person:denis sassou nguesso

  • Bataille de communiqués entre l’Elysée et Alexandre Benalla à propos de son mystérieux voyage au Tchad
    https://www.latribune.fr/economie/france/bataille-de-communiques-entre-l-elysee-et-alexandre-benalla-a-propos-de-so

    Est-ce le début d’une nouvelle affaire Benalla, du nom de l’ancien conseiller-garde du corps d’Emmanuel Macron ? En pleine crise des Gilets Jaunes, le président de la République se serait en tout cas bien passé de cette nouvelle polémique venant de son ancien « protégé » qui s’est rendu au Tchad quelques semaines avant le chef de l’Etat.

    Selon le journal Le Monde de lundi, qui cite des sources concordantes, Alexandre Benalla s’est rendu début décembre au Tchad pour un court séjour à N’Djamena. Il était accompagné « d’une demi-douzaine de personnes, par avion privé, réglant les frais par carte bleue », selon l’une de ces sources.

    Le quotidien ajoute qu’Emmanuel Macron, qui s’est pour sa part rendu au Tchad le 22 décembre, et le président tchadien Idriss Déby ont parlé ensemble de cette visite.

    « Quelles que soient les démarches qu’entreprend M. Benalla, il n’est pas un émissaire officiel ou officieux de la présidence de la République. S’il se présentait comme tel, il est dans le faux », a déclaré l’Elysée à l’AFP. "Nous n’avons jamais d’intermédiaires dans les relations que nous entretenons avec les chefs d’État africains. Si le président de la République donne un mandat, c’est soit à son ministre des Affaires étrangères, soit à sa cellule diplomatique", a expliqué l’entourage d’Emmanuel Macron.

    Si aucune démarche spécifique n’a été entreprise par l’Élysée pour vérifier la véracité de ce voyage en Afrique, « il y a déjà une enquête interne (ouverte lors de l’affaire de la Contrescarpe, ndlr) qui pourrait vérifier que M. Benalla n’aurait pas eu des démarches de ce type-là, c’est-à-dire démarchage commercial, avant son départ de l’Élysée », a rappelé dimanche la présidence de la République.

    Alexandre Benalla a lui démenti s’être présenté comme un émissaire de la présidence et juge « surréaliste » de le suggérer « et la réaction de l’Elysée », a déclaré son entourage à l’AFP. Son avocate Jacqueline Laffont s’en prend particulièrement au journal Le Monde, estimant qu’il a eu des « propos tendancieux (...) insinuant faussement qu’il se serait indûment prévalu lors d’un déplacement au Tchad d’une mission confiée par la Présidence de la République ».

    L’entourage d’Alexandre Benalla explique lui que l’ex-chargé de mission était « au Tchad avec une délégation économique de six personnes étrangères qui vont faire 250 millions d’euros d’investissements ». « Ça n’a rien à voir avec Emmanuel Macron, rien à voir avec l’Élysée, rien à voir avec la présidence de la République ». Il a d’ailleurs rencontré « Idriss Deby lui même, durant deux heures, contrairement à ce qui a été écrit » dans la presse, poursuit cette source. « Alexandre Djouri n’a rien à voir avec ça. Il ne connaît pas ces personnes », souligne-t-elle.

    Selon plusieurs médias, l’ex-chef de cabinet adjoint du président a par ailleurs rencontré à l’automne, à Londres, l’homme d’affaires Alexandre Djouhri, un familier des réseaux de la droite française, sous le coup d’une procédure d’extradition à la demande des juges d’instruction parisiens qui enquêtent sur le financement libyen présumé de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.

    En octobre, Alexandre Benalla avait toutefois « totalement démenti cette affirmation dénuée de tout fondement » avant de reconnaître l’avoir rencontré, selon Mediapart.

    Alexandre Benalla a été limogé de l’Élysée en juillet et mis en examen pour « violences volontaires » et mis en cause pour avoir outrepassé ses fonctions en participant à une interpellations musclée en marge des manifestations du 1er mai à Paris. Il estime que « le traitement médiatique » dont il est l’objet depuis est « injuste », selon son entourage.

    • Il estime que « le traitement médiatique » dont il est l’objet depuis est « injuste », selon son entourage.

      Non, mais c’est vrai, quoi ! Pourquoi il n’y aurait que les hauts fonctionnaires qui auraient le droit d’utiliser leurs carnet d’adresses ?

      Ah oui, c’est vrai ! Pour eux, il y a la Commission de déontologie de la fonction publique.

      Sinon, chacun sait bien que faire des affaires en Afrique, il n’y a rien de plus transparent.

    • Alexandre Benalla voyage avec un passeport diplomatique
      https://www.mediapart.fr/journal/international/271218/alexandre-benalla-voyage-avec-un-passeport-diplomatique

      Alors que l’Élysée a assuré ces derniers jours qu’il n’était pas « un émissaire officiel ou officieux » de la République, Alexandre Benalla voyage depuis plusieurs mois avec un passeport diplomatique, selon des informations obtenues par Mediapart. Le précieux document, utilisé ces dernières semaines pour entrer dans différents pays africains ainsi qu’en Israël, et qui porte la référence 17CD09254, a été délivré le 24 mai 2018.

