, dans les familles, tu as entièrement raison.
      Ce hashtag sera aussi utilisé par les harceleurs(es) (sous un pseudo féminin le plus souvent), sous couvert d’anonymat, tu t’en doutes.
      Rien de plus simple pour se débarrasser de ceux qu’on a dans le nez, un peu comme l’adjectif antisémite. C’est pas moi qui l’ai utilisé.

      On remarquera aussi, que depuis ce hashtag vengeur, le sujet du Harcèlement au travail, envers les femmes ou les hommes, mis sur la place publique par Elise Lucet a disparu des radars.

      Les femmes victimes d’actes insupportables, et pas seulement celles des milieux où s’exerce le pouvoir, méritent mieux que d’être des « balances »

    • Maintenant les victimes de violences sexuelles sont comparées à #jesuischarlie
      Sauf que ces femmes qui s’expriment parlent de violences qu’elles ont subit elles mêmes pas de la mort de quelques journalistes.
      Après les collabos des nazis voici aussi les « balances » c’est à dire celles qui parlent aux flics. On te viol et si tu parle aux flics tu es une sale « balance », les agresseurs sexuels devraient t’envoyer des fleurs tellement tu t’applique à défendre leurs interets. Mais rassure toi les femmes ne peuvent pas balancer aux flics car justement les flics ca les fait marré les violences sexuelles, et ce tag qui te rend tout colère c’est justement une solution trouvé par ces femmes pour se faire entendre malgrès l’étouffoir judiciaire/policier.
      Tu traite les femmes de charlie, en sous entendant que c’est du grégarisme de leur part, mais il y a plus de 600000 agressions sexuelles et viols par an (uniquement pour les personnes de plus de 18ans) et vu l’ampleur des violences sexuelles que les hommes infligent aux femmes c’est normal que ca fasse l’effet d’un raz de marée quant ca tombe. Tu choisi systhématiquement d’attaqué les femmes - bourgeoises-gestapistes-islamophobes-antisémite (en sous entendant qu’utilisé le mot porc pour agresseur sexuel serait une exclusion des musulmanes et juives de la part des victimes qui s’expriment) et maintenant Charlie et « balances ». J’ai hate de voire la suite c’est un vrai festival.
      Sinon pour ta collection d’insultes tu peu ajouter violophile parceque t’es un sacré gros violophile mec vu ton acharnement à faire culpabilisé les victimes de violences sexuelles qui l’ouvre par tous les moyens possibles et imaginables.

      @sinehebdo au sujet de l’aspect spéciste du tag Hypatie en parle ici ; http://hypathie.blogspot.fr/2017/10/balancetonharceleur-enfin-elles.html
      Et je suis d’accord avec elle pour déploré que « porc » ca invisibilise les agresseurs sexuels qui sont des hommes. Ca pose aussi la figure du monstre/inhumain et sur cette figure il y a une phrase dans la femme au couteau :

      "Le problème dans le fait de dépeindre les abuseurs comme étant des monstres 24h/24 c’est que quand une personne fait l’expérience de la violence dans sa propre vie, iel se met à penser “oh, mais il est tellement gentil la plupart du temps, il ne pourrait pas être un abuseur” ou “mais il n’est pas TOUJOURS horrible, il est génial d’habitude, alors il ne peut pas être un abuseur”, et iels font l’erreur de penser qu’iels ne doivent pas être vraiment en train d’être maltraité-es alors qu’en réalité, c’est le cas."

      http://lafemmeaucouteau.tumblr.com

    • Ce n’est pas la première fois qu’une « affaire » de harcèlement ou d’agression sexuels suscite un afflux de témoignages. Ce fut le cas en 2011 après l’interpellation de Dominique Strauss-Kahn

      Reste que l’accueil fait, ces derniers jours, aux appels à dénonciation a été pour le moins partagé. La démarche a été jugée « délatrice » par certains, dans la mesure où l’on encourage les femmes à citer nommément leur harceleur.

      on trouve des propos comme celui-ci :

      « Ces histoires de harcèlements réels ou supposés commencent à bien faire. (…) Cette ambiance de délation et d’ordre moral est vraiment malsaine. A part de réels problèmes de violences sur les femmes, celles-ci doivent apprendre à gérer leurs relations en société, à ne pas avoir d’attitude soumise, ambiguë, et savoir ce qu’elles souhaitent. »

      La « crispation » sur ce sujet du harcèlement et des agressions sexuels dont sont victimes les femmes et – parfois – les critiques de la dénonciation qu’elles en font

      renvoient au fait qu’il existe en France, depuis les années 2000, une rhétorique consistant à véhiculer l’idée que ces violences envers les femmes sont un trait culturel appartenant à certains groupes sociaux. Elles se trouvent donc rejetées dans « l’exotisme » d’une autre culture, et d’une autre catégorie sociale.

      Or, dans le cas du mouvement enclenché ces derniers jours, les témoignages de femmes, par leur nombre et leur diversité, montrent tout à la fois l’ampleur du problème du harcèlement sexuel et le fait que celui-ci concerne toute notre société, qu’il touche toutes les catégories socioprofessionnelles, y compris les plus privilégiées.

