• SEZ an der Landsberger Allee gehört jetzt wieder Berlin: Das ist geplant
    https://www.berliner-zeitung.de/news/sez-an-der-landsberger-allee-gehoert-jetzt-wieder-berlin-das-ist-ge

    Na wunderbar, das SEZ ist wieder in Berliner Hand und zugleich auch nicht. Freibad, Wellenbad, Sportplatt und Partylocation wird es nicht wieder geben. Die „Stadt“ hat Angst daran wie die DDR pleite zu gehen und wird nun wohl das Gelände für Immobilienprojekte ausschreiben. Eklig.

    1.12.2023 - Der jahrelange Rechtsstreit um die Nutzung des früheren Sport- und Erholungszentrums (SEZ) in Berlin-Friedrichshain ist nach Angaben von Finanzsenator Stefan Evers (CDU) beendet.

    Das Land könne nun wieder über das vor 20 Jahren verkaufte Grundstück an der Landsberger Allee verfügen und dieses neu entwickeln, teilte Evers am Freitag mit. Laut aktuellem Bebauungsplan sind dort rund 500 Wohnungen und eine neue Schule vorgesehen.
    Das SEZ in Berlin-Friedrichshain musste 2002 schließen

    Das SEZ, 1981 eröffnet, war mit seinen verschiedenen Sport und Freizeitangeboten ein Prestigeobjekt in der ehemaligen DDR. Nach der Wende wurde der Betrieb zu teuer. 2002 musste das SEZ schließen.

    Das Grundstück war 2003 vom Land an einen Investor verkauft worden. Seit 2016 wurde vor Gericht darüber gestritten, ob der damalige Käufer seine vertraglichen Pflichten eingehalten hat. Das Kammergericht hatte 2022 entschieden, dass der Investor das SEZ- Gelände an das Land zurückgeben muss. Seine dagegen gerichtete sogenannte Nichtzulassungsbeschwerde wies der Bundesgerichtshof nach Angaben der Finanzverwaltung nun ab. Damit bleibe das Urteil des Kammergerichts bestehen. Die Details der Rückgabe des Areals und dessen weitere Entwicklung würden zeitnah geklärt.

    „Das SEZ geht zurück an das Land Berlin und kommt damit endlich wieder den Berlinerinnen und Berlinern zu Gute“, erklärte Evers. „Das ist eine großartige Nachricht. Ich danke allen Beteiligten, die sich in diesem viel zu langen Rechtsstreit mit viel Herzblut für die Interessen der Allgemeinheit eingesetzt haben. Jetzt geht es darum, aus dieser Fläche gemeinsam das Beste für Berlin zu machen.“

    #Berlin #Friedrichshain #Landsberger_Allee #Danziger_Straße #SEZ #Sport #Wohnen #Politik #DDR

  • Segelvereinswiki
    https://segelvereinswiki.de


    Tout ce tu dois savoir si tu veux fonder ton club de voile en Allemagne

    Liebe Segelfreundin, lieber Segelfreund,

    beinahe 1300 Segelvereine aus allen 16 Bundesländern sind Mitglied in einem Landes Segler-Verband und damit dem Deutschen Segler-Verband. Neben aller Individualität der einzelnen Clubs, sind sich alle Vereine und ihre Mitglieder in zwei Dingen einig: zunächst einmal in ihrer uneingeschränkten Leidenschaft für das Segeln in all seinen Facetten. Daraus ergibt sich das zweite, stark bindende Element – das ehrenamtliche Engagement, auf allen Ebenen in allen Vereinen. Egal, ob Fahrten- oder Leistungssegeln, Windsurfen oder Kiteboarden, Eis-, Land-, Strand- oder RC-Segeln: Überall bringen Segler sich ein und machen sich stark für ihre große Leidenschaft.

    Wir wissen, dass das oft mit enormem Einsatz verbunden und eine große Herausforderung ist. Deshalb haben wir, alle Landes Segler-Verbände und der Deutsche Segler-Verband, für Sie ein umfassendes Handbuch entwickelt. Mit dieser Informationssammlung möchten wir Ihnen die Gestaltung des Vereinslebens erleichtern. Wir geben Ihnen hier alle notwendigen Informationen für eine gute Vereinsführung an die Hand: von einer Satzungsvorlage über Tipps zu Fördermitteln und Versicherungen bis hin zu Hinweisen für die Ausrichtung einer Regatta. Nutzen Sie das komplette Angebot oder einzelne Elemente daraus. Bitte beachten Sie dabei, dass die Informationen auf diesen Seiten nichts rechtsverbindlich sind.

    Betrachten Sie unser Handbuch als unterstützendes Nachschlagewerk, das Ihnen Anregungen liefern und den Vereinsalltag erleichtern soll. Sie vermissen einige Themen? Dann melden Sie sich unbedingt bei uns. Gemeinsam können wir dieses Handbuch jederzeit erweitern und weiter verbessern. Wenn Sie Fragen und Anregungen haben, freuen wir uns über einen Austausch unter presse@dsv.org.

    #Allemagne #sport #navigation_à_voile #association

  • Point de vue : La montagne pour tou·te·s ? Je n’y crois pas un instant

    L’accès à la montagne et aux sports de montagne est souvent injuste, exclusif, ségrégatif et discriminatoire. #Henriette_Adolf, directrice adjointe de CIPRA Allemagne, plaide pour une participation équitable aux sports de montagne.

    « La montagne, c’est la liberté ». Nos montagnes, les Alpes, l’immense bien commun avec le droit d’accès gratuit pour toutes et tous. Ici, en plein air, nous sommes tou·te·s égaux·ales.

    Nombreux·se·s sont ceux·et celles qui approuveraient cette affirmation. Songez un instant à votre dernière randonnée en montagne ou à votre dernière nuit dans un refuge. Combien de personnes étaient blanches ? Combien d’entre elles étaient valides de corps et d’esprit ? Combien avaient suivi un parcours universitaire ? Combien étaient équipées ou habillés avec des marques courantes de vêtements de plein air ? Et combien ne l’étaient pas ? Ce qui semble être une expérience sans limites de la nature, de l’équité et de l’égalité, est souvent plus qu’insuffisant dans la réalité. L’accès à la montagne et aux sports de montagne est souvent injuste, exclusif, ségrégatif et discriminatoire.

    En effet, les #sports_de_montagne sont chers : une randonnée de deux jours dans les #Alpes bavaroises coûte entre 100 et 200 euros, et même une excursion d’une journée sans halte peut être facturée entre 25 et 100 euros.i Les sports nécessitant un #équipement important, comme l’escalade ou le ski, ne sont pas pris en compte. Des prix plus avantageux pour les couches sociales défavorisées ? Il n’y en a pas. Les sports de montagne sont pratiqués par des personnes qui peuvent se le permettre financièrement - et selon les statistiques, il s’agit principalement de personnes non issues de l’immigration.ii Il existe certes des offres inclusives et intégratives pour les sports de montagneiii - mais elles sont souvent limitées dans le temps ou ne sont disponibles que dans les centres urbains, car elles dépendent de subventions ou d’infrastructures telles que des salles d’escalade. La plupart du temps, l’offre dépend de l’engagement de chacun. Les sports de montagne sont pratiqués par des personnes sans handicap physique ou psychique. Le #milieu_familial est également un facteur important pour la participation au sport : la transmission des connaissances et la motivation pour les sports de montagne et la protection de la nature se font avant tout au sein de la famille. Statistiquement, c’est surtout dans les familles socialement défavorisées que le lien avec les activités de montagne fait défaut. Les sports de montagne sont pratiqués par des personnes issues d’un milieu social privilégié.iv

    La « liberté de la montagne » est entourée de #barrières financières, sociales, liées à l’offre et à la formation. Ainsi, la participation aux sports de montagne reste souvent exclusive et discriminatoire, en particulier pour les groupes socialement défavorisés. Pour une participation vraiment égalitaire aux sports de montagne, il faut davantage de programmes inclusifs, des facilités financières, une éducation familiale et la création de possibilités d’accès dès l’enfance. Ce n’est qu’alors que nos rencontres en montagne seront aussi colorées que dans la vallée.

    i Voyage : en Bavière, entre 12 et 26€ pour un billet de train d’une journée (coût doublé si les jours d’arrivée et de départ sont différents) et jusqu’à 30€ pour le ticket de parking pour la nuit.

    Équipement : chaussures de randonnée, d’occasion à partir de 50€, une veste de pluie à au moins 30€, sac de couchage de refuge à 24€.

