• JO 2024 : Vous n’échapperez pas à notre colère
    https://paris-luttes.info/jo-2024-vous-n-echapperez-pas-a-14701

    Pour la première fois depuis l’attribution des Jeux Olympiques à Paris, plusieurs collectifs se rassemblent en plein coeur de Paris, le samedi 6 février à 14h, pour manifester leur colère. Ces Jeux Olympiques s’appellent Paris 2024. Pourtant, c’est notamment en Seine-Saint-Denis qu’ils auront lieu. L’« héritage local » de ces investissements gigantesques (tout au plus quelques équipements collectifs coûteux à maintenir) dont se vantent les promoteurs des Jeux cache une longue liste de destructions, de (...)

    #écologie #consentement #sport #urbanisme

    • 2024 - Les Jeux olympiques n’ont pas eu lieu
      https://librairie-quilombo.org/2024-les-jeux-olympiques-n-ont-pas-eu-lieu

      En 2024 auront lieu les Jeux olympiques et paralympiques de Paris, moment de joie, de paix, dans le respect des hommes et de la planète. Marc Perelman déconstruit cette promesse miraculeuse et décrypte l’idéologie autoritaire et cupide qui la sous-tend.

      La France se prépare à accueillir les Jeux olympiques en 2024. Ce sera un été de fête.
      Et pour qu’il soit réussi, des milliers de travaux ont été engagés, des fonds énormes ont été dédiés. Paris deviendra un parc olympique écoresponsable et les Français seront « tous citoyens du sport ». Même Notre-Dame sera rénovée pour l’occasion.

      Marc Perelman propose à ceux qui sont mal à l’aise avec cette débauche de moyens et d’enthousiasme de ne pas s’arrêter aux effets pervers d’un système devenu gigantesque. Il faut interroger les valeurs qui sont ici à l’œuvre au-delà des affichages, des valeurs qui sont très dangereuses.

      L’auteur se base sur une lecture approfondie de la charte olympique, des contrats qui lient le CIO à ses partenaires et de nombreux documents officiels, les mettant à l’épreuve des faits de l’organisation de Paris-2024. Non, l’olympisme n’est pas apolitique, n’est pas écologique, ne fait pas œuvre sociale, n’agit pas pour la santé commune, ne respecte pas les territoires qu’il occupe. Les Jeux n’ont comme horizon que la croissance : plus de licenciés, plus de spectateurs, plus d’argent. Et nous ne sommes pas obligés de leur dérouler le tapis rouge.

      #jeux_olympig

  • Le vaccin russe Spoutnik V serait efficace à plus de 91%
    https://www.bfmtv.com/economie/le-vaccin-russe-spoutnik-v-serait-efficace-a-plus-de-91_AD-202102020255.html

    Le vaccin Spoutnik V, au sujet duquel la Russie avait été accusée de manquer de transparence, est efficace à 91,6% contre les formes symptomatiques du Covid-19, selon des résultats publiés mardi dans la revue médicale The Lancet et validés par des experts indépendants.

    Quand je pense que le pignouf qui nous gouverne s’est vu proposer par Poutine de produire ce vaccin... Mais pas d’chance, évidemment, notre pignouf avait séparatisme ce jour-là, alors il n’a pas donné suite.

  • Amazon : un empire tentaculaire et insoupçonné
    https://www.lesnumeriques.com/vie-du-net/amazon-un-empire-tentaculaire-et-insoupconne-a159603.html

    Les acquisitions et prises de participation des Gafam offrent un aperçu de l’étendue de leur écosystème et leurs axes de développement. Qu’en est-il pour Amazon ? Sa sobriété en termes de rachats ne doit pas être confondue avec de la docilité. Sur les 30 dernières années, près de 770 entreprises ont été acquises par les Gafam. Parmi les rachats les plus importants figurent ceux de LinkedIn par Microsoft (26,2 milliards de dollars en 2016) et de WhatsApp par Facebook (22 milliards de dollars en 2014). En (...)

    #Google #Microsoft #Ring #WholeFoods #Amazon #AmazonWebServices-AWS #Deliveroo #Facebook #LinkedIn #WhatsApp #robotique #sonnette #voiture #domination #consommation #GAFAM #publicité #santé #sport (...)

    ##publicité ##santé ##vêtement

  • « Les chiffres ne mentent pas » : mythe d’objectivité et construction des données (Le travail des données 1/3)
    https://linc.cnil.fr/les-chiffres-ne-mentent-pas-mythe-dobjectivite-et-construction-des-donnees

    Les données sont souvent considérées comme le reflet autonome, neutre et objectif des réalités qu’elles décrivent. Elles sont pourtant le fruit d’un travail de construction complexe, auquel participent de nombreux professionnels. La prise en compte et l’étude de ces activités, réalisées en back-office des plateformes du web par des data scientists ou des microtravailleurs et travailleuses du clic, peut permettre de poser un regard différent sur les enjeux de protection de la vie privée des internautes. (...)

    #Spotify #algorithme #cookies #technologisme #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #données #émotions #comportement #microtargeting #profiling (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##CNIL

  • Penser les données : les architectes du big data (Le travail des données 2/3)
    https://linc.cnil.fr/fr/penser-les-donnees-les-architectes-du-big-data-le-travail-des-donnees-23

    « Data scientists », « Data architects » voire « Data alchemists »… Nombreuses sont les professions qui participent à la conception et à l’analyse des architectures de données. Derrière ces intitulés se trouvent des individus dont les choix contribuent à façonner le visage des services connectés. Prendre en compte la dimension sociale de la fabrique des données permet de se donner les moyens de questionner à la fois leur forme, et les usages qui en sont faits. Loin d’être le reflet neutre et objectif de la (...)

    #Spotify #algorithme #technologisme #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #BigData #émotions #DataBrokers #profiling (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##CNIL

  • Das Freibad, das noch offen ist
    https://jungle.world/artikel/2021/03/das-freibad-das-noch-offen-ist

    Von Tobias Müller - Das Amsterdamer Freizeitbad De Mirandabad bleibt auch im Lockdown offen

    Im Lockdown wird das Amsterdamer Freizeitbad De Mirandabad zur Anlaufstelle, aus sportlichen, gesundheitlichen und sozialen Gründen.

    Die Stadt wirkt wie auf einem Standbild. Verwaiste Straßen, leere Trams, nichts bewegt sich vor dem Auge auf dem Weg tief in den Süden Amsterdams. Das liegt nicht nur an der frühen Stunde, sondern auch daran, dass die Niederlande seit einigen Tagen erneut im Lockdown sind. Wie aus der Zeit gefallen wirkt die Schlange vor einem provisorischen Kassenhäuschen, die am Ende der längsten Nacht des Winters fast sekündlich anzuwachsen scheint. Calvinisten sind frühe Vögel, Schwimmer auch.

    Um kurz vor sieben öffnet die Kasse. Gleißend helle Lichterketten an den Absperrgittern weisen den Weg über die Wiese – rechts zum Wasser hin, links zurück. Über dem Becken hängt schwerer Dampf. Auf den Stufen an der Längsseite der Wiese glitzert ein Weihnachtsbaum, auch das Holzhäuschen der Bademeister ist festlich erleuchtet. Dunkle Schemen in Neoprenanzügen springen vom Rand, während die zielstrebigsten Schwimmer bereits ihre erste Wende absolvieren.

    »Wir bekamen so viele Schreiben mit der Aufforderung ›Bitte, bleibt offen!‹, dass wir dachten: Das ist es wert.« Abdel Aknin, Leiter des Schwimmbads

    Das 90 Jahre alte De Mirandabad ist traditionell das letzte Amsterdamer Freibad, das nach dem Sommer schließt – jedenfalls sein Schwimmerbecken mit der 50-Meter-Bahn. Die Rutschen und der Nichtschwimmerbereich werden bereits früher geschlossen. In diesem Pandemie­winter aber verschob die Leitung die Schließung ein ums andere Mal. »Ende September dachten wir: Lasst uns doch verlängern! Wir hörten von vielen Besuchern, dass sie gerne weiter schwimmen würden«, sagt der Teammanager Abdel Aknin, der sich grinsend selbst einen koukikker nennt, einen »Kältefrosch«, dem schnell kalt ist. Er steht in dicker Jacke und Mütze am Beckenrand.

    »Draußen Sport zu treiben, ist gesund. Das ist wichtig in diesen Zeiten, und wir begrenzen die Zahl der Schwimmer auf 55 pro Stunde, ­wegen des Abstands«, sagt der 45jährige, der einst als Putzkraft im Bad begann, dann eine Ausbildung zum Bademeister machte und schließlich Schwimmlehrer wurde. Die kommunale Einrichtung steht in engem Kontakt mit der Stadtverwaltung. »Im Oktober und November bekamen wir die Order, das Bad offen zu halten. Und auch als vergangene Woche der Lockdown angekündigt wurde und wir bereit waren zu schließen, erhielten wir bald eine Nachricht, dass wir weitermachen können.«

    Technisch, sagt Aknin, sei das ganze kein Problem. Aufwendig und teuer sei vor allem, das Bad zu Saisonbeginn betriebsbereit zu machen. Drei oder vier Tage brauche es, um die über 2,1 Millionen Liter Wasser einlaufen zu lassen, und noch einmal genauso lang, um sie auf Temperatur zu bekommen. Derzeit koste es etwa 10 000 Euro im Monat, den Laden am Laufen zu halten. »Die Wassertemperatur liegt bei 22, 23 Grad. In einer Nacht kann sie schon mal um zwei, drei Grad sinken. Solange es keinen Nachtfrost gibt, geht das. Und wir haben genug Personal, weil das Hallenbad geschlossen ist.«

    Von Woche zu Woche beschließen die Verantwortlichen, wie es weitergeht. Solange die Nachfrage bleibt, stehen die Chancen gut, dass das Bad geöffnet bleibt. Die Schwimmerinnen und Schwimmer haben ­Bedarf, erst recht, seit der Lockdown gilt. Im November konnte man hier noch während der gängigen Bürozeiten in einem halbleeren Bad Bahnen ziehen. Doch seit die Angestellten ins Homeoffice geschickt wurden und die Weihnachtsferien begonnen haben, sind die jeweils eine Stunde langen Schwimmzeiten auf sechs Bahnen fast komplett ausgebucht. Die Folge ist, dass das Wasser in der alten Betonschüssel ohne Überlauf heftig hin und her wogt.

    Wer die Facebook-Seite der »De Mirandabad Buitenzwemmers« (auf Deutsch etwa: Draußenschwimmer) besucht, findet dort haufenweise Posts, die dankbar, enthusiastisch und glücklich klingen. »Wir bekamen so viele Schreiben mit der Aufforderung ›Bitte bleibt offen!‹, dass wir dachten: Das ist es wert«, sagt Aknin. »All die frohen Gesichter jeden Morgen! Darum stehe ich hier oft schon um sieben Uhr. Eigentlich kann der Manager ja etwas länger schlafen«, fügt er lächelnd an. Am Horizont rötet sich der Himmel langsam. ­Gegen halb acht geht die längste Nacht des Jahres endlich zu Ende.

    Im De Mirandabad trifft sich seit jeher eine eingeschworene Gesellschaft, die jeden Moment bis Ende September zum Schwimmen nutzt. Vor einigen Jahren hockten die Bahnenschwimmerinnen und -schwimmer eine halbe Stunde vor dem Ende der Saison in wortloser Melancholie beisammen auf den Steinstufen hinter dem Becken. Dann aber kam der Schwimmmeister gewichtigen Schrittes auf sie zu, baute sich vor ­ihnen auf und verkündete: »Liebe Leute: Ich habe eine gute und eine schlechte Nachricht. Die gute: Wir bleiben noch eine Woche länger auf. Die schlechte: Mein Kollege Willem hat die ganze Woche Dienst!«
    Bademeister Willem gehört zur Geschichte des De Mirandabad. Als er vor über einem Jahr in Rente ging, hinterließ er an der Mauer einen Kräutergarten, in dem sich die Besucher bedienen können.