      « Montrer que le problème ne peut pas être renvoyé à “eux” mais qu’il existe aussi chez “nous” est un enjeu fondamental du féminisme », explique M. Fassin :

      « Il l’est depuis les années 1980 aux Etats-Unis, date à laquelle les féministes s’efforcent de faire reconnaître l’existence du “date rape”, le viol pendant un rendez-vous, et pas seulement par un inconnu. Et c’est l’enjeu d’une bataille très forte aujourd’hui en France. »

      Dès lors, le problème n’est plus de l’ordre de l’« étranger », il est « parmi nous ». C’est là que se met en place une forme de résistance, selon le sociologue. « Cela pousse à se demander si le harceleur est quelqu’un d’entre nous, et pourquoi on tolère cela. »
      « Trouver que les autres sont des barbares ne coûte rien »

      Mais la violence de certaines réactions est également à la mesure du changement en cours. « Cette résistance, c’est aussi une résistance au fait que les choses sont en train de bouger », analyse le sociologue.

      http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/10/18/balancetonporc-il-n-est-pas-surprenant-que-certains-hommes-protestent-vigour

    • Je suis convaincu qu’une bonne partie des risques que tu pointes, @bce_106_6 , ne sont que théoriques et que la triste réalité est que rien de tout cela ne se produira pour la bonne et simple raison que dans quelques jours, au mieux quelques semaines, tout le monde sera passé à autre chose et aura oublié tout ça, et les femmes retourneront à leurs harcèlements quotidiens. A mon avis, la vraie question est plutôt « comment faire pour que la campagne actuelle se pérénise dans le temps », mais les médias sociaux sont incompatibles avec le long terme.

      L’autre chose que je remarque dans tes commentaires est que, en soulevant toutes ces questions annexes, tu changes de sujet. Peut-être que c’est involontaire, mais en faisant ça on a l’impression que tu veux qu’on parle plus de la forme que du fond. Je te le dis d’autant plus franchement que je pense que ma petite remarque humoristique sur les cochons est du même acabit, et qu’elle n’avait peut-être pas sa place ici non plus. #BalanceTonHarceleur

  • Jane Fonda réagit à l’affaire Weinstein : « Ce n’est pas un cas unique, c’est très très répandu » - La Libre
    http://www.lalibre.be/actu/international/jane-fonda-reagit-a-l-affaire-weinstein-ce-n-est-pas-un-cas-unique-c-est-tre

    Ces agressions sexuelles se produisent partout, pas seulement à Hollywood et prolifèrent parce que le #pouvoir est dans les mains des hommes et que les femmes rechignent à en parler, de peur qu’on ne les croient pas, a répété l’actrice, qui fut l’une des principales figures contestataires des Etats-Unis des années 1960 et 1970.

    Jane Fonda a aussi évoqué les scandales sexuels qui ont visé l’acteur américain Bill Cosby, l’ex-président du Fonds monétaire international, le Français Dominique Strauss-Kahn, et le président américain Donald Trump. « Nous avons maintenant un président dont nous savons qu’il a fait la même chose », a-t-elle affirmé. Pendant la campagne présidentielle, une vidéo de Donald Trump avait fuité dans laquelle le magnat de l’immobilier se vantait de pouvoir attraper les femmes par le sexe parce qu’il est célèbre.

    #culture_du_viol #système

  • https://youtu.be/VbWFoAnaz6E

    Pour ceux qui découvrent ou feignent de découvrir le visage de l’Amérique après l’élection de Trump un petit rappel musical qui date de 1995

