person:john kirby

  • Bachar el-Assad aux médias américains : « Un capitaine ne quitte pas son navire en cas de tempête » - France Révolution
    http://france-revolution-investigative-reporter.over-blog.com/2016/11/bachar-el-assad-aux-medias-americains-un-capitaine-ne-quitte-pas-son-navire-en-cas-de-tempete.html

    Pour la première fois depuis plusieurs mois, le président syrien s’est exprimé devant des médias occidentaux, qu’il a accusés de le diffamer tout en soutenant les terroristes. Il a aussi promis de quitter son poste qu’à la fin de son mandat.

    Dans son entretien avec le New York Times et le New Yorker le 31 octobre à Damas, Bachar el-Assad a parlé de la Syrie et de son avenir personnel en tant que président du pays. 

    Réfléchissant à ce que les médias traditionnels occidentaux qualifient de « criminel de guerre », attribuant au chef d’Etat syrien la mort de milliers de civils lors de la guerre civile, Bachar el-Assad a déclaré que le soutien que continue de lui apporter le peuple syrien depuis le début du conflit ne coïncidait absolument pas avec l’image de dictateur sanguinaire dépeinte par l’Occident.

    « Supposons que ces allégations soient vraies et que je sois un président qui assassine son propre peuple tandis que l’Occident, qui s’autoqualifie de "monde libre", aide les Syriens à échapper au "méchant"… Dans ce cas, en tant que leader du pays, j’aurais perdu tout soutien de la population depuis très longtemps », a indiqué Bachar el-Assad.

    « Comment pourrais-je être président si je tue mon peuple et que mon peuple est ligué contre moi ? Cela est totalement déconnecté de la réalité », a ajouté le président Assad, soulignant le manque d’attention des médias occidentaux à l’égard des atrocités commises par les factions terroristes en Syrie que, par ailleurs, personne ne qualifie de « crimes des guerre ». 

    « Toutes leurs Unes [des médias occidentaux] parlent du "méchant président qui tue les gentils combattants de la liberté" », a rappelé le chef de l’Etat syrien, dénonçant un tableau simpliste dressé par les médias sur le conflit. 

    Bachar el-Assad a ajouté qu’il honorerait son septennat qui a commencé en 2014 après une victoire écrasante avec près de 90% des votes.

    « Lorsque vous êtes capitaine d’un navire, en cas de tempête, vous ne vous jetez pas à l’eau pour fuir à la nage, vous amenez le navire vers le rivage », a déclaré le président syrien. 

    Bachar el-Assad a fait valoir que beaucoup de ses opposants politiques s’étaient ralliés à lui dans les circonstances de la guerre, craignant que la Syrie ne soit démantelée et que les djihadistes ne prennent le pouvoir en cas d’effondrement de la structure politique du pays.

    « Ils [les opposants politiques au parti Baas de Bachar el-Assad] ont appris la valeur de l’Etat », a déclaré le leader syrien, cité par le New York Times, ajoutant que ce n’était pas un changement soudain d’avis politique qui avait ramené l’opposition vers le dirigeant, mais la crainte d’un effondrement du pays et d’un chaos global en Syrie. 

    Alors que les principaux médias occidentaux continuent d’imputer à Bachar el-Assad tous les crimes de guerre possibles, l’accusant de mener une campagne de bombardement à l’aveugle dans la partie orientale d’Alep, le président syrien a rétorqué en rappelant les violations du droit international commises par l’Occident, comme l’invasion de la Libye, toujours ébranlée par la guerre civile et actuellement au bord de l’effondrement économique. 

    En réalité, tout ce que les Etats-Unis ont fait en Syrie depuis la création de la coalition internationale contre l’Etat islamique, c’est justement d’étendre l’influence de l’EI, le tout afin de renverser le gouvernement
    « Ce n’est pas nous qui avons attaqué l’Irak sans mandat des Nations unies. Ce sont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et leurs alliés. Ce n’est pas nous qui avons attaqué la Libye et détruit la structure gouvernementale du pays », a rappelé le président syrien, ajoutant que les puissances occidentales n’avaient pas le droit d’intervenir dans les affaires intérieures de pays indépendants pour la seule raison que leur structure politique ou leurs dirigeants ne leur convenait pas. 

    « Même si vous avez affaire au pire gouvernement en Libye, ce n’est pas votre mission, que ce soit les Etats-Unis ou tout autre gouvernement, de changer la structure de pays étrangers », a-t-il souligné, ajoutant qu’une menace similaire pesait actuellement sur la Syrie où les Etats-Unis travaillaient à évincer le gouvernement plutôt qu’à combattre le terrorisme.

    « En réalité, tout ce que les Etats-Unis ont fait en Syrie depuis la création de la coalition internationale contre l’Etat islamique, c’est justement d’étendre l’influence de l’EI, le tout afin de renverser le gouvernement », a-t-il maintenu. 

    Bachar el-Assad a par ailleurs soutenu que pour un retour à la vie normale en Syrie, il fallait revenir aux principes laïques en vigueur dans le pays avant le conflit, tout en déracinant les idées de l’islam radical qui rejette toute autre vision du monde.   

    « Un gouvernement laïc inclut la liberté de religion, l’islamisation, elle, signifie le rejet de tous ceux qui pensent et agissent différemment », a insisté le dirigeant syrien.

