person:hildegarde de bingen

  • Hildegarde de Bingen, rêves de Rhin
    http://next.liberation.fr/livres/2018/08/08/hildegarde-de-bingen-reves-de-rhin_1671597

    Cette moniale bénédictine morte à 81 ans en 1179 est une figure médiévale lumineuse, une des quatre femmes (contre 32 hommes) à être docteure de l’Eglise avec Thérèse d’Avila, Catherine de Sienne et Thérèse de Lisieux. Elle a sa première vision à 3 ans. A 8 ans, avec deux amies, elle entre au couvent de Disibodenberg, où elle sera élue abbesse à 38 ans. En 1147, elle décide de faire sécession avec celles des nonnes qui la suivent pour bâtir l’abbaye de Rupertsberg, à flanc de colline entre rivière et vignoble. C’est la première fois qu’une femme fonde un couvent sans le voisinage d’hommes. Cette prophétesse, botaniste, compositrice, canonisée en 2012 après un procès qui durait depuis le XIVe siècle, a régulièrement des retours en grâce. Ainsi, ces vingt dernières années, par sa musique et ses conseils sur les plantes médicinales et l’alimentation. A 43 ans, Hildegarde a commencé à consigner les visions qu’elle avait depuis l’enfance dans le Scivias, puis enchaînera sur d’autres ouvrages en supervisant l’édition de son vivant.

  • Hildegarde de Bingen, l’invention de la « création au féminin »
    https://www.franceculture.fr/conferences/institut-francais-de-la-mode/hildegarde-de-bingen-linvention-de-la-creation-au-feminin

    Religieuse, compositrice, savante, femme de lettres, Hildegarde de Bingen a été l’une des premières femmes à s’imposer dans un monde de l’esprit dominé par les hommes. Dans un contexte historique où la notion de « nouveauté » n’était pas favorisée, elle a imposé une œuvre novatrice, au féminin !

    #conférence #audio #moyen-age #femmes #historicisation #Hildegarde_von_Bingen #recluses #vierges #virginité #nonnes #compositrice

    • Pour l’elixir de scolopendre.

      « La scolopendre est chaude et a les plus grandes vertus pour le foie, le poumon et les entrailles malades. Prendre de la scolopendre, faire cuire abondamment dans du vin, ajouter du miel pur, et faire bouillir à nouveau, puis écraser du poivre long et deux fois autant de cannelle, faire bouillir avec le vin. Passer dans un linge. On obtient ainsi une potion. Boire à jeun ou après les repas. Cela fait du bien au foie, purge les poumons, guérit les entrailles malades, fait disparaitre la pourriture et les maladies intérieures. »

      http://www.biomanie.be/fr/catalog-10/epices-et-herbes/melange-pour-faire-l-elixir-de-scolopendre
      Ce mélange contient tous les ingrédients pour faire l’élixir avec 2 litres de vin rouge
      Du coup c’est juste une fougère en poudre (et pas le terrible myriapode que je pensait) avec un peu de miel, poivre et cannelle et on te vend ca 120€ le kg en naturopathie et t’as meme pas le pinard pour ce prix là !

    • Les autrices religieuses du XIIeme

      Codex Guta-Sintram
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Codex_Guta-Sintram

      Le manuscrit contient un colophon détaillant sa création : il est achevé en 1154, rédigé par la chanoinesse Guta, du couvent Schwarzenthann et enluminé par le chanoine Sintram de Marbach. L’abbaye de Marbach est en effet un ancien monastère double de chanoines fondé en 1089, les chanoinesse s’étant installée dans leur Couvent de Schwartzenthann (de) (actuelle commune de Wintzfelden) en 1124.

      Sur Heloïse abesse dont l’œuvre n’as pas été conservée
      https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9lo%C3%AFse_(abbesse)

      Herrade de Landsberg (ou Herrade de Hohenbourg ou Herrade dite de Landsberg) abbesse, poète, enlumineuse et encyclopédiste.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Herrade_de_Landsberg


      Illustration de la Philosophie par Herrade de Landsberg sur d’autres sources on dit que c’est le 7 arts liberaux.

      Élisabeth de Schönau
      https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_de_Sch%C3%B6nau

      Élisabeth de Schönau, en allemand Elisabeth von Schönau, (née en 1129 près de Cologne - morte le 19 juin 1164 au monastère de Schönau im Taunus, dans les environs de Strüth en Rhénanie-Palatinat) est une visionnaire allemande et une sainte catholique du XIIe siècle.

      Elle est cité comme visionnaire qui à subit et forgé le mythe des 11000 vierges. Elle souffrait d’un manque de crédibilité car elle n’avais pas d’assises culturelle ( et probablement la haute origine sociale) d’une Hildegard. Cas de création contrainte sous la pression de son frère Egbert (je sais pas comment ca s’écrit). Elle meurt à 35 ans à force d’épuisement lié à l’ascèse.

    • Pour les laïcs
      Marie de France (1145-1198)
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_de_France_(po%C3%A9tesse)

      Marie de France, fl. 1160-12101, est une poétesse qui vécut en France et surtout en Angleterre2. Ses fables adaptées d’Ésope furent lues et imitées du XIIe au XVIIIe siècle. Le romantisme au XIXe siècle redécouvrit ses lais, contes en vers rédigés en ancien français dans la scripta anglo-normande. Marie de France appartient à la génération des auteurs qui illustrèrent l’amour courtois en littérature, entre autres par l’adaptation des légendes orales bretonnes ou matière de Bretagne. Elle est la première femme connue à avoir écrit des poèmes en français.