    http://quartierslibres.wordpress.com/2016/11/09/lofofora-nouveau-monde

    Everybody came here as free people
    Is only the African’s American men and women and child
    That came to the United States of America
    As slaves
    Sous le firmament éclatant d’une #bannière_étoilée s’évaporent les rêves des pionniers
    Epatés par tant de réussites de destins fantastiques
    Des mecs bénis des dieux pourtant pas plus malins qu’eux
    Sont montés si haut sans jamais faire appel aux génies aux malins
    Par prière lystiques ici c’est l’Amérique, la chimérique
    Celui qui a parlé sera châtié pour ne plus recommencer
    Pendu par la tête jusqu’à ce que mort s’en suive
    Ecartelé s’il récidive a la première tentative de la moindre initiative,
    Vous sera ôté le droit de voter pour élire en chœur
    Au suffrage universel un président plus con et plus cruel que le précédent,
    Déjà grand défenseur de la chaise électrique, hygiénique, économique
    Grand sauveur d’âmes égarées, de corps vautrés dans la luxure
    Tout juste bon à engendrer la pédophilie ;
    Merci Ronnie d’avoir interdit la fellation la sodomie
    USA est-ce que tu sais #USA combien je te hais
    USA tu me fais l’effet d’une pute asexuée
    Passé maître dans l’art et la manière de se comporter comme un flic planétaire
    Il s’agit d’un pays bâti à partir d’un génocide par des esclaves anéantis mas néanmoins lucides
    Qu’ils restent les premières victimes d’une dictature placide
    Mais quel est l’exemple à suivre dans cette parodie de démocratie ???
    On me dit : « le ku klux klan ? Mais voyons c’est du folklore
    Rien qu’une pittoresque partie du décor les nègres ont les aime bien
    Mais depuis qu’il n’y a plus d’indiens pour faire de l’exercice on en pend quelques uns
    Appeler ça du fascisme, la ce serait du vice la preuve : a la télé, y en a qui réussissent
    Bill Cosby, Eddy Murphy, Sammy d’Oncle Sam sont aussi les fils »
    Don’t worry be happy !!!
    Et le peuple noir brûle son dernier espoir dans le but d’écrire lui même son histoire
    Mais comment faire pour qu’il efface les coups et les traces
    Sans aucune certitude d’en voir un jour la fin
    Ce qui compte avant tout c’est d’avoir la bonne couleur ou t’es pile ou t’es face,
    Tout est question de race tu es le suspect n°1 su tu n’est pas des leurs
    USA est-ce que tu sais USA combien je te hais
    USA tu me fais l’effet d’une pute asexuée
    Paradis des cow-boys Shwarskof et Buffalo Bill
    Maboules mitrailleurs de poules éleveurs de pit bulls
    Toute l’intelligence Américaine tient dans un holster
    Pendant que l’un dégaine l’autre apprend à se taire
    Etat totalitaire détenteur de la vertu aux parties de jambes en l’air
    Préfère les jeux ou l’on tue si l’un tombe il s’agit surement d’un communiste fainéant
    Sur ça tombe on écrit : pas de place aux mendiants
    La dope ou le plomb reste le choix de l’expédiant
    Parce que la coke ou le crack c’est pas ça qui manque pourvu que tu banques
    Pendant qu’en Irak les tanks débusquent de leurs planques les ennemis de la coalition
    Association des amis de la nation performante, surpuissante
    La tempête à Bagdad en est la preuve flagrante
    America is the place love is dying
    America is the place where death is dreaming
    USA est-ce que tu sais USA combien je te hais
    USA tu me fais l’effet d’une pute asexuée.

    #lofofora

  • LA CAUSE DU PEUPLE : USA. Une Vidéo montrant Bill Clinton violant une gamine de 13 ans plonge la course présidentielle dans le chaos
    http://numidia-liberum.blogspot.com/2016/10/usa-une-video-montrant-bill-clinton.html

    Les services secrets israéliens sont en train de faire exploser l’élection présidentielle américaine, malgré la pluie de dollars déversée par Obama et les autres sur Israël. En effet, le renseignement israélien dispose d’une vidéo montrant l’ancien président Bill Clinton en train de violer une fillette-enfant de 13 ans. Jusqu’à maintenant, Hillary Clinton a pu garder secrète cette vidéo avec l’aide de la presse de propagande des grands médias, mais Donald Trump menace maintenant d’informer le public des crimes sexuels de Bill Clinton.
    Cet enregistrement vidéo de Bill Clinton violant cette gamine de 13 ans a été enregistrée par l’Institut israélien pour les opérations de renseignement et spéciaux (MOSSAD) grâce à sa filiale " Clothing Shop Network”, dont le principal animateur est celui qu’on appelait « l’homme mystère de l’argent international », Jeffrey Epstein, et qui est maintenant appelé "Le Milliardaire Pédophile qui pourrait faire tomber Donald Trump et Hillary Clinton".

    Agent du Mossad israélien Jeffrey Epstein
     Le réseau de boutiques "Clothing Shop Network”" du MOSSAD, a pris naissance au début des années 1980 par l’un des milliardaires les plus secrets d’Amérique, nommé Leslie Wexner, et dont le père (Harry Wexner s’appelait Hagan Wexelstein avant de changer de nom) a émigré aux États-Unis à la fin 1930 venant de l’Oblast autonome juif (ex-Union soviétique).
    Le nom "Clothing Shop Network” » lui-même, a été dérivé de Leslie Wexner étant l’un des plus grands vendeurs de vêtements d’Amérique qui possède les détaillants de mode américaines L Brands and Victoria’s Secret. 
    En 1982, Wexner recruta Jeffrey Epstein dans la " Clothing Shop Network " en lui fournissant environ 1 milliard $ pour établir une société financière privée nommée J. Epstein & Company et dont Wexner est le seul client connu publiquement.
    Cependant, le véritable but de J. Epstein & Company, était de permettre à Jeffrey Epstein de pénétrer et de fonctionner au sein des élites politiques de l’Amérique élites afin de les piéger, en leur permettant d’assouvir leur " fantasmes sexuels déviants », tout en enregistrant secrètement sur vidéo leurs ébats dans le« but de chantage » .

