• RIAS-Kutte kennt sich aus mit Kurt Pomplun
    http://www.rias1.de/sound4/rias_/kutte/kutte.html

    RIAS Berlin „Kutte kennt sich aus“ (1971-1977) mit Heimatforscher Kurt Pomplun
    „Rundschau am Mittag“ 31.12.1968 Joachim Cadenbach im Interview mit Kurt Pomplun (2:54): Im Juni ist ja die Temperaturen sehr erfreulich, auch wenn Napoleon behauptet hat, der deutsche Sommer ist ein grün angestrichner Winter.

    http://www.rias1.de/sound4/rias_/rundschau/rundschau/681231_rias_aktuell_rundschau_am_mittag_joachim_cadenbach_interview_kurt_pompl
    Auf der Seite können sie die Folgen 1 bis 127 hören.

    Kurt Pomplun – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Kurt_Pomplun

    Kurt Pomplun (* 29. Juli 1910 in Schöneberg; † 5. August 1977 in Berlin) war ein deutscher Heimatforscher. Er publizierte Werke zur Geschichte Berlins und Brandenburgs, seiner Mundart und mündlich überlieferten Märchen und Sagen.
    ...
    Pomplun beantragte am 27. Dezember 1937 die Aufnahme in die NSDAP und wurde rückwirkend zum 1. Mai desselben Jahres aufgenommen (Mitgliedsnummer 5.585.940).[1] Bereits 1933 war er der SS beigetreten, in der er es mindestens bis zum Hauptscharführer brachte.
    ...
    Im Alter von 67 Jahren verstarb Kurt Pomplun am 5. August 1977 während einer Diskussion in der Schöneberger Buchhandlung Elwert und Meurer an Herzversagen.

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  • Ouvriers sans-papiers, sécurité déplorable, l’organisation des Jeux Olympiques de Paris pointée du doigt Par Jérôme Jordens - RTBF
    https://www.rtbf.be/article/ouvriers-sans-papiers-securite-deplorable-lorganisation-des-jeux-olympiques-de-

    Les voix s’étaient élevées, à juste titre, pour dénoncer les conditions de travail sur les chantiers qataris pour construire les stades de la Coupe du monde 2022. Problèmes de sécurité, ouvriers sans papiers, les problèmes dénoncés ne sont cependant pas seulement visibles au Qatar.


    Le quotidien français Libération révélait ce mardi que les chantiers des Jeux Olympiques de Paris, qui se dérouleront en 2024, ne sont pas exempts de ces reproches. Le quotidien français a rencontré dix sans-papiers maliens qui ont travaillé sur différents chantiers pour différentes sociétés sous-traitantes, dont des grands noms de la construction comme de Vinci GCC Construction ou Spie Batignoles.

    « Les Français ne veulent pas faire ce travail. Sur le chantier, il n’y a presque que des étrangers. Des Pakistanais pour l’électricité, des Arabes pour la plomberie, des Afghans pour la maçonnerie… Les blancs, ce sont ceux qui sont dans les bureaux », explique à Libération Moussa (prénom d’emprunt), porte-parole d’un groupe d’une dizaine de sans papiers maliens qui travaillent sur les chantiers des JO 2024. Pour être embauchés, la plupart utilise les papiers d’amis ou d’un membre de la famille en règle.

    Une problématique dont sont conscients les organisateurs qui précisent cependant avoir pris des mesures pour tenter de mettre fin à ce travail illégal. « On retrouve sur les chantiers des JO des pratiques qu’on retrouve par ailleurs dans le secteur du bâtiment, mais on a un dispositif de surveillance un peu plus développé, avec un comité présent sur les chantiers, doté d’une permanence. Ça nous permet de repérer des cas », indique Bernard Thibault, membre du comité d’organisation au quo. Il admet cependant que certaines pratiques permettent à « des entreprises de passer entre les mailles du filet ».

    Le problème, c’est que le nombre d’entreprises présentent sur les chantiers est énorme et que les sous-traitants sont nombreux. Il peut dès lors être compliqué de refaire tout le trajet des paiements. « Celle qui paye n’est pas forcément celle qui est sur le chantier. A tel point qu’il est impossible de s’assurer de quelle est la boîte qui les embauche » , explique Jean-Albert Guidou, secrétaire général de l’union locale de CGT de Bobigny

    Le bâtiment, c’est une façon pour ces sans-papiers de gagner un peu d’argent pour pouvoir vivre. « Pour vivre ici quand tu n’as pas de papiers, ce n’est pas du tout facile alors on préfère travailler dans le bâtiment plutôt que de faire des choses pas bien », explique Moussa.

    Le village olympique, à l’Ile-Saint-Denis, la piscine Marville, ils étaient présents sur ces chantiers et ont travaillé pour un peu plus de 80 euros non déclarés par jour, dans des conditions déplorables : « On n’a aucun droit. On n’a pas de tenue de chantier, pas de chaussures de sécurité fournies, on ne nous paye pas le pass Navigo, o n’a pas de visite médicale et même pas de contrat » , regrette Moussa.

    Abdou, un autre travailleur sans papier, met, lui, le problème sur les éventuelles indisponibilités ou accidents : « Si tu tombes malade ou que tu te blesses, le patron te remplace le lendemain » . Une situation intenable qui pose question sur l’entièreté du système. Un débat s’est d’ailleurs ouvert ce mardi à l’Assemblée nationale et porte sur un nouveau projet de loi immigration qui pourrait, peut-être, permettre à Moussa et ses collègues de régulariser leur situation.

    L’article de libération, payant : https://www.liberation.fr/societe/sans-papiers-sur-les-chantiers-les-jeux-olympiques-ne-pourraient-pas-se-f

    #jo #jeux_olympiques #Paris #vinci #infrastructures #btp #conditions_de_travail #spie-batignolles #sous-traitance #sans-papiers Merci à madame #anne_hidalgo du #ps #ville_de_paris

  • À Gennevilliers, les travailleurs sans papiers de RSI ont levé leur piquet de grève - Le Parisien
    https://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/a-gennevilliers-les-travailleurs-sans-papiers-de-rsi-ont-leve-leur-piquet
    https://www.leparisien.fr/resizer/LFm3UjPYSUewH4zxwGH0zCtc3iA=/1200x675/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/leparisien/KOHAF5IZYZDC7JLY3AWTLC5JEQ.jpg

    Les salariés mobilisés depuis 13 mois pour obtenir leur régularisation ont quitté leur campement après avoir obtenu un titre de séjour provisoire les autorisant même [même] à travailler. Mais ils restent vigilants jusqu’à la fin de l’instruction de leurs dossiers.