      Marie de Champagne et Aliénor d’Aquitaine sont mentionnées à la fin.
      Il y aurais des femmes lettrées en Italie à cette époque.

    • Lingua Ignota
      Langue inconnue de Hildegard


      https://fr.wikipedia.org/wiki/Lingua_Ignota

      La Lingua Ignota (en latin « langue inconnue ») a été décrite au XIIe siècle par l’abbesse de Rupertsberg, Hildegarde de Bingen, une sainte de l’Église catholique romaine, dans un ouvrage intitulé Lingua Ignota per simplicem hominem Hildegardem prolata.

      La langue s’écrit avec 23 caractères, les litterae ignotae, et était apparemment utilisée pour une mystique particulière.

      Hildegarde de Bingen décrit partiellement cette langue dans un ouvrage intitulé Lingua Ignota per simplicem hominem Hildegardem prolata, qui nous est parvenu en deux manuscrits datant tous deux approximativement de 1200, le Wiesbaden Codex et un manuscrit de Berlin. Le texte est un glossaire de 1 011 mots en Lingua Ignota, dont la plupart des gloses sont en latin, parfois en allemand. Les mots apparaissent a priori comme des néologismes, souvent nommés par plusieurs adjectifs. Grammaticalement, la Lingua Ignota semble une relexification partielle du latin, ce qui en ferait une langue construite en intégrant un nouveau vocabulaire à une grammaire existante.

      L’usage de la langue nous est inconnu. Nous ignorons également si d’autres que sa créatrice l’utilisaient. Au XIXe siècle, certains pensaient que Hildegarde souhaitait faire de la Lingua Ignota une idéolangue universelle. Il est cependant aujourd’hui généralement admis que la Lingua Ignota fut mise au point comme un langage secret. Tout comme pour sa « musique inentendue », elle a pu lui venir par inspiration divine[réf. nécessaire]. À supposer que la langue ait été créée par Hildegarde de Bingen, il s’agirait alors d’une des plus anciennes langues construites connues.

      Dans une lettre adressée à Hildegarde, son ami le prévôt Wolmarus, appréhendant la mort d’Hildegarde, lui demanda « Ubi tunc vox inauditae melodiae ? Et vox inauditae linguae ? » (Descemet, p. 346, « Où donc est la voix de la mélodie inentendue ? Et la voix du langage inentendu ? » ), suggérant que l’existence du langage d’Hildegarde était connue, mais il n’y eut aucune initiative qui pût permettre à sa langue d’être préservée après sa mort.

    • Pour relever un tel défi et construire le monde nouveau qui émerge, la permaculture humaine propose une approche novatrice, globale, créative, interactive. Elle transpose sur le terrain humain les bases de la permaculture classique

      La permaculture pour moi c’est l’architecture d’un paysage cultivé ou habité. De quoi la permaculture humaine est-elle l’architecture ? Quelle glu est-elle, quelle « valeur ajoutée » par rapport à un catalogue d’outil et de processus de communication, de gestion de groupe, de prises de dédisions, etc.. ?

    • L’originalité de l’approche « permaculture humaine » est de considérer la discipline dans son sens le plus large. Il s’agit de (re)construire les écosystèmes humains en s’inspirant des modèles de la nature : multiplier les interactions entre les personnes plutôt que de fonctionner chacun.e dans son coin ; produire plus d’énergie qu’on n’en consomme ; utiliser des outils simples plutôt que high-tech – ils sont tout bêtement plus faciles à entretenir et à réparer !

      Qu’est-ce qu’un « écosystème humain » ? (une société ?).

      Si se baser sur les « modèles de la nature » pour concevoir un paysage cultivé est pertinent, en quoi cette démarche est-elle pertinente pour gérer des relations entre humains (ou entre otaries, araignées, ...) ? En quoi multiplier les interactions dans les relations humaines est-il intrinsèquement bon, sous prétexte que dans la « nature », il y a un interconnexion des systèmes ? (

    • Un des gros problèmes de cette « permaculture humaine », c’est qu’elle se réfère aux « lois de la nature » toutes les quatre lignes, alors qu’a ma connaissance, s’il y a des « lois » (très mauvais terme, je parlerais plutôt de motifs récurrents), elles s’appliquent surtout à des interactions entre espèces ou avec leur environnement. Il me semble que dans les interactions au sein d’une même espèce, c’est un peu open-bar et la sélection naturelle élimine les mauvaises stratégies. Du coup c’es absurde de se référer aux lois de la nature pour gérer nos interactions, ou alors tu vas piocher dans des grandes stratégies du règne animal pour certains sujets (combat entre les mâles pour avoir un territoire et attirer les femelles pour la reproduction... ce genre de trucs qui n’apportent aucune solution à la question).

    • Comme toute espèce vivante, l’espèce humaine a un rôle spécifique à jouer ; l’être humain est doté d’une capacité singulière à créer, à agir de façon délibérée et réfléchie – pour le meilleur et pour le pire.

