« Gabriel Attal a donc mis en place des uniformes pour enfants ... cousus par des enfants exploités à l’autre bout du monde.
Le macronisme est un vomitif permanent. »
▻https://twitter.com/EmbrunZola/status/1772528090654089523
« Gabriel Attal a donc mis en place des uniformes pour enfants ... cousus par des enfants exploités à l’autre bout du monde.
Le macronisme est un vomitif permanent. »
À l’école, des uniformes “Made in Pakistan” ?
▻https://contre-attaque.net/2024/03/28/a-lecole-des-uniformes-made-in-pakistan
" ; ; ; « Pièges #malsains », « systèmes #mafieux », tournages extrêmes… le #porno, c’était pas (toujours) mieux avant... (...)" #marianne
Vous prétendez parler du porno qu’était pas mieux avant, tout en mettant en avant le #glamour #porn, façon #Dorcel, #Putes et #Chateaux, #Relais et #Partouzes, vous n’êtes pas vraiment des gens sérieux. Vous surfez
Prochnmt, #Natacha_Polony, #par_devant, #par_derrière
:-D :-D :-D
« ... #glamour des années 1990.... » SANS BLAGUE ? Vous vivez sur quelle planète, #Marianne ?
▻https://www.marianne.net/societe/pieges-malsains-systemes-mafieux-tournages-extremes-le-porno-c-etait-pas-t
Pour « Un » #Depardieu, combien de petites #putes ? :-D :-D :-D
Affaire Depardieu : « Les financeurs du cinéma brillent par leur silence »
Pseudo "Affaire Depardieu : « Les financeurs du cinéma brillent par leur silence » (...)"
... :-D :-D :-D
▻https://www.marianne.net/culture/cinema/affaire-depardieu-les-financeurs-du-cinema-brillent-par-leur-silence#utm_s
#démagogie #féministe #salopes #opportunistes #traînées #société #sexualité #politique #chiennes_de_garde #humanité #respect #vangauguin
Bonjour, grüezi, allegra, benvenuto: plurilingue au quotidien
Quatre #langues_nationales, des dizaines de dialectes, plus de 250 langues parlées au total : le plurilinguisme est un phénomène saillant en Suisse, et il augmente. Le plus frappant est cependant de voir comment l’#anglais s’impose peu à peu comme cinquième « langue nationale ».
Renata Coray a grandi dans le canton de Bâle-Campagne au sein d’une famille où l’on parlait le romanche et le suisse allemand, elle a fait des études en français et en allemand à Fribourg, vit à Zurich, séjourne souvent dans la Surselva, lit aussi des textes en anglais pour son travail et aime les vacances en Italie. Si tous les Suisses ne sont pas aussi polyglottes que cette cheffe de projet à l’Institut de plurilinguisme de l’université de Fribourg, la dernière étude de l’Office fédéral de la statistique (OFS) sur le #paysage_linguistique suisse montre tout de même que le plurilinguisme est en nette augmentation. Plus de deux tiers de la population suisse utilise régulièrement plus d’une langue. En 2014, environ 64 % des Suisses parlaient plus d’une langue au quotidien. Aujourd’hui, ils sont 68 %. Pour ce qui est du nombre de langues utilisées, 38,4 % en parlent régulièrement deux, 21,3 % trois, 6,4 % quatre et 1,7 % cinq ou plus. Notons que l’étude n’établit pas de distinction entre l’allemand standard et le suisse allemand.
« Cette augmentation est due à la #mobilité accrue, aux possibilités de communication élargies offertes notamment par les nouveaux médias et l’Internet, aux cours de langue très répandus et à la composition plus internationale de la population », indique la sociolinguiste Renata Coray. Mais la modification des questions de l’enquête statistique y est aussi pour quelque chose : si, jusqu’en 1990, les sondés ne devaient indiquer que leur langue maternelle (les personnes bilingues devant opter pour une seule langue), ils peuvent depuis lors mentionner aussi les langues qui leur sont familières et, depuis 2010, citer jusqu’à trois langues principales.
Une mise en œuvre présentant des lacunes
Malgré cette augmentation, le plurilinguisme reste un thème politique explosif en Suisse. La longue lutte pour la survie du #romanche ou, en nombre d’endroits, les disputes liées à l’introduction de l’anglais à l’école au lieu du français dans les petites classes le montrent. La promotion des langues nationales, en particulier des #langues_minoritaires que sont l’#italien et romanche, est néanmoins ancrée dans la Constitution fédérale. « Pas mal de choses ont été faites sur le plan de la #politique_linguistique et des lois, note Renata Coray, mais la mise en œuvre présente parfois des lacunes. » Cela se voit par exemple, dit-elle, dans l’#administration_fédérale. Une étude de 2020 du Centre pour la Démocratie d’Aarau montre que dans près de deux tiers des offices, les Suisses alémaniques sont clairement surreprésentés et les membres des minorités linguistiques, sous-représentés.
Un problème similaire existe dans le canton des #Grisons, relève la sociolinguiste. Dans ce seul canton possédant trois langues officielles – l’allemand, le romanche et l’italien –, l’#allemand reste nettement dominant dans l’#administration. Au fond, la promotion du romanche a-t-elle un sens dans un pays dont seulement 0,5 % de la population résidante permanente le considère comme l’une de ses langues principales, et seulement 0,9 % l’utilise régulièrement, sachant que la plupart des romanchophones maîtrisent aussi l’allemand ? « Il est vrai que ma grand-mère faisait probablement partie de la dernière génération qui ne parlait que le romanche, mais la promotion de la #diversité_linguistique est tout de même importante pour la #cohésion et l’#identité du pays », souligne Renata Coray. Même du point de vue économique, le multilinguisme semble payer : il est en effet à l’origine de 9 % du produit intérieur brut de la Suisse, comme l’ont découvert des chercheurs de l’université de Genève en 2008. Actuellement, une autre étude est en cours, car ce chiffre pourrait avoir augmenté ces dernières années.
