Meta-geography and the Navigation of Space - Journal #101 Summer 2019 - e-flux
▻https://www.e-flux.com/journal/101/271896/meta-geography-and-the-navigation-of-space
Boris Rodoman, Museum of Russian Geographical Society.
Meta-geography and the Navigation of Space - Journal #101 Summer 2019 - e-flux
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Boris Rodoman, Museum of Russian Geographical Society.
Signalé par « Soviet Visual » sur FB
Cette représentation originale de la « conférence de Yalta » par Vitaly Komar and Alex Melamid (1984)
Review: The #Red_Atlas, by John Davies and Alexander J. Kent | THE Books
▻https://www.timeshighereducation.com/books/review-the-red-atlas-john-davies-and-alexander-j-kent-universi
n the early 1980s, at the height of the Cold War, the eminent cartographer J. B. Harley transformed the study of maps in a series of brilliant articles deconstructing the presumptions that cartography was a scientific, objective study of physical space. Having read his Derrida, Foucault and Barthes, Harley argued that all maps were shaped by prevailing social, political and ideological factors and represented the world according to the vested interests of those who made or paid for them.
Most scholars assumed that Harley’s innovation came from reading post-structuralist critical theory, but John Davies and Alexander Kent’s brilliant Red Atlas, on the extraordinary Soviet project to map the world from the 1940s until the empire’s collapse in 1989, suggests that Harley and his disciples were also responding to how state power during this particular confrontational period appropriated cartography to further its political ideology.
#atlas #géographie #cartographi #soviétisme #union_soviétique #urss #ex_urss
Rouge ! L’Art au pays des #soviets
Les #peintres de l’#avant-garde russe ont annoncé et accompagné la #révolution_bolchévique. Récit de la 3e révolution russe, la #révolution_artistique.
« Rien d’ancien – ni les formes, ni la vie ! » : par cette rupture radicale avec le passé, les artistes russes font leur #révolution_picturale dès 1905 et participent à l’édification de la #société_nouvelle. Vingt ans plus tard, la belle alliance aura vécu. Ce film est le récit de cette #3e_révolution.
Images d’archives, œuvres, tournages, recherches graphiques concourent à restituer le bouillonnement d’une époque et d’un milieu artistique où se jouent les enjeux esthétiques du XXe siècle.
ping @reka
Un Saint-Pétersbourg post-apocalyptique révélé par les clichés d’un photographe local - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/lifestyle/83067-saint-petersbourg-post-apocalyptique-photos
Ces lieux sont semblables à des décors d’un futur jeu vidéo, dont l’intrigue se déroulerait suite à une catastrophe de grande ampleur. Beaucoup de ces photographies sont réalisées dans des lieux interdits au public, mais certains de ces recoins de Saint-Pétersbourg peuvent être visités.
Ces blagues politiques qui pouvaient vous coûter la vie sous Staline - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/histoire/83065-urss-blagues-staline
Les fantômes d’Alexandre le Grand, de Jules César et de Napoléon regardent le défilé sur la place Rouge dans les années 1940.
« Si j’avais eu des chars soviétiques, j’aurais été invincible ! », s’exclame Alexandre.
« Si j’avais eu des avions soviétiques, j’aurais conquis le monde entier ! », déclare César.
« Si j’avais eu la Pravda [le principal journal soviétique], le monde n’aurait jamais entendu parler de Waterloo ! », assure Napoléon.
«Cher Leonid Ilitch»: Brejnev, superstar des blagues soviétiques - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/ps/2016/12/19/cher-leonid-ilitch-brejnev-superstar-des-blagues-sovietiques_661588
Leonid Brejnev, dirigeant de facto de l’Union soviétique pendant 18 ans, est entré dans l’histoire comme un homme politique, mais également comme le personnage central de nombreuses blagues.
Dans le même genre #Humour #arabe glané dans la presse, et traduit par moi
#Entre_Les_Oreilles, le 4 septembre 2013
▻https://entrelesoreilles.blogspot.com/2013/09/elo156-humour-arabe.html
#Egypte (sous Moubarak) :
Quand Nasser est devenu président, il voulait une vice-président plus bête que lui-même, pour éviter un challenger, il a donc choisi Sadate. Quand Sadate est devenu président, il a choisi Moubarak pour la même raison. Moubarak n’a pas de vice-président, car il n’y a pas un Egyptien plus stupide que lui.
