Stop orders fail to execute there is no one left to buy.
Costly lesson learned by #CHF #traders...
▻http://mechanicalforex.com/2015/01/trading-a-real-market-what-the-swiss-national-bank-taught-retail-tr
#Suisse #Switzerland #FOREX #monnaie #trading
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Comment la #taxe_sur_les_transactions_financières est torpillée par la #France
▻http://abonnes.mobile.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/12/22/comment-la-taxe-sur-les-transactions-financieres-est-torpille
C’était la promesse n° 7 du candidat #François_Hollande : soutenir une « action coordonnée au niveau européen pour imposer l’ensemble des transactions, y compris donc les #produits_dérivés ».
La taxe sur les transactions financières (#TTF), aussi appelée « Robin des bois » ou #Tobin, du nom de l’économiste qui l’a imaginée dans les années 1970, devait entrer en vigueur au 1er janvier 2016 en Europe. Mais elle semble, sinon enterrée, du moins s’éloigner de plus en plus.
Pourtant, le chef de l’Etat et son premier ministre ont été rappelés à l’ordre par 140 députés de leurs propres rangs, qui ont signé une lettre jeudi demandant à ce « que notre pays conserve intacte l’ambition initiale du projet qui inclut “toutes les transactions financières” ». Parmi ces derniers figurent entre autres l’ancien premier ministre Jean-Marc-Ayrault, Karine Berger, Aurélie Filippetti, Elisabeth Guigou, François Lamy…
CHANTAGE À LA DÉLOCALISATION
Cette lettre a été largement partagée pendant le week-end, alors que les 11 pays européens désireux de créer un tel impôt ne sont pas parvenus à se mettre d’accord le 9 décembre dernier à Bruxelles.
Lancée au lendemain de la crise financière de 2008, l’idée de la TTF était de prélever 0,1 % sur les échanges d’actions et 0,01 % sur les produits dérivés. Ceux-là, destinés à assurer leurs acheteurs contre des risques financiers (de change, de taux…), ont connu ces dernières années une croissance exponentielle.
Une banque française, #BNP_Paribas, en est un des champions européens, voire mondiaux. Et l’ensemble du secteur a brandi la menace des délocalisations si la taxe s’appliquait en l’état.
Lire notre enquête : Comment les lobbies détricotent la taxe sur les transactions financières
LES SOCIALISTES DEMANDENT DES COMPTES
La #taxe, qui ne visait pas à « tuer » l’activité #bancaire, mais à l’encadrer (en rendant moins intéressants les échanges les plus spéculatifs), avait aussi pour object de #redistribuer une partie de ces profits (environ 35 milliards d’euros par an si l’on incluait tous les produits dérivés dans l’assiette taxable) vers le développement #humanitaire, les projets #écologiques et la recherche sur les #maladies, comme le #sida.
Les associations militant pour cette taxe (Aides, Oxfam et #Attac, notamment) ont rappelé que cette mesure devait au départ, selon les vœux de François Hollande, entrer en vigueur… en 2013. Elle se sont également félicité de l’initiative des députés, demandant au président de la République de « recadrer [le ministre des finances] #Michel_Sapin ».
Dans leur lettre de jeudi, les socialistes signataires expliquent :
« C’est la France qui a proposé de réduire l’#assiette d’une telle taxe, la limitant aux #actions et aux contrats d’#assurance contre le risque de défaut de paiement [#CDS – credit default swap], soit 3 % des produits dérivés. Cette proposition réduirait largement le rendement de cette taxe, le rendant encore plus limité que la taxe française créée en 2012. »
LES RENONCEMENTS DE #BERCY
Le projet de loi de finances 2015 table sur un rendement de 700 millions d’euros pour la version française de la taxe Tobin, en vigueur depuis trois ans. Loin des premières estimations qui tablaient sur un rendement de l’ordre de 1,5 milliard d’euros annuel.
En cause, un torpillage en règle de l’assiette taxable : alors que la taxe aurait pu être renforcée par la taxation du #trading_haute_fréquence, c’est aussi un gouvernement Hollande qui l’a fait échouer en France. Bercy a fait pression sur sa majorité et son rapporteur, Christian Eckert, a depuis été nommé secrétaire d’Etat au budget.
Lire : Trading haute fréquence, l’histoire d’un renoncement
Même les autorités britanniques ont été plus ambitieuses dans leur décision de taxer le secteur bancaire : le stamp duty (« droit de timbre ») rapporte quelque 3 milliards d’euros par an, grâce à une large assiette de 0,5 % sur tous les échanges d’actions, contre 700 millions d’euros pour la taxe française (entrée en vigueur en 2012).