    Auch Agnes Koerts ist die soziale Funktion des Freibads ist wichtig. Mit der ersten Schicht des Tages verlässt die Vorsitzende der »Vereniging Buitenzwemmers De Mirandabad« das Gelände. Dreimal in der Woche ist sie hier, am liebsten ganz früh am Morgen. »In einem Freibad haben die Menschen Kontakt miteinander«, sagt die Journalistin, die seit einem halben Jahrhundert für mehrere große Tageszeitungen des Landes berichtet.

    In diesem Pandemiewinter, in dem das Bad die große Aufmerksamkeit niederländischer Medien erhält, erzählt sie jenen, die zum ersten Mal hier sind, gerne vom Anliegen ihres Vereins. »Wir setzen uns schon lange dafür ein, das Freibad offen zu ­halten. Schwimmen ist phantastisch, gerade für Leute, die in kleinen, beengten Wohnungen leben. Licht, Luft und Raum! In diesem Sinn setzen wir auch fort, wofür Monne de Miranda eintrat, nach dem das Bad benannt ist.«

    Der Gewerkschafter Salomon »Monne« Rodrigues de Miranda war in der Zwischenkriegszeit der erste Stadt­rat Amsterdams, der Jude und Sozialdemokrat zugleich war; er zeichnete unter anderem maßgeblich ver­antwortlich für den Bau mehrerer Schwimmbäder. 1942 starb er während der deutschen Besatzung im Konzentrationslager Amersfoort.

    Agnes Koerts und ihre Mitstreiter fordern ein neues Becken aus rostfreiem Stahl und mit Überlauf, bislang jedoch vergeblich. »Stattdessen will man ein neues Hallenbad mit 50-Meter-Bahn bauen, mit Solar­zellen auf dem Dach, dessen Wände sich bei schönem Wetter öffnen ­lassen«, so Koerts. »Neulich sagte der Stadtrat aber zum ersten Mal, man müsse doch darüber nachdenken, das 50-Meter-Freibad zu er­halten. Wir haben jetzt die Zeit auf unserer Seite.«

    Im Lauf der Weihnachtsferien wurde es immer schwieriger, eine Eintrittskarte zu ergattern. Auch Schwimmer aus anderen Städten haben das einzige offene Freibad des Landes entdeckt. Die Facebook-Seite wird immer mehr zur Tauschbörse, die heißbegehrten Online-Reservierungen hätten durchaus das Poten­tial zur Ersatzwährung. Auch am 1. Januar ist es voll. An der Route zwischen Wasser und Ausgang steht ein Tisch mit einem Karton voller oliebollen, dem traditionellen, an Krapfen erinnernden Neujahrsgebäck.

    Hamid Ayachi, ein junger Triathlet, hat soeben sein Training beendet. Unter einer dicken grauen Kapuze ­erzählt er, dass er üblicherweise bis Oktober draußen schwimme und dann in ein Hallenbad gehe. Nach Möglichkeit kommt er jeden Tag und schwimmt zwei Kilometer. »Nun kann ich hier in Form bleiben. Sonst wird es nach dem Lockdown schwierig, den Anschluss nicht zu verlieren. Schwimmen ist nicht meine Lieblingsdisziplin beim Triathlon«, gesteht er. Und wie ist das, bei nur wenigen Grad Celsius draußen Bahnen zu ziehen? Ayachi sagt lachend: »Ein wenig bizarr. Das ist sicher das ein­zige Schwimmbad auf der Welt, das gerade geöffnet ist.«

    Die Sonne geht unter, das Becken liegt schon wieder unter einer dicken Schicht Dampf verborgen. Am Rand wartet eine Überraschung: Pünktlich zum neuen Jahr hat sich Bademeister Willem die alte rote Jacke noch einmal angezogen und ist schon wieder ganz in seinem Element. »Ich bin mal eben vorbeigekommen«, bekennt er gutgelaunt, bevor er eine Runde dreht. Sein Kollege Stephan Grent­zius, der seit Wochen mit Weihnachtsmannmütze, vier Jacken und drei Hosen übereinander Dienst schiebt und all das »grandios« findet, begrüßt die letzte Schicht des Tages: »Gutes neues Jahr!« Sobald die Besucher weg sind, wird er ins Wasser springen, mit seiner Tochter, anderen Kollegen und ihren Familien und Mitgliedern der »Vereniging Buitenzwemmers«.

    Es ist in diesen Wochen, als sei im De Mirandabad etwas außer Kraft gesetzt, das ohnehin keinen Sinn ergibt. Warum sollte man nicht unter freiem Himmel schwimmen, nur weil Winter ist? Drüben bei der »Schneckenbahn« scherzt Bademeister Willem mit den Langsamen über ihre Silvesternacht, als wäre er nie in Rente gegangen. Und weil niemand so ­genau weiß, wie lange dies alles anhalten wird, wirkt es manchmal wie ein Märchen: das Märchen vom Freibad, das nie mehr schloss.

    #sport #natation #pays_bas

  • Nicht Alkohol, nein, Schwimmen ist die Lösung!
    https://www.berliner-zeitung.de/kultur-vergnuegen/john-von-dueffel-schlafende-orte-stadtbad-mitte-li.133502?pid=true

    Fast alle Probleme im Leben lassen sich durch Schwimmen lösen. Das ist den meisten Menschen nicht klar. Einige versuchen es mit Alkohol, obwohl die Alkohollöslichkeit der meisten Probleme umstritten ist. Die Wasserlöslichkeit vieler Lebensfragen hingegen ist unumstritten, wenn auch sehr wenig bekannt.

    John von Düffel

    #sport #natation

  • Tennis : 47 joueurs cas contacts au Covid-19 et interdits d’entraînements avant l’Open d’Australie
    https://www.lemonde.fr/sport/article/2021/01/16/tennis-47-joueurs-cas-contacts-au-covid-19-et-interdits-d-entrainements-avan

    L’atterrissage à Melbourne a été brutal pour 47 joueurs et joueuses devant participer à l’Open d’Australie (du 8 au 21 février) : ils sont interdits d’entraînement pendant deux semaines pour avoir voyagé à bord de deux vols où d’autres passagers ont été testés positifs au coronavirus.L’Etat de Victoria, où se trouve Melbourne, a d’abord annoncé deux cas positifs à bord d’un vol en provenance de Los Angeles, transportant 24 joueurs, puis l’Open d’Australie a confirmé un autre cas à bord d’un vol Abou Dhabi-Melbourne, à bord duquel se trouvaient 23 joueurs

    #Covid-19#migrant#migration#etatsunis#australie#sante#test#cascontact#isolement#circulation#sportif

  • Puisque personne ne me le demande, c’est avec un grand plaisir que je vous partage mes 5 albums 2020.

    La playlist : https://radiooupah.netwazoo.info/?i=16

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    #Tigana_Santana - Vida-Código (Ajabu !)

    Chanteur, guitariste, auteur-compositeur, et originaire de #Salvador_de_Bahia, Tigana Santana est aussi doctorant en philosophie, à l’université de São Paulo où il vit désormais. L’artiste puise son inspiration dans la culture et la spiritualité #bantoue que l’on retrouve dans la #samba ou la #capoeira. Sa musique #folk est un murmure poétique et mystique qui vous captive comme sur le titre phare de son album Vida-Código ("Le code de la vie"), sorti sur le label suédois Ajabu !

    https://www.fip.fr/musiques-du-monde/tigana-santana-suspend-le-temps-dans-le-clip-vida-codigo-17824

    https://youtu.be/aihHzaHfsq0

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    #The_Leonard_Simpson_Duo – LSD (Jakarta Records)

    The pair met in Charles’ hometown of Auckland in 2016 whilst Simpson was on tour, and this wise collaboration is decorated in a psychedelic sound drawn from sampled records within New Zealand’s acid scene of the 1960s and 1970s, as well jazz/rock fusion from the same time period – notably using David Axelrod as a benchmark. The loftiness in Charles’ production is balanced with Simpson’s blunt lyricism that clamps us down to reality.

    https://www.rhythmpassport.com/articles-and-reviews/album-review/album-review-the-leonard-simpson-duo-lsd-jakarta-records-january-202

    https://youtu.be/x4nCRxiKNuA

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    #Seu_Jorge & #Rogê - Direct-To-Disc Sessions (Night Dreamer)

    Les deux compères ont gravé leurs retrouvailles dans la cire. Sans apprêt ni effets, ils y consacrent leur vieille amitié, et confirment leur immense talent de sambiste. Pour PAM, Rogê revient sur cette session « direct to disc », en passe de devenir un classique.

    https://pan-african-music.com/roge-seu-jorge-compagnons-sambistes
    https://seenthis.net/messages/854872

    https://www.youtube.com/watch?v=GuYMEsvoLZc

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    #Supergombo - Sigi Tolo (Z Production)

    La pochette de l’album SigiTolo qui verra le jour à l’automne prochain en dit long sur la dimension cosmique que veut donner le groupe à ce troisième album. Entouré de six musiciens chevronnés, le bassiste et leader #Etienne_Kermac continue de confronter sa passion pour le #jazz à la musique ouest-africaine transmise par son père. Le groupe est aussi composé de Guillaume Pluton à la trompette, Jérôme Bartolomé au saxophone, Francie Larue à la guitare, le réunionnais David Doris aux percussions et le burkinabé Wendlavim Zabsonré à la batterie. Ensemble, les Lyonnais nourrissent leur jazz funky d’#afrobeat nigérian, de #mbalax sénégalais, ou de #soukouss congolais dans un brassage culturel sans complexe.

    https://pan-african-music.com/supergombo-alien-felines-clip

    Via @rastapopoulos http://seen.li/ixyv

    https://www.youtube.com/watch?v=V-REbl3rQj0

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    #Farees - Border Patrol (Rez’Arts Prod)

    Farees possède un riche héritage multiculturel. Né de mère touarègue d’Algérie et de père Italien, Farees a grandi dans un environnement musical, sillonnant plusieurs pays. Son premier album MISSISSIPPI TO SAHARA a connu une très belle réussite.

    [...]

    Lors de sa dernière tournée Nord-américaine, il a été victime d’un #contrôle_au_faciès (profilage ethnique), arrêté, interrogé et traité comme un terroriste et sans motif, ensuite détenu en prison pendant 36h. Quelques mois après, et souffrant d’insomnies et de cauchemars du fait de toutes ces violences subies, il décide de raconter cela à travers un album-concept BORDER PATROL pour dénoncer le statu quo qui laisse se perpétuer et se généraliser ce genre de violence. “Le #spoken_word, le slam est arrivé comme une nécessité. Il est impossible de chanter tout ça. J’avais trop de choses à dire. Et en plus, il est venu le temps de s’exprimer et de se faire entendre, du coup je l’ai fait !”

    https://www.baladessonores.com/la-boutique/farees-border-patrol

    https://youtu.be/f58MHvn6K44

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    #brésil #musique #best-of_2020 #radioOupah #RadioSeenthis

  • Des militaires français compromettent la sécurité de leurs opérations sur les réseaux sociaux | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/international/101220/des-militaires-francais-compromettent-la-securite-de-leurs-operations-sur-

    A rapprocher de l’étude sur la géolocalisation par Charlie Wazel en décembre 2019 dans le New York Times.