Encourager les jeunes
Naomi Arpagaus apprécie elle aussi la #diversité_linguistique. Cette Grisonne de 21 ans a grandi dans un environnement romanche et suisse alémanique, appris l’anglais et l’italien à l’école, s’est spécialisée en espagnol au gymnase et prend en ce moment des leçons de français. « Vivant à Berne à cause de mes études, je parle surtout l’allemand au quotidien, mais aussi le romanche avec mes amis. » La préservation de cette langue lui tient à cœur. Ainsi, en tant que présidente de l’organisation faîtière de la jeunesse romanche #GiuRu, elle s’engage pour la défense des régions linguistiques grisonnes et l’interconnexion des cinq idiomes que sont le #sursilvan, le #sutsilvan, le #surmiran, le #puter et le #vallader.
« Nous organisons des concerts et des soirées de jeux en romanche, tenons une rubrique dans le quotidien romanche ‹La Quotidiana› et entretenons des liens avec d’autres minorités linguistiques d’Europe », explique Naomi Arpagaus. L’intérêt des jeunes est très vif, dit-elle : « Beaucoup considèrent que la maîtrise du romanche est un avantage. Elle facilite l’accès à d’autres langues latines comme le français, l’espagnol ou le portugais, et il s’agit presque d’une langue secrète. » Pourtant, sur les réseaux sociaux, les jeunes s’expriment sans doute plutôt en allemand qu’en romanche, non ? Naomi Arpagaus rigole : « Dans ma génération, on écrit surtout en anglais. »
La prédominance de l’anglais
Dans les faits, si l’on excepte la position particulière de l’allemand standard (voir encadré), l’anglais a de plus en plus tendance à s’imposer comme la cinquième « langue nationale ». L’anglais est la langue étrangère la plus répandue, et de loin (45 %), en particulier chez les jeunes : près de trois quarts des 15 à 24 ans ont utilisé régulièrement l’anglais en 2019. « Et c’est une bonne chose, souligne Verio Pini, je dirais même que c’est indispensable. » Le président de l’association Coscienza Svizzera, qui se bat pour la diversité linguistique, expérimente cela au quotidien. Après avoir grandi au Tessin, Verio Pini a fait des études à Lausanne et à Berne. Il vit la moitié du temps à Berne et la moitié au Tessin et utilise aussi le français, l’anglais et l’espagnol tous les jours, en particulier pour la lecture de la presse.
Aussi important que soit l’anglais aujourd’hui, Verio Pini note cependant que cette langue exerce une forte pression sur les langues nationales. Non seulement sur les langues minoritaires que sont le romanche et l’italien, mais aussi sur l’allemand à Genève ou le français à Zurich. » Souvent, les langues ne sont encouragées que dans leur aire d’influence, alors qu’aujourd’hui, dit Verio Pini, compte tenu de la grande diversité culturelle et de la mobilité, il faut voir au-delà des frontières linguistiques : « L’italien, par exemple, est parlé par un plus grand nombre de personnes au nord des Alpes qu’au Tessin. » Cela n’a pas échappé aux cercles politiques. Dans son message culture 2016–2020 déjà, le Conseil fédéral avait défini l’objectif de soutenir la langue et la culture italiennes hors de la Suisse italienne. Le Parlement réclame aujourd’hui une promotion plus large et plus dynamique du plurilinguisme, et ce afin de favoriser la cohésion nationale et l’intégration.
« Il est évident que la communication entre les différentes régions linguistiques serait plus aisée si tout le monde parlait l’anglais. Mais pour la cohésion nationale et sociale, la communication simplifiée ne suffit pas, note Verio Pini. Il faut aussi comprendre la culture des autres régions linguistiques. » Apparemment, la population suisse en est tout à fait consciente : d’après l’étude de l’OFS, 84 % des Suisses pensent que connaître plusieurs langues nationales est important pour la cohésion du pays.
On n’apprend pas les langues qu’à l’école
Philipp Alexander Weber est aussi de cet avis. Il a grandi à Winterthour et a déménagé à Fribourg pour étudier l’économie. Au début, il avait de la peine avec le français : « À l’école, j’étais plutôt un matheux. » Cependant, il a rapidement remarqué qu’il avait bien plus de facilité à apprendre la langue sur place que dans les livres de grammaire. C’est pourquoi en 2007, il a fondé l’organisation friLingue, qui propose des séjours linguistiques aux jeunes en Suisse. « Je voulais bâtir des ponts au-dessus de la barrière des rösti », explique-t-il.
