person:raymond domenech

  • Les aventures de Tina
    (There Is No Alternative)

    Il n’y a pas d’alternative
    (Margaret Tatcher)

    Il n’y a pas d’alternative au nucléaire
    (Valéry Giscard d’Estaing)

    Il n’y a pas d’alternative à la pause
    (Jacques Delors, 1983)

    Il n’y a pas d’alternative au plan de rigueur
    (François Mitterand, 1983)

    Il n’y a pas d’alternative à la disparition de la sidérurgie en France
    (François Mitterrand)

    Il n’y a pas d’alternative à la déréglementation boursière
    (Jean-Charles Naouri)

    Il n’y a pas d’alternative à la mort de Pierre Desproges
    (Pierre Desproges)

    Il n’y a pas d’alternative à la dévaluation compétitive, c’est-à-dire à la stagnation des salaires
    (Pierre Bérégovoy)

    Il n’y a pas d’alternative aux privatisations
    (Jacques Chirac)

    Il n’y a pas d’alternative aux pesticides, aux insecticides, aux fongicides

    Il n’y a pas d’alternative à la privatisation de la régie Renault
    (Michel Rocard)

    Il n’y a pas d’alternative à la guerre du Golfe
    (Georges Bush)

    Il n’y a pas d’alternative à Maastricht
    (François Mitterrand)

    Il n’y a pas d’alternative aux Restos du Coeur
    (Le Conseil d’État qui les reconnaît d’utilité publique)

    Il n’y a pas d’alternative à l’indépendance de la Banque de France
    (L’Europe)

    Il n’y a pas d’alternative à payer les jeunes en dessous du Smic
    (Edouard Balladur)

    Il n’y a pas d’alternative à l’Euro

    Il n’y a pas d’alternative à la baisse de la fiscalité des stosk-options
    (Dominique Strauss-Kahn)

    Il n’y a pas d’alternative à la baisse de l’impôt sur les sociétés
    (Laurent Fabius)

    Il n’y a pas d’alternative à la montée de l’insécurité avant les campagnes présidentielles
    (Jacques Chirac)

    Il n’y a pas d’alternative à la disparition de l’entreprise Moulinex
    (Pierre Blayau, PDG de l’entreprise qui la quitte avec 2 millions d’euros de prime)

    Il n’y a pas d’alternative au projet de la Constitution Européenne
    (nos élites politiques et médiatiques)

    Il n’y a pas d’alternative à porter la période d’essai d’un contrat à durée indéterminée à deux ans pour les moins de 25 ans
    (Dominique de Villepin)

    Il n’y a pas d’alternative au bouclier fiscal
    (Dominique de Villepin)

    Il n’y a pas d’alternative à payer les footballeurs de l’équipe de France des ponts d’or
    (Raymond Domenech, qui ne s’oublie pas au passage)

    Il n’y a pas d’alternative à l’allongement de l’âge de la retraite
    (Nicolas Sarkozy)

    Il n’y a pas d’alternative à il n’y a pas d’alternative...

    Je suis allé partout dans le pays.
    Tous posent la même question :
    où allons-nous ?
    John Steinbeck, Les raisins de la colère.


    #TINA
    http://www.seuil.com/ouvrage/il-n-y-a-pas-d-alternative-gerard-mordillat/9782021051759

  • Lire, sur la grève des Bleus en Afrique du Sud, Traîtres à la nation ?, de Stéphane Beaud (avec extraits) - Acrimed | Action Critique Médias
    http://www.acrimed.org/article3613.html

    Le 19 juin 2010, la « une » de L’Équipe est barrée par ces mots doux que Nicolas Anelka aurait adressés, lors de la Coupe du monde de football, au sélectionneur, Raymond Domenech, à la mi-temps du match France-Mexique : « Va te faire enculer, sale fils de pute ! » Une revanche du quotidien sportif, avions nous souligné dans un autre article, après la revanche prise par Aimé Jacquet contre le quotidien en 1998. Cette « une » fut à l’origine d’une « grève de l’entraînement » par les joueurs de l’équipe de France.