    Hébergement, repas compris : 64€ (dortoir avec demi-pension, non membre de l’association, Knorrhütte : www.alpenverein-muenchen-oberland.de/huetten/alpenvereinshuetten/knorrhuette (de)

    ii www.destatis.de/DE/Themen/Gesellschaft-Umwelt/Bevoelkerung/Migration-Integration/Tabellen/migrationshintergrund-nettoeinkommen.html (de)

    Ekamba, Raphael (2022) : « Wenn du ein Schwarzer bist, bleibst du schwarz » Rassismus und Integration auf dem Arbeitsmarkt. Bamberg : Otto-Friedrich-Universität (« Quand on est noir, on reste noir » Racisme et intégration sur le marché du travail. Bamberg : Université Otto-Friedrich). Disponible en ligne sous https://fis.uni-bamberg.de/handle/uniba/54202

    iii www.alpenlebenmenschen.de/ (de)
    www.alpenverein.de/verband/bergsport/sportentwicklung/inklusion-integration/angebote-fuer-menschen-mit-behinderung-im-dav (de)

    iv Schmiade, N. & Mutz, M. (2012). Sportliche Eltern, sportliche Kinder – Die Sportbeteiligung von Vorschulkindern im Kontext sozialer Ungleichheit. Sportwissenschaft (Parents sportifs, enfants sportifs - La participation sportive des enfants d’âge préscolaire dans le contexte de l’inégalité sociale. Science du sport), 42, 115- 125. DOI : 10.1007/s12662-012-0239-7. Disponible en ligne sur https://link.springer.com/article/10.1007/s12662-012-0239-7 (de)

    https://www.cipra.org/fr/nouveautes/la-montagne-pour-tou-te-s-je-n2019y-crois-pas-un-instant

    #accès_à_la_montagne #discriminations #ségrégation #sport #montagne #Alpes #injustice #prix #coût

  • Comment les arbres ont conquis les villes

    Nécessaires pour embellir et rafraîchir les villes, les arbres n’ont pas toujours été intégrés à l’urbanisme, explique l’historienne #Andrée_Corvol. Les révolutions sociales ont permis leur essor.

    Depuis son appartement en banlieue parisienne, l’auteur de cet article contemple tous les jours un univers essentiellement minéral, composé de grandes tours d’habitation et de quelques bâtiments publics. Parmi ces blocs de béton se distinguent quelques arbres, essentiellement des marronniers, qui apportent une touche de vert bienvenue dans ce monde gris et marron et, l’été, une fraîcheur indispensable dans cet îlot de chaleur urbaine. Aussi rares et chétifs soient-ils, ces arbres parviennent à rendre supportable la vie dans un quartier densément peuplé, d’où toute nature a disparu depuis l’industrialisation de la ville au XIXe siècle.

    Ces marronniers s’inscrivent dans une longue lignée d’#arbres_urbains, retracée par l’historienne Andrée Corvol, spécialiste du végétal, dans L’Arbre dans la cité (éd. Le Pommier). Depuis son apparition systématique dans les villes françaises à l’orée du XVIIe siècle, l’arbre a toujours tenu le même rôle : rendre humainement vivables des villes de plus en plus denses, à mesure que les campagnes et les espaces naturels s’en éloignaient.

    Si la prose touffue d’Andrée Corvol tend, telle la sylve, à s’égarer en branches et rameaux, on peut néanmoins résumer à grands traits cette intégration du végétal au panel des outils d’aménagement à destination des autorités locales en France. Car c’est bien d’un outil qu’il s’agit, et ce, dès l’époque moderne.

    Alors que la ville française médiévale comportait peu d’arbres — sinon quelques-uns sur le parvis de l’église et d’autres sur les remparts, pour gêner les tirs adverses en cas de siège —, les autorités municipales des XVIIe et XVIIIe siècles confrontées à l’essor démographique de leurs villes respectives décidèrent de les doter de nouveaux quartiers végétalisés.

    Outre le sentiment de #fraîcheur que procuraient ces arbres — ormes, noyers et tilleuls pour la plupart —, les #plantations_urbaines offraient aux citadins un espace de #loisirs, des #promenades en famille jusqu’au #sport, en particulier le jeu de paume pratiqué à l’#ombre des cours et des mails, à l’instar de ceux structurant le centre-ville d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
    Embellir... et maîtriser l’étalement urbain

    À l’ère de l’#industrialisation et de l’#exode_rural vers la ville, les métropoles du XIXe siècle reprirent ces principes en les systématisant. Pour verdir les nouveaux boulevards qu’il perçait au beau milieu de la capitale, Georges-Eugène Haussmann, préfet de Paris sous Napoléon III, réorganisa le service des Promenades — ancêtre des Jardins — pour favoriser des plantations homogènes, après des décennies d’essais erratiques et désordonnés, peuplant ainsi la métropole de platanes et #marronniers. Comme souvent, les capitales régionales imitèrent l’exemple parisien et se dotèrent à leur tour d’avenues et cours végétalisés.

    Mais le tournant eut cependant lieu entre 1919 et 1924, avec l’adoption des #lois dites « #Cornudet ». À la différence des initiatives municipales antérieures, ces textes législatifs, les premiers en matière d’urbanisme en France, proposaient un encadrement national à travers un #Plan_d’aménagement_d’embellissement_et_d’extension (#PAEE) obligatoire pour les villes de plus de 10 000 habitants.

    Comme le résume Andrée Corvol, ces lois répondaient à la contradiction engendrée par la croissance urbaine : « Laisser les cités se densifier, c’était condamner leur #verdure intramuros. Laisser les cités s’étaler, c’était la réduire extramuros. » En somme, le PAEE envisageait la maîtrise d’un étalement urbain anarchique à travers une #végétalisation programmée des nouveaux quartiers et non ajoutée après coup de manière à les embellir.

    Au demeurant, le PAEE n’empêcha pas la construction à la va-vite, tout au long des Trente Glorieuses, d’ensembles minéraux destinés à reloger en urgence les déplacés de la Seconde Guerre mondiale. Le végétal servait alors à procurer bien-être et bien-vivre à des citadins toujours plus nombreux, en leur camouflant les désagréments des villes industrielles. Ainsi, à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), le parc des Chanteraines et ses 82 hectares dissimulent aux promeneurs les usines de béton qu’on verrait autrement depuis les immeubles d’habitation.

    L’arbre source de #conflits

    Toutefois, l’adoption des arbres en ville ne se fit pas sans heurts. Au contraire, la plantation, l’emplacement ou le type d’essence nourrirent durant quatre siècles un ensemble de contestations qui se déployèrent autour des arbres, pris comme emblèmes ou point de départ d’un conflit.

    Andrée Corvol parvient de la sorte à brosser une surprenante histoire de la #Révolution_française à travers ses arbres fétiches : aux « #arbres_de_mai » plantés spontanément en 1789 par des villageois enthousiastes succédèrent l’année suivante les arbres de la Fédération, impulsés par le marquis de La Fayette et les partisans de la monarchie constitutionnelle, puis, en 1792, les arbres de la liberté, destinés à enraciner, de manière physique et symbolique, la nouvelle République.

    Au cours de la période révolutionnaire, les arbres subirent tout autant que les humains les brusques changements de pouvoir. Ainsi, les peupliers plantés par les jacobins, qui rapprochaient naïvement populus et « petit peuple », furent souvent pris pour cible par les opposants à la Terreur, qui manifestaient au travers d’écorces mutilées ou brisées leur dissidence. Face à pareil conflit, le Directoire, le Consulat puis le Premier Empire tentèrent de finir la Révolution en aménageant des promenades urbaines pour calmer les esprits en offrant de nouveaux espaces de détente.

    Ces conflits politiques se doublaient en outre de conflits de classe. Dans le Paris haussmannien, les quartiers cossus réservaient « leurs » arbres aux nourrices et en chassaient les vagabonds, tandis que les quartiers ouvriers les gardaient pour leurs familles, au détriment des jeunes. En somme, « l’arbre était au centre de revendications territoriales. Il en supportait les conséquences sociétales, tout comme l’arbre de la liberté, les conséquences politiques ».

    Les investisseurs ont droit de vie ou de mort

    À ces combats s’ajoute une question cruciale : qui paye les plantations ? Les différents régimes issus de la Révolution, optimistes, crurent fidéliser les citoyens à leur cause en leur faisant financer eux-mêmes les nouvelles plantations urbaines. Peine perdue : versatile, seule une fraction de citoyens payait — et encore lorsque les fonctionnaires les y pressaient. Le volontarisme citoyen ne fonctionne qu’en de rares occasions et sur des points bien précis. En décembre 1999, une souscription populaire à la suite des tempêtes Lothar et Martin permit certes de financer la replantation des jardins du château de Versailles, mais les 2 millions d’arbres brisés en Seine-et-Marne ne connurent pas autant de succès.

    Au XIXe et XXe siècles, ce furent donc surtout les municipalités qui payèrent les plantations et leur entretien. Mais, hormis Paris et quelques grandes villes, beaucoup d’entre elles, par manque de fonds, privilégièrent des essences communes et connues de tous — le chêne, le marronnier, le platane, etc. — au détriment d’une réelle biodiversité végétale.