Aujourd’hui, un millier d’enfants et d’adolescents participent chaque année aux camps de langues de friLingue. Philipp Alexander Weber a noté une hausse de l’intérêt surtout chez les jeunes Romands : « Tandis que les Suisses alémaniques ont toujours été attirés par le français, langue de la diplomatie, et qu’ils considèrent sa maîtrise comme un signe d’éducation, les Romands ont une relation plutôt compliquée avec l’allemand. Ne serait-ce que parce qu’ils apprennent le bon allemand à l’école, tandis qu’on parle des dialectes différents à Berne, à Zurich et à Bâle. » Après la Coupe du monde de football en 2006 en Allemagne, relève Philipp Alexander Weber, l’allemand a toutefois gagné en attrait auprès des Romands. En quelques années, l’Allemagne est devenue leur destination de voyage préférée. Et beaucoup d’entre eux souhaitent à présent effectuer une année sabbatique à Berlin ou un séjour linguistique en Suisse alémanique.
En même temps, plusieurs cantons de Suisse centrale et orientale dévalorisent actuellement le français pour lui préférer l’anglais à l’école. À Uri et en Appenzell Rhodes-Intérieures, par exemple, on n’enseigne plus le français à l’école primaire, et en Thurgovie et à Zurich, le français n’est plus une matière déterminante pour le passage à l’école secondaire ou au gymnase. « Cela se reflète aussi dans les inscriptions aux camps de langues », indique Philipp Alexander Weber. Mais l’école n’est pas le seul endroit où l’on apprend les langues : d’après l’étude de l’OFS, 25 % de la population suisse apprend une ou plusieurs langues à partir de 25 ans. La langue la plus fréquemment apprise est… l’anglais.
Bien sûr, à friLingue aussi, il arrive que des jeunes issus de régions linguistiques différentes aient recours à l’anglais pour se comprendre. Aux yeux de Philipp Alexander Weber, il n’y a là rien de grave : « Nous ne sommes pas une école. Notre objectif est de susciter l’amour des langues. » Lui-même utilise l’allemand et le français au quotidien, mais aussi l’anglais et le portugais. Il a vécu dix ans au Brésil et a un fils brésilien qui parle le suisse allemand. « Les connaissances linguistiques permettent de découvrir et de comprendre d’autres cultures et manières de penser, souligne-t-il. Elles ouvrent de nouveaux horizons. »
–—
« #Hochdeutsch » ou #suisse_allemand ?
Pour les uns, le suisse alémanique est un dialecte, tandis que d’autres le considèrent comme une langue à part entière. Pour Jürg Niederhauser, président du SVDS (Schweizerischer Verein für die deutsche Sprache), il s’agit là en fin de compte d’une « question idéologique » qu’on ne peut pas trancher en s’appuyant sur des données linguistiques. Il est clair que pour quelqu’un qui vient d’une autre région linguistique ou de l’étranger, le suisse allemand parlé au quotidien est souvent un obstacle. De surcroît, le dialecte est de plus en plus souvent utilisé aujourd’hui, car les formes d’expression deviennent de plus en plus informelles : « Il y a 70 ans, un match à la télévision était encore commenté en bon allemand. Aujourd’hui, on utilise le dialecte », relève Jürg Niederhauser. D’après lui, cela rend la compréhension plus difficile pour ceux qui ne parlent pas le suisse allemand et fait que les Suisses alémaniques se gênent davantage de parler l’allemand standard, car celui-ci est presque uniquement utilisé dans un contexte formel, comme à l’école.
▻https://www.swisscommunity.org/fr/nouvelles-et-medias/revue-suisse/article/bonjour-grueezi-allegra-benvenuto-plurilingue-au-quotidien
Brice et sa pute - Try before buy (clip) - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=C3sTGpKsMS4
Brice et sa pute - Suis-je assez pauvre ? (clip) - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=fyC4fUertVM
oui ca me fait pareil @supergeante ?!! et ca plait pas à Isabelle Surply du FN
Je découvre ce groupe ce matin. Le groupe semble assez politisé cf :
Réponse de Brice et sa pute à Isabelle Surply
Pour la référence à Liliane Boury voire ceci :
Liliane Boury dit des gros mots pendant que Bruno Gollnisch montre son cul (version complète)
▻https://www.youtube.com/watch?v=a6M_zpx9nlQ&
#FN #culture #chien #tronche-à-cul #pute
Oui, j’ai juste du mal avec ce genre de xe degré, petite moustache village people, habits vintage, je me présente comme un couple, avec Brice qui rencontre sa pute et décide de faire un groupe. À te faire passer pour une réac avec tes bon vieux Double Nelson.
je suis assez d’accord. C’est le problème que pose l’humour dit « second degrés » qui fonctionne sur le principe du « je sais que tu sais que je pense pas ca et toi réciproquement » sauf qu’on en sais rien de ce que sait la personne qui perçoit.
C’est quoi le Double Nelson ?
En fait j’ai découvert ce groupe via un mail du groupe Piniol, qui me contacte pour une proposition de pochette d’album.
▻https://www.youtube.com/watch?v=xEgzGqrXjMM
Trop de mecs blancs dans ce groupe (7/7) je pense que je vais refuser.
Du coup de lien en lien je suis tombé sur « Brice et sa pute ». Je trouvais quant même les morceaux que j’ai indiqué pas mal.
pour le Double-Nelson te fatigue pas @supergeante Gogol m’a donné la réponse via l’humanité
▻http://www.humanite.fr/node/228278
Le double-Nelson est une redoutable prise de catch qui immobilise le lutteur par un blocage aux cervicales.