Quand Moubarak a consolidé sa puissance, qu’il a commencé à gagner les élections avec plus de 90 pour cent des voix, et à purger ses rivaux dans l’armée, il envoya ses conseillers politiques à Washington, pour aider à la campagne pour la réélection de Bill Clinton en 1996, après que le président américain ait déclaré admirer la popularité de Moubarak. Lorsque les résultats sont arrivés, c’est Moubarak qui était élu président des Etats-Unis.
Dieu convoque Azrael, l’archange de la mort, et lui dit : « Il est temps d’aller chercher Hosni Moubarak. »
"Etes-vous sûr ?" Azrael demande timidement.
Dieu insiste : « Oui, son heure est venue ; va et apporte moi son âme. »
Alors Azrael descend du ciel et se dirige droit vers le palais présidentiel. Une fois là, il essaie d’entrer, mais il est capturé par la Sécurité d’Etat. Ils le jettent dans une cellule, le tabassent et le torturent. Après plusieurs mois, il est finalement libéré.
De retour au ciel, Dieu le voit tout meurtri et brisé et demande : « Qu’est-il arrivé ? »
"La Sûreté de l’Etat m’a battu et torturé," dit Azrael à Dieu. « Ils viennent juste de me renvoyer. »
Dieu pâlit et d’une voix effrayée dit : « Tu leur as dit que c’est moi qui t’ai envoyé ? »
Dans une autre scène de lit de mort, Azrael revient à Moubarak et lui dit : « Vous devez dire au revoir au peuple égyptien. » Moubarak demande : « Pourquoi, où vont-ils ? »
Moubarak, sur son lit de mort, se lamente : « Que feront les Egyptiens sans moi ? » Son conseiller tente de le réconforter : « Monsieur le Président, ne vous inquiétez pas, les Egyptiens sont un peuple résilient qui pourraient survivre en mangeant des pierres ». Moubarak fait une pause pour réfléchir et dit à son conseiller : « Accorde à mon fils Alaa le monopole pour le commerce des pierres ».
Hosni Moubarak, Barack Obama et Vladimir Poutine, lors d’une réunion, sont ensemble quand soudain, Dieu apparaît devant eux.
« Je suis venu pour vous dire que la fin du monde sera dans deux jours », dit Dieu. « Prévenez votre peuple. »
Ainsi, chaque dirigeant remonte à sa capitale et prépare une allocution télévisée.
A Washington, M. Obama dit : « Mes chers compatriotes, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne nouvelle est que je peux vous confirmer que Dieu existe. La mauvaise nouvelle est qu’il m’a dit que la fin du monde était dans deux jours ».
A Moscou, M. Poutine dit : « Gens de Russie, je regrette de devoir vous informer de deux mauvaises nouvelles. Premièrement, Dieu existe, ce qui signifie que tout ce que notre pays a cru pendant la plupart du siècle dernier était faux. Deuxièmement, le monde se termine dans deux jours ».
Au Caire, Moubarak dit : « O Egyptiens, je viens à vous aujourd’hui avec deux bonnes nouvelles ! Tout d’abord, Dieu et moi venons de tenir un important sommet. Ensuite, il m’a dit que je serai votre président jusqu’à la fin des temps. »
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#Syrie (pendant la guerre civile) :
Deux Syriens font la mendicité dans la rue Hamra, à Beyrouth. Après un moment, ils se rencontrent et comparent leurs revenus. L’un d’eux a gagné beaucoup, l’autre presque rien. L’homme qui n’a pas beaucoup gagné demande : « Qu’est-ce que tu leur dis ? Moi je dis toujours que je suis un pauvre syrien qui a dix enfants à nourrir... ». L’autre homme répond : « Moi, je leur dis que je suis un Syrien pauvre aussi, et que je n’ai pas assez d’argent pour mon voyage de retour. »
Un Américain, un Français et un Syrien arrivent en enfer. Le diable les accueille, leur montre un téléphone et leur donne l’occasion de parler à leurs familles. Tout d’abord, l’américain parle pendant un certain temps à ses proches. Après avoir fini, le diable exige de lui mille dollars pour l’appel. L’américain se plaint - mais en vain. Il doit payer. Le Français pense être plus sage, et parle à sa famille pendant seulement une minute. Mais le diable exige de lui mille euros. Le Français est furieux - mais il doit payer. En fin de compte, c’est au tour du Syrien. Il parle pendant longtemps parce qu’il doit saluer tous les membres de sa grande famille. Après sa conversation, le diable ne lui fait payer qu’une livre syrienne. L’Américain et le Français sont scandalisés et demandent au diable : « Pourquoi ? ». Il répond : « C’était un appel local. »
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#Liban (pendant l’occupation syrienne) :
Question : Pourquoi Emile Lahoud (le président libanais 1998-2007) utilise seulement du papier hygiénique à deux épaisseurs ?
