• Point de vue : La montagne pour tou·te·s ? Je n’y crois pas un instant

    L’accès à la montagne et aux sports de montagne est souvent injuste, exclusif, ségrégatif et discriminatoire. #Henriette_Adolf, directrice adjointe de CIPRA Allemagne, plaide pour une participation équitable aux sports de montagne.

    « La montagne, c’est la liberté ». Nos montagnes, les Alpes, l’immense bien commun avec le droit d’accès gratuit pour toutes et tous. Ici, en plein air, nous sommes tou·te·s égaux·ales.

    Nombreux·se·s sont ceux·et celles qui approuveraient cette affirmation. Songez un instant à votre dernière randonnée en montagne ou à votre dernière nuit dans un refuge. Combien de personnes étaient blanches ? Combien d’entre elles étaient valides de corps et d’esprit ? Combien avaient suivi un parcours universitaire ? Combien étaient équipées ou habillés avec des marques courantes de vêtements de plein air ? Et combien ne l’étaient pas ? Ce qui semble être une expérience sans limites de la nature, de l’équité et de l’égalité, est souvent plus qu’insuffisant dans la réalité. L’accès à la montagne et aux sports de montagne est souvent injuste, exclusif, ségrégatif et discriminatoire.

    En effet, les #sports_de_montagne sont chers : une randonnée de deux jours dans les #Alpes bavaroises coûte entre 100 et 200 euros, et même une excursion d’une journée sans halte peut être facturée entre 25 et 100 euros.i Les sports nécessitant un #équipement important, comme l’escalade ou le ski, ne sont pas pris en compte. Des prix plus avantageux pour les couches sociales défavorisées ? Il n’y en a pas. Les sports de montagne sont pratiqués par des personnes qui peuvent se le permettre financièrement - et selon les statistiques, il s’agit principalement de personnes non issues de l’immigration.ii Il existe certes des offres inclusives et intégratives pour les sports de montagneiii - mais elles sont souvent limitées dans le temps ou ne sont disponibles que dans les centres urbains, car elles dépendent de subventions ou d’infrastructures telles que des salles d’escalade. La plupart du temps, l’offre dépend de l’engagement de chacun. Les sports de montagne sont pratiqués par des personnes sans handicap physique ou psychique. Le #milieu_familial est également un facteur important pour la participation au sport : la transmission des connaissances et la motivation pour les sports de montagne et la protection de la nature se font avant tout au sein de la famille. Statistiquement, c’est surtout dans les familles socialement défavorisées que le lien avec les activités de montagne fait défaut. Les sports de montagne sont pratiqués par des personnes issues d’un milieu social privilégié.iv

    La « liberté de la montagne » est entourée de #barrières financières, sociales, liées à l’offre et à la formation. Ainsi, la participation aux sports de montagne reste souvent exclusive et discriminatoire, en particulier pour les groupes socialement défavorisés. Pour une participation vraiment égalitaire aux sports de montagne, il faut davantage de programmes inclusifs, des facilités financières, une éducation familiale et la création de possibilités d’accès dès l’enfance. Ce n’est qu’alors que nos rencontres en montagne seront aussi colorées que dans la vallée.

    i Voyage : en Bavière, entre 12 et 26€ pour un billet de train d’une journée (coût doublé si les jours d’arrivée et de départ sont différents) et jusqu’à 30€ pour le ticket de parking pour la nuit.

    Équipement : chaussures de randonnée, d’occasion à partir de 50€, une veste de pluie à au moins 30€, sac de couchage de refuge à 24€.