    En tant qu’investisseurs, les édiles se réservaient aussi le droit d’abattre les arbres lorsqu’ils les jugeaient vétustes ou faisant obstacle à de nouveaux projets d’aménagement, quitte à s’aliéner une partie de leurs administrés, témoin la bataille qui opposa plusieurs semaines en 2018 les habitants de la Plaine à la municipalité marseillaise.

    Ce dernier exemple illustre le peu de poids des arbres en ville. À peine mieux traités que du mobilier urbain par les services d’aménagement, ils furent forcés de s’acclimater, en dépit de leur métabolisme lent, au rythme de la ville moderne : tramway, métro, grands boulevards, éclairage nocturne, etc. Et, lorsqu’ils dérangeaient, on les abattait froidement.

    On mesure l’ampleur du désastre aux quelques chiffres que consigne l’historienne : si, en 1895, le réseau routier national français comptait 3 millions d’arbres, soit 49 % des routes plantées, un siècle plus tard il n’en dénombrait plus que 250 000, soit 12 % des routes. En cause : le caractère accidentogène des arbres en bord de route… Quelques défenseurs des arbres émergèrent bel et bien dès le milieu du XIXe siècle, mais se consacrèrent pour l’essentiel aux massifs forestiers ou aux trognes des campagnes en voie de disparition, rarement aux plantations urbaines, trop évanescentes.

    L’ouvrage achevé, une question se pose, à laquelle Corvol ne répond pas : qu’est-ce qu’une ville végétale digne de ce nom ? Si, comme le montre l’historienne, l’arbre a certes gagné sa place en ville, il s’agit d’une place strictement utilitaire, où la folie créatrice du sauvage n’a pas lieu d’être.

    https://reporterre.net/Comment-les-arbres-ont-conquis-les-villes

    #arbres #villes #urbanisme #urban_matter #végétation

    • L’arbre dans la cité : histoire d’une conquête (XVIIe-XXIe siècle)

      Autrefois, l’arbre en ville était cantonné aux enclos vivriers, il n’ombrageait pas nos routes ni nos fleuves et nos canaux. Vivant plutôt à la campagne, il procurait bois, fruits, fibres et feuilles. Aujourd’hui, le végétal entre en force dans nos cités par trop minérales ; il améliore nos conditions de vie, protège le sol, régule la température, purifie l’air et atténue les bruits.
      Comment l’arbre a-t-il conquis le pavé ? Cette histoire, moins utilitaire et monolithique qu’il n’y paraît, croise en fait celle de la modernité, et mérite d’être racontée. Car, bien avant la révolution industrielle et son introduction dans la cité pour assainir l’air, l’arbre s’y est fait une place dès la Révolution, comme symbole de la liberté.
      Récupéré dans le champ politique, il a depuis servi à commémorer un événement, à symboliser l’autorité, à améliorer l’aménagement urbain ou encore à satisfaire le besoin de nature des administrés. Ce faisant, il a suscité à la fois colères et affections. Une histoire qui est ainsi celle des hommes, de leurs revendications et de leurs aspirations. Mort ou vif, l’arbre fait partie du roman national.

      https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782746527393-l-arbre-dans-la-cite-histoire-d-une-conquete-xviie-x
      #livre

  • Carte des saccages des JOP 2024 - La Grappe
    https://lagrappe.info/?Carte-des-saccages-des-JOP-2024-462

    Pourquoi cette carte ?

    Les Jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) sont très complexes : ils transforment des quartiers, des villes, parfois des régions. Leurs impacts sociaux et écologiques sont multiples et souvent liés à d’autres grands projets d’aménagement. Cette carte a donc été créée parce que beaucoup de gens nous disent qu’iels ont du mal à se représenter les conséquences des JOP. On pense qu’elle est nécessaire, parce que les cartes et visuels produits par celleux qui organisent les JOP 2024 et réalisent leurs aménagements ne permettent pas de bien comprendre ce qui est construit, où, quelles activités y auront lieu, qui n’y sera pas bienvenu·e. Ces images cachent aussi tout ce qui vient avec les JOP : gentrification, surveillance, gâchis d’argent public, mauvaises conditions de travail sur les chantiers, expulsions des plus pauvres, urbanisation d’espaces naturels, emplois précaires, etc. On voudrait donc que cette carte soit un outil militant, une contre-carte qui donne la parole aux collectifs, aux personnes, aux lieux concernés, et propose un récit alternatif à celui de l’État, des collectivités, des sponsors et des entreprises de construction.

    #jeux_olympiques #grands_projets #GPII #cartographie #cartographie_radicale #urbanisme

    cc @reka @cdb_77

  • #rallyes à railler et à rayer
    http://carfree.fr/index.php/2023/10/16/rallyes-a-railler-et-a-rayer

    Alors que la région Auvergne-Rhône-Alpes ne peut (veut) pas soutenir le train, elle figure en pole position des partenaires de l’organisation d’une gabegie, le Rallye automobile du Montbrisonnais 2023 qui Lire la suite...

    #Destruction_de_la_planète #Fin_de_l'automobile #Réchauffement_climatique #climat #course #critique #pollution #rhône-alpes #saint-etienne #sport_automobile #Suisse

  • BALLAST • La boxe, ce sport de prolétaires
    https://www.revue-ballast.fr/la-boxe-ce-sport-de-proletaires

    Dans l’i­ma­gi­naire col­lec­tif, la boxe a long­temps été asso­ciée à des images de salles sombres où résonnent le bruit des coups sur les sacs, tan­dis que des corps trans­pirent à la lumière des néons. Aujourd’hui, les salles de sport pro­posent sa pra­tique sous des moda­li­tés variées à un public issu des classes moyenne ou aisée, qui veut se main­te­nir en forme, ou dans le cadre de cours d’au­to­dé­fense. Malgré tout, la boxe reste une acti­vi­té spor­tive bien ancrée dans les classes popu­laires. Par l’en­ga­ge­ment qu’elle demande et la dure­té de la pra­tique, elle fait écho à des condi­tions de vie dif­fi­cile, qu’elle aide à affron­ter. Face à sa récu­pé­ra­tion mar­chande et à la ten­ta­tive de la vider de son carac­tère sub­ver­sif, le jour­na­liste Selim Derkaoui défend pour sa part un sport « au ser­vice des com­bats que l’on mène à plu­sieurs ». Dans Rendre les coups — Boxe et lutte des classes, qui paraît ces jours-ci au Passager clan­des­tin, il rend hom­mage à la boxe popu­laire, celle que pra­ti­quait son père et qu’il est allé ren­con­trer à Aubervilliers, Pantin ou dans la ban­lieue de Caen. Nous en publions un extrait.

    #sport #boxe

  • Coupe du monde de rugby : Le prix d’une passe n’est pas celui que tu crois !

    A l’occasion de la coupe du monde de rugby, nos délégations de Haute-Garonne et de Loire-Atlantique ont remis au goût du jour la campagne « le prix d’une passe n’est pas celui que tu crois ».

    Coupe du monde de rugby, Jeux Olympiques 2024… La France accueille d’importantes manifestations sportives présentées comme des occasions de fêtes et de convivialité. Or, personne n’ignore les ravages de la fameuse « 3e mi-temps », où des supporters échauffés se croient en droit de célébrer la victoire, ou d’oublier la défaite, en exploitant sexuellement des femmes. Ce dégât collatéral, de plus en plus de villes d’accueil n’en veulent plus.

    A Nantes et à Toulouse par exemple, les affiches, tracts et cartes postales créés lors de l’Euro de foot de 2016 avec la Mairie de Paris, Le prix d’une passe n’est pas celui que tu crois, ont été remis au goût du jour pour la Coupe du monde de rugby accueillie en septembre et octobre 2023.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/10/06/coupe-du-monde-de-rugby-le-prix-dune-passe-nes

    #prostitution #sport

  • Un collectif demande l’exclusion des athlètes iraniens dans cinq disciplines olympiques auxquelles les Iraniennes ne sont pas autorisées à participer, selon la République islamique d’Iran

    « La République islamique d’Iran, en plus de nombreuses restrictions faites aux femmes, interdit la participation de toute femme aux compétitions internationales de gymnastique, natation, lutte et volley-plage », ainsi qu’à « toutes les compétitions en boxe », ont dénoncé mercredi 13 septembre, lors d’une conférence de presse, l’ancien champion de boxe Mahyar Monshipour et l’avocat au Conseil d’État Frédéric Thiriez.

    Selon eux, le Comité national olympique de la République islamique d’Iran « devrait être sanctionné en voyant sa participation empêchée dans les cinq disciplines sportives précitées. » Pour Mahyar Monshipour, « si les Iraniennes sont exclues de certaines disciplines olympiques, alors les Iraniens aussi ».

