person:steve jobs

  • Ces nouveaux troubles mentaux qui frappent les entrepreneurs
    https://www.lesechos.fr/amp/1019511

    Tremblez (auto)entrepreneurs : les maladies mentales sont devant vous !

    En cause, la mythologie de l’entrepreneur capable de tout sacrifier au nom de la réussite. « La Silicon Valley a lié l’idée du succès entrepreneurial à celle de la souffrance et du sacrifice. Prenez Elon Musk (PDG fondateur de Tesla), présenté comme l’un des hommes les plus créatifs du xxie siècle. Et pourtant lorsque l’on parle de lui, on valorise sa productivité : Elon dort dans les usines de Tesla, Elon bosse seize heures par jour. Même scénario avec Steve Jobs. On a mis la créativité du fondateur d’Apple sur un piédestal mais sa légende a été principalement alimentée par son addiction au travail », explique Rahaf Harfoush, anthropologue du numérique.

    Cette course à la réussite entrepreneuriale a fini par normaliser le burn-out comme condition physique de l’entrepreneur méritant.

    #Burn-out #Travail #Santé #entrepreunariat

    • Augmentalisme : Psychose liée à l’impression de ne pas être assez « augmenté ». Certains individus ne se trouvent pas assez intelligents, forts, jeunes, connectés… Des insatisfactions qui deviennent psychoses et provoquent des dénis de personnalité.

      Binarisme : Le fruit d’une utilisation excessive des ordinateurs, dont le fonctionnement binaire modifie la personnalité des utilisateurs qui souffrent d’une informatisation de leur personnalité. Leurs raisonnements se limitent à des réponses binaires : oui/non, continuer/annuler, ouvrir/fermer… Ce rationalisme excessif leur donne l’impression d’être des machines.

      Nomophobie : Le smartphone étant devenu pour certains une extension d’eux-mêmes, la peur excessive d’en être séparé et de ne plus pouvoir l’utiliser génère un stress intense, une augmentation de l’anxiété, du rythme cardiaque et de la pression artérielle. Cette pathologie peut se doubler de fomophobie, la peur de manquer une information.

      Zappite : Qualifie ces crises d’ennui provoquées par l’absence de sollicitation. Le constant zapping permis par Internet a rendu les individus accros aux clics.

      Zombiquisme : Un syndrome qui se manifeste par l’incapacité à communiquer directement avec des personnes dans une pièce : les individus sont présents physiquement mais absents mentalement.

  • 3 Women Changing The Way the World Thinks About Product Design
    https://hackernoon.com/3-women-changing-the-way-the-world-thinks-about-product-design-b40fc3802

    These entrepreneurs are nailing category design.By Christopher Lochhead, podcaster, best selling author, and 3X Silicon Valley CMOMost of us can’t go a single hour without reaching for our iPhones.But nobody even knew why they needed an iPhone until Steve Jobs told them. And he did it by creating a brand-new category: a touch-enabled “smartphone” that can connects to the internet and doubles as a media player.Rather than simply solving the problem of, “What should a phone be capable of?” Jobs redesigned the problem by showing us, then conditioning us, to equate smartphones with his product. He owned this niche. Today, it’s still the standard against which all other smartphones are measured — with over 1 billion iPhones sold and counting.To build lasting brands and products, legendary companies (...)

    #business #life #tech #entrepreneurship #marketing

  • Dans la #Silicon_Valley, le retour des #drogues #psychédéliques | Les Echos
    https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/dans-la-silicon-valley-le-retour-des-drogues-psychedeliques-1006461

    Tous les matins, c’est le même #rituel. « Je me lève, je bois un thé vert, je prends ma #dose, puis je médite un peu. Sous la douche, déjà, je commence à sentir les bénéfices, j’ai plein d’idées qui apparaissent. » Lové dans un fauteuil de l’hôtel Rosewood Sand Hill, le QG officieux de la crème de la Silicon Valley, à deux pas du siège de Facebook, l’entrepreneur #Cory_McCloud admet ne pas pouvoir fonctionner sans sa « microdose » de #LSD . « Je prends un dixième d’une dose normale, parfois deux dixièmes selon les jours, détaille ce quadra, qui a vendu, au tournant des années 2000, sa première start-up d’édition en ligne à Martin Eberhard, le cofondateur de Tesla. Je le fais de façon quasi quotidienne depuis plusieurs années. Avec le temps, j’ai optimisé mon protocole. Ca m’aide à concevoir des systèmes dans ma tête, à imaginer les architectures dont j’ai besoin pour mes projets. Il y a un effet ’Eureka’. 

    Certains estiment pourtant que le LSD a été à la Silicon Valley ce que la cocaïne a été à Wall Street. « L’iPhone n’aurait jamais existé sans LSD », assure Cory McCloud, qui cite, comme beaucoup d’autres, Steve Jobs. »

  • Enfants : les risques de l’addiction aux écrans (et pas que....)
    https://www.crashdebug.fr/high-teck/15652-enfants-les-risques-de-l-addiction-aux-ecrans-et-pas-que

    Il ne faut pas voir que le danger des écrans, il y a aussi la baisse du QI à cause des perturbateurs endocriniens, et le phénomène d’addiction ne touche pas que les enfants loin de la, il faut en comprendre les mécanismes (vidéo ci-dessous) car nous pouvons être accroc aux notifications, aux mails, aux nouvelles qui tombent en permanence, et ce sans même nous en rendre compte. Il faut aussi faire attention a votre rétine (et à celle de vos enfants), les verres spéciaux ne coûtent pas très cher, et sont extrêmement efficace.