C’est surtout au groupe (duo/couple) nancéen que je faisais référence. ▻https://doublenelson.bandcamp.com/music
▻http://www.doublenelson.com
Marrant :
Frutti Chester, sur la chaîne de Double Nelson :
▻https://www.youtube.com/watch?v=UefJ5WZrGzc
La police se lance à la poursuite des 102 lingots d’or de la maire de #Puteaux
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/300317/la-police-se-lance-la-poursuite-des-102-lingots-dor-de-la-maire-de-puteaux
Nicolas Sarkozy en vedette au meeting électoral de Joëlle-Ceccaldi Raynaud, le 10 juin 2015 © © Unionpourputeaux.fr Une enquête préliminaire pour #Fraude_fiscale et #blanchiment a été ouverte par le parquet de Nanterre, à la suite de nos révélations sur le retrait de 102 lingots d’or du compte caché au #Luxembourg de la maire de Puteaux, #Joëlle_Ceccaldi-Raynaud. Cet épisode est au cœur d’une rocambolesque confrontation entre Joëlle et son père Charles, dans une autre affaire de #Corruption.
#France #Emilie_Franchi #Hauts-de-Seine #Justice #offshore #paradis_fiscaux #Suisse
Soupçonné de #Corruption, un maire de #Seine-et-Marne est en garde à vue
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/180117/soupconne-de-corruption-un-maire-de-seine-et-marne-est-en-garde-vue
Jean-François #Oneto, le maire (LR) d’Ozoir-la-Ferrière, a été placé en garde à vue ce 18 janvier. Il fait partie des élus de la région parisienne soupçonnés d’avoir été corrompus par le promoteur Antonio #De_Sousa. M. Oneto aurait bénéficié d’un virement de 500 000 euros pour s’acheter une villa en Corse.
#France #bâtiment #Buresi #Castello #Cnaps #Des_Rosaies #Essonne #France_Pierre #Gardère #GLNF #golf #hippisme #IGPN #Immobilier #Justice #Ozoir-la-Ferrière #Police #préfet #Puteaux #Saint-Thibault-des-Vignes #trafic_d'influence #Val-de-Marne #Vouriot
Looking for the #putes mecs
http://www.radiopanik.org/emissions/les-promesses-de-l-aube/looking-for-the-putes-mecs
Ce matin dans les promesses de l’aube, rencontre avec Diane Fourdrignier pour "Looking for the putes mecs", du 10 au 14 janvier au #théâtre La #balsamine :
Sous la forme d’une conférence performative, Looking for the putes mecs de Diane Fourdrignier et Anne Thuot questionne le chemin -que la femme moderne doit accomplir pour accéder aux services d’un ou une prostitué·e.
Qu’une femme soit hétéro, bisexuelle, lesbienne, sex-addict, en manque de « … », elle n’a pas la possibilité de parvenir aussi facilement qu’un homme à l’assouvissement de son besoin, sa demande, son fantasme sexuel. D’où cela peut-il venir ? Que cela semble-t-il dire sur la position de la femme dans notre « société du désir » ? Nous parlons chaque jour dans les médias de l’inégalité des salaires hommes-femmes. Qu’en est-il de l’inégalité de (...)
#mec
http://www.radiopanik.org/media/sounds/les-promesses-de-l-aube/looking-for-the-putes-mecs_03136__1.mp3
Hypocrites | TRADFEM
►https://tradfem.wordpress.com/2016/12/09/hypocrites
Le fait que nous vivions dans une société où les #hommes nous appellent “#putes ” alors qu’ils se masturbent en pensant à nous ou en nous regardant au travers d’un écran ou en direct (que celle qui n’a jamais croisé un “exhibitionniste” lève la main) n’est pas l’œuvre de l’#hypocrisie, c’est le produit du #machisme ; machisme qui se voit renforcé par des évènements tels que le salon érotique de Barcelone (qui, sur son propre site web, se présente comme un endroit où des gangbangs et des bukkake -douches de sperme- publics sont reproduits) et des sponsors comme Apricots qui, pendant qu’il traite une moitié de l’Espagne d’hypocrite, est dénoncé par le syndicat UGT pour utiliser des volontaires et les faire travailler gratuitement pendant le salon. Et le #porno que tu t’obstines à défendre alors que tu fais des acrobaties avec un discours féministe plein de contradictions contribue aussi à jeter de l’huile sur le feu.
Plusieurs élus pris dans la tourmente de l’affaire du #préfet Alain #Gardère
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/130716/plusieurs-elus-pris-dans-la-tourmente-de-l-affaire-du-prefet-alain-gardere
Incarcéré depuis avril, le promoteur Antonio #De_Sousa est soupçonné d’avoir corrompu le préfet Alain Gardère. Mais l’enquête dévoile ses cadeaux à plusieurs maires (LR) de la région parisienne, dont deux conseillers départementaux de #Seine-et-Marne. Le maire copéiste d’Ozoir-la-Ferrière aurait bénéficié d’un virement de 500 000 euros pour s’acheter une villa en Corse. Suite de notre enquête en plusieurs volets sur les affaires du préfet Gardère.
#France #bâtiment #Buresi #Castello #Cnaps #Corruption #Des_Rosaies #Essonne #France_Pierre #GLNF #golf #hippisme #IGPN #Immobilier #Justice #Oneto #Ozoir-la-Ferrière #Police #Puteaux #Saint-Thibault-des-Vignes #trafic_d'influence #Val-de-Marne #Vouriot
Plusieurs élus pris dans la tourmente de l’affaire du #préfet Alain #Gardère
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/130716/plusieurs-elus-pris-dans-la-tourmente-de-laffaire-du-prefet-alain-gardere
Incarcéré depuis avril, le promoteur Antonio #De_Sousa est soupçonné d’avoir corrompu le préfet Alain Gardère. Mais l’enquête dévoile ses cadeaux à plusieurs maires (LR) de la région parisienne, dont deux conseillers départementaux de #Seine-et-Marne. Le maire copéiste d’Ozoir-la-Ferrière aurait bénéficié d’un virement de 500 000 euros pour s’acheter une villa en Corse. Suite de notre enquête en plusieurs volets sur les affaires du préfet Gardère.