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/10/04/un-collectif-demande-lexclusion-des-athletes-i

    #international #féminisme #sport #iran

  • Un pays qui aime le sport | Aude Vidal
    https://blog.ecologie-politique.eu/post/Un-pays-qui-aime-le-sport

    Celles et ceux que fatigue l’overdose actuelle de sport ne sont pas au bout de leurs peines. La France macroniste est un pays profondément divisé politiquement et dans lequel les entrepreneurs en politique n’ont de cesse de nier à leurs adversaires la simple existence ou d’appuyer à leur profit sur tout ce qui clive. Cette France-là a bien besoin de sport, cet objet qui réconcilie à moindre coût, et Emmanuel Macron s’en empare avec enthousiasme. Source : Écologie politique

  • L’Ultra-trail du Mont-Blanc asphyxie la vallée de Chamonix
    https://reporterre.net/L-Ultra-trail-du-Mont-Blanc-asphyxie-la-vallee-de-Chamonix

    Le rendez-vous mondial du trail, l’UTMB Mont-Blanc, se tient à Chamonix. Dans la vallée, déjà asphyxiée par le tourisme de masse, on s’élève contre cette « course au pognon ». Certains coureurs s’indignent eux aussi.

    Des tonnelles se dressent en centre-ville, des banderoles à l’effigie de marques de sport flottent dans la vallée et des maillots floqués « UTMB » habillent de nombreux badauds. Chamonix accueille la vingtième édition de l’Ultra-trail du Mont-Blanc jusqu’au 3 septembre [1]. Un évènement titanesque qui rassemble plus de 100 000 personnes dont environ 10 000 coureurs et 20 000 accompagnants.

    L’évènement débute lundi 28 août avec huit courses étalées sur la semaine mais l’épreuve reine, l’UTMB 100M, s’élancera le 1er septembre depuis Chamonix. 171 kilomètres, 10 000 mètres de dénivelé positifs, un tour du Mont-Blanc avec trois pays traversés et des points de vue à couper le souffle. Les quelque 2 300 coureurs tirés au sort ou sélectionnés pour cette course réalisent un rêve. « C’est le trail le plus important du monde et le plus médiatisé. C’est là qu’il faut être performant », dit Andy Symonds, un coureur anglais qui est arrivé onzième de l’UTMB l’an passé. « C’est une course emblématique », confirme le coureur français Xavier Thévenard qui a remporté trois fois l’UTMB, « les glaciers, la diversité des paysages, le Mont-Blanc, tout est incroyable ».

    « Nous ne sommes pas des partisans de la décroissance »

    Cette renommée vaut à l’UTMB le statut de finale mondiale du trail avec 118 nationalités représentées. Des coureurs et des spectateurs du monde entier se bousculent pour venir dans la vallée de Chamonix durant l’évènement impliquant de nombreux déplacements. En 2019, l’organisation de la course avait mandaté WWF pour réaliser un bilan carbone de la semaine. En prenant en compte uniquement les coureurs et leurs accompagnants, WWF a estimé que l’empreinte carbone s’élevait à 11 610 tonnes équivalent CO2 pour l’édition 2019. Un chiffre catastrophique, principalement dû aux déplacements en avion et qui équivalent au bilan d’un Grand Prix de Formule 1.

  • Faux abonnés, faux commentaires ou faux « j’aime » : comment tricher sur Instagram ? François Ruchti, Camille Lanci, Valentin Tombez - RTS - Mise au point
    Le business des influenceurs et influenceuses

    Acheter des abonnés ou des « j’aime » pour paraître plus populaire sur les réseaux sociaux : des sites internet proposent ce type de services pour une poignée de francs suisses. Parmi la clientèle, des personnes actives dans le monde de l’influence, de la politique ou du sport, comme le révèle une enquête de Mise au Point.

    En quelques clics, l’équipe de Mise au Point est virtuellement devenue, avec son profil « Emmalicieuse », l’un des comptes Instagram les plus prometteurs de Suisse romande. Pourtant, sur le profil de cette dernière, rien n’est vrai. Tout est acheté sur des sites internet qui proposent des centaines d’abonnés et des « j’aime » pour quelques euros.

    Pour paraître plus populaire et gonfler son audience, Emmalicieuse a ainsi pu compter sur l’achat de plus de 13’000 abonnés, de milliers de « j’aime » et de milliers de vues pour ses vidéos. Avec un budget total de 300 francs suisses , il a également été possible de lui payer des dizaines de commentaires comme « trop belle la photo » ou encore « j’adore ton look ». Son profil a depuis été effacé.

    Durant l’expérience qui a duré quelques semaines, le compte Emmalicieuse n’a jamais été bloqué par Instagram. Le réseau social prétend pourtant lutter activement contre les abonnés achetés et autres techniques pour gonfler sa notoriété.

    https://scontent-cdg4-3.cdninstagram.com/v/t51.2885-19/331936339_966551758087518_1492022311809588947_n.jpg
    Capture d’écran du profil d’Emmalicieuse [Instagram]

    Sous-traitants basés en Asie
    Parmi les fournisseurs d’abonnés achetés, Marc (Nom connu de la rédaction) , le patron d’une entreprise française spécialisée dans le domaine, a accepté de répondre aux questions de Mise au Point sous couvert d’anonymat.

    "Il y a différents types de qualité d’abonnés, avec plus ou moins de photos et d’éléments pour les rendre plus authentiques. Une fois qu’un client nous fait une commande, nous utilisons des stocks de profils pour générer des « j’aime » ou des commentaires. Généralement, ce ne sont pas de vraies personnes qui cliquent, tout est fabriqué par des réseaux d’ordinateurs et des sous-traitants basés en Asie. Il y a également la possibilité d’obtenir des vrais profils, des vrais abonnés. Ceci est possible grâce à des concours où il est obligatoire de s’abonner à nos clients. Ce service coûte plus cher", révèle-t-il.

    Ces gens veulent crédibiliser leur présence sur les réseaux. Avoir 100 ou 50’000 abonnés, cela fait la différence
    Marc*, le patron d’une entreprise française spécialisée dans le domaine

    Le jeune homme ne souhaite pas donner le nom de ses clients. « Parmi eux, il y a des gens qui souhaitent briller sur les réseaux, qui souhaitent impressionner leurs amis. Ce sont des ’Monsieur et Madame tout le monde’ », explique-t-il au micro de l’émission de la RTS. Avant d’ajouter qu’il y a aussi des politiciens, des influenceurs et de grosses entreprises qui font appel aux services de son entreprise. « Ces gens veulent crédibiliser leur présence sur les réseaux. Avoir 100 ou 50’000 abonnés, cela fait la différence », souligne-t-il.

    Son entreprise est également sollicitée pour se servir de l’algorithme de YouTube. Ces plateformes mettent en avant, comme il l’explique, les vidéos qui ont du succès. Et le succès amène le succès : « Notre service permet de créer de la visibilité. J’ai un client qui achète des dizaines de milliers de vues dès qu’il publie une vidéo. À chaque fois, cela lui permet de mettre en avant sa vidéo. Des vraies personnes finissent par aller voir sa vidéo. Et il fait ainsi facilement un million de vues », poursuit-il.

    Avec Emmalicieuse, la fausse influenceuse de Mise au Point, les abonnés ont été achetés via le site de Marc, mais également sur le site de ses concurrents. Ceci a permis d’identifier précisément un échantillon de 200 profils payants sur Instagram. L’équipe data de la RTS a analysé ces 200 comptes. Ces profils payants sont abonnés à Emmalicieuse, mais également à toute une série de gens bien réels.

    Des sportifs, artistes et politiciens _
    nicocapone.comedy [Instagram]De petites célébrités locales, des entrepreneurs, mais aussi quelques sportifs et artistes ont les mêmes abonnés qu’Emmalicieuse. Sur les 200 profils payants analysés, une cinquantaine suit par exemple le joueur de football Olivier Boumal. On trouve également une politicienne turque, Elvan Işık Gezmiş, membre du Parlement.

    En Suisse, c’est chez des influenceurs vaudois, nicocapone.comedy, qu’on retrouve une partie de notre échantillon de profils payants. Le couple vaudois, connu sur internet, fait régulièrement des apparitions à la télévision. Il affiche officiellement plus de 10 millions d’abonnés sur Instagram.

    Contactées, aucune de ces personnes n’a répondu à nos questions. Attention toutefois : les profils payants analysés se sont peut-être abonnés exceptionnellement gratuitement à ces différentes personnes.

    Sortir du lot *
    Mais pourquoi cette course aux « j’aime », aux abonnés ou aux commentaires ? Certains influenceurs interrogés ont avoué sous couvert d’anonymat utiliser ces artifices afin de sortir du lot et devenir attractifs pour les marques. En Suisse, une personne influenceuse peut déjà gagner plusieurs milliers de francs par mois avec 20 à 30’000 abonnés.