    Hébergement, repas compris : 64€ (dortoir avec demi-pension, non membre de l’association, Knorrhütte : www.alpenverein-muenchen-oberland.de/huetten/alpenvereinshuetten/knorrhuette (de)

    ii www.destatis.de/DE/Themen/Gesellschaft-Umwelt/Bevoelkerung/Migration-Integration/Tabellen/migrationshintergrund-nettoeinkommen.html (de)

    Ekamba, Raphael (2022) : « Wenn du ein Schwarzer bist, bleibst du schwarz » Rassismus und Integration auf dem Arbeitsmarkt. Bamberg : Otto-Friedrich-Universität (« Quand on est noir, on reste noir » Racisme et intégration sur le marché du travail. Bamberg : Université Otto-Friedrich). Disponible en ligne sous https://fis.uni-bamberg.de/handle/uniba/54202

    iii www.alpenlebenmenschen.de/ (de)
    www.alpenverein.de/verband/bergsport/sportentwicklung/inklusion-integration/angebote-fuer-menschen-mit-behinderung-im-dav (de)

    iv Schmiade, N. & Mutz, M. (2012). Sportliche Eltern, sportliche Kinder – Die Sportbeteiligung von Vorschulkindern im Kontext sozialer Ungleichheit. Sportwissenschaft (Parents sportifs, enfants sportifs - La participation sportive des enfants d’âge préscolaire dans le contexte de l’inégalité sociale. Science du sport), 42, 115- 125. DOI : 10.1007/s12662-012-0239-7. Disponible en ligne sur https://link.springer.com/article/10.1007/s12662-012-0239-7 (de)

    https://www.cipra.org/fr/nouveautes/la-montagne-pour-tou-te-s-je-n2019y-crois-pas-un-instant

    #accès_à_la_montagne #discriminations #ségrégation #sport #montagne #Alpes #injustice #prix #coût

  • Francis Ngannou, pieds et poings déliés - Libération
    http://www.liberation.fr/sports/2018/01/18/francis-ngannou-pieds-et-poings-delies_1623490

    Venu du Cameroun, échappé à la rue, formé à Paris, le colosse du MMA combat pour le titre poids lourds, ce samedi à Boston .

    Francis Ngannou se souvient d’un exercice de logique au collège qui consistait à agencer le mieux possible des immeubles à l’intérieur d’une surface restreinte. Le professeur l’a soupçonné de triche. Son rendu paraissait trop carré pour être honnête. La lumière, dit-il, a jailli dans la foulée : au tableau, il a expliqué ses conclusions avec tellement d’aisance qu’il récolta un bonus : + 2. « Mais j’avais déjà reçu 19/20. » 21, donc. Il raconte la séquence avec une voix posée et rythmée, comme dans un documentaire nocturne sur les nuages ou les mouflons. Dans une autre vie, il se serait bien vu architecte.

    « Le Prédateur », son surnom, a réalisé son dernier gros coup le 2 décembre, aux Etats-Unis. Une minute et des poussières de spectacle, le temps de jauger, puis d’allonger un Néerlandais en mondovision. Uppercut du gauche, KO, dodo. Hourra. Francis Ngannou fait du MMA, mélange d’une demi-douzaine de sports de combat (pieds, poings, prises au sol), machine à cash et grenier d’histoires qui remplirait des bouquins de mille pages.

    La sienne oblige à écouter sans couper : des parents divorcés alors qu’il a 6 ans, une enfance pauvre et solitaire au Cameroun et une carrière scolaire terminée adolescent. Gamin, il fait déjà des boulots d’adulte au pied du mur. Tailleur de pierre, entre autres. En 2013, il émigre en France sans un rond, avec l’ambition de percer en boxe anglaise. Aucun palmarès, si ce n’est une petite expérience au pays. « Je m’étais mis une pression énorme sur les épaules : je voulais vraiment être un champion. » A Paris, il trouve rapidement une salle où mettre les gants. Son gabarit de menhir (1,95 m, 117 kilos) et ses facilités en « un contre un » fascinent. Des tauliers du lieu l’aident à se sortir de la rue - il est SDF. Didier Carmont, l’un d’eux : « On a fait ce que nous avions à faire, naturellement. Est-ce vraiment important d’entrer dans les détails ? Quand il est arrivé chez nous la première fois, il ne se lamentait pas, et très vite, il s’est senti à la maison. C’est un ami, j’ai l’impression de l’avoir toujours connu. » Puis : « C’est vrai qu’il a un physique. Mais il ne faudrait pas tomber dans le cliché de l’Africain naturellement puissant. On ne se sort pas de sa situation, on ne progresse pas aussi vite, sans intelligence. » Au fil des semaines, ses bienfaiteurs les plus au fait du milieu lui expliquent que le noble art est une impasse à court terme (une vieille bâtisse dont les coulisses sont des labyrinthes), mais que le MMA est un building illuminé, doté d’un ascenseur tout neuf (une multinationale en expansion). Il ne sait pas ce que c’est, mais se met au boulot. En quatre ans de pratique, le voilà presque tout en haut. Samedi, le Camerounais, 31 ans, combattra pour le titre des poids lourds face à l’Américain Stipe Miocic, actuel détenteur de la couronne.