    • Passeports diplomatiques de Benalla : opposition et majorité demandent des comptes à l’Elysée
      https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/12/28/passeports-de-benalla-opposition-et-majorite-demandent-des-comptes-a-l-elyse

      Le nouveau chapitre dans « l’affaire Benalla » irrite jusque dans la majorité, où la députée LRM Cendra Motin parle de « faute des services de l’Elysée ».

      Ni les mises au point de l’Elysée ni le communiqué du Quai d’Orsay ne semblent avoir convaincu. A droite comme à gauche et dans la majorité, on entendait ouvrir, vendredi 28 décembre, un nouveau chapitre dans l’affaire Benalla.
      Selon nos informations et celles de Mediapart, M. Benalla, malgré sa mise à pied liée aux violences du 1er mai, continue de voyager avec un passeport diplomatique émis le 24 mai. C’est en effet avec un tel document qu’il a voyagé dans certains pays d’Afrique, en tant que « consultant » (comme il définit aujourd’hui ses nouvelles fonctions) en novembre et en décembre.

      Il avait pourtant affirmé, sous serment devant la commission d’enquête du Sénat en septembre, avoir laissé ce document dans son bureau de l’Elysée. Le Quai d’Orsay a, par ailleurs, expliqué dans un communiqué que les documents lui avaient été officiellement réclamés le 26 juillet, soit après son licenciement.

      Mais l’opposition exige désormais plus d’explications, suggérant le maintien de liens opaques entre la présidence et l’encombrant Alexandra Benalla. « On est très interrogatifs sur le scénario qui est présenté publiquement aujourd’hui, c’est-à-dire ce conflit qui subitement opposerait M. Benalla à M. Macron », a déclaré vendredi sur RTL Gilles Platret, porte-parole des Républicains. « La justice doit se saisir de cette nouvelle affaire », a-t-il insisté. « C’est au président de dire la vérité sur cette affaire, c’est très grave. Il y a mensonge et dissimulation », a renchéri sur LCI Laurence Sailliet, autre porte-parole des Républicains.

    • Passeport diplomatique de Benalla : le Quai d’Orsay envisage des poursuites
      https://www.latribune.fr/economie/france/bataille-de-communiques-entre-l-elysee-et-alexandre-benalla-a-propos-de-so


      Audition d’Alexandre Benalla devant la commission du Sénat
      Crédits : CHARLES PLATIAU_

      […]
      La Quai d’Orsay envisage des poursuites
      Le ministère des Affaires étrangères a annoncé avoir a demandé à Alexandre Benalla « par lettre recommandée du 26 juillet 2018, de restituer les deux passeports diplomatiques en sa possession », émis les 20 septembre 2017 et 24 mai 2018. Il s’était en outre engagé le 23 mai 2018 à restituer ces documents à la fin des fonctions qui en justifiaient l’attribution, ajoute le ministère dans son communiqué.

      « Toute utilisation depuis lors de ces passeports aurait été faite en dépit des engagements pris par l’intéressé », poursuit le ministère, précisant qu’" à la vue des informations de presse tendant à indiquer que M. Benalla aurait continué à utiliser ces documents, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères examine les suites à donner, y compris judiciaires ".

      Dans son courrier, Patrick Strzoda ajoute que «  s’agissant de vos activités personnelles actuelles, nous vous demandons de veiller qu’elles soient conduites dans le strict respect des obligations de secret et des devoirs déontologiques liés à l’exercice de vos fonctions passées au sein du cabinet  ». Il signifie en outre à Alexandre Benalla l’interdiction de se «  prévaloir d’une quelconque recommandation ou appui tacite de la présidence  ».

    • Passeports diplomatiques de Benalla : l’Elysée pas informé de leur utilisation, renvoie sur le Quai d’Orsay | Public Senat
      https://www.publicsenat.fr/article/politique/passeports-diplomatiques-de-benalla-l-elysee-pas-informe-de-leur-utilisa

      L’Elysée « ne dispose d’aucune information » des services de l’Etat sur l’utilisation par Alexandre Benalla de passeports diplomatiques obtenus pour ses fonctions à la présidence, et avait demandé au Quai d’Orsay d’en obtenir la restitution dès son licenciement, a annoncé vendredi l’Elysée.

      […] Le Quai d’Orsay avait déjà annoncé jeudi avoir réclamé plusieurs fois à Alexandre Benalla qu’il restitue ces documents. Le ministre des Affaires étrangères a décidé vendredi de saisir le procureur de la République.

    • Jean Garel, sur FB

      28/12/18 14 ;44
      https://www.facebook.com/jean.gatel.3/posts/2219604798294311

      Quelques explications : un passeport diplomatique permet de passer toutes les douanes du monde dans des conditions très faciles Pas de contrôle pas d’attente. Il est toutefois tamponné dans tous les pays traversés.

      J’en ai eu un quand j’étais secrétaire d’état à La Défense Je me suis rendu au Liban au Tchad !!! À Djibouti pour des déplacements auprès des militaires français. Aucun des membres de mon cabinet n’en avait. Secrétaire d’état à l’économie sociale je n’en avais pas. Vice président de la commission de La Défense et député je n’en avais pas.

      C’est dire que c’est rare et réservé aux plus hautes autorités de l’Etat. Que Benalla en ait eu un est déjà renversant. Qu’il ait pu le garder est stupéfiant. Il est bien évident que le Drian le savait ainsi que l’Elysee. Donc Benalla est couvert.

