person:zuck

  • comment y disait l’autre déjà ? ah oui, #à_l'insu_de_son_plein_gré
    Facebook pompe « malencontreusement » les contacts mails de ses utilisateurs
    https://www.linformaticien.com/actualites/id/51865/facebook-pompe-malencontreusement-les-contacts-mails-de-ses-utilisat

    Pour s’inscrire sur le réseau social, il arrive depuis trois ans que Facebook demande l’adresse mail, mais aussi le mot de passe du compte mail de l’utilisateur. Et qu’il en profite pour collecter les adresses des contacts. Mais cela était purement « involontaire » plaide l’entreprise.

    Tout a commencé le 31 mars, lorsque e-sushi, un développeur, a découvert que Facebook demandait lors de l’inscription d’un nouvel utilisateur le mot de passe de son adresse email. Une procédure déjà particulièrement douteuse, revenant à laisser à l’entreprise de Mark Zuckerberg les clés de sa boîte aux lettres. Mais le géant fait mieux encore…

    Business Insider a mené son enquête et a remarqué que l’étape suivante de l’inscription au réseau social ouvrait une fenêtre pop-up indiquant « importing contacts ». Sans possibilité d’annuler cette importation, sans même demander l’accord de l’utilisateur. Selon notre confrère, cette « modalité » d’inscription a cours depuis 2016.

    Facebook a rapidement réagi, annonçant avoir « cessé d’offrir la vérification de mot de passe de messagerie comme une option lors de la première inscription à Facebook ». Mais le communiqué envoyé à Business Insider ne s’arrête pas là, l’entreprise ajoutant avoir constaté que « dans certains cas, leurs contacts de messagerie ont également été téléchargés involontairement sur Facebook lors de la création de leur compte ».

    Le mot important ici est sans doute « involontairement » : on voit mal comment la collecte des données de contacts contenues dans les comptes mails des utilisateurs qui en ont donné le mot de passe peut être fortuite. « Nous estimons que près de 1,5 million de contacts de messagerie ont été téléchargés. Ces contacts n’ont été partagés avec personne. Nous les supprimons. Nous avons corrigé le problème sous-jacent et avertissons les personnes dont les contacts ont été importés ».

    • Oui, exactement @biggrizzly Sauf que tu n’es pas obligé d’accepter tout. C’était Turk, alors président de la CNIL qui disait à propos des données bancaires réclamées par les services sociaux « Oui, ce sont effectivement des données confidentielles … tant que vous ne les révélez pas vous même » Même si on vous le demande vous n’êtes pas obligé d’accepter. #consentement #viol_de_données

      e-sushi ce serait pas le pseudo de christophe colomb ?

      Tout a commencé le 31 mars, lorsque e-sushi, un développeur, a découvert que Facebook demandait lors de l’inscription d’un nouvel utilisateur le mot de passe de son adresse email.

      Ca fait 20 ans qu’on sait que Zuckerberg a des rêves nourris de théories infectes, voire ses potes philosophes millionnaires du capitalisme numérique mais bon …

      #boycott_facebook #humanité_désespérante

      Au passage, on a la même chose avec Doctolib qui siphonne les données des patients sans leur accord depuis les hopitaux avec l’agrément de l’#ordre_des_médecins et de la #CNIL mais ça n’a pas l’air de faire tilt non plus.

  • #facebook Pro — An Open Letter
    https://hackernoon.com/facebook-pro-an-open-letter-c43edd70a91e?source=rss----3a8144eabfe3---4

    Facebook Pro — An Open LetterDear Mr. Zuckerberg,I created my Facebook account back in 2013 on the last day of my senior year in high school. At the time, I was pretty late to the Facebook party — I think I may have been the last kid in my grade to join, and I bet most of my friends entered high school with already bustling profiles.When I signed up, I remember being struck by the tagline on the login page: “Join Facebook. It’s free, and always will be.”Why is that, Mark?I happen to believe that you’re providing a very valuable service — one that I would be more than happy to pay for — and I find it a bit strange that you won’t let me give you my money. After all, every other company on the planet provides a service in exchange for cash; so it’s not unreasonable to ask for proper compensation. What’s (...)