    Première victoire pour les grévistes sans papiers de RSI . La lutte continue pour ceux de DPD et Chronopost !
    http://www.sudptt.org/La-prefecture-du-92-delivre-83-recepisses-aux-grevistes-de-RSI-La-lutte

    M. Rendre-la-vie-impossible-Darmanin a reçu le 29 septembre une délégation concernant uniquement la situation du piquet de RSI à Gennevilliers, suite à l’interpellation de Mme Faucillon, députée des Hauts-de-Seine. Depuis, la préfecture des Hauts-de-Seine a convoqué 83 des occupants qui ont reçu des récépissés avec autorisation de travail avec la mention « a demandé un premier titre de séjour portant la mention travailleur temporaire ». C’est une première étape importante pour les camarades en grève depuis bientôt un an !

    L’article du Parisien est sous #paywall, en revanche j’ai trouvé ça

    JO de Paris 2024 : des travailleurs sans papiers sur les chantiers
    https://justpaste.it/6j8ko

    Alors qu’une enquête préliminaire a été ouverte en juin par le parquet de Bobigny pour travail dissimulé sur le chantier du village des athlètes, « Le Monde » a rencontré plusieurs ouvriers sans papiers sur des sites des JO en Seine-Saint-Denis. De son côté, le gouvernement dit vouloir faciliter la régularisation des travailleurs dans les secteurs en tension.

    « On est là pour survivre, on n’a pas le choix ».
    C’est un chantier comme un autre. Il est embauché comme manœuvre pour « piocher, faire du béton, de la maçonnerie ou ranger le matériel ». Un de plus où il n’a « pas de contrat, pas de fiche de paye, pas de congés », 80 euros la journée, qu’il termine à 17 heures ou à 21 heures.
    Le chantier sur lequel il pointe depuis des mois, c’est celui du village des athlètes des Jeux olympiques (#JO) de 2024.

    #travail #ouvriers #sans_papiers #intérim #Jeux-olympiques

    • Sans-papiers sur les chantiers de Paris 2024 : « Les JO ne pourraient pas se faire sans nous »
      https://www.liberation.fr/societe/sans-papiers-sur-les-chantiers-les-jeux-olympiques-ne-pourraient-pas-se-f

      La préparation des Jeux olympiques donne à voir les mêmes pratiques illégales qu’ailleurs dans le bâtiment : emploi de travailleurs sans-papiers, avec des conditions de sécurité déplorables et aucun droit pour ces travailleurs de l’ombre.
      par Gurvan Kristanadjaja, le 5 décembre 2022

      En 2021, l’heure était aux belles photos. Les chantiers en vue des Jeux olympiques (JO) de Paris 2024 étaient lancés en grande pompe. « Nous accueillons normalement les Jeux olympiques et paralympiques en France tous les cent ans, il vaut mieux, mes chers amis, être au rendez-vous du monde », déclamait l’ex-Premier ministre Jean Castex, appelant de ses vœux « des Jeux olympiques réussis, à la fois inspirateurs et illustrateurs des aspirations de notre société et des politiques publiques que nous conduisons pour y répondre et pour transformer notre pays ».

      Un an plus tard, Moussa (1) et ses collègues, réunis dans les locaux de la CGT à Bobigny (Seine-Saint-Denis) qui les accompagne dans leurs démarches, réécoutent ces mots avec amertume. Ils sont dix, tous maliens et sans papiers. Depuis un, deux ou trois ans, ils travaillent pour une entreprise sous-traitante – dont le nom change souvent – de #Vinci GCC Construction ou #Spie_Batignolles, les mastodontes de la construction. « C’est du bouche à oreille, de copain à copain. Si je travaille quelque part et que je vois des amis qui ne travaillent pas au foyer, je leur donne le numéro de mon patron. Pour vivre ici quand tu n’as pas de papiers, ce n’est pas du tout facile alors on préfère travailler dans le bâtiment plutôt que de faire des choses pas bien [et risquer davantage la prison et l’expulsion] . Si le patron a du travail pour toi, il t’appelle et il t’envoie l’adresse », explique Moussa, porte-parole du groupe.

      Nébuleuse d’entreprises

      Depuis un an, les adresses ont presque toutes mené sur des chantiers des JO : l’immense village olympique à L’Ile-Saint-Denis ou la piscine Marville à Saint-Denis pour les entraînements de water-polo. Parmi les dix Maliens, il y a des manutentionnaires, chargés de porter des sacs de ciment de plusieurs dizaines de kilos sur treize étages. Il y a des bancheurs, spécialisés dans la construction en béton armé. Et puis des hommes à tout faire : ils piochent la terre, construisent les murs, font de la maçonnerie… Le tout pour un peu plus de 80 euros non déclarés par jour, peu importe les conditions météo, et sans jour de congé.

      « On n’a aucun droit. On n’a pas de tenue de chantier, pas de chaussures de sécurité fournies, on ne nous paye pas le pass Navigo, on n’a pas de visite médicale et même pas de contrat », s’indigne Moussa. « Si tu tombes malade ou que tu te blesses, le patron te remplace le lendemain », dénonce Abdou (1), un de ses collègues. Le plus souvent, ils se présentent avec les papiers d’un ami ou d’un membre de la famille en règle sur le territoire. « Les Français ne veulent pas faire ce travail. Sur le chantier, il n’y a presque que des étrangers. Des Pakistanais pour l’électricité, des Arabes pour la plomberie, des Afghans pour la maçonnerie… Les blancs, ce sont ceux qui sont dans les bureaux », détaille Moussa.

      « On retrouve sur les chantiers des JO des pratiques qu’on retrouve par ailleurs » dans le secteur du bâtiment, reconnaît #Bernard_Thibault, membre du comité d’organisation. « Mais on a un dispositif de surveillance un peu plus développé, avec un comité présent sur les chantiers, doté d’une permanence. Ça nous permet de repérer des cas », assure-t-il. L’ancien leader de la CGT fait aussi valoir que les syndicats ont été intégrés au conseil d’administration de Paris 2024 : « Des JO en France, ça ne s’organise pas comme une Coupe du monde au Qatar. » Des garde-fous qui n’empêchent pas certaines « entreprises de passer entre les mailles du filet », admet-il.

      La société qui emploie Moussa et les autres Maliens est gérée par un ressortissant turc via une nébuleuse d’autres entreprises. Elles prospèrent grâce à la #sous-traitance. « Celle qui paye n’est pas forcément celle qui est sur le chantier. A tel point qu’il est impossible de s’assurer de quelle est la boîte qui les embauche vraiment », explique Jean-Albert Guidou, secrétaire général de l’union locale CGT de Bobigny. Contacté, le patron n’a pas répondu à nos sollicitations.

      « On les prend au mot »

      En juin, une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny pour « emploi d’étrangers sans titre », « recours au travail dissimulé » et « exécution en bande organisée d’un travail dissimulé ». Plusieurs contrôles ont aussi été menés par la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités Ile-de-France. Depuis le début de l’année, hormis Moussa et ses collègues, seize autres travailleurs sans papiers se sont plaints de leurs conditions de travail sur des chantiers des Jeux olympiques. Ils ont obtenu la régularisation, ce qu’espèrent aussi Moussa et les autres. « Le gouvernement français veut des Jeux olympiques propres, on les prend au mot », avance Jean-Albert Guidou à la CGT.

