La croisière tourne mal 💩🤼
Un problème de riches !
Quand des américains en croisière sont restés bloqués en mer sans système d’évacuation, sans ventilation et sans assistance rapide pendant 7 jours.
A regarder avec pop-corn et sans compassion.
La croisière tourne mal 💩🤼
Un problème de riches !
Quand des américains en croisière sont restés bloqués en mer sans système d’évacuation, sans ventilation et sans assistance rapide pendant 7 jours.
A regarder avec pop-corn et sans compassion.
Ah merde, les vieux films, dites, faut prévenir : ce week-end on se regarde Le Magnifique (1973) avec Bébel qui cabotine comme jamais (c’est le charme du film, parodie des James Bond et des SAS). En pendant tout le film, hé ben c’est vraiment bidonnant, le rythme est un peu bancal, le scénario un peu répétitif, mais grosso modo c’est dans l’esprit d’OSS 117 (2006) et il y a même une vaguounette critique sociale typiquement seventies (l’éditeur est riche et c’est une ordure).
Et arrivent les toutes dernières minutes, et là c’est la cata : l’héroïne se fait violer et c’est censé être drôle, et quand elle va se plaindre auprès des soldats, hop elle se refait violer en réunion, hu hu qu’est-ce qu’on se marre. Comme on se voyait pas expliquer là tout de suite la culture du viol aux enfants, j’ai attrapé la zapette et on a sauté quelques minutes. Ensuite on a le héros et le méchant qui découvrent qu’ils sont attirés l’un par l’autre (le fameux « Mais tu sais que tu me plais, toi ! » à Bébel), et évidemment ils partent en se trémoussant et en gloussant comme on se représentait les gays dans les années 70.
Ah là vache. Quand tu te fais un vieux film, tu t’attends assez systématiquement à ce que ce soit plus ou moins sexiste, avec des vannes déplacées et, surtout, des stéréotypes pas finauds, et encore aujourd’hui le viol comme ressort scénaristique c’est assez fréquent. Mais là c’est un autre level : le viol comme ressort comique dans une comédie familiale, pfiou, j’étais pas prêt (je suis d’un naïf…).
On n’a pas fini de ramer. L’humour aujourd’hui oppressif c’est genre incompris par la majorité de l’humanité. On devrait créer une chaire mondiale d’humour non oppressif . Je m’inscris illico presto pour avoir des billes et ne pas grimper dans les tours ou buguer lors d’une conversation familiale courante ! Ce besoin constant d’interrompre l’autre pour placer une blague de merde c’est déroutant ! Oui mais bon j’ai pas d’humour et il faut genre se justifier ! ça me soule .
Perso j’ai regardé « Le professionnel » l’autre jour. Outre que c’est mal joué, mal filmé, avec des décors de merde c’est sexiste, raciste, homophobe, incohérent et inconsistant. De plus on voit jamais un berger allemand courir dans la campagne durant tout le film (musique Royal Canin). Bref on revient de loin
Revu récemment, ici aussi. Le début est impeccable, jusqu’au moment où ça vire à l’absurde, au glauquissime et au nullissime.
Sur AlloCiné, il y a 190 « critiques spectateurs », et il n’y a qu’une seule critique (Aline) qui a remarqué les viols :
Je ne vois pas en quoi cela est drôle, le viol. Peut-être on va me traiter de féministe mais ce film qui va féter bientôt ses 50 bougies a mal vieilli. En aucun cas, je ne trouve cela amusant.
Sur SensCritique, même topo, sur 90 commentaires, je n’ai trouvé qu’une critique (Dekdek, « femme née dans les années 90 ») qui les mentionne :
▻https://www.senscritique.com/film/le_magnifique/critique/218553407
La vérité est que ce film est dépassé et c’est tant mieux. Peut-être était-ce normal dans le cinéma français des années 70 que de tourner au ridicule le viol, les agressions sexuelles et de se moquer des homosexuels ?
Ah ça ! L’humour bien franchouillard des seventies eighties ...
Du coup, je me rabats vers les productions britanniques bien aussi sexistes mais tellement plus « convenables ». Et en plus, la « french way of life » y est bien moquée. Bien fait pour tous ces blaireaux de bouffeurs de grenouilles.
En VOST, comme ça tu as le bénéfice d’une immersion dans la langue anglaise.
What zef… qu’est-ce que c’est que ce truc ? Un dieu rebelle (1989)
▻https://www.imdb.com/title/tt0097292
Another planet in the period of medieval times. An employee of the institute of experimental history from Earth, who is send under the name of noble don Rumata of Estor as a spy with a mission to contact the local resident of the institute, arrives in the city of Arkanar. But the resident perishes under an unlucky attempt to make a palace coup, and Rumata have to take his place as the resident. Soon he meets all the horrors of the medieval society - a peasant war, palace coups, mass executions. To continue to be an indifferent watcher of all these horrors turns out to be simply impossible...
Je pense que je suis parti pour me le faire en allemand, du coup :
▻https://www.youtube.com/watch?v=YX4r6nhabLk
Et apparemment, une version russe de 2013 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=Lk_McQ0s2qE
Il existe en français :
Titre original : Es ist nicht leicht ein Gott zu sein
Réalisateur : Peter Fleischmann
Durée : 1h59mn
Acteurs : Edward Zentara, Anne Gautier, Hugues Quester
Genre : Science fiction
Nationalité : Ouest-Allemand, Français, Soviétique
Date de sortie : 1989
Résumé :
Richard a été envoyé par les siens parmi les habitants d’une autre planète afin de les observer. Problème, le temps passe et il ne donne plus de nouvelles... Inquiet, Alan part à sa recherche et débarque dans un univers semblable à notre Terre, mais avec des siècles de retard.
Qualité : DVDRIP
Format : MPEG-4
Codec Vidéo : AVC/H264
Bitrate Vidéo : 2662 Kbps
Codec Audio : AAC
Bitrate Audio : 128 Kbps
Langues : français
Sous-titre : aucun
Taille et nombre de fichier : 2,16 Go / 1 fichier
;-)
Sinon y’a la version Disney (Un Cosmonaute chez le roi Arthur - 1979) :
▻https://www.dailymotion.com/video/x8eedm3
Je l’ai en VOST : ▻https://www.senscritique.com/film/il_est_difficile_d_etre_un_dieu/10877238
Éprouvant !
TRÈS ÉPROUVANT !
Voire carrément dégueulasse !
« The power of the dog » de Jane Campion
▻https://blogs.mediapart.fr/colette-lallement-duchoze/blog/200222/power-dog-de-jane-campion
Composé de 5 chapitres (passage écran noir, ellipses) dont la structure rappelle la tragédie à l’antique (exposition, noeud, dénouement) the power of the dog frappe par la permanence de thèmes chers à la réalisatrice néo-zélandaise, ceux qui ont innervé sa filmographie. L’adolescence meurtrie –ici celle de Phil sous la forme de réminiscences, –la perpétuation d’un trauma, l’idéalisation par des rites purificatoires, –celle de Peter, dans un premier temps du moins, celui des humiliations infligées par Phil, la douleur de voir sa mère aimée et aimante se détruire, le trauma lié au suicide du père. Le regard des autres –outre la beauté plastique des intérieurs et extérieurs toute une circulation de regards traverse le film, regards surdimensionnés par le gros plan, regards de l’intime, regards de feux de Phil destinés à Rose ou Peter, regard d’une caméra subjective, etc... La monstruosité : Phil non seulement incarnerait une virilité toxique mais aussi le sadisme, le machiavélisme ; ce qu’accentue son regard bleu acier… lui qui émascule les veaux du cheptel aurait-il le pouvoir d’émasculer son entourage ? et pourtant... Et de quoi Peter est-il capable pour « protéger sa vie, celle de sa mère contre le pouvoir des chiens » ?
▻https://www.senscritique.com/film/the_power_of_the_dog/critique/260121703
« I wanted to say how nice it is not to be alone ». Alors qu’ils viennent de se marier, Georges, à travers quelques larmes, avoue cela à Rose, la femme qu’il vient d’épouser. Lui avoue que c’est agréable de ne pas être seul. Car The power of the dog , s’il parle bien de masculinité toxique et d’homosexualité empêchée, est aussi un grand film sur la solitude. Ici tous les personnages sont seuls, seuls avec leurs démons et leurs failles, et leurs souvenirs aussi : d’un mari, d’un père, d’un amant peut-être, ou de temps meilleurs. Seuls et perdus au milieu de paysages immenses et austères (le Montana de 1920) les renvoyant sans ménagement à leur condition, ou à ce qu’ils sont devenus, où à ce qu’ils (y) cachent, ou à ce destin lourd, ce destin de damné dans ce Montana qui ressemble à un enfer minéral, sans rien, enfin pas grand-chose.
Adaptant le roman de Thomas Savage qui, lors de sa parution en 1967, fit scandale (c’est que Savage osait déconstruire la figure du cow-boy de l’Ouest, alors viril et endurci), Jane Campion s’empare avec force et âpreté de ce récit à la fois terrien, ancré pleinement dans l’histoire d’une Amérique forgée dans la poussière et le sang, et psychologique en auscultant les différents rapports de force (et de désir) qui isolent chacun des personnages dans leurs travers et leurs secrets. Au centre de l’arène (un ranch aux allures de demeure gothique posée là, incongrue, au pied de collines comme dessinant des formes au loin), deux frères très proches mais différents dont l’un, charismatique et cruel, se plaît à rabaisser l’autre, simple et réservé.
Et puis une mère et son fils, elle à la dérive, délaissée, en butte contre ce frère hostile qu’elle doit tout à coup côtoyer parce qu’elle a épousé l’autre, lui fragile et sensible, efféminé pour dire les choses, une « chochotte » dont on s’amuse et se moque. Campion va peu à peu resserrer les fils narratifs sur Phil, le frère odieux, et Peter, le fils délicat ; concentrer les antagonismes sur leur relation qu’elle ne cherchera à réduire à une banale affaire de domination et d’attirance. Car si l’autre frère, George, disparaît progressivement de l’intrigue, Rose, la mère, devient malgré elle l’objet d’une lutte sourde, presque primitive dans la divulgation (tardive) de ses instincts, charnels ou filiaux.
Très vite d’ailleurs se fait la compréhension de ce qui taraude et ce qui anime Phil, reclus dans sa détestation du monde et les vestiges d’une passion (d’une obsession) ancienne, et Campion n’en fait pas vraiment un mystère ni même une finalité. Ce qui l’intéresse, c’est comment les masques vont subrepticement se fissurer puis finalement tomber, révéler les caractères et les déterminations ; et par quels effets, par quels stratagèmes, par quelles résiliences. Se dessine ainsi une mise à mort du mythe, en règle, douce et lente, à laquelle Campion donne corps, apporte beauté et subversion. Il faut voir comment elle magnifie les espaces, traque sur les visages les émotions, leur évidence ou leur refoulement, extrait le meilleur de la sève de ses quatre interprètes, en particulier chez Benedict Cumberbatch et Kodi Smith-McPhee.
Comment elle sait distiller en même temps contrastes et évidences, façonner trouble et sensualité, hérités de La leçon de piano (les baignades clandestines de Phil, ces cow-boys torse nu ou nus tout simplement, cet échange de cigarette telle une caresse érotique…), jusqu’à ce point de rupture, ce point de dislocation de cette masculinité forcée. De ce fameux « mâle alpha » soudain vulnérable, gisant, plus seul que jamais. Et d’une puissance illusoire parce qu’incapable d’accepter changements à l’œuvre et nature profonde, inscrits tous les deux dans une modernité mise en branle que tant, trop facilement, préféreront rejeter.
En Israël, le divorce reste une affaire d’hommes Aline Jaccottet
▻https://www.letemps.ch/societe/israel-divorce-reste-une-affaire-dhommes

Des milliers d’Israéliennes sont empêchées de divorcer, la loi juive prévoyant que seul l’homme peut décider de la fin de l’union conjugale. Galvanisées par le mouvement #MeToo et soutenues par des rabbins ingénieux, les femmes se battent pour leur liberté
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Un tableau qui serait banal sans le combat extraordinaire qu’elle a dû mener pour obtenir sa liberté. « Trois ans de bataille pour le quitter », souffle-t-elle avec un sourire las. Mariée à 19 ans, la jeune femme découvre un époux « absent, maltraitant. La situation n’a fait qu’empirer avec le temps. J’ai fini par comprendre qu’il fallait que je parte pour sauver ma peau ». Mais après avoir accepté d’ouvrir un dossier de divorce, son ex-mari se volatilise en France puis refuse tout contact pendant des mois.
Deux types de lois, civile et religieuse, coexistent ainsi en Israël, le droit civil s’occupant grosso modo de tout à part de l’état civil. Et si la Cour suprême israélienne, connue pour son progressisme, a contribué, au fil des années, à faire évoluer l’interprétation de la loi juive par les rabbins en influençant leurs décisions de diverses manières, le divorce résiste encore et toujours aux modernisateurs. « La Haute Cour de justice intervient sur les problèmes découlant de la séparation tels que le soin aux enfants ou le partage des biens, jamais sur l’acte de séparation lui-même », précise Shuki Friedman.
Si le mariage et le divorce demeurent les prérogatives intouchables des orthodoxes, c’est parce que ces changements d’état civil définissent aussi si les enfants nés de ces unions sont juifs ou non. Peu de chances que la situation évolue, les très religieux ayant pris une place considérable dans la société et la politique israéliennes suite à leur expansion démographique hors normes – de quelques centaines en 1948, ils sont aujourd’hui plus d’un million.