Réponse : Parce qu’il doit envoyer une copie de chaque document à Damas.
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#Moyen-Orient (en août 2013) :
L’Iran soutient Assad. Les Etats du Golfe sont contre Assad.
Assad est contre les Frères musulmans. Les Frères musulmans et Obama sont contre le général Sisi. Mais les pays du Golfe sont pro-Sisi ! Ce qui veut dire qu’ils sont contre les Frères musulmans.
L’Iran est pro-Hamas. Mais le Hamas est derrière les Frères musulmans.
Obama soutient les Frères musulmans, mais le Hamas est contre les Etats-Unis.
Les Etats du Golfe sont pro-US. Mais la Turquie est avec les Etats du Golfe contre Assad, pourtant la Turquie est pro-Frères musulman contre le général Sisi. Et le général Sisi est soutenu par les pays du Golfe !
Bienvenue au Moyen-Orient et passez une bonne journée.
Mr. Al-Sabah, London EC4, UK, Financial Times...
Un médecin cubain part vivre aux États-Unis. Comme il ne peut pas exercer, il monte un business dans Manhattan et pose un écriteau à l’entrée de sa boutique :
« Nous soignons n’importe quelle maladie pour 20$, c’est garanti. Dans le cas contraire, nous vous offrons 100 $."
Trump, qui passe par là, lit l’écriteau et y voit une occasion facile de gagner 100$. Il entre et il dit au médecin :
Trump : j’ai perdu le sens du goût.
Le médecin cubain : infirmière, prenez la petite fiole dans la boîte 22 et administrez trois gouttes sur la langue de monsieur.
Trump : Hey ! Mais c’est dégueulasse, c’est de la merde !
Le médecin cubain : Félicitations, vous avez récupéré le goût. Vous me devez 20$.
Trump s’en va, vexé, et revient une semaine plus tard, décidé à récupérer son argent.
Trump : j’ai perdu la mémoire, je n’ai plus aucun souvenir.
Le médecin cubain : infirmière, apportez-moi la petite fiole de la boîte 22.
Trump : Hey man, come on ! C’est de la merde ça, tu me l’as déjà donnée la semaine dernière !.
Le médecin cubain : Félicitations, vous avez récupéré la mémoire. Vous me devez 20$.
Trump repart, humilié, et revient de nouveau une semaine plus tard, plus déterminé que jamais à récupérer son argent américain.
Trump : Ma vue a terriblement baissé. Je vois tout flou, je ne distingue plus les détails et les lunettes ne me sont d’aucune aide.
Le médecin cubain : Oh ! Vous m’en voyez sincèrement désolé, pour cela nous n’avons aucune médecine. Voici pour vous un billet de 100$.
Trump : Hey ! Are you kidding me ? C’est seulement un billet de 10$. Tu as cru pouvoir me berner ?
Le médecin cubain : Félicitations, vous avez récupéré la vue. Vous me devez 20$ !
Une variante du dernier « handicap » est l’"impuissance" sexuelle.
Musique - numérisation des collections de disques soviétiques
Le label de disques Melodiya Μелодия numérise ses disques. Téléchargement payants.
Russian records - site participatif
Ma mère, cette vacancière ayant visité Tchernobyl trois mois après la catastrophe - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/lifestyle/83018-ma-mere-visite-tchernobyl-apres-catastrophe
Tout comme la dizaine de membres de cette excursion illégale, elle avait connaissance de la survenue du drame et des radiations, mais pensait que cela ne représenterait aucun danger. Beaucoup ont cependant par la suite subi divers maux. Maman, comment as-tu pu ?