      Mon hypothèse est qu’il sait des choses peu ragoûtantes sur Macron lui même et qu’il joue donnant donnant. Tu me laisses faire mes affaires mafieuses et en contrepartie je ne dis rien. Cela veut dire que autour de Jupiter gravitent des réseaux maffieux graves et couverts par le président et au moins 3 de ses ministres intérieur défense affaires étrangères.

      Heureusement que Mediapart existe ! Mais il ne se passera rien !!!

      28/12/18 19:00
      https://www.facebook.com/jean.gatel.3/posts/2219720271616097

      Je regarde les pseudos experts sur la 5. Le nombre de conneries et de mensonges proférés avec assurance par ces gens est hallucinant. Sur l’attribution des passeports diplomatiques ce qu’ils disent est ahurissant !

      Enfin cerise sur le gâteau un détenteur d’un passeport diplomatique arrive au Tchad et l’ambassadeur n’aurait pas averti le ministère des affaires étrangères qui aurait appris cette visite par la presse.

      2 hypothèses : ou l’état français est devenu un gigantesque bordel fait d’incapables ou on amuse la galerie. C’est évident que l’ambassadeur de France au Tchad était informé. Où il est incompétent ou il est complice !

      (note : j’ai introduit les paragraphes, les 2 posts sont chacun en un seul bloc)

    • Quand Benalla affirmait sous serment avoir rendu ses passeports diplomatiques à l’Elysée - YouTube
      https://www.youtube.com/watch?v=-m23BwgHniU

      Alors que Mediapart a révélé qu’Alexandre Benalla voyageait depuis plusieurs mois avec un passeport diplomatique, retour sur l’audition de l’ex-conseiller devant le Sénat. Il y assurait que ses deux passeports diplomatiques avaient été laissés dans son bureau à l’Elysée.

      Comme on peut le constater aisément, le titre de la vidéo est parfaitement faux. A. Benalla, devant la commission du Sénat le 19 septembre, dit :

      Et…est-ce qu’ils ont été rendus ? Ils sont au bureau que j’occupais à l’Élysée, donc je pense que l’Élysée a dû s’en occuper, mais en tous cas, ils y étaient.

      C’est ce que dit d’ailleurs la présentation de la vidéo. Et donc, factuellement, il n’a pas menti : il est juste passé les reprendre quand il a constaté (en revenant dans son bureau ?) que « l’Élysée » ne s’en n’était pas « occupé ».

      Ce garçon est très fort en #restriction_mentale !

      Restriction mentale — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Restriction_mentale

      La restriction mentale au sens large utilise tergiversations et ambiguïtés pour laisser croire à une contre-vérité sans qu’on la dise expressément.

      (note : l’exemple cité juste après dans l’article WP et mis dans la bouche de mon saint patron est assez comique…)

    • Les dessous des voyages d’Alexandre Benalla en Israël et en Afrique
      https://www.europe1.fr/politique/les-dessous-des-voyages-dalexandre-benalla-en-israel-et-en-afrique-3829448

      Philippe Hababou Solomon, employeur d’Alexandre Benalla à l’occasion d’une série de déplacements pour des activités de consulting, assure notamment que le ministère des Affaires étrangères a été informé à chaque fois que l’ancien garde du corps d’Emmanuel Macron a utilisé ses passeports diplomatiques.

      Le parquet de Paris a ouvert samedi une enquête préliminaire pour « abus de confiance » visant Alexandre Benalla, soupçonné d’avoir utilisé deux passeports diplomatiques après avoir quitté son poste à l’Élysée suite à l’affaire du 1er-Mai.

      L’ancien garde du corps a effectué ces derniers mois une série de voyages sur le continent africain, et notamment au Tchad, où il a pu rencontrer le président Idriss Déby, quelques jours seulement avant la visite d’Emmanuel Macron. Interrogé par L’Express, Philippe Hababou Solomon, l’homme qui a accompagné Alexandre Benalla au cours de ces différent déplacements, lève le voile sur les coulisses des allées et venues de l’ancien chargée de mission de l’Elysée.

      Un travail d’"assistant". Présenté par l’hebdomadaire comme « un vieux routier des sentiers africains », proche notamment des ex-présidents de Centrafrique François Bozizé et d’Afrique du sud Jacob Zuma, Philippe Hababou Solomon, 63 ans, explique avoir été présenté à l’ancien protégé d’Emmanuel Macron par « un ami commun ». Depuis son limogeage, Alexandre Benalla chercherait en effet à se reconvertir dans le consulting. « Je n’avais pas besoin de lui pour m’ouvrir des portes, mais plutôt d’un ‘assistant’ à qui je pouvais déléguer le suivi des affaires en cours, notamment dans un certain nombre de pays », explique cet homme d’affaire franco-israélien.

      Deux tournées et des vacances aux Bahamas. Ensemble, les deux hommes auraient effectué deux tournées, à l’automne. La première, mi-novembre, en Turquie et en Israël, en compagnie d’une délégation indonésienne, pour parler cybersecurité. Et la seconde, début décembre, cette fois avec une délégation turque, sur le continent africain, au Cameroun, au Congo et au Tchad. « À N’Djamena, nous avons rencontré le président Idriss Déby et son frère, qui gère les approvisionnements en équipement militaire. L’objet des discussions, c’était le textile, les uniformes, l’électricité », détaille Philippe Hababou Solomon. Concernant ce dernier séjour, l’entourage d’Alexandre Benalla a pourtant nié, également dans les colonnes de L’Express, toute rencontre avec le frère du président tchadien.