    Le chef de l’Etat a également rappelé que le gouvernement syrien n’avait pas coupé tous ses liens avec l’Occident et qu’il entamait un dialogue avec certains pays occidentaux, y compris avec les Etats-Unis, « par différentes voies ». Il a cependant souligné que la Syrie n’avait pas l’intention de se transformer en « pays marionnette » dont l’Occident tirerait les ficelles. 

    John Kirby, porte-parole du département d’Etat américain, a réaffirmé la position de Washington sur le maintien du président syrien en insistant sur le fait que Bachar el-Assad ne devait pas faire partie de l’avenir à long terme de la Syrie, ajoutant que « rien n’avait changé » dans la vision de l’administration américaine sur la question.

  • US urges Israel to protect freedom of expression after Netanyahu attacks rights groups
    Oct. 18, 2016
    http://www.maannews.com/Content.aspx?ID=773618

    BETHLEHEM (Ma’an) — The United States State Department defended Israeli human rights group B’Tselem in an interview with Israeli newspaper Haaretz on Monday, saying the US was “troubled” by the recent attacks on the group by Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu.

    Meanwhile, the Israeli government has also recently come under fire for its targeting of foreign activists, and ongoing crackdown on freedom of expression through incarcerating Palestinians — including minors — over Facebook posts.

    US State Department Spokesman John Kirby told the newspaper that “the (US) administration values the information published by the two nonprofits about the situation in the West Bank,” referring to B’Tselem and Americans for Peace Now, two NGOs who spoke before the United Nations Security Council (UNSC) on Friday regarding illegal Israeli settlement expansion in the occupied Palestinian territory.

    #B’Tselem #Peace_Now

  • Arab coalition says targets Houthi forces after ship attack | World | Reuters
    http://af.reuters.com/article/worldNews/idAFKCN122064

    Arab coalition forces have launched operations against militia boats of Yemen’s Houthi group that struck a civilian logistics ship on a humanitarian voyage in a strategic Red Sea shipping lane, the Saudi-led alliance said.

    The vessel, an Australian-built high-speed logistics catamaran under lease to the United Arab Emirates military, was attacked by Houthi fighters near the Bab al-Mandab strait off Yemen’s southern coast on Saturday. The coalition rescued its civilian passengers. No crew were hurt.

    In a statement late on Saturday, the coalition said the vessel belonged to the UAE Marine Dredging Company “on its usual route to and from Aden to transfer relief and medical aid and evacuate wounded civilians to complete their treatment outside Yemen.

  • Jérusalem-Est : Washington dénonce des actions « provocatrices »
    AFP | Modifié le 28/07/2016 à 10:40 | Publié le 28/07/2016 à 01:02
    http://www.lepoint.fr/monde/constructions-a-jerusalem-est-washington-denonce-des-plans-israeliens-provoc

    Le département d’Etat américain s’est dit mercredi « profondément préoccupé » par les projets du gouvernement israélien annoncés cette semaine de faire construire des centaines de logements destinés à des colons à Jérusalem-Est, la partie palestinienne de la ville annexée et occupée par Israël.

    « Nous restons troublés par le fait qu’Israël continue de mener ce schéma d’actions provocatrices et contreproductives, qui soulèvent des questions sérieuses sur l’engagement d’Israël en faveur d’une solution pacifique et négociée avec les Palestiniens », a indiqué le porte-parole de la diplomatie américaine, John Kirby.

    « Nous sommes profondément préoccupés par des informations faisant état aujourd’hui d’un appel d’offre du gouvernement d’Israël concernant 323 logements dans les colonies de Jérusalem-Est », poursuit-il dans un communiqué.

    Le département d’Etat cite également le projet annoncé lundi de faire avancer la construction de 770 autres logements pour des colons israéliens à Jérusalem-Est, ce qui a déclenché les condamnations de l’ONU et des Palestiniens.

    « Ces mesures prises par les autorités israéliennes sont le dernier exemple de ce qui semble représenter une accélération des activités de colonisation, qui érodent systématiquement les perspectives d’atteindre une solution à deux Etats », palestinien et israélien, ajoute la diplomatie américaine.(...)

    #préoccupation_diplomatique

  • Le projet français de conférence entre Israël et la Palestine ajourné indéfiniment | Middle East Eye | MEE et agence | 17 mai 2016
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/le-projet-fran-ais-de-conf-rence-entre-isra-l-et-la-palestine-ajourn-

    Une conférence sur le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens, qui devait se tenir le 30 mai prochain à Paris, a été reportée, a déclaré le président français François Hollande ce mardi.

    « [Le secrétaire d’État américain] John Kerry ne peut pas venir le 30 mai donc elle est retardée. Elle aura lieu dans l’été », a-t-il déclaré sur une station de radio française.

    François Hollande a affirmé qu’il était vital pour la France de prendre « une initiative forte » dans ce conflit.

    « [Sinon], qu’est-ce qui va se passer ? La colonisation, les attaques », a-t-il avancé.

    La date originellement prévue pour la conférence tombe le même jour que le Memorial Day, un jour férié américain en hommage aux membres des forces armées qui sont morts au combat.

    « Nous sommes actuellement en discussion avec la France pour trouver une autre date possible qui puisse mieux convenir au secrétaire d’État », a annoncé lundi John Kirby, porte-parole du département de la Défense des États-Unis, ajoutant toutefois que l’agenda de John Kerry était actuellement « plein à craquer ».

    Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, se trouvait dimanche à Jérusalem et Ramallah pour présenter l’initiative française de paix au Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et au président palestinien Mahmoud Abbas.

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    La conférence de Paris sur le Proche-Orient reportée à l’été
    Par RFI Publié le 17-05-2016
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20160517-israel-territoires-palestiniens-conference-paris-report-kerry-absence-d

    La conférence de Paris consacrée à la relance du processus de paix entre Israël et les Territoires palestiniens n’aura pas lieu le 30 mai, mais au début du mois de juillet. C’est ce que le président François Hollande a déclaré ce mardi 17 mai. Lors de son voyage au Proche-Orient, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault avait défendu dimanche dernier la proposition de la France, une initiative rejetée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, qui plaide pour des négociations bilatérales avec les Palestiniens. Pour justifier ce report, le président de la République française a invoqué l’absence du secrétaire d’Etat américain John Kerry le 30 mai.

    #Pas_conférence_ris

    • Israël-Palestine. Initiative française : un coup d’épée dans l’eau ?
      http://www.courrierinternational.com/article/israel-palestine-initiative-francaise-un-coup-depee-dans-leau

      Outre-Atlantique, on reconnaît la pression de l’Etat hébreu pour que les Américains refroidissent toute velléité française, note The Washington Post.

      Et pourtant, comme le fait remarquer Ha’Aretz, “les reportages sur le rejet de l’initiative française par le gouvernement israélien vont de nouveau faire tourner ces mots dans le monde entier. Israël. Rejette. La paix.”

    • La France peut-elle jouer un rôle dans le processus de paix israélo-palestinien ?
      Par Anne Soetemondt | Diffusion : lundi 16 mai 2016
      http://www.rfi.fr/emission/20160516-france-peut-elle-jouer-role-central-relance-processus-paix-po
      La France veut débloquer la situation au Proche-Orient. Le chef de la Diplomatie française, Jean-Marc Ayrault, était le 15 mai 2016 à Jérusalem et Ramallah pour présenter son projet français. Une réunion ministérielle le 30 mai 2016, puis une conférence de paix à l’automne. Paris veut donc remobiliser la Communauté internationale pour résoudre un conflit passé au second plan dans la région, depuis l’éclosion du conflit syrien. Le projet français est-il crédible ?
      La France peut-elle jouer un rôle dans le processus de paix israélo-palestinien ?
      Pour en débattre :
      – Gilles Pargneaux, député européen, vice-président de la Délégation du Parlement européen pour les relations avec les pays du Machrek.
      – Julien Salingue, chercheur en Sciences politiques, auteur du livre La Palestine des ONG, éditions La Fabrique, et auteur du blog « A la recherche de la Palestine ».

      https://www.youtube.com/watch?v=tCsO5WL3dbY

  • Syria Truce Comes With Price, but Not for Assad
    By DAVID E. SANGER FEB. 26, 2016
    http://www.nytimes.com/2016/02/27/world/middleeast/syria-truce-comes-with-price-but-not-for-assad.html

    Une #partition de la #Syrie oui, mais pas n’importe laquelle (ne dit pas l’article),

    Mr. Gordon noted that the cessation of hostilities agreement may “effectively start to develop into a de facto partition of the country, whereby different ethnic groups control the regions they are currently holding.” That is what worries the Israelis, who see a Syrian-Russian-Iranian axis developing on their border, a group that already has the support of the terrorist group Hezbollah.

    Over time, European and Israeli officials say, the cease-fire may give Mr. Assad lasting control of the string of major cities — Damascus to Homs to Aleppo — that are now increasingly in his control, thanks to Russian and Iranian support. And it begins to etch out other territory for the Sunni opposition groups backed by Washington and the Arab states, while giving a sliver in the north to the Kurds.

    John Kirby, Mr. Kerry’s spokesman, disputes the idea that the agreement would carve Syria along the existing battle lines. “You need to look at the text,” he said. “Every document includes explicit commitment to the sovereignty and territorial integrity of Syria, and you could argue that we’ve actually made a stronger commitment against partition than ever before, because all of the parties have signed on to that notion.”

    A senior administration official, who would not speak on the record about the internal White House deliberations, argued that the separate enclaves were temporary and would make it possible for negotiations on a political settlement to get started.

  • John Kirby, porte-parole du State Department, à un journaliste qui lui demandait comment faire quand un allié (la Turquie) traitait un autre allié (le YPG/PYD) de terroriste, a répondu que l’administration américaine était habituée à gérer cette situation et a rappelé que « nous [les Américains] ne considérons pas le PYD comme terroriste ». Vidéo en lien :
    https://twitter.com/zaidbenjamin/status/696821344781078528

    Cette capacité à gérer la situation, il va falloir continuer à l’exercer, John :
    Turquie : l’ambassadeur américain convoqué après des déclarations du Pentagone sur les Kurdes de Syrie AFP / L’OLJ
    https://www.lorientlejour.com/article/969432/turquie-lambassadeur-americain-convoque-apres-des-declarations-du-pen

    L’ambassadeur des Etats-Unis à Ankara a été convoqué mardi au ministère turc des Affaires étrangères après des déclarations la veille d’un responsable américain affirmant que le principal parti kurde de Syrie n’était pas « terroriste », ont rapporté les médias.
    Les autorités turques, qui considèrent le Parti de l’union démocratique (PYD) comme un groupe « terroriste », lui ont fait part de leur « malaise » après un commentaire du porte-parole du département d’Etat américain John Kirby indiquant qu’il ne considérait pas ce parti comme une « organisation terroriste », a précisé le quotidien Hürriyet.

