person:omar naji

  • » Updated: “Seven Palestinians, One Israeli Undercover Soldier, Killed In Gaza”
    November 12, 2018 6:02 AM - IMEMC News
    http://imemc.org/article/six-palestinians-killed-in-gaza-by-israeli-gunfire-in-southern-gaza

    After undercover Israeli soldiers infiltrated into the Gaza Strip, on Sunday at night, and assassinated two senior leaders of the Al-Qassam Brigades, the armed wing of Hamas, the army initiated a series of air strikes, the army fired missiles and shells to secure the retreat of its undercover soldiers, killing five other Palestinians. Hamas fighters exchanged fire with the soldiers killing one of them, Israeli sources have confirmed.

    Updated: The undercover soldiers were driving a Volkswagen car, and drove towards the home of Noureddin Baraka, in Bani Suheila area in Khan Younis, before stopping near the property, the al-Quds News Agency has confirmed.

    Fighters of the Al-Qassam Brigades then noticed the car and stopped it near a kindergarten in Abasan al-Kabeera town, and asked the passengers to step out of the vehicle and show their ID cards.

    It added that the undercover soldiers, who were in the backseat of the car, then opened fire at the fighters, after realizing their cover-up has been exposed.

    Al-Quds also stated that some of the undercover soldiers were wearing veils, pretending to be women.

    The senior fighter, Noureddin Baraka, was instantly killed in the initial shooting, while other fighters called for help, before chasing the car that carried the undercover forces.

    The Israeli army, stationed across the perimeter fence, started firing shells at cars and Palestinians who chased the undercover officers’ vehicle, before it crashed against a wall, and then headed toward the perimeter fence.

    So far, the Israeli soldiers who was killed in the Gaza invasion, has only been identified as (Lt. Col. M.). The army is still keeping other information classified, but his family has officially been notified.

    The Al-Qassam Brigades said the undercover soldiers who infiltrated into an area, east of the southern Gaza Strip city of Khan Younis, assassinated one of its senior leaders, identified as Noureddin Mohammad Salama Baraka, 37.
    (...)
    The Palestinians who were killed in the Israeli offensive have been identified as:

    1 Noureddin Mohammad Salama Baraka , 37.
    2 Mohammad Majed Mousa al-Qarra , 23.
    3 Khaled Mohammad Ali Qweider , 29.
    4 Mustafa Hasan Mohammad Abu Odah , 21.
    5 Mahmoud Atallah Misbih , 25.
    6 Ala’eddin Fawzi Mohammad Fseifis , 24.
    7 Omar Naji Musallam Abu Khater , 21.

    It is worth mentioning that al-Qarra just got married a few days ago. Both Baraka and al-Qarra are senior leaders of the al-Qassam Brigades.

    #Palestine_assassinée

    • Opération israélienne à Gaza : sept Palestiniens et un Israélien tués
      12.11.2018
      https://www.laliberte.ch/news-agence/detail/operation-israelienne-a-gaza-sept-palestiniens-et-un-israelien-tues/463355

      Des échanges de tirs ont opposé dimanche des soldats israéliens et des combattants du Hamas dans la bande de Gaza. Ils ont coûté la vie à sept Palestiniens et un soldat israélien, menaçant de raviver les tensions dans la région.

      Les brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du Hamas, ont affirmé qu’il s’agissait d’une opération des forces spéciales israéliennes, qui avaient tenté de s’infiltrer à l’est de Khan Younès, dans le sud de l’enclave, à bord d’un véhicule civil.

      Selon un responsable du Hamas, un groupe d’hommes armés appartenant au mouvement islamiste a été visé par des tirs provenant d’une voiture appartenant aux forces de sécurité israéliennes. Les membres du Hamas ont alors pris en chasse le véhicule, rapporte ce responsable.
      Missiles et roquettes

      Durant la course poursuite, des avions israéliens ont tiré plus de 40 missiles dans le secteur de l’incident, ont rapporté des témoins. Ils ont tué quatre autres personnes, sans qu’on sache s’il s’agit de militants armés. Des sources médicales palestiniennes ont pour leur part affirmé qu’au moins sept personnes ont trouvé la mort, dont deux commandants du Hamas nommés Nour Baraka et Mohammad Al-Qarra.

      L’armée israélienne a pour sa part indiqué dans un communiqué qu’"un officier a été tué et un autre a été légèrement blessé" lors de l’opération. Elle avait auparavant fait état d’un « échange de coups de feu » "au cours d’une opération (militaire israélienne) dans la bande de Gaza".

    • Gaza : Israël bombarde, assassine, terrorise
      Hind Khoudary & Mohammed Asad – 12 novembre 2018 – Middle East Eye – Traduction : Chronique de Palestine
      http://www.chroniquepalestine.com/gaza-israel-bombarde-assassine-terrorise

      Une mystérieuse fourgonnette Volkswagen a attiré l’attention des combattants de la brigade al-Qassam, déclenchant une fusillade puis une poursuite à travers le sud de Gaza.

      Sept Palestiniens, dont un commandant de la branche armée du Hamas, et un soldat israélien ont été tués dimanche dernier après l’entrée d’un commando sraélien dans la bande de Gaza, probablement pour la première fois depuis la guerre de 2014.

      L’objet de ce raid, qui a provoqué une poursuite, un sauvetage par hélicoptère et des heures de frappes aériennes israéliennes, restait un mystère, tandis qu’il suscitait de nouvelles violences, le Hamas lançant des roquettes en représailles sur le sud d’Israël, au milieu des frappes aériennes sur Gaza lundi soir.

      Cette tournure inhabituelle des événements, ont déclaré les habitants de la ville de Khan Younès, dans le sud du pays, a commencé vers 21 heures dimanche soir, lorsque plusieurs membres des Brigades Izz al-Din al-Qassam – la branche armée du Hamas – ont aperçu un bus Volkswagen stationné dans une zone isolée et ont été rendus méfiants.