Hongkong, Singapour ou encore Taïwan ont également mis en place, à des degrés divers, une telle taxation de leur place financière.
HFT in my backyard – Part I
►http://sniperinmahwah.wordpress.com/2014/09/22/hft-in-my-backyard-part-i
The only tour I did was in Veurne, a small typical Flemish city where I tasted some local beers. A week later I was back in Brussels, and on July 16, 2014, Bloomberg released this story about a prop trading firm from Chicago purchasing an old tower for €5.000.000 in…Veurne. What a coincidence! I’ve researched and written about high-frequency trading (HFT) since 2012, and am quite aware of the microwave networks used by some fast players, but I did not know that as of January 2013 Jump Trading owned a tall tower in Belgium – in my backyard.
The trade of the century: when George #Soros broke the British Pound:
▻http://priceonomics.com/the-trade-of-the-century-when-george-soros-broke #currency #trading
Le #trading_haute_fréquence est un « système de fraude de grande ampleur » - Mediapart.fr
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/83604343475
« Le marché est truqué » : les accusations de Michael Lewis, qui avait révélé le scandale des subprimes, sur les manipulations liées aux transactions boursières passées à la vitesse de la lumière (le trading haute fréquence) provoquent un séisme à Wall Street. Plusieurs enquêtes judiciaires sont ouvertes. Jean-François Gayraud, auteur du Nouveau Capitalisme criminel, explique pourquoi les États sont aveugles et s’interroge : « Où est l’intérêt général et l’utilité sociale de tout cela ? » Mediapart.fr
@jean-no : avec 5 plutôt qu’avec 6 alors ;-).
Les régulateurs n’ont pas envie, selon vous, de s’attaquer au problème ?
Le trading haute fréquence est une illustration des contradictions de la modernité et de l’éclatement du monde. D’un côté, il y a la verticalité lourde et pataude d’États toujours plus nombreux et faibles, ne pouvant intervenir que dans les limites de leur territoire. De l’autre, vous avez l’horizontalité fluide et agile de la finance transnationale, désormais hors sol, qui profite de toutes les failles du système. Cette finance dérégulée invente constamment des outils juridico-financiers qu’elle impose aux États. Les gouvernants sont aveugles à ces innovations, n’en comprennent les effets mortifères et frauduleux qu’a posteriori. Ils ne se réveillent qu’après la crise, comme en 2007-2008 lors des subprimes, pour d’ailleurs s’assoupir à nouveau immédiatement après. Les États sont comme tétanisés et capturés par plus puissants qu’eux, en l’occurrence les grandes institutions financières. Et pendant ce temps, les flux financiers passent de place en place, à la vitesse de la lumière.
Ce sont les financiers qui sont les maîtres du jeu. Ils disposent des bonnes cartes et fixent eux-mêmes les règles. Les lois dites de re-régulation, nées après la crise des subprimes, ont été cosmétiques. Elles ont consisté non à dérouter le Titanic mais à lui adjoindre un peu plus de canots de sauvetage qui, de toute façon, ne profiteront qu’aux premières classes lors de la prochaine tragédie.
N’avez-vous pas une vision trop criminelle, trop policière de la finance ? Certains vous reprochent de manquer ainsi les vraies explications sur les raisons de la crise.
C’est un débat que j’ai eu avec l’économiste Paul Jorion, notamment. Mais en fait les points de vue ne sont pas si éloignés que cela. Des modèles faux, comme les dénonce Paul Jorion, peuvent être aussi malhonnêtes. En fait, pour être parfaitement malhonnêtes, les systèmes doivent être faux. L’explication de faits macroéconomiques par la grille de lecture criminologique n’avait peut-être pas beaucoup de pertinence du temps d’un capitalisme régulé ; elle devient au contraire centrale, me semble-t-il, dans un capitalisme financiarisé, dérégulé et mondialisé à l’excès. Je sais que la criminologie, ou si vous préférez « l’explication par le crime », est mal vue par la communauté des chercheurs en France, et plus généralement par les élites. Chez les économistes, depuis le moment où cette discipline s’est forgée, le crime est un impensé complet, un angle mort. Il ne s’agit pas pour moi d’ériger une naïve et absurde théorie du complot, mais de décloisonner les champs intellectuels. Ainsi, dans ma réflexion sur l’articulation entre criminalités et crises financières nées de la dérégulation, je montre que les fraudes sont une dimension non négligeable de la formation des bulles immobilières et boursières ; ce qui n’exclut pas d’autres causalités spécifiquement économiques et financières, mais vient simplement les compléter et les éclairer. La causalité criminelle que je tente d’exposer n’est pas destinée à produire un « effet de diversion » au moyen de « boucs émissaires providentiels » ; je recherche plutôt « un effet de révélation » de l’anomie et de la déviance structurelle du système.