    Parmi "les victimes de chantage" d’Epstein, on trouve de nombreux membres des élites de l’Amérique de la Grande-Bretagne, mais sa plus grande prise reste, à ce jour, l’ancien président Bill Clinton. En effet, des journaux de bord des avions, publiés récemment, ont révélé que Bill Clinton a volé 26 fois sur le jet privé d’Epstein nommé « le Lolita express » vers une île isolée des Caraïbes appelée "terre de jouet de sexe" (sex toy land) en se débarrassant de ses agents protecteurs des services secrets. Dans l’avion d’Epstein se trouvait un lit où les invités avaient des activités sexuelles de groupe avec de jeunes filles. Les registres de vol montrent que l’ancien président s’est rendu à Brunei, en Norvège, en Russie, à Singapour, à Hong-Kong, au Japon, aux Açores, en Afrique, en Belgique, en Chine, à New York et en Belgique dans l’avion d’Epstein.

    Naturellement, Bill n’a pas remarqué que cet « antre du péché » a été câblé avec des caméras cachées enregistrant secrètement ses orgies avec des lolitas mineures.
    Une fois que Bill Clinton a eu, plusieurs fois, des relations sexuelles avec des filles-enfants, le "Clothing Shop Network" a informé Hillary Clinton qu’ils avaient les vidéos secrètement enregistrées prouvant ce qui précède, l’Hilarante a eu « l’idée géniale » d’orchestrer un complot visant à mettre en place Donald Trump comme un " homme de paille " pour être son adversaire (et comme les e-mails prouvent) dans une fausse course présidentielle. Elle a été aidée dans cette combine par les médias traditionnels de l’Amérique qui ont fourni au milliardaire constructeur New-Yorkais pour environ 3 milliards $ de publicité gratuite afin qu’il puisse devenir le candidat du Parti républicain à la présidence.
    Les emails d’Hillary Clinton prouvent ce complot, et, montrent qu’elle et ses complices ont conspiré pour mettre en place Donald Trump comme leur candidat "Joueur de flûte", avec certains d’entre eux suggérant que le sénateur Ted Cruz ou Dr. Ben Carson pourraient, de même, être mis en place comme « joueur de flûte » aussi.
    La raison du choix, par Hillary Clinton et ses complices, de Donald Trump pour être leur "homme de paille", leur "joueur de flûte ", vient du fait que Donald connaissait aussi Jeffrey Epstein. Mais, contrairement à Bill Clinton, au Prince Andrew, et d’autres qui ont eu des rapports sexuels avec des lolitas mineures sur "île des orgies", Donald n’a jamais commis ces graves crimes comme en témoigne le détective Mike Fisten, de la police de Miami. Ce policier a enquêté sur de nombreux crimes d’Epstein et a déclaré que "dans des centaines d’entretiens avec des centaines de témoins, personne n’a jamais indiqué ou identifié Trump comme étant impliqués dans aucune activité sexuelle avec des jeunes filles mineures ".
    Au contraire. Le détective Fisten se rappelle que, dans les années 2000, les membres du club privé de Trump à Palm Beach, Mar-a-Lago, se sont souvent plaints qu’Epstein y venait souvent accompagné par de très jeunes gamines, "une fille différente chaque semaine », et à chaque fois, il disait que c’était sa « sa nièce ».
    Avec Hillary Clinton et ses complices qui croyaient qu’ils avaient neutralisé Donald Trump par le simple fait qu’il connaissait Epstein. Cependant, leur conviction que l’« avalanche de scandales" entourant Trump causerait l’échec de sa campagne, ce milliardaire de la ville de New York, au contraire, a « défié toute logique normale » et il est en voie de gagner la présidence des États-Unis.
    Dans une tentative de la "dernière chance" de détruire Donald Trump, Hillary Clinton et ses complices ont payé un certain nombre de victimes de viol de Bill Clinton pour qu’elles changent leur version de l’histoire des viols clintoniens en disant que c’est Trump qui les avait violées, et dont les détails sont consignés dans un dépôt de la Cour fédérale des États-Unis faisant ces allégations absurdes.
    Avec Hillary Clinton ayant déjà fait ses preuves qu’elle est capable de tuer pour empêcher le public de connaître les crimes de son mari contre les filles-enfants, comme nous l’avons déjà indiqué dans notre article La CIA assassine l’époux de la procureure qui enquête sur les crimes sexuels de Bill Clinton, ce sera au MOSSAD de déterminer quel sera le prochain évènement dans ce jeu de massacre dangereux, déterminé par son agence de chantage "Clothing Shop Network", et si ces procédés de chantage et d’utilisation des attentats sous faux drapeau en Amérique et en Europe sont les meilleurs moyens d’assurer la survie d’Israël, malgré les milliards de dollars extorqués aux Américains et aux Européens. Il arrivera certainement un jour ou ces dindons de la farce en auront assez de raquer sous le chantage mafieux israélien.
    Article en anglais : 
    Video Showing Bill Clinton Rape Of 13-Year-Old Girl Plunges Presidential Race Into Chaos

    « L’ancien président Bill Clinton est un violeur » - affirme une de ses victimes, et Hillary le couvre !

    Lorsque Bill Cosby a été accusé de viol, sa carrière était terminée ; Lorsque Bill Clinton a été accusé de viol, il est devenu POTUS (Presidents of the United States) puis le plus grand camelot d’Hillary

    clinton-cosby
    Comme Bill Cosby, Bill Clinton a un dossier chargé de prédation sexuelle, de mauvais traitements, d’abus sexuels et de viols depuis longtemps, mais il pu s’en sortir grâce à l’Hillary du fameux et glorieux Emailgate !