Loi éternelle
Ce n’est pas pour déplaire à Raphaël Sadin. « La loi juive n’a pas à être adaptée car sa valeur est éternelle. Lorsque la pratique évolue, ce n’est que pour faire en sorte que la loi continue d’être respectée », tranche le rabbin dans son salon rempli de livres du sol au plafond. Talmudiste reconnu, ce Franco-Israélien à la tête d’un institut d’études religieuses pour hommes à Jérusalem a deux passions : la Bible et les mots. Parlez-lui de mariage, il devient lyrique. « Les noces chez nous, ce n’est pas un contrat : c’est la rencontre de deux âmes faites de toute éternité pour être ensemble ! » s’exclame-t-il de sa voix de stentor en se passant la main dans sa barbe grise soigneusement taillée. Il y a pourtant une place pour l’erreur humaine dans ce qui est écrit aux Cieux. « Les pierres du Temple de Jérusalem elles-mêmes versent des larmes lorsqu’un homme et une femme divorcent, mais la loi juive conçoit que cela puisse arriver », dit-il. Un libéralisme apparent qui contraste avec sa description de l’amour. « Le judaïsme traditionnel conçoit le rapport amoureux comme une possession dans laquelle il y a, oui, une certaine violence : métaphysique, spirituelle, politique même. La femme se donne et l’homme s’engage. Et c’est lui qui, au moment du divorce, coupe le lien en lui disant : ce que tu m’as donné, je te le rends. » Une inégalité que Raphaël Sadin assume parfaitement. « Quoi que puisse dire la société occidentale, le féminin et le masculin sont ontologiquement différents. »
Ces paroles pourraient faire craindre que la voix des femmes ne soit jamais entendue dans les tribunaux, mais c’est le contraire qui se produit selon lui. « Le tribunal tranche toujours en faveur de l’épouse. Il n’oblige jamais une femme à rester avec un homme dont elle ne veut plus car, s’il la retient, il commet un des péchés les plus graves de la Torah », tonne Raphaël Sadin. Rivka Perez raconte d’ailleurs que son expérience a été positive. « J’avais peur de la réaction des rabbins mais ils ont été bienveillants et ont fini par donner à mon ex le statut de « mari récalcitrant », « ce qui signifie que des mesures sévères pouvaient être prononcées contre lui ». Ils ont ensuite déployé l’artillerie lourde vis-à-vis de cet homme qui refuse obstinément de la laisser partir : « Les rabbins ont lancé à son encontre une mesure d’exclusion de la communauté juive. C’est une des sanctions les plus dures qui puissent être prononcées. Aucun juif n’avait plus le droit de lui parler, il était exclu des synagogues… » Effrayé par les conséquences de cette décision juridique que Rivka diffuse à toutes les communautés juives de France, son ex signe les papiers du divorce en quelques jours à peine.
L’ingéniosité de la loi juive ne cesse d’émerveiller Katy Bisraor Ayache. Sous son fichu, cette petite femme constamment affairée est avocate rabbinique. Un métier qui n’existe que depuis une trentaine d’années. « J’ai fait des études très poussées en religion pour aider des femmes à se défendre devant les tribunaux rabbiniques », explique cette Française d’origine dont la rencontre sur un parking de la ville balnéaire de Netanya tient du miracle, tant son agenda est plein. On fait appel à elle dans tout le pays car ses compétences sont rares et respectées. « Quand les juges me voient arriver, il y a comme un wouahou dans la salle. Ils savent que je suis une coriace », rigole celle qui a aidé Rivka à quitter son mari.
L’art de la menace
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#Égalité #divorce #femmes #sexisme #famille #domination_masculine #masculinisme #mariage #religion #israel #violence #patriarcat #politique #couple
Un oui soviétique à l’égalité salariale dans le Jura Vincent Bourquin

▻https://www.letemps.ch/suisse/un-oui-sovietique-legalite-salariale-jura
Plus de 88% des Jurassiennes et des Jurassiens ont dit oui à l’initiative « Egalité salariale : concrétisons ! » Des mesures concrètes seront soumises prochainement au parlement.
Les Jurassiennes et les Jurassiens sont donc quasiment unanimes pour demander que des mesures concrètes soient prises afin de mettre fin aux inégalités salariales entre hommes et femmes. Des inégalités particulièrement criantes dans le dernier-né des cantons : en 2017, l’écart y était de 23%, ce qui en faisait le plus mauvais élève du pays.
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Suisse : Où en est le mouvement de la grève féministe, qui bat le pavé ce lundi ?
▻https://www.letemps.ch/societe/mouvement-greve-feministe-bat-pave-lundi
Après la mobilisation historique de 2019, la claque des statistiques pendant la pandémie, et l’annonce mercredi dernier du relèvement à 65 ans de l’âge de la retraite des femmes... « Le Temps » a sondé les espoirs et déceptions du mouvement à travers la voix d’une de ses représentantes, Tamara Knezevic.
#Suisse : Grève féministe ce Lundi 14 Juin 2021
►https://www.14juin.ch
Deux ans après la légendaire Grève des femmes* de 2019, la situation en matière d’égalité des sexes reste insatisfaisante : sans le travail rémunéré, mal rémunéré et non rémunéré des femmes, la société ne pourrait pas fonctionner, encore moins avec l’actuelle pandémie du COVID-19. Et pourtant, les conditions de travail et les salaires des professions dites « d’importance systémique » dans lesquelles travaille une majorité de femmes, sont toujours mauvais. Les employeurs et employeuses, comme le discours politique dominant, ne veulent pas que cela change. Et le Conseil fédéral nous présente sa stratégie « Égalité 2030 », qui ne va pas améliorer la lamentable situation dans laquelle nous nous trouvons, mais prévoit le relèvement de l’âge de la retraite des femmes. À cela, nous disons : pas question !
Les places dans les crèches et les écoles à horaire continu, qui devraient alléger la charge des femmes, sont clairement sous-financées ; cela, au détriment des familles, qui doivent payer des contributions records, du personnel, qui manque de temps pour faire son travail, ainsi que de la qualité qui pâtit d’une logique prônant les économies. Or, cette tâche, qui relève de l’ensemble de la société, devrait reposer sur un financement solidaire assuré par les collectivités publiques !
Et finalement, la différence de salaire entre les hommes et les femmes s’est même creusée entre 2014 et 2018, au lieu de diminuer, surtout parce que les discriminations salariales se sont accentuées. Cela, bien que les femmes aient dépassé depuis longtemps les hommes en matière de formation, parce que la valeur des femmes et de leur travail reste moins reconnue !
La Commission des femmes de l’USS demande pas conséquent instamment, deux années après la Grève des femmes
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Revoir Le Procès de Viviane Amsalem de et avec la regrettée Ronit Elkabetz, au sujet du divorce à l’israélienne.
▻https://www.senscritique.com/film/Le_Proces_de_Viviane_Amsalem/11195588
Les conteneurs tombés à la mer, un danger passé sous les radars
▻https://www.lemonde.fr/economie/article/2021/04/07/les-conteneurs-tombes-a-la-mer-un-danger-passe-sous-les-radars_6075783_3234.
ENQUÊTE - Des milliers de ces boîtes de plusieurs tonnes finissent au fond des océans chaque année, ce qui contribue à la détérioration des écosystèmes et rend la navigation plus dangereuse.
De mémoire d’armateur, on n’a jamais vu ça. Ces derniers mois, la perte de conteneurs, un mal discret dont souffre le commerce maritime, a pris une ampleur exceptionnelle. Plusieurs navires ont joué au Petit Poucet par gros temps. Pas moins de sept accidents ont été recensés entre octobre 2020 et février 2021, bien moins médiatisés que le blocage du canal de Suez, fin mars, par un cargo géant.
Au total, près de 3 100 boîtes métalliques sont passées par-dessus bord, essentiellement dans le Pacifique Nord, le passage le plus rapide entre l’Asie et la côte ouest des Etats-Unis mais aussi le plus dangereux, avec sa forte houle et ses vents mauvais.
Le capitaine du One Apus n’oubliera pas de sitôt ce guêpier météo. Parti du port chinois de Yantian, le marin faisait route vers la Californie quand, dans la soirée du 30 novembre 2020, un violent orage a frappé son porte-conteneurs, un bâtiment aussi long que la tour Eiffel est haute. De plus en plus menaçantes, les vagues ont provoqué un roulis si puissant que des piles de marchandises se sont effondrées. Selon les chiffres de l’armateur, 1 816 boîtes sur les 14 000 transportées sont tombées à l’eau. Et au moins 64 d’entre elles contenaient des produits toxiques et explosifs, engloutis à jamais au fond de l’océan, à quelque 1 600 milles nautiques d’Hawaï.
« Oui, certaines images qu’on a pu voir récemment sont spectaculaires, qui pourrait le nier ?, convient Christine Cabau, membre de l’état-major de la compagnie française CMA CGM, quatrième armateur mondial. Les accidents se sont en effet multipliés, une tragique loi des séries. Mais n’oubliez pas que 226 millions de conteneurs transitent chaque année sur les mers du globe et que les chutes restent marginales. Le phénomène doit être relativisé. »
Que disent les statistiques ? Inutile de chercher une base de données internationale, il n’en existe pas. Du côté des transporteurs, on se fie volontiers aux chiffres du World Shipping Council, le porte-voix des compagnies qui comptent. Sur la base des études menées depuis 2008 auprès de ses adhérents, l’organisme avance que 1 382 conteneurs sont perdus en moyenne chaque année.
Cette comptabilité à l’unité près fait sourire Charlotte Nithart, porte-parole de l’association de défense de l’environnement Robin des Bois. « Comment croire en une telle précision ? Outre les événements majeurs comme celui du _One Apus_, il faut aussi prendre en considération les pertes de routine non déclarées. Nous pensons plutôt que plusieurs dizaines de milliers de boîtes disparaissent dans les flots chaque année._ »
Il y a eu un film qui prenait ce problème comme point de départ : ►https://www.senscritique.com/film/All_Is_Lost/8264921
Ai failli passer à côté du dernier #David_Fincher.
Merveilleux. Dialogue à la #Audiard et dessous de l’industrie Hollywoodienne des années 30 au programme de ce biopic du scénariste de #Citizen_Kane.
Anecdotes intéressantes sur les petites malversations de la MGM pour empêcher les vilains socialistes de gagner les élections en Californie.
(16) Mank - Film (2020) - SensCritique
▻https://www.senscritique.com/film/Mank/39745842
▻https://www.youtube.com/watch?v=DJ2SrTN4mzY
Ce film à dialogue film est bien doublé. Donc j’ai préféré le regarder en VF pour ne rien louper des magnifiques plans en noir et blanc.
Dans la catégorie des films qui marchent avec les enfants de 9 ans. Les films de Fiona Gordon. Et aujourd’hui, « la Fée ».
On rit, on se promène dans le Havre, on se demande pourquoi les frontières existent, on découvre la chanteuse Anaïs Lemarchand
(19) La Fée - Film (2011) - SensCritique
▻https://www.senscritique.com/film/La_Fee/477254
Dom est veilleur de nuit dans un petit hôtel du Havre. Un soir, une femme arrive à l’accueil, sans valise, pieds nus. Elle s’appelle Fiona. Elle dit à Dom qu’elle est une fée et lui accorde trois souhaits. Le lendemain, deux vœux sont réalisés et Fiona a disparu. Mais Dom est tombé amoureux de la Fée Fiona et veut la retrouver.
Si seulement Matzneff était le seul problème | Le Club de Mediapart
►https://blogs.mediapart.fr/patricjean/blog/301219/si-seulement-matzneff-etait-le-seul-probleme
La grande majorité de ces crimes et délits sont commis dans le cercle familial et 70% des plaintes sont classées sans suite. Pire encore, des théories issues d’auteurs pro-pédophiles américains ont pollué le système judiciaire, portées par des associations dites « de pères ». Ainsi le « #Syndrome_d-Aliénation_Parentale » (#SAP) permet d’affirmer qu’un signalement d’agression d’un enfant par un homme de sa famille est très probablement un fantasme qui lui a été « implanté » par sa mère. Dans des milliers de dossiers, c’est donc la mère qui est remise en cause par la justice, parfois menacée de prison si elle persiste dans ses accusations, et souvent écartée de l’enfant que l’on remet à la garde de son agresseur présumé. Le tout sans enquête digne de ce nom. Parfois sans enquête du tout.
Des « experts » qui se targuent d’enseigner à l’Ecole Nationale de la Magistrature propagent ces théories. Tel le très médiatique Paul Bensussan qui peut prendre la parole dans un procès sans avoir rencontré les victimes. Tel Hubert Van Gijseghem qui tente en permanence de démontrer que les accusations d’agressions d’enfants (parfois signalées par cinq professionnels) ne sont que des inventions. Ces gens-là donnent partout des conférences. Ils enseignent, ils forment des professionnels. Et leur idéologie finit par porter ses fruits. Comme je le démontre dans le livre, cinq propositions de lois ont été discutées à l’assemblée nationale en France pour inscrire dans la législation ces théories dont le but évident est de faire taire les victimes.
Les associations « de pères » que l’on a vu en haut de nombreuses grues françaises dès 2013, soutenues activement par bon nombre de médias, propagent l’idée que les hommes sont victimes devant la justice et que les mères passent leur temps à inventer des agressions sexuelles qui n’existent pas. Tout cela sans évidemment expliquer pourquoi les 3 à 6% d’enfants victimes restent invisibles pour la justice. Ni comment, alors que le nombre de plaintes augmente, le nombre de condamnations ne cesse de diminuer.
Il y a une image pédopornographique dans le texte, genre ranx xerox. TW donc...
l’image n’est pas sourcée mais elle n’est pas de Tanino Liberatore, plutôt de Christian Chapiron (kiki picasso) Bazooka
oui, c’est kiki picasso, dans le style ranx quand même. L’auteur de l’article a retiré l’image dans le doute (lui ai fait remarqué que les pédo allaient kiffer, que les victimes pas du tout,et que ceux qui avaient besoin d’une telle image pour être convaincu de la gravité de la chose, on pouvait les laisser là où ils barbotent).
Paul Bensussan milite pour qu’on ne prenne pas en compte la parole des victimes surtout si c’est des enfants : ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Bensussan#Les_%C2%AB_fausses_all%C3%A9gations_d'abus_sexuels_%C2%
Hubert Van Gijseghem est le psychologue qui forme la police francaise et belge pour culpabiliser les victimes et introduir le SAP dans les procédures judiciaires au Canada, en France et en Belgique : ►http://1libertaire.free.fr/LeoThiersVidal24.html
Ces deux là ont l’aire d’en vouloir en particulier aux victimes d’inceste - ca serait interessant de savoir si ils ont des enfants.
pour le #SAP que j’avais le bonheur de ne pas connaître jusqu’à aujourd’hui ; j’ai vu passé ça là : ▻https://twitter.com/WCM_JustSocial/status/1211448312932585472
Pas été plus loin...
Si le sujet t’intéresse je te conseil d’aller voire ce lien
►https://seenthis.net/messages/738233
pas le courage tout de suite, mais va falloir que je m’y colle un jour. Bonne année hein !! si t’as envie de changer de sujet : plein de film de kung fu là : ▻https://seenthis.net/messages/818231
Merci @tintin pour le kung fu, j’ai vu il y a peu « l’exorciste chinois »
▻https://www.senscritique.com/film/L_Exorciste_chinois/417414/videos
si tu l’as pas vu je te le recommande.
Bonne année à toi aussi :)
« D’une obscénité sans fond, nous offrant son sinistre nombril malade et exposant les souffrances qu’il a fait vivre à cette enfant, #Matzneff le vieux prédateur émoussé tente la tendresse et la victimisation, se délectant de ses sévices passés. Allez, adieu ! »
Matzneff tombe et c’est une bonne chose. Ses livres très dispensables, sa prose confite dans l’égotisme complaisant et son militantisme pro-pédocriminalité a vécu. La tombe l’attend, tout comme l’oubli instantané dans lequel tombera cette figure flétrie du saint germain finissant.