    Alors que l’armée interdit à ses militaires de poster des informations sensibles en ligne, Mediapart a retrouvé, via différentes applications, plus de 800 profils de soldats français déployés à l’étranger et plus de 200 profils de membres des forces spéciales. L’état-major reste évasif sur les mesures prises pour endiguer un problème pourtant susceptible de mettre en péril la sécurité des forces militaires.

    #Géolocalisation #Armée #Quantified_self #Sport #Données_santé #Traces

  • Fantasmâlgories : « La loi des mâles » (entretien avec Klaus Theweleit) - Critique de la valeur-dissociation. Repenser une théorie critique du capitalisme
    http://www.palim-psao.fr/2017/06/fantasmalgories-la-loi-des-males-entretien-avec-klaus-theweleit.html

    L’angoisse éprouvée par les jeunes mâles face à la décomposition de leur patrie et à la dislocation des corps exposés aux shrapnels (obus à balles) de la première guerre mondiale semblait à ses yeux une mise en condition psychique pour le nazisme

    (...)
    sur près de 600 pages, #Klaus_Theweleit nous fait découvrir une littérature ultranatio­naliste jusque-là inconnue, dont il propose le bilan clinique plus que la critique littéraire, tant elle est symptomatique pour lui de la relation entre la domination masculine et l’émergence de l’idéologie fasciste.

    (...)
    Ernst von Salomon (1902-1972), le romancier qui fut la figure par excellence des corps francs et de la « révolution conservatrice », remarque ainsi, avec joie, comme les autres, le durcissement de son corps transformé en cuirasse.

    (...)
    Le système mental d’un Breivik ressemble en effet à s’y méprendre à celui des terroristes islamiques. Tous se coulent dans le moule d’une vision patriarcale de la société, où les femmes doivent être soumises, écartées des études, de l’armée, de la police. Ce que les seconds disent au nom de l’islam, le premier le proclame au nom du christianisme. Les idéologies sont interchangeables. Les tueurs indonésiens des années 1960, qui ont mis à mort des centaines de milliers d’opposants communistes, n’ignoraient-ils pas tout du communisme ? L’angoisse provoquée par le corps féminin, elle, n’est pas interchangeable.
    (...)
    Les corps des garçons sont soumis au #sport, à l’#entraînement, au #dressage (#Drill) . #Breivik s’impose aussi des séances de muscu­lation avec pour objectif de gagner cinq kilos, avant d’aller exécuter ses victimes.

    #barbarisation

    (pas hyper clair l’entretien, je trouve)

    via @mad_meg
    cc @rastapopoulos (ça semble avoir un rapport avec la critique de la valeur (me demande pas pourquoi)).

  • Is Spotify’s Newly Patented A.I. Plagiarism Detector a Data Collection Scheme ?
    https://onezero.medium.com/is-spotifys-newly-patented-a-i-plagiarism-detector-a-data-collection

    ‘Spotify wants machine-made music the same way Uber wants self-driving cars’ Spotify, the music streaming giant with a reputation for underpaying artists, has staked its claim to a technology that it says could protect musicians from plagiarism allegations, according to a patent recently granted by the European Union. According to the patent application filed in 2019, before publishing a song, or even when writing it, an artist would share a “lead sheet” with Spotify, a document that outlines (...)

    #Spotify #algorithme #ContentID #données #copyright #son

  • Basket-ball et sororité - Mon blog sur l’écologie politique
    http://blog.ecologie-politique.eu/post/Basket-ball-et-sororite

    S’il faut confondre confondre agressivité avec empowerment, là encore je ne suis pas convaincue. J’ai vu les gars qui jouent sur le terrain d’à côté pratiquer un basket plus tranquille (pas du basket artistique mais presque), se faire plaisir en faisant de beaux gestes, dans une autre compétition pour prouver sa valeur. Beaux shoots mais aussi beaux gestes de défense comme des contres impeccables. Le contre, c’est un geste puissant, c’est quand vous interceptez un tir en phase ascendante et tapez sur le ballon plus ou moins vigoureusement pour changer sa trajectoire. C’est la classe pour la défenseuse et l’humiliation pour l’attaquante. Les mecs ne s’empêchent pas de défendre, loin de là, mais ils ne pratiquent pas de défense hargneuse, ils se lâchent la grappe et s’autorisent à jouer. Ce que nous ne faisons pas.

    […]

    je me souviens de mon coach quand j’étais encore en junior. Il était arbitre et me disait qu’autour de lui beaucoup d’arbitres hommes « laissaient jouer » les femmes par misogynie, parce que le respect de l’esprit et de la lettre du basket-ball était trop bien pour elles. Cette agressivité excessive, c’était le résultat d’un manque d’exigence des arbitres envers elles. Et ça correspond à un cliché sexiste selon lequel les femmes sont hargneuses et incapables de camaraderie.

    #basket #sport #sororité #fraternité #solidarité #collectif #féminisme #Aude_Vidal

  • Violences dans le judo : « Un papa ne devrait pas avoir à entendre des choses aussi effroyables »

    https://www.leparisien.fr/sports/violences-dans-le-judo-un-papa-ne-devrait-pas-avoir-a-entendre-des-choses
    Quel "drôle" de titre ! le pbl c’est pas que la gosse ai subit des violences sexuelles, le pbl c’est qu’un papa ai entendu des choses efforyables....

    Une belle illustration de comment on apprend aux survivantes de l’inceste à se taire.
    Ou peut-être une nuit 2/6 : « Apprendre à se taire »
    https://www.youtube.com/watch?v=DjasrY1UvJk

  • Belgium - Automating Society Report 2020
    https://automatingsociety.algorithmwatch.org/report2020/belgium

    Contextualization As a result of the different governments, and the different levels of government, in Belgium (Federal and Regional), several different strategies dealing with digitization emerged in 2018. In Flanders, this strategy is called Vlaanderen Radicaal Digitaal, while in the Walloon region, it is known as Plan Numerique. In 2015, the federal government launched a strategy called Digital Belgium, but this covered more than just ADM. In 2018, the Flemish government launched an (...)

    #Accenture #Briefcam #algorithme #biométrie #éthique #facial #prédiction #reconnaissance #vidéo-surveillance #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #comportement (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##discrimination ##enseignement ##pauvreté ##santé ##sport ##surveillance ##_ ##APD-Belgique ##AlgorithmWatch

  • Spotify, une pirouette pour des cacahuètes - Culture / Next
    https://next.liberation.fr/musique/2020/09/25/spotify-une-pirouette-pour-des-cacahuetes_1800590

    Une charge au vitriol contre le modèle économique des plateformes de streaming. Salutaire.

    De la même manière que les trente dernières années auraient pu être contenues tout entières dans les yeux de Tom Cruise (ce regard intense sans rien derrière), les trente prochaines pourraient déjà briller dans ceux du fondateur de Spotify, Daniel Ek (petites billes ternes et sans espoir). En 2006, en lançant sa plateforme de streaming, ce Suédois réussissait à nous vendre, sous couvert de sursaut moral et économique, rien de moins qu’une des formes les plus perverses d’esclavage moderne. Face au piratage, au pillage aveugle des œuvres musicales, le streaming était présenté comme la seule solution viable. Légal, propre, transparent et donnant pleine satisfaction au client. Et on a tous plongé, parce que Spotify, c’était tout, tout de suite - les discographies, les titres, les pochettes, le minutage, les playlists.

    Qui aurait voulu revenir en arrière ? Mettre un disque ? Calvaire archaïque ! Lancer une bibliothèque MP3 ? Avec tout ce merdier à taguer, vous n’y pensez pas. Spotify, c’était l’autoroute sans risque, entièrement dégagée - l’essentiel des concurrents a fini dans le fossé, victimes d’une ergonomie inadaptée (Deezer) ou de mégalomanie mal placée (Tidal), et seul Apple tient encore la dragée. Vous voulez de la musique ? Spotify est là. Il a tout ce que vous voulez. Vous ne savez pas ce que vous voulez ? On va vous le trouver. De la musique pour rire, de la musique pour pleurer, de la musique tout le temps. Tout est possible. Un peu comme si au restaurant, le menu allait du rouget de roche sauce à l’encre au bol de porridge envoyé au jet à 120 bars de pression. Le client aura ce qu’il veut, même s’il ne l’a pas demandé. L’artiste, en revanche, celui qui fournit le grand saut, la vision, l’imaginaire, bref, la matière, devra se contenter de cacahuètes. D’un peu moins, en fait : comme le démontrait mathématiquement un compte Twitter il y a peu, une cacahuète est estimée à 0,005 dollar alors qu’un stream sur Spotify en rapporte 0,0004.

    Mais pour Daniel Ek, tout cela est parfaitement normal : dans une interview fin juillet, il déclarait que les musiciens « ne pouvaient plus se contenter de sortir des disques tous les trois ou quatre ans », qu’ils devaient « s’engager davantage ». Se diversifier. En sous-texte, devenir de vrais petits entrepreneurs. Révélant la véritable image de Spotify : un espace de coworking gratuit où l’on peut rencontrer son prochain employeur. Comme les places de villages au Mexique où exploitants et maîtres d’œuvre viennent chercher des bras pas cher. Le discours passe : il est à peine plus choquant que celui de WeWork ou d’Airbnb. Jeudi, Ek a eu le mérite d’énoncer encore plus clairement les choses en déclarant sur YouTube, l’air grave, earpods aux oreilles, barbe agonisante, qu’il allait reverser un milliard d’euros… à des start-up européennes. Des vraies. Qui en veulent. Des musiciens déposent à vos pieds, gratuitement, toute une vie de travail, d’espoir, de triomphes et de défaites, et les bénéfices vont à des types en chemise blanche qui passent leurs journées à essayer de trouver un sens au concept qu’ils ont vendu à leurs financeurs. La nouvelle est passée inaperçue. Certains ont applaudi. Tout le monde est resté sur l’autoroute. Celle où la musique est déversée par tombereaux chaque vendredi sans que personne ne se soucie de savoir qui est rémunéré. Il y a plus important. L’économie doit tourner. Gare à celui qui lui jettera le mauvais œil.

    Lelo Jimmy Batista Journaliste au service Culture

    #Spotify #Musique #Streaming #Economie_plateformes #Economie_numérique

  • In Italy, an appetite for face recognition in football stadiums
    https://algorithmwatch.org/en/story/italy-stadium-face-recognition

    Right before the pandemic, the government and top sports authorities were planning a massive deployment of face recognition and sound surveillance technologies in all Italian football stadiums. The reason ? To help fight racism. At the beginning of 2020, just as the whole world was grappling with increasing evidence of the discriminatory and racist outcomes of face recognition technologies, Italy mulled its widespread adoption in football stadiums as an essential tool in the fight against (...)

    #algorithme #capteur #CCTV #biométrie #racisme #facial #reconnaissance #son #comportement #COVID-19 #écoutes #santé #sport (...)