    Update 14.02.2019 : Comment les géants du Web fabriquent l’addiction

    Update 14.02.2019 : Bill Gates et Steve Jobs ont élevé leurs enfants sans technologie — et cela aurait dû être un signal d’alarme (Business Insider)

    Inattention, difficulté d’apprentissage, troubles (...)

  • Sun vs NeXT
    1991, comme bien d’autres façon de mettre en avant son produit et rappelant étrangement les méthodes modernes de recrutement : un « battle » est organisé entre Sun (société qui a inventé Java) et NeXT (société de Steve Jobs qui a permis de créer MacOSX et qui est à l’origine de plein de trucs [Doom et le Web entre autre] ).

    Ca prend la forme de 2 développeurs super rapides et compétents, capable de verbaliser hyper bien leurs décisions, 2 machines. Un cahier de fonctionnalités à réaliser. 25 heures. (la vidéo fait 17 minutes)

    https://www.youtube.com/watch?v=UGhfB-NICzg

    C’est un bijou d’histoire.
    #histoire #informatique

    PS : en 1991 (époque de la Super Nintendo, des i486...), une NeXTstation a déjà 1 an et c’est l’équivalent en puissance d’un i486 dernière génération (1993) presque Pentium, donc 4,5 fois plus rapide (source http://mustudio.fr/?p=93)

  • What’s Next For #apple ?
    https://hackernoon.com/whats-next-for-apple-2b1ae88d4b2e?source=rss----3a8144eabfe3---4

    What’s Ahead for Apple in 2019?Back in 1985, Steve Jobs was ousted from Apple. The company would still benefit from a few years of continuing growth until it hit a roadblock and sales started to fall.By 1996 Apple brought in a new CEO which was supposed to turn it over. But by 1997 things didn’t get better until Apple recalled Steve Jobs after acquiring its company NeXT. Steve Jobs came back, and in a few years it turned Apple over and made it become a #tech giant again.The rest is history.Read the whole story: Revisiting The Apple-NeXT Deal And Why It MatteredOne of the biggest mistakes people make when looking at Apple #business #strategy is to look at it solely as it was a product company. That mistake happens because by time to time you see its revenue streams and something like that (...)

    #entrepreneurship

  • Connecting the #crypto dots.
    https://hackernoon.com/connecting-the-crypto-dots-b348f1eb2da5?source=rss----3a8144eabfe3---4

    Steve Jobs once famously talked about “Connecting the dots”. We need dots to make the connections. Dots can be anything from knowledge, wisdom, Secrets, Experience, Gut feeling, skills, talents, capital etc. The goal of this article is to explain a few dots, mostly through human evolution and try to connect them with the crypto point of view. Contextual meaning of crypto in this article is any distributed ledger technology.Dot 1: Humans biggest breakthrough over timeFire: Discovery of fire enabled humans to hunt the animals in bulk and store the food for future use. This gave humans a lot of free time to think, communicate and coordinate. Language: Language enabled humans to communicate and share ideas among the group in a defined way. Passing the experience and knowledge to the next (...)

    #bitcoin #blockchain #ethereum #crypto-dots

  • Why #values Should Drive Applications
    https://hackernoon.com/why-values-should-drive-applications-cae4775237da?source=rss----3a8144ea

    Photo by Sophie Dale on UnsplashIn, “Computers for Cynics”, Ted Nelson explains the difference between #technology and packaging. Technology is the application of science.Packaging is using #design to put technology together to form applications.A resistor is technology. Computer protocols such as TCP, IP, and DHCP are technology. Nelson explains that packaging puts technology into applications. Packaging is how applications look and feel.In creating applications, design matters. It is a crucial part of packaging technology.Design guides user behavior and action. It can be used to benefit or harm people.Careless design creates harmful applications. This is because these designs do not have the user in mind and are not guided by values.Why Design MattersApple was founded in 1976 by Steve Jobs (...)

    #values-drive-applications #user-experience

  • Are You Trying to Become a Programmer?
    https://hackernoon.com/are-you-trying-to-become-a-programmer-a42a97b38c49?source=rss----3a8144e

    It seems that everyone is trying to learn how to #code these days. But where can you go to get some #programming help? We’ll help by giving you reasons why programming is beneficial to your career and provide advice on where you can get the assistance you need.Learning the basics of coding a computer is a popular topic that spans across multiple industries. Children as young as four are being taught on how to program computers and adults are encouraged to pick up the coding skills regardless of your career.Steve Jobs states, “I think that everyone in the country should know how to program because it will teach everyone how you think.”The government is also doing a bit as well. Even children as young as 11 years old are starting to learn how to code. So the question is, why is there a rush to (...)