    #PYD #YPG #Turquie

  • Officiellement la communication de la diplomatie américaine suit la narrative dominante que nous assène les médias - ou bien est-ce l’inverse ? Si Genève a échoué ce serait uniquement à cause de l’appui russe au régime syrien qui a mené à une dramatique avancée de son armée au nord d’Alep, en plein pourparlers.
    Mais off the record, un brin agacé, Kerry lâche une toute autre analyse. Au cours d’une conférence de donateurs à Londres, Kerry en aparté a accusé l’opposition d’avoir abandonné les pourparlers et d’avoir ainsi pavé la route à l’offensive syro-russe et a enjoint ses interlocuteurs à blâmer leur opposition plutôt que lui-même :
    http://www.middleeasteye.net/news/opposition-blame-syrian-bombing-kerry-tells-aid-workers-1808021537

    During a conversation on the sidelines of this week’s Syria donor conference in London, sources say, Kerry blamed the Syrian opposition for leaving the talks and paving the way for a joint offensive by the Syrian government and Russia on Aleppo.
    “‘He said, ‘Don’t blame me – go and blame your opposition,’” one of the aid workers, who asked to remain anonymous to protect her organisation, told Middle East Eye.

    Et un peu plus loin dans l’article est développée l’anecdote : à ces deux travailleurs humanitaires syriens qui reprochaient alors à Kerry de ne pas avoir assez fait pour protéger les civils, Kerry aurait répondu que c’était l’opposition qui ne voulait pas des négociations, ni d’un cessez-le-feu et qui était partie. Il aurait ensuite demandé : « Que voulez-vous que je fasse ? Que j’entre en guerre contre la Russie ? C’est ce que vous attendez de moi ? ».
    [Bin oui, John, c’est bien ça !]

    Two Syrian aid workers said they approached Kerry at a donor conference drinks reception and told him that he had not done enough to protect Syrian civilians. He then said they should blame the opposition.
    "He said that basically, it was the opposition that didn’t want to negotiate and didn’t want a ceasefire, and they walked away,” the second of the aid workers told MEE in a separate conversation and also on the basis of anonymity.
    “‘What do you want me to do? Go to war with Russia? Is that what you want?’” the aid worker said Kerry told her.

    A la suite de cet article, le porte-parole du State Department, John Kirby, a twitté une dénégation à l’intention de Charles Lister qui semblait s’indigner de la chose, indiquant que l’histoire était fausse :
    https://twitter.com/statedeptspox/status/696126611607912448

    @Charles_Lister Story wrong. @JohnKerry didn’t blame oppo for collapse of talks, doesn’t have comms w/regime & hasn’t wavered on Asad.

    Pourtant, comme l’a justement remarqué l’avisé blogueur Moon of alabama, le compte twitter officiel US Embassy Syria rapportait le 6 février des propos de Kerry à propos des bombardements de civils en Syrie (par le régime) : « Cela doit cesser. Mais ça ne cessera pas en quittant la table [des négociations] ou en refusant d’engager les discussions » :
    https://twitter.com/USEmbassySyria/status/696046559486607360

    This has to stop. But it’s not going to stop by walking away from the table or not engaging

    Ce tweet, avec sa claire accusation envers l’opposition, laisse penser que l’histoire a de bonnes chances d’être vraie.

    Rappelons que sur seen this il avait été remarqué avant le début des pourparlers que, d’une part l’opposition de Ryadh multipliait les prérequis et que #ça_commence_à_en_faire_des_conditions, alors même que le principe de Genève était justement de s’assoir à la table sans conditions. D’autre part que la dynamique était clairement négative sur le terrain militaire pour ceux-là mêmes qui adoptaient cette attitude d’obstruction, qui semblait donc avoir tout d’irrationnel.

  • Saudi Arabia offers to send ground troops to Syria to fight Isis | World news | The Guardian

    http://www.theguardian.com/world/2016/feb/04/saudi-arabia-ground-troops-syria-fight-isis

    Saudi sources told the Guardian that thousands of special forces could be deployed, probably in coordination with Turkey

    Syrian government troops fire at Isis group positions near Mahin, Syria. Photograph: AP

    Ian Black Middle East editor
    @ian_black

    Thursday 4 February 2016 20.06 GMT
    Last modified on Thursday 4 February 2016 20.07 GMT

    Saudi Arabia has offered for the first time to send ground troops to Syria to fight Islamic State, its defence ministry said on Thursday.

    “The kingdom is ready to participate in any ground operations that the coalition (against Isis) may agree to carry out in Syria,” said military spokesman Brigadier General Ahmed al-Asiri during an interview with al-Arabiya TV news.