      Un combattant palestinien a raconté à Middle East Eye que Nour Baraka, commandant de terrain âgé de 37 ans, et son assistant ont intercepté le véhicule et demandé aux passagers de montrer leurs papiers d’identité. Des coups de feu coups ont alors été tirés, sur le site d’informations israélien Walla.

  • 120 mineurs non accompagnés arrêtés en une journée

    Un record qui en dit long sur la prédisposition du Maroc de faire avec l’agenda migratoire européen.

    Plus de 120 mineurs non accompagnés ont été appréhendés dimanche à #Béni_Ansar. Il s’agit de la première vaste campagne d’arrestations opérée par les autorités marocaines depuis le début de l’année. « Ce genre de campagnes est monnaie courante dans ces zones notamment pendant cette période de l’année marquée par le retour au Maroc des MRE via le port de Béni Ansar. Mais, c’est la première fois qu’on arrête un tel nombre de mineurs au cours d’une même journée », nous a indiqué Omar Naji, président de la section AMDH-Nador. Et de poursuivre : « Le chiffre de 120 personnes prouve d’une part, que la ville compte un grand nombre de ces mineurs et d’autre part, que les autorités marocaines sont bel et bien en train d’appliquer l’agenda européen en matière de lutte contre la migration des mineurs non-accompagnés notamment celui de l’Espagne qui accuse le Maroc de laxisme dans ce dossier et cherche à l’impliquer directement dans sa gestion ».
    Les autorités marocaines ont indiqué avoir pris les dispositions nécessaires afin de remettre ces mineurs à leurs familles. Des propos auxquels Omar Naji n’accorde que peu de crédit. « Mener une telle opération est une tâche ardue. En fait, identifier plus de 120 familles en vue de leur remettre 120 mineurs demande une importante logistique et des moyens humains conséquents », nous a-t-il expliqué. Et d’ajouter : « Ceci d’autant plus que les autorités se contentent souvent de remettre ces mineurs à des chauffeurs d’autocars pour les acheminer vers leurs villes d’origine ».
    Qui sont ces mineurs non-accompagnés ? « Il s’agit de personnes âgées entre 13 et 18 ans mais la moyenne d’âge le plus représentative reste 15 ans. Elles sont originaires de #Nador et d’autres villes marocaines. Dernièrement, nous avons assisté à une forte présence de mineurs en provenance du Sud-est (Tinghir, Zagora, Errachidia…) », nous a expliqué le président de l’AMDH-Nador. Et de poursuivre : « En majorité, ces jeunes ne sont pas des enfants des rues. Ils sont souvent éduqués et issus de familles avec lesquelles ils sont en contact. Certains sont issus de familles pauvres ou de familles à problèmes ».
    Notre source nous a affirmé, par ailleurs, que ces mineurs sont souvent livrés à eux-mêmes. Ils vivent dans la rue avec leurs propres moyens. « Aucune institution ou association ne les prend en charge. Ils vivent souvent de l’aide de bienfaiteurs et de mendicité et sont confrontés à des risques énormes. A titre d’exemple, l’un d’entre eux a perdu les deux mains lors d’une tentative de passage illégal à Mellilia dans un camion-citerne.
    Notre source nous avait affirmé dans une déclaration antérieure qu’un centre d’accueil pour les mineurs non accompagnés de l’Entraide nationale existait bel et bien dans la commune d’#Al_Aroui (située à 22 km de Nador) mais qu’il était quasiment inoccupé puisque seuls 10 mineurs avaient accepté d’y résider alors que cette cité comptait près de 1.000 mineurs non-accompagnés. Ce qui veut dire que ces mineurs refusent catégoriquement de s’installer dans ce genre d’établissement malgré les sollicitations des acteurs associatifs et sociaux.
    L’idée de créer un nouveau centre qui a été proposée dernièrement par l’Espagne a pris du chemin puisqu’elle a figuré à l’ordre du jour de la session du conseil communal de Béni Ansar qui s’est tenue le 1er février dernier. Il s’agit, en effet, d’un projet qui a été proposé par le gouvernement local du préside occupé de Mellilia lors d’une réunion organisée en janvier dernier et à laquelle ont pris part des membres des autorités locales espagnoles en présence du délégué de l’Entraide nationale à Nador et des représentants de l’Association marocaine Sirag. Le gouvernement local de Mellilia a annoncé qu’il était prêt à financer ce projet à hauteur de 8 millions d’euros.
    L’AMDH avait considéré ce projet comme une manœuvre de la part des autorités ibériques pour se débarrasser de ce dossier et impliquer le Maroc dans sa gestion, tout se défaussant de leur responsabilité de garantir les droits de ces mineurs confirmés par les accords internationaux et les législations nationales.
    Ahmed Khalifa, chercheur en migration et membre de l’Association Mains solidaires, nous avait, pour sa part, précisé que ce projet s’inscrivait dans le lot des pressions exercées sur le Maroc, notamment après les problèmes causés par des mineurs à Mellilia et Sebta. Il nous avait également précisé que certaines régions espagnoles, notamment Madrid, tentent de construire des centres au Maroc afin de renvoyer ces enfants de chez-eux. Une manière de contourner la loi puisqu’il s’agit d’un #refoulement qui ne dit pas son nom. Ce projet n’a pas abouti.

    https://www.libe.ma/120-mineurs-non-accompagnes-arretes-en-une-journee_a99807.html

    #MNA #arrestations #Maroc #externalisation #asile #migrations #réfugiés #mineurs_non_accompagnés #enfants #enfance #push-back #Espagne #Melilla #Ceuta #renvois