Matzneff, c’est un nom, mais c’est surtout tout un monde qui se cache derrière le vieux pédocriminel. Celui de l’entre soi de mecs fiers, jouisseurs sans entraves, amoureux solitaires du paraître permanent et accrocs à la célébrité facile comme au cul sous l’âge légal. Un monde d’imbéciles heureux contents d’eux, s’autocélébrant dans une fête perpétuelle et persuadés d’être au dessus de tous leurs contemporains, qu’ils jugent sans saveurs pétris dans la morale et l’ennui. Un monde de prédateurs pour qui tout humain est une chose, une fonction, une utilité, mais jamais un être humain, libre et respectable.
C’est ce monde là qui enfin tombe. L’entre soi masculiniste de la compétition, de la baise au kilo, du concours de bites, ou de millions de dollars. Mais ce monde de la prédation est bien plus vaste que le nombril d’idiots priapiques obsédés et fainéants...
▻https://www.lemondemoderne.media/la-chasse-aux-predateurs-est-ouverte
C’est tout un petit monde chahuté qui tombe. « maladroit »
bon quand même patrick jean, l’auteur de l’article, qui publie cette image de merde pour faire prendre conscience aux gens de ce qu’il était possible de publier « à l’époque », ne me semble pas être la plus fine des plumes qui volent en ce moment dans le nuage journaleux.
Giudicelli est juré Renaudot, à l’origine du prix essai décerné à son grand ami, membre du comité de lecture de Gallimard. Aux éditions du Rocher, il dirige la collection La fantaisie du voyageur.
Dans les années 80, lui et Matzneff étaient adeptes de tourisme sexuel à Manille.
Jérome Béglé du point, toujours prêt à un article pour son ami du Renaudot.
Son livre « La Planète Nemausa », mélange d’autoportrait et de réflexions sur la vie et l’art, recueille un torrent de louanges. Enfin ! Par Jérôme Béglé
Christian Giudicelli confesse être « un adepte frénétique » des passes avec les jeunes prostitués maghrebins.
Le site de Roland Jaccard, psychanalyste fait l’apologie de la pédophilie, il y pose en photo à la piscine avec son grand ami et se lamente de l’époque en glorifiant son passé. Il tenait la rubrique psy du journal Le Monde.
Dans les années 1980 #Matzneff vivait dans un appartement payé par Pierre Bergé et Yves St Laurent. Le fondateur de Causeur, Roland #Jaccard, intime de Matzneff « draguait » avec lui. N’oublions pas non plus Christian #Giudicelli, adepte des séjours aux Philippines avec Gabriel.
ok j’ai déroulé deux post de son blog, une ordure de première bourre celui-là.
En ce début de XXIe siècle, les voix féminines se font de mieux en mieux entendre. Démonstration avec les parcours de femmes de conviction : Hillary Clinton, Michelle Bachelet, Inna Shevchenko. Une révolution tranquille est en marche. Petit à petit, le combat pour l’égalité des sexes progresse, dans les coulisses du pouvoir comme dans certains villages du tiers-monde. Aux quatre coins de la planète, à travers leurs trajectoires mêmes, des femmes contribuent à inspirer cette volonté de changement. Ce documentaire passe en revue leurs réussites et leurs combats : les militantes indiennes et nigériennes luttant pour leurs droits, mais aussi des personnalités telles que Christine Lagarde, Michelle Bachelet ou la Femen Inna Shevchenko. D’autres femmes engagées, comme Hillary Clinton, la théologienne Margot Käßmann (ex-évêque de Hanovre) et Melinda Gates, s’expriment dans ce film et donnent leur point de vue sur la condition féminine. Un documentaire qui montre comment, peu à peu, leurs comparses font tomber les barrières qui les empêchaient d’avancer.
▻https://www.senscritique.com/film/Les_femmes_de_pouvoir/19821282
#film #documentaire
#politique_étrangère_féministe #égalité #leadership_féminin #maternité #Christine_Lagarde #Minouche_Shafik #revenu #quota_féminin #Angela_Merkel #droits_des_femmes #féminisme #Michelle_Bachelet #préjugés #politique #Inde #Daphne_Jayasinghe #toilettes #corruption #Suède #Chili
#Margot_Wallström, qui déclare :
«Sexual violence against women is not cultural, is criminal»
#viol_comme_arme_de_guerre #sens_de_culpabilité #armes #commerce_d'armes #Haifaa_al-Mansour #invisibilité #invisibilisation #Arabie_Saoudite #sous-représentation_féminine #religion
#femmes_du_mur (#mur_des_lamentations)
#Elana_Sztokman —> #mouvement_féministe_juif_orthodoxe
(#judaïsme #judaïsme_orthodoxe)
ligne de bus « #meandrine » (= de stricte observance)
#ségrégation #patriarcat #radicalisme_religieux #Femen #auto-détermination #mariage_forcé #Niger #mortalité_maternelle #droit_à_l'avortement #avortement #droits_sexuels_et_reproductifs #IVG #Morena_Herera
#El_Salvador #Las_17 (▻https://las17.org)
#machisme
contrôle de la #fertilité
Incroyable maire d’un village en #Inde :
#Chhavi_Rajawat
Mediterraneo
#tourisme #Méditerranée #mourir_en_mer #mer_Méditerranée #cimetière #dessin #caricature #dessin_de_presse #morts #décès #collision #migrations
En citant @reka :
Petit #crash de deux mondes qui n’auraient jamais dû se rencontrer.
source : ►https://visionscarto.net/la-mediterranee-plus-loin
v. aussi mon billet sur @visionscarto sur le campement à #Côme :
Touristes et migrants : collision en gare de Côme
Fil de discussion devenu une sorte de #métaliste...
D’autres images/documents qui donnent à voir ces points de collisions ?
Vos idées, sont les bienvenues... pour un futur billet @visionscarto, @reka ?
La photo d’une tourisme en maillot sur une plage réconfortant un migrant naufragé.
Oui, celle-ci est citée via le billet de @reka, où l’on peut citer aussi sa carte:
Mais, justement, je voulais voir si les seenthisien·nes en ont en tête d’autres...
« Invisibiliser les migrants, pour visibiliser une région de tourisme »
C’est les mots prononcés par Sarah Bachellerie lors d’une session des Rencontres de géopolitique critique :
▻http://blog.modop.org/post/2019/03/Discussion-D%C3%A9sert-%E2%80%93-Mer-%E2%80%93-Montagne-%3A-la-construct
Elle se réfère à ce qu’elle a observé à Briançon.
#Briançonnais, des #migrants croisent des #skieurs dans une vidéo publiée par Internazionale :
Dans cette vidéo, un migrant dit (2’21) :
« C’est impressionnant de voir de près... marcher dans les montagnes... c’est quand même beau. On fait un peu comme les touristes... des #touristes_migrants ».
Son compagnon de route rebondit :
« Nous sommes des touristes et clandestins au même temps »
Brochure de Tous Migrants : "Dans nos #montagnes, le #jour et la #nuit :
La série #Eden (Arte) commence par un clash entre touristes et migrants sur l’île de #Chios en #Grèce :
Des migrants accostent sur une plage espagnole sous le regard des touristes
Une patrouille aura tenté d’empêcher le bateau pneumatique de rejoindre le rivage. En vain.
Le quotidien des migrants a rencontré celui des touristes sur cette plage espagnole
Le contraste entre les deux réalités est saisissant.
▻https://www.huffingtonpost.fr/2017/08/10/le-quotidien-des-migrants-a-rencontre-celui-des-touristes-sur-ce_a_23
On Greek island, tourists come for the sun and stay to help refugees
2. The Canary Islands was still one of the main destinations for African migrants two years later. By this stage the boats were often leaving from Mauritania or even Senegal, instead of Morocco - a perilous journey across 1,000km of the Atlantic. Many people arrived starving and dehydrated. This photograph taken on #Tenerife's #La_Tejita beach shows tourists trying to help a young boy, and earned #Arturo_Rodriguez a World Press Photo award in 2007.
▻https://seenthis.net/messages/783370
#photographie #îles_Canaries
Et sur comment les #réfugiés ont refait naître l’#économie_touristique, notamment en #Italie.
Dans les #Apennins :
▻https://seenthis.net/messages/743591
Les #touristes qui viennent en aide aux migrants débarqués sur les #îles_grecques :
►https://seenthis.net/messages/396244
▻https://seenthis.net/messages/388662
#solidarité #Lesbos
Comment les touristes sont gênés pendant leurs vacances sur les îles grecques...
▻https://seenthis.net/messages/374957
▻https://seenthis.net/messages/379750
Ou comment ils ruinent l’#image de la ville de #Calais... qui peine ainsi à attirer des touristes...
▻https://seenthis.net/messages/367319
Les migrants, les nouveaux clients des commerces de #Lesbos... à la place des touristes...
Comment les commerçants de #Lesbos se sont adaptés à la crise des migrants
▻https://seenthis.net/messages/459482
#adaptation
Un centre touristique transformé en camps de réfugiés en Grèce...
La Une du Figaro Magazine (mai 2019) :
Quand les touristes se confrontent, sur les avions, aux #renvois_forcés...
Des touristes font capoter le renvoi forcé d’un homme
▻https://seenthis.net/messages/517764#message687481
#expulsions #avion
lien vers la métaliste sur la résistance aux renvois forcés :
►https://seenthis.net/messages/725457
#Croatie : dans les #montagnes, la police traque les #réfugiés
Le samedi 15 juin, un groupe de randonneurs arrive au #refuge de Risnjak, dans le but d’y passer la nuit avant d’entamer le lendemain l’ascension du sommet. Mais à l’entrée du refuge, ils tombent sur une scène inattendue : un fusil automatique trône sur une table et deux membres des forces spéciales discutent avec la gérante du refuge. Ils sont là pour la « protéger des réfugiés », explique-t-elle. Cet hiver, certains seraient entrés par effraction dans le refuge et l’auraient « dévasté ». Pourtant, on ne voit nulle trace de dégradation, pas la moindre fenêtre cassée. Les malheureux étaient simplement à la recherche de chaleur et de nourriture.
Témoignage d’un bénévole de l’association Refugee Rescue (▻https://www.facebook.com/RefugeeRescueUK), reçu par email d’une collègue le 4 juillet 2019, amie du bénévole...
Notre plus grosse intervention a eu lieu il y a deux jours. On est sortis en mer à 5h, comme tous les matins. A 6h30 on est prévenus par nos spotters qu’un bateau est en approche à 3NM. On trace pleine balle. À 2 NM de l’objectif on reçoit un appel d’un bateau frontex portugais en contact avec le bateau nous disant que les réfugiés ne veulent pas s’arrêter et qu’ils comptent sur nous pour les faire stopper. Quand on arrive on découvre un petit bateau avec 13 réfugiés (5 enfants) accroupis dedans fonçant vers le rivage (1 NM). Le pilote porte une capuche et refuse tout contact visuel avec nous. on peut lire la panique dans les yeux des gens. On sourit, leur parle en farsi pour leur dire de s’arrêter mais ils refusent. Les portugais perdent patience et coupent la route au bateau, qui esquive. Ils lancent un bout sur le bateau, les réfugiés le rejettent à l’eau et il se prend dans leur hélice, stoppant net le bateau. A partir de là tout part en sucette. Un gamin se lève, sort un tournevis et crève le bateau, qui commence à s’affesser à bâbord. Les portugais s’approchent et avant qu’ils puissent réagir plusieurs réfugiés sautent sur leur bateau, déstabilisant leur bateau à eux qui commence à se retourner sur les autres, tombés à l’eau. On s’approche suffisamment pour que je puisse attraper le bord tribord et en donnant tout ce que j’ai, retourner à la force du poignet le bateau. Les bagages tombent en cascade sur les personnes dans l’eau, accrochés désespérément les uns aux autres. Un garde portugais réussi à en attraper plusieurs pendant qu’on dégage leur bateau pour pouvoir nous approcher. Il reste un couple, la femme est maintenue en l’air par un policier qui la tient par son foulard pendant que son mari dans l’eau est agrippé à elle. Ils sont maintenus à bout de bras contre la coque par le garde portugais, à bout de force. On s’approche suffisamment pour que le garde puisse lâcher et le couple se retrouve à l’eau entre nos deux bateaux, proches de moins d’un mètre, avec un clapot travers de 1m. Je me penche par dessus bord, les yeux plongés dans ceux terrifiés de la femme. J’attrape l’homme pendant qu’un garde portugais attrape la femme. L’homme s’accroche désespérément à notre bateau mais lutte pour ne pas être séparé de sa femme. On se met à 3 pour le décrocher et le hisser à bord. Il s’évanouit immédiatement. Il respire, on le met en PLS. Je m’occupe de lui et il fini par reprendre connaissance. Il est totalement paniqué et cherche sa femme. Il vomit plusieurs fois. On le calme en lui montrant sa femme et son fils à bord du bateau Portugais,on l’hydrate et le couvre et on le réconforte jusqu’à ce qu’on arrive au port. On les débarque tous,les gardes côtes et la police arrivent, prennent des photos du gamin au tournevis et du pilote. Notre équipage a droit à un contrôle d’identité. Le maire du village arrive en hurlant parce qu’on a ramené les réfugiés à skala et que ça nuit au tourisme. La police embarque les réfugiés. La vie du village reprend son cours. On fait un point rapide entre nous pour débriefer cette situation qui aurait pû dégénérer salement. On partage notre ressenti sur cette détresse immense chez les réfugiés et la violence des situations qu’ils traversent, qui les amène à des extrémités aussi folle que crever leur propre bateau (en discutant avec l’ancien du groupe à l’arrivée on a découvert qu’ils avaient tous pour consigne de ne faire confiance à personne).
Vous trouverez ici une vidéo de l’intervention, filmée depuis mon casque :
▻https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2293692884031482&id=1206400986094016
J’ai ajouté à cette liste à cause de cette réaction du maire :
Le maire du village arrive en hurlant parce qu’on a ramené les réfugiés à skala et que ça nuit au tourisme.
Quand les hôtel sont ré-utilisés pour accueillir ou squattés des migrants...
#Porto_Recanati, #Hotel_House :
Le #City_Plaza à #Athènes :
#Hotel_Porin, à #Zagreb (#Croatie) :
La polémique en Italie, migrants hébergés dans des hôtels de luxe... (well...) :
▻https://seenthis.net/messages/792321
Et la décision de la #Ligurie de ne pas subventionner les hôtels qui hébergent des migrants :
▻https://seenthis.net/messages/792326
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Autres hôtels auxquels je pense
Hotel à #Obrenovac, en #Serbie :
Suite à venir... voir aussi ci-dessous dans le fil de discussion
Un peu comme la photo du golf... Mais là c’est Paris.
reçue via une doctorante, Annaelle Piva
Refugees meet Tourists on the Island of All Together
An award-winning short video about Europeans meeting with new Syrian refugees one-on-one in front of a camera is both light-hearted and serious — a humanist view of the crisis.