Olga Kozlova, blonde de 57 ans, de taille moyenne et à la silhouette outrageusement svelte pour son âge, est assise à une table en bois recouverte d’une nappe blanche, dans un appartement de deux pièces. Au bout est disposé un petit téléviseur continuellement allumé, tandis qu’à portée de main se trouvent du fromage, une bougie aromatique et un ordinateur portable. Cette femme n’est autre que ma maman.
#exceptionnel J’ai rarement lu un papier aussi efficace pour illustrer le caractère déterminant du cadre culturel dans lequel les événements sont vécus et communiqués.
socialist modernism
▻https://socialistmodernism.tumblr.com/post/185545903917/lviv-bus-terminal-stryiska-109-lviv-ukraine
Lviv Bus terminal
Stryiska 109, Lviv, Ukraine
Built in 1980
Architect : V. Sahaydakivsky, M. Stoliarov
Engineer : V. Boykiv, A. Yefremov
BBC - Capital - The city in the shadow of an ageing nuclear reactor
▻http://www.bbc.com/capital/story/20190527-the-city-in-the-shadow-of-an-ageing-nuclear-reactor
Metsamor has been described as one of the world’s most dangerous nuclear power plants because of its location in an earthquake zone.
It sits just 35km (22 miles) from Armenia’s bustling capital, Yerevan, with distant views of snowy Mount Ararat across the border in Turkey.
The plant was constructed around the same time as Chernobyl in the 1970s. At the time the Metsamor reactor provided energy for the growing needs of a vast Soviet Union, which once had ambitious plans to generate 60% of its electricity from nuclear power by 2000.
Soviet Milk by Nora Ikstena review – a blistering Latvian bestseller | Books | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/books/2018/aug/31/soviet-milk-by-nora-ikstena-review
Outre le fait que le livre a l’air d’être très intéressant, cette écrivaine nous fait l’honneur d’une visite sur notre île au milieu du fjord, nous pourrons discuter de cette œuvre.
A century has passed since the Baltic state of Latvia officially became a nation, and for half that time it was part of the Soviet Union. It’s a bitter history and there’s a sense in Nora Ikstena’s bestselling novel, about women versus the state, of a hard-won creative reckoning.
Running from the end of the second world war to the fall of the Berlin Wall, the novel – Ikstena’s 20th – is narrated in alternating sections by an unnamed mother and daughter. “My milk was bitter: the milk of incomprehension, of extinction. I protected my child from it,” says the mother, a fertility specialist whose medical career is blighted after she turns on the abusive husband of a childless woman who seeks her help during a research trip to Leningrad.
Nora Ikstena’s ‘Soviet Milk’ - The White Review
▻http://www.thewhitereview.org/reviews/nora-ikstenas-soviet-milk
Soviet Milk by Nora Ikstena opens with two women who cannot remember. ‘I don’t remember 15 October 1969,’ says the first. ‘I don’t remember 22 October 1944,’ says the second, ‘but I can reconstruct it.’ They can only reconstruct what happened because these are the days on which they were born. Birth reminds us that we are always dependent upon another to know the truth of who we are, something few of us ever come to terms with. These two women are never named: the first, born in Riga in 1969 in the early years of Leonid Brezhnev’s rule over the Soviet Union, is the daughter of the second, born when Riga was liberated from the Nazis at the end of the Second World War. This mother is also a daughter, born to a woman who resolved to forget the independent Latvia of her youth, and a father who refused to forget that Latvia condemned him to the gulag. Soviet Milk consists of these two women telling their stories in short alternating sections, manifesting in its form the intimacy and distance of what the daughter calls their ‘two parallel worlds’.
Des zones désaffectées de l’Oural vues par de futurs architectes étrangers - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/lifestyle/82825-zones-exclusion-oural
Les étudiants internationaux qui ont visité certaines des friches industrielles les plus lugubres de Russie expliquent pourquoi ils souhaitent revenir plus souvent.