    Avec l’avènement des réseaux sociaux, des agences d’influence ont vu le jour. Ces agences mettent en relation les marques avec des influenceurs. Ils utilisent des outils afin de vérifier l’authenticité des influenceurs, mais la supercherie est parfois très dure à détecter. Hors caméra, des agences d’influenceurs avouent à demi-mot connaître l’ampleur du faux. Cette supercherie ne semble toutefois pas leur poser des problèmes.

    « Si 50% des abonnés d’un instagrammer sont achetés, ce n’est pas si grave. Certains ont plus d’un million de followers... Alors 50% de faux, ça reste 500’000 personnes qui peuvent être touchées, impactées par cette personne. Ca reste très intéressant de faire de la publicité avec ces influenceurs », indique l’une d’entre elles.

    Dans ce monde du faux, entre la course à la notoriété, aux partenariats, aux « j’aime » et aux commentaires, il est difficile de savoir qui joue le jeu sans tricher. Les consommatrices et consommateurs lambda sont donc laissés à eux-mêmes dans la jungle d’Instagram.

    #influenceurs #influenceuses #publicité #sport #politique #notoriété #réseaux_sociaux #blogs #notoriété #profils #abonnements #partenariats #fraude #internet #algorithmes #supercherie

    Source : https://www.rts.ch/info/suisse/14241142-faux-abonnes-faux-commentaires-ou-faux-jaime-comment-tricher-sur-instag

  • Le décès d’un alpiniste entouré de 50 personnes suscite l’indignation : "Ce qu’il s’est passé là-bas est scandaleux" La Rédaction - La Libre

    Mohammad Hassan, un alpiniste pakistanais de 27 ans, a entamé l’ascension du K2, la deuxième plus haute montagne du monde. Mais il a vu son aventure prendre fin à 400 mètres du sommet, abandonné par ses confrères et suscitant l’indignation dans le monde de l’alpinisme.

    Mohammad Hassan a gravement chuté à la suite d’une avalanche le 27 juillet dernier, alors qu’il escaladait le K2. Les lourdes blessures dont souffrait l’alpiniste ont finalement causé sa mort. Mais ce dernier n’est pas décédé sur le coup. Mohammad Hassan s’est retrouvé suspendu par les pieds, la tête en bas, par une corde.

    Mohammad Hassan n’aura pas pu compter sur l’aide de ses coéquipiers, qui ont contourné Mohammad pour continuer leur périple. Des images de drone enregistrées par le caméraman Philip Flämig montrent qu’une cinquantaine d’alpinistes sont passés à côté de lui sans lui porter secours. Ces alpinistes ont même tendu une nouvelle corde pour poursuivre leur épopée.


    Situé dans le massif du Karakoram, le K2 est le deuxième plus haut sommet du monde avec une altitude de 8611 mètres.

    Après de longues minutes d’agonie, seul un travailleur humanitaire est finalement venu en aide à Mohammad et a tenté de le maintenir conscient au moyen d’un massage. Aucune opération de sauvetage n’a été organisée pour sauver le jeune homme, qui a succombé à ses blessures.

    Philip Flämig médusé a partagé ses impressions sur cette scène épouvantable. Pour lui, les autres alpinistes, animés par le défi, ont mal évalué leurs priorités : “C’était une ascension très animée et compétitive vers le sommet”. Ce sentiment d’incompréhension est partagé par Wilhelm Steindl, qui a participé à l’expédition mais a rebroussé chemin suite aux conditions dangereuses. "Ce qu’il s’est passé là-bas est scandaleux. Une personne vivante est laissée sur place pour que l’on puisse encore monter. Il n’aurait fallu que trois ou quatre personnes pour le sauver. Si j’avais vu ça, je serais monté pour aider ce pauvre homme", a-t-il déclaré au Telegraaf.

    #K2Trajedy 
Top female climber Tamara Lungar exploded on the human tragedy on K2 & behaviour of follow climbers there. 
Read her exact words of a true alpinist, who lost a close mate in K2 Winter 2021 

“ I have now really needed a few days to sort out my thoughts because I am pic.twitter.com/x3L97FLPvw
    -- The Northerner (@northerner_the) August 10, 2023 _

    #Montagne #Alpinisme #Sport #performances #ascension #accident #racisme

    Source : https://www.lalibre.be/international/asie/2023/08/11/un-alpiniste-meurt-apres-une-chute-sans-pouvoir-compter-sur-laide-des-50-aut

    • * Menacée sur la toile, l’alpiniste la plus rapide du monde se défend après la mort d’un sherpa : « Nous avons fait de notre mieux » Afp - La Libre

      Kristin Harila, co-détentrice du record du monde des 14 sommets de plus de 8.000 mètres gravis le plus rapidement, s’est défendue à la suite de critiques l’accusant d’avoir enjambé un sherpa mourant pour achever son ascension du K2 au Pakistan.

      Avec son guide népalais Tenjin Sherpa, la Norvégienne a escaladé ces 14 sommets en trois mois et un jour (92 jours), arrachant le 27 juillet le record du monde détenu jusqu’alors par le Népalo-britannique Nirmal Purja.


      Mais cet exploit vient d’être terni par une controverse. Des images de drones partagées par d’autres alpinistes la montrent avec son équipe passer au-dessus du corps visiblement blessé de Mohammad Hassan, un sherpa d’une autre équipe qui est décédé peu après, tandis qu’elle poursuivait son ascension du deuxième sommet le plus haut du monde pour décrocher le record.

      Ils se trouvaient à ce moment-là sur le Bottleneck du K2, un couloir étroit et hautement dangereux surplombé par des séracs d’un champ de glace à seulement 400 m au-dessous du sommet.

      Selon le secrétaire du club d’alpinistes, Karar Haidari, quelque 100 grimpeurs ont atteint le sommet du K2 ce jour-là.

      Les autorités pakistanaises du tourisme au Gilgit Baltistan, qui délivrent les autorisations d’ascension, ont annoncé vendredi avoir ouvert une enquête relative à ce décès.

      « Personne ne se souviendra de ton succès sportif, seulement de ton inhumanité », a écrit un internaute sur Instagram.

      « Le sang des sherpas est sur tes mains », a ajouté un autre.

      Kristin Harila a aussi essuyé des critiques pour avoir célébré son ascension une fois revenue au camp de base, à flanc de montagne.

      Tard jeudi, l’athlète de 37 ans a affirmé sur Instagram « avoir tout fait pour lui (Mohammad Hassan) », dénonçant les « menaces de mort » dont elle a fait l’objet depuis l’accident.

      Elle a assuré qu’elle avait, en compagnie de son caméraman Gabriel, ainsi que deux autres personnes dont « l’ami de Hassan », passé « une heure et demie » à essayer de le remonter après sa chute. Il n’est pas indiqué où se trouvait l’équipe du sherpa, mais de nombreux alpinistes se trouvaient « derrière eux », a relaté la Norvégienne.

      L’alpiniste a ensuite poursuivi sa route, après une alerte à l’avalanche transmise par son équipe.

      Gabriel est lui resté aux côtés de Hassan, a-t-elle assuré, partageant avec lui son oxygène et son eau chaude.

      Au bout d’une heure supplémentaire, le caméraman a décidé de partir, car il avait besoin « de plus d’oxygène pour sa propre sécurité ».

      A leur descente, ils ont constaté que Mohammad Hassan, 27 ans, était décédé.

      Mais son équipe, composée de quatre personnes, « n’était pas en mesure de descendre son corps » en toute sécurité, car il aurait fallu au moins six personnes pour le faire, s’est défendue la Norvégienne qui a relevé que le sherpa n’était pas correctement équipé.

      Sa mort est « vraiment tragique (...) et j’ai beaucoup de peine pour la famille », a-t-elle encore dit, mais « nous avons fait de notre mieux, en particulier Gabriel ».

      De nombreux utilisateurs ont pris la défense de Harila, relevant les dangers encourus lors d’une telle ascension. D’autres se sont demandés pourquoi le sherpa n’avait pas été correctement équipé, une internaute dénonçant l’inégalité de traitements entre les alpinistes occidentaux et les sherpas : « La vie des locaux est bon marché ».

      #Sherpa #Femme #Sportive #Pakistan #athlète #drones #record

      Source : https://www.lalibre.be/international/asie/2023/08/11/menacee-sur-la-toile-lalpiniste-la-plus-rapide-du-monde-se-defend-apres-la-m

  • Pourquoi il faut suivre le Clapton Community Football Club – Dialectik Football
    https://dialectik-football.info/pourquoi-il-faut-suivre-le-clapton-community-football-club

    Au pays de la surpuissante Premier League, il reste des supporters qui résistent à la fuite en avant capitaliste du football anglais. Depuis 2018, le Clapton Comunity Football Club petit club amateur de l’East London appartenant à 100% aux supporters continue de grandir à mille lieues des délires du foot business.