▻https://www.lensculture.com/articles/marieke-van-der-velden-refugees-meet-tourists-on-the-island-of-all-toge
#vidéo #court-métrage #film
« Ces migrants qui gâchent nos vacances » : l’indécence à son comble
▻https://www.levif.be/actualite/europe/ces-migrants-qui-gachent-nos-vacances-l-indecence-a-son-comble/article-opinion-1165895.html?cookie_check=1563194141
"Vendredi dernier (12 juillet), RTL-TVI a diffusé, au journal télévisé, une séquence intitulée « Une touriste belge découvre des cadavres sur une plage de Djerba » et présentée de la façon suivante : « Un début de vacances raté pour Charlotte. La Liégeoise venait d’arriver à Zarzis, en Tunisie, et elle a découvert un cadavre sur la plage ». Au cours du reportage, on comprend que ce sont des corps de migrants échoués sur la plage qui sont en cause : ils viennent gâcher les vacances d’une touriste belge, qui demande à changer d’hôtel.
signalé par @reka, que je remercie en passant...
Témoignage d’une nuit à la frontière franco-italienne : la solidarité face à la déshumanisation des exilé.e.s
Dès notre arrivée à #Montgenèvre, le #paradoxe de cette frontière nous saute aux yeux. Une #frontière à la fois invisible et floue ; étendue et poreuse. Invisible et floue car on ne sait jamais exactement où l’on se trouve par rapport à elle. Là, sommes-nous en France ? Et ici, en Italie ? Les glisseurs de la station slaloment avec la frontière, évoluant entre les arbres sans se soucier de savoir si celui-ci est un sapin italien et celui-là un pin français, s’ils foulent la poudreuse de #Clavière, premier village italien après la frontière, ou de Montgenèvre, dernier village français avant la frontière. Etendue et poreuse car les contrôles dits « frontières » peuvent s’étendre sur des dizaines de kilomètres et prennent différentes formes. Ces contrôles se matérialisent par le local de la police aux frontières (PAF), une présence massive des forces de l’ordre et des vrombissements de motoneiges. Ils donnent lieu à des violations quotidiennes des droits, à des humiliations, des violences verbales et physiques. Et cela, depuis près de trois ans.
(...)
Une frontière paradoxale donc, aux bords de laquelle l’insouciance des loisirs se mêle à une réalité innommable qui demeure impunie.
(...)
Le lendemain matin, quelques heures plus tard à peine, le soleil irradie de nouveau la station de ski de Montgenèvre. Les skieurs, sans conscience des événements de la nuit, slaloment de nouveau entre les arbres, balayant ainsi les dernières traces des scènes nocturnes laissées dans la neige. Tout cela a-t-il vraiment eu lieu ? Ces scènes étaient-elles réelles ? Oui. Elles sont même quotidiennes. Pourtant, elles sont insoutenables, presque impossible à raconter et ne peuvent être rationnalisées.
►https://www.humanite.fr/temoignage-dune-nuit-la-frontiere-franco-italienne-la-solidarite-face-la-de
The Gilets Noirs Are in the Building
Paris’s tourist economy relies on a hidden army of undocumented migrants. But these workers are no longer happy to remain in the shadows — and their protests for regular status are drawing inspiration from the gilets jaunes.
Ce commentaire de l’auteur de l’article en lien avec l’utilisation par Frontex d’un zeppelin en Mer Egée pour surveiller les frontières...
PS I suppose, tourists will be cheered to have their vacation activities monitored by a plastic Big Brother. Not?
Le cauchemar de trois touristes sud-américaines en centre de rétention près de #Rouen
Et ça... que celleux qui ont fait des vacances en Italie connaissent...
Les #vendeurs_ambulants sur les plages. Quand j’allais en vacances en Italie avec ma famille (il fut un temps...), c’était surtout des Sénégalais... qu’en Italie on surnommait (surnomme ?) « #Vu_cumprà » (terme méprisant qui imite l’accent des vendeurs qui répètent comme une litanie « est-ce que tu veux acheter ? » —> « Vuoi comperare ? », en italien —> devenu « Vu cumprà ? »
Il y a même une page wiki #vucumprà :
▻https://it.wikipedia.org/wiki/Vucumpr%C3%A0
J’ai pensé à cela en voyant passer cet article ce matin sur twitter...
Italy’s Politics Go to the Beach
For decades, immigrant peddlers have been part of the familiar fabric of the Italian summer vacation. It’s no longer so simple.
▻https://www.nytimes.com/2019/09/01/world/europe/italy-migrants-beaches.html
Flexibiliser le travail et produire des vies illégales
« Les Etats font exprès de ne pas délivrer des papiers à tout le monde pour que d’autres puissent exploiter les sans-papiers dans des conditions difficiles, sur certains chantiers ou dans les sites touristiques de ski en montagne, ou dans les travaux de ménage. »
Ce #fonds_d'investissement qui prospère... sur l’#hébergement de migrants aux frais de l’Etat
"Plus d’un tiers des places #AT-SA et #HUDA au niveau national (36%) sont des chambres d’hôtel."
Fin 2018, le ministère de l’Intérieur a rappelé aux préfets l’objectif de réduction des nuitées hôtelières « qui ne permettent pas un accompagnement satisfaisant du demandeur d’asile », demandant donc de « favoriser leur transformation en d’autres modalités d’hébergement »
p.174 de ce rapport :
Le Rapport annuel 2019 sur l’asile en France et en Europe
▻https://www.forumrefugies.org/s-informer/publications/rapports/330-le-rapport-annuel-2019-sur-l-asile-en-france-et-en-europe
#France
Citation tirée du livre «Stranieri residenti. Una filosofia della migrazione» de Donatella Di Cesare (2017, p.110):
La chiusura della rotta balcanica ha avuto effetti immediati, che non sarebbe stato difficile immaginare. Chi era intrappolato a Est, ha cercato una via d’uscita; a chi era ancora fuori dai confini europei non restava che la via del mare. Molti siriani e curdi sono andati raccogliendosi sulle coste turche nella speranza di trovare un passaggio per le vicine isole greche, avvistabili da costa a costa. I trafficanti sono stati assidui e zelanti nel predisporre le traversate con barche piccole, capaci di dissimularsi con facilità. Per filmare gli sbarchi l’occhio delle telecamere si è spinto talvolta fin là, dove le vacanze dei turisti venivano disturbate dall’irruzione di naviganti provenienti dall’universo incomprensibile delle guerre orientali.
Et page 116:
Il turista e il profugo, persino l’uno accanto all’altro, sulla stessa spiaggia, sono le due figure emblematiche in cui il Mediterraneo è scisso. Il contrasto non potrebbe essere più stridente. (...) Imponenti navi da crociera scaricano ogni giorno turisti animati dal bisogno compulsivo del consumo, mentre gommoni pericolanti, «carrette del mare», perdono parte della loro zavorra negli abissi. Banalità e sciagura si rincorrono sulle onde, lasciando scie di rifiuti, relitti alla deriva, per un verso plastica e lattine, per l’altro scarti umani.
Il paragone con i turisti mostra tutta l’ambivalenza che la frontiera riserva. Figura speculare a quella del migrante, il turista, lontano dall’antica idea del viaggio ormai in rovina, si muove spinto sia dall’esigenza del consumo – consumo di luoghi, di paesaggi, di musei ecc. – sia dal bisogno del confort, collezionando mete in attesa del meritato ritorno. Gode di un’extraterritorialità, in senso inverso a quello del migrante. Soggiorna in un grande resort, o in un villaggio turistico, al fine di preservarsi da ogni rischio; l’altro non gli interessa, né intende mettere a repentaglio la propria identità. Viaggia, ma è come se non viaggiasse, perché non fa un passo oltre sé.14 Per il turista, che spende per viaggiare, e viaggia per spendere, le frontiere si aprono rapidamente. Il contrario avviene per il migrante che guadagna per viaggiare, e viaggia per guadagnare. Per lui le frontiere si chiudono. (p.212)
Reçu via la mailing-list de Inicijativa dobrodosli, le 28.10.2019 :
Avec ce commentaire :
#Welcome_to_Croatia and #Croatia_Full_of_Torture – using the language of tourist slogans, are the latest #billboards set up in #Cista_Provo municipality, where artists have intervened in public space for more than a decade through billboards, highlighting various social issues.
Billboards were put up at this location, not far from the Croatian border with Bosnia and Herzegovina, a few days after the European Commission announced that Croatia had fulfilled the conditions to join the Schengen area. “People who are beaten up and insulted every day, people who truly know pain, hunger, and fear, speak much more accurate about our country than the worn-out tourist slogans,” said the activists behind the action.
In the name of joining Schengen, Croatia has normalized and institutionalized #violence, which remains unacceptable. Illegal pushbacks and incarceration of refugees and migrants, and police violence, abuse, and torture of individuals and groups, men and women, adults and children have been reported for years. With this action, we declare that we will never accept this (as) reality. We will never believe the police lies and their unconvincing press releases.
With these billboards, we declare that the truth of refugees and migrants who are exposed to police repression daily is more powerful and louder than your batons, beacons, and prison cells. People who are beaten up and insulted every day, people who truly know pain, hunger, and fear, speak much more accurate about our country than the worn-out tourist slogans. They speak of repression that knows no boundaries, of violence that spills over on all „others”, of violence that attacks women and girls, intimidates transgender and queer people, insults lesbians and gays, hates Serbs and Roma people, starves workers, crushes the poor and homeless, persecutes activists and journalists, beats up anti-fascists and libertarians. Not in our name!
Citation tirée du livre «Stranieri residenti. Una filosofia della migrazione» de Donatella Di Cesare (2017, p.152):
Schütz scorge la novità della «crisi», coglie l a differenza tra il turista, spettatore distaccato, e lo straniero che dovrà stabilirsi, vede l’esigenza di una traduzione da un modello culturale all’altro , cammino per nulla ovvio, dato che il nuovo paese più che un rifugio, è un campo d’avventura per l’immigrato.
►https://www.bollatiboringhieri.it/libri/donatella-di-cesare-stranieri-residenti-9788833927350
Graffiti vu à Athènes, le 07.07.2019 :
Immigrants welcome, tourists fuck off
#Refugees and #migrants that were brought to Paralimni Giannitsa in #Greece by buses to be housed in local #hotels, were blocked by locals
▻https://twitter.com/BrunoTersago/status/1190944723621568512
Source :
Έστησαν « μπλόκο » για να διώξουν τους πρόσφυγες
Επεισόδια δημιούργησαν τις πρώτες πρωινές ώρες στην Παραλίμνη Γιαννιτσών στον νομό Πέλλας, κάτοικοι της περιοχής, με αφορμή την άφιξη στην περιοχή λεωφορείων που μετέφεραν πρόσφυγες και μετανάστες.
Συγκεκριμένα, περίπου 30 άτομα συγκεντρώθηκαν στο σημείο που θα έφταναν δύο τουριστικά λεωφορεία που μετέφεραν περίπου 100 με 150 πρόσφυγες και αποπειράθηκαν να « μπλοκάρουν » την εγκατάστασή τους σε ξενοδοχείο.
Στην αρχή τα λεωφορεία αποχώρησαν από το σημείο, ωστόσο στη συνέχεια προσέγγισαν το ξενοδοχείο από παράδρομο και οι πρόσφυγες κατάφεραν να εγκατασταθούν.
Οι συγκεντρωθέντες αποχώρησαν φωνάζοντας συνθήματα κατά των προσφύγων ενώ λίγο νωρίτερα είχαν αναρτήσει πανό με το ρατσιστικό σύνθημα : « Απελάστε τους λαθραίους μετανάστες από την Ελλάδα. Κλείστε τα σύνορα. Αλληλεγγύη στους Έλληνες ».
Οι κάτοικοι μετέβησαν στο αστυνομικό τμήμα προκειμένου να υποβάλουν μήνυση κατά παντός υπευθύνου, καθώς υποστήριζαν πως δεν είχαν ενημερωθεί για την άφιξη των προσφύγων και μεταναστών.
Αντίστοιχο περιστατικό σημειώθηκε και στις Σέρρες. Λίγο πριν τις 3 τα ξημερώματα, κάτοικοι συγκεντρώθηκαν στον κάθετο άξονα της Εγνατίας Οδού.
Ένα λεωφορείο που μετέφερε πρόσφυγες σε ξενοδοχείο, στην περιοχή του Σιδηροκάστρου, αναγκάστηκε να σταματήσει πριν τα διόδια και, όταν οι ντόπιοι αποχώρησαν, συνέχισε την πορεία του για τον τελικό προορισμό του.
▻https://tvxs.gr/news/ellada/estisan-mploko-gia-na-dioksoyn-toys-prosfyges
Uz granicu s BiH postavljeni jumbo plakati Dobrodošli u Hrvatsku – Hrvatska puna mučenja
Dobrodošli u Hrvatsku i Hrvatska puna mučenja – Welcome to Croatia i Croatia full of torture, najnoviji su jumbo plakati postavljeni u Cisti Provo, na mjestu na kojem umjetnici više od desetljeća kroz jumbo plakate interveniraju u javni prostor i propituju društvene probleme. Plakati su u ovom mjestu nedaleko od granice s BiH podignuti nekoliko dana nakon što je Europska komisija objavila da Hrvatska ispunjava uvjete za ulazak u Schengenski prostor. “Ljudi koji svakodnevno trpe udarce, uvrede i psovke, koji poznaju bol, glad i strah, govore vjerodostojnije o našoj zemlji od izlizanih turističkih slogana”, poručuju aktivistkinje koje stoje iza akcije.
Priopćenje aktivstkinja prenosimo u cijelosti:Ljudi koji svakodnevno trpe udarce, uvrede i psovke, koji poznaju bol, glad i strah, govore vjerodostojnije o našoj zemlji od izlizanih turističkih slogana
“U ime ulaska u Schengen u Hrvatskoj je normalizirano i institucionalizirano nasilje, a to je nedopustivo. Godinama se izvještava o nezakonitim protjerivanjima i zatvaranjima izbjeglica i migranata, o policijskom nasilju, zlostavljanju i mučenju kojem su izloženi pojedinci i grupe, muškarci i žene, odrasli i djeca.
Ovom akcijom želimo poručiti da nikad nećemo pristati na takvo stanje stvari. Nikada nećemo povjerovati policijskim lažima i neuvjerljivim priopćenjima.