    #become-a-programmer #learning #become-a-developer

  • Web #accessibility : Buzzword or Reality ?
    https://hackernoon.com/web-accessibility-buzzword-or-reality-c265ec82aa03?source=rss----3a8144e

    Everyone wants the benefits of accessibility, but nobody wants to do the workWeb Accessibility. The unexpected lovechild of Sir Tim Berners Lee, a shoddy 12" monochrome screen that went black (and never came back) and a cat that ran away with the mouse. The cat came back, but by the time we found the mouse again, Steve Jobs decided we should all be poking at our screens instead.Rewind to August 6, 1991 — which to the snowflake generation may seem like ages ago, except it wasn’t — a mere 27 years ago, when the first web page went live, that web page was accessible. Its syntax was semantically correct, all of its content was in the DOM, it was readable by colour-blind people, dyslexics, 20–20 vision, poor vision or no vision individuals alike. It was keyboard navigable and its logical flow (...)

    #software-development #web-design #web-development #react

  • Google, Apple, Facebook, Les Nouveaux Maîtres du Monde
    https://www.youtube.com/watch?v=x3TqYnHAruo

    Ils s’appellent Bill Gates, Mark Zuckerberg, Sergey Brin ou encore Larry Page : ces Américains, dont certains n’ont pas encore 40 ans, comptent parmi les hommes les plus riches et les plus puissants de la planète. Leur point commun ? Ils ont créé le monde d’aujourd’hui grâce à une révolution technologique sans précédent : Internet et les réseaux sociaux. Anciens ados visionnaires devenus les dirigeants des plus grandes entreprises du secteur – Google, Facebook, Apple, Microsoft –, ils possèdent (...)

    #Apple #Google #Microsoft #Facebook #domination #GAFAM

  • Le PDG d’Apple attaque le “complexe industriel des données personnelles”
    https://www.courrierinternational.com/article/verbatim-le-pdg-dapple-attaque-le-complexe-industriel-des-don

    À l’occasion de la Privacy Conference, qui se tenait à Bruxelles mercredi 24 octobre, Tim Cook, a lancé “une cinglante attaque” contre le “complexe industriel des données personnelles”, rapporte le site spécialisé TechCrunch. Le successeur de Steve Jobs à la tête de l’entreprise californienne Apple a vivement dénoncé l’utilisation des données personnelles faites par les entreprises, au détriment, selon lui, des individus et de la société. Il s’en est pris aux algorithmes qui, selon lui, “aggravent les (...)

    #Apple #Google #Facebook #données #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #concurrence (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##BigData

  • The threat of hylomorphic #design thinking
    https://hackernoon.com/the-threat-of-hylomorphic-design-thinking-3fd417971738?source=rss----3a8

    Innovators must learn to anticipate how their materials and creations design us.Note: This is the first of a series of posts inspired by Levi Bryant‘s book, Onto-Cartography: An Ontology of Machines and Media.For a few years now, I’ve been obsessed with critiquing the notion that the great creators bend reality to their will. Some think that Steve Jobs, ignoring naysayers and customer feedback, changed the world to fit his vision. But in actuality, no leader is powerful enough to manipulate materials and people as they want. It’s always a negotiation. And to take things a step further, our creations design us as we design them.The idea that designers can frictionlessly bend materials to their whims connects with the ancient philosophical tradition of hylomorphism. Rooted in the thinking of (...)

    #startup #philosophy #design-thinking #innovation

  • Mon mecton un peu jaloux, parce qu’il vient d’apprendre que sa grande sœur est née juste avant la mort de Michael Jackson. Du coup, la question surgit : « papa, qui c’est qui est mort quand je suis né ? ».

    Réponse : Steve Jobs. Steve Jobs est mort quasiment quand tu es né.

    Avec ça tu pourras te la péter en CE1 (d’accord, en CE1 tous les gamins ont le même âge, mais je suis pas obligé de lui dire).

  • Street art : Banksy envahit Paris par surprise...
    http://www.telerama.fr/sortir/street-art-banksy-envahit-paris-par-surprise,-la-chasse-aux-tresors-est-lan

    Venu incognito comme toujours, le célèbre street artist a déjà laissé deux œuvres qui témoignent de son passage dans les 18e et 19e arrondissements, et livrent un message fort au gouvernement français.

    La rumeur circulait depuis quelques jours : Banksy, le boss incontesté du street art mondial, serait à Paris. Pour quoi faire ? Comme toujours avec lui, le mystère demeure, puisqu’il n’a pour l’instant toujours pas revendiqué officiellement ses œuvres, et qu’il a pris l’habitude de ne plus les signer. Pourtant, les murs de la capitale révèlent peu à peu les preuves de son passage.

    Croix gammée à la Chapelle

    C’est mercredi 20 juin, pour la journée mondiale des réfugiés, que l’Anglais aurait démarré sa virée parisienne. Porte de la Chapelle, en bordure du périphérique, près de l’ancien Centre de Premier Accueil des réfugiés, la peinture choc d’une petite fille qui recouvre d’un joli motif tapisserie rose une croix gammée.