      Les cas de ces travailleurs font écho au débat qui s’ouvre à l’Assemblée nationale ce mardi. Dans son projet de loi immigration prévu pour « début 2023 », le gouvernement envisage d’intégrer la possibilité pour les travailleurs sans papiers des « métiers en tension » d’obtenir un titre de séjour. Ce qui pourrait favoriser les conditions de régularisation de ces personnes. En attendant, quand il est question d’immigration, le débat se porte plus sur la question des expulsions que sur celle des régularisations. « Nous sommes sans papiers car la France ne veut pas nous régulariser mais les Jeux olympiques ne pourraient pas se faire sans nous », regrette Moussa, qui a vu plusieurs de ses demandes d’asile refusées. « Nous sommes venus ici comme tous les jeunes Africains qui rêvent d’Europe. On a vécu des choses horribles en Libye et on a traversé la Méditerranée. On ne pensait pas qu’ici on profiterait de nous. » Ni le parquet de Bobigny ni la Dreets n’ont répondu à nos sollicitations.

      Respectabilité. Ici, un Thibault notabilité semble se porter garant d’un simulacre de mieux disant social

      #BTP

  • Une vidéosurveillance peut en cacher une autre
    https://www.laquadrature.net/2021/03/12/une-videosurveillance-peut-en-cacher-une-autre

    Ce serait enfoncer une porte ouverte que de dire que la vidéosurveillance est partout. Alors que la Cour des comptes critique l’absence totale d’efficacité de ces dispositifs, celle-ci est sans cesse promue comme une solution magique à des problèmes que l’on ne veut pas regarder en face. Pourtant, derrière l’effrayante banalité de la vidéosurveillance peut se cacher l’effarante illégalité de la vidéosurveillance automatisée, ou algorithmique. C’est l’histoire d’une banale histoire de vidéosurveillance (...)

    #Briefcam #Spie #algorithme #CCTV #vidéo-surveillance #surveillance #LaQuadratureduNet

  • Deutlich weniger Spielhallen: Auch viele Wettbüros sollen bald schließen - Tempelhof-Schöneberg
    https://www.berliner-woche.de/tempelhof-schoeneberg/c-wirtschaft/auch-viele-wettbueros-sollen-bald-schliessen_a280300

    Eine sensationelle Zahl: Von 49 Spielhallen, die es zum Höchststand 2011 im Bezirk gab, sollen demnächst noch zehn übrig bleiben – so die Zielvorgabe nach Abschluss der Auswahlverfahren.

    Allerdings sind in Tempelhof-Schöneberg nicht alle Auswahlverfahren bereits abgeschlossen, derzeit sind noch 17 Spielhallen in Betrieb. Davon liegen neun im Umfeld des Nollendorfplatzes. Der SPD-Abgeordnete Daniel Buchholz hat mit seiner Fraktion das Berliner Spielhallengesetz, das strengste Deutschlands, vorangebracht. Schon 2011 wurden enge Grenzen für neue Hallen gesetzt: Nur noch eine pro Gebäude, ein Mindestabstand von 500 Metern zur nächsten und 200 Metern zu Oberschulen, Schließzeiten von 3 bis 11 Uhr und acht statt zuvor zwölf Automaten. 2016 wurde das Gesetz nochmals verschärft. Zusätzlich mussten neue Betreiber Zuverlässigkeit, Sauberkeit, Sachkunde und ein Sozialkonzept nachweisen. Der Bußgeldrahmen für Verstöße wurde von 50 000 auf 500 000 Euro erhöht.

    Was aber verwundert: Obwohl es seit 2016 zahlreiche Schließungen gab, scheinen sich in manchen Kiezen die Spielstätten aneinanderzureihen. Dabei handelt es sich jedoch oft um Gaststätten mit Automaten, die einen Schankbetrieb nachweisen müssen, um sich nicht strafbar zu machen.

    Rund 25 000 Spielsüchtige in Berlin
    In Berlin werden von fast 600 Spielhallen nur 120 übrig bleiben, eine Reduzierung um 80 Prozent. Den starken Rückgang bezeichnet Buchholz als große Hilfe gegen die Spielsucht. Rund 50 000 Berliner haben ein problematisches Spielverhalten, die Hälfte gilt als spielsüchtig. Etwa 600 000 Euro verschwanden 2019 in den Automaten.

    Was für die Spielhallen gilt, soll demnächst auch bei den rund 400 Wettbüros in der Stadt greifen. Ein entsprechendes Gesetz wurde vom Senat im März auf den Weg gebracht.

    Der Wermutstropfen für Buchholz: Eine Sperrdatei ist noch nicht umgesetzt, obwohl es seit 2016 die gesetzliche Verpflichtung dazu gibt. „Das ist peinlich hoch drei“, sagt er. „Der Senat liefert als fadenscheinige Begründung Probleme mit dem Datenschutz.“ Bei einem Sperrsystem können sich Menschen, die Probleme mit dem Spielen haben, freiwillig für Spielhallen sperren lassen. In Hessen existiert ein solches System seit 2018.

    #Berlin #Tempelhof-Schöneberg #Sucht #Spielhallen

  • Der Taxi Racer in Berlin : Amazon.de : Games
    https://www.amazon.de/Der-Taxi-Racer-in-Berlin/dp/B0000C1CC0/ref=pd_sbs_63_1/261-8051288-3515112?_encoding=UTF8&pd_rd_i=B0000C1CC0&pd_rd_r=e9add713-9c19-4

    Der Taxi Racer in Berlin
    von Emme Deutschland
    Plattform : Mac, Windows |
    Alterseinstufung: USK ab 0 freigegeben

    Informationen zum Spiel

    Plattform: Windows, Mac
    USK-Einstufung: USK ab 0 freigegeben
    Medium: Computerspiel