#France #bâtiment #Buresi #Castello #Cnaps #Corruption #Des_Rosaies #Essonne #France_Pierre #GLNF #golf #hippisme #IGPN #Immobilier #Justice #Oneto #Ozoir-la-Ferrière #Police #Puteaux #Saint-Thibault-des-Vignes #trafic_d'influence #Val-de-Marne #Vouriot
Plusieurs élus sont pris dans la tourmente de l’affaire du #préfet Alain #Gardère
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/130716/plusieurs-elus-sont-pris-dans-la-tourmente-de-laffaire-du-prefet-alain-gar
Incarcéré depuis avril, le promoteur Antonio #De_Sousa est soupçonné d’avoir corrompu le préfet Alain Gardère, mais l’enquête dévoile ses cadeaux à plusieurs maires (LR) de la région parisienne dont deux conseillers départementaux de #Seine-et-Marne. Le maire copéiste d’Ozoir-la-Ferrière aurait bénéficié d’un virement de 500 000 euros pour s’acheter une villa en Corse. Suite de notre enquête en plusieurs volets sur les affaires du préfet Gardère.
#France #bâtiment #Buresi #Castello #Cnaps #Corruption #Des_Rosaies #Essonne #France_Pierre #GLNF #golf #hippisme #IGPN #Immobilier #Justice #Oneto #Ozoir-la-Ferrière #Police #Puteaux #Saint-Thibault-des-Vignes #trafic_d'influence #Val-de-Marne #Vouriot
De nouveaux soupçons de #Corruption pèsent sur le #préfet Alain #Gardère
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/300616/de-nouveaux-soupcons-de-corruption-pesent-sur-le-prefet-alain-gardere
Alain Gardère © Reuters Mis en examen pour corruption en janvier, le grand flic sarkozyste Alain Gardère est soupçonné de s’être constitué un important patrimoine immobilier en rendant des services à des chefs d’entreprise. L’enquête s’étend dans plusieurs directions. Premier volet de notre enquête sur les affaires du Préfet Gardère.
#France #Bauer #Buresi #Cnaps #De_Sousa #IGPN #Justice #Le_Bourget #Police #Puteaux #Roissy #Sarkozy #Veil
#manifestation devant la tour Bolloré contre l’accaparement de terres en Asie et en Afrique
▻https://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2016/06/05/manifestation-devant-la-tour-bollore-contre-laccaparemen
Plusieurs dizaines de militants ont perturbé vendredi l’assemblée générale du groupe Bolloré, à #puteaux, près de Paris. Il souhaitaient dénoncer l’accaparement de terres en Afrique et en Asie par la #socfin, une holding dont le groupe est actionnaire. Objectif : … Continue reading →
« Nous, putes » | Contretemps
▻http://www.contretemps.eu/lectures/%C2%AB-nous-putes-%C2%BB
Les luttes des #putes insiste sur la nécessité de qualifier la #prostitution comme un #travail et dresse le parallèle entre le travail #domestique et le travail sexuel. La notion de « sex work » a été forgée par Carol Leigh en 1978 alors qu’elle assistait à un atelier intitulé « #Industrie de l’#exploitation du sexe » à l’occasion de la conférence Women Against #Violence in Pornography and Media à San Francisco. Thierry Schaffauser la cite :
« Comment pouvais-je m’asseoir avec ces femmes comme une égale si elles me chosifiaient ainsi, si elles me décrivaient comme quelque chose qu’on ne fait qu’exploiter, niant par le fait même mon rôle de sujet et d’agente dans cette transaction ? Au début de l’atelier, j’ai suggéré qu’on change ce titre pour parler plutôt de l’industrie du “travail du sexe” parce que cela décrivait ce que les femmes y faisaient »10. (p. 18)
Si cette notion a pour but premier de dé-stigmatiser la prostitution et d’ouvrir un nouvel espace de revendication pour les prostituées, l’affirmation du sexe comme travail permet en outre de déstabiliser les #dichotomies – natures versus culture, travail versus famille, public versus privé – qui organisent les relations entre les sexes et les sexualités11. En considérant le travail sexuel comme « une des formes de travail invisible et jugé improductif, requis de la part des femmes afin de contribuer à la reproduction sociale du (vrai) travail » (p. 139), féministes et travailleur.se.s du sexe activistes dénaturalisent la sexualité et rendent visible les tâches spécifiques assignées aux femmes au sein de la division sexuée du travail. Or, la politique d’« exception sexuelle » qui organise les cadres de la réflexion contemporaine sur la #sexualité en France et plus largement dans le monde occidental repose sur l’idée que la sexualité constitue en quelque sorte le dernier bastion d’un don libre d’économie12. À l’instar de l’exception culturelle, la sexualité doit être, selon le phrasé abolitionniste, soustraite à la logique du marché d’où la virulence des polémiques autour de la prostitution. Les travailleur.se.s du sexe, en monétisant explicitement l’échange sexuel, rendent visible le fait qu’ils réalisent un travail et « donnent ainsi du pouvoir à d’autres femmes qui, dans la sphère privée, subissent des pressions pour être à la disposition sexuelle des hommes sans en tirer un intérêt personnel » (p. 115). Par là même, il s’agit de déjouer l’illusion de #gratuité des relations sexuelles, mais également de souligner que la #monétisation du corps n’est pas le monopole de la prostitution. Contre le principe moral qui voudrait que le corps ne soit pas une marchandise, Thierry Schaffauser adopte une perspective marxiste soulignant que pour l’essentiel des travailleurs, le travail relève de fait d’une exploitation de leur corps : le prolétaire loue bien ses bras pour travailler. En réinscrivant la prostitution dans le champ du travail, Les #luttes des putes invite ainsi à reposer les termes du débat et, de l’usage du corps dans le travail sexuel en particulier, à réfléchir à l’usage du corps dans le travail en général. Sans pour autant faire du travail sexuel « un travail comme les autres », l’auteur veut au contraire voir ce qui dans le travail sexuel trouble le #capitalisme et le #patriarcat.