Il y a eu beaucoup d’enquêtes de la SEC, d’amendes spectaculaires imposées aux banquiers de Wall Street après la crise, sans que les pratiques changent. La nouvelle enquête des autorités américaines sur le trading haute fréquence n’est-elle pas vouée à connaître le même sort ?
La justice transactionnelle, telle qu’elle est pratiquée aux États-Unis, n’est pas vraiment la justice telle que nous pouvons la concevoir en Europe. C’est en effet une justice qui vise moins à élucider des faits et à rechercher la vérité qu’à mettre fin à une situation embarrassante. Ces amendes gigantesques impressionnent les médias mais ne changent rien en termes de dissuasion. Ce sont en définitive de simples taxes perçues par l’État, une sorte de droit à frauder ou à blanchir. Comme personne ne va en prison, l’impunité règne en maître. À l’image d’un vulgaire voleur de banque, un bankster impuni tend à récidiver.
Cela dit, même si les efforts des autorités américaines ne sont pas tous couronnés de succès, l’État américain offre au moins le « spectacle » ou l’illusion de vouloir lutter. Tous ne peuvent pas en dire autant…
La BCE utilisée pour donner du crédit au trading haute fréquence | Forum Démocratique
▻http://forumdemocratique.fr/2013/11/14/la-bce-utilisee-pour-donner-du-credit-au-trading-haute-frequence
La BCE utilisée pour donner du crédit au trading haute fréquence
14 novembre 2013By admin
répétés un très grand nombre de fois.
Les trois auteurs américains affirment que, « globalement, les traders à haute fréquence facilitent l’efficience des prix [c’est-à-dire la formation de prix justes pour les différents acteurs d’un marché suffisamment large et où l’information circule] en échangeant de sorte qu’il y ait toujours des changements de prix et non pas des erreurs de prix temporaires ».
L’argument avancé, comme souvent dans les études relayant l’utilité de ce type d’activités spéculatives, est celui de la liquidité : les titres s’échangeraient plus facilement, il y aurait une forte offre et une forte demande, grâce à la multiplication des échanges qu’induit le THF. Pour le Financial Times, cette étude pourrait influencer Francfort dans sa mission de superviseur.
DONNÉES ERRONNÉES
Un argument balayé par les militants anti-spéculation. Alexandre Naulot, de l’ONG Oxfam, rappelait, au moment où le gouvernement français renonçait à taxer le THF, que les indices boursiers sont déjà « en situation de surliquidité », c’est-à-dire que « le nombre de transactions réalisées par les teneurs de marché est disproportionné ».
C’est ce qu’on appelle l’« intermédiation forcée », chaque intermédiaire cherchant à prendre sa part du gâteau. »On est clairement dans le domaine de la spéculation, pas dans celui de l’investissement, et encore moins du financement de l’économie réelle et des PME », s’indignait M. Naulot.
Le blog du broker Themis Trading dénonçait d’ailleurs le 6 novembre dernier cette étude fondée, selon eux, sur des données erronées. Tout d’abord parce que l’échantillon étudié est trop réduit, excluant les géants bancaires (Goldman Sachs, Morgan Stanley, etc) et tout échange hors du Nasdaq (environ 20 % du marché sur la période choisie). Ensuite parce que de larges pans d’actifs sont ignorés par l’étude, comme les contrats futurs et les options.
LOBBYING DES TRADERS HAUTE FRÉQUENCE
« Par ailleurs, cet article est ancien [...] il date d’octobre 2011 et a été révisé en avril 2013. Pour quelle raison ressort-il aujourd’hui sous la forme d’une étude de la BCE ? Peut-être faut-il le demander aux lobbys du THF », explique l’un des associés de Themis Trading Joe Saluzzi, dans un courriel, pointant en direction notamment du FIA European Principal Traders Association, puissant groupe d’intérêt du secteur.
la suite sur
▻http://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2013/11/14/la-bce-donne-du-credit-au-trading-haute-frequence_3512795_3234.html#
La #BCE utilisée pour donner du #crédit au #trading-haute-fréquence
Market(ing) versus #Art | Sniper In Mahwah
▻http://sniperinmahwah.wordpress.com/2013/11/13/marketing-versus-art
La lecture de #Traders Magazine est toujours réjouissante, notamment en raison des publicités qu’on peut y trouver. Une analyse sémiologique de ces #publicités (dans le même genre que les Mythologi[qu]es de Roland Barthes) pourrait être menée sans difficulté tant les images utilisées font appel à des symboles grossiers, signe d’un marketing assez transparent… surtout lorsqu’il s’agit de liquidité.