    Dans sa thématique (les migrants), sa technique (pochoir noir), dans son habitude d’opposer l’innocence de l’enfance face à la barbarie de l’adulte, tout comme dans le motif rose, identique à celui qui recouvrait l’éléphant de son expo « Barely Legal » à Los Angeles en 2006, beaucoup d’indices portent à croire que, même sans signature, l’œuvre est à attribuer à Banksy, qui donnerait ainsi une suite à sa peinture de 2009, Go Flock Yourself.

    Elle fait aussi écho à celles que l’Anglais avait laissées dans la Jungle de Calais en 2016, notamment une version remaniée du Radeau de la Méduse, et un Steve Jobs grandeur nature avec son baluchon sur le dos.

    La force de cette réalisation parisienne, au-delà de l’aspect graphique, tient aussi à son contexte : voir cette pièce au milieu de dizaines de migrants qui font silencieusement la queue est simplement bouleversant.

    #Street_art #migrants #Banksy

  • How To Knock Out Any Obstacle
    https://hackernoon.com/how-to-knock-out-any-obstacle-598988b15748?source=rss----3a8144eabfe3---

    Getty ImagesYou are going to face many obstacles in life.In your job, in your start up, in your relationships.Obstacles, barriers and problems are everywhere.Whether you knock them out or get knocked out yourself is up to you.I’ve tried to study the greats my whole life.People like Charlie Munger, Mahatma Gandhi, Abraham Lincoln, Ray Dalio, Steve Jobs and even George Clooney.Here’s what they did to make sure they knocked out any and every obstacle that dared come their way.Be Friggin Rationale:The most successful people are rationale.Is there something holding you back?Is there something you want that isn’t going your way?The first step is to realize that you and only you get to decide how that obstacle will impact you.Scientists have shown that most people make a simple mistake when they (...)

    #life #life-hacking #life-lessons #entrepreneurship #productivity

  • Apple : le mémo contre les fuites d’informations se retrouve sur la Toile
    http://www.zdnet.fr/actualites/apple-le-memo-contre-les-fuites-d-informations-se-retrouve-sur-la-toile-398669

    La firme à la pomme a adressé un avertissement à ses employés sur les risques de poursuites qu’ils encourent en cas de divulgation d’informations internes. Le texte a été aussitôt communiqué à la presse et mis en ligne. La culture du secret qui entourait Apple et ses projets du temps de Steve Jobs a désormais bien du mal à perdurer. Et l’entreprise tente de combattre le phénomène des fuites d’informations par tous les moyens à sa disposition. Ainsi, dans un mémo adressé à l’ensemble des salariés, Apple (...)

    #Apple #travailleurs

  • Silicon Valley’s Sixty-Year Love Affair with the Word “Tool” | The New Yorker
    https://www.newyorker.com/tech/elements/silicon-valleys-sixty-year-love-affair-with-the-word-tool

    In the written remarks that Mark Zuckerberg, the C.E.O. of Facebook, submitted in advance of his testimony on Capitol Hill this week, he used the word “tool” eleven times. “As Facebook has grown, people everywhere have gotten a powerful new tool to stay connected to the people they love, make their voices heard, and build communities and businesses,” Zuckerberg wrote. “We have a responsibility to not just build tools, but to make sure those tools are used for good.” Later, he added, “I don’t want anyone to use our tools to undermine democracy.” In his testimony before the Senate Judiciary and Commerce Committees on Tuesday, Zuckerberg referred to “these tools,” “those tools, “any tool,” “technical tools,” and—thirteen times—“A.I. tools.” On Wednesday, at a separate hearing of the House Energy and Commerce Committee, a congressman from Florida told Zuckerberg, “Work on those tools as soon as possible, please.”

    What’s in a tool? The Oxford English Dictionary will tell you that the English word is more than a thousand years old and that, since the mid-sixteenth century, it has been used as the slur that we’re familiar with today.

    In Silicon Valley, according to Siva Vaidhyanathan, a professor at the University of Virginia whose book about Facebook, “Antisocial Media,” is due out in September, “Tools are technologies that generate other technologies.” When I asked an engineer friend who builds “developer tools” for his definition, he noted that a tool is distinct from a product, since a product is “experienced rather than used.” The iTunes Store, he said, is a product: “there are lots of songs you can download, but it’s just a static list.” A Web browser, by contrast, is a tool, because “the last mile of its use is underspecified.”

    Yesterday was not Zuckerberg’s first time being called in and interrogated about a Web site that he created. In the fall of 2003, when he was a sophomore at Harvard, a disciplinary body called the Ad Board summoned him to answer questions about Facemash, the Facebook precursor that he had just released. Using I.D. photos of female undergraduates scraped from the university’s online directories, Facemash presented users with pairs of women and asked them to rank who was “hotter.” (“Were we let in for our looks? No,” the site proclaimed. “Will we be judged on them? Yes.”) By 10 P.M. on the day Facemash launched, some four hundred and fifty visitors had cast at least twenty-two thousand votes. Several student groups, including Fuerza Latina and the Harvard Association of Black Women, led an outcry. But Zuckerberg insisted to the Ad Board that he had not intended to “insult” anyone. As the student newspaper, the Crimson, reported, “The programming and algorithms that made the site function were Zuckerberg’s primary interest in creating it.” The point of Facemash was to make a tool. The fact that it got sharpened on the faces of fellow-students was incidental.