    Il a suffi d’une déclaration audacieuse du comédien Hannibal Buress lors d’un concert à Londres pour renverser le géant américain Bill Cosby. Cosby est passé, en un jour et une nuit, de l’oncle préféré de l’Amérique à un violeur en série psychopathe... avec plus de 60 accusateurs à ce jour. [1]

    La vérité au sujet de Bill Clinton, c’est que sa liste de viols est probablement tout aussi longue. La raison pour laquelle tant de gens ne sont pas venus se plaindre tient au nombre de cadavres Clintoniens. Aucune femme ne veut finir morte pour avoir révélé une fornication non consensuelle d’un soir ... ou pire. Dans le cas du viol de Juanita Broaddrick, bien sûr, il a fallu à cette femme un courage herculéen pour qu’elle vienne témoigner.

    Mme Broaddrick a trainé avec elle cette expérience traumatisante durant des décennies et tout ce qu’elle a reçu de l’équipe Clinton ce sont des menaces implicites qui sont faites très, très subtilement. Seul un avocat très habile comme Mme Clinton peut émettre ce type de sous-entendus qu’une femme victime sexuellement va clairement comprendre.

    L’histoire de retour extrêmement important à la prédation sexuelle de Bill Clinton appartient à la championne auto proclamée des droits des femmes, Hillary Rodham Clinton.

    Cette image soigneusement sculptée de Mme Clinton, est une fiction complète. En fait, elle n’est même pas l’avocate de la femme qu’elle est dans sa propre sphère de vie, c’est le contraire qui est vrai : Mme Clinton est là pour terroriser toute femme qui ose accuser son mari d’agression sexuelle qu’il a effectivement commise.

    Soyons réalistes : il est très facile pour une femme – n’importe quelle femme - d’accuser faussement un homme politique puissant comme Bill Clinton. Toutefois, compte tenu des nombreux détails sordides qui sont sortis au cours du procès de Monica Lewinsky, il est très facile de croire que Bill Clinton est un prédateur sexuel de premier ordre. Et, ce Bill va mentir sur ses exploits jusqu’à ce qu’il soit pris en flagrant délit, à la fois au propre et au figuré.

    Tout au long de ces décennies de séries de crimes sexuels, Mme Clinton se tenait toujours aux côtés de Bill, et a « pris en charge » les femmes victimes de violence sexuelle. Elle en a pris soin comme le mafieux prend soin de sa victime dans un chantage. Alors quHillary tenait cyniquement le haut la bannière « pour la protection indispensable des femmes victimes de violence », elle les terrorisait , dans les faits, pour sauver Bill. Vous ne pouvez vraiment pas imaginer ce genre de choses.

    Le point important est que, pour un président , ou un gouverneur, ou un procureur général, se conduire de cette manière est tout à fait scandaleux et inacceptable ... quelle que soit la norme. Le Parti démocrate le sait bien, mais a choisi de faire l’impasse sur Clinton. Apparemment, ce parti ne se soucie pas de viol ou d’agression sexuelle .

    En fait, il y a maintenant un ensemble de preuves sur l’Internet qui auraient mis un homme de moindre importance, ou une femme, derrière les barreaux pour le reste de leur vie.

    Les deux liens suivants offrent la perspective unique et inestimable à ce sujet extrêmement sensible pour les Clinton.

    The Most Radioactive ‘SCANDAL Of The MILLENNIUM’

    The Jeffrey Epstein Affair Imperils Hillary Clinton’s Presidential Prospects

    La perspective même d’un violeur vivant à la Maison Blanche, qui exerce une influence considérable sur le bureau ovale, est très problématique et dangereuse même selon les normes Banana Republic d’Obama.

    L’essentiel ici est que le projet de loi est en grande difficulté. Ses accusateurs sont devenus enhardi comme jamais auparavant, et, comme, ils ont trouvé une grande unité de Cosby dans leur force de but. Et tout comme la situation difficile de Cosby, il y a probablement beaucoup plus d’attente pour sortir du placard, ce qui serait vraiment rendre la vie de la Clinton misérable ... surtout s’il y a des enfants illégitimes impliqués.

    Est-ce que Bill Clinton a un fils engendré avec une prostituée ?