      Ils ont tiré ces passage de la bible ou quoi ?

      Cette liberté lui confère une grande responsabilité. En faire bon usage suppose beaucoup de sagesse et d’intelligence. Or, l’Homo sapiens, apparu il y a seulement 200000 ans sur une planète vieille de 4,5 milliards d’années, commet depuis quelques décennies de sérieuses erreurs de jeunesse : en exploitant les ressources humaines et naturelles pour satisfaire des intérêts particuliers à court terme, l’« Homo industrialis » menace l’équilibre et la pérennité du système Terre

      « COMMET DEPUIS QUELQUES DÉCENNIES DE SÉRIEUSES ERREURS DE JEUNESSE » (oui je crie)

      OMFG O__o
      Bon, admettons que l’humain n’a acquis que depuis quelques décennies le potentiel de détruire à peu près toute la planète. Il n’avait jusque là « que » détruit des portions immenses de sous continents par son mode de fonctionnement ... Et puis c’est juste hallucinant de lire ça dans un livre sur les rapports humains, genre le génocide, l’esclavage, le patriarcat, ce ne sont pas de « sérieuses erreurs » !? (même pas « de jeunesse »)

    • Dans la nature, il n’y a pas de hiérarchie entre les espèces : c’est notre vision anthropocentrique qui introduit une notion de hiérarchie. C’est nous qui avons couronné le lion comme roi des animaux de la jungle. Bien sûr, chaque espèce a un rôle défini, spécifique. Le rôle d’un charognard n’est pas celui d’un insectivore ni d’un pollinisateur. Dans une ruche, le rôle d’une ouvrière est différent de celui d’une reine, mais sa valeur n’est pas moindre.

      Bon le gars te dit qu’il n’y a pas de hiérarchie entre espèces et te sort un exemple de hiérarchie au sein d’une espèce, en affirmant un truc faux (ben si, chez l’apis mellifera, (la vie d’)une ouvrière vaut moins que la reine). D’ailleurs nos ancêtres faisaient de la permaculture humaine, ils prenaient exemple sur la nature (en l’occurrence les abeilles, les fourmis locales) pour leur monarchies et leurs empires, cool !

      Edit :
      D’ailleurs : « Chez l’Abeille domestique, la championne de la longévité est la reine qui vit de 3 à 5 ans. Une ouvrière d’été vit en moyenne de 5 à 6 semaines et une ouvrière d’hiver de 5 à 6 mois. » http://www.insectes.org/insectes/questions-reponses.html?id_quest=22

    • Pff j’avance pas faut que je cite chaque ligne ...

      Il en va de même dans le règne végétal. La fonction du chêne n’est pas « supérieure » à celle du roseau. L’humble mousse qui recouvre le sol de la forêt, comme bien d’autres formes de vie, visibles ou invisibles à l’œil humain, est aussi utile que les grands arbres.

      C’est d’une platitude et d’un vide ...
      La mousse est utile, le chêne et le roseau aussi, so what ? Tout le monde il est gentil ?
      Il sait pas que dans la nature, il y a des catastrophe (éboulement, irruption volcanique, feux, inondation), et qu’à partir de là il y a une succession de différents types de végétaux, et donc que certains laissent leur place à d’autres ? C’est censé se traduire comment chez les humains grâce à la permaculture humaine ?

      Pour l’instant, permaculture humaine = projeter des idées gnan-gnans sur les écosystèmes pour en tirer des principes.

    • Parfois, l’être humain passe à côté de belles occasions. Imaginons que les premiers Européens à avoir posé le pied en Amérique, plutôt que de chercher à détruire la richesse des peuples autochtones, eussent accueilli leur différence. Ils auraient contribué à la création d’un véritable Nouveau Monde, fruit des expériences des deux cultures, bien plus riche que la somme des deux : une civilisation à la fois respectueuse de la nature et dynamique sur le plan technologique.

      Euh ...

      a) On remarque qu’Alonso est plus peiné par l’opportunité ratée de piller la culture amérindienne pour être plus écolo, que de la destruction de nombreuses cultures autochtones

      b) Les amérindiens seront contents d’apprendre que leur culture aurait était meilleure en étant « plus dynamique sur le plan technologique » (pourquoi ? Habiter dans des tipi et avoir une gestion fine d’écosystèmes par le feu ça fait plouc ?)

      c) La civilisation est meilleure que les cultures de chasseurs cueilleurs de l’époque (ah ?)

      d) Les amérindiens étaient morts à la seconde où les européens ont posé leurs pieds et apportés leurs germes sur le continent. Leurs germes les ont devancés et anéantis 90% de la population avant que les européens soient entrés en contact avec les différents peuples amérindiens. Si vous voulez déprimer, il n’y a qu’à lire le livre 1491 pour voir l’étendu des détails. L’insulte suprême c’est que ce paragraphe apparait sus le principe de permaculture n°8 : « Intégrer plutôt que séparer ou diviser »...

    • Dans la nature, toutes les espèces travaillent au bien commun, toutes produisent plus d’énergie qu’elles n’en consomment, toutes contribuent à la pérennité de l’écosystème. Même les parasites s’arrangent pour ne pas détruire l’espèce dont ils tirent leur subsistance. Seule exception : l’humain !