Jumbo plakatima poručujemo da je istina izbjeglica i migranata koji su svakodnevno izloženi policijskoj represiji snažnija i glasnija od vaših pendreka, rotirki i ćelija. Ljudi koji svakodnevno trpe udarce, uvrede i psovke, koji poznaju bol, glad i strah, govore vjerodostojnije o našoj zemlji od izlizanih turističkih slogana.
Govore o represiji koja ne poznaje granice, o nasilju koje se prelijeva i na nas druge, o nasilju koje napada žene i djevojčice, zastrašuje transrodne i queer osobe, vrijeđa lezbijke i gejeve, mrzi Srbe i Rome, izgladnjuje radnice i radnike, mrvi siromašne i bezdomne, proganja aktiviste i novinare, mlati antifašiste i slobodare. Ne u naše ime!”
Za više informacija o policijskom nasilju na granicama, aktivistkinje mole da se kontaktira: Davor Božinović, telefon: 00 385 1 6122 129, telefaks: 00 385 1 6122 405, email: pitanja@mup.hr, policija@mup.hr.
Commentaire de Inicijativa dobrodosli, mail du 06.11.2019 :
Not far from the border with Bosnia and Herzegovina, in the town of #Cista_Provo, billboards were put up this week with slogans Welcome to Croatia and Croatia full of torture. The activists behind this campaign say that “people who suffer physical and verbal abuse on a daily basis, who know pain, hunger and fear, speak more credibly about our country than worn out tourist slogans.” Artists have been questioning social issues through billboards in the town of Cista Provo for more than a decade, with the current campaign appearing just a few days after the European Commission gave Croatia the green light to enter Schengen.
Commentaire reçu via la mailing-list Migreurop :
The irony of travel giant #Airbus profiting from border walls (!!!)
Le commentaire fait référence à ce rapport sur les murs :
The Business of Building Walls
Thirty years after the fall of the Berlin Wall, Europe is once again known for its border walls. This time Europe is divided not so much by ideology as by perceived fear of refugees and migrants, some of the world’s most vulnerable people.
Citation tirée du livre «Stranieri residenti. Una filosofia della migrazione» de Donatella Di Cesare (2017, p.217):
««Documenti!» La richiesta appare del tutto ovvia nell’epoca attuale. Di solito è la polizia a domandare le generalità. Lo straniero che arriva viene identificato alla frontiera. «Perché è qui?» «Per quanto tempo?» «Nome e indirizzo dell’albergo in cui soggiornerà!?» Non è detto, peraltro, che non venga fermato, se non addirittura respinto. A ben guardare la richiesta, che mina già al fondo ogni ospitalità, è la conferma che chi viaggia è «fuori posto», non è lì dove era stato assegnato. Il che non costituisce un problema, se lo spostamento è temporaneo, come avviene per il turista, per il manager, per lo studente. Diventa invece una difficoltà insormontabile per il migrante.»
►https://www.bollatiboringhieri.it/libri/donatella-di-cesare-stranieri-residenti-9788833927350
Requérants d’asile aux Mayens de Chamoson : mon rêve c’est la paix
Ils viennent de Syrie, du Sri Lanka, d’Erythrée ou encore de Géorgie. Une cinquantaine de familles de réfugiés et de requérants d’asile ont été placées pour des séjours de plusieurs semaines au « Temps de vivre », une ancienne auberge des #Mayens_de_Chamoson transformée par le canton du Valais en lieu de vie et de formation. C’est là que la mini radio ambulante « Caravane FM » a monté son antenne pour recueillir les témoignages et les instants de vie de ces migrants qui tentent de reconstruire leur existence et de réaliser leur rêve : celui de la paix. Reportage touchant qui donne la parole aux personnes venues chercher refuge en Suisse.
▻https://www.rts.ch/play/tv/caravane-fm/video/requerants-dasile-aux-mayens-de-chamoson-mon-reve-cest-la-paix?id=10878138&start
▻https://seenthis.net/messages/812254
Tourists in #Gran_Canaria are left stunned as 24 migrants including three children and a pregnant woman in a rickety boat land on popular beach on the holiday isle
#Hotel_Sedra, en #Bosnie, utilisé comme centre pour demandeurs d’asile :
L’hotel est situé à #Cazin, en #Bosnie-Herzégovine :
Voir aussi le #film #Il_rifugio, tourné dans un centre pour demandeurs d’asile dans les #Alpes italiennes :
Il Rifugio (2012) retrace la vie suspendue de 116 de ces migrants, hébergés pendant plus de quatre mois dans un #hôtel solitaire sur le sommet des Alpes italiennes. Isolés du reste du monde, ils vivent dans l’attente de savoir s’ils seront expulsés ou enfin reconnus, alors que l’hiver est à venir.
Hotel Berlin, Sjenica
#Sjenica was set up as a temporary centre in the former #Hotel_Berlin to accommodate an increased number of asylum-seekers in Serbia in August 2013. Later on, in March 2017, the former textile factory Vesna was added to the Asylum Centre. The old Hotel Berlin, with inadequate conditions and collective dormitories in the hall, was closed in July 2018. The centre in Sjenica is now located only in the former factory Vesna, downtown Sjenica, that can take up to 250 persons in 27 rooms. According to the management of the centre, the ongoing reconstruction works are to extend its capacity by an additional 160 places. An average of 150 persons per day stayed in this centre in the course of the first eleven months of 2018. According to the latest information of November 2018, children comprised 93% of the residents of the centre, the majority of them being unaccompanied. The principle of family unity is observed at placement, so the families are always accommodated together.
▻https://www.asylumineurope.org/reports/country/serbia/conditions-reception-facilities
#Serbie
Et une photo signée Alberto Campi à l’intérieur de l’Hotel Berlin :
“I hadn’t been sure what to bring with me from Iran. I really didn’t have anything of any value.
My lot in life after thirty years /
After thirty years of trying my best in that dictatorship /
After thirty years struggling within that theocracy known as Iran /
After thirty years my lot in life was nothing /
What else could I have taken with me besides a book of petry?
I had wanted to exit the gates of Teheran airport not carrying anything with me. But I was afraid of the officers. Without a doubt they would have asked why this skinny lad, going overseas, was taking nothing with him. So I brought a backpack and filled it with a bunch of old newspapers and a few sets of worthless clothes. I departed the airport looking like a tourist. I honestly didn’t have a thing that was worth even a cent. If it weren’t for my fear of the officers, I would have left like an empty-handed vagbond.
I was probably the lightest traveller in the history of all the world’s airports. It was just me, the clothes on my back, a book of poetry, a packet of smokes, and my manhood.
Now I am metres away from completing my long, arduous journey. I have my soaking wet boo of poetry in my hands. I have lost my shoes, and my clothes are full of thousands of holes.”
Citation tirée du livre de #Behrouz_Boochani, No friends but the mountains:
L’inteview de deux réfugiés syriens qui expliquent comment ils arrivent à quitter un aéroport en Grèce (je ne sais plus lequel) en se faisant passer par des touristes espagnols...
"Metal syrien en exil"
Evakuiert die griechischen Inseln - jetzt!
Récemment, l’Initiative européenne pour la stabilité a publié un plan concret à cet effet. 35 000 migrants devraient maintenant être amenés des îles vers le continent. L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) y construit actuellement trois camps pour plusieurs milliers de migrants. Cinq autres camps temporaires pourraient accueillir 10 000 migrants supplémentaires. Selon l’OIM, ces travaux pourraient être achevés en moins de deux semaines.
10 000 autres personnes pourraient être hébergées dans des #hôtels vides sur le continent. Il s’agit également d’une solution provisoire viable compte tenu de l’effondrement du tourisme. Des fonds européens sont disponibles pour cela. En Grèce, quelque 7 000 personnes sont déjà hébergées dans des hôtels.
–-> traduction de l’allemand:
Vor Kurzem veröffentlichte die Europäische Stabilitätsinitiative einen konkreten Plan dazu. 35.000 Migranten müssten jetzt von den Inseln auf das Festland gebracht werden. Die Internationale Organisation für Migration (IOM) baut dort derzeit drei Lager für einige Tausend Migranten. Fünf weitere provisorische Lager könnten weitere 10.000 Migranten beherbergen. Laut IOM wären diese innerhalb von weniger als zwei Wochen fertigstellbar.
Weiter 10.000 Menschen könnten in leeren Hotels auf dem Festland untergebracht werden. Auch das ist angesichts des Zusammenbruchs des Tourismus eine praktikable Übergangslösung. Europäische Gelder dafür gibt es. Bereits jetzt sind etwa 7.000 Menschen in Griechenland in Hotels untergebracht.
Dans les #Alpes, face au #coronavirus, mettre les migrant·es à l’abri
Alors que les #Hautes-Alpes regorgent d’#infrastructures_touristiques inutilisées pendant la période de #confinement, aucune #mise_à_l’abri préventive n’a été décidée pour les 120 personnes précaires du département. Malgré tout, les associations s’organisent et ripostent.
(...)
« On pourrait limiter le risque contamination de ces publics précaires en leur offrant un hébergement préventif, regrette Carla Melki. Dans les Hautes-Alpes, on parle de 120 personnes à héberger. Dans un département où il y a d’énormes infrastructures touristiques qui ne sont plus utilisées, la possibilité de mettre à l’abri paraît plutôt facile. »
#Voyageurs_internationaux ou immigrants, le virus ne fait pas la différence
Une fermeture prophylactique des frontières ciblée sur les seuls migrants (européens ou non), n’aurait donc aucun sens, vu leur part minime dans l’ensemble des entrées. Dans notre imaginaire, fermer les frontières, c’est d’abord les fermer aux migrants. Mais le covid-19 se moque de cette distinction ; il se propage d’un pays à l’autre via les voyageurs de toute sorte, sans se demander s’ils sont migrants.
Les enfants invisibles de #Haraldvangen
Alentour, le paysage lui donne raison. Nous sommes à une heure d’Oslo, dans un décor enneigé de vacances à la montagne. Haraldvangen, ancienne #colonie_de_vacances entourée de sapins, fait face à un lac bleu étincelant. Ici, des générations de petits Norvégiens ont skié et nagé, étés et hivers durant. Mais depuis deux ans, la grande bâtisse de bois ne résonne plus des rires des enfants. Fin décembre 2017, le gouvernement norvégien a fermé le bâtiment à double tour, installé un feu rouge derrière la porte, fait enlever les poignées des fenêtres pour transformer la colo en bunker. Haraldvangen est devenu la première « #unité_familiale » du pays, un mot fleuri pour désigner un #centre_de_détention pour #mineurs migrants et leurs parents.
Asylum seekers’ lives ‘put at risk’ by decision to move them to hotels
Hundreds of asylum seekers claim their lives are being put at risk after they were moved out of their flats and into #Glasgow hotels where they are unable to isolate to protect themselves from coronavirus.
Dispositif d’#accueil des demandeurs d’asile : état des lieux 2020
On parle ici des hôtels #Formule_1 (donc appartenant au groupe Accor) utilisées pour héberger surtout des Dublinés :
5 351 places ont été créées dans le cadre d’un programme d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile (#PRAHDA). Lancé par appel d’offres en septembre 2016 remporté pour tous les lots par ADOMA, il consiste en grande partie en des places situées dans d’anciens #hôtels formule 1, rachetés au groupe #Accor. Ces places, gérées par l’OFII, accueillent pour moitié des personnes isolées, qui ont demandé l’asile ou qui souhaitent le faire et qui n’ont pas été enregistrées. Ce dispositif s’est spécialisé dans beaucoup de lieux dans l’hébergement avec #assignation_à_résidence des personnes Dublinées notamment ceux situés à proximité d’un #pôle_régional_Dublin. Cependant des personnes dont la demande est examinée à l’OFPRA ou à la CNDA y sont également logées.
Elena, jeune Française d’origine grecque, a dû mal à se remettre de la mort de sa mère, survenue un an plus tôt. Elle décide de retourner dans sa maison de vacances sur l’île de #Lesbos où la présence de sa mère est partout. Heureusement, elle peut compter sur l’amitié de Nassim et Sekou, deux jeunes banlieusards trop heureux d’avoir quitté leur banlieue le temps d’un été. Mais les vacances vont être bouleversées quand le trio rencontre Elyas, jeune Syrien réfugié depuis peu sur l’île. Attirée par le jeune homme et émue par son histoire, Elena va tout tenter pour aider Elyas à continuer son périple et retrouver sa mère qui est dans un camp...
Residents from a village near #Pella in Central Macedonia gathered to protest the transfer of vulnerable asylum seekers from Moria, Lesbos, to a Greek hotel rented by IOM. In the early hrs of Tuesday, locals started a fire, blocked the roads and threatened to burn down the hotel.
▻https://twitter.com/daphnetoli/status/1257738850958442500
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Άρνισσα Πέλλας : Έκαψαν ξενοδοχείο που θα φιλοξενούσε αιτούμενους άσυλο
Ρατσιστικές αντιδράσεις στις προσπάθειες μετεγκατάστασης στην ηπειρωτική χώρα, προσφύγων που ανήκουν σε ευάλωτες ομάδες
Bon voyage
Jonas et Silvia sont en vacances en voilier sur la Méditerranée. Au large, ils tombent sur une embarcation en difficulté, des tas de réfugiés à son bord. Après avoir alerté les garde-côtes, ils perdent le bateau de vue. Le lendemain matin, ils se réveillent...
Sur une #plage méditerranéenne ensoleillée, le temps semble figé. Un homme noir, à bout de force, rampe péniblement pour quitter la plage. Autour de lui, les #baigneurs habituels semblent ne pas le voir...
Grèce : un millier de migrants transférés de camps vers des hôtels vides
Fury after Syrian asylum seeker found dead in Scottish hotel
Malte retient en mer plus de 400 migrants sur des navires de tourisme
Depuis fin avril, Malte retient systématiquement sur des navires touristiques positionnés au large de ses côtes tous les migrants secourus en mer dans ses eaux territoriales. On compte désormais plus de 400 personnes retenues à bord de quatre ferries sans avoir eu accès à des avocats, des interprètes ou des agents du HCR.
Malgré les appels répétés de l’ONU et des ONG à mettre fin à la détention de centaines de migrants retenus au large de Malte, La Valette fait la sourde oreille et continue, au contraire, de maintenir en pleine mer de nouveaux naufragés.
Les autorités ont même affrété un quatrième bateau touristique, le Jade de l’opérateur #Supreme_Cruise, pour les 75 personnes secourues mercredi 27 mai dans ses eaux territoriales, portant à 425 le nombre de migrants retenus à bord de #navires_privés.