    ##santé ##AlgorithmWatch

  • Io, uomo, lavoro e faccio pranzi di lavoro.
    Io, donna, non faccio un cazzo, mangio e poi vado a correre per smaltire il pranzo.
    Perché io, uomo, sono produttivo, guadagno, penso a fare, mi concentro su problemi importanti, prendo decisioni. Io, uomo, posso mangiare e basta perché anche se ingrasso non perdo valore. Omo de panza, omo de sostanza.
    Io, donna, invece, penso ad essere giovane e figa per sempre, altrimenti l’uomo della foto sopra non mi considererà più scopabile, e questo per me sarà la rovina assoluta, personale ed economica, cadrò in depressione e mi abbufferò ogni notte sognando il pene e il portafogli dell’uomo della foto sopra.
    Così ingrasserò, perderò ogni valore e la farò finita per sempre.
    Uomo, sopra.
    Donna, sotto.
    A me non solo non va di scoprire le loro storie, non mi va nemmeno di mettere più piede a Termini.
    Foto scattata da Marianna Hermione Savarese
    alla stazione Termini.

    https://www.facebook.com/maruska.albertazzi/posts/10157856645407297
    #sexisme #sexisme_ordinaire #publicité #Roma_Termini #gare #panneau #panneau_publicitaire #affiche #femmes #hommes #travail #sport #espace_public

    –—

    Le site web en question...
    https://www.grandipiccolestorie.it

    ping @albertocampiphoto

  • Alle Brücken zu Russland sollen abgerissen werden: Auch der kulture...
    https://diasp.eu/p/11656570

    Alle Brücken zu Russland sollen abgerissen werden: Auch der kulturelle Austausch

    Das ZDF fragt, ob man „wegen Nawalny“ den Kulturaustausch mit Russland beenden solle. Derweil boykottiert Außenminister Maas ein deutsch-russisches Wissenschaftsprojekt. Nach dem Sport („Staatsdoping“) sollen nun weitere Bereiche der deutsch-russischen Verständigung „politisiert“ und ein Dialog unmöglich gemacht werden. Von Tobias Riegel.

    Gerade hat in Berlin der Abschluss des „Deutsch-Russischen Jahres der Hochschulkooperation und Wissenschaft“ stattgefunden. Eigentlich war lange geplant, dass der russische Außenminister Sergej Lawrow hier mit seinem deutschen Amtskollegen Heiko Maas zusammenkommt: Zum einen, um das vielversprechende und völkerverbindende deutsch-russische Wissenschaftsprojekt zu würdigen. Zum (...)

    • lien propre:

      https://www.nachdenkseiten.de/?p=64877

      [...]

      (...) um das vielversprechende und völkerverbindende deutsch-russische Wissenschaftsprojekt zu würdigen. Zum anderen aber, um zu nutzen, was internationale kulturelle, sportliche und wissenschaftliche Projekte „nebenbei“ möglich machen: Einen politischen Austausch auch in von giftiger Propaganda geprägten Zeiten. Ein Treffen von Maas und Lawrow beim Abschluss des „Deutsch-Russischen Jahres der Hochschulkooperation und Wissenschaft“ am gestrigen 15. September hätte also eine wichtige Gelegenheit sein können: dafür, im deutsch-russischen Verhältnis wieder ein Maß an Austausch und Vernunft walten zu lassen, inmitten der scharfen und irrationalen antirussischen Medienkampagne zum Fall Nawalny.

      Kultur, Wissenschaft und Sport sollen „politisiert“ werden

      Kultur und Wissenschaft sollen offensichtlich ebenso politisiert werden wie der Sport, der etwa durch die Kampagnen zur WM 2018 oder zum „russischen Staatsdoping“ bereits propagandistisch aufgeladen wurde – auch um die durch die „unverfänglichen“ Veranstaltungen möglich werdenden D

      Hier soll übrigens Doping durch russische Sportler nicht prinzipiell bestritten werden, aber die Instrumentalisierung dieses Sport-Themas für Geopolitik ist verwerflich. Neben der politischen Ebene soll zudem die friedliche und „unpolitische“ Begegnung der Bevölkerungen bei Sport oder Kultur torpediert werden – ein verwerflicher Angriff auf die Völkerverständigung. Ein weiteres aktuelles Beispiel für diese Tendenzen sind Angriffe auf den deutsch-russischen Kulturaustausch, über die etwa die ZDF-Sendung „Aspekte“ berichtet – dazu folgt weiter unten im Text mehr.

      Das aktuelle Verhalten vor allem großer deutscher Medien, aber auch von großen Teilen der Politik gegenüber Russland ist heuchlerisch, destruktiv und langfristig riskant: Wie viele harsche und arrogante Zurückweisungen werden die Russen wohl noch hinnehmen? Wie wird sich das auf ein vielleicht einst als möglich oder nötig zu betrachtendes Bündnis zwischen Deutschland und Russland auswirken? Man sollte die anscheinende Geduld der Russen mit den Marotten einer radikalen deutschen Medienlandschaft jedenfalls besser nicht als Schwäche missverstehen.

      „Lawrow schlägt Gesprächsangebot von Maas aus“

      Die jüngste Chance zum vernünftigen Dialog in einer von Kampagnen irrational aufgeladenen Zeit hat, nach Aussagen von russischer Seite, der deutsche Außenminister verhindert: Bereits am 3. September hat er demnach nicht nur die Teilnahme an der Zeremonie zum „Deutsch-Russischen Jahr der Hochschulkooperation und Wissenschaft“ abgesagt, sondern auch die Zeit für Gespräche mit der russischen Seite stark gekürzt, wie das russische Außenministerium aktuell mitteilte. In deutschen Medien wird der genaue Hergang der Absage als nicht eindeutig dargestellt, so schreibt der „Spiegel“ unter der irreführenden Überschrift „Lawrow schlägt Gesprächsangebot von Maas aus“, der Grund für die Absage sei „angeblich” eine Änderung im „Terminplan der deutschen Seite“. Im Gegensatz zu Maas hat Lawrow eine Grußbotschaft an das Wissenschaftsprojekt gesendet, eine deutsche Übersetzung der Mitteilung des Außenministeriums und eine Einordnung findet sich beim „Anti-Spiegel”.

      Welche Darstellung in Bezug auf Lawrows Besuch auch zutrifft: Kein Zweifel besteht daran, dass Heiko Maas durch seine Absage der Teilnahme an der Zeremonie eines wichtigen deutsch-russischen Projekts schon wieder einen der wenigen verbliebenen Räume des deutsch-russischen Dialogs ungenutzt ließ und diesen Dialog damit insgesamt und langfristig weiter beschädigt hat. Das ist für einen Diplomaten ein sehr schlechtes Zeugnis.

      [...]

      #Nord_Stream II #Allemagne #Russie #États-Unis #gazoduc #LNG #géopolitique

      #Navalny #neurotoxine #Novichok

      #Science #culture #sport #instrumentalisation

      #auf_deutsch

  • Violences sexuelles dans le sport, l’enquête - documentaire | ARTE
    https://www.arte.tv/fr/videos/083306-000-A/violences-sexuelles-dans-le-sport-l-enquete

    Menée pendant deux ans à travers cinq pays, une enquête inédite qui démontre que les violences sexuelles dans le sport ne sont pas le résultat de dérapages ponctuels, mais révélatrices des dérives de tout un système.

    Les révélations d’agressions sexuelles se multiplient dans le sport. En France, le témoignage de l’ancienne patineuse Sarah Abitbol, violée par son entraîneur alors qu’elle était mineure, a mis le feu aux poudres et libéré la parole pour des centaines d’athlètes. Un phénomène mondial : chaque semaine ou presque, de nouvelles affaires font la une des médias aux États-Unis, en Angleterre, en Espagne, en Allemagne, au Brésil, en Corée du Sud… Car le sport – amateur ou professionnel, collectif ou individuel – accumule les facteurs qui facilitent les abus d’adultes sur des mineurs : soumission à l’autorité, culture de l’endurance et de la souffrance, surreprésentation masculine, culte du corps, emprise psychologique, éloignement des parents, rêve de gloire et de fortune, enjeux financiers… Aujourd’hui, toutes les études concordent : fille ou garçon, un sportif sur sept subirait des agressions sexuelles ou des viols avant ses 18 ans. En s’appuyant sur de nombreux témoignages, sans aucun sensationnalisme, ce documentaire dévoile les mécanismes qui favorisent le crime, dans un milieu où continue de régner l’omerta.

    Failles et silences
    L’origine de l’enquête remonte à l’affaire Larry Nassar, qui a éclaté à l’automne 2016 aux États-Unis. Ce soigneur de l’équipe olympique de gymnastique est accusé par plus de 300 jeunes femmes d’agressions sexuelles, puis condamné et enfermé pour le restant de ces jours. À la même époque, le Royaume-Uni vit lui aussi un scandale national, avec les révélations des abus commis sur des milliers de jeunes footballeurs, des clubs amateurs à ceux de Premiere League. Pierre-Emmanuel Luneau-Daurignac commence par rencontrer Paul Stewart. Joueur star de Manchester City et Tottenham, il fut l’un des premiers à oser révéler les viols qu’il a endurés entre ses 10 et ses 14 ans. Son récit permet de comprendre comment la compétition entre enfants et leur rêve de réussite donne tout pouvoir sur eux à l’entraîneur. Il met également en évidence les stratégies d’emprise déployées par les encadrants sportifs sur l’enfant et ses parents.
    L’enquête se poursuit en Espagne avec le portrait de Gloria Viseras. Cette ancienne championne de gymnastique, compétitrice olympique en 1980, a révélé avoir été violée par son entraîneur, Jesús Carballo, dès l’âge de 12 ans – une affaire qui a ému et déchiré le pays. Celle qui a tu son histoire pendant trente-six ans explique pourquoi elle ne pouvait pas briser le silence.
    Aux États-Unis, le film dévoile ensuite les dérives sidérantes d’une fédération sportive, USA Swimming. À l’aide de documents, de témoignages et d’enregistrements inédits, il met au jour la stratégie sophistiquée déployée par sa direction pour étouffer les affaires d’abus sexuels et empêcher les victimes d’obtenir réparation. USA Swimming a protégé ses entraîneurs au mépris de témoignages accablants, et n’a pas hésité à bloquer une loi visant à étendre le délai d’action en justice pour les mineurs victimes de violences sexuelles.
    En France, on découvre enfin le parcours de deux jeunes femmes abusées par une star du moto-cross, Michel Mérel, aujourd’hui sous les barreaux pour viols sur deux de ses élèves, dont une mineure. Il avait bénéficié de la protection non seulement de sa fédération, mais aussi de fonctionnaires du ministère des Sports appartenant à celle-ci. Pierre-Emmanuel Luneau-Daurignac révèle ainsi les défaillances de l’État face aux abus. Alors que la ministre actuelle, Roxana Maracineanu, appelle à « plus d’État dans le sport », le Comité international olympique, lui, ne semble toujours pas avoir pris la mesure du scandale. Malgré les milliards à sa disposition, son action s’est limitée jusqu’ici à des recommandations polies adressées aux fédérations sportives.

    Réalisation :
    Pierre-Emmanuel Luneau-Daurignac

  • Écologie ou/et économie, la culture et ses sponsors. Des échanges polémiques, parus en août dans la revue Terrestres, qui questionnent le moment qui est le nôtre, ainsi que la place de « la culture » — et de l’amitié — au sein de celui-ci.

    Quelle culture voulons-nous nourrir ? par Isabelle Fremeaux et John Jordan

    https://www.terrestres.org/2020/08/04/quelle-culture-voulons-nous-nourrir

    Lettre ouverte sur l’amitié et appel à déserter le forum Agir Pour Le Vivant, ayant lieu à Arles du lundi 24 août au dimanche 30 août.

    [... Nous vous écrivons en amis, pas en ennemis. Nombre de vos idées et de vos écrits nous ont souvent servi d’ancrage dans les tempêtes qui se déchaînent en cette époque vacillante. Nous avons rencontré certain-e-s d’entre vous, avec qui nous avons partagé notre passion pour la protection du vivant. Plusieurs nous ont rendu visite sur la zad (Zone à défendre) de Notre-Dame-de-Landes, apportant votre soutien à la lutte victorieuse contre un aéroport climaticide. Nous avons croisé d’autres d’entre vous lors de festivals et de forums où nous présentions nos travaux respectifs. Nous partageons la même maison d’édition avec d’autres encore, et nous avons hâte de rencontrer en personne celles et ceux dont les chemins n’ont pas encore croisé les nôtres. Mais malheureusement, cela ne se produira pas en ce mois d’août, dans la chaleur estivale de la ville d’Arles, lors du forum Agir pour le vivant, car nous n’y viendrons pas. Cette lettre ouverte Quelle culture voulons-nous nourrir ? vous invite à vous aussi incarner ce refus, afin qu’il devienne une désertion collective. L’amitié implique toujours des choix et des conséquences et cette lettre ouverte traite de l’art de choisir de bonnes relations.