      Soit c’est faux, soit c’est tellement approximatif que ça ne veut rien dire ...

      Elles travaillent de manière consciente ? Au bien commun de quoi ?

      Ça veut dire quoi « produire de l’énergie » pour un lapin ? L’énergie que son corps peut fournir si on le mange ? L’énergie produite par son métabolisme et qui ne peut plus servir à rien, c’est bien ? Alonso connait-il le principe d’entropie ?

      « Seule exception : l’humain » ? L’humain, espèce maudite ? En quoi les aborigène d’australie qui ont vécu pendant 40000 ans dans des environnements hostiles sans bousiller leurs moyens de subsistance sont un exception par rapports aux autres animaux ?

    • Avec la permaculture, il s’agit de retrouver la complémentarité des deux hémisphères, conçus pour fonctionner de concert, en parfaite harmonie. Ainsi, quiconque désire développer son plein potentiel de créativité (et contribuer à l’évolution de l’humanité !) aura avantage à stimuler l’hémisphère droit de son cerveau. C’est grâce à cet hémisphère droit que nous pouvons accéder à la « mémoire du vivant », imprimée dans chacune de nos cellules. De grands personnages comme Hildegarde de Bingen, Léonard de Vinci, Albert Einstein, Gandhi et Janine Benyus ont développé leurs deux hémisphères, épanouissant aussi bien leurs talents scientifiques qu’artistiques ou spirituels.

      Sans surprise, la solidité scientifique n’est pas au rendez-vous

      La fin du mythe des personnes à cerveau « droit » ou « gauche »
      http://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-fin-mythe-personnes-cerveau-droit-gauche-48433

      Au cours d’une large étude menée pendant deux années, les auteurs ont analysé des images par résonance magnétique du cerveau de plus de 1.000 personnes âgées de 7 à 29 ans. Pour chaque candidat, ils ont analysé en détail l’activation d’environ 7.000 régions de la matière grise, afin de déterminer s’il existe une latéralisation fonctionnelle du cerveau. En d’autres termes, ils voulaient savoir si certains réseaux neuronaux situés à gauche fonctionnaient plus souvent que ceux de droite, et inversement.
      Leurs résultats montrent sans équivoque que l’hémisphère droit est autant activé que le gauche. « Certaines fonctions mentales sont localisées dans un seul des hémisphères, explique Jeff Anderson, le directeur de l’équipe. Mais nos résultats montrent que les individus ne font pas fonctionner un hémisphère plutôt qu’un autre. » Il existe bien des individus plus logiques ou plus artistiques que d’autres, mais cela ne signifie pas qu’ils soient plutôt « cerveau droit » ou « cerveau gauche ».

    • Dans le monde vivant, le pouvoir est focalisé sur un objectif unique : la survie de l’espèce. Seuls les plus forts gagnent et se reproduisent. Les luttes qui se jouent entre congénères ont pour principale fonction la sélection génétique et la pérennité de l’espèce. Les fourmis n’ont pas d’opinion personnelle ou d’intérêt individuel à défendre face au groupe…

      Bon je comprends plus, c’est pas le bien commun et la pérennité de l’écosystème ?

      C’est quoi « le pouvoir », dans le « monde vivant » ? (c’est quoi le monde vivant, c’est la nature ?)

      Les animaux non-humains ont une conscience d’espèce ? L’objectif est la « survie de l’espèce » ? Des herbivores sur une île sans prédateurs vont finir par s’auto-réguler pour ne pas mettre en péril l’espèce (ou œuvrer pour le bien commun, pour la pérennité de l’espèce) ? (oups https://en.wikipedia.org/wiki/St._Matthew_Island)

      [...] Aujourd’hui, l’urgence collective est bien de dépasser nos réflexes de défense et de compétition, de renforcer le sens du bien commun en créant des réseaux, en recherchant des complémentarités, en protégeant le droit à la différence, en portant une attention particulière aux plus faibles.

      AH STOP ! Les réflexes (naturels par définition) ne vont pas, l’exemple de toutes les autres espèces (selon les notions d’écologie d’Alonso) ne vont pas en fait. Là, on va pas prendre la nature comme exemple.

      Résumé : ses bases d’écologies sont fausses, et lui font aller à l’encontre du principe de base de son concept.

    • Certains peuples autochtones ont développé des mécanismes de communication et des systèmes de prise de décision qui leur permettaient de vivre en paix. [...] Traditionnellement, chez les Inuit par exemple, [...]L’homme actif le plus âgé était le porte-parole de la famille.

      (patriarcat)

      [...] Les Inuit utilisaient de nombreux moyens pour renforcer la cohésion du groupe : le mariage arrangé dès l’enfance (les parents des enfants promis l’un à l’autre se trouvaient ainsi unis par un lien de parenté), l’échange de conjoints, l’adoption d’un enfant, etc.

      Le paragraphe était donc nommé « les #peuples_premiers nous montrent l’exemple »

      Et ainsi s’achève ma lecture du chapitre premier, « Des clés pour aborder la permacuture humaine » ...

