person:tom engelhardt

  • Du DeepState à l’“État-peu-profond”
    http://www.dedefensa.org/article/dudeepstatea-letat-peu-profond

    Du DeepState à l’“État-peu-profond”

    9 avril 2019 – Nous n’avons plus guère parlé ni cité Tom Engelhardt et son site TomDispatch depuis de nombreuses lunes, dans dedefensa.org. Il était pourtant une de nos références les plus affectueuses, notamment durant les années 2000. Sans doute devrais-je dire, sans l’ombre d’un regret ni d’une hypocrisie, que Trump nous a tactiquyement séparés : Engelhardt l’a pris au premier degré, comme une terrible nuisance pour son pays avec sa personnalité bombastique, ses mensonges à l’emporte-pièce et tous ses brigandages de téléréalité ; je l’ai pris au second degré, comme un président-bouffe disons, capable avec ses tweets et ses crapuleries de mettre sens-dessus-dessous Washington, d’y faire naître “D.C.-la-folle”, d’installer le désordre au cœur de la citadelle défenderesse de (...)

  • Spectroscopie d’un effondrement
    http://www.dedefensa.org/article/spectroscopie-dun-effondrement

    Spectroscopie d’un effondrement

    ... Ou plutôt : “Spectroscopie du plus grand effondrement de notre Histoire” (notre Histoire à nous, à nous civilisation-devenue-contrecivilisation), – c’est-à-dire, en, d’autres termes acronymiques, le GCES (grande Crise d’Effondrement du Système). Cette suggestion repose sur le fait, maintes fois répété dans ces colonnes, que la chute et l’effondrement des USA entraîneront immanquablement, – seront en fait, – la chute et l’effondrement du Système, comme on dit “dans la foulée” sinon dans la similitude...

    Justement, dans cet article, l’excellent Tom Engelhardt reprend l’historique de la courbe d’effondrement en cours de la “seule superpuissance du monde”, alias l’“hyperpuissance”, tous ces termes qui deviennent de plus en plus des caricatures catastrophiques d’arrogance et (...)

  • Tomgram: Engelhardt, Seeing Our Wars for the First Time | TomDispatch
    http://www.tomdispatch.com/post/176369/tomgram%3A_engelhardt%2C_seeing_our_wars_for_the_first_time/#more

    Mapping a World From Hell
    76 Countries Are Now Involved in Washington’s War on Terror
    By Tom Engelhardt

    He left Air Force Two behind and, unannounced, “shrouded in secrecy,” flew on an unmarked C-17 transport plane into Bagram Air Base, the largest American garrison in Afghanistan. All news of his visit was embargoed until an hour before he was to depart the country.

    More than 16 years after an American invasion “liberated” Afghanistan, he was there to offer some good news to a U.S. troop contingent once again on the rise. Before a 40-foot American flag, addressing 500 American troops, Vice President Mike Pence praised them as “the world’s greatest force for good,” boasted that American air strikes had recently been “dramatically increased,” swore that their country was “here to stay,” and insisted that “victory is closer than ever before.” As an observer noted, however, the response of his audience was “subdued.” (“Several troops stood with their arms crossed or their hands folded behind their backs and listened, but did not applaud.”)

    Think of this as but the latest episode in an upside down geopolitical fairy tale, a grim, rather than Grimm, story for our age that might begin: Once upon a time — in October 2001, to be exact — Washington launched its war on terror. There was then just one country targeted, the very one where, a little more than a decade earlier, the U.S. had ended a long proxy war against the Soviet Union during which it had financed, armed, or backed an extreme set of Islamic fundamentalist groups, including a rich young Saudi by the name of Osama bin Laden.

    By 2001, in the wake of that war, which helped send the Soviet Union down the path to implosion, Afghanistan was largely (but not completely) ruled by the Taliban. Osama bin Laden was there, too, with a relatively modest crew of cohorts. By early 2002, he had fled to Pakistan, leaving many of his companions dead and his organization, al-Qaeda, in a state of disarray. The Taliban, defeated, were pleading to be allowed to put down their arms and go back to their villages, an abortive process that Anand Gopal vividly described in his book, No Good Men Among the Living.