    Produktinformation

    ASIN: B0000C1CC0

    Produktbeschreibungen

    Mit Vollgas durchs Brandenburger Tor! Spielen Sie die actionreiche und tempogeladene 3D-Taxi-Racing-Simulation. Ihre Aufgabe besteht darin, Fahrgäste so schnell wie möglich und ohne Rücksicht auf Verkehrsschilder an ihren Bestimmungsort zu bringen. Verschiedene Fahrzeuge stehen Ihnen zur Verfügung, um mit atemberaubendem Tempo und waghalsigen Überholmanövern durch die Straßen Berlins zu rasen. Überschläge, dramatische Crashs und 360 Grad Dreher sind bei diesem Highspeed-Actionspiel vorprogrammiert. Für außergewöhnlich spektakuläre Stunts bekommen Sie sogar Bonuspunkte! Sollte Ihr Wagen durch Ihren rasanten Fahrstil zu stark beschädigt werden, so können Sie ihn in einer Werkstatt reparieren lassen. Bei diesem detailgenauen 3D-Actionspiel können sich die Rennfahrer von heute richtig austoben und müssen sich an keine Verkehrsregeln halten! Doch Vorsicht, Ihre Fahrgäste dulden nicht alles! Die TOP-Features von „Der TAXI RACER in BERLIN“: 4 Fahrermitsamt Wagen wählbar: Mercenary-C Limo, Zetto3 Cabrio, Gulfwar GTI, und 70s Style-Granado 2 zusätzliche Bonus-Fahrzeuge werden im Missionsverlauf freigeschaltet. Für noch mehr Action! Bonuspunkte für verrückte Stunts & Fahrmanöver 21 Missionen in 4 Stadtbezirken der Hauptstadt 10 verschiedene Passanten mit flotten Sprüchen Objekte wie Mülltonnen, Laternen, Sitzgruppen & vieles mehr können umgefahren werden Heftiger Soundtrack, wummernde Bässe und knackige Sound-Effekte passend zum Spiel Detailnahes 3D-Modell der Berliner Innenstadt Stuffenlos optimierbar für normale und schnelle Rechner Die geprüfte, originale deutsche Vollversion! „Der TAXI RACER in Berlin für Microsoft Windows“ wurde hervorragend bewertet von „PC Joker“, Ausgabe 02/2004 Systemvoraussetzungen System: Windows 98/ME/XP Prozessor Empfehlung: ab 1 GHz RAM: 128 MB Freier Festplattenspeicher: mind. 131 MB Grafikkarte: 3D-Beschleunigung mit 32 MB Steuerung: Tastatur & Maus

    Kundenrezensionen
    Spitzenrezensionen
    Jasmin
    1,0 von 5 SternenNaja
    27. November 2015
    Verifizierter Kauf
    Lässt zu wünschen übrig aber war ja fast geschenkt. Hatte es aus meiner Kindheit besser in Erinnerung. Schade aber naja
    Nützlich
    Kommentar Missbrauch melden
    Captain Kosy
    5,0 von 5 SternenDas beste Spiel seiner Serie! Unschlagbar, genial!!!
    28. Juni 2010
    Wer Berlin liebt (so wie ich) und wer Berlin kennen lernen will, für den ist „Taxi-Racer in Berlin“ absolut gemacht. Man lernt spielerisch die wichtigsten Sehenswürdigkeiten in Berlin kennen und kann alle Level bestehen. Während man die Nachfolger „TaxiRacer in London“ nur bedingt und „TaxiRacer in NewYork“ absolut nicht empfehlen kann, ist dieses Spiel einfach unschlagbar!!

    Während man die Fahrgäste von A nach B befördert, werden wie beim Navi die Straßennamen genannt, in denen man gerade unterwegs ist. Man bekommt zum Beispiel eine Fahrt von der Siegessäule zum Alexander Platz. Es macht tierisch Spaß mit 180 km/h durchs Brandenburger Tor zu rasen, was man in der Realität nicht direkt machen kann bzw. nicht machen sollte. Die Realität sollte man beim Spiel wegdenken, denn man kann bei dem Spiel auch in die Spree fahren, um so schneller ans Ziel zu kommen. Dabei geht man unter (später kann man wieder hochfahren) und fährt durch das Flussbett zum Ziel. Im Spiel sind auch Schanzen versteckt, die man spaßighalber benutzen kann. Wenn man richtig gut ist, kann man sie prima für die schnelle Weiterfahrt einsetzen.

    Für diejenigen, die die Level nicht schaffen, gibt es Mogelcodes (Cheats) im Netz. Aber ich habs auch ohne geschafft... Man sollte am Besten die Fahrgäste mit gelben oder orangem Euro-Zeichen einsammeln. Die Fahrgäste wollen meistens nicht weit gefahren werden und bezahlen recht gut.

    Fazit: Das Spiel ist absolut empfehlenswert. „TaxiRacer in Berlin“ bleibt und ist unschlagbar! Das Preis-Leistungsverhältnis ist klasse. Für den Fan sowieso ein Muss.

    #Berlin #Taxi #Spiel #game #jeux

  • Taxi Challenge Berlin: Amazon.de: Games
    https://www.amazon.de/Hemming-Taxi-Challenge-Berlin/dp/B0000632OG/ref=sr_1_fkmr0_2?__mk_de_DE=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&keywords=Speziala


    Alt und wohl eher weniger gut. Aber vielleicht hat es in zwischen Patina angesetzt und gefällt durch den Nostalgiefaktor.

    Produktbeschreibung

    Stahlharte Nerven und flinke Reflexe sind bei TAXI Challange BERLIN Grundvorraussetzung. Wo U-Bahn-Tunnel und andere Abkürzungen zur Verfügung stehen, ist an gemütliches Herumfahren nicht zu denken. Mit jedem zahlenden Fahrgast steigt die Chance auf den Titel des besten Taxifahrers von Berlin. Für ausgedehnte Besichtigungen der Berliner Innenstadt hat der Spieler absolut keine Zeit. Der irre 3D-Fahrspaß steckt in einer ganz und gar normalen Taxifahrt am PC. Als Kutscher ohne Furcht und Tadel nimmt der User das virtuelle Lenkrad in die Hand. Ohne Geld und vom Chef gefeuert, hat der Taxifahrer nur 24 nervenaufreibende Stunden, um der Welt zu zeigen, wer der beste Taxenlenker überhaupt ist. Zuvor steht jedoch der harte Kampf um zahlende Fahrgäste auf dem Plan. Aggressive Passanten und andere Chaoten machen diese Aufgabe nicht gerade leicht. Nur bei pünktlicher Ankunft am gewünschten Ziel gibt es bares Geld für die Hetzerei. Waghalsige Stunts verheißen ebenfalls ein steigendes Punktekonto. Doch wie gewonnen, so zerronnen. Blechschäden und andere Blessuren am Auto repariert die Werkstatt nur gegen harten Euro. Für noch schnellere Zeiten sind auch ungewöhnliche Abkürzungen erlaubt. Steht also ein Gebäude der kürzeren Strecke im Wege, dann nichts wie hindurch und somit kostbare Minuten gespart. Zu Beginn stehen vier abgedrehte Charaktere in ihren Fahrzeugen zur Auswahl bereit. Anschließend geht es auf die digitale Piste von Berlin. Dutzende realer Gebäude und ein 3D-Modell der Stadt machen Lust auf eine Entdeckungsfahrt der anderen Art. Mehr als 20 Missionen und andere aufregende Modi warten auf die Fahrkünste des Actionfreaks.

    Produktbeschreibung des Herstellers
    Rasen Sie durch die Hauptstadt und werden Sie „Taxi-König“ von Berlin. Die Fahrgäste: aggressive Omas, süsse Lolitas, Gays und viele mehr.