    #facebook-pro #blockchain #dear-mark-zuckerberg #privacy

  • The future of tech according to Mark Cuban, Zuck and Bill Gates is…liberal arts?!?
    https://hackernoon.com/https-medium-com-stevenchien-the-future-of-tech-according-to-mark-cuban-

    When these billionaire tech heavyweights speak, it’s worth a listen.We’ve all heard of the impending Robot-pocalypse, where robots come and steal everyone’s job.A sample of some fear-mongering headlines:JP Morgan just outsourced finance and legal work to a robot that can complete 360,000 hours of billable work in a few seconds.Mark Cuban predicts robots will soon be able to write better computer code than humans.Even some doctors may get displaced by smart toilets and other sensors that provide a more accurate diagnosis.Imagine that…Doctors, lawyers, accountants and engineers being displaced by Robots…it’s every Tiger Mom’s worst nightmare!Hold up! So what’s this all mean?Mark Cuban, the billionaire software developer and owner of the Dallas Mavericks says:“I personally think there’s going to be (...)

    #side-project #leadership #personal-development #entrepreneurship #side-hustle

  • Effects of Companies Cracking Down on Crypto Ads
    https://hackernoon.com/effects-of-companies-cracking-down-on-crypto-ads-890070c4f2ce?source=rss

    By: Mike GennaUnfortunately, it only takes one of us to ruin it for the rest of us. Several multi-billion dollar corporations that account for ad revenue have done away with all advertisements related to Initial Coin Offerings (ICOs) and token sales. #facebook, in hot water amid a congressional hearing with Chief Zuck, probably felt the need to become Congress’ ultimate fawners and issued the first ban in January of 2018. The company now allows crypto exchange advertisements only after they go through a rigorous application process of verifying the legitimacy of their company.It wouldn’t be for another four months until the world’s largest search engine announced its ban on ALL advertisements including cryptocurrency such as wallets, #ico’s, exchanges, token sales, and trading advice (...)

    #google #ads-crypto #advertising

  • How #blockchain can solve the #facebook problem
    https://hackernoon.com/how-blockchain-can-solve-the-facebook-problem-bb05ffc4159e?source=rss---

    Maybe you’ve heard. Facebook has a problem. Quite a few of them.It all started with the ads Russia bought to tip the 2016 presidential election.It culminated with the Cambridge Analytica scandal. The data of about 87 million users has been exposed without their consent.And in-between, there were revelations about Facebook retaining users’ deleted videos, the whole “fake news” controversy, the systematic scanning of photos shared on Messenger, Zuck’s superpower to delete his own messages from other people’s inboxes, and so on.These scandals seem to come from all places. But they have one thing in common. They show how powerful Facebook has become, and how Facebook is making use of its power: to benefit Facebook first and foremost. Most often to the detriment of its own users. Some even argue, (...)

    #advertising #ico #cambridge-analytica

  • Le scandale Facebook pose avant tout une question politique - Libération
    http://www.liberation.fr/debats/2018/03/23/le-scandale-facebook-pose-avant-tout-une-question-politique_1638346

    L’affaire qui touche en ce moment le réseau social aux 2 milliards d’utilisateurs n’est que le symptôme du naufrage de l’action publique.

    Le scandale Facebook pose avant tout une question politique

    D’abord il y a l’évidence. A l’évidence, quiconque peut disposer d’une partie substantielle et suffisamment ciblée des données collectées et agrégées par Facebook dispose d’un outil d’influence absolument redoutable et tout à fait inédit à l’échelle de l’histoire de l’humanité et de la manipulation de l’opinion. Quantitativement et qualitativement, jamais aucun média n’avait été en capacité de disposer d’autant de données privées et intimes sur autant de personnes en temps réel et à flux constant (plus de 2 milliards d’utilisateurs).« Une version postmoderne de la Stasi », pour reprendre la formule de Julian Assange. Mais en pire.

    Ceci étant posé en préalable, toute agence de « relations publiques » (RP) comme elles se nomment par euphémisme et antiphrase, puisqu’il s’agit surtout d’entretenir des connivences privées, Cambridge Analytica compris, aura une tendance naturelle à surestimer auprès de ses clients et des médias le pouvoir réel dont elle prétend pouvoir disposer pour façonner l’opinion. Au regard de ce que sont ses clients et ses intérêts, cette affaire est cyniquement une extraordinaire publicité pour Cambridge Analytica.
    Facebook et Cambridge Analytica n’ont pas « fait l’élection »

    Mais attention à ne pas rater l’essentiel des enjeux de cette affaire. Certes, la collecte de données est massive. Certes, le mode opératoire de la collecte est suspect (au travers d’applications tierces notamment). Certes, les soupçons de collusion entre Facebook et Cambridge Analytica méritent d’être explorés par la justice. Certes, le laissez-faire de Facebook confine à l’incurie chronique dans cette affaire. Mais n’allons pas pour autant imaginer que l’élection de Trump s’est jouée uniquement sur de l’analyse de données et du profilage marketing, même parfaitement ciblé, même à cette échelle.