    Christian M’Pumbu, son ami et compagnon d’entraînement, indique le coin de son œil avec l’index : à cet endroit précis, il a pris le panard du colosse, large comme un hors-bord. Un an plus tard, l’ancien champion de MMA, qui en a donc vu d’autres, en parle comme d’une séance de spiritisme. Pour le reste, il glisse deux précisions : « Avec ce qu’il a vécu, il y a des moments où il faut le laisser seul, où il ne veut pas trop parler. A vrai dire, ce n’est pas un grand bavard. » Et : « Je l’ai vu sur des photos aux Etats-Unis. Il avait des jumelles autour du cou… un vrai touriste. » Francis Ngannou vit en ce moment à Las Vegas. Ce qu’il en dit ? Pas grand-chose. « Je m’entraîne. Et sur mon temps libre ? Je m’entraîne encore. C’est mon travail à plein temps ! » En fonction des questions, c’est tout ou rien, soit le récit ou bien les trois petits points. Le Camerounais est un texte à trous, triste, nerveux et joli à la fois.

    A Paris, il a d’abord dormi dans un parking. « On m’a parlé du 115… De foyers et de chambres à partager avec d’autres. Des alcooliques, des gens dépressifs. Je ne voulais pas. Je n’étais pas là pour accepter la situation. Je voulais m’écarter de tout ce qui était négatif. » Les conseils ici et là le mènent à la MMA Factory, dans le XIIe arrondissement. Le lieu est géré par Fernand Lopez, l’entraîneur français le plus réputé, ingénieur de formation et, surtout, habile entrepreneur. Les qualités du petit nouveau lui sautent aux yeux. Il le prend en main et le façonne. Depuis, il ne le lâche plus.

    Parfois, « le Prédateur » décortique son sport en termes bibliques : « David peut battre Goliath. Le MMA comporte un nombre incalculable de techniques. Tu domines et là, ton adversaire te saisit la cheville, puis te fait une clé. C’est beau quand David peut gagner. » Et parfois, il le ramène sobrement à de la survie : « Si tu ne mets pas des coups, c’est ton adversaire qui le fera. »

    Le MMA : baston indécente dans une cage octogonale pour les uns, spectacle très technique pratiqué par des bonshommes surentraînés pour les autres. En France, les compétitions sont encore interdites (une exception), mais les entraînements et les streamings (l’Hexagone est dans le top 10 des consommateurs à l’échelle du monde) font des cartons. Hypocrisie.

    Francis Ngannou est originaire de Batié, petite commune de l’ouest du Cameroun où il retourne pour les vacances. Il a trois frères et une sœur. Le récit : « Enfant, j’allais de maison en maison, je changeais d’école tout le temps. J’étais pauvre. » Les trois petits points : son cercle, sa routine, son parcours entre l’Afrique et la France. Gosse, il s’amusait avec d’autres à imiter les prises de Jean-Claude Van Damme. « Je n’ai pas eu d’amis d’enfance, parce que je n’avais pas le bon profil. Qu’avais-je à offrir ? Parfois, j’avais envie de parler, mais il n’y avait personne. Je n’allais pas me torturer avec ça. Alors je me suis dit qu’on pouvait vivre sans amis. »