    Kundenrezensionen

    Prof. Dr. S. Piasecki
    5,0 von 5 SternenEndlich mal ein Spaßfaktor...
    9. Juli 2002
    Das es sowas gibt, hätte ich nicht gedacht. Ein Rennspiel, das in Deutschland spielt und noch dazu große Teile einer Stadt beinhaltet. Das ist in diesem Spiel ziemlich gut gelungen. Natürlich ist nicht jedes Detail drin, aber die wichtigsten Sehenswürdigkeiten sind drin (ziemlich gut: der Potsdamer Platz). Dazu die wichtigsten Straßen (falls mal jemand die Loveparade-Route nachfahren will). Weiterhin jede Menge Laternen, Mülltonnen, Straßencafes etc. die man natürlich alle umfahren kann. Die Menge an Passanten und Straßenverkehr ist enorm. Wer einen einigermaßen flotten Rechner (ab P3 500) hat, hat ziemlich viel zu entdecken.

    Aber das beste ist der Missionsmodus. Man kann abends nur ein paar Minuten spielen oder auch ein paar Stunden. Man kommt einfach nicht davon los. Man fährt einfach immer wieder noch eine Runde. Oder spielt eine der alten Missionen, die man auch nachher noch laden kann. Endlich mal ein Spiel mit einer riesigen 3D-Welt, einer Menge Spielspaß und einem Spielkonzept, das einem das Loslegen erlaubt, ohne daß man dafür noch eine halbe Stunde ein Handbuch lesen muß. Noch dazu ist der Preis absolut angenehm.

    Claudia Garunn
    5,0 von 5 Sternen"Voll fett, Meister" (Zitat aus Taxi Challenge Berlin)
    3. Mai 2002
    Dem Ausruf des Punkers in diesem Spiel kann frau eigentlich nichts hinzufügen. Meiner ganzen Familie macht das Spiel Spaß und wir wetten schon, wer die meiste Kohle macht. :)
    Wenn man sich erst einmal an die Steuerung gewöhnt hat (geht sehr schnell), geht wirklich die Post ab. Mein Mann zieht ja sein Lenkrad vor, meine kleine Tochter (7 Jahre) und ich spielen aber lieber per Tastatur. Für die Kleine wäre das Lenkrad auch etwas zu wuchtig. Ich hoffe, dass demnächst mehr Städte versorgt, bzw. versoftet werden. Bis dann, Claudia

    Amazon Customer
    1,0 von 5 SternenDas Spiel ist ein einziger Cliping Fehler
    7. Juli 2002
    Ich weiß nicht was man sich dabei gedacht hat. Berlin sieht aus als hätte es jemand Fotografiert, dann gestreckt und dann eingefügt. Realismus ist in diesen Spiel nicht vorhanden. Die Leute die dieses Spiel gemacht haben, müssen sich wohl ein Buch aus der Bücherei ausgeliehen haben(Wie mach ich Computerspiele), wie das Kapitel Cliping fehlte. Jede Minute rast du durch die Starße durch und fährst auch durch Häuser. Also jeden anraten sich Crazy Taxi zu kaufen oder die Taxi Missionen von GTA 3 machen.

    #Berlin #Taxi #Spiel #game #jeux

  • Travail forcé et exploitation coloniale : souvenons-nous Olivier Lecour Grandmaison - 10 Mai 2019 - Investigaction
    https://www.investigaction.net/fr/travail-force-et-exploitation-coloniale-souvenons-nous

    Légitimé et défendu, sous la Troisième République, par de nombreux hommes politiques, juristes et professeurs d’université notamment, le travail forcé a, sous différentes formes, été la règle dans les possessions françaises jusqu’à son abolition tardive le 11 avril 1946. Rares sont ceux qui, comme la philosophe Simone Weil, ont dénoncé « les déportations massives » des « indigènes » et le recours meurtrier au travail forcé en Afrique française et en Indochine.

    « L’exploitation [coloniale] a été perpétrée si souvent (…) avec une telle cruauté, par l’homme blanc sur les populations arriérées du monde, qu’on fait preuve (…) d’une insensibilité totale si on ne lui accorde pas la place d’honneur chaque fois que l’on parle du problème colonial. »
    Karl Polanyi (1944)

    Le 11 avril 1946, après de nombreux atermoiements, l’Assemblée nationale constituante votait enfin la proposition de loi de Félix Houphouët-Boigny tendant à la suppression « immédiate » du travail forcé dans les colonies françaises.

    Quelques jours auparavant, ce député était intervenu à la tribune pour dénoncer la situation des « indigènes » toujours soumis à des formes exceptionnelles et particulièrement brutales d’exploitation. Usant d’une anaphore qui lui a permis de brosser un tableau précis des pratiques coloniales, il déclarait : « il faut avoir vu ces travailleurs usés, squelettiques, couverts de plaies, dans les ambulances ou sur les chantiers ; il faut avoir vu ces milliers d’hommes rassemblés pour le recrutement, tremblant de tout leur corps au passage du médecin chargé de la visite ; il faut avoir assisté à ces fuites éperdues (…) vers la brousse ; (…) il faut avoir vu ces théories d’hommes, de femmes, de filles, défiler silencieusement, le front plissé, le long des chemins, qui mènent au chantier. (…) L’indigène ne peut plus comprendre ni admettre ce servage, cent cinquante après la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et cent ans après l’abolition de l’esclavage. »

    Précision essentielle : ce travail forcé – tâches de construction, transport de marchandises, entretien des agglomérations… – est imposé de façon autoritaire et souvent violente aux autochtones qui n’ont commis ni crime ni délit. En effet, les hommes et les femmes visés ne sont pas des individus condamnés à une peine privative de liberté prononcée par un tribunal, à laquelle viendrait s’ajouter celle des travaux forcés ; cette obligation concerne les populations civiles de l’empire dont les membres sont « sujets indigènes », soit l’écrasante majorité des individus. Légitimé et défendu, sous la Troisième République, par de nombreux hommes politiques, juristes et professeurs d’université notamment, le travail forcé a, sous différentes formes, été la règle dans les possessions françaises jusqu’à son abolition tardive le 11 avril 1946.

    Ainsi fut construit, par exemple, le chemin de fer destiné à relier Brazzaville à Pointe-Noire, sur la côte atlantique. Bilan de cet “exploit”, réputé témoigner de la glorieuse « mise en valeur » du Congo français : 17000 morts « indigènes » pour la réalisation des 140 premiers kilomètres et un taux de mortalité sur ce chantier de 57% en 1928. Qui a livré ce dernier chiffre ? Un anticolonialiste farouche ? Non, le ministre des Colonies, André Maginot, dans une déclaration faite devant une commission ad hoc de la Chambre des députés. L’entreprise chargée des travaux ? La Société de construction des Batignolles dont la prospérité est en partie liée aux nombreux contrats remportés dans les possessions françaises. Son héritier et successeur n’est autre que le groupe bien connu aujourd’hui sous le nom de SPIE-Batignolles. En 2013, Jean Monville, ancien PDG de ce groupe, rappelait benoîtement « la fierté de ce qu’on avait fait dans le passé, de notre professionnalisme et de notre engagement dans nos “aventures” d’outre-mer ». (Le Monde, 21 mai 2013). Nul doute, les descendants de ceux qui sont morts à l’époque apprécieront la délicatesse de ces propos.