    2020 nous a propulsé-e-s dans une bataille d’imaginaires aux proportions rarement connues dans l’histoire : La vie ou l’économie d’abord ? Retour à la normale ou non ? C’est une bataille où non seulement les façons dont nous percevons la vie et coexistons avec elle sont plus que jamais en jeu, mais où une grande partie du vivant pourrait être confrontée à une précarité extrême, à des expulsions et à une extinction massive dans les prochaines décennies. Dans toute bataille, il est impératif de choisir ses ami-e-s et l’événement Agir Pour le Vivant nous semble emblématique de ce type de choix. Le programme paraît irrésistible, toutes les bonnes questions sont posées, avec les bons mots et les bons imaginaires. Pourtant, cet événement est soutenu par des alliés profondément problématiques pour quiconque se soucie du vivant : la plupart des « partenaires » (un terme qui se rapporte autant à nos amours qu’à ceux avec qui nous faisons affaire, un terme bien plus chaleureux que « sponsors »…) font partie de la logique délétère qui ne cesse de traiter le vivant comme n’ayant de valeur que si celle-ci peut être calculée comme une marchandise ou un service au sein du marché.

    Cette logique est celle de l’extractivisme5, des enclosures6, de l’externalisation et de l’extra-territorialité. En somme, c’est la logique même du capitalisme, le contraire de la logique des Communs qui, elle, est la forme de vie que nous nous efforçons de développer et que nous partageons probablement avec la plupart d’entre vous.

    Comme nous l’a proposé Donna Haraway, l’une des clés de cette période de déconstruction du système consiste à générer des « parentés dépareillées » ( make kin ). Il faut nous rappeler qu’il ne s’agit pas seulement de reconstruire nos rapports avec les mondes « plus qu’humains », mais aussi de choisir en toute conscience avec qui nous lions des amitiés dans la lutte pour que la vie continue à vivre et prospérer malgré la guerre que lui mène l’économie. [...]

    « Nous sommes plus que jamais confrontés à la sensibilité et à la fragilité de la Terre » claironne l’élégant site web éco-pop d’Agir pour le Vivant, (www.agirpourlevivant.fr), un forum qui « entend présenter des solutions, oser des expérimentations et contribuer à l’écriture de nouveaux récits… » en vue d’ « une nouvelle conscience en faveur de la biodiversité ». L’événement, qui doit durer une semaine, est organisé par Actes Sud, l’une des plus grandes maisons d’édition francophones. Sa directrice, Françoise Nyssen, est devenue célèbre pour avoir été nommée en 2018 Ministre de la Culture par un banquier devenu Président (Emmanuel Macron) et avoir dû démissionner peu de temps après à cause de « l’affaire de la mezzanine ».

    En faisant défiler la page d’accueil du site jusqu’en bas, après la liste d’illustres intellectuel-le-s et artistes, on découvre 26 logos de « partenaires ». Parmi ces logos, il y a ceux d’institutions financées par des fonds publics (Office du tourisme d’Arles, Parcs Naturels Régionaux de France), ceux de media libéraux (Libération, Kombini), ceux d’entreprises semi-publiques (Banques des Territoires ou Compagnie National du Rhône)… Les autres logos sont ceux de multinationales privées telles que BNP Paribas ou du cabinet de gestion financière Mirova. Le logo du forum est une sorte d’hybride inter-espèces arbre-humain, qui court à perdre haleine, pour, nous semble-t-il, fuir cet événement et la toxicité de ses entreprises partenaires.

    La meilleure manière de comprendre ces partenariats n’est pas tant de les voir comme des entités qui soutiennent le forum mais plutôt l’inverse : c’est le forum qui rend crédible leur mensonge selon lequel elles se soucient de toute autre chose que de faire des profits, en détruisant des vies humaines et non-humaines si nécessaire. Il ne s’agit pas d’argent propre ou sale, mais d’une toute autre monnaie d’échange : la confiance et la valeur qu’on lui accorde.

    Quel trouble voulons-nous habiter ? Réponse à Isabelle Fremeaux et John Jordan - Baptiste Morizot, Estelle Zhong Mengual
    https://www.terrestres.org/2020/08/12/quel-trouble-voulons-nous-habiter-reponse-a-isabelle-fremeaux-et-john-jo

    Votre lettre est magnifique, parce qu’animée par les passions politiques les plus généreuses. Vous auriez pu dire : « Monstres, quel monde pérennisez-vous en ne boycottant pas ce festival ! ». Vous dites : « Quelle culture voulons-nous nourrir ? », et bien sûr, on nourrit, on favorise toujours en contre, mais ce n’est déjà plus le même monde qu’on ouvre, ni la même tonalité de relations. On ne retrouve pas non plus dans votre lettre les sophismes par glissement si courants dans les textes bassement polémiques1. Ce qui est convaincant, c’est que ce n’est pas une critique abstraite et vague du « système » qui vouerait tout contact avec de l’argent aux gémonies : dans votre analyse précise, ce n’est pas le fait que BNP Paribas soit une banque qui rend tout ça condamnable, mais le fait documenté qu’elle soit le plus grand investisseur européen dans les énergies fossiles. Ces pratiques sont objectivement contradictoires avec le mot d’ordre du festival. Cela mérite vraiment attention, cette affaire.

    Quelle lettre revigorante, quelle belle discorde qui nous force à penser, dans un événement qui aurait pu être feutré et tristement consensuel ! Pour tout ça, merci.

    L’AMITIÉ

    Néanmoins, nous ne boycotterons pas ce festival. La première raison, d’abord, pour ne pas parer ce message des faux atours de la pure rationalité idéologique : c’est l’amitié. Pour plusieurs d’entre nous, c’est notre éditeur qui organise ce festival, il y joue un rôle central, or c’est lui qui nous permet de produire des effets par l’écriture, et c’est aussi là que nous nous sentons utiles à la cause. Or, chez cet éditeur et sa nébuleuse d’auteurs, nombre d’entre eux sont devenus des amis, et ce sont ces amis qui nous ont invités. Ils nous ont invités à parler avec des amis, qui défendent des projets forts et des idées radicales que nous défendons aussi. Donc, par loyauté tranquille envers cette nébuleuse d’amis, nous refusons de répondre au problème réel que vous pointez (le risque de participer au greenwashing de BNP Paribas) par un boycott symbolique, à notre sens sans effectivité. Le boycott n’est pas la seule réponse possible à ce trouble, voici notre ligne.

    Nous confessons ce faisant la faiblesse de faire passer nos amitiés réelles, de vivant à vivant, avant les gestes abstraits et définitifs contre des ennemis de principe, ce qui fait de nous de piètres Saint-Just, entre autres impuissances.

    Et oui, ce faisant, il faut habiter dans le trouble de cette phrase si juste de votre lettre : « Les amis de nos amis ne sont pas toujours nos amis ».

    LA LIMITE DU BOYCOTT

    Votre lettre ouvre un débat, parce qu’il ne s’agit pas d’une leçon de morale, mais d’une réflexion de stratégie politique. Parlons donc stratégie.

    Cinq questions en marchant à celles et ceux qui ont décidé de rester à Agir pour le vivant , par Isabelle Fremeaux et John Jordan
    https://www.terrestres.org/2020/08/23/cinq-questions-en-marchant-a-celles-et-ceux-qui-ont-decide-de-rester-a-a

    Commençons par la célébration et la joie. La joie que les mots aient mené à l’action comme cela devrait toujours être le cas. Cette action c’est le retrait d’un des sponsors d’ Agir pour le Vivant qui a dû se retirer et a ainsi libéré le forum d’un de ses liens toxiques. Le logo de BNP Paribas a été retiré du site et son argent va apparemment être restitué. “Nous tenons à les remercier ici pour leur engagement en faveur du vivant” dit la page du site du forum couverte de logos. Pour BNP Paribas, cet “engagement pour le vivant” aurait coûté 20 000 euros ( c’est à dire 7,4 % du budget total de 270 000 euros du festival, comme nous l’a appris l’article du journal local l’Arlésienne sur cette controverse2). Pour une entreprise dont les revenus s’élèvent à 44,6 milliards d’euros et les bénéfices à 8,17 milliards en 2019, un tel investissement est une goutte d’eau dans l’océan, mais leur recul est significatif. Ce qui est tout aussi significatif pour nous, c’est que leur personnel ne sera pas présent au forum, ni dans les présentations publiques, ni dans les “ateliers de travail” à huis clos réunissant PDG et stratèges des financeurs, tels que L’empreinte naturelle des entreprises (non accessible au public, même ceux qui auront déboursé 50 euros pour leur pass d’entrée, et non visible sur le site web d’Agir pour le vivant).

    Cette victoire n’est pas isolée. En effet, ces dernières années, nombre d’institutions culturelles se sont libérées de tels financeurs toxiques. Rien qu’au Royaume-Uni, la Tate Gallery et la Royal Shakespeare Company se sont débarrassées du sponsoring de British Petroleum, le Science Museum, le National Theatre et la National Gallery ont mis fin à leur relation avec Shell, le festival de science d’Édimbourg a rompu ses liens avec ExxonMobil et Total. Aux Pays-Bas, le musée d’art néerlandais Mauritshuis, le musée des sciences et de la culture Museon et, le musée Van Gogh d’Amsterdam, n’accepteront plus le financement de Shell.

    Bien sûr, aucune de ces institutions n’a fait tout cela volontairement, elles ont changé de politique et ont lâché leurs amis grâce aux inconfortables lettres qui leur ont été écrites, et surtout parce que des gens ont incarné leurs idées et mis leur corps en jeu, souvent par des protestations et perturbations pleines de créativité et de beauté3. Nombre de ces corps désobéissants étaient des artistes, des intellectuel-le-s et des chercheur-euse-s qui, en entrant en conflit avec ces institutions, mordaient la main qui les nourrit. Mais il-le-s ont décidé que leur capital culturel comptait moins que la perpétuation d’une culture de résistance contre ceux qui, comme l’écrit Donna Haraway, “greenwash les exterminateurs4“.

    L’autre chose qui nous réjouit, c’est que certains participants ont choisi de déserter, dont l’écrivain afro-européen Dénètem Touam Bona et le jardinier Gilles Clément. Nous parlons ici de joie, pas en tant que “satisfaction des choses comme elles sont”, ainsi que le dit Silvia Federici, mais comme “le fait de ressentir la puissance et les capacités grandir en soi et chez celles et ceux qui nous entourent. C’est un ressenti, une passion, qui naît d’un processus de transformation et d’évolution … vous ressentez que vous avez le pouvoir de changer et vous vous sentez changer à travers ce que vous faites, ensemble, avec d’autres gens. Ce n’est pas une façon d’acquiescer à ce qui existe.”5. Pour nous, cette capacité à transformer nos vies et les mondes dans lesquelles elles se déploient est au coeur de la résistance collective et de la construction de formes de culture et de vie qui affirment le vivant.