    #arabie_saoudite #syrie #ei #is #isis

    • Très sceptique sur les capacités militaires des forces, même spéciales, des Saoudiens. J’imagine que l’apport serait surtout financier et en termes de couverture politique.
      Reste que cela relance l’idée qu’il y a dans les cartons d’Erdogan un plan d’invasion du nord de la Syrie.
      Sur le site de l’influent think tank WINEP on trouvait déjà évoqué, il y a peu, un plan américano-turc pour contenir le PYD en prenant du territoire à Da’ich :
      http://seenthis.net/messages/450143
      Patrick Cockburn, il y a quelques jours, se demandait dans The Independent si Erdogan, étant ce qu’il est, ne serait pas tenté par un tel coup de force - avec ou sans l’aval de Washington -, malgré son caractère désormais extrêmement risqué, voire apocalyptique :
      http://www.independent.co.uk/news/world/middle-east/syrian-civil-war-could-turkey-be-gambling-on-an-invasion-a6844171.htm

      Il se pourrait bien que ce soit ce genre d’espérances, parmi d’autres et fondées ou pas, qui a fait que l’opposition de Ryadh s’est fait un devoir de multiplier les conditions à Genève, malgré la dynamique négative sur le terrain militaire pour eux. Question posée ici par : @nidal : http://seenthis.net/messages/455545#message455976

    • Et le point de vue de Pepe Escobar sur la question :
      http://seenthis.net/messages/457872

      Comme si les choses n’étaient pas assez confuses, tous ces think tanks formant le royaume du baratin aux USA nous rabâchent maintenant qu’il y a une entente entre Washington et Ankara pour ce qui sera, à toutes fins utiles, une invasion turque au nord de la Syrie, sous le prétexte d’écraser Daesh au nord d’Alep.
      C’est de la foutaise. Le jeu d’Ankara comprend trois volets : soutenir ses mandataires turkmènes lourdement meurtris ; assurer le maintien des activités dans le corridor menant à Alep (où passe la cruciale autoroute djihadiste liant la Turquie à la Syrie) ; et surtout empêcher par tous les moyens les Kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) de relier Afrin à Kobané et d’unir ainsi les trois cantons des Kurdes syriens à proximité de la frontière turque.
      Tout cela n’a rien à voir avec la lutte contre Daesh. Le plus dingue, c’est que Washington aide actuellement les Kurdes syriens en leur fournissant un appui aérien. Le Pentagone doit ou bien soutenir les Kurdes syriens, ou bien soutenir Erdogan dans son invasion du nord de la Syrie. La schizophrénie n’a pas sa place ici.
      Un Erdogan au désespoir pourrait être assez cinglé pour affronter l’Armée de l’air russe pendant sa supposée invasion. Poutine a dit officiellement que la réponse à toute provocation sera immédiate et fatale. Pour couronner le tout, les Russes et les Américains coordonnent maintenant leurs sorties aériennes au nord de la Syrie.

    •  :)

      Balanche, lui, semble se faire l’avocat d’un envoi de troupes occidentales au sol, pour éviter une escalade turco-russe :
      http://www.washingtoninstitute.org/policy-analysis/view/the-struggle-for-azaz-corridor-could-spur-a-turkish-interventio

      TURKISH INTERVENTION?

      The Azaz corridor holds major strategic importance for Turkey, but will that be enough to spur direct intervention? If the corridor falls and Ankara fails to respond, rebel groups would interpret it as a sign of weakness, while the international community would view it as capitulation to Russia. With the Azaz border link closed, Russia could then help the Syrian army and its Shiite allies lock other Turkish crossing points between Bab al-Hawa and Jisr al-Shughour, effectively putting the entire province of Idlib in a net. This would mean a near total defeat for Ankara’s Syria policy. And if the corridor’s fall were accompanied by ethnic cleansing of the area’s large Turkmen population (who are ethnic kinsmen of the Turks) or IS violence against civilians, Turkish public opinion would be further riled up.

      Does Putin underestimate Turkey’s offensive capacity? Thus far, the Turkish army has refused to send ground troops into Syria; the National Intelligence Organization (MIT) is the agency in charge of Turkish operations there. Russia’s presence will remain the main deterrent to large-scale Turkish intervention, though Ankara would likely escalate indirectly to prevent the corridor’s fall. Then again, Putin may well want Turkey to intervene directly against the PYD, since that could force the Kurdish group to join the Russian alliance and deprive the West of its only efficient actor on the ground against IS. To avoid this disaster, Western countries should send ground troops to occupy strategic locations such as Azaz and fight IS directly.
      The Azaz corridor may or may not fall, but the bigger U.S.-Turkish goal remains securing the Marea-Jarabulus corridor from IS, and any future Azaz-Jarabulus corridor if Azaz falls to the group. In other words, if the corridor is overrun, broader US-Turkish policy in this area (backed by allies from Incirlik) would essentially become two steps forward, one step back.

    • @gonzo : ça renvoie à ta remarque sur le nouveau « statut » des chercheurs devenus militants/lobbyistes, qui se mettent à dire où et quand, à leur avis, il serait bon que nous bombardions. Si ces « experts » se mettaient à expliquer qui et quoi bombarder en Israël, où quelle partie de la Galilée il faudrait occuper stratégiquement, je ne doute pas qu’on se hâterait de les rappeler à un peu plus de sérieux dans leur travail académique.

      Mais p’têt que c’est ce qui est demandé quand on rejoint le WINEP (des conseils de trucs à occuper dans le monde arabe).