    • Chapitre 4, la table des matières va m’éviter de faire des commentaires :

      4 Prendre soin de l’humain
      Permacultivons notre alimentation
      L’eau, un élément vital
      Se nourrir grâce aux végétaux
      Se nourrir grâce aux animaux
      Se nourrir grâce à la mer
      Se nourrir grâce aux insectes
      Un design pour nourrir ma famille

    • https://www.permaculturedesign.fr/permaculture-humaine

      Conclusion
      Comme vous le comprenez, la permaculture « humaine » est donc un « mot-valise » fédérant de nombreuses pratiques. Néanmoins, comme le concept mère de permaculture, cette démarche a l’intérêt de redonner une vision globale et cohérente aux différentes pratiques, de permettre à un tout un chacun de découvrir de multiples outils pour continuer d’apprendre, et de les fédérer en un seul but commun à toute la démarche permaculturelle : celle de faire évoluer notre modèle de société vers un futur durable, pacifique et juste…

      Voilàààà, là je comprends, c’est une expression qui veut rien dire, pour faire du branding et du marketing d’outils de dev personnel et de gestion de groupe.

      Pfff

  • Femmes compositrices

    Je voulais rebondir sur un billet de @reka http://seenthis.net/messages/300581 en présentant les femmes compositrices méconnues. Je connaissais Germaine Tailleferre et une petite dizaine d’autres compositrices, je souhaitais les présenter ici, et en découvrir d’autres.

    J’ai commencé par l’époque contemporaine, un site m’en a proposé 3 que je ne connaissais pas :

    Yvonne DESPORTES 
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Yvonne_Desportes


    Yvonne Desportes : Symphonie n°3 "l’Eternel féminin »
    http://www.ina.fr/audio/PHF07009625

    Adrienne CLOSTRE


    http://www.editions-rubin.com/clostre.html

    Toute sa vie, elle restera fidèle à cette vocation précoce : elle composera jusqu’à sa dernière semaine où elle termine son opéra Lénine ou la Récréation.
    Passionnée de théâtre, elle imagine de nouvelles formes d’action musicale et puise son inspiration et les livrets de ses œuvres lyriques dans des domaines très variés : littérature nordique (Le chant du Cygne d’après la nouvelle de Tchekov, Julien l’Apostat d’après Empereur et Galiléens d’Ibsen) ou médiévale (Le triomphe de la vertu d’après l’œuvre de la nonneRosvita), faits divers (Cinq scènes de la vie italienne), philosophes (Nietzsche sur un montage de textes de F. Nietzsche, Le Secret, lecture musicale dujournal de S. Kierkegaard), exploits sportifs (Annapurnad’après le roman de MauriceHerzog), poètes (L’Albatros sur un montage de textes de C. Baudelaire, El tigre de oro y sombra, d’après neuf poèmes de Borges), femmes mystérieuses ou passionnées (Garbo la solitaire, suite pour violoncelle seul et voix off inspirée par Greta Garbo, Camille Claudel Sculpteur, action chorégraphique en trois épisodes)…

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Adrienne_Clostre

    Thérèse Brenet
    http://www.musimem.com/brenet.htm

    Sa formation, sa nature, sa recherche constante de la beauté et sa quête de l’absolu font d’elle une musicienne un peu à part, dont l’œuvre, riche et variée, écrite dans un style clair, atteste une parfaite maîtrise du langage. Humble dans son œuvre, elle déclare elle-même : " Le compositeur est un ouvrier, oui, mais non pas un tâcheron : il travaille ordinairement dans la solitude et le secret, sans fard et sans journaliste. Ce qu’il doit, par dessus tout, éviter, ce sont les discours inutiles, abscons et prétentieux sur son oeuvre.

    http://www.youtube.com/watch?v=SzxBJqwy6P8

    A partir de celles que je connaissais, j’ai établi une première liste qui s’est considérablement enrichi au fil de mes recherches :

    Lili Boulanger

    Elsa Barraine

    Germaine Tailleferre

    Marguerite Canal

    Claude Arrieu
    de son vrai nom Louise-Marie Simon

    Louise Héritte-Viardot

    Alma Mahler

    Sophie Gail

    Louise Bertin

    Marie Jaëll

    Clara Schumann

    Maude Valerie White

    Louise Farrenc

    Giselle Galos.

    Fanny Mendelssohn

    Pauline Duchambge

    Augusta Holmès

    Cécile Chaminade

    Armande de Polignac

    Amy Beach

    Elisabetta de Gambarini,

    Genovieffa Ravissa et

    Anna Bon di Venezia.

    Wilhelmine de Bayreuth

    Sophie Elisabeth von Braunschweig-Wolfenbüttel

    Francesca Caccini

    Leonora Duarte

    Elisabeth Jacquet de la Guerre

    Isabella Leonarda

    Barbara Strozzi

    Maddalena Casulana

    Beatritz de Dia

    Beatritz de Romans

    Azalaïs de Porcairagues

    Castelloza

    Hildegarde de Bingen

    Kassia

    Sappho

    Et puis j’ai découvert ce site qui propose une looooongue liste de compositrices dont certains noms sont déjà cités
    http://www.lamediatheque.be/travers_sons/fc_04.htm

    Allemagne

    XIe siècle
    Hildegard von BINGEN (1098 - 1179)