    Dans leur lettre ouverte Quel trouble voulons-nous habiter ? , une autre des conditions que Baptiste Morizot, Estelle Zhong Mengual et leurs amis (dont Rob Hopkins, Cyril Dion, Nancy Huston et Vinciane Despret) ont posées aux organisateurs du festival afin de ne pas déserter, était que tous les logos des entreprises soient retirés des supports de communication du forum. Nous écrivons cette réponse près d’une semaine plus tard, et non seulement les logos sont toujours présents sur le site, mais ils sont maintenant au nombre de 33, alors qu’il n’y en avait que 26 lorsque la première lettre a été écrite. Ce qui est surprenant et quelque peu absurde, c’est qu’alors qu’une banque est partie, une autre est entrée : le Crédit du Nord, qui est entièrement détenu par la Société Générale, de loin le plus grand bailleur de fonds du gaz de schiste nord-américain (depuis la signature de l’accord de Paris en décembre 2015, plus de 11 milliards d’euros ont été injectés dans cette industrie mortifère. Quelle est la différence entre la Société Générale et BNP Paribas ?

    Nous ne voulons ennuyer personne avec une autre cartographie de sponsors vénéneux. Mais pour changer une chose, il faut connaître la texture de cette chose. Il nous semble que nous devons être à l’écoute et profondément sensibles aux détails spécifiques des situations et des relations particulières dans lesquelles nous sommes impliqué-e-s. Une telle compréhension située nous permet d’avancer en fonction de ce qui est requis à ce moment-là. Pour nous, c’est la clé de l’éthique. Nous ne nous intéressons pas à ces vieilles formes de radicalisme rigide qui tentent de contrôler les choses, mais nous nous efforçons de renforcer nos capacités à rester réactif-ve-s face aux situations changeantes et à ouvrir des espaces communs qui favorisent la transformation mutuelle. L’objectif est de nous sentir plus vivant-e-s ensemble.

    Nous ne ressentons certainement pas de joie lorsque nous voyons que toutes les autres entreprises restent et que les nouveaux logos comprennent Faber et Novel – une entreprise de “talent et technologie” comptant Total parmi ses clients ; la Fondation Yves Rocher, qui expose ses travailleur-euse-s sous payé-e-s aux pesticides et a récemment licencié 132 travailleuses turques parce qu’elles avaient rejoint un syndicat ; et enfin, les grands pollueurs d’espace public et d’imaginaires, la plus grande entreprise de publicité urbaine du monde – JC Decaux.

    BNP Paribas est-il ici l’arbre qui cache la forêt ?

    #Écologie #économie #greenwashing #capitalocène #culture #sponsors

    • ... ces dernières années, nombre d’institutions culturelles se sont libérées de tels financeurs toxiques. Rien qu’au Royaume-Uni, la Tate Gallery et la Royal Shakespeare Company se sont débarrassées du sponsoring de British Petroleum, le Science Museum, le National Theatre et la National Gallery ont mis fin à leur relation avec Shell, le festival de science d’Édimbourg a rompu ses liens avec ExxonMobil et Total. Aux Pays-Bas, le musée d’art néerlandais Mauritshuis, le musée des sciences et de la culture Museon et, le musée Van Gogh d’Amsterdam, n’accepteront plus le financement de Shell.

      Une tentative de forcing du dimanche pour attirer l’attention sur ce débat de qualitay.

      #musées #sponsoring #prise_de_parti

    • La meilleure manière de comprendre ces partenariats n’est pas tant de les voir comme des entités qui soutiennent le forum mais plutôt l’inverse : c’est le forum qui rend crédible leur mensonge selon lequel elles se soucient de toute autre chose que de faire des profits, en détruisant des vies humaines et non-humaines si nécessaire.

  • Je découvre l’existence du FC Ménilmontant 1871, équipe de foot communarde, anti-fasciste, antisexiste, antiraciste, pro-palestinienne, contre la gentrification et les violences policières !
    https://www.facebook.com/MenilFC

    Extrême droite, banderole et sanctions : les malheurs du club antifasciste Ménilmontant FC
    Christophe-Cécil Garnier, Street Press, le 30 janvier 2020
    https://www.streetpress.com/sujet/1580390788-extreme-droite-banderole-sanctions-malheurs-club-antifascist

    les joueurs arborent un maillot aux couleurs de la Palestine. La tunique est vendue au grand public et une partie de l’argent récolté sert à construire une bibliothèque itinérante dans un camp de réfugiés palestiniens

    Vous pouvez acheter ce maillot aux couleurs de la Palestine ici :
    https://www.helloasso.com/associations/menilmontant-football-club-1871/paiements/maillot-mfc-1871-palestine

    #sport #sport_et_politique #foot #football #France #Paris #Ménilmontant #Palestine

    Skalpel, Titi Banlieusard, Djamhellvice et Degy le Resk.P - Section Daron
    https://www.youtube.com/watch?v=t9iwTjc3XXk

    #Musique #Musique_et_politique #rap #hymne

  • Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
    https://www.franceinter.fr/reconnaissance-faciale-officiellement-interdite-elle-se-met-peu-a-peu-en

    Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024. Imaginez : le 26 juillet 2024. Les Jeux olympiques de Paris débutent. Une foule compacte se presse devant les grilles d’entrée du Stade de France. À l’entrée sud, une file semble avancer plus vite que les autres. En effet, (...)

    #Atos #CapGemini #Cisco #Dassault #Datakalab #Europol #Idemia #RATP #Two-I #algorithme #Alicem #capteur #CCTV #QRcode #SmartCity #smartphone #biométrie #racisme #consentement #émotions #facial #reconnaissance #son (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##biais ##comportement ##discrimination ##enseignement ##masque ##sport ##TAJ ##bug ##CNIL ##LaQuadratureduNet

  • Radrouten Südwest
    https://www.tourismus-suedwest.berlin


    Vier interessante Radwandrungen durch Berlin Steglitz-Zehlendorf. MIt dem Taxi schafft man alle an einem Tag. Natürlich muss man aussteigen und ein wenig laufen, um alle Objekte sehen zu können, die mit dem Fahrrad direkt erreichbar sind.

    Flyer
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    Dahlem Route

    Tourencharakter

    Gesamtstrecke:
    18 km

    Dauer:
    1 Std 20 min

    Wegbeschaffenheit:
    Radwege, Straßen, Nebenstraßen

    Highlights:
    11 Museen, Architektur, Natur und Kiezleben

    Ausgangs-/Endpunkt:
    Der Ein- und Ausstieg in die Route ist an zwei Stationen der S-Bahn Linie 1 und fünf Stationen der U-Bahn
    Linie 3 möglich. Empfohlen wird der Einstieg in die Rundstrecke am U-Bahnhof „Onkel Toms Hütte“.

    Routenbeschreibung

    Die Dahlem Route wurde am 29. Juni 2018 als erste bezirkliche touristische Radroute eröffnet. Sie schließt mit dem Mexikoplatz und dem Schlachtensee östlich an die Nikolassee Route an.

    Auf der 18 Kilometer langen Route befinden sich eine Vielzahl von Kultureinrichtungen. Der Ein- und Ausstieg in die Route ist an zwei Stationen der S-Bahn Linie 1 und fünf Stationen der U-Bahn Linie 3 möglich. Am besten steigst du am U-Bahnhof Onkel Toms Hütte in die Rundstrecke ein. Hier kannst du dir in der Ladenstraße günstig ein Fahrrad ausleihen sowie in den individuell geführten kleinen Läden noch kurz shoppen gehen. Probier in Toms Kaffeerösterei doch mal die neue Spezialität „Cold Brew“. Die Ladenstraße ist jedoch mehr als nur ein Ort zum Einkaufen. Die Buchhandlung Born und der Nachbarschaftsverein Papageiensiedlung bieten eine Vielzahl von Informations- und Kulturveranstaltungen an.

    Die Route folgt in östlicher Richtung der Argentinischen Allee. Auf der linken Seite radelst du entlang der Waldsiedlung Onkel Toms Hütte. Die Häuser rund um den U-Bahnhof Onkel Toms Hütte entstanden zwischen 1926 und 1932 im Bauhausstil. Von den Bewohnern wird das bunte Häuser-Ensemble Papageiensiedlung genannt. Am U-Bahnhof Oskar-Helene-Heim schwenkst du links in die Clayallee und erblickst schon bald den alten Rosinenbomber des AlliiertenMuseums aus der Zeit der Luftbrücke. Das Museum beschäftigt sich mit der Rolle der Westalliierten in Deutschland und West-Berlin in der Zeit von 1945 bis 1994. Der Eintritt ist kostenfrei.

    Weiter folgt die Dahlem Route der Clayallee und biegt rechts in die Königin-Luise-Straße ab. Vorbei am Gasthaus und Biergarten „Alter Krug“ erreichst du ein reetgedecktes Fachwerkhaus mit einem blumengeschmückten Vorplatz, den U-Bahnhof Dahlem Dorf. Der Kiez Charakter dieser Gegend ist sofort zu spüren. Unweit des U- Bahnhofes kannst du die Domäne Dahlem besuchen, dem einzigen Bauernhof Deutschlands mit U-Bahnanschluss. Die Domäne war mal ein Rittergut und ist heute ein Freilichtmuseum für Agrar- und Ernährungskultur. Kinder können hier Tiere bestaunen und die Arbeit auf dem Bauernhof kennenlernen. Darüber hinaus bietet die Domäne eine Vielzahl von Veranstaltungen wie z.B. Markt- und Frühlingsfeste an. Am U-Bahnhof Dahlem Dorf hältst du dich leicht links und fährst auf dem sehr schönen asphaltierten Radweg, dem Franz-Grothe-Weg, entlang der landwirtschaftlichen Flächen der Domäne Dahlem.

    Am Ende des Weges wendest du dich nach rechts auf die Podbielskiallee und radelst direkt auf den Botanischen Garten mit dem Botanischen Museum zu. Der Botanische Garten gehört mit 43 ha Fläche und 20.000 Pflanzenarten zu den größten und artenreichsten botanischen Gärten der Welt. Wander einfach durch die Wälder und Wiesen, guck dir die fernöstlichen Pflanzen an und tauche in den tropischen Regenwald ein.

    An der folgenden Kreuzung wendet sich die Route nach rechts auf die Königin-Luise-Allee. Zeit für ein leckeres Eis am U- Bahnhof Dahlem Dorf. Anschließend überquerst du die Kreuzung und hältst dich links vom U- Bahnhof Dahlem Dorf. Gleich wieder links überquerst du eine Brücke und stößt auf das Museum Europäischer Kulturen (MEK). Das Museum veranschaulicht die Lebenswelten in Europa vom 18. Jahrhundert bis heute. Es ist Teil der staatlichen Museen zu Berlin. Mit 280.000 Exponaten werden europäische Alltagskulturen und populäre Kunst dargestellt. Besonders Begegnungen zwischen Menschen unterschiedlicher Kulturen stehen hier im Vordergrund. Entlang des Weges kannst du dir die repräsentativen Gebäude der Freien Universität anschauen, die den Stadtteil mit architektonisch innovativen Bauten bereichert. Jetzt stößt du auf die Philologische Bibliothek, eine wissenschaftliche Bibliothek, die Bestände aus der Sprach- und Literaturwissenschaft umfasst.

    Der Weg führt weiter zum Henry Ford Bau. Dieser wurde von den Architekten Franz Heinrich Sobotka und Gustav Müller zwischen 1952-54 gebaut. Benannt wurde der Bau nach dem amerikanischem industriellen Henry Ford II. Er veranlasste die Finanzierung des Gebäudekomplexes über die Ford Foundation.