    Il se lance sur le tard dans la boxe anglaise. A 22 ans. Il dit que son premier combat au pays est aussi une affaire de fulgurance. Alors que son vis-à-vis le malmène, il se rebelle en repensant à son rêve : une couronne mondiale. Victoire dans l’anonymat, après une journée de manutention. « L’arbitre m’a arraché mon adversaire d’entre les mains. » Le Camerounais signe son premier contrat avec l’Ultimate Fighting Championship (UFC) en 2015. La Ligue américaine a la main sur le business du #MMA et l’image de ses combattants. A cette échelle, on parle d’un géant du divertissement qui vend des machines à coller des pains, des récits et des synopsis de biopic. Son rendez-vous de samedi, à Boston, lui assure d’office un chèque de 500 000 dollars. Didier Carmont : « Je suis certain qu’il a gardé la boxe dans un coin de sa tête. Un jour ou l’autre, il voudra y revenir. » Dans sa vie d’après, #Ngannou se verrait bien en hommes d’affaires. « J’impressionne souvent les gens en calcul mental. Enfant, à l’école, le prof demandait parfois combien faisait 5 moins 6.Tandis que tous les autres cherchaient, j’avais déjà trouvé. »
    Ramsès Kefi - photo : Laurent Troude pour Libération

    Francis Ngannou a été battu sur décision à Boston.
    #ufc #boxe #sports_de_combat

  • L’abracadabrant ministère des #Sports
    https://www.mediapart.fr/journal/france/030317/l-abracadabrant-ministere-des-sports

    Refus de saisir la justice dans le scandale de la fédération de tennis ; inertie dans celui de la fédération de rugby ; rapports expurgés pour les #sports_de_montagne ; nominations contestées au sein de l’Inspection générale de la jeunesse et des sports : le ministère de la jeunesse et des sports a fait naufrage.

    #France #Fédération_française_de_Rugby #Fédération_française_de_tennis #Insep #Inspection_générale_de_la_jeunesse_et_des_sports

  • L’abracadabrantesque ministère des #Sports
    https://www.mediapart.fr/journal/france/030317/l-abracadabrantesque-ministere-des-sports

    Refus de saisir la justice dans le scandale de la fédération de tennis ; totale inertie dans celui de la fédération de rugby ; rapports expurgés pour les #sports_de_montagne ; nominations contestées au sein de l’Inspection générale de la jeunesse et des sports : le ministère de la jeunesse et des sports a fait naufrage. Au diable l’exemplarité sportive…

    #France #Fédération_française_de_Rugby #Fédération_française_de_tennis #Insep #Inspection_générale_de_la_jeunesse_et_des_sports

  • Le Cercle, une résidence théâtrale autour de trois clubs de sports de combat de Seine-Saint-Denis (via @lucile)
    http://lecercle.lacommune-aubervilliers.fr/projet/presentation

    Oui,
    Nous aimons rencontrer des gens qui ont des pratiques qui ne sont pas les nôtres.
    Nous aimons observer.
    Nous aimons poser des questions.
    Nous aimons nous poser des questions.
    Nous aimons poser des hypothèses, sous forme de spectacles.
    Nous aimons aller physiquement et métaphoriquement là où nous ne sommes jamais allés.

    Oui,
    Nous pensons que la rencontre gestuelle entre deux corps est une forme essentielle de langage.
    Nous pensons que le fait d’apprendre à affronter physiquement un adversaire dans un cadre réglé est utile dans l’apprentissage de l’altérité.
    Nous pensons que la violence n’est pas tant dans ces combats que dans la société.
    Nous pensons que l’intelligence, la finesse et l’imagination sont à l’œuvre dans ces duels sportifs.

    (…)

    Depuis 2014, nous explorons les clubs de #sports_de_ combat dans le cadre d’une résidence de création en Seine-Saint-Denis.

    Nous avons décidé de privilégier les sports de combat où la rencontre entre les combattants est décisive, au détriment des arts dits martiaux où cette rencontre est plus suggestive qu’effective.