De jeunes architectes de 15 pays ont exploré diverses zones industrielles de la région de Tcheliabinsk, notamment l’usine de magnésite de Satka, des carrières surréalistes à Karabach et une serre géante à Tchourilovo. Après leur voyage, ils ont filmé une série de documentaires et ont confié à Russia Beyond ce qui les avait le plus impressionnés dans l’Oural.
Pourquoi 60 ans après, le minibus soviétique Boukhanka fait-il encore l’unanimité ? - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/histoire/81196-urss-minibus-uaz-boukhanka
’Union soviétique disposait elle aussi d’un véhicule semblable au célèbre Combi Volkswagen. 60 ans se sont écoulés depuis le lancement de la première Boukhanka, et elle continue encore aujourd’hui de séduire tant les Russes que les étrangers.
La « Boukhanka », combi légendaire du constructeur UAZ, de retour avec un modèle dernier cri - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/tech/82755-russie-uaz-450-boukhanka-nouveau-modele-kombi-trofi
Quel Russe n’a pas un jour rêvé de faire l’acquisition d’un UAZ-450, plus connu sous le nom de « Boukhanka », incontournable équivalent soviétique du Combi Volkswagen, pour sillonner les interminables routes du pays et partir à la découverte des contrées les plus lointaines ? Un fantasme partagé, voire même parfois concrétisé, également par d’innombrables étrangers.
Si ce vœu est aussi le vôtre, cette nouvelle devrait vous ravir : le constructeur automobile russe UAZ vient tout juste d’entamer la commercialisation d’une version modernisée de ce véhicule tout-terrain emblématique, baptisée Kombi Trofi.
Argh ! souvenirs, souvenirs…
(je ne l’ai jamais appelé ou entendu appelé que UAZ, et plus souvent encore du mot générique mongol pour tout véhicule : машин)
1. « le premier à UB » (à 400 km…)
2. passe-partout
3. vue extérieure, vie intérieure
4. le soir à la veillée
5. passe-partout (bis) …
6. mais y a des limites
7. là, on passe, mais faut lever les pieds.
En résumé (plus de 10 étés d’utilisation et 1 hiver), irremplaçable ! UNE suggestion tout de même, rehausser ou pouvoir installer un réhausseur d’entrée d’air (cf. 6)
La première année en 1993, en perso, on avait aussi un camion tracteur d’artillerie de l’armée russe (tu achetais les engins abandonnés par les Russes pour une bouchée de pain, en gros pour l’équivalent d’une semaine de sa consommation d’essence :-)
J’ai raison de penser qu’il y a du génie dans seenthis et ses seethisiennes et seenthisiens enthousiastes, dont le sens du partage est jusqu’à ce jour totalement inégalé.
Alors : juste merci :)
Brian Dillon on Vladimir Tatlin’s tower in St Petersburg | Books | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/books/2009/jul/25/vladimir-tatlins-tower-st-petersburg
L’emblème de l’URSS en fait !
In the heart of St Petersburg, on the north bank of the Neva, the spire of the Cathedral of SS Peter and Paul lances the sky like a baroque syringe. But the spire has been surpassed, for height and force, by a structure that soars slantwise some 400 metres into the air, and prods the clouds like an accusing finger.
The building - if that is what it is - spans the river and presents to a viewer of its eastern aspect a flat, grey lattice that might be a crane or a vast gun emplacement levelled at the heavens. It soon resolves itself, however, into discrete but unified parts. The iron spine of the thing speeds out of the earth at an angle of 60 degrees. Encircling it, a double helix of the same metal, supported by vertical and diagonal struts, tapers to an oddly indeterminate apex. Inside this narrowing cage, an arrangement of three (or is it four?) huge glass geometric shapes is visible. Perhaps, as one strains now to take in the whole from a nearby bridge, there is a grinding of gears far above, and something revolves at the upper reaches of the tower, half lost in a flurry of snow.
Palaces for the people: five communist buildings | Art and design | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/artanddesign/2015/jun/20/palaces-for-the-people-five-communist-buildings
Cette perspective m’a toujours fasciné. Je ne sais pas pourquoi, elle m’évoque “Playtime” de Jacques tati
Beyond the stereotype – from a workers’ club in Moscow to the mosaics and marbles of the Kiev Metro, these structures inspired by the communist project are often surprising as well as extraordinary
Owen Hatherley
Sat 20 Jun 2015 11.00 BST
Last modified on Wed 29 Nov 2017 11.39 GMT
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Postcards from the past.