    Die Route führt dich jetzt durch wunderschön angelegte Parkanlagen, den Dreipfuhlpark und den Fischtalpark. Über die Fischerhüttenstraße gelangst du zum U-Bahnhof Krumme Lanke und wendest dich nach links in die Argentinische Allee. Zur rechten Hand erscheint das Haus am Waldsee. Hier wird zeitgenössische Kunst dargestellt. Gezeigt werden Malerei, Zeichnungen, Videokunst, Skulptur, Design und Architektur. Anschließend folgt die Route weiter der Argentinischen Allee und führt zum Mexikoplatz. Uralte Bäume, symmetrisch angelegte Grünanlagen mit zwei Springbrunnen, weiße Parkbänke und ein im Jugendstil erbautes Bahnhofsgebäude machen den Platz zu einem der schönsten Berlins. Am S-Bahnhof geht es rechts in die Matterhornstraße, die dich zum S-Bahnhof Schlachtensee und durch den Tunnel direkt zum Schlachtensee führt. Im Sommer kannst du dich an einer der vielen Badestellen abkühlen oder einfach ein bisschen entspannen. Und wenn du gerne weiter aktiv sein möchtest, kannst du dir ein Ruderboot oder Stand Up Paddle Bord ausleihen. Im weiteren Verlauf führt der Weg Am Schlachtensee vorbei an wunderschönen Villen. Über den Elvirasteig und Quermatenweg passierst du die Krumme Lanke, hältst dich rechts und kommst wieder am U-Bahnhof Onkel Toms Hütte an.

    GPX
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    Karte
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    Nikolassee Route

    Tourencharakter

    Gesamtstrecke:
    19 km

    Dauer:
    1 Std 30 min

    Wegbeschaffenheit:
    Radwege, Straßen, Waldwege

    Highlights:
    Strandbad Wannsee, Schwanenwerder, Badestelle Großes Fenster, Museumdorf Düppel, Königsweg

    Ausgangs-/Endpunkt:
    Der Ein- und Ausstieg in die Route ist an drei Stationen der S-Bahn Linie 1 und zwei Stationen der S-Bahn Linie 7 möglich. Empfohlen wird der Einstieg in die Rundstrecke am Bahnhof „Wannsee“.

    Routenbeschreibung

    Die Nikolassee Route wurde am 21. Juni 2019 als touristische Radroute eröffnet und verbindet zahlreiche Sehenswürdigkeiten des Ortsteils Nikolassee. Optimal zu erreichen ist die Nikolassee Route über den Bahnhof Wannsee. Neben der S-Bahn halten hier auch Regionalbahnen. Hier kannst du ganz bequem mit der Route starten. Von dort geht es in Richtung Westen weiter zum Strandbad Wannsee. Es ist seit 1907 nicht nur das größte Binnenseebad Europas, sondern auch das bekannteste. Etwa einen Kilometer lang erstreckt sich der rund 50m breite Sandstrand, der aus feinstem Ostseesand besteht.

    Durch den Grunewald geht es auf dem Wannseebadweg weiter bis zum Ufer nach Schwanenwerder. Auf Informationstafeln kannst du dich über die ereignisreiche Geschichte der in der Havel gelegenen Insel informieren. 1882 wurde sie von Lampenfabrikant Wessel erworben, der sie daraufhin zur Bebauung an wohlhabende Bürger freigab. Ab 1933 eigneten sich die Nazionalsozialisten die Parzellen der jüdischen Eigentümer auf perfide Art und Weise an. Heute ist Schwanenwerder eine der begehrtesten Wohngegenden Berlins. Auf der Inselstraße angekommen, erwartet dich zunächst ein kleiner Anstieg. Du umrundest Schwanenwerder auf der rund zwei Kilometer langen Inselstraße, bevor du die Insel wieder verlässt.

    Die Route folgt dem Uferweg in Richtung Norden, vorbei an der idyllischen Badestelle Großes Fenster. Vom angrenzenden Havelhöhenweg, ein etwa 10km langer Wanderweg entlang des Havelufers durch den Grunewald, lässt sich ein einzigartiger Ausblick genießen. Über Havelchaussee und Kronprinzessinnenweg geht es wieder in Richtung S-Bahnhof Nikolassee. Die Route biegt dort östlich in Richtung Schlachtensee ab. Dort kannst du dich an verschiedenen Badestellen abkühlen, entspannen oder picknicken. Wer es gern sportlich mag, hat auch die Möglichkeit, den Schlachtensee beim Stand-Up-Paddlen zu entdecken. Der Verleih befindet sich an der Ostseite des Schlachtensees. Im angrenzenden Kiez Schlachtensee entlang der Breisgauer Straße befinden sich Cafés, Einkaufsmöglichkeiten und Restaurants.

    Weiter geht es entlang des Routenverlaufs bis zum Mexikoplatz. Diese Passage teilen sich sowohl die Dahlem Route als auch die Nikolassee Route. Der Mexikoplatz ist wohl einer der schönsten Plätze der Hauptstadt. Zwischen den Fontänen der Springbrunnen, Rasenflächen, Blumenbeten und historische Straßenlaternen befindet sich das im Jugendstil erbaute Bahnhofsgebäude mit seiner eigentümlichen Kuppel. Von dort aus folgt die Route der Lindenthaler Allee in südlicher Richtung, bis das Düppler Feld erreicht wird. Hier wird v.a. Familien ein Abstecher zum Museumsdorf Düppel empfohlen. Es zeigt ein mittelalterliches Dorf umgeben von landschaftlichen Nutzflächen und einer Landschaft wie sie vor ca. 800 Jahren ausgesehen haben könnte. Auf einer Fläche von rund acht Hektar wurden die mittelalterlichen Häuser anhand archäologischer Funde und historischer Quellen rekonstruiert. Die mittelalterlichen Hausmodelle, Gärten, Wälder und alte Haustierrassen veranschaulichen im Freilandmuseum das Leben der ersten Berliner.

    Die Route folgt in westlicher Richtung dem Königsweg. Dieser wurde bereits 1730 von König Friedrich Wilhelm I. als Schnellweg in Richtung Potsdam angelegt. Hier befindest du dich inmitten des Berliner Forst Düppel und kannst beim Fahren den ruhigen Wald genießen. Diese Passage nutzt einen Stück des Berliner Mauerradwegs und so passierst du nach etwa drei Kilometern den Historischen Ort Dreilinden, der alte West-Berliner Grenzkontrollpunkt „Checkpoint Bravo“. Die Route folgt weiter dem Königsweg, bis du auf der rechten Seite der Stahnsdorfer Damm erreichst. Auf gut asphaltiertem Untergrund geht es durch den Wald zurück in Richtung Bahnhof Wannsee.

    In unmittelbarer Nähe des Bahnhofs Wannsee an der Ronnebypromenade kannst du auf einen Dampfer umsteigen und an Ausflugsfahrten über Wannsee und Havel teilnehmen. Außerdem bieten die Berliner Verkehrsbetriebe (BVG) die Möglichkeit, mit der Fähre-F10 Wannsee-Kladow auf das Spandauer Havelufer überzusetzen.

    GPX
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    Karte
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    Wannsee-Babelsberg Route

    Tourencharakter

    Gesamtstrecke:
    19 km

    Dauer:
    1 Std 30 min

    Wegbeschaffenheit:
    Radwege, Straßen, Waldwege

    Highlights:
    UNESCO Welterbe mit Schloss und Park Glienicke, Schloss und Park Babelsberg, Glienicker Brücke, Pfaueninsel, Haus der Wannseekonferenz, Liebermann Villa

    Ausgangs-/Endpunkt:
    Als Einstiegspunkt in die Route wird der S-Bahnhof Griebnitzsee empfohlen.

    Radverleih:
    Pedales-Bike @ Paddelstation
    Rudolf-Breitscheid-Str. 201
    14482 Potsdam
    Telefon: 0331-7480057
    www.potsdam-per-pedales.de
    mail@pedales.de

    Routenbeschreibung

    Mit 19 Kilometern ist sie die längste der vier Radrouten. Mit dem Uferweg entlang der Havel mitten durch das UNESCO Welterbe Schlösser und Parks von Potsdam und Berlin ist sie ein ganz besonderes Highlight. Als Einstiegspunkt in die Route wird der S-Bahnhof Griebnitzsee empfohlen, da sich im Bahnhofsgebäude (Ausgang Nord) direkt ein Radverleih befindet.

    Die Route folgt in westlicher Richtung der Rudolf-Breitscheid-Straße. Filmfans können an der nächsten Kreuzung abbiegen und den Filmpark Babelsberg besuchen. Die Route folgt jedoch der Karl-Marx-Straße. Dort erstreckt sich die Villenkolonie Neubabelsberg. Ende des 19. Jahrhunderts siedelten sich hier einige wohlhabende Berliner an. Später kamen Leinwandstars der nahegelegenen Ufa-Studios dazu. Während der Potsdamer Konferenz 1945 wohnten hier Staats- und Regierungschefs der Staaten der Anti-Hitler-Koalition wie z.B. Truman, Churchill, Attlee und Stalin.

    Im weiteren Verlauf erreichst du das Pförtnerhaus des Park Babelsberg. Von hier aus kannst du auf den ausgewiesenen Wegen den Landschaftspark mit dem Rad oder auch bei einem Spaziergang erkunden. Der von den bedeutenden Gartenkünstlern Peter Joseph Lenné und Fürst Hermann von Pückler-Muskau geschaffene Park gewährt spektakuläre Ausblicke über das UNESCO Welterbe und Havelufer. Die Anlage ist ab 1833 im Auftrag des späteren Kaiser Wilhelms I. entstanden. Im Zentrum befindet sich das neogotische Schloss Babelsberg mit seinen reich geschmückten Gartenterrassen, Blumengärten und Wasserspielen.

    Über die Allee nach Glienicke und Lankestraße führt die Route am Jagdschloss Glienicke vorbei, bis du die Königstraße erreicht. Zur rechten Hand kannst du die Löwenfontäne sehen und das Schloss Glienicke mit Casino, Remise und Orangerie besuchen oder den Park entdecken. Der Glienicker Schlosspark ist ein Juwel im UNESCO Welterbe. Peter Joseph Lenné schuf hier überraschende Sichten auf Potsdam, Schloss Babelsberg, Sacrow, die Pfaueninsel und die Havelseen. Prinz Carl von Preußen verwirklichte sich hier seinen Traum einer italienisch anmutenden Villa und ließ das Schloss Glienicke vom Architekten Karl Friedrich Schinkel in klassizistischer Gestalt bauen.

    Die Wannsee-Babelsberg Route führt dich bis zur Glienicker Brücke, welche während des Kalten Krieges mehrfach Schauplatz von Agentenaustauschen wurde. Sie führt über die Havel und verbindet den Berliner Stadtteil Wannsee und die Landeshauptstadt Potsdam. Die Route folgt dem Uferweg entlang der Havel. An vielen Stellen kannst du auf das gegenüberliegende Ufer mit der Sacrower Heilandskirche gucken.

    Auch das weiße Schloss auf der Pfaueninsel ist vom Uferradweg gut zu erkennen. Auf der Anhöhe kannst du auf der rechten Seite die Kirche St. Peter und Paul sehen. Der Uferweg endet am Fähranleger zur Pfaueninsel. Auch auf der Pfaueninsel ist die malerische Handschrift von Peter Joseph Lenné zu erkennen, der hier einen Landschaftspark anlegte. Die Pfaueninsel ist ebenso Teil des UNESCO Welterbes. Mit dem markanten Schloss und vielen anderen Parkbauten lädt sie zu einem entspannten Spaziergang im ältesten Rosengarten Berlins ein. Die Wannsee-Babelsberg Route folgt weiter dem Havelufer in den Forst Düppel. Entlang des Weges befinden sich mehrere Badestellen, die teils auch vom DLRG in den Sommermonaten bewacht sind. Die Route führt weiter bis zum Flensburger Löwen. Hier kannst du den Ausblick auf den Wannsee genießen.