    The exaltation of tools has a long history in the Bay Area, going back to the late nineteen-sixties, when hippie counterculture intersected with early experiments in personal computing. In particular, the word got its cachet from the “Whole Earth Catalog,” a compendium of product reviews for commune dwellers that appeared several times a year, starting in 1968, and then sporadically after 1972. Its slogan: “Access to tools.” The publisher of the “Catalog,” Stewart Brand—a Stanford-trained biologist turned hippie visionary and entrepreneur—would later call it “the first instance of desktop publishing.” Steve Jobs, in his 2005 commencement address at Stanford, described it as “one of the bibles of my generation.” The “Catalog,” Jobs said, was “Google in paperback form, thirty-five years before Google came along. It was idealistic, and overflowing with neat tools and notions.” Jobs’s biographer, Walter Isaacson, quotes Brand as saying that the Apple co-founder was a kindred spirit; in designing products, Jobs “got the notion of tools for human use.” With the rise of personal computing, the term “tools” migrated from communes to software. The generation of tech leaders who grew up taking P.C.s and the World Wide Web for granted nevertheless inherited an admiration for Brand. In 2016, for instance, Facebook’s head of product, Chris Cox, joined him onstage at the Aspen Ideas Festival to give a talk titled “Connecting the Next Billion.”

    Tool talk encodes an entire attitude to politics—namely, a rejection of politics in favor of tinkering. In the sixties, Brand and the “Whole Earth Catalog” presented tools as an alternative to activism. Unlike his contemporaries in the antiwar, civil-rights, and women’s movements, Brand was not interested in gender, race, class, or imperialism. The transformations that he sought were personal, not political. In defining the purpose of the “Catalog,” he wrote, “a realm of intimate, personal power is developing—power of the individual to conduct his own education, find his own inspiration, shape his own environment, and share his adventure with whoever is interested.” Like Zuckerberg, Brand saw tools as a neutral means to engage any and every user. “Whole Earth eschewed politics and pushed grassroots direct power—tools and skills,” he later wrote. If people got good enough tools to build the communities they wanted, politics would take care of itself.

    #Facebook #Fred_Turner #Stewart_Brand #Tools
    This idea became highly influential in the nineties, as the Stanford historian Fred Turner demonstrates in his book “From Counterculture to Cyberculture.” Through Wired magazine, which was founded by Brand’s collaborator Kevin Kelly, the message reached not just Silicon Valley but also Washington. The idea that tools were preferable to politics found a ready audience in a decade of deregulation. The sense that the Web was somehow above or beyond politics justified laws that privatized Internet infrastructure and exempted sites from the kinds of oversight that governed traditional publishers. In other words, Brand’s philosophy helped create the climate in which Facebook, Google, and Twitter could become the vast monopolies that they are today—a climate in which dubious political ads on these platforms, and their casual attitudes toward sharing user data, could pass mostly unnoticed. As Turner put it in a recent interview with Logic magazine (of which I am a co-founder), Brand and Wired persuaded lawmakers that Silicon Valley was the home of the future. “Why regulate the future?” Turner asked. “Who wants to do that?”

  • La chute d’Elizabeth Holmes, star de la Silicon Valley accusée d’escroquerie Le Figar - AFP - 14 Mars 2018
    http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2018/03/14/32001-20180314ARTFIG00379-la-chute-d-elizabeth-holmes-star-de-la-silicon-va

    L’entreprise #Theranos et sa patronne prétendaient révolutionner les #analyses_sanguines. Ils ont en fait trompé les investisseurs pour lever des centaines de millions de dollars.

    La SEC, le gendarme boursier américain, a accusé mercredi Theranos, sa dirigeante-fondatrice Elizabeth Holmes et son ancien président Ramesh Balwani, d’être parvenus à lever « plus de 700 millions de dollars auprès d’investisseurs au travers d’une fraude élaborée qui a duré plusieurs années, pendant lesquelles ils ont exagéré ou menti à propos de la technologie, des activités et des performances financières de l’entreprise » de biotechnologie.

    Ce dénouement, que la SEC présente comme une « leçon » pour la #Silicon_Valley, vient acter la chute d’Elizabeth Holmes, que certains comparaient à Steve Jobs, le défunt patron-fondateur d’Apple. En lançant Theranos en 2003, à 19 ans, elle promettait des diagnostics plus rapides et moins chers que ceux des laboratoires traditionnels aux États-Unis, grâce à des méthodes présentées comme révolutionnaires, permettant jusqu’à 200 analyses avec une toute petite quantité de sang. Mais une série d’articles parus fin 2015 dans le Wall Street Journal avait commencé à semer le doute sur la véracité de ces affirmations. Quelques mois plus tard, le ministère de la Santé avait lui aussi fait part de ses réserves.

    En réalité, affirme la SEC dans son communiqué mercredi, le système vanté par la #start-up - basée à Palo Alto, en plein cœur de la Silicon Valley - « ne permettait de réaliser qu’une toute petite quantité de tests, et la société réalisait l’immense majorité des tests des patients avec d’autres dispositifs fabriqués par d’autres » entreprises.