    XVIIIe siècle
    Wilhelmine Friederike Sophie von Bayreuth (1709 - 1758)
    Amalia, princesse de Prusse (1723 - 1787)
    Anna Amalia, duchesse de Saxe-Weimar (1739 - 1807)

    XIXe siècle
    Fanny MENDELSSOHN-BARTHOLDY (1805 - 1847)
    Johanna KINKEL (1810 - 1858)
    Josephine LANG (1815 - 1880)
    Clara SCHUMANN (1819 - 1896)
    Emilie MAYER (1821 - 1883)

    XIXe / XXe siècle
    Ingeborg von BRONSART (1840 - 1913)
    Sophie MENTER (1846 - 1918)
    Luise Adolpha LE BEAU (1850 - 1927)
    Clara M. FAISST (1872 - 1948)
    Johanna SENFTER (1879 - 1961)
    Ilse FROMM-MICHAELS (1888 - 1986)

    XXe siècle
    Felicitas KUKUCK (1914 - 2001)
    Gertrud FIRNKEES (1925)
    Ruth ZECHLIN (1926)
    Ursula GÖRSCH (1932)
    Barbara HELLER (1936)
    Dorothée EBERHARDT(1952)
    Ursula EUTENEUER-ROHRER (1953)
    Babette KOBLENZ (1956)

    Argentine
    XXe siècle
    Maria Luisa ANIDO (1907-1996)
    Hilda DIANDA (1925)

    Australie

    XIXe / XXe siècle
    May BRAHE (1885-1956)

    XXe siècle
    Mary MAGEAU (1934) [originaire des États-Unis]

    Autriche

    XVIIIe siècle
    Marianne d’AUENBRUGG ( ? -1786)

    XVIIIe / XIXe siècle
    Maria Anna MARTINEZ (1744-1812)
    Maria Theresia von PARADIS (1759-1824)
    Katharina CIBBINI (1790-1858)

    XIXe / XXe siècle
    Alma MAHLER-WERFEL (1879-1964)
    Grete von ZIERITZ (1899- 2001)
    XXe siècle
    Silvia SOMMER (1944)

    Azerbaïdjan
    XXe siècle
    Franguiz ALI-ZADE (1947)

    Belgique

    XVe/XVIe siècle
    Marguerite d’Autriche (1480-1530)

    XIXe / XXe siècle
    Eva dell ACQUA (1860-1930)
    Lucie VELLERE (1896-1966)

    XXe siècle
    Rose THISSE-DEROUETTE (1902)
    Claire LEPLAE (1912)
    Berthe DI VITO-DELVAUX (1915)
    Nini BULTERIJS (1929)
    Jacqueline FONTYN (1930)
    Jacqueline NOVA (1937 - 1975)
    Joanna BRUZDOWICZ (1943) [originaire de Pologne]

    Bolivie
    XXe siècle
    Teresa LAREDO ( ? )

    Brésil
    XXe siècle
    Vania Dantas LEITE (1945)

    Canada

    XIXe / XXe siècle
    Sophie-Carmen ECKHARDT-GRAMATTE (1899-1974)

    XXe siècle
    Barbara PENTLAND (1912-2000)
    Elma MILLER (1954)
    Linda BOUCHARD (1957)

    Corée

    XXe siècle
    Younghi PAGH-PAAN (1945)

    Danemark

    XXe siècle
    Gudrun LUND (1930)
    Birgitte ALSTED (1942- )
    Irène BECKER (1954- )

    Espagne

    XIXe / XXe siècle
    Maria GREVER (1884-1951)

    XXe siècle
    Maria de ALVEAR (1960- )

    Estonie

    XXe siècle
    Ester MÄGI (1922- )

    Etats-Unis

    XIXe / XXe siècle
    Amy BEACH (1867-1944)
    Maria GREVER (1884-1951) [originaire d’Espagne]
    Rebecca CLARKE (1886-1979) [originaire d’Angleterre]

    XXe siècle
    Ruth CRAWFORD-SEEGER (1901-1953)
    Lilian FUCHS (1903- 1991)
    Myriam GIDEON (1906- )
    Louise TALMA (1906- )
    Ann MACMILLAN (1923- )
    Cathy BERBERIAN (1925-1983)
    Marga RICHTER (1926- )
    Mary Jeanne VAN APPLEDORN (1927- )
    Arline DIAMOND (1928- )
    Betty JACKSON KING (1928- )
    Ursula MAMLOCK (1928- )
    Ann Loomis SILSBEE (1930- )
    Nancy VAN DE VATE (1930- )
    Lucia DLUGOSZEWSKI (1931- )
    Joyce MEKEEL (1931- )
    Pauline OLIVEROS (1932- )
    Gitta STEINER (1932-1990)
    Mary MAGEAU (1934- )
    Vivian RUDOW ADELBERG (1936- )
    Katherine HOOVER (1937- )
    Gloria COATES (1938- )
    Joan Peabody TOWER (1938- )
    Barbara KOLB (1939- )
    Ellen Taaffe ZWILLICH (1939- )
    Kay GARDNER (1941- )
    Maryanne AMACHER (1942- )
    Meredith MONK (1942- )
    Alice SHIELDS (1943- )
    Pril SMILEY (1943- )
    Dianda GALAS ( ? )
    Barbara HELD ( ? )
    Janice GITECK (1946- )
    Daria SEMEGEN (1946- )
    Sheila SILVER (1946- )
    Joan LA BARBARA (1947- )
    Faye-Ellen SILVERMAN (1947- )
    Bernadette SPEACH (1948- )
    Jane BROCKMAN (1949- )
    Libby LARSEN (1950- )
    Anne LEBARON (1953- )
    Kate WARING (1953- )
    Kim SHERMAN (1954- )
    Alicyn WARREN (1955- )
    Laura KAMINSKY (1956- )
    Frances WHITE (1960- )
    Augusta Read THOMAS (1964- )
    Vanessa LANN (1968- )