Fermeture des ports
Depuis début avril, Malte refuse tout débarquement de migrants sur son sol, arguant que ses ports ne peuvent être considérés comme sûrs en raison de la pandémie de coronavirus. Les autorités mettent également en avant un manque de places suffisantes pour accueillir de nouveaux arrivants dans les centres pour migrants du pays, en pleine crise sanitaire.
Ainsi, dès le 30 avril, les premiers naufragés secourus par un bateau de pêche au large de Malte n’ont pas été autorisés à débarquer dans un port maltais. Les 57 naufragés ont été transférés sur un ferry touristique, l’#Europa_II, appartenant à la société #Captain_Morgan_Cruises Ltd.
Quelques jours plus tard, le 7 mai, le même scénario s’est reproduit avec le transfert de 105 migrants secourus dans les eaux maltaises à bord d’un autre bateau touristique, l’#Atlantis, appartenant à la même compagnie. Dix-huit femmes et enfants ont par ailleurs été amenés sur la terre ferme.
Le vendredi 22 mai, ce sont 121 personnes secourues par les autorités maltaises qui sont orientées vers le ferry #Bahari, toujours de la compagnie Captain Morgan Cruises Ltd. Dix-neuf personnes vulnérables ont, quant à elles, été prises en charge sur l’île.
Les derniers naufragés à prendre place à bord d’un des trois navires de l’entreprise Captain Morgan sont les 63 migrants secourus dans la même zone mardi 26 mai.
"Nous sommes dans un état déplorable"
Les informations sur les conditions de vie à bord de ces navires de croisières sont peu nombreuses, les Maltais refusant aux journalistes et aux associations de rencontrer les prisonniers. Seule la Croix-Rouge a pu monter à bord écrit le quotidien Times of Malta.
Selon Alarm Phone, la plateforme d’aide aux migrants en mer, qui cite le témoignage d’un migrant retenu, des tentatives de suicide et des grèves de la faim ont été signalées. "L’anxiété, le désespoir et la dépression ont augmenté (...). Nous sommes dans un état déplorable. Nous n’avons aucun moyen de communication pour montrer notre (condition) au monde extérieur", a déclaré un prisonnier à l’organisation.
En réponse à ces affirmations, des vidéos et des photos ont été diffusées sur les réseaux sociaux, montrant des migrants à bord de ces navires chanter et danser. Cependant, les ONG s’interrogent sur la date d’enregistrement de ces vidéos, qui aurait pu être tournées au moment de leur arrivée sur le bateau touristique.
▻https://twitter.com/alarm_phone/status/1265218149043122177?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12
"Les personnes à bord sont gravement traumatisées par les abus dont elles ont été victimes dans les camps de torture libyens. N’utilisez pas leur soulagement momentané pour justifier des violations cruelles des droits de l’homme", a ainsi réagi Alarm Phone.
"Violation du droit international et européen"
Dans une lettre envoyée jeudi 28 mai au Premier ministre maltais, Amnesty International rappelle que "rien ne peut justifier de détenir des personnes pendant des jours sans base légale et dans des conditions inadéquates". Selon les ONG, les naufragés n’ont pas pu avoir accès à des avocats, à des interprètes ou à des agents du Haut-commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR).
"La privation de liberté sans base légale est une détention illégale et arbitraire en violation du droit international et européen", averti de son côté Human Right Watch dans un communiqué.
▻https://twitter.com/sunderland_jude/status/1266085420108001280?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E12
En agissant de la sorte, les autorités maltaises entendent faire pression sur les États membres de l’Union européenne (UE) afin qu’ils prennent "leur responsabilité". Malte plaide depuis des mois pour la mise en place d’un mécanisme de répartition pérenne au sein de l’UE.
Le HCR demandait déjà le 22 mai à Malte et aux États européens de s’entendre sur un accord de répartition de ces migrants, afin de les “mettre en sécurité sur la terre ferme".
"Le traitement (des migrants) et la violation de leurs droits (ne sont pas) dignes du peuple de Malte ou de toute autre pays de l’UE", estime HRW, qui appelle les États membres à respecter "leurs engagements".
►https://www.infomigrants.net/fr/post/25080/malte-retient-en-mer-plus-de-400-migrants-sur-des-navires-de-tourisme
Greece ready to welcome tourists as refugees stay locked down in Lesbos
►https://seenthis.net/messages/858847
Attirer les touristes, collaborer, se taire : comment la station de Montgenèvre protège l’ordre de la frontière
▻https://derootees.wordpress.com/2019/09/08/attirer-les-touristes-collaborer-se-taire-comment-la-station-de
Migrazione internazionale e spazio pubblico turistico: la presenza silenziosa dei venditori ambulanti di origine straniera nelle spiagge dell’isola di #Ischia
Questo contributo propone la descrizione delle dinamiche socio-spaziali che si sviluppano in un luogo turistico, in periodo di alta stagione, concentrandosi in particolare sulle spiagge di San Pietro e Maronti, sull’isola di Ischia. Nella fattispecie, lo spazio balneare sarà letto al prisma delle relazioni che intercorrono tra bagnanti e venditori ambulanti di origine straniera. La spiaggia, nonostante si presenti come uno spazio liminale e poco strutturato, viene dunque letta come spazio che solo in apparenza rifugge da quelle categorie che in letteratura sono usate piuttosto per definire e studiare lo spazio urbano. Tale dimensione sarà interpretata e concepita come prodotto sia dell’esperienza visiva sia di quella uditiva, attraverso una iniziale analisi del paesaggio sonoro che la caratterizza. Dal caso preso in esame si verificherà anche il ruolo svolto dall’ambulantato nel sostentamento di una certa parte della popolazione migrante, residente o meno sull’isola, con particolare riferimento agli effetti delle iniziative ministeriali e municipali messe in atto per combattere questa attività.
#Coronavirus : au #Maroc, des dizaines de migrants sub-sahariens arrêtés et confinés de force
Une cinquantaine de migrants sub-sahariens ont été arrêtés dimanche 21 juin, chez eux, sur leur lieu de travail et parfois dans la rue par la police marocaine qui les a conduits dans une école de la ville de #Laâyoune, dans la région du #Sahara_occidental. Pendant sept jours, ils ont été entassés dans des salles de classe, sans accès à l’eau courante ou à des vêtements propres, sans possibilité de sortir ou de s’alimenter correctement. Tous ont subi des tests de dépistage au coronavirus avant d’être relâchés dans la soirée, dimanche 28 juin. Ceux testés positifs au Covid-19 ont été mis en quarantaine dans un #hôtel où ils reçoivent notamment un traitement à la #chloroquine.
(...)
Mohamed était loin de se douter qu’il allait passer une semaine en enfer. Cinq heures après son arrivée à l’école de Laâyoune, une équipe médicale s’est présentée pour lui faire passer un premier dépistage. « On était plus de 50. Personne ne pouvait sortir tant qu’on n’avait pas les résultats. Trois jours plus tard, on a appris que 11 personnes étaient positives. Elles ont été mises à l’écart dans un hôtel où ils leur donnent des médicaments. »
(...)
Un peu plus au nord, à #Tan-Tan, la situation est plus tendue. L’AMDH a recensé un groupe de 33 migrants dont « 20 femmes et 3 bébés » placés en quarantaine dans l’#hôtel_Hagounia depuis sept jours « sans qu’ils n’aient subi un seul dépistage au Covid jusqu’à présent ».
Ce jour-là à #Vintimille. Retour d’un lieu d’exil sans cesse confiné
À la veille de la reprise officielle de la saison touristique, plusieurs réalités se superposent. Les arrivées de touristes tant attendues par la municipalité coïncident avec celles de groupes considérés comme irréguliers. Les usagers des terrasses à nouveau animées côtoient les déambulations quotidiennes des personnes exilées pour trouver une stratégie de passage. Les camions de nettoyage sillonnent les rues ; les fourgons des marchands du célèbre marché de Vintimille reprennent place. Cette soudaine effervescence économique est traversée par le ballet des forces de l’ordre : militaires, police municipale, guardia di finanza et carabinieri quadrillent la ville. Nous nous étonnons de voir la police nationale française stationnée devant la gare. La stratégie des autorités italiennes semble moins correspondre à une logique de contrôle de l’immigration qu’à un impératif de tenir à l’écart du centre-ville les migrant-tes indésirables. C’est-à-dire celles et ceux qu’il ne faut pas voir dans ce paysage renaissant de la consommation.
#DJAO - After the Road
La personne qui témoignage dans ce court-métrage est visiblement logée dans un #hôtel (#F1) :
Utilisation de #ferries privés (en Italie et à Malte) pour effectuer la #quarantaine en lien avec la #pandémie de #coronavirus :
►https://seenthis.net/messages/866072
#navi-quarantena
Athènes veut des touristes, mais pas de migrants
▻https://seenthis.net/messages/870180
Citations tirées du livre de Alessandro Leogrande : La frontiera
Para rapport à #Lampedusa...
“Come indicato su molti siti turistici, è davvero una delle spiagge più belle al mondo, un paradiso incontaminato avvolto dalla luce e dal silenzio. Un paradiso davanti al quale almeno 366 persone sono morte affogate. Il peschereccio si è rovesciato a poche centinaia di metri dalal costa, tra l’Isola dei Conigli e Cala Galera, nello stesso spicchio di mare riprodotto su un’infinità di dépliant.
Non poteva esserci contrasto più netto. E’ incommensurabile, semplicemente incommensurabile, la frattura tra la tragedia avvenuta qui davanti e la calma piatta dell’acqua limpida, un vetro sotto al sole feroce, appena inscurito dagli scogli che sul basso fondale venano la sabbia.” (Leogrande, 2017 : 144)
“Accanto a noi un gruppo di svedesi si fotografa con le imbarcazioni della Capitaneria di porto sullo sfondo. Syoum sbotta: ‘Va bene la memoria, ma qui si rischia una replica della Costa Concordia. I selfie, le foto in posa… prima o poi prenderà piede anche qui il turismo dell’orrore con le guide’”. (Leogrande, 2017 : 145)
« Ci siamo, eccoci dentro #Claviere, paese delle mie vacanze da ragazzo, dove mio padre mi ha insegnato a sciare e mia madre metteva il visone durante la settimana bianca. Vaneggiamenti d’amore adolescenziali mi tornano in mente, accanite ricerche su e giù per il paese alla ricerca di Arianna, ricordi che sembrano finiti un secondo fa. Passiamo davanti alla chiesetta il cui interrato è occupato da qualche giorno dagli anarchici, gente insopportabile ma dal cuore enorme. Passiamo davanti ai carabinieri che osservano gli occupanti e l’anziano prete che squadra, infuriato, la cantina della sua chiesa piena di gente con pezzi di ferro sulla faccia e negri di ogni genere ed età – chiedo scusa, ma è l’unico termine che possa spiegare il sentimento generale di quel momento. Sciatori ovunque, felici : mi piacciono. Devo tornare a sciare in questo bellissimo comprensorio. Gente che non immagina nemmeno, che sorride e si chiude gli scarponi, controlla il filo, cerca parcheggio, si compra un pezzo di pizza. Due mondi mescolati, ineluttabilmente destinati a convivere, ma in apparenza alieni »
(in: Maurizio Pagliassotti, Ancora dodici chilometri , 2019 : 57)
#Kamena_Vourla: Locals rally against refugee children, close schools in protest
According to local media, Mayor of Kamena Vourla, Ioannis Sykiotis, announced that as of tomorrow, schools of all levels in the municipality will remain closed in protest.
He said that that they were not informed by the central government about the arrival of 39 refugee children who are accommodated in a spa hotel.
« Una scena usuale da queste parti. (…) Gente per bene alla guida, quelli che riconosci per l’implacabile sorriso di chi è troppo ricco e troppo felice. Una decina di superbe Ferrari con targa italiana più qualche eccezione svizzera mi superano, come una lunga bandiera rossa tesa dal vento: Tutti dovrebbero venire a vedere questo su queste meravigliose montagne il territorio spettacolo dei ricchissimi e dei poverissimmi che si incrociano e nemmeno si vedono, di chi corre per piacere verso un piatto di ostriche e una coppa di champagne a 2000 metri e 2000 euro, e chi corre per scappare verso un miserabile piatto di cous cous con un bicchier d’acqua alla stessa altitudine »
Source: Maurizio Pagliassotti, Ancora dodici chilometri, 2019 : 203-204.
El ministro de Inclusión, Seguridad Social y Migraciones, José Luis Escrivá, anunció este viernes que de aquí a finales de año Canarias contará con 7.000 plazas de acogida provisionales en carpas para vaciar el puerto de #Arguineguín y los establecimientos hoteleros.
El epicentro de este fenómeno migratorio ha sido el puerto de Arguineguín, que aloja en la actualidad a poco más de 1.300 personas, si bien ha llegado a registrar picos de 2.300 en un dique de apenas 3.600 metros cuadrados. Además, 17 hoteles y edificios de apartamentos alojan a 5.500 migrantes, según los datos del Ministerio.
▻https://seenthis.net/messages/885310#message887584
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El delegado del Gobierno en Canarias ha explicado que las personas que permanecían hasta este domingo en el muelle han sido reubicadas en distintos recursos, algunos de ellos gestionados por el Ministerio del Interior, como el #CATE (#Centro_de Atención_Temporal_para_Extranjeros) de #Barranco_Seco, y otros por la cartera de Migraciones, como los complejos hoteleros del sur de Gran Canaria.
Refugees detained in #Melbourne hotel ’devastated’ as they await move to another site
▻https://seenthis.net/messages/891624
#Australie
L’accueil de réfugiés « réinstallés » dans les communes rurales de #Dordogne
« Tout cet accompagnement n’est pas assez structuré pour permettre aux réfugiés de s’intégrer », s’emporte Liliane Gonthier, maire de #Boulazac, dont la commune a aussi dû accueillir des demandeurs d’asile dans un hôtel proche de la mairie. « Si on veut être une terre d’accueil, il faut une volonté politique. Quand on voit les demandeurs d’asile entassés dans le Formule 1, sans cuisine ou même frigo, ce n’est pas un accueil digne. On sait que, dans certaines communes, les migrants sont repartis vers les grandes villes, peut-être vers la jungle de Calais. Ce n’est pas une politique aboutie et ça manque d’humanité ! » « J’aurais pu continuer à accueillir des personnes », se désole Pascal Bourdeau qui ne souhaite pas recevoir plus de 5 familles dans sa commune, pourtant convaincu que « l’intégration est plus facile dans les campagnes et que les mélanges sont une richesse ». Mais il n’y a aucune coordination entre les différents acteurs institutionnels et peu ou pas de suivi. « Quand on arrive au bout du dispositif prévu par les associations prestataires, on nous laisse tomber ! »
#Belgique : Les conséquences de la privatisation dans le centre d’accueil de demandeur·ses d’asile de #Jalhay (Spa)
Enregistrée comme coopérative à finalité sociale, #Svasta est administrée par le groupe hôtelier de luxe #Corsendonk et gère les centres sur les sites de ce dernier.