      L’équipée s’est achevée par trois jours de détente aux Bahamas : « Un séjour de tourisme en somme ; Alexandre a fait du jet-ski. Mais là, c’est moi qui ai payé la facture ».

      « Personne n’a protesté quand Alexandre a utilisé ses passeports diplomatiques ». Concernant l’utilisation de passeports diplomatiques pendant ces différents déplacements, Philippe Hababou Solomon, lui-même détenteur d’un passeport diplomatique de Guinée-Bissau, précise : « À chaque fois qu’un passeport de ce type passe une frontière, les autorités sont informées. L’information remonte directement au Quai d’Orsay. Personne n’a protesté quand Alexandre a utilisé ses passeports diplomatiques, en Israël comme en Afrique... »

      titulaire d’un #passeport_diplomatique_de_Guinée-Bissau !…

      Ceci dit, sur la connaissance de l’utilisation du passeport diplomatique français, Ph. HS ne dit rien d’autre que ce que dit Jean Garel, ci-dessus.

    • Entretien (fort intéressant…) avec Philippe Hababou Solomon, l’intermédiaire qui a introduit Alexandre Benalla en Afrique – JeuneAfrique.com
      https://www.jeuneafrique.com/696870/politique/entretien-avec-philippe-hababou-solomon-lintermediaire-qui-a-introduit

      L’homme d’affaires franco-israélien explique à Jeune Afrique comment il a fait la connaissance d’Alexandre Benalla et dans quelles conditions il s’est rendu avec l’ancien chargé de mission de l’Élysée au Congo-Brazzaville, au Cameroun et au Tchad.
      […]
      Comment les personnalités africaines que vous avez rencontrées ont-elles réagi à la présence d’Alexandre Benalla à vos côtés ?
      Avec curiosité et amusement. Benalla est franc-maçon, comme Denis Sassou Nguesso : ça rapproche… Lorsque le directeur de cabinet de Paul Biya a su qu’il était présent, il a tenu à le rencontrer. Nous avons discuté tous les trois pendant 1h30. Il s’est plaint du manque d’intérêt de la France envers ses anciennes colonies.

      Après notre rendez-vous d’affaires avec Idriss Déby Itno, celui-ci a demandé à Benalla de rester un peu avec lui. Il lui a parlé de la percée russe en Afrique, notamment en Centrafrique, estimant que c’était le résultat de la non-politique de la France. En gros, tous ont exprimé leur regret de voir la France s’éloigner de l’Afrique. Ils ont le sentiment que Franck Paris [le monsieur Afrique de l’Élysée, ndlr]) ne les aime pas, et qu’il n’aime pas le continent en général.

      Benalla a-t-il fait part de ces doléances à l’Élysée ?
      Je l’imagine, sans toutefois en avoir la certitude. Alexandre est toujours en contact avec certains jeunes conseillers d’Emmanuel Macron. Je pense d’ailleurs que c’est ce qui n’a pas plus à Franck Paris. C’est lui qui, en retour, a déclenché les hostilités et qui est le premier responsable de cette nouvelle affaire Benalla.

      Que pensent ces chefs d’État de la polémique en cours en France ?
      Idriss Déby Itno et son entourage en rigolent. Ils savent bien que Benalla n’était pas à N’Djamena pour préparer la visite du président Macron : il n’était pas en mission pour l’Élysée. D’ailleurs, c’est lors de notre séjour sur place que nous avons appris que le président français s’y rendrait.

      J’imagine que Denis Sassou Nguesso n’a pas apprécié que Franck Paris l’appelle directement à ce sujet pour lui signifier que personne d’autre que lui ou le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, et le conseiller diplomatique du président, Philippe Étienne, ne pouvait parler au nom du président français. En général, un chef d’État ne reçoit pas d’appel d’un simple conseiller, mais de son homologue.

    • Franck Paris depuis ses bureaux du 2, rue de l’Élysée, il s’efforce de mettre en musique – et en images – la nouvelle politique de la France sur le continent. Vaste programme !


      https://www.jeuneafrique.com/mag/562609/politique/macron-et-lafrique-franck-paris-lafricain-du-president

      J’imagine que Denis Sassou Nguesso n’a pas apprécié que #Franck_Paris l’appelle directement à ce sujet pour lui signifier que personne d’autre que lui ou le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, et le conseiller diplomatique du président, Philippe Étienne, ne pouvait parler au nom du président français. En général, un chef d’État ne reçoit pas d’appel d’un simple conseiller, mais de son homologue.

  • Ndongo Samba Sylla : « Le franc CFA est la preuve de la survivance des liens coloniaux »
    http://www.revue-ballast.fr/ndongo-samba-sylla-le-franc-cfa

    Samedi 7 Janvier 2017 : des manifestations ont lieu dans plusieurs grandes villes africaines et européennes. De Dakar à Paris, en passant par Abidjan, Bamako, Kinshasa ou Bruxelles, un front commun se mobilise pour exiger la fin du franc CFA. Un fait inédit qui questionne de nouveau les enjeux politiques et économiques autour de cette monnaie : les billets du franc CFA sont imprimés en France, à Chamalières, petite ville du Puy-de-Dôme ; son cours est fixé sur celui de l’euro ; 50 % des réserves de change des Banques centrales des États de l’Afrique de l’Ouest et Centrale sont déposées sur un compte du Trésor français. Le franc CFA — qui signifiait, à son origine en 1945, franc des colonies françaises d’Afrique — est le nom des deux monnaies communes à plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique Centrale. Pour l’économiste sénégalais Ndongo Samba Sylla, le franc CFA demeure une « monnaie coloniale ». Nous le rencontrons pour discuter répression monétaire, Françafrique et pistes de sortie de la zone franc .