    « Dire la vérité »
    Theranos, Elizabeth Holmes et Ramesh Balwani avaient même affirmé que leurs produits étaient utilisés par le ministère américain de la Défense sur le terrain en Afghanistan et que l’entreprise aurait un chiffre d’affaires de 100 millions de dollars en 2014 : en fait, le gouvernement n’a jamais utilisé ces produits et Theranos a dégagé en 2014 un revenu de... 100.000 dollars.

    Pour la SEC, cette affaire doit servir d’exemple à la Silicon Valley, qui fourmille de start-up cherchant des financements et d’investisseurs aux poches pleines, avides de parier sur des entreprises qui se présentent presque toutes comme révolutionnaires. Cette affaire « est une leçon importante pour la Silicon Valley », selon Jina Choi, directrice du bureau de la SEC à San Francisco, citée dans le communiqué de la SEC. « Les #innovateurs qui cherchent à révolutionner et à bouleverser un secteur doivent dire aux investisseurs la vérité sur ce dont sont capables leurs technologies aujourd’hui, et non ce qu’ils espèrent qu’elles pourront faire un jour », ajoute Jina Choi.

    Theranos et Elizabeth Holmes ont signé avec la SEC un accord amiable, aux termes duquel la dirigeante accepte de payer une amende de 500.000 dollars, cède le contrôle de l’entreprise et n’a pas le droit de diriger une entreprise cotée pendant dix ans. Elle devra aussi rendre à Theranos près de 19 millions d’actions qu’elle détient dans la start-up, qui était encore valorisée à près de 10 milliards de dollars en 2014. Cet accord, qui ne vaut pas aveu, n’empêche pas des poursuites judiciaires. L’ancien président Ramesh Balwani sera poursuivi en justice par la SEC en Californie, a en revanche précisé un responsable de la SEC, Steven Peikin, pendant une conférence téléphonique. « L’entreprise se réjouit de voir se clore cette affaire et a hâte de faire progresser sa technologie », ont indiqué dans un communiqué les « membres indépendants » du conseil d’administration de Theranos.

    Sur la sellette depuis plus de deux ans, Theranos avait frôlé le dépôt de bilan et licencié l’an dernier 155 personnes, près de la moitié de ses effectifs, après avoir dû fermer fin 2016 laboratoires et centres, mettant au chômage du même coup 340 salariés. La chute d’Elizabeth Holmes, jeune femme blonde à l’esprit combatif et brillant, est d’autant plus marquante qu’elle figura en 2015 sur la liste des 100 personnalités les plus influentes de la planète du magazine Time.

    Sa fortune était en 2014 évaluée à 3,6 milliards de dollars par le magazine Forbes, faisant d’elle la plus jeune milliardaire n’ayant pas hérité de sa fortune.

    #Chute

  • L’empire des GAFA
    https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-des-idees/le-journal-des-idees-du-mercredi-07-mars-2018


    Le Journal des idées par Jacques Munier

    La rencontre entre la culture militaire et la contre-culture

    Fred Turner, directeur du département des sciences de la communication de l’université Stanford retrace l’histoire de la Silicon Valley, ainsi nommée en référence au matériau de base des composants électroniques, le silicium. La côte ouest des Etats-Unis est traditionnellement investie par l’industrie militaire, dont la prospérité a largement bénéficié aux entreprises technologiques locales, c’est pourquoi l’historien résume l’efflorescence de l’économie numérique dans les années 60 comme le fruit paradoxal de « la rencontre entre la culture militaire et la contre-culture ». Ce sont des ingénieurs militaires qui ont fourni leurs premières puces électroniques à Steve Jobs et Steve Wozniak, les fondateurs d’Apple. « Historiquement, la culture militaire est bien plus ouverte que les gens ne l’imaginent – explique Fred Turner – et la contre-culture est, dans son versant californien, bien plus à l’aise avec l’idée de commerce que ce qu’on pense. » Mais pour le spécialiste d’histoire culturelle, si des sociétés comme Facebook et Google ont été créées au départ autour de l’idée de bien public, elles se sont progressivement enfermées dans un « palindrome protestant ». Fournir de l’information est bon pour le monde, mais puisque c’est Google qui la fournit, ce qui est bon pour le monde est bon pour Google et inversement. « Et l’argent que nous gagnons en faisant cela est un signe de notre bonté. » Une déclinaison à l’échelle planétaire de l’éthique protestante du capitalisme façon Max Weber, où le chiffre d’affaire est l’indice de l’impact positif sur le monde. Pourtant, observe Fred Turner, Apple, « l’un des membres les plus cyniques de la Vallée se vend comme une entreprise utopiste, alors qu’elle est tout sauf cela. Il suffit d’observer ses pratiques d’approvisionnement et le mal qu’elle fait à l’environnement pour construire les IPhone ».

    #Silicon_valley #Fred_Turner

  • J’ai un putain de problème.