“Vagabonds move because they find the world inhospitable.
Tourists move at their hearts’ desire”
–-> carte postale de l’Institute of Ethnology, Czech Academy of Sciences, Department of Mobility and Migration
#Croatie : une saison touristique sans assez de travailleurs saisonniers
▻https://seenthis.net/messages/922489
Kurdish refugee sues Australian government for alleged unlawful imprisonment in Melbourne hotels
▻https://seenthis.net/messages/925796
Afghan boy, 5, who died in Sheffield hotel fall named as Mohammed Munib Majeedi
▻https://seenthis.net/messages/926611
#OYO_Rooms
Les premiers Afghans arrivent à #Paris...
Tous seront placés en quarantaine dans des #hôtels des #Hauts-de-Seine , en région parisienne. « Dans un deuxième temps, ils seront dirigés vers des structures d’accueil pérennes », affirme Didier Leschi. De là, leur parcours administratif de demande d’asile débutera. « Ils devront suivre la procédure habituelle, quoiqu’accélérée : passer devant le Guichet unique [s’enregistrer à la préfecture, NDLR] puis devant l’Ofpra ». Ils auront également droit à l’allocation pour demandeurs d’asile (ADA).
UK: Charities concerned about level of support provided to families in hotels.
« Les CAS peuvent occuper d’anciens bâtiements publics (casernes, gendarmeries, prisons ou écoles). Ils peuvent aussi être installés dans des appartements loués dans des immeubles, des chambres d’hôtels ou des hôtels entiers qui décident de convertir leur usage – de l’accueil des touristes aux demandeurs d’asile »
in : Bontemps, Makaremi, Mazouz 2018, Entre accueil et rejet : ce que les villes font aux migrants, p. 139
►https://www.lepassagerclandestin.fr/catalogue/bibliotheque-des-frontieres/entre-accueil-et-rejet
#Home_Office planning to house asylum seekers on disused cruise ships
►https://seenthis.net/messages/997047
ou dans des #bases_aériennes:
Air force bases set to be used to house migrants as ministers hunt for cheaper alternatives to hotels
►https://seenthis.net/messages/997047
#bateau #bateaux_de_croisière #bateau_de_croisière #UK #Angleterre
« On n’a jamais vu ça » : à #Boulogne-sur-Mer, les touristes confrontés à la crise migratoire
Tra ieri ed oggi ricuperati 26 corpi dei #migranti da parte dell’autorità tunisine, sono stati trovati sulla spiaggia a #Sfax.
🛑Immagine presa queste estate dei bagnanti in momento della scoperta di un corpo di un migrante sulla spiaggia in #Tunisia .
#Egypte : les réfugiés soudanais, une manne inespérée pour le tourisme à #Assouan
Depuis le début de la guerre au Soudan, plus de 310 000 personnes ont traversé la frontière. Certaines d’entre elles ont rejoint Le Caire, d’autres sont restées dans la ville du sud, connue pour ses sites pharaoniques.
►https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/09/15/egypte-les-refugies-soudanais-une-manne-inesperee-pour-le-tourisme-a-assouan
#Pollution : plages souillées, oiseaux empoisonnés... Comment les #conteneurs tombés à l’eau deviennent un vrai mal de mer
▻https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/alerte-pollution/enquete-franceinfo-alertepollution-plages-souillees-oiseaux-empoisonnes
Difficile de mesurer l’ampleur du phénomène : quantifier le nombre de conteneurs perdus chaque année – à cause du surpoids des marchandises, des conditions de chargement ou encore des conditions météo – s’avère une entreprise délicate. Le World Shipping Council (WSC), qui représente les compagnies de transport industriel, affirme dans un rapport (en anglais) publié en 2017 que 1 582 conteneurs en moyenne ont disparu en mer chaque année entre 2006 et 2016. Mais ces données sont basées uniquement sur les déclarations des armateurs membres du WSC, qui représentent selon elle 80% du secteur.
D’autres estimations décrivent un phénomène bien plus impressionnant : le Centre de ressources sur les pollutions accidentelles en mer agréé par l’Etat français (#Cedre) fait état de 10 000 à 15 000 conteneurs perdus chaque année en mer, quand l’association de protection de l’#environnement Robin des bois avance carrément que « plusieurs dizaines de milliers de conteneurs tombent à la mer chaque année ». Pour le porte-parole de Robin des bois, Jacky Bonnemains, s’il est aujourd’hui impossible d’établir un état des lieux précis, c’est que « le marché du #porte-conteneurs est beaucoup trop opaque ».
1938-2018 : quatre-vingts ans se sont écoulés depuis la promulgation des #lois_raciales par le régime fasciste. Un anniversaire important et malheureusement toujours d’actualité. Il y a quatre-vingts ans, la #propagande fasciste incitait le peuple italien, qui n’était pas traditionnellement antisémite, à accepter la persécution d’une minorité qui vivait pacifiquement en Italie depuis des siècles. Qu’est-ce qui a rendu cela possible ? Et que savons-nous de ce moment de l’histoire aujourd’hui ?
Il #Politecnico_di_Milano e le leggi razziali del 1938
Nel corso dell’autunno del 1938 furono emanate in Italia le cosiddette “leggi razziali”, un corpus di provvedimenti legislativi che portarono alla progressiva perdita dei diritti civili per i cittadini italiani di “razza ebraica”.
Nella ricorrenza dell’ottantesimo anniversario delle leggi razziali, allo scopo di ricostruire le procedure di espulsione messe in atto nei confronti di docenti e di studenti di «razza ebraica» dal Politecnico di Milano sono stati presi in esame i documenti dell’Archivio storico di Ateneo, comprendenti le circolari ministeriali, i fascicoli personali degli studenti “decaduti e cessati”, i verbali del Consiglio di amministrazione, gli «Annuari» e i programmi, le statistiche degli studenti stranieri e nel loro insieme le buste riguardanti il personale di “razza ebraica”.
Il 9 agosto 1938 una circolare del Ministero dell’educazione nazionale, presieduto dal ministro Giuseppe Bottai, avviò un’indagine sistematica - il cosiddetto censimento -, rivolta ad accertare l’eventuale appartenenza alla “razza ebraica” del personale dell’Ateneo milanese. Il questionario avrebbe anticipato le procedure burocratiche per l’effettiva applicazione del decreto di espulsione (r.d.l. 5 settembre 1938, n. 1390). Si richiedeva ad ognuno di dichiarare, oltre ai propri dati anagrafici, il profilo professionale, l’eventuale appartenenza alla “razza ebraica da parte di padre”, l’iscrizione alla comunità israelitica, la professione della religione ebraica o la conversione ad altra religione, e infine l’origine ebraica della madre o del coniuge.
Il questionario doveva essere restituito - debitamente compilato - alla Direzione del Politecnico entro il 15 settembre. Non risultano all’esame delle carte casi di questionari non restituiti oppure non compilati per protesta, soltanto qualche questionario compilato in ritardo. Il rettore Gaudenzio Fantoli, tra il 30 settembre e il 14 ottobre comunicò al Ministero i nomi di dieci docenti di razza ebraica, dato confermato successivamente dal verbale del Consiglio di amministrazione del 5 dicembre 1938.
I docenti costretti a lasciare l’insegnamento in data 16 ottobre 1938 furono:
#Mario_Giacomo_Levi, ordinario di Chimica Industriale, fondatore dell’Istituto di chimica industriale e della sezione combustibili, docente “esimio di raro merito”, come lo definì Fantoli rendendogli pubblico omaggio. Il professor Levi trovò riparo in Svizzera dopo l’8 settembre 1943 dove insegnò alla Scuola per ingegneri di Losanna dal gennaio 1944 al luglio 1945. Rientrato a Milano nel luglio del 1945, ottenne l’effettiva reintegrazione in servizio;
#Michelangelo_Böhm, già professore incaricato presso il corso di perfezionamento per l’industria del gas, poi deportato e morto ad Auschwitz il 5 febbraio 1944;
#Igino_Musatti, incaricato di Metallurgia e metallografia, morì affranto dal dolore il 16 luglio 1940;
#Rachele_Lia_Neppi, conosciuta come Bice, incaricata di Tecnologie chimiche speciali II fu nominata direttrice di laboratorio della BioIndustria di Novi Ligure e visse sotto falso nome grazie alla protezione di una sua assistente. A guerra finita nel maggio del 1945 le fu inviata una proposta di reintegro che non volle accettare e fu collocata a riposo;
#Renzo_Volterra, incaricato di Acciai speciali;
#Tullio_Guido_Levi, libero docente di Chimica organica;
#Oscar_Hofmann, aiuto incaricato presso il Laboratorio Prove materiali, perse la cittadinanza italiana in quanto straniero;
#Guido_Tedeschi, assistente ordinario di Chimica fisica;
#Giorgio_Cavaglieri, assistente incaricato di Tecnica urbanistica;
#Vito_Latis, assistente volontario di Disegno dal vero, Disegno architettonico e Rilievo dei monumenti I e II.
Il 15 novembre 1938, pochi giorni dopo l’espulsione dei docenti dalle Università italiane, al Politecnico si tenne l’inaugurazione dell’anno accademico 1938-1939 e il rettore Fantoli tenne il suo discorso come di consueto. Non una parola sui recenti avvenimenti uscì dalla sua bocca. Con l’espressione “sovrumani silenzi sulla muta bocca di Fantoli”, Saverio Gentile, autore di Le leggi razziali: scienza giuridica, norme, circolari delinea perfettamente l’atmosfera che regnava al Politecnico di Milano.
Fantoli, convinto estimatore del pensiero del Duce fin dalla prima ora, aderì subito al fascismo e portò avanti negli anni del suo Rettorato (1927-1940) la politica di fascistizzazione dell’Università. Soltanto quando si trovò di fronte all’allontanamento per motivi razziali di professori del calibro di Mario Giacomo Levi, Fantoli non poté fare a meno di ricordare “l’esemplare attività scientifica da lui svolta per undici anni al Politecnico”.
Il 6 agosto 1938 una circolare ministeriale vietò l’iscrizione degli alunni di razza ebraica alle scuole di qualsiasi ordine e grado. Nei mesi seguenti, il Ministero dell’educazione nazionale rivolse la sua attenzione agli studi universitari e dispose normative per gli Atenei italiani rivolte agli studenti ebrei italiani, studenti ebrei stranieri, studenti fuori corso, e infine studenti laureandi. Venne espresso il divieto di iscrizione presso qualsiasi Ateneo italiano per gli studenti ebrei a partire dall’anno accademico 1938-1939. Soltanto per gli studenti già iscritti e regolarmente in corso nell’anno 1937-1938 il Ministero creò una serie di “disposizioni transitorie” atte a far sì che potessero concludere il loro percorso di studi in Italia. Agli studenti ebrei fuori corso fu permesso rimanere in tale status soltanto per un anno. Tutte queste norme non furono valide per gli studenti ebrei tedeschi residenti in Italia. I fascicoli personali degli studenti ebrei appartenenti alla serie archivistica dei Decaduti e cessati sono contrassegnati dalla scritta “ebreo” a matita blu in copertina. Esaminando i fascicoli si nota che si tratta per la maggior parte di studenti stranieri (rumeni, polacchi, russi e lettoni) tuttavia compare anche qualche italiano tra i quali Pietro Vittorio Covo, che diventerà cognato del famoso grafico partigiano Albe Steiner ed emigrerà in Canada.
Tra gli studenti stranieri si possono ricordare: Alessio Gurviz, Zoltan Hala’sz, Henryk Szmus, Laja Jacubowicz, Tiberio Klein (famoso per aver realizzato il plastico di Bergamo Alta nel 1934 ), Camilla Lattes Fano (emigrerà in America) e Alessandro Levinstoff. Le pratiche di espulsione venivano evase con rigore seguendo le regole imposte dalla burocrazia anche senza darne notizia al diretto interessato come nel caso di Laja Iacubowicz, ebrea polacca di Lodz. La studentessa infatti scrisse alla Direzione del Politecnico di aver appreso dell’introduzione delle leggi razziali dal Consolato del suo paese, per chiedere rassicurazioni riguardanti il suo status. A lei non sarà rinnovata l’iscrizione ma le verrà rilasciato un certificato di “esami sostenuti”. Un’altra testimonianza è fornita da Alessandro Levinstoff, ebreo lettone di Riga, che chiede un certificato di esami sostenuti per iscriversi al Politecnico di Caifa in Palestina dove potrà completare gli studi.
Doveroso ricordare anche Saul Steimberg, studente ebreo di origini rumene, che riesce grazie al “privilegio” concesso, come riportano le circolari stesse, a laurearsi nel 1940 in architettura. Emigrerà in America nel 1941 dove diventerà un celebre disegnatore.
Il 5 settembre 2018 presso la tenuta di San Rossore a Pisa, per la prima volta a ottant’anni dalla firma delle leggi razziali, il mondo accademico italiano ha riconosciuto le proprie responsabilità nei confronti dei rappresentanti delle comunità ebraiche con la “cerimonia del ricordo e delle scuse”.
Le case e le cose. Le #leggi_razziali del 1938 e la proprietà privata
Nell’ambito del progetto “1938-2018. A 80 anni dalle leggi razziali”, la Fondazione 1563 per l’Arte e la Cultura della Compagnia di San Paolo ha realizzato un percorso espositivo nella sua sede di piazza Bernini 5 a Torino.
L’Archivio storico della Compagnia di San Paolo, gestito dalla Fondazione 1563, conserva non solo le carte della sua storia antica ma anche quelle del Novecento derivanti dall’attività della banca, tra cui il Servizio Gestioni EGELI - Ente Gestione e Liquidazione Immobiliare.
Si tratta di 115 metri lineari di documenti con oltre 6300 fascicoli, registri, rubriche dal 1940 al 1950 che raccontano la storia del destino amaro che costrinse le famiglie ebree italiane (e successivamente anche straniere) a lasciare le loro case con gran parte dei beni in esse contenuti. Tutte le carte sono inventariate e rese disponibili al pubblico, oltre a essere valorizzate da strumenti digitali che aprono nuovi percorsi per la ricerca umanistica.
Tra i più toccanti temi risultano i destini incrociati delle persone: proprietari di case e cose che perdono le proprietà e i beni personali, periti e funzionari della banca che svolgono le pratiche con puntigliosa capacità, e cittadini colpiti dalla guerra diventati utilizzatori più o meno consapevoli dei beni sottratti.
L’esposizione racconta questa realtà, dalla promulgazione delle leggi razziali alla restituzione dei beni, espone documenti e immagini, propone una mappa interattiva che localizza in Piemonte, Liguria e in particolare a Torino le ubicazioni dei sequestri, propone immagini contemporanee di palazzi e portoni torinesi, testimoni in pietre e mattoni della storia.