    En France, les politiques du franc CFA restent mal connues, les critiques demeurent très fébriles, même au sein des mouvements progressistes. Comment expliquez-vous cela ?

    L’opinion publique française ne s’intéresse pas vraiment à l’Afrique. Son image de l’Afrique se réduit souvent aux clichés sur la corruption, les dictateurs, les maladies, la famine, etc. Elle a donc généralement tendance à voir l’Afrique sous un prisme déformateur. Le propos est malheureusement valable pour une large partie de la gauche française, une gauche pour qui deux termes paraissent choquants : impérialisme et nationalisme. Lorsqu’on évoque le terme d’impérialisme, on nous rétorque que l’impérialisme n’existe plus ou bien que nous avons toujours à la tête de nos États des dictateurs, des élites corrompues qu’on laisse nous tyranniser. Ce n’est plus l’impérialisme en tant que tel qui serait la cause de notre misère mais nos dictateurs. C’est ce qu’on entend souvent d’une certaine frange de la gauche.

    De quelle gauche parlez-vous ?
    Il m’est difficile de qualifier cette frange de la gauche en question. Mais je dirais, pour aller vite, la gauche pour qui l’impérialisme est une chose du passé. Quand on parle d’impérialisme, on nous reproche de trouver une excuse pour nos propres turpitudes, de tout mettre sur le dos de la colonisation. L’impérialisme prend différentes formes et ce qu’on nous décrit généralement comme des aspects anti-démocratiques n’est justement pas sans lien avec l’impérialisme. Des gens comme Paul Biya au Cameroun, Denis Sassou Nguesso en République du Congo, pourquoi sont-ils au pouvoir depuis plus de 30 ans ? Ce n’est pas parce que les Camerounais ou les Congolais les veulent au pouvoir mais parce qu’ils jouent un rôle stratégique dans le maintien des liens néocoloniaux avec la France et les grands groupes français. Peut-être en effet que ce n’est plus l’impérialisme ou le colonialisme passé, mais ce sont de nouvelles formes de domination qui existent et qui sont compatibles avec le maintien de régimes dits démocratiques. Le franc CFA est d’ailleurs la preuve la plus manifeste de la survivance de liens coloniaux.

    Maintenant, le deuxième terme : nationalisme. Lorsqu’on revendique notre droit à la souveraineté monétaire, les gens ont tendance à voir en ces revendications l’expression d’une attitude de fermeture sur soi, à la limite de la xénophobie. Le rapport que les pays Africains et les pays du Sud ont au nationalisme est différent du nationalisme tel qu’il a pu être pratiqué en Europe. En Europe, lorsqu’on parle de nationalisme, on pense xénophobie, totalitarisme, racisme. Dans le cas des pays africains, le nationalisme signifie, avant tout autre chose, que nous voulons et devons être souverains. C’est une réaction face à la permanence de l’impérialisme et son caractère totalitaire. Être souverain, ce n’est pas seulement entendre dire que nous sommes indépendants, que la France ne nous gouverne plus directement. Non, être souverain, c’est avoir la main mise, le dernier mot sur l’utilisation de nos ressources et sur notre politique économique. Le nationalisme africain, qui est la revendication d’un internationalisme réciproque, part du constat que ce n’est pas nous qui décidons des questions économiques et stratégiques. Il faudrait qu’un jour ou l’autre les Africains, les citoyens ordinaires africains, puissent eux-mêmes s’émanciper de la tutelle française ou occidentale. Le nationalisme, que suscite cet impérialisme, n’est pas un nationalisme agressif à l’européenne mais est un moyen d’affirmer que les pays africains ont un droit à s’autodéterminer.

  • QUE CACHE LE RÉENDETTEMENT DU #Congo-Brazzaville ?
    http://survie.org/263-decembre-2016-fr/article/que-cache-le-reendettement-du-5202

    Si la justice française enquête sur des membres du clan de Denis Sassou Nguesso dans le cadre de l’affaire des « biens mal acquis », la justice portugaise est de son côté en train de mettre à jour un vaste scandale de corruption autour de l’entreprise brésilienne Asperbras, qui a obtenu des contrats faramineux au Congo-Brazzaville. Un des plus en vue concerne la construction de la zone industrielle de Maloukou, située au nord de la capitale, dont le montant est estimé à 500 millions d’euros. Autres (...)