    D’autant que rien n’est vraiment nouveau. Un porte-parole de la campagne d’Obama indique que lui aussi a « naturellement » travaillé avec Facebook pour avoir accès aux données personnelles d’utilisateurs d’obédience plutôt démocrate. C’est un fait : tous les candidats de toutes les élections de tous les pays travaillent et travailleront toujours avec toutes les entreprises et médias susceptibles de leur apporter des infos en termes d’analyse de l’opinion et accessoirement leur promettant d’être en capacité d’exercer des actions d’influence.

    Mais pour le reste, choisir pour qui nous allons voter est, heureusement, un processus décisionnel largement multi-factoriel qu’aucune martingale algorithmique ne peut prétendre modéliser de manière fiable, fut-elle gavée d’une immensité de données qualifiées. Et à ce titre, l’élection de Trump en est d’ailleurs la preuve éclatante. Facebook et Cambridge Analytica ont certainement une part de responsabilité dans cette élection mais ils n’ont à eux seuls pas « fait l’élection ». Loin s’en faut.

    A lire aussi :Scandale Facebook : les petits remèdes du Dr Zuckerberg
    Facebook et son projet politique

    Au-delà des agences de com ou de RP, la première question qu’il me semble essentiel de retenir de toute cette affaire, c’est celle de savoir comment garantir que « l’executive board » de Facebook lui-même ne cède pas à la tentation d’exploiter l’immensité des données dont il dispose pour mener une campagne d’influence sur des sujets politiques ou sociétaux. D’autant que l’on sait qu’une place était réservée pour Zuckerberg dans l’équipe Clinton si celle-ci avait remporté l’élection. Et sans pour autant avoir besoin de fantasmer sur les intentions présidentielles de Mark Zuckerberg, il est au moins acquis et avéré qu’à l’échelle qu’atteint aujourd’hui Facebook, il ne peut pas, il ne peut plus faire l’économie d’un projet politique.

    L’autre question liée est celle de l’intentionnalité de la collecte et de l’usage qui est fait de ces immenses volumes de données. L’un des ingénieurs en intelligence artificielle chez Google, François Chollet, a peut-être très opportunément, mais de mon point de vue très justement, indiqué quel était l’enjeu principal de cette intentionnalité en déclarant sur son compte Twitter (je souligne) :

    « Le problème avec Facebook n’est pas « uniquement » la question de la privacy et le fait qu’il puisse être utilisé comme un panoptique totalitaire. L’aspect le plus inquiétant à mon avis est son utilisation de notre consommation d’information comme un outil de contrôle psychologique ("The more worrying issue, in my opinion, is its use of digital information consumption as a psychological control vector"). […] En bref, Facebook est en capacité de simultanément prendre la mesure de tout ce qui nous touche et nous concerne, et de contrôler l’information que nous consommons. Quand vous avez à la fois accès à ces dimensions de perception et d’action, vous faites face à une situation classique en Intelligence Artificielle. Vous pouvez établir une boucle logique optimisée pour le comportement humain. […] Une boucle dans laquelle vous observez l’état actuel de vos cibles et déterminez l’information avec laquelle il est nécessaire de les alimenter, jusqu’à ce que vous observiez les opinions et les comportements que vous voulez obtenir. Une bonne partie du champ de recherche en Intelligence Artificielle (particulièrement celle dans laquelle Facebook investit massivement) concerne le développement d’algorithmes capables de résoudre de tels problèmes d’optimisation, de la manière la plus efficace possible, pour pouvoir clore la boucle et disposer d’un niveau de contrôle total sur le phénomène. »
    Quel impact sur les comportements ?