« Quand la finance se branche sur la nature »
►http://www.monde-diplomatique.fr/2014/03/KEUCHEYAN/50199
#Industrie_chimique, sociétés de #biotechnologies et géants du #trading contrôlent la chaîne alimentaire mondiale - Basta !
▻http://www.bastamag.net/article3488.html
Des champs aux hypermarchés, en passant par l’élevage, quelques géants de l’agrobusiness se partagent le marché alimentaire mondial. Les semences sont la propriété de quelques grands groupes de l’industrie chimique. Une poignée d’entreprises de biotechnologies conçoivent la grande majorité des volailles et poissons d’élevage. D’autres, parfois les mêmes, maîtrisent le commerce international de céréales… Une concentration sans précédent. En cas de faillite, les filières alimentaires risquent-elles de s’effondrer comme les marchés financiers ?
Trading haute fréquence, l’histoire d’un renoncement
▻http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/10/22/taxe-sur-le-trading-haute-frequence-les-deputes-renoncent-a-un-milliard-d-eu
Fin de la première manche. Les députés ont renoncé, lundi 21 octobre, à renforcer la taxe en vigueur sur les transactions financières lors du débat sur la loi de finances 2014, à la satisfaction du gouvernement qui estime qu’elle pénaliserait la place de Paris.
L’amendement 240, voté par la commission des finances de l’Assemblée nationale le 8 octobre, et qui se présente sous la forme d’un article additionnel, a été retiré par le rapporteur de la commission, le député (PS) Christian Eckert, qui en était l’auteur.
Il étendait le champ d’application de la taxe (de 0,2 %) aux transactions dites « intraday » - c’est-à-dire commencées et débouclées dans la même journée - avec pour but, selon ses partisans, d’augmenter les recettes de l’Etat, et surtout de dissuader les spéculateurs.
Encore une fois Moscovici préfère défendre l’intérêt des banquiers plutôt que celui des français. Les banquiers ne pouvaient pas rêver d’un ministre plus gentil avec eux.
Est-ce que spéculer à des vitesses de transactions qui se comptent en micro-secondes, c’est normal et sain ?
Depuis l’entrée en vigueur de la loi en août 2012, les transactions à haute fréquence, qui consistent à transmettre automatiquement et à très grande vitesse des ordres sur les marchés financiers, sont taxées. Le problème, c’est que notre taxe française exempte totalement cette spéculation sans limite, inutile et dopée par les ordinateurs.
[...]
Des pressions fortes sont à l’œuvre sur les députés, qui pourrait en arriver à retirer son amendement. Ce serait une fois encore un cadeau fait aux banquiers. Sans surprise, ces derniers ne se sont pas privés de critiquer le projet et de faire pression pour que l’amendement soit rejeté.
▻http://www.lemonde.fr/argent/article/2013/10/16/bercy-pourrait-faire-capoter-la-taxe-sur-le-trading-haute-frequence_3496890_
Abrupt rise of new machine ecology beyond human response time : Scientific Reports : Nature Publishing Group
▻http://www.nature.com/srep/2013/130911/srep02627/full/srep02627.html#ref26
Society’s techno-social systems are becoming ever faster and more computer-orientated. However, far from simply generating faster versions of existing behaviour, we show that this speed-up can generate a new behavioural regime as humans lose the ability to intervene in real time. Analyzing millisecond-scale data for the world’s largest and most powerful techno-social system, the global financial market, we uncover an abrupt transition to a new all-machine phase characterized by large numbers of subsecond extreme events. The proliferation of these subsecond events shows an intriguing correlation with the onset of the system-wide financial collapse in 2008. Our findings are consistent with an emerging ecology of competitive machines featuring ‘crowds’ of predatory algorithms, and highlight the need for a new scientific theory of subsecond financial phenomena.
The Stock Market May Have Crashed 18,000 Times Since 2006 — And No One Noticed - Tim Fernholz - The Atlantic
▻http://www.theatlantic.com/technology/archive/2013/09/the-stock-market-may-have-crashed-18-000-times-since-2006-and-no-one-noticed/279725
What if someone told you the stock market crashed and spiked 18,000 times since 2006, and you had no idea?