    263 - décembre 2016 (fr)

    / #Salves, #Dictateurs_et_Biens_Mal_Acquis, Congo-Brazzaville

    #263_-_décembre_2016_fr_

  • L’#Union_africaine adopte une #charte « historique » pour la #sécurité_maritime (officiel)

    Plus de 40 pays africains, réunis en sommet samedi 15 octobre à Lomé, au Togo, à la demande de l’Union Africaine, ont adopté une charte contraignante sur la sûreté et la sécurité maritime. « Nous nous félicitons de l’adoption et de la signature de la charte sur la sécurité et la sûreté maritime et le développement en Afrique », a annoncé le président congolais Denis Sassou Nguesso en conclusion du premier sommet de l’UA sur la sécurité des #mers. « Ce geste est on ne peut plus historique dans la vie de notre continent », confronté à une recrudescence des trafics et de la #piraterie_maritime, a-t-il ajouté.

    http://www.rfi.fr/contenu/ticker/union-africaine-adopte-une-charte-historique-securite-maritime-officiel
    cc @reka @fil

  • Barbouze un jour...
    http://survie.org/billets-d-afrique/2016/261-octobre-2016/article/barbouze-un-jour-5171

    On savait, au vu de son amitié avec Mi­chel Tomi (surnommé « le parrain des parrains ») que l’ancien patron de la DCRI sous Sarkozy, Bernard Squarcini, cultivait les re­lations "particulières". On a récemment ap­pris qu’après avoir été remercié, il s’est mis à son compte et au service du dictateur congolais alors que ce dernier préparait sa "réélection". Croyant savoir qu’un « mouve­ment insurrectionnel » visant à « déstabili­ser » Denis Sassou Nguesso était en préparation, il fournit aimablement « le nom des (...)

    #261_-_octobre_2016

    / #Nicolas_Sarkozy, Renseignements / Services secrets, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs, #Secret_défense, (...)

    #Renseignements_/_Services_secrets #Congo-Brazzaville

  • Françafrique : toujours plus de coopération militaire, toujours pas de démocratie
    https://www.bastamag.net/BREVE-L-ONG-Survie-pointe-le-role-de-la-cooperation-militaire-francaise-da

    Ces élections sont passées relativement inaperçues dans l’actualité. Dimanche 10 avril, les Tchadiens se rendaient aux urnes pour élire leur président. Le 8 avril, c’était à Djibouti. Le 20 mars, au Congo Brazzaville. Les électeurs gabonais éliront leur président en août. Partout, ces élections sont loin de se dérouler dans un climat serein d’alternance démocratique. Au Congo, Denis Sassou Nguesso, déjà au pouvoir depuis 1979, avec une interruption entre 1991 et 1997, a été réélu à la tête du pays dans des (...)

    En bref

    / #Afrique, #Néo-colonialisme, Démocratie !

    #Démocratie_ !

  • Françafrique : toujours plus de coopération militaire, toujours pas de démocratie
    http://www.bastamag.net/BREVE-L-ONG-Survie-pointe-le-role-de-la-cooperation-militaire-francaise-da

    Ces élections sont passées relativement inaperçues dans l’actualité. Dimanche 10 avril, les Tchadiens se rendaient aux urnes pour élire leur président. Le 8 avril, c’était à Djibouti. Le 20 mars, au Congo Brazzaville. Les électeurs gabonais éliront leur président en août. Partout, ces élections sont loin de se dérouler dans un climat serein d’alternance démocratique. Au Congo, Denis Sassou Nguesso, déjà au pouvoir depuis 1979, avec une interruption entre 1991 et 1997, a été réélu à la tête du pays dans des (...)

    En bref

    / #Afrique, #Néo-colonialisme, Démocratie !

    #Démocratie_ !

  • Les fréquentations douteuses de l’orchestre de l’épouse de #Manuel_Valls
    https://www.mediapart.fr/journal/france/310316/les-frequentations-douteuses-de-lorchestre-de-lepouse-de-manuel-valls

    Comme le révèle L’Obs, la formation musicale dirigée par #Anne_Gravoin est financée par un homme d’affaires naviguant entre la #France et le Koweït, aux revenus à l’origine mystérieuse. Et l’Alma Chamber Orchestra est étroitement liée à plusieurs figures de la #Françafrique, notamment dans l’entourage de Denis Sassou Nguesso.

    #Alma_Chamber_Orchestra #gouvernement

  • Mascarade électorale au Congo - La France doit suspendre sa coopération sécuritaire !
    http://survie.org/francafrique/article/mascarade-electorale-au-congo-la-5091

    Ce dimanche 20 mars aura lieu l’élection présidentielle anticipée en République du Congo, où #Denis_Sassou_Nguesso, déjà sur le podium des dictateurs françafricains les plus criminels et les plus corrompus, concourt désormais aussi pour le prix de la longévité au pouvoir, avec un indiscutable soutien français. A cette occasion, Survie publie un dossier sur la coopération militaire de la France avec le Congo, un pan particulièrement méconnu et scandaleux des relations entre les deux pays. Avec une (...)

    #Françafrique

    / #Congo_Brazzaville, #Total_Fina_Elf, Denis Sassou Nguesso, #Diplomatie,_business_et_dictatures, #Communiqués_de_presse, Dictateurs (Amis de la France), Une, (...)

    #Dictateurs_Amis_de_la_France_ #Congo-Brazzaville

  • Fidélité franco-congolaise
    http://survie.org/billets-d-afrique/2016/253-janvier-2016/article/fidelite-franco-congolaise-5073

    Après un passage en force pour faire adopter la modification constitutionnelle qui lui permet de se présenter ad vitam aeternam aux « élections », le dictateur #Denis_Sassou_Nguesso, qui n’a pas encore officialisé sa prochaine candidature, a décidé d’avancer la date de la prochaine présidentielle au 20 mars, plutôt qu’à l’été 2016 comme cela était prévu. L’objectif est de prendre de court une opposition en partie désorientée suite à la promulgation de la nouvelle Constitution, le 6 novembre dernier. Et hélas, (...)