    Et la dernière question est celle de savoir si cette énième affaire, s’ajoutant à la liste déjà longue des casseroles qui collent à l’image de la plateforme sociale, aura ou non une incidence sur le comportement des usagers, sur nos comportements. Un article du New York Times indiquait que Zuckerberg aurait été averti de l’essentiel des révélations qui allaient être faites quinze jours avant leur sortie, et qu’il aurait sous-estimé le tollé que cela allait susciter. Il est plutôt probable que Zuckerberg ait vu dans cette affaire l’occasion d’un crash test bienvenu : voir jusqu’où les utilisateurs sont prêts à tolérer que la plateforme continue de faire et de laisser-faire absolument n’importe quoi avec leurs données, voir jusqu’où l’idée que Facebook soit reconnu comme un formidable média de manipulation de masse n’empêche en rien d’en avoir un usage trivial nous servant simultanément d’exutoire, de service de mise en relation et un peu aussi de source d’information.

    Croire que cette affaire sera un éclair de lucidité dans l’opinion et permettra une prise de conscience accrue des enjeux posés par une plateforme privée rassemblant deux milliards d’utilisateurs sur un modèle économique de régie publicitaire est une chose. Imaginer que cela impactera les comportements de ces mêmes utilisateurs en est une autre. Ceux qui le pensent font la même erreur que ceux qui pensaient que Trump n’avait objectivement absolument aucune chance de l’emporter tant l’énormité de ses prises de parole ou ses positions était une caricature de caricature.
    Ne pas se tromper de cible

    Par l’architecture de panoptique sur laquelle il repose, Facebook ne peut de toute façon pas être autre chose qu’un instrument de surveillance. L’utiliser comme tel n’est ni « bon » ni « mauvais » mais juste « logique et cohérent ». Et ses 2 milliards d’utilisateurs n’ont pas besoin d’une quelconque perversité pour se mettre à se surveiller les uns les autres dès lors qu’ils sont installés dans cette architecture panoptique. Fenêtre sur cour. La fonction crée l’organe et l’architecture crée la perversité des régimes de sur- ou de sous-veillance. N’espérons donc pas davantage un changement de mentalité, de moralité ou un exode des utilisateurs à la faveur des révélations de ce nouveau scandale ; « révélations » qui ne sont en fait que la répétition et l’incarnation de la fonction panoptique de la plateforme. Et n’espérons pas davantage que les excuses de Zuckerberg changeront quoi que ce soit. Sans changement d’architecture et sans changement de modèle économique, rien ne pourra changer dans les logiques d’usage que la plateforme autorise.

    Entre responsabilité effective et influence relative dans l’élection américaine, et qu’il s’agisse de Facebook ou de Cambridge Analytica, il ne faut pas que nous nous trompions de cible en combattant les symptômes plutôt que le mal. La solution pour empêcher l’accession au pouvoir de personnalités névrotiques ou simplement avides de leur propre suffisance ne se trouve pas dans la régulation de Facebook ou dans l’abolition de son modèle publicitaire mais dans le seul champ de l’action publique. Dans le champ du politique dont Facebook n’est que le reflet le plus souvent hors-cadre.

    C’est sur l’incurie de l’action politique et sur la perte de sens de la parole politique que se fabrique et s’entretient le modèle d’affaire des agences de RP comme Cambridge Analytica. « Building a community », comme ne cesse de le répéter Zuckerberg, n’est rien d’autre qu’un slogan marketing totalement creux. La seule chose que Facebook ait jamais permis de construire c’est une architecture de la surveillance dans laquelle Mark Zuckerberg a constitué une audience dont viennent se repaître annonceurs et agences de RP. Et la seule communauté qui vaille est celle des intérêts financiers de la firme.

    Facebook n’est que le reflet du naufrage de la publicitarisation de l’action publique et de la parole politique. De la société du spectacle de Debord, décidément visionnaire à plus d’un titre. Mais plus qu’un reflet Facebook est aussi un miroir. Le miroir qui nous est tendu de l’Hiroshima démocratique qui nous attend collectivement si nous n’arrivons pas à redresser la barre. Car quand Facebook ou Zuckerberg se mettront vraiment à faire de la politique, alors il sera en effet trop tard.