    • J’espère ne pas couper cette discussion qui s’amorce - ou plutôt reprend -, et m’intéresse, sur la question du statut des chercheurs.
      En incise donc, les déclarations officielles russes sur les suspicions de préparatifs d’invasion, les dénégations turques, et les Américains qui bottent en touche :
      http://edition.cnn.com/2016/02/04/middleeast/turkey-russia-syria-invasion-denial

      Turkish forces aren’t preparing to invade northern Syria — and Russia’s allegation that they are is an attempt to hide Moscow’s crimes in the war-ravaged nation, a source within the Turkish Prime Minister’s office told CNN on Thursday.
      “Simply they are diverting attention from their attacks on civilians as a country already invading Syria,” the source told CNN. “Turkey has all the rights to take any measures to protect its own security.”
      The comments come after Maj. Gen. Igor Konashenkov was quoted by Russian state news agency Ria Novosti as saying Moscow believes some activity on the Turkish side of the border with Syria indicates preparations for an incursion.
      “The signs of hidden preparation of Turkish armed forces for activities in the territory of Syria we notice more and more,” the general said.
      When asked about the Russian claim at a media briefing, John Kirby, a spokesman for the U.S. State Department, said: “I’m not certainly not going to get up here and speak to what the Turks are doing on that border on any given day.”

    • @Souriyâm @Nidal, c’est vrai qu’on marche encore et toujours sur des oeufs dès qu’il s’agit de Syrie mais l’intensité du barrage médiatique, quoi qu’on pense de ce p. de régime, est tout de même extraordinaire... Cela étant, je me demande vraiment comment les Turcs peuvent envisager d’entrer en Syrie, avec un soutien aussi flanchant que celui des USA et de l’Otan, et avec les Russes qui seraient assez heureux de venger l’affront subi avec leur pilote (et peut-être plus si ce qui se raconte sur l’avion dans le Sinaï est vrai). En même temps, mais je ne suis pas expert militaire, je ne sais pas si leur dispositif est adapté à ce type d’affrontement. En tout cas, si je ne vais pas pleurer pour les milliers de mercenaires, je voudrais bien espérer que le pire ne va pas arriver aux derniers « fidèles de la révolution syrienne » dont les Turcs vont faire tout ce qui est en leur pouvoir pour jouer les dernières cartes qui leur restent, à savoir fermer leur frontière pour justifier une éventuelle action internationale. Le montage médiatique a déjà commencé, il suffit de lire l’Orient-Le Jour pour le comprendre... Et l’expérience de Kobané, et de toute la guerre, aurait dû montrer aux plus lucides des « purs » qu’il ne fallait pas attendre beaucoup de soutiens désintéressés... Et comme on sait que le régime syrien va se faire un plaisir de donner la plus cruelle leçon possible aux « mutins », dans la bonne tradition familiale, l’avenir s’annonce très rose... Une diplomatie intelligente consisterait à soutenir à fond l’opposition interne, Manaa et Cie, seuls capables de minorer, au moins un tout petit peu, la répression qui s’annonce, ce que les Russes (et peut-être aussi les Iraniens) ne verraient pas forcément d’un mauvais oeil. Mais pour cela, il faudrait être intelligent, et surtout pragmatique. Je ne suis pas certain que Fabius soit l’homme de ce défi-là sur la Syrie en tout cas.

    • @gonzo : Pas grand chose à redire à ça, y compris sur le "p. de régime". Grosso modo sur la même ligne. Quelques remarques complémentaires comme hypothèses de prospective.

      Pour les Turcs et les Saoudiens il y a deux problèmes :
      1° - la tentative du régime et de ses alliés de fermer entièrement la frontière turco-syrienne au nord-ouest. Maintenant que la poche d’Azaz, avec son poste de Bab al-Salam, est isolée du reste des provinces d’Alep et de la province d’Idlib, il ne reste plus que le poste-frontière de Bab al-Hawa. Il existe certainement d’autres lieux de passage mais de moins grande ampleur et beaucoup plus incommode. Si cette tentative venait à réussir, non seulement Alep-est est menacée d‘encerclement mais aussi tous les gains obtenus en 2015 (Idlib, Jisr al-Shoughour, ...) par la coalition Jaysh al-Fatah qu’ils ont montée avec le Qatar. La conséquence serait une disparition complète de ces deux pays de l’équation syrienne.

      2° - La question de ce que deviendra le territoire syrien tenu par Da’ich à l’est. Sans que personne ne le remarque formellement, tout le monde parle et agit en ce moment comme s’ils considéraient qu’à terme il est destiné à disparaître de la région, au moins comme proto-Etat. On sait que les Turcs ne veulent pas voir le YPG kurde et leurs alliés au sein des SDF prendre la bande au nord que Da’ich tient et relier l’ensemble de leurs zones de contrôle. L’autre peur est qu’une fois la frontière nord-ouest sécurisée, l’effort du régime et de ses alliés ne se porte beaucoup plus massivement sur Da’ich en choisissant de laisser subsister des poches « rebelles » au nord-ouest - des chaudrons comme on dit à l’est de l’Ukraine - que l’armée syrienne réduirait au fil du temps, par exemple Idlib voire l’est d’Alep (Jisr al-Shoughour me paraissant, par sa position, plus stratégique qu’Idlib). Impossible alors de s’opposer à ces combats et à terme à la victoire complète du régime.
      Comment justifierait-on devant les opinions publiques occidentales les condamnations du régime et des opérations russes contre Da’ich au profit de « rebelles » qui ne le combattent pas, pour éviter cette victoire totale ? Comment éviter que le YPG ne passe entièrement dans l’orbite russe et ne devienne clairement l’allié du régime (Saleh Muslim avait déjà fait une proposition en ce sens évoquée ici) ? Comment à ce moment là la Turquie pourrait-elle envisager de s’ingérer directement pour écarter les options arrangées entre le régime et le YPG, qu’elles refusent à sa frontière, à part en se remettant directement à soutenir à Da’ich, alors que le contexte international s’y prête de moins en moins ?