    Réformé mais jamais véritablement supprimé, le travail forcé a ainsi perduré sous la Troisième République, le régime de Vichy et dans les colonies passées aux côtés de la France libre. A preuve, les orientations soutenues par Félix Éboué, gouverneur général de l’Afrique équatoriale française, pendant la Seconde Guerre mondiale. Souvent présenté comme un grand humaniste, qui a toujours défendu les droits de l’homme, Éboué, comme la majorité de ses pairs, ne s’est jamais prononcé dans ses écrits pour l’abolition immédiate du travail forcé. De même les résistants prestigieux qui, à partir du 30 janvier 1944, se réunissent à Brazzaville pour définir la politique à mettre en œuvre dans les territoires d’outre-mer.

    Inaugurée par le général de Gaulle, cette conférence doit prendre une décision relativement à cette forme particulière de labeur. En raison de « l’effort de guerre », les représentants de la France libre, rassemblés dans la capitale du Congo français, décident de prolonger le travail forcé pour une durée de cinq ans ! En métropole, ils n’ont de cesse de dénoncer le Service du travail obligatoire (STO) établi par les autorités de Vichy le 16 février 1943 ; dans les colonies, ils trouvent normal d’imposer aux « indigènes » de vingt à vingt-cinq ans reconnus aptes, mais non incorporés à l’armée, un Service obligatoire du travail (SOT). Subtilité des sigles et triomphe du relativisme politico-juridique. De là ces indignations sélectives et hexagonales cependant que dans les possessions ultra-marines la condamnation cède le pas à l’acceptation.

    Rares sont ceux qui, comme la philosophe Simone Weil, ont dénoncé « les déportations massives » des « indigènes » et le recours meurtrier au travail forcé en Afrique française et en Indochine. En dépit de ses protestations, exprimées dès 1943 alors qu’elle a rejoint la Direction de l’Intérieur de la France libre dans la capitale du Royaume-Uni, S. Weil n’a pas été entendue. Tout comme André Gide et Albert Londres une quinzaine d’années auparavant. Voilà qui aide à comprendre les lenteurs de l’Assemblée nationale constituante à la Libération.

    Joli tableau, n’est-il pas, de la très glorieuse colonisation française toujours présentée, par de nombreux contemporains, comme une entreprise généreuse destinée à apporter la civilisation aux peuples qui en ignoraient jusque-là les bienfaits. Cette sinistre réécriture de l’histoire prospère avec la caution de quelques faiseurs de livres – A. Finkielkraut, P. Bruckner et E. Zemmour, notamment – qui prennent leur ignorance et leurs audaces prétendues pour de brillantes découvertes. Ils n’hésitent pas à se dire amis de la connaissance et de la vérité ; sur ces sujets, comme sur beaucoup d’autres, ils ne sont que de vulgaires idéologues qui traitent les faits établis en chiens crevés. Demeurent de pauvres écholalies qui réhabilitent un discours impérial-républicain forgé sous la Troisième République. Audaces intellectuelles ? Stupéfiante régression et grand retour du roman national.

    Source : Le Blog d’Olivier Lecour Grandmaison https://blogs.mediapart.fr/olivier-le-cour-grandmaison/blog

    #esclavage #france #exploitation #Congo_français #déportation #SPIE-Batignolles #STO #SOT #roman_national #Simone_Weil (la Philosophe)

  • Wie man Fake-News erzeugt
    https://diasp.eu/p/8475788

    Wie man Fake-News erzeugt

    … und #Propaganda - #Journalismus betreibt, zeigt DER #SPIEGEL diese Woche anschaulich. »Am Ende werden Millionen Bürger als Verlierer dastehen«, heißt es in einem dreiseitigen Beitrag zur #Grundsteuerreform. Diese, mit Fakten nicht zu belegende, ziemlich blödsinnige Behauptung ist die Arbeitsgrundlage der drei Autoren Alexander Jung, Christian Reiermann und Anne Seith.

    Vorab die Fakten: Die #Grundsteuer spielt 14 Milliarden Euro in die Kassen der #Kommunen. Das sind laut Spiegel »rund 200 € pro Haushalt im Jahr«. Diese Größenordnung soll, so der politische Beschluss, konstant bleiben und den Bürgern über die kommunalen Haushalte auch zukünftig zur Verfügung stehen.

    Die Autoren heben mehrfach hervor, dass es um 35 Millionen #Grundstücke geht, für die Grundsteuern erhoben (...)

  • Dieser Zaun stoppt niemanden - weil keiner kommt

    In der Flüchtlingskrise baute Österreich eine Sperranlage an der Grenze zu Slowenien. Drei Jahre später laufen noch immer Soldaten Streife an diesem Zaun. Die Zahl der ertappten Migranten: überschaubar.

    Man könnte das Gras wachsen hören, in der Geister-Zeltstadt von #Spielfeld an Österreichs Südgrenze zu Slowenien. Totenstill ist es in den Riesenzelten für Tausende Menschen, die seit drei Jahren hier stehen, leerstehen.

    Grashalme sprießen durch die Ritzen im Asphalt unter einem Zeltdach. Die Holzplankenböden mit Hunderten Liegen wurden längst abgebaut. Wie auch die elektronischen Anzeigetafeln, die einst den Weg zum nächsten Dixi-Klo wiesen. In den blauen Containerbüros neben den Zelten und meterhohen Sperrgittern lagern kaum benutzte Computer und Fingerabdruckscanner. Denn der erwartete Ansturm der Migranten ist bisher ausgeblieben.

    Die sattgrünen Hänge hoch, am Graßnitzberg über Spielfeld, ragen rostende Pfosten aus der Erde. Hier auf Holger Hagens Weingut wollte der Staat Österreich ein Stück Grenzzaun befestigen. Der Winzer jedoch wollte das nicht. Und so kommen seither Abend für Abend junge Wehrpflichtige zur Lücke im Zaun, zur Nachtwache. Sie bauen olivgrüne Zelte auf und machen Feuer, tratschen und rauchen, frieren und wachen. Bloß Migranten tauchen keine auf. Nicht ein einziger.

    Das war einmal anders: Im Oktober 2015 stand das 1000-Einwohner-Örtchen Spielfeld im Zentrum der Flüchtlingskrise - als Durchgangsstation für Zehntausende Migranten auf ihrem Weg über die Balkanroute ins „Gelobte Land“: Merkels Bundesrepublik. Menschen aus dem Treck durchbrachen Absperrungen, passierten teils unregistriert die Grenze. Eisenbahnstrecken und Straßen mussten gesperrt werden, einige Migranten verließen das provisorische Flüchtlingslager, campierten im Freien und verbrannten Klamotten, weil ihnen so kalt war. Gerüchte über Plünderungen gingen um in Spielfeld; keines erwies sich als wahr.