That’s the contention of a group of scientists who study complex systems after analyzing market data, collected by Nanex, since the advent of high-speed trading. While the fallout of computerized algorithms has been seen before, including the infamous 2010 “flash crash,” when markets lost nearly 10% of value in just a few minutes, that same kind of sudden volatility is going on all the time, unseen.
#flash_trading #trading_à_haute_fréquence #marchés_financiers #finance
10 seconds of extreme #trading
▻http://flowingdata.com/2013/10/04/10-seconds-of-extreme-trading
Attention, c’est pas en temps réel. Ce qu’on voit pendant plus de trois minutes se passe en 10 secondes !
▻http://youtu.be/NRUCWIosL_k
excellent ! #visualisation #hft
October 2, 2013 - Blackberry rallies from $7.60 to $8.00. Watch the deluge of quotes from Nasdaq (pink at 12 o’clock) overwhelm the system when the price ticks to the next level. Quote rates approach 40,000 per second on a 25 millisecond basis.
Projet » La vitesse, nouveau fléau financier ?
▻http://www.revue-projet.com/articles/2013-09-la-vitesse-nouveau-fleau-financier
Près de 40 % des transactions financières sont passées, non par des humains, mais par des machines. Des ordinateurs capables d’atteindre une vitesse sans rapport avec celle de l’information sur l’économie réelle. L’objectif ? Garantir la « liquidité », selon le lobby bancaire. Selon Gaël Giraud : faciliter les délits d’initié… et faire de la « pêche à la ligne ».
Depuis une poignée d’années, les techniques utilisées par nombre des grandes banques de marchés, par des courtiers et des fonds spéculatifs leur permettent, sur certains marchés financiers, d’échanger des offres de vente et d’achat toutes les microsecondes. Certaines banques déplacent leurs bataillons d’ordinateurs dans les caves d’immeubles de manière à les rapprocher physiquement des lieux d’enregistrement de leurs ordres de marchés, en vue de gagner quelques fractions de seconde dans la vitesse d’exécution de leurs stratégies de trading. Ces pratiques sont désignées par le vocable générique de « commerce à haute fréquence » (« high frequency trading », HFT)[1]. En 2010, elles représentaient plus de la moitié des transactions sur les marchés financiers nord-américains et au moins 30 % des marchés européens – depuis lors, leur poids dans la sphère financière n’a fait qu’augmenter.
La loi bancaire française, adoptée le 18 juillet 2013, demande la sanctuarisation du HFT en obligeant les banques françaises à isoler leurs activités à « grande vitesse » dans une filiale, mais le texte législatif introduit une exception qui, finalement, vide la loi de son contenu : 90 % des activités de HFT resteront dans la maison-mère. Comme si le législateur, pris de remords, avait retiré d’une main ce qu’il donnait de l’autre. Pourquoi cette hésitation ? Le HFT est-il dangereux ? La « grande vitesse » est-elle un fléau ou bien le dernier fleuron de la créativité humaine au service de l’efficience des marchés ?
QU’EST-CE QUE LE TRADING HAUTE FRÉQUENCE ?
L’Asie, pour l’instant, semble encore partiellement épargnée par le HFT même si, depuis 2010, le Tokyo stock exchange a annoncé qu’il pouvait lui aussi accueillir des opérations de trading dont le pas de temps est inférieur à la milliseconde. Nyse-Euronext et le London stock exchange s’y sont déjà mis depuis plusieurs années. Toutes les grandes institutions financières se trouvent désormais engagées dans une compétition dont le critère discriminant est l’aptitude à faire exécuter des algorithmes capables de traiter un nombre de plus en plus gigantesque d’informations en une microseconde. Aucune des grandes banques internationales (en France, BNP-Paribas, Société générale, BPCE-Natixis, Crédit agricole) n’est épargnée par cette course. Les places boursières elles-mêmes sont entraînées, volens nolens, dans cette compétition : aujourd’hui, leur argument essentiel pour attirer le chaland consiste à faire valoir qu’elles sont capables de suivre et d’enregistrer de telles stratégies de trading à une vitesse supérieure à celle de leurs voisines. Car les plateformes alternatives (privées) de négoce financier, élaborées par les mégabanques elles-mêmes et autorisées par la Commission européenne depuis la funeste directive Mif de 2004 tentent de conquérir des parts aux dépens des places boursières traditionnelles grâce, notamment, à la vitesse d’exécution de leurs ordinateurs.