      Conclusion :
      A - soit la Turquie tente un coup militaire insensé maintenant au nord-ouest - soit dans la poche d’Azaz, soit côté province d’Idlib - pour écarter le risque immédiat n°1 en profitant et organisant la mise en scène médiatique des souffrances des civils pour prétendre y créer une zone refuge (vieille idée du safe haven façon Benghazi). Il n’est pas sûr que les USA suivent et les machins militaires russes Sukhoï 35, S-400, … ont l’air d’être assez dissuasifs pour qui que ce soit de sensé…
      Un coup moins risqué serait peut-être l’envoi de missiles anti-aériens portatifs (façon afghane avec les Stinger) dans le cadre d’une nouvelle intensification de l’aide à Jaysh al-Fatah avec les Saoudiens.
      B – soit la Turquie abandonne l’idée de s’opposer autrement que par la parole au risque n°1 et s’organise avec les Saoudiens et leur « coalition islamique », en essayant d’y entraîner les USA, pour mettre des « boots on the ground » au nord-est, chez Da’ich, afin de rester dans l’équation syrienne et écarter au moins le risque n°2. C’est aussi très risqué mais les Russes auront plus de mal à s’y opposer.
      C - Soit ils reconnaissent leur défaite et soutiennent un vrai processus de négociations. Mais je n’y crois pas trop.

  • Affrontements à Jérusalem : « On assiste à des tentatives de remises en cause du statu quo »
    Publié le 15.09.2015
    http://www.20minutes.fr/monde/1686923-20150915-affrontements-jerusalem-reflete-sentiment-frustration

    Troisième journée de heurts ce mardi à Jérusalem-Est. Alors que les célébrations du nouvel an juif touchent bientôt à leur fin, la situation reste tendue sur l’esplanade des Mosquées, lieu saint pour les trois religions monothéistes. Vingt-six Palestiniens ont été blessés, deux d’entre eux hospitalisés et cinq policiers ont été blessés selon la police. Pour Elsa Grugeon, doctorante en anthropologie, spécialiste de l’esplanade, les tensions qui sévissent sur le site depuis vendredi dernier sont représentatives d’un contexte plus général et d’une lente détérioration des droits des Palestiniens dans la ville sainte.

    • Washington condamne tous les actes de violence sur l’esplanade des Mosquées
      http://www.romandie.com/news/Washington-condamne-tous-les-actes-de-violence-sur-lesplanade-des-Mosquees/629856.rom

      Washington - Les Etats-Unis ont renvoyé lundi dos à dos Israël et Palestiniens à propos des affrontements sur l’esplanade des Mosquée à Jérusalem, Washington condamnant tous les actes de violence et appelant les deux parties à éviter toute action de provocation.

      Dans une déclaration lue au début de son point de presse, le porte-parole du département d’Etat John Kirby a exprimé la profonde inquiétude de son gouvernement et a exhorté Israéliens et Palestiniens à préserver le statu quo inchangé et historique de 1967 sur l’ultra sensible esplanade des Mosquées.

    • L’ONU juge impératif de préserver le statu quo sur les lieux saints à Jérusalem
      http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=35560

      15 septembre 2015 – Le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen-Orient, Nickolay Mladenov, a jugé mardi qu’il était impératif de maintenir le statu quo concernant les lieux saints dans la Vieille ville de Jérusalem, où des affrontements ont récemment eu lieu.

      « Je commence mon exposé aujourd’hui en tenant à exprimer mon inquiétude concernant la violence et les affrontements dans et autour des lieux saints de la Vieille ville de Jérusalem », a dit M Mladenov devant les membres du Conseil de sécurité lors d’une réunion consacrée à la situation au Moyen-Orient.

      Selon lui, ces incidents « ont le potentiel de susciter de la violence bien au-delà des murs de la Vieille ville de Jérusalem ». Il a demandé instamment à tous les acteurs politiques, aux dirigeants communautaires et religieux de s’assurer que les visiteurs et les fidèles fassent preuve de retenue et de respect envers le caractère sacré de la zone.

      « Toutes les parties ont la responsabilité de s’abstenir de toute provocation et rhétorique incendiaire. Il est impératif que le statu quo historique soit préservé, conformément aux accords conclus entre Israël et Sa Majesté le Roi de Jordanie, qui est le garant des lieux saints musulmans à Jérusalem », a-t-il ajouté.

  • State Department Resumes Arms Sales to Bahrain
    https://firstlook.org/theintercept/2015/06/29/u-s-will-resume-sending-weapons-bahrain-despite-ongoing-repression

    The State Department announced it will lift its freeze on arms sales to the repressive government of Bahrain on Monday, despite the country’s myriad human rights abuses in recent years, including arbitrary detention of children, torture, restrictions for journalists and a brutal government crackdown on peaceful protestors in 2011.

    “The Administration has decided to lift the holds on security assistance to the Bahrain Defense Force and National Guard that were implemented following Bahrain’s crackdown on demonstrations in 2011,” wrote John Kirby, a State Department spokesperson, in a press release on Monday.