    Je n’arrive pas à expliquer à mon fils qui joue à « clash of clans » que la putain d’app que ses copains lui demandent d’installer et qui s’appelle « clash of light » est un truc vérolé de piraterie de merde. De toutes façons, ces jeux, outre que c’est de la merde, amènent un torrent de pubs d’incitations à télécharger d’autres jeux de merde, et je ne crois pas qu’un enfant de 11 ans soit capable de comprendre ce qui se joue sur sa tête, de comprendre à quel point sont pervers les créateurs de ces jeux et de ces environnements addictifs.

    Je ne sais plus trop quoi lui dire, juste l’envie irrépressible de détruire le ipad et de lancer un sam 7 sur la boite qui a créer de bouzin.

    J’aimerai bien savoir quelles stratégies utilisent les parents confronté à ce problème d’addiction des enfants aux écrans et à ces jeux de merde en boite.

    • Bill Gates et Steve Jobs ont élevé leurs enfants sans technologie — et cela aurait dû être un signal d’alarme
      http://www.businessinsider.fr/bill-gates-steve-jobs-limite-temps-decran-enfants

      Bill Gates attentif à ses enfants en matière de jeux vidéo
      Prends le lance-roquette ma chérie, c’est plus efficace 63
      1 min
      Par Vincent Hermann
      le jeudi 22 février 2007 à 07:30
      GatesBill Gates se sent visiblement très concerné par le temps que ses enfants passent devant un écran et plus particulièrement sa fille aînée, âgée de dix ans. Selon ses propres dires, elle n’était pas intéressée par les ordinateurs en général jusqu’à l’année dernière. Cette année en revanche, une grande partie de ses devoirs se font visiblement à l’aide d’un Tablet PC.

      L’homme explique : « Elle est devenue très avide et a découvert de nombreux jeux vidéo, dont un sur Xbox 360 nommé Viva Pinata, où vous prenez soin d’un jardin. » L’architecte en chef de Microsoft précise en outre que s’il laissait sa fille faire, elle pourrait facilement passer deux ou trois heures par jour devant son écran à veiller à la bonne marche de son jardin virtuel.

      Lorsqu’on dirige la plus grande société de logiciels au monde, on pourrait croire que ses propres enfants sont noyés dans un monde fait d’écrans, d’ordinateurs et de consoles. Mais ce n’est a priori pas le cas, puisque Gates indique que lui et sa femme ont décidé que leur fille ne passerait pas plus de 45 minutes par jour devant les jeux vidéo durant la semaine, et pas plus d’une heure par jour durant les week-ends.

      Bill Gates semble concerné par le fait que sa fille se concentre sur le monde qui l’entoure ainsi que sur sa capacité à en parler librement. On ne peut pas dire que tous les parents imposent ce genre de limites à leurs enfants aujourd’hui. Mais à jouer à gérer un jardin virtuel, on peut être presque certain que l’on ne retrouvera pas sa fille aînée dans une quelconque histoire sordide et sanglante où les jeux violents seront encore pointés du doigt.
      https://www.nextinpact.com/archive/34843-bill-gates-microsoft-enfants.htm

    • Je ne sais pas si c’est de la stratégie mais déjà à peu près le même règlement horaire que Bill Gates. :)
      Il a le même âge que le tien.

      Enfin en semaine avec l’école c’est même plus strict que Bill, genre 30min. Et même c’est pire encore, c’est 30min d’écran que ce soit jeu vidéo ou dessin animé, donc s’il veut regarder Les as de la jungle ou Ninjago, ya pas de jeu vidéo du tout en plus, faut choisir.

      Du coup impossibilité matérielle de jouer à des jeux addictifs qui durent longtemps.

      Le week-end il a moins de limites qu’en semaine par contre (et moins que chez Bill aussi c’est plus qu’une heure par jour), ça peut durer plus longtemps, mais là encore, en additionnant dessins animés et jeux.

      Sinon, il y a aussi qu’il n’a pas de tablette ni de téléphone mobile (encore moins), et qu’il n’aura aucun des deux. Il a une Nintendo 3DS, qui a internet aussi dessus, mais les jeux sont du coup que des « vrais » jeux, c’est-à-dire que même si certains ont un mode multijoueur, c’est pas des supports à pub et à achats réguliers comme sont pensés la plupart des jeux sur plateforme mobile (le jeu ou autre activité n’est là que pour capter des infos et/ou montrer des pubs et/ou inciter à faire des achats pour avancer), même principe que dans les jeux sur facebook.

      Il a quelques jeux libres installés sur Ubuntu aussi, comme Minetest, un clone de Minecraft. Mais pas de FPS pour l’instant.

      Bref en résumé c’est surtout : un temps très limité en semaine + une vraie console avec dessus des vrais jeux dont beaucoup de jeux solos d’aventure : pas mal de Zelda, des jeux Lego en 3D, tous les trucs Mario… Vraiment fuck les jeux massivement multijoueur en ligne, même dans les vrais jeux pas de pubard, ça reste quand même une grosse plaie pour le cerveau et le temps des enfants.