Cette accélération paraît aller dans le sens d’une modernité de plus en plus affolée. Où la vitesse tient parfois lieu de critère de ce qui est vivant et où l’urgence devient souvent le seul viatique pour la survie[2]. En amont, toutefois, de ses possibles effets sociaux, cette accélération sert-elle le financement de l’économie ? Lors d’une audition à l’Assemblée nationale, Martin Bouygues s’étonnait à juste titre que des opérateurs financiers (en fait leurs ordinateurs) vendent ou achètent le titre de sa société toutes les millisecondes. La valeur économique de sa société change-t-elle toutes les millisecondes ? Non. L’économie réelle, même mondialisée, fournit-elle des informations nouvelles toutes les millisecondes ? Non plus. C’est donc que la course à la vitesse où se trouve engagée la finance dérégulée contemporaine n’a strictement rien à voir avec une quelconque efficacité dans le traitement des informations venues de l’économie réelle. Ce point est fondamental : l’accélération des transactions financières ne provient pas d’une accélération du flux d’informations venues du monde réel.
The secret financial market only #robots can see – Quartz
▻http://qz.com/124721/the-secret-financial-market-only-robots-can-see
In a new paper called “Abrupt rise of new machine ecology beyond human response time,” researchers found a new trading ecosystem that humans don’t even notice.
▻http://qzprod.files.wordpress.com/2013/09/srep02627-f1.jpg?w=600&h=494
People can’t really respond to stimuli much faster than in one second. The benchmark comes from cognitive scientists who find that it takes 650 milliseconds for a chess grandmaster to realize that a king has been put in check after a move. Below that time period, you can find “ultrafast extreme events,” or UEEs, in which trading algorithms cause prices to change by 0.08% or more before returning to human-time market prices. This appears to be the case when many simple algorithms, operating on limited information, pile into a single trade.
Jean-Jacques Goldman… Sachs | Sniper In Mahwah
▻http://sniperinmahwah.wordpress.com/2013/09/02/jean-jacques-goldman-sachs #goldman_sachs #trading
Nasdark
Cette panne historique du Nasdaq (probablement la plus longue de l’histoire du marché électronique) est intéressante en ce qu’elle montre bien que le fonctionnement de l’archipel des plateformes électroniques dépend de technologies où le moindre bug d’un seul marché peut avoir des conséquences importantes pour l’ensemble des plateformes électroniques. Pour une fois, les transactions à haute fréquence n’ont rien à voir avec cette panne : tout vient de la fragmentation complexe des marchés américains, une complexité que Reg NMS a accentué. Dans le même temps, cette panne tombe à pic pour la SEC puisque le régulateur américain est en train de plancher sur une nouvelle série de règles : après Reg ATS et Reg NMS, la SEC travaille à Reg SCI (pour Regulation Systems Compliance and Integrity), qui est censé mettre un peu d’ordre dans cette complexité technologique sans nom de plus en plus dénoncée par certains opérateurs de marchés. Les consultations engagées par la SEC pour rédiger Reg SCI se sont terminées début juillet 2013, les premières propositions devant tomber d’ici la fin de l’année (en espérant que, cette fois, ces nouvelles règles ne compliquent pas de nouveau le fonctionnement des marchés). Notons au passage que Reg SCI a été mis en route suite aux divers bugs qu’ont connu les marchés en 2012 (les IPO ratées de Bats Global et de Facebook, le Knightmare du 1er août 2012, etc.)
►http://sniperinmahwah.wordpress.com/2013/08/23/nasdark
Les cotations sur le Nasdaq suspendues 3 heures après une panne
L’incident est sans précédent. Pendant plus de trois heures, jeudi 22 août, toute activité à la Bourse Nasdaq de New York a été suspendue en raison d’un problème informatique. Le courtage des actions a cessé sur la plateforme électronique d’environ 18 h 15 à 21 h 25 (heure française), paralysant l’indice composite à dominante technologique, et des valeurs phare de la place new-yorkaise comme Apple ou Microsoft.
▻http://www.lemonde.fr/argent/article/2013/08/23/les-cotations-sur-le-nasdaq-suspendues-3-heures-jeudi_3465317_1657007.html
#nasdaq #bourse #trading_hf
A propos du hack d’AP par la Syrian electronic army (?) #SEA
►http://seenthis.net/messages/134175
Information, délit d’initié et hautes fréquences | Sniper In Mahwah
▻http://sniperinmahwah.wordpress.com/2013/08/03/information-delit-dinitie-et-hautes-frequences
Ce qui est gênant est que 99,99% de la presse s’est empressée de désigner ces méchants #algorithmes de #trading à haute fréquence comme étant responsable de la débâcle, alors qu’elle fut purement humaine. Comme me le confiait le responsable technique d’une bourse européen récemment, les #marchés ont en fin de compte plutôt intérêt à ce que les médias soient à côté de la plaque lorsqu’ils évoquent ce genre d’événements car cela leur permet de continuer leurs activités sans que l’on observe de trop près les microstructures de marché. Il est paradoxal que l’information, si importante dans les marchés, soit parfois complètement négligée lorsque les médias écrivent sur ces marchés.