  • Opération Anaconda : l’#Otan se prépare en cas d’agression russe
    http://fr.euronews.com/2014/10/03/operation-anaconda-lotan-se-prepare-en-cas-dagression-russe

    12 500 soldats de l’Otan issus de neuf pays, dont le Canada et les États-Unis participent à l’exercice qui se tient près de l’enclave russe de #Kaliningrad. La décision d’augmenter la présence de l’OTAN à la frontière entre l’Europe et la #Russie a été prise lors du dernier sommet de l’Alliance atlantique.

    Les #Etats-Unis commencent une projection d’une brigade blindée en #Europe
    http://french.ruvr.ru/news/2014_10_04/Les-Etats-Unis-commencent-une-projection-d-une-brigade-blindee-en-Europe

    Par La Voix de la Russie | La semaine prochaine, les Etats-Unis vont commencer la projection d’une autre brigade blindée vers les pays d’Europe de l’Est. Cela a été annoncé par le porte-parole de #Pentagone, le contre-amiral John Kirby lors d’une conférence.

    Kirby a noté que l’expansion de la présence militaire américaine en Europe était liée à la détérioration des relations entre la Russie et l’#Occident.
    John Kirby a précisé qu’il s’agissait d’une brigade blindée lourde de Fort Hood (Texas) qui « commencera à arriver en #Estonie, #Lettonie, #Lituanie et en #Pologne la semaine prochaine dans le cadre de la mission des États-Unis visant à renforcer les liens avec ses alliés de l’OTAN ».

  • Un chasseur chinois frôle un avion militaire américain
    http://www.lapresse.ca/international/asie-oceanie/201408/22/01-4793845-un-chasseur-chinois-frole-un-avion-militaire-americain.php

    Comme d’habitude on ne connaîtra qu’une seule version,

    ...l’avion américain, un P8-Poseidon de surveillance maritime (...) effectuait une mission de routine, a déclaré le contre-amiral John Kirby, porte-parole du Pentagone.

    • China urges U.S. to stop close-in surveillance - Xinhua | English.news.cn
      http://news.xinhuanet.com/english/china/2014-08/23/c_133578974.htm

      BEIJING, Aug. 23 (Xinhua) — Chinese Defense Ministry here on Saturday urged the U.S. side to stop close-in surveillance of China, and create a sound atmosphere for bilateral military ties.

      The ministry spokesman Yang Yujun said in a statement that one U.S. anti-submarine plane and one patrol aircraft flew to an airspace about 220 kilometers east of China’s Hainan Island to conduct close-in surveillance Tuesday morning, and then a Chinese fighter jet took off to make regular identification and verification.

      Commenting on relevant criticism made by the U.S. side, Yang said that was “totally groundless,” as the Chinese pilot, with professional operation, kept the jet within a safe distance from the U.S. aircraft.

      It was U.S. massive and frequent close-in surveillance of China that endanger the two sides’ air and marine security, and is the root of accidents, he said.

      China urged the U.S. side to abide by international law and international practice, respect concerns of the coastal countries, and properly deal with the differences between the two sides on air and marine security issues, he said.

      Yang said that the U.S. side should follow the principle of non-conflict, non-confrontation, mutual respect and win-win cooperation, take concrete actions, reduce and finally stop close-in surveillance of China, so as to create a sound atmosphere for bilateral military ties.

  • Un chasseur chinois frôle ’dangereusement’ un avion américain (Pentagone)
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/08/22/97001-20140822FILWWW00279-un-chasseur-chinois-frole-un-avion-americain.php

    Un chasseur chinois a « dangereusement » frôlé par trois fois un avion militaire américain mardi au-dessus des eaux internationales à l’Est de la Chine, a annoncé le Pentagone aujourd’hui.

    « Profonde inquiétude » au Pentagone

    Le chasseur chinois, qui était armé, s’est même approché à moins de 10 mètres de l’avion américain, un P8-Poseidon de surveillance maritime qui effectuait une mission de routine, a déclaré le contre-amiral John Kirby, porte-parole du Pentagone. Le pilote chinois a effectué un « tonneau » au-dessus de l’appareil américain et à un autre moment il est arrivé perpendiculairement au Poseidon et a « exhibé ses armes ». L’incident, qui se produit à un moment de tensions entre la Chine et ses voisins, s’est déroulé à environ 220 km à l’Est de l’île chinoise de Hainan. « Nous avons fait part de notre profonde inquiétude aux Chinois quant à cette manoeuvre hasardeuse et peu professionnelle », a souligné le porte-parole du Pentagone. Il a dit ne pas avoir connaissance d’un quelconque échange radio entre les pilotes des deux appareils.

    #géopolitique
    #Chine
    #États-Unis
    « chasseur ».... #chinois
    « avion » .... #américain
    #Pentagone

  • US launches #drones from Ethiopia - Africa - Al Jazeera English
    http://english.aljazeera.net//news/africa/2011/10/20111028223554442295.html

    The White House has confirmed that the US military has unmanned drone aircraft in Ethiopia but says no strike missions are being launched from the east African country.

    “The US has unarmed and unmanned aircraft at a facility there to be used only for surveillance as part of a broad, sustained, integrated campaign to counter terrorism,” said Captain John Kirby, a US defence department spokesman, on Friday. “These unmanned aircraft are being used only for surveillance and not conducting strike missions.”