• CTIAP* Centre Hospitalier de Cholet : Vaccin #GARDASIL9®. Projet de généralisation à tous les garçons. Consultation publique de la HAS : les professionnels de santé exclus
    https://ctiapchcholet.blogspot.com/2019/11/vaccin-gardasil9-projet-de.html?m=1

    D’abord, il y a lieu de s’interroger sur l’opportunité de cette consultation en se demandant si la commission de la transparence a rendu, ou non, un nouvel avis concernant le rapport bénéfice/risque de ces vaccins. Car, à notre connaissance, son dernier avis date du 13 septembre 2017. Dans cet avis de 2017, cette commission de la transparence relève notamment « des incertitudes concernant l’efficacité qui sera obtenue en termes de prévention des cancers dans les populations recommandées en France ». Par ailleurs, la revue indépendante Prescrire affirme notamment : « Début 2018, un effet en termes de prévention des cancers génitaux n’est pas démontré » et « l’efficacité des vaccins papillomavirus en prévention des cancers du col de l’utérus reste hypothétique ».

  • Le cancer oublié qui tue les femmes
    https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/0600521676546-le-cancer-oublie-qui-tue-les-femmes-2237065.php

    Si le mot prévention a un sens, il faut donc revoir notre politique de détection de ce cancer, qui repose aujourd’hui sur la pratique des frottis cervico-vaginaux effectués par les 4.700 gynécologues, dont 1.100 purement médicaux, exerçant en France et analysés par les 1.600 anatomopathologistes qui recherchent sous leurs microscopes les cellules anormales. Ces frottis, dont la fiabilité n’est que de 60 %, affichent un coût global de près de 70 euros qui seront prochainement pris intégralement en charge par l’Assurance-maladie.

    Or il existe une technique beaucoup plus simple, rapide, non invasive et discrète pour détecter la présence du virus oncogène sur le col utérin. Ce test est purement biochimique, moléculaire et d’une fiabilité bien supérieure puisque 95 % des femmes, lorsqu’il est négatif, ne développeront pas le cancer. A l’aide d’une petite brosse, la femme peut prélever elle-même les sécrétions vaginales à examiner avant de remettre le tube au laboratoire de biologie qui réalisera le test ou l’adressera à une centrale équipée pour le faire. Or cette technique n’est pratiquement pas diffusée en France, moins de 60.000 tests étant pratiqués par an.

    #papillomavirus #cancer #prévention (avec toujours plusieurs trains de retard pour la France)

  • #Cancer : le potentiel du vaccin vedette de MSD revu à la hausse - CRAPS
    http://association-craps.fr/actualites/cancer-potentiel-vaccin-vedette-de-msd-revu-a-hausse
    Rien que l’expression #vaccin_vedette, déjà…

    De nouvelles perspectives pourraient s’ouvrir pour les vaccins contre le papillomavirus (HPV). Une étude américaine, présentée à quelques jours du congrès de l’American Society of Clinical Oncology, suggère que le #Gardasil, de l’américain Merck ( MSD en France), protégerait contre certains cancers de la tête et du cou, une maladie popularisée par l’acteur Michael Douglas chez qui elle avait été diagnostiquée en 2010.

  • Merck veut relancer son #vaccin contre le #cancer du col de l’utérus en France
    http://www.abcbourse.com/marches/merck-veut-relancer-son-vaccin-contre-le-cancer-du-col-de-l-uterus-en-fra

    « Il faut créer une culture de la prévention en France et cela nécessite que la communauté scientifique reprenne la main en termes de communication sur la vaccination », relève-t-il.

    Le groupe américain prévoit par ailleurs de commercialiser en France, en fin d’année ou début 2018, un nouveau vaccin pédiatrique hexavalent.

    Cette offensive commerciale de Merck fait suite à la dissolution à la fin décembre de sa coentreprise avec le numéro trois mondial, le français Sanofi Pasteur. Pendant 22 ans, les deux groupes avaient en effet réuni leurs activités européennes dans les vaccins dans cette entreprise commune basée à Lyon.