    La saison passée l’équipe masculine a survolé sa poule, gagnant le droit d’évoluer en “Eastern Counties League Division One South”, nom à rallonge d’un championnat local situé au 10e échelon du football anglais. Loin, bien loin des joutes lucratives des ligues professionnelles. Mais pour rien au monde, les membres du Clapton CFC n’échangeraient leur place. Au contraire, c’est avec fierté que le club défend ce modèle qui les différencie tant du football dominant.

    Pour le dire simplement, à l’heure à la bourgeoisie du football martèle hypocritement qu’il doit “rester apolitique”, le Clapton CFC est un club qui assume d’être du côté des opprimés. Lorsqu’il s’agit d’organiser des tournois ou des événements en solidarité avec des grévistes ou encore d’appuyer la campagne “BDS” en soutien au peuple palestinien dans sa lutte contre l’apartheid israélien. « Nous sommes fiers d’agir, de donner un coup de pied à Puma et un carton rouge à Israël. »

    #football #coupe_du_monde #autogestion #sport #foot

  • Des praticiens japonais testeront en 2024 un médicament qui fait (re)pousser les dents.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4489

    La délicatesse de cette démarche scientifique est la tentative expérimentale de présomption qui a vérifié la thèse présumée. Pour confirmer que l’activité de neutralisation de USAG-1 affecte la signalisation BMP pour générer une dent entière dans un modèle non rongeur, nous avons administré de manière systémique l’anticorps n° 37 à des furets postnatals qui avaient à la fois des dents de lait et des dents permanentes. Ce qui a débouché la formation de dents surnuméraires dans l’incisive maxillaire comme la troisième dentition. Sports / Santé

    / Sciences & Savoir, médecine, sciences, technologie, ADN, vaccin, médicaments, (...)

    #Sports_/_Santé #Sciences_&_Savoir #médecine,_sciences,_technologie,_ADN,_vaccin,_médicaments,_découvertes

  • Le Sport Autrement Sainté, achat d’un local dédié au sport populaire, (...) - Le Numéro Zéro
    https://lenumerozero.info/Le-Sport-Autrement-Sainte-achat-d-un-local-dedie-au-sport-populaire-a

    Depuis 8 ans, Sport Autrement propose à Saint Etienne des activités sportives (boxe thaï, boxe anglaise, aérokick, renforcement musculaire, fitness, yoga…) dans le but de rendre le sport accessible et de véhiculer des valeurs de solidarité, d’émancipation, de cohésion sociale et d’estime de soi.

    Dans une approche différente du sport, nos encadrants bénévoles mettent l’accent sur le respect de l’autre, la mixité, l’entraide et le partage de savoirs entre débutant.es et expérimentés.

    Nous avons décidé de franchir un nouveau cap dans notre projet en ouvrant un nouveau local dont nous serons propriétaires.

    Acheter notre local, c’est accéder à l’autonomie et sortir notre salle de sport de la pression du marché immobilier qui fragilise les lieux sportifs et culturels et menace leur indépendance.

    Avec vos dons, vous participez à la pérennisation d’un espace dédié au sport populaire, indépendant et solidaire.

    Loin des standards du sport business, cette nouvelle salle de sport sera chaleureuse et familiale. Un lieu ouvert à tous.tes pour s’entraîner, créer des évènements solidaires et conviviaux.

    Nous faisons aujourd’hui appel à votre solidarité pour participer activement à la rénovation de ce local !!! Ce projet sportif et social portera nos valeurs, pour un sport non marchand, cosmopolite et solidaire.

    L’indépendance a un coût, nous avons besoin de votre soutien financier !!

    https://www.helloasso.com/associations/dojo-vivaraize/collectes/sport-autrement

    https://vimeo.com/837853368

    #sport #autogestion

  • Quand la montagne est politique
    https://laviedesidees.fr/Catherine-Roth-Naturaliser-la-montagne

    L’étude du Club carpatique transylvain, du XIXe siècle à nos jours, permet de comprendre comment la chaîne montagneuse a rejoint le mouvement d’appropriation nationale de la #nature, qui a mis aux prises Allemands, Hongrois et Roumains. À propos de : Catherine Roth, Naturaliser la montagne ? Le Club carpatique transylvain, XIXe-XXIe siècle, PUR

    #Histoire #nationalisme #Europe #sport #monarchie
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20230705_montagne.pdf
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20230705_montagne.docx

  • RIAS-Kutte kennt sich aus mit Kurt Pomplun
    http://www.rias1.de/sound4/rias_/kutte/kutte.html

    RIAS Berlin „Kutte kennt sich aus“ (1971-1977) mit Heimatforscher Kurt Pomplun
    „Rundschau am Mittag“ 31.12.1968 Joachim Cadenbach im Interview mit Kurt Pomplun (2:54): Im Juni ist ja die Temperaturen sehr erfreulich, auch wenn Napoleon behauptet hat, der deutsche Sommer ist ein grün angestrichner Winter.

    http://www.rias1.de/sound4/rias_/rundschau/rundschau/681231_rias_aktuell_rundschau_am_mittag_joachim_cadenbach_interview_kurt_pompl
    Auf der Seite können sie die Folgen 1 bis 127 hören.

    Kurt Pomplun – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Kurt_Pomplun

    Kurt Pomplun (* 29. Juli 1910 in Schöneberg; † 5. August 1977 in Berlin) war ein deutscher Heimatforscher. Er publizierte Werke zur Geschichte Berlins und Brandenburgs, seiner Mundart und mündlich überlieferten Märchen und Sagen.
    ...
    Pomplun beantragte am 27. Dezember 1937 die Aufnahme in die NSDAP und wurde rückwirkend zum 1. Mai desselben Jahres aufgenommen (Mitgliedsnummer 5.585.940).[1] Bereits 1933 war er der SS beigetreten, in der er es mindestens bis zum Hauptscharführer brachte.
    ...
    Im Alter von 67 Jahren verstarb Kurt Pomplun am 5. August 1977 während einer Diskussion in der Schöneberger Buchhandlung Elwert und Meurer an Herzversagen.

    #Albrechts_Teerofen #Alte_Berliner_Bahnhöfe #Amüsement #Ärzte #Bänkelsänger #Berlin #Strand_und_Freibäder #Berlin-Museum #Bernau #Biesdorf #Britz #Britz #Brücken #Brunnen #BVG-Museum #Cafes #Dahlem #Dampferfahrten #Düppel #Eisenbahn-Nahverkehr #Fasching #Filmmetropole #Friedenau #Fronau #Gartenlokale #Gassenhauer #Gatow #Geschichte #Groß-Berlin #Gründerzeit #Grunewaldseen #Häfen #Hansaviertel #Havelland #Heiligensee #Hohenschönhausen #Humor #IFA #Inseln #Jagdschloß_Grunewald #Kaulsdorf #Kladow #Klein-Glienicke #Klein-Machnow #Kneipen #Kohlhasenbrück #Kolonie_Grunewald #Köpenick #Krankenhäuser #Kurfürstendamm #Lankwitz #Leierkastenmänner #Lichtenrade #Lichterfelde #Lietzensee #Lübars #Mahlsdorf #Maibräuche #Marienfelde #Märkisches_Museum #Märkisches_Viertel #Moabit #Nikolassee #Operetten #Operetten #Pankow #Parks #Pfaueninsel #Pichelsdorf #Post-Museum #Potsdam #Potsdamer_Platz #Radio #Rauchfangswerder #RIAS #Rixdorf #Rote_Insel #Rundfunk #Sagen #SansSouci #Schloß_Charlottenburg #Schloßpark_Charlottenburg #Schmargendorf #Schmökwitz #Schöneberg #Schönow #Siemensstadt #Spandau #Spielzeug #Sport #Spreewald #Springer-Haus #Staaken #Stansdorf #Steglitz #Steinstücken #Stralau #Südende #Tegel #Tegelersee #Tempelhof #Theater #Theater #Tiergarten #Treptow #Turnen #Unter_den_Linden #Volks-Theater #Wannsee #Wedding #Weihnachten #Weinstadt_Berlin #Weißensee #Westend #Wilmersdorf #Wintergarten #Scala #Wintersport #Zeitungswesen #Zitadelle_Spandau #Zoo #Zoologischer_Garten

  • Wo einst ein Karl Marx gearbeitet hat: Union renoviert seine Geschäftsstelle
    https://www.berliner-zeitung.de/sport-leidenschaft/1-fc-union-berlin/berlin-fussball-bundesliga-forsthaus-neugestaltung-des-klubgelaende

    4.6.2023 von Andreas Baingo - Die Arbeitstische, es sind gleich mehrere, liegen voller Unterlagen. Es sind Kopien darunter von uralten Bauzeichnungen, Schreiben von Ämtern an andere Ämter sind dabei, abgefasst in einer deutschen Sprache von vorvorgestern, wieder andere Zeichnungen, eine älter als die andere, Fotos aus längst vergangenen Zeiten, alle schwarz-weiß, manche schon ein wenig vergilbt, dazu historische Einordnungen des Ganzen mit dem Blick und dem Wissen von heute.