      Bon après il a des copains qui ont pas mal de grosses consoles de salon ou de gros ordis, et qui jouent (aussi par leurs grands frères souvent) à des jeux en ligne genre Fortnite, ou les infinis du genre Minecraft. Et au collège là je ne sais pas comment ça se passera l’année prochaine… (À commencer par la première question, quand il va finir par demander un téléphone mobile comme 100% de ses copains. Sachant que moi-même je n’en ai pas.)
      C’est loin d’être réglé…

      J’oublie un truc aussi, à 11 ans, illes sont assez grand⋅es pour discuter et expliquer comme ça fonctionne, la publicité, les trucs captifs, etc. Faut pas tout balancer d’un coup, mais il me semble quand même que le mien a compris un certain nombre de choses (y compris les raisons pour lesquels je ne veux pas d’informatiques miniatures mobiles). Je suppose que les autres en sont capables aussi. :)

    • Le matin, aucun écran n’est toléré, il y a les rêves qui prévalent et le matin sert à les réinventer dans sa tête pas à s’abrutir devant un écran. Ça, c’était clair.

      Mais le soir… une fois j’ai craqué, j’ai pris l’écran neuf qui m’avait quand même couté bonbon et je l’ai jeté par terre en criant comme dans John Waters (Rewind rewind quand elle le tue avec un pilon de poulet) on éteint quand je dis d’éteindre. Après j’ai rigolé en pensant à John Waters qui est aussi con que moi des fois, (pas elle) et j’ai rallumé le bouzin, il n’y avait plus que l’angle en haut à droite qui renvoyait un morceau d’image animée mais le son fonctionnait encore bien, et puis quand on appuyait sur les morceaux de l’écran, ça mélangeait les couleurs comme si c’était de l’essence. Ça l’a pas fait rire du tout non plus. J’ai dit on fera une belle expo avec et puis au lit et elle a filé.

      J’ai encore l’écran télé dans sa boite, si vous avez une expo à organiser et vous ne savez pas quoi mettre au mur.

      La chtiote qui a grandi va peut-être porter plainte pour avoir été injustement terrorisée (j’ai honte en relatant cette affaire, j’avoue) ou entamer une psychanalyse plus tôt que moi.

    • Des jeux « de société » ensemble, avec eux, pour eux. Pas de GSM perso avant 13 ans. Un ordi familial dans le séjour, à se partager. Le laptop de papa si besoin. Ils ont 19 et 22 à présent du coup je reconnais que la pression est probablement plus forte aujourd’hui...

  • « Pourquoi les individus innovants sont-ils aussi détestables ? Elon Musk, Mark Zuckerberg, Steve Jobs… Tous ces grands innovateurs sont aussi réputés pour leur génie que pour leur (mauvais) caractère. Et cela n’a rien d’un hasard. »

    https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2017/09/16887-individus-innovants-detestables

    Résumé : je vais arrêter d’essayer d’être gentil.

    #individualisme #entreprise #collectivisme #équipe #innovation

  • Analyse du Marketing d’Apple : Think Different
    http://www.marketing-etudiant.fr/actualites/steve-jobs-apple-et-la-publicite-think-different.php

    Sur un marché fortement concurrentiel, Apple s’était distinguée par son identité, ses valeurs, révélées notamment dans le spot “1984″ de Ridley Scott. Entre 1985 et 1997, ces valeurs ont été négligées. Pour Steve Jobs, il est donc nécessaire de concevoir une campagne de publicité pour les réaffirmer et démontrer le retour de Apple sur le devant de la scène.

    Quelques années plus tôt, John Sculley avait décidé de retirer le budget marketing apple à l’agence Chiat/Day pour le confier à BBDO. Au mois de juillet 1997, Steve Jobs demande à Lee Clow - directeur de création de TBWA/Chiat/Day - de lui soumettre une proposition de campagne. Bien qu’étant hostile à l’idée d’une compétition, il va accepter, Apple attendant des pistes créatives et non un projet achevé.

    #Apple #Marketing #Think_different #Histoire_numérique
    Pendant plusieurs jours, des équipes de TBWA/Chiat/Day réfléchissent sur le positionnement de la marque et sur ses valeurs. Un seul impératif leur a été fixé : prendre appui sur la communauté créative, particulièrement fidèle envers Apple. Et un projet va nettement se distinguer aux yeux de Lee Clow et de Rob Siltanen. Le travail Craig Tanimoto présente des photographies en noir et blanc de personnalités du XXème siècle. Le seul élément coloré est le logo de Apple. Chaque visuel est renforcé par une signature, “Think Different”, qui vient répondre au “Think” de IBM.

  • L’Aventure Apple : Publicités : Think different
    http://www.aventure-apple.com/pubsapple/thinkdif.html

    C’est donc sur le thème de « Think Different » (Pensez Différent) qu’Apple lance sa campagne, autour d’un spot télévisé et de grandes campagnes d’affichage. De nombreuses personnalités viennent enrichir la liste des « vedettes » de la campagne : Maria Callas, Gandhi, Mohammed Ali, Martin Luther King, Einstein, Picasso, John Lennon, Rosa Park... La voix de Richard Dreyfuss, si particulière, colle tout à fait aux images. Selon certaines sources chez Apple, Steve Jobs aurait failli faire lui-même la voix-off avant de se décider à laisser un acteur faire le travail.

    Le texte du spot et la vidéo sont accessible sur cette page.

    #Apple #Histoire_numérique #Publicité #Think_different