    Man müsse nun „so rasch wie möglich an einer Festung Europa bauen“, forderte Österreichs damalige Innenministerin Johanna Mikl-Leitner von der konservativen ÖVP. Und die rot-schwarze Wiener Regierung rüstete auf. Sie ließ am Übergang Spielfeld eine zentrale Kontrollstelle errichten: das sogenannte Grenzmanagementsystem mit Gittern, Zelten, Containern, Scannern. Links und rechts neben der Station rammten Arbeiter und Soldaten Pfosten in die Erde. Und befestigten einen Grenzzaun aus Maschendraht: mindestens 2,50 Meter hoch, fast fünf Kilometer lang, quer über die Hügel und Weinberge.

    Der Zaun von Spielfeld sollte die Migranten kanalisieren. Verhindern, dass sie über die grüne Grenze kommen, sie zur Kontrollstelle zwingen. Er war ein Novum: die erste Sperranlage zwischen zwei EU-Staaten, die zum Schengenraum ohne Binnengrenzen gehören.

    „Der Zaun, der passt schon so“

    Aber als der Zaun Anfang Februar 2016 einsatzbereit war, da war er de facto schon wieder überflüssig. Denn es kamen kaum noch Flüchtlinge. Das Innenministerium in Wien räumte auf SPIEGEL-Anfrage ein: „Am Grenzzaun Spielfeld wurden keine illegal Einreisenden aufgegriffen.“

    Trotzdem sagt Reinhold Höflechner: „Der Zaun, der passt schon so“. Der Bürgermeister der Gemeinde Straß, zu der Spielfeld gehört, glaubt: „Er schreckt Schlepper ab.“ Und: „Gerade entwickelt sich eine neue Route über den Balkan. Da sind Tausende unterwegs, die könnten bei uns von der Tür stehen.“ Höflechner ist ÖVP-Mitglied, wie Mikl-Leitner und der jetzige Bundeskanzler Sebastian Kurz. Dessen Regierung hält fest an der Sperranlage: „Die Infrastruktur beim Grenzmanagement in Spielfeld wird aufgrund der aktuellen Lageentwicklungen entlang der Balkanrouten derzeit nicht abgebaut“, schreibt das Innenministerium. Geführt wird es von Herbert Kickl von der rechten FPÖ.

    Und so steht der Drahtzaun noch immer da. Er durchschneidet die Landschaft, trennt Nachbarn und zwei befreundete Staaten mitten in Europa voneinander. Vielen auf dem Graßnitzberg missfällt das. „A Bledsinn is’ des“, sagt eine ältere Weinbäuerin. „An Zaun hat’s net amal beim Tito ’gebn.“ Selbst in dunkelsten Phasen des Kalten Krieges verzichteten die Grenzwächter des sozialistischen Jugoslawien auf einen Eisernen Vorhang.

    2018 laufen hier österreichische Soldaten Streife. An diesem Morgen gehen ein älterer und ein junger Uniformierter den Grenzpanoramaweg ab, wo für Wanderer einige Tore im Zaun offen stehen. Migranten habe man keine gesehen, bloß Touristen, sagt der Ältere. Im Süden nichts Neues.

    Der kleine Grenzübergang an der Landstraße beim Graßnitzberg, den die beiden Soldaten hüten sollen, ist während der Patrouillengänge unbewacht. Dann können Autos völlig unkontrolliert hinein nach Österreich. Wie auch mittags, wenn die Wächter zum Essen fahren.

    „Die Politiker wollten diesen Zaun, damit sich bestimmte Wählergruppen sicher fühlen“, sagt Winzer Holger Hagen. „Aber was bringt eine Grenze, wenn halbmotivierte Soldaten im Wachhäuschen herumsitzen und sogar Lieferwägen mit verdunkelten Scheiben durchwinken, wenn die ein österreichisches Kennzeichen haben?“ Seine rumänischen Mitarbeiter oder andere Grenzgänger mit osteuropäischen Autonummern würden öfter gestoppt, erzählt Hagen. Wohl dem Schlepper, der das richtige Nummernschild hat.

    Der Zaun ist an mehreren Stellen nicht ganz dicht. Auch auf den Grundstücken des steirischen Naturschutzbundes sowie des Anwohners Helmut Strobl klaffen Lücken. „In einem Europa, das immer freizügiger wurde, nun wieder Grenzen zu schließen, ist traurig“, sagt Strobl, der einst selbst für die ÖVP Politik machte. „So entfremden wir uns von unseren slowenischen Nachbarn.“

    Teurer Spaß für die Steuerzahler

    „Diese Maßnahme ist nicht gerechtfertigt und unverhältnismäßig“, erklärt das slowenische Innenministerium. Es gebe heute kaum illegale Migration von Slowenien nach Österreich, und Österreichs innere Sicherheit sei erst recht nicht gefährdet.

    Rund 160 Kilometer grüne Grenze zu Slowenien werden bis heute vom österreichischen Militär überwacht: mit Fußstreifen, motorisierten Patrouillen und Wärmebildkameras. 160 bis 170 Soldaten sind laut FPÖ-Verteidigungsminister Mario Kunasek im sogenannten Assistenzeinsatz. Die Kosten für den Einsatz betragen rund 20 Millionen Euro pro Halbjahr, und in den ersten sechs Monaten 2018 wurden genau zehn illegale Einreisende aufgespürt. Macht zwei Millionen Euro pro Kopf.

    Spielfeld ist ein teurer Spaß für die Steuerzahler. Den Zaun mietete die Landespolizeidirektion zuerst für rund 331.000 Euro - um ihn dann dem Hersteller für 168.000 Euro abzukaufen. Rund 3 Millionen Euro verschlang laut Innenministerium der Aufbau des gesamten „Grenzmanagementsystems“. Laufende Kosten: etwa 1,7 Millionen pro Jahr.

    Im Juni war zumindest einen Tag lang mal richtig was los an der Kontrollstelle - wegen Kickl und Kunasek. Unter dem Motto „Pro Borders“ beorderten die FPÖ-Minister rund 500 Polizisten, 200 Soldaten und Männer der Spezialtruppe „Puma“ nach Spielfeld, um den Stopp von Migranten zu simulieren. Die Eindringlinge wurden von Polizeischülern dargestellt, die am Maschendraht rüttelten und so taten, als ob sie über die Grenze kommen wollten. Ein Panzer rollte an, Hubschrauber stiegen in die Luft, Hunde bellten. Und die Grenzschützer taten so, als würden sie die Migranten stoppen, registrieren und teils wieder nach Slowenien abschieben.

    Ehrengäste applaudierten, TV-Kameras filmten - und Kickl sprach in die Mikrofone: „Diese Übung soll ein ganz klares Signal in die Welt hinaus senden und zeigen, dass unsere Abwehr funktioniert.“ Später fanden Journalisten heraus: Das Manöver kostete über eine halbe Million Euro Steuergeld.

    Nicht ein einziger Migrant an der Sperranlage gefasst

    Sloweniens Regierung hat es vergrätzt. „Die Darstellung von Massenankünften illegaler Migranten von slowenischer auf die österreichische Seite wird unvermeidlich einen sehr negativen Effekt in Slowenien haben“, hatte sie schon zur Ankündigung erklärt. Die Übung helfe keinesfalls den Beziehungen der beiden Länder und der gemeinsamen Arbeit in der Flüchtlingspolitik. Und die minimale Zahl der Zurückweisungen von Österreich - 39 im gesamten Jahr 2017 - zeige: Slowenien hat seine Schengen-Außengrenze zu Kroatien im Griff.