    Derjenige, der fast allein den Durchblick bewahrt und in dem manchmal kleineren, manchmal auch größeren Durcheinander eine nahezu strenge Ordnung erkennt, ist Gerald Karpa, Archivar und Historiker des 1. FC Union Berlin in einer Person und von manchem als Sucher nach dem eisernen Gestern bezeichnet. Denn es geht immer wieder nur um einen Ort und um ein Thema: das Forsthaus, das der Bundesligist als Geschäftsstelle nutzt und nun auf Vordermann gebracht wird. Ja, im Zuge der Neugestaltung des Klubgeländes inklusive Stadionumbau ist die voraussichtlich drei Monate dauernde Renovierung des Gebäudes die erste größere Baumaßnahme. Vorübergehend sieht sich die Belegschaft deshalb zu einem Umzug in mobile, auf einem nahen Parkplatz aufgestellte Büro-Container gezwungen.
    Eine herzerwärmende Episode

    Karpa hat sich in die lange Geschichte dieses Ortes, der Mauern und Bauten, hineingelesen und hineingedacht. Er kann erzählen, wie alles einst ausgesehen und wie es sich verändert hat. Außerdem weiß er, dass dieses Gelände, das seit historisch noch gar nicht langer Zeit dem 1. FC Union Berlin gehört, etliches erlebt hat. Deshalb hat Karpa ganz viel Verständnis dafür, dass mit dem Forsthaus etwas geschehen muss, und er sagt: „Es hat ganz schön was auf dem Buckel und es hat jedes Recht, alt und gebrechlich zu sein.“
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    Andererseits hat der Vereinsarchivar viel Erbauung daran, die Geschichte ganz genau zu erforschen, Puzzleteilchen für Puzzleteilchen zusammenzufügen und daraus etwas Ganzes zu machen. Außerdem stößt Karpa ab und an auf lustige Begebenheiten und Anekdoten, die sonst verlorengehen würden. Zum Beispiel die mit Karl Marx, dem einstigen Revierförster im Revier Wuhlheide, einer von neun Revierförstereien im Forstamtsbereich Köpenick.

    „Mit Vornamen hieß er eigentlich Karl-Heinz“, sagt Karpa, „aber Karl Marx hat vor allem bei denen, die in der DDR aufgewachsen sind, einen ganz anderen Klang.“ Wohl auch deshalb, weil dieser Marx mit dem großen Philosophen aus Trier so schön zu verwechseln war, haben sie manches Mal ihren Spaß mit ihm gemacht und ihn auf den Arm genommen. Den Heinz hinter dem Karl haben sie deshalb gern mal verschluckt oder besser gleich ganz weggelassen. Auch weil er ihnen etliche Steine in den Weg gelegt und es nicht immer oder fast nie gut mit ihnen gemeint hat. Manches Mal war der Weg durch den Forst zum Stadion gesperrt, hin und wieder hatte es andere Schikanen gegeben.

    Schön und herzerwärmend ist auch folgende Episode. „Eines Tages“, erzählt Karpa, „kam ein alter Herr zu mir, Bernd Schlosser hieß er. Er wollte in seinen späten Jahren zurück an den Ort seiner Jugend. Er war im Forsthaus, die obere Etage war vermietet, geboren. Das Zimmer, in dem er 1934 zur Welt gekommen ist, wollte er noch einmal sehen.“ Fußball, so erzählte der alte Herr, habe ihn nicht so sehr interessiert, schon in seiner Kinderzeit nicht, „trotzdem sei er durch den Zaun ins Stadion geschlüpft“, sagt Karpa, „um mit den Zuschauern Zigarettenbildchen zu tauschen oder welche von ihnen abzustauben“. Auch waren im Forsthaus einst französische Kriegsgefangene, die zum Roden eingesetzt wurden, untergebracht.
    Seit 2007 als Geschäftsstelle genutzt

    Lange ist das her, eine wechselvolle Geschichte liegt über und hinter dem Areal und es hat ebenso lange gedauert, bis die Eisernen ihren Frieden mit Karl Marx geschlossen hatten. Das passierte genau dann, nachdem der 1. FC Union Berlin das Forsthaus übernommen, es auf Vordermann gebracht, bei einem Tag der offenen Tür seinen Mitgliedern vorgestellt hatte und am 12. Februar 2007 mit Mann und Maus in das historische Gebäude eingezogen ist, um es fortan als Geschäftsstelle zu nutzen.

    Trotzdem: Das Gemäuer ist in die Jahre gekommen. Es ist, kein Wunder nach all der Zeit, in der Tat gebrechlich und altersschwach. Es ist einfach nicht mehr zeitgemäß und muss baulich in einen Jungbrunnen getaucht werden. Modern und frisch soll es werden, luftig und hell. Noch nicht ganz ausgegoren sind die Pläne, aber Großes haben sie vor. Auch weil die Zahl der Mitarbeiter steigt und steigt und die Räumlichkeiten aus allen Nähten platzen.

    Eine neue Heimat soll es werden, dieses Machtzentrum, in dem viele gute, nahezu weise Entscheidungen getroffen wurden, die aus einem Regionalligisten einen Dritt-, Zweit- und nun Erstligisten machten und den Verein in Europa sowohl salon- als auch konkurrenzfähig werden ließen. Diese neue Heimat soll sich öffnen und den Kontakt zu Sympathisanten, Anhängern und Fans noch enger knüpfen. Wobei die Verantwortlichen die Idee, im Forsthaus mit einem Museum einen öffentlichen Ort für die Heiligtümer des Klubs zu schaffen, inzwischen wieder verworfen haben.

    Tatsache ist: So supermodern sich der Verein inzwischen aufstellt, so gut er sich unter den deutschen und mittlerweile auch internationalen Schwergewichten behauptet, so historisch angehaucht ist sein Zuhause. Das ist schön für Nostalgiker und es unterstützt das Kultige des Vereins. Nur hält es nicht mehr Schritt mit den Erfordernissen des 21. Jahrhunderts und erst recht nicht mit der rasanten Entwicklung der Eisernen.
    Spuren reichen bis ins 18. Jahrhundert zurück

    Es stammt, den ersten Erwähnungen und Eintragungen nach zu urteilen, aus einer Zeit, als in Europa Napoleon Bonaparte gerade besiegt war und in Preußen die Hohenzollern regierten. Die „Königliche Regierung, Abteilung für direkte Steuern, Domänen und Forsten“ informierte im Juli 1912 in einem Schreiben den Amtsvorsteher von Berlin-Schöneweide wie folgt: „Baupolizeiakten der Oberförsterei sind nach Ausweis der Amts-Registratur beim Amt nicht vorhanden gewesen, da zur Zeit des Neubaus der Oberförsterei, vor ca. 100 Jahren, Bauakten wohl nicht angelegt wurden.“ Auch gibt es den lapidaren Zusatz: „Unterlagen dazu befinden sich vielleicht auf der Regierung.“ So weit zur preußischen Gründlichkeit …

    Die Spuren zurück reichen jedenfalls bis ins 18. Jahrhundert. Da kann schon mal die eine oder andere Akte abhandenkommen. Damals war die Wuhlheide einer der Waldteile, die das Schlossamt Cöpenick erworben hatte und die seit ungefähr 1700 als Schutzbezirk den Namen „Alte Scheune“ führte. Für die Betreuung war ein Landjäger-Forstbeamter zuständig, der mit den Jahren ein eigenes Dienstgehöft im Waldgebiet zugewiesen bekam, um ständig vor Ort zu sein. Es ist, wenn man so will, die Geburtsstunde der Alten Försterei. In Karten vom Ende des 18. Jahrhunderts findet sich dieses Gehöft als „Landjägerey“. Es ist an exakt der Stelle des Forsthauses eingezeichnet.

    Historisch überliefert ist weiterhin, dass die Alte Försterei als „Preußische Staatsförsterei und späteres Stadtforstamt“ 1865 erbaut worden und nun ein Teil der Oberförsterei Cöpenick sei. An eine sportliche Betätigung in unmittelbarer Nähe ist nicht gedacht und mit Fußball ist dieses neue Gebäude erst recht nicht in Verbindung zu bringen. Das dauert noch mindestens 50 Jahre und noch einmal ein halbes Jahrhundert, bis das Gelände, es umfasst gut 5000 Quadratmeter, 1951 zum Bodenrichtwert von 2 Mark pro Quadratmeter in Volkseigentum übergeht.