  • Notes sur la “guerre des ouragans”
    http://www.dedefensa.org/article/notes-sur-la-guerre-des-ouragans

    Notes sur la “guerre des ouragans”

    21 septembre 2017 – Il ne fait aucun doute que l’excellent Tom Engelhardt n’est pas un ami de Trump ni des climatosceptiques. Cela fixé et sans qu’on se prononce en quelque manière sur la justesse ou la valeur de ces choix, il est indubitable que c’est un excellent analyste, menant avec pugnacité et dans l’honneur de la profession son site, TomDispatch.com, reconnu également pour la qualité de ses contributeurs. Michael Klare, chez Engelhardt, s’occupe essentiellement des questions d’énergie et toutes autres références proches, et notamment les questions climatiques. Professeur des questions de paix et de sécurité au Hampshire College et auteur de 14 livres, Klare est également un adversaire des thèses des eurosceptiques mais surtout un remarquable analyste des liens à (...)

  • La terra incognita de Tom Engelhardt
    http://www.dedefensa.org/article/la-terra-incognita-de-tom-engelhardt-1

    La terra incognita de Tom Engelhardt

    Nous avons toujours eu une grande estime pour Tom Engelhardt et son site Tomgram. Il est l’un des rares commentateurs dissidents, sur l’internet, que nous avons toujours suivi sans jamais voir décroître notre intérêt pour ses écrits depuis que nous l’avons découvert, sans doute autour de 2001 et de 9/11. Son approche des actuelle sélections présidentielles, avec son cortège de surprise, et bien entendu Donald Trump en tête, – approche qu’on peut apprécier au travers des commentateurs extérieurs qui figurent régulièrement sur son site mais qu’il présente lui-même d’une introduction, – ne nous a pas, par contre, enthousiasmé. Ainsi de l’article d’Andrew Bacevich du 1er mars, que nous avions mentionné le 3 mars plus pour les commentaires négatifs qu’il avait suscités que pour (...)

  • La terra incognita de Tom Engelhardt
    http://www.dedefensa.org/article/la-terra-incognita-de-tom-engelhardt

    La terra incognita de Tom Engelhardt

    Nous avons toujours eu une grande estime pour Tom Engelhardt et son site Tomgram. Il est l’un des rares commentateurs dissidents, sur l’internet, que nous avons toujours suivi sans jamais voir décroître notre intérêt pour ses écrits depuis que nous l’avons découvert, sans doute autour de 2001 et de 9/11. Son approche des actuelle sélections présidentielles, avec son cortège de surprise, et bien entendu Donald Trump en tête, – approche qu’on peut apprécier au travers des commentateurs extérieurs qui figurent régulièrement sur son site mais qu’il présente lui-même d’une introduction, – ne nous a pas, par contre, enthousiasmé. Ainsi de l’article d’Andrew Bacevich du 1er mars, que nous avions mentionné le 3 mars plus pour les commentaires négatifs qu’il avait suscités que pour (...)

  • Pleure, ô mon pays bien-aimé
    http://www.dedefensa.org/article-pleure_mon_pays_bien-aim__05_07_2015.html

    • Si nous avions eu le sens des choses pompeuses, c’est hier 4 juillet et Fête Nationale des USA, que nous aurions publié ce F&C. •Le patriotisme US et la bannière étoilée claquant au vent ne sont plus que des narrative même s’ils y croient pour quelques heures. •Voici un article de Tom Engelhardt sur l’“énigme” qu’est devenue son pays, énorme “empire” de carton-mâché et de papier-pate, dont l’énorme puissance n’arrive à produire que des échecs sans nombre. •Qu’est-il arrivé aux USA, Engelhardt ? • Non, plutôt : qu’est-il arrivé à la guerre ? •Non, plutôt : qu’est-il en train d’arriver à la Planet Earth ?

  • L’interminable #guerre contre le #terrorisme
    http://www.courrierinternational.com/dessin/2014/12/04/l-interminable-guerre-contre-le-terrorisme

    Dans son livre Pay Any Price : Greed, Power and Endless War (“A tout prix : pouvoir, avidité et guerre sans fin”, 2014, inédit en français), le célèbre journaliste du New York Times #James_Risen estime que la guerre contre le terrorisme – qui inclut les campagnes d’Irak et d’Afghanistan – a coûté 4 000 milliards de dollars (3 200 milliards d’euros) à l’Etat américain. En permettant à des entreprises américaines de signer de très gros contrats avec le #Pentagone, elle a également donné lieu à “l’un des plus gros transferts d’argent #public vers le #privé de toute l’histoire américaine”.