Back to the USSR …
The story of architecture under the peculiar, now long-dead system that is today called (but never called itself) communism is generally considered a story of sad decline. After the Bolsheviks seized power in October 1917, there was more than a decade of experimentation, spurred both by the possibilities of the new system (land nationalisation was popular with architects) and the hopes of world revolution and a new communal society it engendered. It ended in the 1980s with the construction of cities ringed with block after block of apartments, like the housing estates of the west but bigger and more monolithic. If it began with images of technology as fantasy and liberation – such as Vladimir Tatlin’s 1919 Monument to the Third International,
The Soviet Communist Origins of International Women’s Day
▻https://www.messynessychic.com/2017/03/10/the-soviet-communist-origins-of-international-womens-day
I’ve been informed that the way we celebrate Women’s Day in western society is a little bit weak compared to the way they do it in Russia– which might have something to do with the fact that the Soviets basically invented the holiday. Long before the world had International Women’s Day, Soviet Russia had ‘Working Women’s Day’, where it was first declared a national holiday as early as 1917. The United Nations didn’t adopt the March 8th celebration until 1975 when it became an official international holiday in the West, and the communist-associated “worker” element was hastily dropped from the holiday’s title.
While discovering the roots of Women’s Day, I also found an abundance of vintage Soviet-era cards celebrating March 8th…
#soviétisme #images #représentation #journée_internationale_de_la_femme
Lenin On Linen: An Artist Remembers Her Soviet Childhood
▻https://www.rferl.org/a/28707684.html
Two weeks after 14-year-old Zoya Cherkassky-Nnadi and her family left Kyiv for a new life in Israel, the U.S.S.R collapsed. Recently, the artist drew on memories of her Soviet childhood in a series of paintings that have captivated the Russian-speaking Internet.
Pourquoi il faut absolument aller voir le projet DAU à Paris - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/art/82355-projet-dau-paris
Tout le monde en dit pis que pendre (beaucoup de celles et ceux qui y ont été ont dit que c’était, pour la faire courte, une vaste fumisterie), mais sans surprise « Russia Beyond » est enthousiaste :) Je n’ai pas d’avis, pas pu voir le truc.
#dau #exposition #soviétisme #installation_artistique
Les premières passions qui ont accompagné le lancement à Paris sont retombées. Désormais, on peut simplement tenter de comprendre l’art et la vie grâce à ce qui constitue probablement la plus puissante saga artistique et documentaire de l’histoire du cinéma.
Jusqu’au 17 février, DAU, l’événement culturel le plus retentissant et le plus scandaleux de ces dernières années, se déroule dans trois des principales institutions culturelles parisiennes : le théâtre du Châtelet, le Théâtre de la Ville et le centre Pompidou. Puis il déménagera à Londres.
A Berlin le gouvernement et les corps culturels associés n’en ont pas voulu. Je suppose que c’est dû au fait que DAU en allemand est l’abbréviation pour Dümmster Anzunehmender User , l’utilisateur le plus bête à prévoir . ;-)
Cette expression bien connue des administrateurs et développeurs de systèmes informatiques est une parodie de GAU , Größter Anzunehmenrder Unfall , l’accident nucléaire le plus grand à prévoir , ce cauchemar qui hante les Allemands depuis les années 1970.
Vu que cet artefact culturel appellé DAU est issu des même contrées (m’enfin presque) qui nous ont imposé en 1986 le rayonnement de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, je comprend pourquoi le titre et la provenance du show n’ont pas suscité beaucoup d’enthousiasme.
Après il y a toujours la mafia transatlantique qui traite de barbare tout ce qui vient de l’est (les sous-hommes russes arrivent pour violer nos femmes ... ), et on comprend pourquoi chez nous il y a si peu de nouveau nés appellés Igor ou Ivan. La vie est compliquée pour les artistes russes à Berlin ;-)
How Soviet Artists Imagined Communist Life in Space
▻https://io9.gizmodo.com/how-soviet-artists-imagined-communist-life-in-space-1558140402
Artists from the Soviet Union didn’t just imagine a worker’s Utopia on Earth. They also thought that the great communist experiment would eventually reach other worlds, too. Here are some incredible works of art and conceptual design that put the Soviet Union in space.
soviétisme à Strasbourg ?
pas de parlement mais vaisseau spatial ?