    Nun ist es wieder einsam in Spielfelds Geister-Zeltstadt. Doch im Winter wird sich etwas rühren: die Motoren der hier aufgestellten Heizgeräte. Denn wenn es kalt ist, müssen die leeren Zelte beheizt werden, erzählt ein Polizeisprecher: „Weil sonst das Material kaputt gehen würde.“

    http://www.spiegel.de/politik/ausland/oesterreich-grenzzaun-kostet-millionen-nur-fluechtlinge-kommen-nicht-a-12405

    Localisation de Spielfeld (#Autriche) :

    #efficacité #inutilité #asile #migrations #réfugiés #Autriche #frontières #fermeture_des_frontières #Slovénie #frontière_sud-alpine (même si en réalité la Slovénie fait partie des Alpes... à voir comment penser ce territoire) #grillages #grillage #barrières_frontalières

    –--------

    Autour du #prix et du #coût :

    Spielfeld ist ein teurer Spaß für die Steuerzahler. Den Zaun mietete die Landespolizeidirektion zuerst für rund 331.000 Euro - um ihn dann dem Hersteller für 168.000 Euro abzukaufen. Rund 3 Millionen Euro verschlang laut Innenministerium der Aufbau des gesamten „Grenzmanagementsystems“. Laufende Kosten: etwa 1,7 Millionen pro Jahr.

    Petit résumé sur twitter par @twentyone_miles :

    It costs Austria over €3 million per month to police the border with Slovenia. In the first half of 2018, Austrian soldiers picked up 10 refugees at this border

    https://twitter.com/twentyone_miles/status/1069742294478270469

  • Snowden Documents Indicate NSA Has Breached Deutsche Telekom

    http://www.spiegel.de/international/world/snowden-documents-indicate-nsa-has-breached-deutsche-telekom-a-991503.html

    According to top-secret documents from the NSA and the British agency GCHQ, the intelligence agencies are seeking to map the entire Internet, including end-user devices. In pursuing that goal, they have broken into networks belonging to Deutsche Telekom.

    When it comes to choosing code names for their secret operations, American and British agents demonstrate a flare for creativity. Sometimes they borrow from Mother Nature, with monikers such as “Evil Olive” and “Egoistic Giraffe.” Other times, they would seem to take their guidance from Hollywood. A program called Treasure Map even has its own logo, a skull superimposed onto a compass, the eye holes glowing in demonic red, reminiscent of a movie poster for the popular “Pirates of the Caribbean” series, starring Johnny Depp.

    Treasure Map is anything but harmless entertainment. Rather, it is the mandate for a massive raid on the digital world. It aims to map the Internet, and not just the large traffic channels, such as telecommunications cables. It also seeks to identify the devices across which our data flows, so-called routers.

    #nsa #spiegel #snowden #Norvège

  • Chemin de fer Congo-Océan : Spie-Batignolles doit rendre des comptes

    http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/240513/chemin-de-fer-congo-ocean-spie-batignolles-doit-rendre-des-comptes

    L’universitaire Olivier Le Cour Grandmaison et le président du Cran Louis-Georges Tin demandent une commission d’enquête sur la mort de 17 000 « indigènes » soumis au travail forcé dans les années 1920 par la compagnie dont Spie-Batignolles est issue. A l’occasion de la Journée mondiale de l’Afrique, le 25 mai, ils posent plus généralement « la question des crimes coloniaux perpétrés dans le cadre de la colonisation française », qui « méritent réparation ».

    #afrique #colonisation #spie-batignolles #congo

  • Art Spiegelman : »J’en ai marre de moi« - LeMonde.fr
    http://www.lemonde.fr/livres/article/2012/01/26/art-spiegelman-j-en-ai-marre-de-moi_1634930_3260.html#ens_id=1631789

    Au moment de se séparer, Art Spiegelman revient sur le rassemblement pro-turc dont il avait eu l’air de faire si peu de cas. « Fanatique du premier amendement » de la Constitution américaine, garantissant la liberté d’expression, l’auteur de Maus pense qu’il est plus « efficace » de combattre une idée si elle est émise que quand elle est tue. Il croit qu’il faut lutter contre les négationnistes, quels qu’ils soient, « pied à pied ». Mais en leur opposant, plutôt que le silence, la vérité, des faits et des traces. Dont participent, se dit-on, des œuvres d’art comme les siennes.

    #BD #Spiegelman #génocide_arménien #génocide #Maus

  • Google emmagasine trop d’informations personnelles sur les Internautes pour que Spiegel.de lui file les données de navigation de ses lecteurs :

    Does Google Know Too Much?
    http://www.spiegel.de/international/germany/0,1518,587546,00.html
    Google gathers so much detailed information about its users that one critic says some state intelligence bureaus look “like child protection services” in comparison. A few German government bodies have mounted a resistance.
    [...]
    SPIEGEL ONLINE no longer uses Google Analytics. “We want to ensure that data on our users’ browsing patterns don’t leave our site,” says Wolfgang Büchner, one of SPIEGEL ONLINE’s two chief editors.

    Bien. Encore faudrait-il joindre les actions au discours. Si Spiegel.de n’utilise plus Google Analytics, le site utilise FeedBurner, un autre service de Google, qui traque tous les lecteurs des flux RSS, en plus d’offrir des facilités d’ajouter les pages dans les favoris d’un compte Google, ou encore faire un +1 en intégrant directement du JavaScript hébergé sur les serveurs de Google.

    En gros, Spiegel.de file les mêmes informations à Google, mais se prive juste de l’interface utilisateur du service d’analyse d’audience. Tous les inconvénients pour Spiegel.de et ses visiteurs, sans le moindre avantage pour Spiegel.de. Si ce n’est pas formidable...

    #spiegel #google #anonymat #vie_privée

  • #Wikileaks, le blockbuster // #Spielberg lines up WikiLeaks film based on Guardian book | Film | guardian.co.uk
    http://www.guardian.co.uk/film/2011/mar/02/spielberg-assange-wikileaks-guardian

    Steven Spielberg looks set to oversee WikiLeaks: the Movie after securing the screen rights to WikiLeaks: Inside Julian #Assange's War on Secrecy, the book by Guardian journalists David Leigh and Luke Harding. Reportedly conceived as an investigative thriller in the mould of All the President’s Men, the film will be backed by DreamWorks – the studio founded in 1994 by Spielberg, Jeffrey Katzenberg and David Geffen.

    Leigh and Harding’s book charts Julian Assange’s turbulent life and times, from his itinerant childhood through to the creation of the WikiLeaks website in 2006. It also provides the inside story of Assange’s explosive partnership with the Guardian newspaper and the release, last December, of over 250,000 secret diplomatic cables.