    Olivier Ertszcheid est l’auteur de l’Appétit des géants (2017, C&F éditions)
    Olivier Ertzscheid Enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication à l’université de Nantes

    #Olivier_Ertzscheid #Facebook #Politique_algorithmes

  • Is Facebook Really Scarier Than Google? - Facts So Romantic
    http://nautil.us/blog/is-facebook-really-scarier-than-google

    On Twitter, in a thread that went viral, François Chollet, an A.I. software engineer at Google DeepMind, argued, “Facebook is, in effect, in control of your political beliefs and your worldview.”Photograph by Joe Penniston / FlickrMark Zuckerberg, the founder and C.E.O. of Facebook, admitted recently his company knew, in 2015, that the data firm Cambridge Analytica, which assisted with Donald Trump’s election campaign, had improperly acquired information on 50 million Facebook users. “This was a breach of trust,” Zuckerberg said, in a Facebook post. “We need to fix that.”But that’s not the only thing Facebook needs to fix. “The problem with Facebook is not just the loss of your privacy and the fact that it can be used as a totalitarian panopticon,” said François Chollet, an artificial (...)

  • Silicon Valley Is Not Your Friend - The New York Times
    https://www.nytimes.com/interactive/2017/10/13/opinion/sunday/Silicon-Valley-Is-Not-Your-Friend.html

    These menacing turns of events have been quite bewildering to the public, running counter to everything Silicon Valley had preached about itself. Google, for example, says its purpose is “to organize the world’s information, making it universally accessible and useful,” a quest that could describe your local library as much as a Fortune 500 company. Similarly, Facebook aims to “give people the power to build community and bring the world closer together.” Even Amazon looked outside itself for fulfillment by seeking to become, in the words of its founder, Jeff Bezos, “the most customer-obsessed company to ever occupy planet Earth.”

    Almost from its inception, the World Wide Web produced public anxiety — your computer was joined to a network that was beyond your ken and could send worms, viruses and trackers your way — but we nonetheless were inclined to give these earnest innovators the benefit of the doubt. They were on our side in making the web safe and useful, and thus it became easy to interpret each misstep as an unfortunate accident on the path to digital utopia rather than as subterfuge meant to ensure world domination.

    Now that Google, Facebook, Amazon have become world dominators, the questions of the hour are, can the public be convinced to see Silicon Valley as the wrecking ball that it is? And do we still have the regulatory tools and social cohesion to restrain the monopolists before they smash the foundations of our society?

    Une anecdote intéressante :

    Once Mr. Brin, Mr. Page and Mr. Zuckerberg reversed course on pursuing profits, they reported an odd thing — the public didn’t seem to care. “Do you know the most common feedback, honestly?” Mr. Brin said in 2002 when asked about the reaction to Google’s embrace of advertising. “It’s ‘What ads?’ People either haven’t done searches that bring them up or haven’t noticed them. Or the third possibility is that they brought up the ads and they did notice them and they forgot about them, which I think is the most likely scenario.”

    Et une excellente citation de John MacCarthy

    John McCarthy, the computer-science pioneer who nurtured the first hackers at M.I.T. and later ran Stanford’s artificial intelligence lab, worried that programmers didn’t understand their responsibilities. “Computers will end up with the psychology that is convenient to their designers (and they’ll be fascist bastards if those designers don’t think twice),” he wrote in 1983. “Program designers have a tendency to think of the users as idiots who need to be controlled. They should rather think of their program as a servant, whose master, the user, should be able to control it.”

    Facebook conçu pour attirer 10 mais afin d’avoir assez de matériau pour inciter l’usager à revenir

    As Mr. Weizenbaum feared, the current tech leaders have discovered that people trust computers and have licked their lips at the possibilities. The examples of Silicon Valley manipulation are too legion to list: push notifications, surge pricing, recommended friends, suggested films, people who bought this also bought that. Early on, Facebook realized there was a hurdle to getting people to stay logged on. “We came upon this magic number that you needed to find 10 friends,” Mr. Zuckerberg recalled in 2011. “And once you had 10 friends, you had enough content in your newsfeed that there would just be stuff on a good enough interval where it would be worth coming back to the site.” Facebook would design its site for new arrivals so that it was all about finding people to “friend.”

    The 10 friends rule is an example of a favored manipulation of tech companies, the network effect. People will use your service — as lame as it may be — if others use your service. This was tautological reasoning that nonetheless proved true: If everyone is on Facebook, then everyone is on Facebook. You need to do whatever it takes to keep people logging in, and if rivals emerge, they must be crushed or, if stubbornly resilient, acquired.