    Finlande

    XXe siècle
    Kaija SAARIAHO (1952- )

    France

    XIIe / XIIIe siècle
    Béatrice de Die (v.1160-1212)
    Blanche de Castille (1188-1252)

    XVIIe / XVIIIe siècle
    Élisabeth JACQUET de LA GUERRE (1666/7-1729)

    XVIIIe siècle
    Marie-Antoinette (1755-1793)

    XVIIIe siècle
    Thérésia DEMAR (1801- ? )
    Louise FARRENC (1804-1875)
    Louise Angélique BERTIN (1805-1877)

    XIXe / XXe siècle
    Pauline VIARDOT-GARCIA (1821-1910)
    Cécile CHAMINADE (1837-1944)
    Augusta HOLMES (1847-1903)
    Guy d’HARDELOT (1858-1936)
    Henriette RENIE (1875-1956)
    Lili BOULANGER (1893-1918)
    Nadia BOULANGER (1887-1979)
    Germaine TAILLEFERRE (1892-1983)
    Marcelle de MANZIARLY (1899-1989)

    XXe siècle
    Marguerite MONNOT ( ? -1961)
    Claude ARRIEU (1903- )
    Madeleine PERISSAS (1906-1971)
    Yvonne DESPORTES (1907-1993)
    Paule MAURICE (1910-1967)
    Yvonne DALY (1918- )
    Adrienne CLOSTRE (1921- )
    Jeanne DEMESSIEUX (1921-1968)
    Janine RUEFF (1922- )
    Monique GABUS (1924- )
    Ida PRESTI (1924-1964)
    Eliane RADIGUE (1924- )
    Jeannine RICHER (1924- )
    Denise ROGER (1924- )
    Ginette KELLER (1925- )
    Betsy JOLAS (1926- )
    Ida GOTKOVSKI (1933- )
    Lucie ROBERT (1936- )
    Isabelle ABOULKER (1938- )
    Michèle BOKANOVSKI (1943- )
    Michèle REVERDY (1943- )
    Françoise BARRIERE (1944- )
    Christine MENNESSON ( ? )
    Joëlle LEANDRE (1951- )
    Karen TANAKA (1961- ) [originaire du Japon]

    Hongrie

    XXe siècle
    Erzsébet SZÖNY (1924- )
    Katalin POCS (1963- )

    Israël

    XXe siècle
    Verdina SHLONSKY (1909/13-1990)
    Zippi FLEISCHER (1946- )
    Shulamit RAN (1949- )

    Islande

    XXe siècle
    Karolina EIRIKSDOTTIR (1951- )

    Italie

    XVIe siècle
    Maddalena CASULANA DE MEZARII (v.1540-v.1583)

    XVIe / XVIIe siècle
    Francesca CACCINI (v.1581-v.1640)
    Gracia BAPTISTA (16e - 17e s.)

    XVIIe siècle
    Barbara STROZZI (1619-v. 1664)

    XVIIe / XVIIIe siècle
    Camilla DE ROSSI (fin XVIIe / XVIIIe siècle)

    XVIIIe siècle
    Maddalena SIRMEN LOMBARDINI (v.1735-v.1800)
    Anna BON DI VENEZIA (1738/40-1767)

    XIXe / XXe siècle
    Adelina PATTI (1843-1919)

    XXe siècle
    Ada GENTILE (1947- )
    Serena TAMBURINI (1948- )

    Japon

    XXe siècle
    Keiko ABE (1937- )
    Toyoko YAMASHITA (1942- )
    Izumi NAKAGAWA ( > 1945)
    Mayako KUBO (1947- )
    Karen TANAKA (1961- )

    Norvège

    XIXe / XXe siècle
    Agathe BACKER-GRONDHAL (1847-1907)

    XXe siècle
    Maj SONSTEVOLD (1917- )
    Ruth BAKKE (1947- )
    Cecilie ORE (1954- )

    Nouvelle-Zélande

    XXe siècle

    Annea LOCKWOOD (1939- )

    Pays-Bas

    XIXe / XXe siècle

    Catharina VAN RENNES (1858-1940)
    Elisabeth KUYPER (1877-1953)
    Rosy WERTHEIM (1888-1949)
    Henriette BOSMANS (1895-1952)

    XXe siècle

    Iet STANTS (1903-1968)
    Tera de MAREZ OYENS (1932- )
    Margriet HOENDERDOS (1952- )

    Pologne

    XVIIIe / XIXe siècle
    Maria SZYMANOWSKA (1789-1831)

    XVIIIe siècle
    Tekla BADARZEWSKA-BARANOWSKA (1834-1861)