    [1] “Bill Cosby charged with felony sexual assault”

    [2] BILL COSBY Saga : A Shakespearean Tragedy of Epic Proportions

    Linda Tripp révèle que Bill Clinton a eu des aventures avec « des milliers de femmes »
    Linda Tripp révèle que Bill Clinton a eu des aventures avec « des milliers de femmes » – dont un SECOND membre du personnel de la Maison-Blanche – et que la vie de Monica Lewinsky était en danger
    Source : Daily Mail, le 18/01/2016
    L’ancienne amie de Monica Lewinsky donne une interview radio exceptionnelle où elle dit qu’Hillary Clinton savait que son mari a eu de nombreuses aventures au cours de son mandat
    Selon Linda Tripp, qui a secrètement enregistré les appels téléphoniques de Lewinsky avant de les rendre publics, Bill Clinton a, lors de sa présidence, eu des liaisons amoureuses en série avec « des milliers de femmes »
    Elle affirme également qu’Hillary Clinton a essayé de détruire les femmes avec qui son époux la trompait et dit avoir tout mis sur la place publique pour protéger Monica Lewinsky du danger qu’elle courait
    Par J. TAYLOR RUSHING, journaliste politique étatsunien, pour DAILYMAIL.COM
    Publié le 18 janvier 2016
    La femme qui a dévoilé la liaison de Bill Clinton avec Monica Lewinsky, l’ex stagiaire de la Maison-Blanche, menant à la mise en accusation de celui-ci par la Chambre en 1998, a donné dimanche une interview radio dans laquelle elle critique sévèrement la conduite du couple Clinton pendant ses huit ans de présidence.
    Linda Tripp, l’ancienne confidente de Lewinsky qui a secrètement enregistré ses conversations téléphoniques et les a remises à un procureur fédéral, a déclaré que l’ancien président avait des aventures avec des « milliers » de femmes et que l’ancienne première dame était au courant.
    Tripp a également justifié ses révélations sur l’affaire Lewinsky-Clinton, affirmant les avoir faites pour sauver sa vie, car elle s’inquiétait à l’époque du danger auquel elle se trouvait exposée.

    Monica Lewinsky
    Tripp a donné dimanche une interview au journaliste de radio Aaron Klein. Dans l’interview, elle a affirmé que le président avait une liaison permanente avec un autre membre du personnel comme avec Lewinsky.

    L’ancienne stagiaire de la Maison-Blanche Monica Lewinsky, ici à New York en Octobre, a eu une brève liaison avec le président Bill Clinton dans les années 1990 qui a finalement conduit à la destitution de Clinton par la Chambre
    Voir la vidéo

    Linda Tripp, montrée ici à droite dans une photo non datée, a accablé la famille Clinton dans une interview à la radio dimanche

    Linda Tripp
    L’ancienne première dame non seulement connaissait la mauvaise conduite de son mari, mais « elle s’est donné comme mission personnelle de divulguer l’information et de détruire les femmes avec lesquelles il badinait, » dit Tripp.
    Clinton se prétend défenseuse universelle des droits des femmes dans le monde, pourtant quand je vois toutes les femmes qu’elle a détruites pendant toutes ces années pour assurer sa survie politique, je suis écœurée, dit-elle.
    Interrogée par Klein, Tripp a dit qu’elle a donné des cassettes de ses conversations avec Lewinsky à l’avocat indépendant Kenneth Starr parce que Lewinsky menaçait Clinton de dévoiler l’affaire, mettant ainsi sa vie et celle de Tripp en danger.
    « Je dis aujourd’hui et je continuerai à dire que je pense que Monica Lewinsky est encore vivante aujourd’hui grâce à mes choix et à ce que j’ai fait, » a affirmé Tripp à Klein.
    « Cela peut paraître mélodramatique à vos auditeurs, mais j’affirme que, d’après moi, je crois qu’elle et moi à l’époque étions en danger, parce que rien ne doit se mettre en travers de ces gens qui pourrait les empêcher d’atteindre leurs objectifs politiques. »
    « Si cela n’avait pas été rendu public tout de suite… Nous aurions très bien pu être victimes d’un accident. C’est une situation qu’on ne peut comprendre que si on a vécu ce que j’ai vécu. »
    Tripp avait un emploi non sensible dans l’administration Clinton pendant environ un an et demi. Son bureau se trouvait au début à l’extérieur du bureau ovale, puis plus tard près du bureau de la première dame au second étage.
    Outre Lewinsky, Tripp a dit que Clinton avait une autre affaire pendant sa présidence – une affirmation qu’elle avait déjà faite durant ses dépositions dans le cadre de l’affaire Lewinsky, mais qui n’a pas été rendue publique. Elle n’a pas voulu révéler l’identité de la femme.
    Tripp n’hésitait pas à critiquer Clinton pour son inconduite sexuelle – elle a continué de le faire, autant pour le président que pour la première dame, pour différents scandales pendant la durée du mandat.
    Elle a affirmé à Klein qu’elle a vécu « des années de crainte avec ce qu’elle a vu à la Maison-Blanche des Clinton, particulièrement Hillary, avec des scandales divers, qu’il s’agisse du Filegate, Travelgate, Whitewater, Vince Foster. »
    Voir la vidéo
     « Tous les scandales précédents ont été totalement oubliés par les Américains du fait de la manière dont ils ont tous été présentés au public. »

    • “Je préfèrerais ne pas avoir à voter pour elle, bien qu’elle soit une amie que je respecte. Une personne de 70 ans, avec plein de casseroles, une ambition débridée, cupide, qui ne changera pas, avec un mari qui baise toujours des bimbos à la maison (selon le New York Post)” [Colin Powell, 26/07/2014].Voilà qui résume tout !