    Dans une tribune sur le Huffington Post, #Tom_Engelhardt, auteur et codirecteur de la collection de livres anti-impérialistes “The American Empire Project”, commente : “D’une part, nous avons investi 4 000 milliards de dollars pour voir émerger une bande de #profiteurs que Risen surnomme ‘les #oligarques du 11 septembre’”, et, d’autre part, “si vous vous souvenez bien, les objectifs de la guerre contre le terrorisme lancée par George W. #Bush […] étaient d’éradiquer le terrorisme de la planète […]. Treize ans et tous ces dollars plus tard”, le #djihadisme s’est étendu, et on estime que 15 000 combattants étrangers ont gagné la Syrie pour rejoindre l’organisation de l’Etat islamique.

    Un bilan qui amène Tom Engelhardt à la question suivante : “Après 13 ans de guerre contre le terrorisme, et face à un terrorisme endémique, n’est-il pas temps de changer de nom ? Un simple changement de préposition suffirait à rendre cette appellation plus en phase avec la réalité : la #guerre_pour_le_terrorisme”.

  • America’s Hollow Foreign Legions by Tom Engelhardt
    http://original.antiwar.com/engelhardt/2014/10/14/americas-hollow-foreign-legions

    And by the way, those Afghan ghosts have a history nearly as long as America’s second Afghan War. In 2007, for instance, the U.S. Government Accountability Office was already reporting that the “actual number of present-for-duty soldiers” in Afghan military units was “about one-half to two-thirds of the total” at any given time. While some of those were soldiers on leave, significant numbers were clearly ghost troops. Similarly, in 2009, Christine Fair, an assistant professor at Washington University, estimated in a study that 25% of Afghan police units were, in fact, ghostly presences.

    […]

    The question is: Why do the armies that the U.S. has formed, armed, and trained in lands where we’re at war and on which endless billions of dollars have been lavished always appear so ghostly and, in the end, fight so much less effectively than the forces opposing them? As retired Air Force Lieutenant Colonel and TomDispatch regular William Astore suggests, if you foster kleptocratic governments, you shouldn’t be shocked when their armed forces prove to be filled with grifters, skimmers, and con artists.

    Il est intéressant de se souvenir de ces chiffres de « combattants-fantômes » des armées pro-US, quand on lit les admirables prédictions sur le prochain effondrement/débandade de telle ou telle armée hostile aux États-Unis.

  • That Makes No Sense! Your Security’s a Joke (and You’re the Butt of It) | Tom Engelhardt (TomDispatch)
    http://www.tomdispatch.com/post/175570/tomgram:_engelhardt,_the_national_security_complex_and_you

    A government outfit few of us knew existed, the Information Security Oversight Office or ISOO, just released its “Report on Cost Estimates for Security Classification Activities for Fiscal Year 2011” (no price tag given, however, on producing the report or maintaining ISOO). Unclassified portions, written in classic bureaucratese, offer this precise figure for protecting our secrets, vetting our secrets’ protectors (no leakers please), and ensuring the safety of the whole shebang: $11.37 billion in 2011. That’s up (and get used to the word “up”) by 12% from 2010, and double the 2002 figure of $5.8 billion. For those willing to step back into what once seemed like a highly classified past but was clearly an age of innocence, it’s more than quadruple the 1995 figure of $2.7 billion. (...) Source: TomDispatch

  • À lire abolument : Your Government’s 92 Million Secrets are Safe . . . from You ! - Tom Engelhardt
    http://www.juancole.com/2012/07/your-governments-92-million-secrets-are-safe-from-you-engelhardt.html

    To put things in perspective, the transmission letter from Director John P. Fitzpatrick that came with the report makes it utterly clear why your taxpayer dollars, all $13 billion of them, are being spent this way: “Sustaining and increasing investment in classification and security measures is both necessary to maintaining the classification system and fundamental to the principles of transparency, participation, and collaboration.” It’s all to ensure transparency. George Orwell take that! Pow!

    Le billet donne beaucoup de chiffres sur l’inflation de la « sécurité », la « protection » des données, la chute du nombre de déclassifications, les tests de « vérité »…