    As is becoming obvious, these companies do not deserve the benefit of the doubt. We need greater regulation, even if it impedes the introduction of new services. If we can’t stop their proposals — if we can’t say that driverless cars may not be a worthy goal, to give just one example — then are we in control of our society? We need to break up these online monopolies because if a few people make the decisions about how we communicate, shop, learn the news, again, do we control our own society?

    #Silicon_valley #Cyberlibertariens #Google #Facebook #Economie_attention #Médias_sociaux

  • Mr. Zuckerberg goes to Africa
    http://africasacountry.com/2016/09/mr-zuckerberg-goes-to-africa

    In late August and early September, #Facebook CEO #Mark_Zuckerberg visited #Nigeria’s Silicon Lagoon and #Kenya’s Silicon Savannah. Both visits were “surprises” for the locals and were also Zuckerberg’s first official trips to any African country. As noted in a recent survey, Kenya and Nigeria are two of the five countries that host 50 percent of […]

    #CULTURE #Net_Neutrality #Tech/Web #Zambia #Zimbabwe

  • Zuckerberg à Barcelone, les visionneurs, les voyeurs et le visionnaire - Arrêt sur images
    http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=8500

    Le Big brother de Barcelone ne regarde même pas les aveuglés. Il passe la revue de ses disciples, dans le réel qu’il occupe seul, sans même avoir besoin de vérifier du regard qu’ils ne le voient pas. Normal : s’ils forment la foule des visionneurs, le seul visionnaire sacré par la photo, c’est lui. Cette qualité, dont il est mondialement crédité, et que le rachat d’#Oculus_rift n’a pas encore ratifiée, la photo la lui restitue. Bien joué ? Pas forcément. A nos yeux, l’appareil magique, qui devait leur permettre de voir mieux et davantage, les a surtout aveuglés. De notre surplomb de voyeurs, nous les plaignons, nous rions d’eux.

    (Bizarre de parler de 1984 quand la photo évoque surtout Matrix.)

    #facebook #post-humanité #élevage_humain

    • a high-profile member of Facebook’s board of directors, the venture capitalist #Marc_Andreessen, sounded off about the decision to his nearly half-a-million Twitter followers with a stunning comment.

      #Anti-colonialism has been economically catastrophic for the Indian people for decades,” Andreessen wrote. “Why stop now?”

      After that, the Internet went nuts.

      Andreessen deleted his tweet, apologized, and underscored that he is “100 percent opposed to colonialism” and “100 percent in favor of independence and freedom.” Zuckerberg, Facebook’s CEO, followed up with his own Facebook post to say Andreessen’s comment was “deeply upsetting” to him, and not representative of the way he thinks “at all.”

      #disruption #colonialisme #venture_capitalists #oops

      “users” is a term that Facebook now discourages, favoring “people” instead. Though “users” was, at least, an improvement over “dumb fucks,” which is what Zuckerberg called the people who signed up for Facebook when it was new

  • Testosterone Pit - Home - The Worldwide Surveillance And Privacy War (Which You Already Lost)
    http://www.testosteronepit.com/home/2013/7/25/the-worldwide-surveillance-and-privacy-war-which-you-already.html

    Even the most fervent proponents of “privacy is dead” are managing their online reputation. Filmmaker Cullen Hoback approached Facebook CEO Mark Zuckerberg outside his home, camera rolling, and asked, “Do you still think privacy is dead? What are your real thoughts on privacy?” Apparently worried about his own privacy, Zuck told Hoback to stop filming, which he did. Zuck relaxed and encouraged him to contact Facebook’s PR people. The exchange was caught on video as Hoback continued to film with a camera built into his spyglasses.

    “I just wanted him to say, ‘Look, I don’t want you to record me,’ and I wanted to say, ‘Look, I don’t want you to record us,’” Hoback explained*. The scene is part of his documentary, Terms and Conditions, which vivisects the user agreements and privacy policies that everyone accepts in order to do anything online, and which allow companies to collect, store, and share massive amounts of user data. “I think the craziest thing about this whole experience is that I didn’t realize I was making a horror film,” he said.

    A technology that surreptitiously captures data of people out on the street, combines it with other data, and mines it ad infinitum? Local and federal government agencies love it. It’s increasingly sophisticated and cheap. It’s spreading. And it led a professor at West Point to warn: “We don’t have a police state in this country, but we have the technology.”

    * http://www.telegraph.co.uk/culture/film/film-news/10190036/Facebook-founder-Mark-Zuckerberg-secretly-filmed-for-horror-film.html