  • #Californie. La #prescription pour #viols supprimée après l’#affaire_Cosby

    En réaction à l’affaire Bill Cosby, le gouverneur de Californie a ratifié hier une loi supprimant la prescription pour les #crimes_sexuels. Les victimes ont désormais la possibilité d’engager des poursuites sans limite de temps. Auparavant, la prescription était de dix ans.

    http://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/californie-la-prescription-pour-viols-supprimee-apres-l-affaire-cosby-4
    #USA #Etats-Unis

    • Ronan Farrow: My Father, Woody Allen, and the Danger of Questions Unasked
      Hollywood Reporter | May 11, 2016
      https://www.yahoo.com/celebrity/father-woody-allen-danger-questions-unasked-guest-column-100415073.html

      “They’re accusations. They’re not in the headlines. There’s no obligation to mention them.” These were the objections from a producer at my network. It was September 2014 and I was preparing to interview a respected journalist about his new biography of Bill Cosby. The book omitted allegations of rape and sexual abuse against the entertainer, and I intended to focus on that omission. That producer was one of several industry veterans to warn me against it. At the time, there was little more than a stalled lawsuit and several women with stories, all publicly discredited by Cosby’s PR team. There was no criminal conviction. It was old news. It wasn’t news.

      So we compromised: I would raise the allegations, but only in a single question late in the interview. And I called the author, reporter to reporter, to let him know what was coming. He seemed startled when I brought it up. I was the first to ask about it, he said. He paused for a long time, then asked if it was really necessary. On air, he said he’d looked into the allegations and they didn’t check out.

      Today, the number of accusers has risen to 60. The author has apologized. And reporters covering Cosby have been forced to examine decades of omissions, of questions unasked, stories untold. I am one of those reporters - I’m ashamed of that interview.

    • #Cannes Susan Sarandon : « Je n’ai rien de bien à dire sur Woody Allen »
      Publié le 15/05/16
      http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/22754-cannes-allen-sarandon-cine-susan-sarandon-woody-allen.htm

      « Je n’ai rien de bien à dire sur Woody Allen, donc je ne pense pas que nous devions aller sur ce terrain », a déclaré l’actrice américaine Susan Sarandon ce dimanche à Cannes, lors d’une table ronde consacrée à la place des femmes dans l’industrie du cinéma.

      Elle était interrogée à propos d’une remarque de Woody Allen qui avait déclaré, au début du festival, qu’il n’avait pas suffisamment de matière pour un film où une femme tomberait amoureuse d’un homme plus jeune qu’elle.

  • Aftermath d’Andrea Dworkin
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2015/09/01/aftermath-dandrea-dworkin

    Un théâtre anglophone pour le Sud-Ouest de Montréal

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    AFTERMATH d’Andrea Dworkin :

    Le « message jeté à la mer » posthume d’une icône du féminisme en première mondiale à Montréal

    Montréal, le 24 août 2015 – La compagnie Waterworks, troupe de théâtre du Sud-Ouest de Montréal, présentera la première mondiale de la pièce « Aftermath » d’Andrea Dworkin (éditée pour la scène par Adam Thorburn), du 17 au 27 septembre, au Centre culturel Georges-Vanier de la Petite-Bourgogne. Cette production met en vedette l’actrice montréalaise Helena Levitt, et est mise en scène par Tracey Houston et Rob Langford.

    En 1999, l’écrivaine et militante féministe Andrea Dworkin fut droguée et violée dans sa chambre d’hôtel à Paris. L’année suivante, elle décida de déclarer publiquement cette agression. En réponse, elle ne rencontra que de l’incrédulité. Le refrain, si connu des personnes ayant survécu au viol, retentit des alliés de même que de ses ennemis : avait-elle perdu la tête ? Pourquoi avait-elle pris tant de temps pour en parler ? Si elle ne s’en rappelait pas, comment savoir que l’événement avait réellement eu lieu ? Était-ce un coup publicitaire désespéré d’une personnalité publique dépassée ? Au cours de ses dernières années, son profil public ne s’est jamais remis de ce contrecoup.

    Mais dans les premières semaines après cette agression, bien avant qu’elle ne se confie publiquement, Dworkin s’est vidé le coeur dans une nouvelle. Un dialogue entre le désespoir et la volonté de survivre, cette nouvelle est restée sur son ordinateur sans être vue, méconnue même de ses amis les plus proches, pour être enfin découverte après sa mort six ans plus tard.

    Cette nouvelle est devenue « Aftermath ». Dans son récit, Dworkin examine les contours de l’espace vide que la drogue a laissé dans sa mémoire, là où le viol aurait dû être, et se demande si sa rébellion au long des décennies contre les restrictions de la condition féminine a été en vain. « Aftermath » est non seulement le témoignage d’un crime, mais un portrait de la lutte interne d’une révolutionnaire contre le doute de soi et l’isolement.

    Andrea Dworkin est décédée il y a 10 ans cette année. Cet anniversaire coïncide avec une année d’attention médiatique sans précédent portée à l’épidémie de violence sexuelle. Les manchettes quotidiennes justifient les prophétiques appels à l’action qu’avait lancés Dworkin au cours des années 70, 80 et 90. Des révélations comme celles entourant Bill Cosby et Jian Ghomeshi ont amorcé un débat au sujet du refus de la société à croire ce que les femmes disent de leur propre expérience.