    Nous avons choisi trois sports incarnés par trois clubs de Seine[Saint[Denis : la lutte avec le Bagnolet Lutte 93 (Les Diables Rouges), la boxe anglaise avec le Boxing Beats à Aubervilliers, le MMA (Mixed Martial Art) avec le CLS à Sevran.

    Avec une sélection de textes appréciable :
    http://lecercle.lacommune-aubervilliers.fr/documentation/bibliographie/divers

  • Entretien avec Sébastien Louis après les affrontements entre hooligans anglais et russes samedi 11 juin 2016 à Marseille
    http://lemonde.fr/euro-2016/article/2016/06/13/euro-2016-les-hooligans-russes-ont-mene-un-raid-comme-un-commando-paramilita

    Sébastien Louis est historien spécialisé dans l’étude des supporteurs radicaux, coauteur notamment de Soutenir l’équipe nationale de football (Editions de l’Université de Bruxelles).

    Comment décririez-vous ces hooligans ?

    Nous avons affaire à une nouvelle génération de hooligans depuis la fin des années 90, venus des pays de l’Est, Russie et Pologne principalement : ce sont des gens qui font des #sports_de_combat, qui s’entraînent quotidiennement. Ils ne prennent pas de drogue, pas d’alcool, ils ont un mode de vie ascétique pour se dédier à ces affrontements. Ils organisent même des tournois en parallèle dans les bois, sur les parkings, des « fights » organisés à 15 contre 15. L’image du hooligan bedonnant qui buvait plus que de raison est dépassée. C’est aussi un problème géopolitique. Ces supporteurs radicaux ont une certaine liberté en Russie, ils sont parfois manipulés par les services secrets qui les encouragent à mener certaines actions violentes.

    (…)

    Cette situation est aussi le fruit d’une absence de stratégie de la part de la DNLH [Direction nationale de lutte contre le hooliganisme] et de *l’amalgame qui est fait entre #supporteurs, #ultras et #hooligans¨. Les interdictions de stade se sont multipliées – 218 cette année liées notamment à l’état d’urgence –, mais nous avons toujours été dans une politique répressive. Dire que ces incidents sont uniquement le fruit de la consommation d’alcool est une erreur. Il faut se confronter aux supporteurs, dialoguer avec eux, se former dans les conditions les plus difficiles. C’est bien beau de faire des répétitions avec les étudiants, mais quand on se retrouve face à des hooligans russes pratiquant le #MMA, c’est autre chose.

    #football #violence « #casseurs » cc @opironet

  • ’Les sports de combat, une faille dans la sécurité de l’Etat’ français / AFP
    http://fr.timesofisrael.com/radicalisation-islamiste-le-sport-une-faille-dans-la-securite-de-l

    Sur-représentés dans les quartiers dits sensibles, peu structurés et peu contrôlés, les #sports_de_combat et les clubs qui les hébergent sont devenus des terrains de radicalisation islamiste voire des centres de formation au jihad, explique à l’AFP Médéric Chapitaux, auteur d’un livre consacré à ce sujet.

    Ce livre, intitulé ‘Le sport, une faille dans la sécurité de l’Etat’, est centré sur le cas français mais la problématique est beaucoup plus large : « On sait qu’on est sur quelque chose qui a une envergure nationale, pour ne pas dire européenne, voire mondiale », souligne l’auteur, un ancien gendarme.

    #sport #arts_martiaux #MMA etc. cc @brunhilde @prac_6

  • L’arbitre (à mort !)
    http://www.larevuedesressources.org/l-arbitre-a-mort,2593.html

    L’arbitre (à mort !) Ce ne sont ni les bruits familiers de son domicile, ni les cris de ses enfants, ni les aboiements de son chien, ni les récriminations de son épouse, ni l’orageux tumulte provenant des tribunes dont il surveillait les incontrôlés mouvements des spectateurs qui éveillèrent l’attention de ce quadragénaire, mais ce faux silence le maintenant à l’extérieur du monde, troublé par les bip-bip des appareils, le chuintement de l’oxygène dans les (...)

    #Nouvelles

    / #Enfance, #Nouvelle, (...)

    #Sports_de_masse #Cruauté #Tour_de_France