▻https://seenthis.net/messages/757241
et surtout
▻https://seenthis.net/messages/759684
The USSR & Capitalist Countries (1963) | Present&Correct
▻http://blog.presentandcorrect.com/the-ussr-capitalist-countries-1963
#ex-urrs #soviétisme #manipulation #neurath #propagande #amiages #ex-union_soviétique
À la découverte des bases militaires soviétiques abandonnées - Russia Beyond FR
▻https://fr.rbth.com/lifestyle/82236-bases-militaires-sovietiques-etranger
« Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Ces mots du poète français Paul Valéry sont utilisés dans une critique d’un livre du photographe européen Eric Lusito, dont les images d’installations militaires abandonnées par les Soviétiques sont censées illustrer le caractère fini de la vie.
Toutes les photos viennent du livre d’Eric Lusito que tu pointais ici ▻https://seenthis.net/messages/654991
After the Wall, Traces of the Soviet Empire
son site :
▻http://www.ericlusito.com
(épuisé chez l’éditeur)
▻https://www.dewilewis.com/products/after-the-wall
Apparemment, son prochain livre portera sur des cérémonies militaires, sur la page du projet, cette unique photo, lors d’un #Triomphe à Coëtquidan.
MOSKVITCH MON AMOUR
▻https://moskvitchmonamour.tumblr.com/post/178006878763/extrait-3
Un film prometteur, la #Moskvitch, celle qu’on fait repartir avec une simple clé de 12, symbole de l’URSS. Rappel... :
▻https://seenthis.net/messages/747038
« Hamo, un vieux paysan arménien, vit une vie triste et monotone, avec sa vieille épouse dans un village reculé des montagnes d’Arménie après avoir été chassé de sa maison en Azerbaïdjan.
Alors que le quotidien du vieil homme est morose et sans aucune perspective d’avenir, Hamo chérit un secret au plus profond de son âme, fruit d’une promesse faite il y a très longtemps : le camarade Khrouchtchev en personne lui avait promis qu’un jour il aurait une Moskvitch, la plus belle automobile au monde »
Novembre 1918 : le drapeau rouge flotte sur Strasbourg Jacques R. Pauwels - 16 Novembre 2018
▻https://www.investigaction.net/fr/le-drapeau-rouge-flotte-sur-strasbourg
▻http://www.jacquespauwels.net/november-1918-red-revolution-in-strasbourg
▻https://www.globalresearch.ca/november-1918-red-revolution-strasbourg/5659993
L’historien Jacques Pauwels nous rappelle un événement de la fin de la Première Guerre mondiale absent des grandes commémorations pour le centenaire de l’Armistice. Pas étonnant d’ailleurs… En novembre 1918, soldats allemands mutinés et ouvriers établissaient un soviet révolutionnaire en Alsace, instaurant bon nombre de mesures progressistes. Horrifiés, la bourgeoisie locale et les sociaux-démocrates allaient tout faire pour être “libérés”. (IGA)
Dans le contexte de la révolution qui, en Allemagne, accompagna la défaite en novembre 1918, une situation révolutionnaire apparut en novembre 1918 à Strasbourg, ville appartenant toujours au Reich en ce temps-là. Inspirés par la proclamation d’une « république libre et socialiste » à Berlin par Karl Liebknecht le 9 de ce mois — et la proclamation, dès le 8 novembre, d’une république de soviets bavaroise (Räterepublik) à Munich, des soldats mutinés ainsi que des civils, majoritairement ouvriers, constituèrent un soviet révolutionnaire dans la capitale alsacienne et introduisirent immédiatement toutes sortes de réformes radicalement démocratiques, y compris l’abolition de la censure, des salaires plus élevés, de meilleures conditions de travail, le droit de faire grève et de manifester, etc. En outre, les révolutionnaires déclaraient qu’ils n’avaient « rien de commun avec les États capitalistes [et ne voulaient être] ni Allemands ni Français » mais vivre, à la suite du « triomphe du drapeau rouge », dans une « république d’Alsace-Lorraine » – Republik Elsaß-Lothringen – , libre, démocratique et tolérante sur le plan linguistique. Des drapeaux rouges flottaient sur toute la capitale alsacienne. Or, des mouvements révolutionnaires, sous la forme de soviets ou autres, surgirent simultanément dans bien d’autres villes alsaciennes, notamment Colmar, Mulhouse, Haguenau, Molsheim, Neuf-Brisach, Ribeauvillé, Saverne et Sélestat.