    XXe siècle
    Grazyna BACEWICZ (1913-1969)
    Janina GARSCIA (1920- )
    Krystyna MOSZUMANSKA-NAZAR (1924- )
    Barbara NIEWIADOWSKA (1938- )
    Joanna BRUZDOWICZ (1943- )
    Marta PTASZYNSKA (1943- )

    Tchèquie

    XXe siècle
    Jana OBROVSKA (1930- )
    Ivana LOUDOVA (1941- )

    Roumanie

    XXe siècle
    Carmen PETRA-BASACOPOL (1926- )
    Myriam MARBE (1931- )
    Adrianna HÖLSZKY (1943- )

    Royaume-Uni

    XVIe siècle
    Ann BOLEYN (v.1507-1536)

    XVIIIe siècle
    Elisabetta de GAMBARINI (1731-1765)
    Cecilia Maria BARTHELEMON (v.1770- ? )

    XVIIIe / XIXe siècle
    Mary Hester PARK (1775-1822)

    XVIIIe siècle
    Mary PLUMSTEAD (1805-1890)
    Jane SCOTT-SPOTTISWOODE (1810-1900)

    XIXe / XXe siècle
    Annie FORTESCUE HARRISON (1851-1944)
    Maude Valérie WHITE (1855-1937)
    Ethel Mary SMYTH (1858-1944)
    Amy WOODFORDE-FINDEN (1860-1919)
    Liza LEHMANN (1862-1918)
    Teresa DEL RIEGO (1876-1968)
    Myra HESS (1890-1965)

    XXe siècle
    Priaulx RAINIER (1903-1986)
    Elisabeth POSTON (1905-1987)
    Elisabeth LUTYENS (1906-1983)
    Grace WILLIAMS (Ecosse) (1906-1977)
    Imogen HOLST (1907- )
    Elisabeth MACONCHY (1907-1994)
    Dilys ELWYN-EDWARDS (Ecosse) (1920- )
    Madeleine DRING (1923-1977)
    Thea MUSGRAVE (Ecosse) (1928- )
    Nicola LEFANU (1947- )
    Sylvia HALLET (1953- )
    Judith WEIR (Ecosse) (1954- )
    Evelyn GLENNIE (Ecosse) (1965- )

    Russie

    XXe siècle

    Galina USTVOLSKAYA (1919- )
    Sofia GUBAÏDULINA (1931- )
    Elena FIRSOVA (1950- )
    Tatiana KOMAROVA (1968- )

    Slovaquie

    XXe siècle
    Viera JANARCEKOVA (1941- )

    Suède

    XIXe / XXe siècle
    Amanda MAIER (1853-1894)
    Laura NETZEL (1839-1927)
    Elfrida ANDREE (1841-1929)
    Laura Valborg AULIN (1860-1928)
    Alice TEGNER (1864-1943)

    XXe siècle
    Kerstin JEPPSON (1948- )
    Ase HEDSTROM (1950- )

    Suisse

    XXe siècle
    Marianne SCHROEDER ( ? - )
    Tona SCHERCHEN-HSIAO (1938- )

    Uruguay

    XXe siècle
    Graciela PARASKEVAIDIS (1940- )

    #on_ne_les_entend_jamais #musique #femmes

  • Hannah Arendt – une femme dans l’histoire | Cinémadoc
    http://culturevisuelle.org/cinemadoc/2013/10/08/hannah-arendt-une-femme-dans-lhistoire

    Une révolutionnaire, une soeur, une philosophe, trois #femmes, qui partagent d’autres points communs dans la manière dont leur histoire est mise en scène. Leur premier point commun est de refuser un monde globalement dominé par les hommes. Le deuxième réside dans une forme d’adéquation entre leur mode de pensée et leurs actions. Elles refusent les conventions. Elles ont, chacune à leur manière, créée des tensions politiques, qui vont les amener à être des figures à la fois marginales, décriées et reconnues (parfois jusqu’à l’idolâtrie). Troisièmement, elles sont présentées par la réalisatrice comme des figures unilatéralement positives. Leurs contradicteurs ne sont jamais mis en valeur. Quatrièmement, elles sont représentées comme étant des êtres de chair. En plus de leurs actions politiques ou spirituelles, elles sont représentées comme ayant des désirs et comme étant capables de les exprimer. Cinquièmement – et c’est peut-être le point le plus important pour von Trotta -, il s’agit de femmes qui prennent la parole. Hildegarde de Bingen dicte ces visions. Rosa Luxembourg déclame ces discours. Hannah Arendt publie ces pensées. Dans les trois films, des séquences clefs sont consacrées à ces prises de paroles. A chaque fois, ces prises de positions ont des conséquences dans l’espace public. Hildegarde de Bingen fonde l’abbaye de Rupertsberg (1147). Elle défit pour cela la hiérarchie masculine du couvent de Disibodenberg. Rosa Luxembourg participe à la révolte spartakiste de Berlin (1919). Elle a préalablement dû s’imposer au sein de la direction du parti qui est presque exclusivement composée d’homme. Hannah Arendt créé une polémique (1962). Elle lance un défit aussi bien aux philosophes, qu’aux hommes politiques et aux critiques new-yorkais.

    #cinéma