    Aufgrund der Einbahnstraßenregelung folgt die Route der Straße Zum Heckeshorn. Unbedingt solltest du jedoch das Haus der Wannsee Konferenz besuchen. An diesem Ort trafen sich am 20. Januar 1942 fünfzehn hochrangige Vertreter der NS-Reichsregierung und SS-Behörden, um den bereits begonnenen Holocaust an den Juden zu organisieren. Die Teilnehmer legten den zeitlichen Ablauf für die weiteren Massentötungen fest. In einer ständigen Ausstellung wird der Prozess der Verfolgung und der Ermordung der Juden dokumentiert.

    Am Großen Wannsee radelst du weiter entlang und erreichst auf der linken Seite die Liebermann Villa. Der Maler und Künstler Max Liebermann erwarb 1909 ein ca. 7000 Quadratmeter Grundstück am Wannsee, um der Hektik der Großstadt Berlin entfliehen zu können. Er ließ sich eine Villa im neo-klassizistischen Stil und einen außergewöhnlichen Garten errichten. Dort verbrachte er bis zu seinem Tod im Jahr 1935 seine Sommermonate und es entstanden über 200 Gemälde. Heute wird die Anlage als Museum genutzt und du kannst die Gemälde von Max Liebermann bewundern und dich über seine Familie informieren.

    Angekommen an der Königstraße hast du die Möglichkeit, in Richtung Osten den Bahnhof Wannsee zu erreichen. Hier kannst du am Schiffsanleger (Ronnebypromenade) an Dampfer-Ausflugsfahrten teilnehmen oder die BVG Fähre-F10 Wannsee-Kladow nutzen. Zurück auf der Königstraße folgt die Route dieser bis zum alten Rathaus Wannssee und biegt links in die Chausseestraße ab. Hier folgt die Route dem Straßenverlauf bis zum Wilhelmplatz zum alten Ortskern Wannsee, wo du in der örtlichen Gastronomie eine Pause einlegen kannst. Außerdem lohnt sich ein Besuch der Kirche am Stölpchensee. Die Kirche wurde 1859 durch August Stüler gebaut und gehört zur Evangelischen Kirchengemeinde Wannsee. Sie ist umgeben von einem liebevoll gestalteten Garten. Verpass nicht das Glockenspiel, ein technisches Wunder im Glockenturm. Mehrmals täglich erklingen die Choräle über dem Stölpchensee. Entlang der Kohlhasenbrücker Straße folgt die Route dem Straßenverlauf. An der Stubenrauchstraße kannst du das letzte originale Mauerstück Potsdams besichtigen. Die Wegstrecke leitet dich wieder zurück auf die Rudolf-Breitscheid-Straße bis zum S-Bahnhof Griebnitzsee.

    GPX
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    GPX mit EInbahnstraße
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    Steglitz-Route

    Tourencharakter

    Gesamtstrecke:
    16 km

    Dauer:
    1 Std 20 min

    Wegbeschaffenheit:
    Radwege, Straßen, Nebenstraßen

    Highlights:
    Kulturhaus Schwartzsche Villa, Schlosspark Theater, Villenkolonie Lichterfelde, Botanischer Garten, Bierpinsel, Museum Europäischer Kulturen

    Ausgangs-/Endpunkt:
    Als Einstiegspunkt in die Route wird dir der Bahnhof Rathaus Steglitz empfohlen, da neben der S- Bahnlinie 1 hier auch die U-Bahnlinie 9 hält.

    Routenbeschreibung

    Die Steglitz Route ist durch ihren urbanen und naturgeprägten Charakter ein ganz besonderes Erlebnis. Die Route umfasst eine Vielzahl von Sehenswürdigkeiten, Einkaufsmöglichkeiten, kleinen Cafés und wunderschönen Parkanlagen und ist in beide Richtungen ausgeschildert. Als Einstiegspunkt in die Route wird dir der Bahnhof Rathaus Steglitz empfohlen, da neben der S- Bahnlinie 1 hier auch die U-Bahnlinie 9 hält. Das Rathaus Steglitz hat neben seiner besonderen Außenfassade aus rotem Backstein auch einen integrierten U-Bahneingang und ist mit dem Shopping Center „das Schloss“ verbunden.

    Die Steglitz Route führt zunächst entlang der Schloßstraße. Am Bierpinsel angekommen kannst du die farbenprächtige Außenfassade bestaunen, die 2010 von Street-Art Künstlern gestaltet wurde. Die Schloßstraße ist die zweitgrößte Einkaufsmeile Berlins, auf der sich zahlreiche Warenhäuser, Einkaufszentren, Geschäfte, Cafés und Restaurants befinden. Hier kannst du einen Kaffee trinken, nach einem Buch stöbern oder noch einen Snack für die Fahrradtour besorgen.

    Im weiteren Verlauf befährst du die Feuerbachstraße und die Feuerbachbrücke und biegst in die Fahrradstraße Lauenburger Straße ein. Du folgst der Fahrradstraße bis zur Kreuzung an der Albrechtstraße, wo die Route über die Sedanstraße in den Stadtpark Steglitz führt. Du hältst dich auf dem linken Weg des Stadtparks und biegst rechts in den Hauptweg ein. Bald siehst du den Brunnen des Stadtparks, der von liebevoll angelegten Blumenbeeten umgeben ist.

    In dem Rosengarten des Parks erwarten dich elegante Skulpturen und eine Blumenpracht aus Rosen. Halte dich weiterhin auf dem Hauptweg, der dich durch den grünen Stadtpark geradeaus zum Uferweg des Teltowkanals führt. Entlang des Teltowkanals erwartet dich ein gut ausgebauter Weg. Beachte aber, dass die Fußgänger hier Vorrang haben und gebe ihnen ausreichend Platz. Entlang des Uferwegs erscheint auf deiner rechten Seite das Universitätsklinikum Benjamin Franklin, das seit 2003 zur Charité gehört. Im weiteren Verlauf erreichst du den Schlosspark Lichterfelde, wo du das Gutshaus Lichterfelde im klassizistischen Stil aus dem Jahre 1799 anschauen kannst. Zurück auf der ursprünglichen Route am Teltowkanal befindet sich der „Mäusebunker“, ein ehemaliges Tierversuchslabor der Freien Universität. Das Gebäude wird des Öfteren mit dem Sternenzerstörer aus Star Wars verglichen.

    Folge weiter dem Uferweg des Kanals, der eine von 1900 bis 1906 erbaute künstliche Wasserstraße ist und durch das südliche Berlin und das Umland fließt. Viele Anwohner und Besuchern nutzen den idyllischen Uferweg heutzutage für einen Spaziergang oder als Laufstrecke.Auf der gegenüberliegenden Uferseite erkennst du nun das Heizkraftwerk Lichterfelde, das heute komplett stillgelegt ist. Du radelst weiter Richtung Wismarer Straße. Im weiteren Verlauf erreichst du das Mahnmal „Die Säule der Gefangenen“. An der Informationstafel kannst du Näheres über das Außenlager des KZ Sachsenhausens in der Wismarer Straße 26-36 erfahren. Folge dem Routenverlauf und biege rechts in die Baseler Str. ein. An der Kreuzung zur Finkensteinallee kannst du rechts abbiegen und einen Abstecher zur geschichtsträchtigen Schwimmhalle Finkensteinallee machen. Die Schwimmhalle wurde 1938 im typischen NS-Baustil errichtet und diente der sportlichen Ertüchtigung des Militärs. Nun steht das neu sanierte Schwimmbad allen Besuchern offen.

    Befahre wieder die ursprüngliche Route über die Baseler Straße und schaue dir das älteste Villenviertel Berlins an und lasse dich von seinen toskanischen Villen, romantischen mittelalterliche Burgen, englischen Landhäusern und liebevoll gestalteten Gärten verzaubern. Die Route führt dich weiter bis zur Ecke Curtiusstraße. Hier kannst du einen kleinen Abstecher zum Bahnhof Lichterfelde West machen, der sich vom Baustil gut in das villengeprägte Stadtbild fügt. Biege nun über die Drakestraße in den Gardenschützenweg ein. Die Route führt dich in das Umfeld der Freien Universität Berlin, die 1948 gegründet wurde.

    Entlang der Fabeckstraße siehst du auf der rechten Seite das Gelände eines ehemaligen Militärkrankenhauses der Amerikaner, das ab dem Jahr 2022 zum FUBIC (Business- and Innovation Center) wird, als Teil eines Innovationsparks für Start-Ups. Im weiteren Verlauf der Fabeckstraße kommst du an der „Holzlaube“ vorbei, die ihren Namen aufgrund der hölzernen Außenfassade erhalten hat und Fächer des Fachbereichs Geschichts- und Kulturwissenschaften beherbergt. Unweit der Universität siehst du ein großes rotes Schild mit der Aufschrift „MEK“. Es ist das Museum europäischer Kulturen. Das kultur- und alltagsgeschichtliche Museum verfügt über Dauer- und Sonderausstellungen mit zahlreichen Exponaten. Ziel ist die Förderung interkultureller Begegnungen und die Überwindung von Sprachbarrieren.

    Weiter folgt die Route dem Franz-Grothe-Weg bis zum U-Bahnhof Dahlem-Dorf. Hier in Dahlem-Dorf schließt die Route an die Dahlem Route an. Das Bahnhofsgebäude ist im Stil eines Bauernhauses mit Reetdach gebaut worden und ist mit einem grünen Vorplatz gestaltet. Die Restaurants und Cafés und der Kiezcharakter laden zu einer kleinen Pause ein. Die Domäne Dahlem, ein Freilandmuseum mit Biobauernhof ist bei Familien sehr beliebt. Auf dem einstigen Rittergut kannst du einen Bauernhof mitten in Berlin erleben, mit Ackerflächen, Tieren und Attraktionen wie z.B. das Kartoffel- und Erntefest. Gegenüber dem U-Bahnhof führt die Steglitz Route weiter auf dem gut asphaltierten Franz-Grothe-Weg entlang der landwirtschaftlichen Flächen der Domäne Dahlem. Im weiteren Verlauf der Route kommst du am Botschaftsviertel mit zahlreichen Vertretungen ferner Länder vorbei. Beim Befahren der Schorlemerallee kannst du den angenehmen Fahrtwind genießen, da die Straße bergab geht.

    Im weiteren Verlauf lässt dich die Route direkt auf den Botanischen Garten Berlin zu radeln.

    Der Botanische Garten gehört mit 42 ha und 20 000 Pflanzenarten zu den größten und artenreichsten Botanischen Gärten der Welt. Das Mittelmeerhaus ist besonders beliebt bei den Besuchern, aufgrund der Artenvielfalt. Wieder in Steglitz angekommen, kannst du die Schwartzsche Villa besuchen. Die Schwartzsche Villa ist eine Kulturstätte in der regelmäßig Konzerte, Ausstellungen und Lesungen stattfinden. In dem Gebäude ist ein schönes Café zu finden.

    Von hier aus hast du einen guten Blick auf den 120 m hohen Steglitzer Kreisel, welcher das größte Wohnhaus Berlins werden soll. Schräg gegenüber dem südlichen Fuß des Kreisels befindet sich das kleine Schlossparktheater, das mit seinem vorderen Säulenbau und dem verzierten Dreieckgiebel einen schönen Anblick bietet. Das daneben befindliche Gutshaus Steglitz war ursprünglich ein Herrenhaus des Großkanzlers von Beyme und beherbergt heute eine Ausstellung des Kulturamtes Steglitz-Zehlendorf. Von der Schloßstraße aus kommst du bequem wieder zum S – und U- Bahnhof Rathaus Steglitz zurück.

    GPX
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    Karte
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    #Berlin #Steglitz-Zehlendorf #Tourismus #Sport #Kultur #Fahrrad