Mais la bourgeoisie locale, majoritairement germanophone, ainsi que les sociaux-démocrates, furent horrifiés et décidèrent qu’ils préféraient être « français plutôt que rouges » ; ils firent appel aux chefs de l’armée française de « hâter leur entrée à Strasbourg » afin de mettre fin à « la domination des rouges ». Par conséquent, les troupes françaises firent leur entrée dans Strasbourg quelques jours avant la date prévue, à savoir le 22 novembre, renversèrent le soviet et annulèrent toutes les mesures démocratiques qu’il avait prises. Sans tarder, Strasbourg et le reste de l’Alsace (et le Nord de la Lorraine) furent annexés unilatéralement par la France et soumis à un processus draconien de « re-francisation », incluant une prohibition de l’usage de l’allemand et même de l’alsacien dans l’enseignement et les services publics et l’expulsion ou ostracisme des personnes soupçonnées de déloyauté envers la France ; le célèbre Docteur Albert Schweitzer fut l’une des victimes de ce genre de traitement.Après leur prétendue libération, les Alsaciens se retrouvèrent donc moins libres qu’auparavant, et ne jouissaient plus de la liberté de parler leur propre langue. Le cas de l’Alsace fournit une preuve supplémentaire que les objectifs de la Grande Guerre, même du côté de la puissance la plus démocratique de l’Europe, la France, n’incluaient pas des idéaux tels que la démocratie, la justice et les principes wilsoniens de l’autodétermination des peuples, et qu’une guerre victorieuse signifiait un recul, un retour vers une politique autoritaire et un triomphe pour les variétés les plus fanatiques du nationalisme.
Jacques Pauwels est historien, auteur notamment de « 1914-1918 La Grande Guerre des classes », deuxième édition (entièrement refondue, mise à jour et augmentée d’un index), Éditions Delga, Paris, 2016. ▻https://editionsdelga.fr/1914-1918-la-grande-guerre-des-classes
#Strasbourg #Alsace-Lorraine #guerre #Histoire #Soviet
TEL - Thèses en ligne - Fabriquer les peuples du Nord dans les films soviétiques : acteurs, pratiques et représentations
Caroline Damiens
CREE EA 4513 - Centre de recherches Europes-Eurasie
▻https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01699245/document
Résumé : Cette thèse porte sur les représentations des peuples autochtones du Nord forgées par les films et téléfilms soviétiques de fiction. Mobilisant plusieurs approches — l’analyse filmique, l’histoire culturelle du cinéma, l’histoire des représentations et l’histoire politique soviétique —, elle confronte les films à des sources non-films (presse, archives papier, entretiens), afin de mettre en lumière la construction d’une subjectivité et d’un regard. Il s’agit également de décortiquer la fabrication des représentations, dans ses dimensions à la fois les plus concrètes et les plus symboliques. En ce sens, la question de la participation ou de la non-participation des autochtones à la création de leur image filmique, que ce soit devant ou derrière la caméra, constitue une autre interrogation centrale. Les représentations filmiques des peuples du Nord, tiraillées en permanence entre visions du « progrès » et de l’« authenticité », opèrent à l’écran comme autant d’images qui permettent à l’Union soviétique d’évaluer sa propre perception de la modernité. Des années 1920 aux années 1980, les figures cinématographiques autochtones circulent entre deux pôles d’un continuum, qui va de l’incarnation d’une arriération à éliminer au nom de la soviétisation à celle d’une harmonie avec la nature, désormais perdue ou menacée. Par ailleurs, en prenant en compte la question de la contribution des autochtones à la création de leur propre image, cette thèse s’attache à montrer que le film constitue un espace complexe, où plusieurs lectures et usages sont possibles selon la position des participants.
(note : c’est moi qui graisse)
Comme le nom du site l’indique, la thèse est en ligne, en pdf.