    #253_-_janvier_2016

    / #Congo_Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, #Armée_française, Brèves d’Afrique et (...)

    #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs

  • #Denis_Sassou_Nguesso rappelle au monde qui il est
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/251-novembre-2015-718/article/denis-sassou-nguesso-rappelle-au-5043

    Redouté depuis des mois, annoncé courant septembre, le passage en force de Denis Sassou Nguesso pour rester au pouvoir après 2016 se poursuit. En dépit de déclarations tout en ambiguïté, l’Elysée lâche… les démocrates congolais, une fois de plus. L’opposition n’est pas restée passive : outre les meetings organisés les semaines d’avant (dont celui du 27 septembre, d’une ampleur historique, cf. Billets n°250, octobre 2015), des manifestations ont lieu dès le 20 octobre dans tout le pays, avec appel à la (...)

    #251_-_novembre_2015

    / #Pétrole, #Congo_Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, #Salves, #Élections, #Congo-Brazzaville

  • #Denis_Sassou_Nguesso rappelle au monde qui il est
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/250-octobre-2015-716/article/denis-sassou-nguesso-rappelle-au-5043

    Redouté depuis des mois, annoncé courant septembre, le passage en force de Denis Sassou Nguesso pour rester au pouvoir après 2016 se poursuit. En dépit de déclarations tout en ambiguïté, l’Elysée lâche… les démocrates congolais, une fois de plus. L’opposition n’est pas restée passive : outre les meetings organisés les semaines d’avant (dont celui du 27 septembre, d’une ampleur historique, cf. Billets n°250, octobre 2015), des manifestations ont lieu dès le 20 octobre dans tout le pays, avec appel à la (...)

    #250_-_octobre_2015

    / #Pétrole, Denis Sassou Nguesso, #Salves, #Élections, #Congo-Brazzaville

  • #Congo-Brazzaville : au lieu d’isoler le régime et de suspendre sa #Coopération_militaire, la France accueille aujourd’hui un ministre de Sassou !
    http://survie.org/francafrique/congo-brazzaville/article/congo-brazzaville-au-lieu-d-isoler-5037

    L’association Survie dénonce la réception au Quai d’Orsay du ministre des Affaires étrangères congolais ce mercredi 21 octobre et exhorte la France à suspendre sa coopération militaire avec un régime prêt à tout pour se maintenir au pouvoir. Au Congo-Brazzaville, le dictateur #Denis_Sassou_Nguesso tente de passer en force en faisant modifier la Constitution pour pouvoir rester au pouvoir après 2016 . L’opposition appelait à bloquer le pays si Sassou Nguesso ne retirait pas son projet de referendum, prévu (...)

    #Congo_Brazzaville

    / #Congo_Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, Dictateurs (Amis de la France), Coopération militaire, Une, #Laurent_Fabius, (...)

    #Dictateurs_Amis_de_la_France_

  • Sassou franchit le pas
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/250-octobre-2015-716/article/sassou-franchit-le-pas-5032

    Crainte mais attendue depuis des mois, l’annonce est tombée : Sassou Nguesso convoque un référendum pour changer « sa » Constitution. Annoncée par la presse d’opposition dès la veille (zengamambu. com, 21 septembre), l’intervention préenregistrée du dictateur Denis Sassou Nguesso a été diffusée à la télévision congolaise le mardi 22 septembre : il y informait « son peuple », pourtant excédé par trente années cumulées de pouvoir du vieux général, de l’organisation prochaine d’un référendum sur la Constitution. (...)

    #250_-_octobre_2015

    / #Salves, #Élections, #Congo-Brazzaville

  • Coup d’État constitutionnel en cours au Congo-Brazzaville : l’heure de vérité pour la diplomatie française
    http://survie.org/francafrique/congo-brazzaville/article/coup-d-etat-constitutionnel-en-5006

    Mardi 22 septembre, alors que l’issue du putsch avorté au Burkina Faso monopolisait l’attention, le dictateur congolais #Denis_Sassou_Nguesso annonçait dans un message télévisé pré-enregistré son intention d’organiser un referendum pour modifier la Constitution. A l’exception de la date, cette annonce n’est une surprise pour personne . L’enjeu de ce coup d’État constitutionnel, pour lui aujourd’hui comme pour le Burkinabè Blaise Compaoré en octobre dernier, est de conserver un siège présidentiel qu’il a (...)

    #Congo_Brazzaville

    / #Congo_Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, #Communiqués_de_presse

  • Congo-Brazzaville - Le « consensus » contre la démocratie
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/249-septembre-2015/article/congo-brazzaville-le-consensus-4998

    A l’instar du Burkinabé Blaise Compaoré il y a un an, le général #Denis_Sassou_Nguesso abat ses cartes pour faire sauter le verrou constitutionnel supposé l’empêcher de rester au pouvoir. La mascarade préélectorale suit son cours. L’indéboulonnable dictateur du Congo­-Brazzaville doit céder la place au terme de la présidentielle de 2016 à laquelle, selon la Constitution pourtant sur mesure qu’il a imposée au pays en 2002 (qui prévoit la limitation du nombre de mandats à deux et un âge maximum de 70 ans), il (...)