La réaction des marchés à l’annonce du taux de chômage aux Etats-Unis (7 juin 2013) #finance #hftMUTE VOL. 3, NO. 4 - SLAVE TO THE ALGORITHM
▻http://www.metamute.org/editorial/magazine/mute-vol.-3-no.-4-slave-to-algorithm
As the financial crisis fastens its grip ever tighter around the means of human and natural survival, the age of the algorithm has hit full stride. This phase-shift has been a long time coming of course, and was undoubtedly as much a cause of the crisis as its effect, with self-propelling algorithmic power replacing human labour and judgement and creating event fields far below the threshold of human perception and responsiveness.
#trading #finance #Algorythmes #haute_frequence #alternatives #revue
Les cerveaux de la finance
Les Pieds sur Terre - #France_Culture #reportage #radio
via @Leradiophone
▻http://www.leradiophone.net/site47.html
Les cerveaux de la finance (1/2)
▻http://rf.proxycast.org/m/media/296096201420.mp3?c=culture&p=LES+PIEDS+SUR+TERRE_10078&l3=20130624&l4=
Durée : 00:27:49 - Ils ont une petite trentaine d’années et travaillent à Londres dans des institutions bancaires de la City. Portraits en deux volets de ces golden boys français. Reportage : Julien Cernobori. Réalisation : Assia Khalid
▻http://www.franceculture.fr/emission-les-pieds-sur-terre-les-cerveaux-de-la-finance-12-2013-06-24
Les cerveaux de la finance (2/2)
▻http://rf.proxycast.org/m/media/296096201420.mp3?c=culture&p=LES%2BPIEDS%2BSUR%2BTERRE_10078&l3=201306
durée : 00:27:25 - Le soir, après leurs dures journées de travail devant leurs écrans, les golden boys français de Londres se retrouvent dans leurs appartements de South Kensington avant de monter dans leurs Maseratti pour aller prendre quelques verres en ville. Que se passe-t-il dans la tête de ces maîtres du monde ? Deuxième épisode de la vie quotidienne des cerveaux de la #finance expatriés en Angleterre. Reportage : Julien Cernobori. Réalisation : Annabelle Brouard
►http://www.franceculture.fr/emission-les-pieds-sur-terre-les-cerveaux-de-la-finance-22-2013-06-25
Je nommerai cette série d’émissions « Les doigts de la finance » ou « Les avatars de la finance » car rien dans ces reportages rien ne nous laisse à penser que ces messieurs soient les architectes du monde dans lequel ils gesticulent. Et les préjugés exprimés dépeignent des êtres qui n’ont aucune conscience de l’état du monde ainsi que du rôle qu’ils y jouent.
Un autre bras d’honneur de la barbarie BCBG
►http://seenthis.net/messages/150759
Tout à fait d’accord avec toi @yohooo. On atteint les sommets de la lobotomie par le fric...
Le bûcher des traders
▻http://www.article11.info/?Le-bucher-des-traders
En littérature, rien ne vaut les personnages immondes, les salauds finis qu’on déteste avec gourmandise. Parmi ceux-ci, une catégorie décevait rarement : celle des traders aux dents longues. Las, « progrès » technologique aidant, ces monstres sont en voie de disparition. Retour sur une hécatombe – détaillée dans "6", livre uppercut. Source : Article11
Krach Machine
▻http://krachmachine.fr/?p=72
▻http://krachmachine.fr/wp-content/uploads/2013/03/KRACH_MACHINE_1.pdf
#livre - Le 1er chapitre en libre accès
Krach machine : Comment les traders à haute fréquence menacent de faire sauter la bourse
En une décennie à peine, des spéculateurs d’un nouveau genre ont pris le contrôle de la finance. Les traders à haute fréquence achètent et vendent à la vitesse de la lumière.
Arès 6 ▻http://seenthis.net/messages/106245 nouveau livre sur le #hft #trading_haute_fréquence / j’en profite pour vous recommander cette émission tout à fait éclairante sur le sujet :) ▻http://www.franceculture.fr/emission-place-de-la-toile-comment-les-ordinateurs-ont-pris-possession
indeed ; je vous conseille ne serait-ce que pour aller récupérer quelques éléments bibliographiques et deux .pdf fournis par un des invités
▻https://www.dropbox.com/sh/dt9egv99dgifhhc/2rWrotaKTE/HFT_dangers.pdf
▻https://www.dropbox.com/sh/dt9egv99dgifhhc/jlfJ-TmeYm/Codes_codings.pdf
6
Traduit à partir de 0 et de 1 par Ervin Karp.