cc @mona
Le travail du sexe contre le travail
►http://revueperiode.net/le-travail-du-sexe-contre-le-travail
Pour certains et certaines, reconnaître le travail sexuel comme un travail est une démarche libérale, homogène à la marchandisation des corps. À l’encontre de cette idée fausse, Morgane Merteuil propose d’examiner le travail sexuel comme une dimension du travail de reproduction de la force de travail, et reconstitue les liens qui unissent la production capitaliste, l’exploitation du travail salarié et l’oppression des femmes. Elle démontre que la lutte des travailleuses du sexe est un puissant levier pour remettre en cause le travail dans son ensemble, et que la répression du travail du sexe n’est rien d’autre qu’un instrument de la domination de classe, de la division internationale (raciste) du travail et du stigmate de pute qui nourrit le patriarcat.
cc @mona, puisque ça répond, ou tout du moins fait écho, au numéro du diplo (publication de l’article de Morgane Merteuil aujourd’hui 1er sept).
#travail #sexe #marchandisation #capitalisme #exploitation #domination.
Oui, je pense aussi que ça répond au travail de @mona et que ça mérite donc une contreanalyse, surtout qu’il y a distorsion sur des notions fondamentales, comme le fait de justifier la prostitution comme élément d’#émancipation du patriarcat...
justifier la prostitution comme élément d’#émancipation du patriarcat...
de ce que j’ai compris au débat radio qui a eu lieu aujourd’hui ►http://www.europe1.fr/emissions/le-grand-direct-de-l-actu/le-grand-direct-de-lactu-depenaliser-la-prostitution-2502253 ce qui est envisagé par Morgane Merteuil comme un élément d’émancipation ce serait plutôt la capacité d’auto-organisation des prostituées, pas la prostitution en elle-même. Elle semble insister également sur le fait que les problématiques de réification, marchandisation, exploitation des personnes les plus vulnérables socialement (femmes, racisées, personnes trans) ne sont pas spécifiques à la prostitution mais traversent l’ensemble de la société, et que de ce fait ce qui est à attaquer ce serait plus radicalement le capitalisme que seulement la prostitution.
Lettre ouverte aux pro-prostitution – par Rosen Hicher, Survivante | Ressources #Prostitution
▻http://ressourcesprostitution.wordpress.com/2014/03/15/lettre-ouverte-aux-pro-prostitution-rosen-hicher-s
"Vous aimez penser que nous avons le #choix. J’en rirais si j’avais encore la force d’en rire. Pour moi, comme pour beaucoup de celles que j’ai rencontrées, tout a commencé par les belles paroles d’un homme. Il était beau et me couvrait de cadeaux, moi qui n’avais jamais rien reçu, sinon la violence de mon père et les viols de mon oncle. Je l’ai cru.
"Pas de chance : il était mac. J’avais 17 ans, j’étais en fugue. Il m’a prise en stop et balancée dans les « tournantes » pour me préparer à mon futur statut de femme vendable, de femme jetable. Ces hommes sont des prédateurs. Ils s’attaquent aux plus vulnérables, flairent « la bonne #pute ». Après, il nous reste à nous montrer grandes gueules pour éviter les #violences et les perversions des clients que notre fragilité excite.
"Je suis donc tombée dedans. Et j’ai mis vingt-deux ans à en sortir. Vingt-deux ans de violences sexuelles, arrosées de beaucoup d’alcool pour tenir le coup, pour ne pas voir, ne pas sentir. Quand on est dedans, on ne peut rien faire d’autre que dire : c’est bien ! C’est pour ma famille, c’est pour mes enfants ! Sinon on s’effondrerait, comme un château de cartes. Moi, un temps, j’ai même défendu la prostitution et revendiqué les maisons closes !
Les Anglaises payées pour allaiter !
▻http://fr.myeurop.info/2013/11/13/Les%20Anglaises%20payees%20pour%20allaiter-12556
Ludovic Clerima
Payons les mamans pour qu’elles allaitent ! C’est la nouvelle idée folle de chercheurs britanniques. Car si le lait maternel est plébiscité en #Allemagne ou en #Norvège, les Françaises et les Anglaises sont plus réticentes à nourrir au sein leurs nourissons.
Comment stimuler l’#allaitement ? Avec de (...)