    #249_septembre_2015

    / #Congo_Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, #Salves, #Élections, Une

  • Hollande reçoit Sassou, accusé de crime contre l’Humanité et en quête de légitimité
    http://survie.org/francafrique/congo-brazzaville/article/hollande-recoit-sassou-accuse-de-4973

    Ce mardi 7 juillet, Denis Sassou Nguesso, à la tête du Congo-Brazzaville depuis 1979 de façon quasi-ininterrompue, est reçu en entretien par le président de la République française François Hollande et par le Premier ministre Manuel Valls. Cette visite s’inscrit dans la quête de légitimité du dictateur congolais : la Constitution de 2002 lui interdit un nouveau mandat , et l’opposition n’entend pas prolonger l’expérience de ce pouvoir imposé et maintenu par les armes . Lien PDF Pour contourner le (...)

    #Congo_Brazzaville

    http://survie.org/IMG/pdf/2015_07_07_Congo_Visite_Sassou.pdf

  • Hollande reçoit Sassou, accusé de crime contre l’Humanité et en quête de légitimité
    http://survie.org/francafrique/article/hollande-recoit-sassou-un-criminel-4973

    Ce mardi 7 juillet, Denis Sassou Nguesso, à la tête du Congo-Brazzaville depuis 1979 de façon quasi-ininterrompue, est reçu en entretien par le président de la République française François Hollande et par le Premier ministre Manuel Valls. Cette visite s’inscrit dans la quête de légitimité du dictateur congolais : la Constitution de 2002 lui interdit un nouveau mandat , et l’opposition n’entend pas prolonger l’expérience de ce pouvoir imposé et maintenu par les armes . Lien PDF Pour contourner le (...)

    #Françafrique

    http://survie.org/IMG/pdf/2015_07_07_Congo_Visite_Sassou.pdf

  • Lutte d’influence entre Sassou Nguesso et la France
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/244-mars-2015/article/lutte-d-influence-entre-sassou-4937

    Enlisée dans une guerre civile depuis décembre 2012, la République centrafricaine a le plus grand mal à sortir de la crise. Surtout que certains s’évertuent à lui maintenir la tête sous l’eau. Dernier exemple en date : le sommet de Nairobi. Une bien étrange initiative s’est ouverte fin décembre à Nairobi, au Kenya. A l’invitation du « médiateur » dans la crise centrafricaine, le dictateur congolais #Denis_Sassou_Nguesso, des membres des ex-Séléka (qui ont déclenché la crise) et des milices anti-balaka (qui (...)

    #244_-_mars_2015

    / #Centrafrique, Denis Sassou Nguesso, #Salves, François Bozizé

    #François_Bozizé

  • « Frères d’armes »
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/240-novembre-2014/article/freres-d-armes-4810

    A en croire le dernier livre d’Antoine Glaser, plein d’intox mais aussi d’anecdotes, c’est par ce terme que #Michel_Roussin (ex-gendarme, ex-patron des services de contre-espionnage, ex-ministre de la Coopération sous Chirac, vice-président de MEDEF International et de retour dans le groupe Bolloré...), désigne le Tchadien Idriss Deby, le Congolais Sassou Nguesso… et le Burkinabè Blaise (...)

    #240_-_novembre_2014

    / #Idriss_Déby, #Denis_Sassou_Nguesso, Blaise Compaoré, Michel Roussin, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs

    #Blaise_Compaoré

  • Ntsourou disparu à cause du Beach
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/231-janvier-2014/article/ntsourou-disparu-a-cause-du-beach-4595

    Dans l’affaire de l’explosion du dépôt de munitions de Mpila qui avait fait plus de 300 morts à Brazzaville le 4 mars 2012, le colonel Marcel Ntsourou avait été condamné pour complicité d’incendie involontaire et détention illégale d’armes de guerre à 5 ans de travaux forcés… avec sursis. Mécontent d’avoir servi de fusible, sans doute en raison des ambitions qu’il nourrissait, l’ancien membre du clan Sassou avait alors déclaré sur RFI qu’il se tenait à disposition de la justice française pour témoigner dans (...)

    #231_-_janvier_2014

    / #Congo_Brazzaville, #Denis_Sassou_Nguesso, #Affaire_des_disparus_du_Beach, Brèves d’Afrique et (...)

    #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs

  • Sassou égratigne la France
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/231-janvier-2014/article/sassou-egratigne-la-france-4596

    Sans doute pour maintenir un peu la pression dans l’affaire des Biens mal acquis qui le vise et qui est instruite en France, le général-président congolais lance quelques tirs de semonce dans une longue interview à Paris Match. Interrogé sur la Françafrique, il lâche : « Les Allemands demandent aujourd’hui que les francs africains [francs CFA], monnaie d’Etats souverains, rejoignent les comptes d’opération de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement plutôt que ceux de la Banque (...)

    #231_-_janvier_2014

    / #Centrafrique, #Denis_Sassou_Nguesso, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs

  • Denis Sassou Nguesso à Paris : les dictateurs sont toujours les bienvenus à l’Élysée
    http://survie.org/francafrique/congo-brazzaville/article/denis-sassou-nguesso-a-paris-les

    À quelques mois de l’élection présidentielle française et des élections législatives au Congo-Brazzaville prévues à l’automne 2012, la réception par Nicolas Sarkozy de Denis Sassou Nguesso le 8 février vient rappeler les liens complaisants que les autorités françaises continuent d’entretenir avec les dictatures françafricaines.

    #congo_brazzaville