Sortie le 14 février 2013 (version 1.0)
Zones sensibles
►http://www.zones-sensibles.org/index.php?mod=auteurs&a=06
Je ne porte pas de costume et les limousines ne m’impressionnent pas. Je ne dîne pas dans des restaurants quatre étoiles. Je ne porte pas de casquette avec le logo de mes employeurs car je n’ai ni tête ni visage, et depuis la crise économique mondiale de 2007 je n’ai cessé d’envahir les marchés financiers.
Je travaille au 1 700 MacArthur Boulevard, à Mahwah, une banlieue endormie du New Jersey située à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Wall Street. Mon bureau est grand comme sept stades de football américain, mais je n’en occupe pas la totalité : l’espace où je travaille ne fait que quelques centimètres carrés, loués tout spécialement à Mahwah par mes employeurs pour une somme que j’estime entre 10 000 et 25 000 dollars par mois. Comme certains étudiants je vis en colocation. Ceux qui partagent le réfrigérateur avec moi s’appellent Dagger, Sniffer, Guerrilla, Shark ou Razor, et tous sont autant de concurrents potentiels que je scrute attentivement à longueur de journée.
Je travaille de 9h30 à 15h30, sans relâche et si vite que je prends des décisions en bien moins de temps qu’il n’en faut à un être humain pour cligner de l’œil.
Bienvenue dans le monde du #trading à haute fréquence.
Ah mais voilà ! ►http://seenthis.net/messages/81370 @supergeante je me disais bien que ça me rappelait quelque chose / #seenthis ma #mémoire
des extraits du bouquin ►http://www.zones-sensibles.org/files/6_extraits.pdf
►http://www.zones-sensibles.org/files/img/6-3.jpg
Aha :D - J’avais l’impression de l’avoir évoqué aussi :D
Je viens de le dévorer (le 6), c’est vraiment passionnant.
Ya plus qu’à...
►http://www.nhc.noaa.gov/refresh/graphics_at3+shtml/152346.shtml?5-daynl?large#contents
La Bourse de New York va se limiter aux échanges électroniques lundi
►http://www.romandie.com/news/n/_La_Bourse_de_New_York_va_se_limiter_aux_echanges_electroniques_lundi55281
La Bourse de New York va se limiter aux échanges électroniques lundi
NEW YORK - Les échanges physiques seront suspendus lundi à la Bourse de New York, qui va se limiter aux échanges électroniques en raison de l’arrivée de l’ouragan Sandy, une première depuis 27 ans, a annoncé dimanche l’opérateur boursier NYSE Euronext.
Sandy a déjà fait 51 morts et 15 disparus à Haïti
►http://haitinews2000.net/sandy-a-deja-fait-51-morts-et-15-disparus-a-haiti
La tempête tropicale Sandy a profondément affecté le pays au cours de la semaine écoulée. Les autorités ont déjà recensé 51 morts, 15 disparus et 18 blessés. Près de 80% des décès (38) sont enregistrés dans l’Ouest et le Sud, selon le Bureau de la Protection civile.
►http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2012/10/29/evacuations-vols-annules-wall-street-ferme-new-york-se-prepare-au-passage-de
« ON ENTRE LÀ DANS UN TERRAIN INCONNU »
Ceux-ci s’attendent à ce que l’ouragan touche les terres, sans doute mardi matin, probablement sur la côte du Delaware ou du New Jersey, au sud de New York. Tôt lundi, l’ouragan se trouvait à 760 kilomètres au sud de New York et il a commencé à s’orienter vers l’ouest, selon le NHC, installé à Miami.
Les vents soufflaient à 120 km/h mais devraient se renforcer à mesure que l’ouragan progresse vers des eaux plus froides. Ces vents soufflent jusqu’à plus de 800 kilomètres de l’œil du cyclone selon le NHC. Une pression atmosphérique de 951 hectopascals – quasiment jamais observée sous ces latitudes quand la pression normale est de 1 015 hectopascals – a par ailleurs été relevée.
Un spécialiste de la météo du Washington Post avouait sur le site internet du journal n’avoir « jamais vu » de pareilles prévisions : « On entre là dans un terrain inconnu. » Le site propose notamment une carte de suivi de l’ouragan en temps réel.
Hurricane Tracker : ►http://www.washingtonpost.com/hurricane-tracker?hpid=z2
#It_has_begun