    Nach weiteren Jahrzehnten ist die Zeit also reif, gründlich Hand anzulegen für ein Facelifting. Gemäß dem Motto: Allet schick für die Zukunft.

    Die neue kultige Adresse der Eisernen, An der Wuhlheide 263, 12555 Berlin.

    Dieser Text ist zuerst im Eisern Magazin Nr. 7 erschienen, erhältlich im Aboshop der Berliner Zeitung (aboshop.berliner-zeitung.de), im Union-Zeughaus und natürlich am Kiosk.

    #Berlin #Teptow-Köpenick #Obetschöneide #An_der_Wuhlheide #Stadtentwicklung #Sport #Fußball

  • Des biomarqueurs localisent dans le cerveau l’effet des douleurs.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4466

    Plus que le diabète, l’hypertension artérielle ou la dépression, les douleurs touchent nombreuses personnes car elles sont conséquentes ou symptômes de bien des maladies pour ne pas dire toutes. Elles touchent instantanément les blessés. Et parfois elles affectent les cas après un accident vasculaire cérébral ou une amputation d’un membre. Parce qu’on ne comprend toujours pas vraiment comment cela affecte le cerveau, donc aussi il est très difficile de les traiter. La qualité de vie peut être gravement diminuée de cette pire souffrance. Sports / Santé

    / Sciences & Savoir, économie , médecine, sciences, technologie, ADN, vaccin, médicaments, (...)

    #Sports_/_Santé #Sciences_&_Savoir #économie_ #médecine,_sciences,_technologie,_ADN,_vaccin,_médicaments,_découvertes

  • Ein Alptraum namens »Yeezy«
    Adidas-Hauptversammlung: Millionenverluste nach Trennung von Rapper Kanye West, Schuhberge und Klagewelle
    https://www.jungewelt.de/artikel/450646.modeindustrie-ein-alptraum-namens-yeezy.html

    12.5.2023 von Sören Bär - Bei der Adidas-Aktionärsversammlung am Donnerstag in Fürth musste Konzernchef Bjørn Gulden den Anteilseignern schlechte Nachrichten verkünden. Das erste Quartal des Jahres 2023 endete mit einem Verlust von 24 Millionen Euro, schlimmstenfalls muss mit einem Jahresminus von 700 Millionen gerechnet werden. Maßgeblicher Auslöser der Negativentwicklung war die Trennung von Rapper Kanye West, der mit seiner Markenkollektion »Yeezy« für 1,2 Milliarden Euro Umsatz gesorgt hatte.

    Nach jeder Menge hasserfüllter Äußerungen und einer schmutzigen Scheidung von Model Kim Kardashian brachte Kanye West Ende vergangenen Jahres mit einem »Ich mag Hitler«-Statment das Fass zum Überlaufen. Von allen Werbepartnern, die mit West, der sich nur noch »Ye« nennt, kooperierten, zögerte Adidas die Beendigung der Geschäftsbeziehung am längsten hinaus. Die Duldungsstarre, mit der das Unternehmen aus dem mittelfränkischen Herzogenaurach zunächst allen Eskapaden des Rappers begegnete, hatte vor allem einen Grund: Die desaströsen Auswirkungen einer Trennung auf den wirtschaftlichen Erfolg waren klar abzusehen. Die Kollaboration zwischen Adidas und Kanye West galt lange branchenweit als erfolgreichste Kooperation – gewissermaßen eine Lizenz zum Gelddrucken.

    Angesichts der Proteste von US-Politikern und in den sozialen Medien zog die Geschäftsführung am 25. Oktober einen Schlussstrich unter die Verbindung. In der Begründung hieß es, Wests Verlautbarungen hätten »gegen die Werte des Unternehmens wie Vielfalt und Inklusion« verstoßen.

    Adidas hatte sich über Jahre in eine immer stärkere Abhängigkeit begeben. Nach dem großen Erfolg der Sneakers »Yeezy Boost 750« wurde ab 2016 eine komplette »Yeezy«-Street- und Sportswearkollektion aufgebaut. In den USA wurde ein Team installiert, das ausschließlich für die »Yeezy«-Kollektion tätig war. Nun steht Adidas vor einem Scherbenhaufen. Die 1,2 Milliarden Euro Umsatz sind nicht unmittelbar zu kompensieren. Darüber hinaus sitzt der Konzern auf einer gewaltigen Halde unverkäuflicher Restbestände der »Yeezy«-Kollektion im Wert von 500 Millionen Euro. Im ersten Quartal 2023 sah sich Adidas überdies gezwungen, weitere »Yeezy«-Sneakers im Wert von 100 Millionen Euro herstellen zu lassen, um Produktionsverträge nicht zu verletzen. Zu allem Übel wurde der Konzern noch von Investoren aus den USA mit Klagen überzogen. Dem Unternehmen sei das Fehlverhalten des Rappers jahrelang bekannt gewesen, lauten die Vorwürfe. Es habe aus Profitgier nichts unternommen. Es droht ein Fall ins Bodenlose.

    Warum kam es überhaupt zu der Zusammenarbeit mit West? Adidas, Nike und Puma verstehen sich längst nicht mehr als reine Sportartikelhersteller. Sie haben sich zu Mode- und Lifestylemarken entwickelt. Mit den Erweiterungen um neue Produktkategorien in den Bereichen Schuhe und Bekleidung gingen hohe Umsatz- und Gewinnzuwächse einher. Um neue Zielgruppen ansprechen zu können, engagierte man verstärkt Berühmtheiten aus dem Musik- und Filmbusiness, die in den sozialen Medien eine große Followerschaft besitzen.

    Für das Marketing von Sneakers sind Rap-Stars unabdingbar, denn die »Sneaker Culture« kommt ursprünglich aus dem HipHop. Niemand hat Sneakers so erfolgreich vermarktet wie Kanye West. 2009 entwickelte West Ehrgeiz als Modedesigner und kreierte für den Adidas-Hauptkonkurrenten Nike die limitierte Sneakersedition »Yeezy«. Der Markenname »­Yeezy« kombiniert »Ye« und »easy«. Sein Wechsel mit »Yeezy« zu Adidas war ein gigantischer PR-»Move«. Bei Adidas debütierte er mit dem Sneakersmodell »Yeezy Boost 350«, das einem Luftkissenboot ähnelte und zu einem überwältigenden Erfolg wurde – Adidas übertrumpfte damit in den USA den Wettbewerber Nike.

    Mit »Celebrity Branding« ist in der Markenkommunikation meist die Hoffnung verbunden, dass sich die Imageattribute der Prominenten auf die Marken übertragen lassen. Dies wird als Imagetransfer bezeichnet. Im Bewusstsein der potentiellen Käufer soll ein Zusammenhang zwischen dem Testimonial und der Marke hergestellt werden.

    #sport #marketing #capitalisme #wtf

  • Plongée ethnographique dans un club de #boxe d’un #ghetto de #Chicago
    https://metropolitiques.eu/Plongee-ethnographique-dans-un-club-de-boxe-d-un-ghetto-de-Chicago.h

    Jeune sociologue, Loïc Wacquant a enquêté dans un club de boxe du ghetto de Chicago à la fin des années 1980. Il montrait que les boxeurs se protègent de la rue et de ses dangers en exposant leurs corps aux coups. Son dernier livre nous plonge dans les archives et les photos de cette enquête qui a fait date. Cet ouvrage sur la boxe est particulièrement original, puisqu’il comprend de nombreuses photos du temps où son auteur, alors étudiant en sociologie à l’Université de Chicago, explorait le ghetto #Commentaires

    / boxe, #sport, masculinité, ghetto, #États-Unis, Chicago, #ethnographie, #photographie

    #masculinité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-marliere.pdf

  • Fini de jouer - L’essentiel est de ne pas participer
    https://infokiosques.net/spip.php?article1990

    Historique succinct des JO de 2004 à 2020 dans les différents pays d’accueil, avec leurs conséquences sur différentes facettes : gentrification - expulsions, valeurs capitalistes, megalomanie, destructions conséquentes, développement du sécuritaire, infrastructures monumentaux et couteux, destruction de l’environnement, colonialisme, sexisme, ... « Agissons pour qu’ils cessent de jouer à nos dépens et de détruire notre écosystème ». #P

    / Infokiosque fantôme (partout), #Sports, #Capital,_multinationales

    #Infokiosque_fantôme_partout_
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/fini_de_jouer-12pa5-pageparpage-juillet2021.pdf
    https://infokiosques.net/IMG/pdf/fini_de_jouer-6pa4-cahier-juillet2021.pdf