Le leggi fasciste contro la razza ebraica del 1938 prevedevano, tra le tante limitazioni, l’esproprio dei beni “eccedenti” appartenenti agli ebrei e diedero l’avvio ad una escalation che portò, dal 1943 alla Liberazione, al sequestro di qualsiasi proprietà, nella prospettiva di annientamento della popolazione ebraica. La Legge del 1939 istituì l’EGELI col compito, fra l’altro, di acquisire, gestire e vendere i beni immobili sottratti agli ebrei. Il ricavato doveva essere versato nelle casse del Tesoro.
Per raggiungere i propri obiettivi esso delegò diciannove Crediti fondiari presenti nelle diverse parti d’Italia; per il Piemonte e la Liguria scelse di firmare una convenzione con l’Istituto San Paolo di Torino. L’Istituto, controllato dall’alto, doveva operare l’accertamento sulle proprietà da acquisire, la gestione e la vendita dei beni.
Le site de l’expo:
Le case e le cose
▻http://le-case-e-le-cose.fondazione1563.it
#propriété_privée #confiscation #biens
Le bon timing, c’est avoir terminé Caliban et la sorcière ce matin, voir I am not a witch ce soir et attendre le bouquin de @mona qui sort demain.
De tout temps, la figure de la sorcière fascine, confronte et dérange. Tantôt célébrées, tantôt pourchassées, les femmes considérées comme sorcières s’inscrivent dans une histoire particulièrement riche, dont s’inspire aujourd’hui de nombreuses féministes.
▻https://urbania.ca/article/les-sorcieres-sont-parmi-nous-deuxieme-partie/?intref=authorRelated
Je me lamentais parce que l’exemplaire que j’ai commandé pour offrir à une amie met des jours à arriver et hop, dans ma liseuse, dès ce soir → ▻https://www.7switch.com/fr/ebook/9782355221347/sorcieres (en plus, avec mon crédit dû à mes propres droits d’autrice, je l’ai eu gratos !)
Viens de voir l’épisode 6 de la saison 4 de Broad City qui devrait beaucoup plaire à @mona
Je ne suis pas encore arrivée à ce passage, mais j’ai bien pensé à toi !
Je suppose que ce film japonais est aussi cité un peu plus loin dans ton livre :
I AM NOT A WITCH (Je ne suis pas une sorcière, 2017), de #Rungano_Nyoni
Un peu d’autopromo ^^
J’ai participé à l’émission Grand écran sur LCP, pour son numéro consacrée à la #transplantation cardiaque :
▻http://lcp.prod.viatorlab.com/emissions/grand-ecran-0
Le documentaire précédant l’échange est bien réalisé ; les témoignages sont forts et donnent à voir en partie ce que traversent la famille du « donneur » et le « receveur », en se focalisant sur le rapport du second au premier.
(Quant a l’échange plateau... J’ai dû dire un vingtième de ce que je comptais évoquer)
Le débat commence à 1h40.
Sur la question de la transplantation, j’avais un soucis avec un film sur le sujet : ▻https://www.senscritique.com/film/Reparer_les_vivants/critique/106920404
Et d’autant plus qu’il tombe pile poil au moment où la loi sur le don d’organes change.
On en avait discuté sur Mastodon ☺ . Je n’ai toujours pas vu le film et ne peux donc réagir à ta critique.
Si je n’ai pas souvenir que le livre évoque la dureté socio-économique des services hospitaliers, je n’ai pas non plus le souvenir d’être sorti de la lecture en étant dérangé par le côté « publicitaire ».
Le plan de Macron et de l’UE pour détruire l’#hôpital public - Le blog de Bernard Gensane
▻http://bernard-gensane.over-blog.com/2018/05/le-plan-de-macron-et-de-l-ue-pour-detruire-l-hopital-publ
La réalité est là : les instruments de #destruction de l’hôpital public proviennent des dogmes du #capitalisme : financement des investissements par les marchés financiers et non plus par le pôle public, tarification à l’activité (T2A) depuis 2004, #privatisation de toutes les fonctions supports qui ne sont pas censées faire partie du « cœur de métier » de l’hôpital, diminution de l’offre de soin par la mise en place des GHT (Groupements hospitaliers de territoire), gestion allégée (« lean management ») du personnel (65 à 70% des budgets hospitaliers) par la gestion par la #peur et la #flexibilisation.
La loi HPST (hôpital, patients, santé, territoire), dite loi Bachelot, adoptée en 2009, est en réalité la transposition de la directive Services de l’Union européenne. C’est elle qui régionalise (Agences Régionales de #Santé), met en poste des gestionnaires à la tête des hôpitaux, et fait entrer l’hôpital dans un modèle d’entreprise.
Les résultats sont éloquents : l’hôpital public est financièrement à genoux ! Ses personnels, dont les effectifs sont réduits, aussi. Les patients sont moins bien pris en charge et incités à avoir recours aux cliniques privées.
Pourtant y-a des budgets pour l’hopital public ! Cet article est de la pure désinformation :-) L’hopital, son problème, c’est qu’il y a de la violence et on va donc mettre des caméras, et pouf, la violence va disparaître, les causes de la violence aussi, et les soins vont gagner en qualité et en nombre. (c’est pas comme s’il n’existait pas des études expliquant que la vidéosurveillance sert « presque à rien »).
La vidéosurveillance renforcée dans les hôpitaux pour lutter contre l’incivilité
▻https://www.huffingtonpost.fr/2018/05/16/la-videosurveillance-renforcee-dans-les-hopitaux-pour-lutter-contre-l
Le patron de l’AP-HP Martin Hirsch souhaite « passer à la vitesse supérieure sur la vidéosurveillance » pour en finir avec la violence à l’hôpital.
Hier, j’ai vu Burning out, un doc sur l’hôpital.
Tu vois qu’en fait, ils ont transformé les hostos en usines (à gaz ?) et que du coup, tout le monde souffre parce qu’il faut produire et être rentable. Et que les toubibs font la gueule parce qu’ils avaient l’habitude d’être des dieux et les voilà OS. Du coup, la direction leur vend… un audit sur la qualité de vie au travail.
Sauf que dans audit, il y a d’autres OS qui doivent produire et être rentables et qui ne vont donc pas passer 2 ans en immersion à comprendre le fonctionnement de l’hosto comme le réalisateur — ce saltimbanque — a pu le faire.
Donc, l’arrivée, l’audit propose — à l’étonnement général — de garder les process efficients et de virer les autres… autrement dit, d’accentuer encore plus la pression à la productivité, mais en la faisant plus porter par les sans-grades, les aides-soignantes (ouais, c’est clairement un métier au féminin, les hiérarchies de genre crèvent les yeux, aussi !), les invisibles du système, qui sont déjà au bord de l’explosion.
Bref, on a pas sorti le cul des ronces et l’idée finale de tout ce merdier, c’est de transformer le monde en usine et les gens en robots.
Il faudrait inventer un mot qui intègre capitalistes et petites merdes !
Violences aux urgences : « S’il y a des agressions, c’est parce que les patients attendent des heures »
▻https://www.20minutes.fr/societe/2272183-20180516-violences-urgences-agressions-parce-patients-attendent-he
« Les gens ne viennent pas dans les hôpitaux spécifiquement pour agresser. S’il y a des agressions, c’est uniquement parce que les patients attendent des heures avant d’être pris en charge. » Pour Thierry Amouroux, le porte-parole du Syndicat National des Professionnels Infirmiers (SNPI), l’installation de caméras de surveillance ne résout pas le problème des violences aux urgences.
A-t-on le droit de « vidéosurveiller » l’hôpital ?
►http://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/05/18/a-t-on-le-droit-de-videosurveiller-l-hopital_5300834_4408996.html
Il en coûtera 30 millions d’euros à l’organisme, qui gère 39 hôpitaux en région parisienne. Une vidéosurveillance « intelligente » sera même expérimentée ces prochaines semaines, a expliqué Martin Hirsch, destinée notamment à « détecter des bagarres, des colis suspects, (…) des chutes au sol ou d’agir lors d’une disparition de patient ».
30 millions d’euros, un smic chargé, on va dire que ça vaut en étant large 24000 euros par an. 30 millions, ça représente tout de même 1250 années de smic. Ou l’embauche de 1250 personnes pendant un an, pour, par exemple, assister le personnel médical dans les salles d’attente.
Qui connaît l’#histoire de de l’#Adour, #fleuve domestiqué très tôt, puis oublié et que l’on s’efforce depuis peu de #reconquérir dans une #problématique qui s’inscrit dans un triptyque #eau, #territoire et #société ?
►http://sms.hypotheses.org/9843
#France, #géographie, #fluvial, #agriculture, #gestion, #développement_durable, #société, #film, #documentaire
Quand j’entends Adour, à chaque fois je repense au documentaire « Comme un poisson dans l’eau »...
▻https://www.senscritique.com/film/Comme_un_poisson_dans_l_eau/495580
Je le traverse deux fois par jour pour amener ma fille au collège…
Previously on seenthis :
▻https://seenthis.net/messages/617132
@unagi Comment fais-tu pour trouver des films pas tout à fait récents hong kongais ou asiatiques en général (en sachant que Hong Kong est aussi beaucoup occidental du moins pour les films que je cherche) ? Depuis le décès de T411, oulala je rame.
avec une combinaison de yggtorrent et torrent9 on peut trouver pas mal de choses mais sur le ciné asiatique c’est pas aussi riche qu’ t411 l’était
en fouillant gogol, (via Starpage), y a des films en torrent mais je suis pas connaisseuse en ciné hong-kongais. Je préféré japon-corée mais j’avoue ne pas connaitre le ciné hong-kongais.
Recemment je cherchait de la SF féministe et j’ai trouvé Born in Flames = ▻https://www.libertaire.net/discussion/born-in-flames-1983-de-lizzie-borden-vost-une-nouvelle-traduction-en-sup
pour les sous titres j’ai trouvé en anglais mais je sais plus ou
Bonjour Rémi, inutile de dire que je suis aussi très content de te retrouver.
Il existe quelques sites de streaming mais avec des films relativement récents. je te les fais parvenir un peu plus tard problème ordi. Je suis aussi abonné à un tracker privé, je vois si je peux t’inviter, sinon il faut être vigilant, ils ouvrent parfois le site pour de nouvelles inscriptions.
▻http://cinemageddon.net
Plutot un tracker série b mais avec de purs joyaux. Des merveilles en cinéma japonais, des raretés incroyables. Films de tous pays.
Sinon tu as aussi ▻https://avistaz.to
Stream ddl
▻http://boxasian.com/movies
▻http://www.asia-choc.biz
Un des sites ne fonctionne plus.
Et voilà.
Et bien sûr pour les torrent faut parler anglais... Arg un jour je m’y mettrais
▻https://seenthis.net/messages/658898
Born in Flames était projeté vendredi dernier à Grenoble. Le trailer est dispo sur youtube
Born in Flames est un film de science-fiction américain, réalisé par Lizzie Borden, sorti en 1983, qui explore le racisme, le sexisme et l’hétérosexisme dans une démocratie socialiste américaine alternative1.
L’intrigue implique deux groupes féministes à New York, chacun des groupe exprime ses préoccupations au public par des radio pirates. Un groupe, dirigé par une lesbienne blanche franche, Isabel (Adele Bertei), fait fonctionner « Radio Ragazza ». L’autre groupe est dirigé par Honey, une afro-américaine à la voix douce, qui anime « Phoenix Radio ». La communauté locale est incitée à l’action après l’arrestation d’une activiste voyageant à travers le monde, Adelaide Norris (Jean Satterfield) qui est arrêtée à son arrivée à un aéroport de New York, et meurt étrangement en garde à vue. De plus, il y a une armée de femmes, dirigée par Hilary Hurst et conseillée par Zella à laquelle Honey et Isabel refusent de se joindre, dans un premier temps.
▻https://headon.bandcamp.com/track/rock-in-my-bones
youtube aussi peut parfois etre intéressant mais soit il faut souffrir en vf soit maîtriser un peu l’anglais. Le soucis est qu’énormément de films ne sont jamais sortis en France.
sur ygg 2 films hong-kongais viennent d’être proposés
Mantis Vs the Falcon Claws (que tu as chroniqué @unvalide ) et La Furie Du Maître De Kung-Fu
@unvalide
Dog bite dog.
Sombre, froid, sale, violent,... autant d’adjectifs qui pourraient qualifier ce nouveau film de Soi Cheang, réalisateur entre autre du sympathique Horror Hotline... Big Head Monster, mais surtout du monumental Love Battlefield. Filmé en grande partie caméra à l’épaule dans un Hong-Kong qui ne nous aura jamais paru aussi crade et malsain, Dog Bite Dig nous conte l’histoire d’un flic assez violent, qui va tout faire pour mettre la main sur un tueur cambodgien, véritable machine à tuer.
▻https://www.senscritique.com/film/Dog_Bite_Dog/436984
Le film ne vaut pas pour sa dernière demi-heure
▻http://www.voirfilms.ws/dog-bite-dog.htm
#Borough_Park, quartier juif ultra-orthodoxe de #Brooklyn. Menashé, modeste employé d’une épicerie, tente de joindre les deux bouts et se bat pour la garde de son jeune fils Ruben. En effet, ayant perdu sa femme, la tradition hassidique lui interdit de l’élever seul. Mais le Grand Rabbin lui accorde de passer une semaine avec son fils ; l’ultime occasion pour Menashé de prouver qu’il peut être père dans le respect des règles de sa communauté.
CIGEO, un héritage pour les « générations futures » (1/2) | Perspectives sur la transition énergétique... parfois numérique | Eric Vidalenc | Les blogs d’Alternatives Économiques
▻http://blogs.alternatives-economiques.fr/vidalenc/2017/08/27/cigeo-un-heritage-pour-les-generations-futures-12
C’est ça la question clé : nous produisons actuellement des matières hautement toxiques et qui le resteront au-delà de toute espérance de vie d’une civilisation humaine… de notre espèce, aussi probablement.
Ainsi, ce que fait l’ANDRA, à la demande de la représentation nationale à travers la loi de 2006, dépasse tout ce que l’humanité a pu construire par le passé en termes de durée de vie. Il faut évidemment concevoir ce projet en se posant la question des sociétés humaines (françaises ?, européennes ?, mondiales ?) de 2 500 ans, et de 20 500 aussi. Et au-delà évidemment, même si la radioactivité aura très significativement décrue.
À ce sujet, je vous invite à voir ou revoir Into Eternity ▻https://www.senscritique.com/film/Into_Eternity/414893
#nucléaire #polution