#EUROFOCUS #REVUE_DU_WEB #France #Royaume-Uni #accouchement #argent #bébés #congés_maternité #enceinte #enfant #Europe #nourrissons #seins
Un système économique ultralibéral marchandisant tout, accentuant les inégaltés et laissant des miettes en guise de congé parental, à la suite de quoi on se rend compte que c’est pas bon pour la santé des nourrissons, et pour y remédier on marchandise encore plus. Au lieu de faire au minimum des congés parentaux dignes de ce nom.
Le revenu universel, mais limité à celles qui veulent bien jouer les vaches à lait, c’est classe...
#click_bait (article au titre putassier destiné à ramasser le maximum de visiteurs)
L’appel « Touche pas à ma #pute » humilie les #femmes
▻http://lemonde.fr/idees/article/2013/10/29/l-appel-touche-pas-a-ma-pute-humilie-les-femmes_3504547_3232.html
« Touche pas à ma pute », tel est l’intitulé d’une pétition qui sera publiée dans Causeur de novembre. Elle est le porte-étendard du « Manifeste des 343 salauds ». Voilà un acte militant inédit : les hommes n’avouent pas aisément fréquenter les putes. Et se préoccupent plus d’utiliser ces dames que de les défendre.
Dans le manifeste « Touche pas à ma pute », les signataires eux, ont choisi le terme de « salaud » par référence aux « salopes » de 1971. C’est là que je m’interroge. Quelle filiation peut-il bien y avoir entre nous, les « salopes » qui réclamions la liberté interdite de disposer de notre corps, et ces « salauds » qui réclament aujourd’hui la liberté de disposer contre rémunération et sans pénalité du corps de certaines femmes ? Dans le premier cas, il s’agit de lever une oppression, dans le second, de la reconduire. Et ce au nom du même concept : la liberté. Où est la faille ?
@vanso, comme d’hab, tu vas sur google, tu tapes le titre de l’article, Google News te le propose, et quand tu viens de là, lemonde.fr te donne gentillement l’article en entier.
Révélé dans Libération hier soir :
▻http://www.liberation.fr/societe/2013/10/29/343-salauds-clament-leur-droit-a-leur-pute_943288
Point de vue de prostituée :
►http://www.lexpress.fr/actualite/manifeste-des-343-salauds-l-abjection-n-a-plus-de-limites_1295514.html
Point de vue d’hommes zéro macho :
►http://zeromacho.wordpress.com/2013/10/30/1881-hommes-contre-la-prostitution
Publication anticipée du « manifeste » dans Causeur :
▻http://www.causeur.fr/touche-pas-a-ma-pute,24765
Les 343 salauds ne sont finalement que 19…
Le grand zoo multiculturel
▻http://quebec.huffingtonpost.ca/jerome-blanchet-gravel/le-grand-zoo-multiculturel_b_4034076.html
Les « néoféministes » sont celles qui se sont récemment positionnées en faveur du port du voile islamique pour les femmes au service de l’État québécois. Ce sont donc celles qui, le plus souvent à gauche, dénoncent la proposition du gouvernement Marois d’une Charte de la laïcité. Ce sont celles qui, sous le couvert du politiquement correct, revendiquent pour les femmes le droit de vivre dans le passé.
Heureusement il y a les #véritables #femmes : Arrêtons de dorloter l’intégrisme
▻http://www.ledevoir.com/politique/quebec/389246/arretons-de-dorloter-l-integrisme
Le Virus de la domination masculine
►http://fr.wikipedia.org/wiki/Virus_(film,_1980)
Donc, hier soir, nous décidons de revoir Virus, ce #film de fin du monde des années 80 dont j’avais gardé un assez bon souvenir lors de son premier visionnage dans les années 90.
Bref, toujours les mêmes thèmes de la science sans conscience et le personnage archétypale du militaire paranoïde complètement taré à qui il faut éviter de laisser des jouets qui tuent.
En résumé, le monde entier trépasse sauf la poignée de scientifiques qui vivent en Antarctique, là où il fait trop froid pour que les virus se reproduisent. Le truc, c’est qu’il reste 900 personnes vivantes dont 8 #femmes. Forcément, la démographie va prendre une baffe et on ne répétera jamais trop les bienfaits d’un monde où le travail est parfaitement mixte et paritaire.
Arrive la réunion au sommet pour décider du destin de l’humanité et là, faut s’accrocher aux bras du fauteuil pour ne pas démolir la télé à coups de pelle.
Déjà, on voit vite fait que l’exécutif est organisé par nations, ce qui est complètement con, puisque, par définition, il n’y a plus de nations, mais surtout que ce sont les anciens chefs, les vieux mecs, les militaires et les administratifs qui continuent à tenir les rênes de la communauté, parce qu’il leur faut un gouvernement. Autrement dit : on ne change pas une équipe qui perd !
Il y a donc 7 femmes soumises devant un parterre de mecs qui a concédé un strapontin à une représentante du sexe faible. Sur les 7 nanas, il y en a une qui pleure parce qu’elle vient de se faire violer. Le plus vieux prend la parole :
– Oui, le viol est un crime intolérable, cependant...
(quoi, cependant, connard ?)
–... Faut comprendre, les hommes ont des besoins.
Et voilà la brochette de quiches qui opinent du chef en silence, avec juste la violée qui couine un peu.
La femme à lunettes préménauposée (parce qu’elle a été choisi pour ça) prend la parole pour les copines qui deviennent donc l’ultra-minorité silencieuse :
– Oui, nous avons un grave problème pour la survie de l’espèce.