    Il est difficile de ne pas sentir que ce contrecoup n’aurait pas eu lieu si Dworkin avait parlé de nos jours.

    « Aftermath », percutant dans son intimité et sa candeur, fait contraste à la réputation publique de Dworkin comme être sans compromis, intrépide, prophétique. Le conjoint de Dworkin, l’auteur et militant John Stoltenberg (Refuser d’être un homme, éditions Syllepse, Paris) dit avoir trouvé cette nouvelle « fulgurante dans son intimité, féroce et irrévérencieuse, d’une intelligence grinçante, et émotionnellement à vif ». Nommé exécuteur testamentaire de l’oeuvre de Dworkin, Stoltenberg a découvert le texte sur le disque dur de l’ordinateur de Dworkin, en triant ses écrits après sa mort. « Elle l’avait écrite comme une note de suicide… cela n’a pas été le cas. Mais en choisissant ce format, elle a trouvé et libéré un langage qui donnait expression à l’expérience d’avoir survécu à l’intoxication délibérée et au viol comme aucune autre écrivaine connue ne l’a fait. »

    Stoltenberg continue : « De toute évidence, elle a écrit ce texte pour elle-même afin de déterrer et d’exorciser sa douleur… Je ne savais vraiment pas si elle avait voulu en faire part au monde. Un jour, lorsque je relisais ce texte, un aspect de la rédaction m’a frappé : la voix du texte était celle d’un monodrame, une pièce de théâtre éloquente en solo. »

    Stoltenberg a sollicité la collaboration d’Adam Thorburn (Stuyvesant Town : This is Your Home, November Spawned a Monster) qui a traité le manuscrit pour en faire cette pièce saisissante et percutante. Thorburn n’est pas étranger à l’oeuvre de Dworkin. Du vivant de celle-ci, Thorburn a mis en scène une pièce de style documentaire, « Freed Speech », basée sur les audiences publiques concernant la pornographie et les droits civils tenues à Minneapolis dans les années 80, une initiative de Dworkin et de la juriste réputée Catharine A. MacKinnon, pionnière de la loi sur le harcèlement sexuel. « Freed Speech » dramatisait les mots de Dworkin ainsi que les témoignages de MacKinnon et des survivantes de la pornographie.

    Conscient de l’approbation et du soutien de Dworkin pour le traitement de Thorburn de « Freed Speech », Stoltenberg lui a confié le défi de condenser cette nouvelle de 24 000 mots, sans en changer les mots ou la structure. Rob Langford et Tracey Houston, les fondateurs de la compagnie Waterworks de Montréal (Palace of the End, Gidion’s Knot, Glory Dazed), une troupe dédiée à mettre en scène les meilleures oeuvres rédigées par des femmes dramaturges contemporaines, ont pris connaissance d’« Aftermath » pour la première fois l’année dernière à partir du fil Twitter de Stoltenberg, alors qu’il venait d’orchestrer avec Thorburn une lecture publique du texte à New York, avec l’actrice Maria Silverman.

    Langford a contacté Stoltenberg et lui a proposé d’exécuter pour la première fois une mise en scène complète d’« Aftermath » ici à Montréal. « Je suis un grand admirateur des écrits de Dworkin et de John », dit Langford. « Mais en attendant l’occasion de lire le manuscrit, Tracey et moi nous nous demandions, ‘Mais est-ce que ça donnera du vrai théâtre ?’ Nous avons été convaincus dès la première page. »

    Dans la pièce, Dworkin décrit son texte comme un message jeté à la mer. « C’est son manifeste pour la survie, » ajoute Houston. « Elle a débuté avec l’intention d’écrire ses derniers mots, et puis ensuite, je crois que son instinct d’écrivain a pris le dessus. Elle a réalisé que si ce message devait devenir son testament, elle allait s’assurer que tout le monde sache exactement ce qu’elle vivait. »

    L’actrice montréalaise de la scène et de la télévision Helena Levitt (Pool [No Water], Being Human), relève le défi considérable de devenir l’alter ego d’Andrea Dworkin sur scène, un rôle qui requiert non seulement des répétitions, mais aussi de la recherche et un sens aigu de sa responsabilité.

    « Je lisais les mots les plus privés et intimes d’une vraie personne et non d’un personnage. Je n’ai jamais été dans une telle situation auparavant où j’avais accès directement à autant d’information concernant un personnage que j’allais incarner, » a commenté Levitt. « J’ai eu accès non seulement aux mots d’« Aftermath » mais aussi aux livres qu’Andrea avait écrits et à tout que les gens avaient dit et écrit à son sujet. Je me sens comblée en tant qu’actrice d’avoir cet aperçu de ce qui l’a rendue si incroyablement brave et vulnérable… Le défi maintenant est d’être aussi authentique que je puisse l’être. »

    #viol #culture_du_viol #deni #feminisme #theatre

  • 7月27日のツイート
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