Elle est interrompue par une rousse impertinente (mais c’est un truc de rousse d’être impertinente) :
– Notre sexualité va devoir changer, la monogamie n’est plus envisageable.
On se dit qu’elle a peut-être des options intéressantes à proposer quant au rapport de force hommes/femmes, mais la nana à lunettes qui est dans le camp des dominants reprend la parole :
– les femmes sont devenues notre ressource la plus précieuse et il ne saura plus être question de sentiments ou de choix personnels : elles devront se répartir la tâches de satisfaire les hommes et de faire des enfants.
Et voilà, c’est plié : la nouvelle société transforme les quelques survivantes en #putes destinées à satisfaire les besoins des hommes (parce que les besoins des femmes, on s’en tape, elles n’en ont pas !) et en des utérus qui doivent produire à marche forcée la génération suivante. Rapidement est organisé une sorte de système de tirage au sort où les mecs gagnent une saillie que les femmes ne peuvent pas refuser.
Alors qu’elles devraient être en position de force et qu’elles devraient effectivement imposer un statut nouveau pour la femme, elles sont niées dans leur humanité même, on leur dénie toute autonomie intellectuelle, sexuelle ou sociétal et on en fait des objets totalement soumis aux hommes et à leurs indépassables besoins. La romance à la con entre une des survivante et un scientifique gentil ne rattrape absolument pas la brutalité des propos.
Je m’était dit la même chose lorsque j’ai entendu parler la première fois du déséquilibre du ratio femmes/hommes en Indes. Pas grave puisque la prochaine génération de femme sera plus forte puisque plus rare, mais en fait, face tu perd, pile tu ne gagne pas, comme dans « Virus »...
Pareil que toi. L’idée que la femme n’est qu’outil de l’homme est tellement ancré qu’effectivement, face à la diminution du nombre de femmes « disponibles », la première réaction a été de penser qu’il y allait y avoir plus de viols... À aucun moment les hommes n’ont l’air de penser qu’il va leur falloir être « meilleurs » pour attirer l’attention des femmes qui seraient plus sollicitées, mais bien qu’il allait falloir être plus violents pour accéder à ce qui lui revient de droit.
J’ai l’impression que si le ratio des sexes s’effondrait encore plus, on priverait les femmes tous leurs droits civiques pour les enfermer dans des sortes d’usines à baiser et faire des gosses, je pense qu’on les réduirait à des poules pondeuses en batterie. Et je ne suis pas certaine qu’il n’y ait pas des appels « humanistes » à les lobotomiser pour qu’elles ne souffrent pas de leur condition.
Finalement, Franck Herbert, avec les cuves Axotl du Bene Tleilax, confirme son statut de visionnaire ou, tout au moins, de grand connaisseur de la saloperie humaine universelle.
"À aucun moment les hommes n’ont l’air de penser qu’il va leur falloir être « meilleurs » pour attirer l’attention des femmes qui seraient plus sollicitées..." dixit A. Maillard.
Erreur due à la généralisation. Attirer l’attention puis le désir d’une femme est difficile. Je l’ai toujours constaté.
« Attirer l’attention puis le désir d’une femme est difficile. » C’est d’ailleurs sans doute pour cela qu’une bonne partie des hommes passent leur temps à ça :-) M’enfin je trouve la phrase d’Agnès un peu bizarre aussi : imagine-t-on vraiment plus de 800 hommes faire la cour à 8 femmes, à essayer de leur plaire ? C’est à dire qu’elles en « choisiraient » peut-être 5 ou 10 (voire plus évidemment mais après ça devient une gestion compliquée d’agenda) pendant que les autres seraient juste à se désoler de n’avoir point séduit... Hmm, ça me semble très compliqué, même en admettant que les hommes soient dotés des meilleurs intentions...
Finalement le film est assez « réaliste », malheureusement. Il serait aussi intéressant d’imaginer ce que donnerait l’inverse, à savoir 8 hommes pour 891 femmes...
Arrêt sur images - Puteaux : la mairie rafle le canard
►http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=12298
PUTEAUX : LA MAIRIE RAFLE LE CANARD
Par la rédaction le 20/10/2011
Razzia dans les kiosques. Selon le site MonPuteaux.com, des soutiens de la députée-maire UMP de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, ont acheté tous les numéros du Canard enchaîné vendus dans les kiosques de la ville cette semaine. Motif de ces achats compulsifs ? L’hebdomadaire révèle que la maire, ancienne suppléante de Sarkozy à l’Assemblée, a caché jusqu’à 4 millions d’euros dans des paradis fiscaux.
Putain de toi - Le blog anarchiste et libertaire de NicoCerise
►http://ceriselibertaire.canalblog.com/archives/2009/11/23/15898439.html
Or, il n’est pas interdit en France de se livrer à des rapports sexuels tarifés : la loi française ne proscrit pas la prostitution. D’ailleurs, l’État reconnaît bien la prostitution comme un travail puisqu’elle est soumise au régime fiscal. Dans ce contexte, l’affaire toulousaine constitue une violation de l’un des droits humains proclamés dans l’article 23 de la Déclaration des Nations unies de 1948, : le droit au travail. Elle ne paraît choquer personne. Même les plus sensibles au respect des droits humains demeurent indifférents. Il faut croire que la prostitution reste une activité dont il est tellement évident, pour la plupart des gens, qu’elle doit être empêchée, qu’on peut se permettre de vouloir l’interdire en infraction à un droit fondamental, sans prendre la peine de justifier cette position.
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