    La fin de la « joint-venture », aux ventes déclinantes, était d’autant plus logique pour Merck que les vaccins ont été érigés parmi les quatre priorités du groupe américain, avec l’oncologie, le diabète et les anti-infectieux.

    Donc Merck peut se permettre de reraconter des conneries, comme le fait que le cancer du col serait le second plus meurtrier (en fait au Soudan !).

    Désormais libre de ses mouvements sur le marché français , le numéro deux mondial du vaccin Merck compte bien utiliser ses nouvelles marges de manœuvre pour lutter contre une spécificité bien hexagonale : le très faible taux de vaccination contre le cancer du col de l’utérus.

    « En France, 14% des adolescentes sont protégées, alors que ce taux atteint 70% en Grande-Bretagne », souligne Cyril Schiever, le président de MSD France, la filiale française de l’américain Merck.

    « La France est à ce titre un des plus mauvais élèves européens », note M. Schiever dans un entretien accordé à l’AFP à l’occasion de l’inauguration du siège de MSD Vaccins à Lyon.

    Le cancer du col de l’utérus est la deuxième cause de mortalité par cancer chez les femmes alors qu’il est largement évitable par la vaccination.

    C’est totalement faux !
    #gardasil

  • Papillomavirus. Le #Gardasil 9 va succéder au vaccin controversé
    http://www.ouest-france.fr/sante/papillomavirus-le-gardasil-9-va-succeder-au-vaccin-controverse-4730614

    Déjà disponible en Allemagne, aux États-Unis et en Australie, un nouveau vaccin contre le papillomavirus arrivera en France cet automne. Pour protéger encore plus efficacement les femmes contre le cancer du col de l’utérus, le Gardasil 9 va en effet prendre la suite du Gardasil, dont les effets secondaires sont pointés du doigt et suscitent le doute.

  • Désastre du vaccin #Gardasil au Danemark : le documentaire - Le site d’Initiative Citoyenne
    http://initiativecitoyenne.be/2015/05/desastre-du-vaccin-gardasil-au-danemark-le-documentaire.html

    Est-ce que les responsables de la Santé au Danemark vont vouloir risquer 2.500 effets secondaires graves pour 100.000 vaccinés, comme il est précisé dans les notices de Merck pour tenter d’éviter 12,1 cas de cancer du col utérin pour 100.000 ?
     
    Les femmes danoises sont-elles prêtes à accepter pareils risques ? Est-ce que les danoises pensent qu’il est raisonnable de mettre en balance 2.500 cas de problèmes de santé potentiellement dévastateurs pour sauver 12 personnes sur 100.000 d’un diagnostic de cancer pourtant traitable ?

  • #Gardasil Researcher Speaks Out - CBS News
    http://www.cbsnews.com/news/gardasil-researcher-speaks-out

    This raises questions about the CDC’s recommendation that the series of shots be given to girls as young as 11-years old. “If we vaccinate 11 year olds and the protection doesn’t last... we’ve put them at harm from side effects, small but real, for no benefit,” says Dr. Harper. “The benefit to public health is nothing, there is no reduction in cervical cancers, they are just postponed, unless the protection lasts for at least 15 years, and over 70% of all sexually active females of all ages are vaccinated.” She also says that enough serious side effects have been reported after Gardasil use that the vaccine could prove riskier than the cervical cancer it purports to prevent. Cervical cancer is usually entirely curable when detected early through normal Pap screenings.

  • #Cancer du col de l’utérus. Le #frottis permet d’éviter 9 cas sur 10 - CRAPS
    http://association-craps.fr/actualites/cancer-du-col-de-luterus-le-frottis-permet-deviter-9-cas-sur-10

    Le cancer du col de l’utérus peut être évité dans 9 cas sur 10 grâce au frottis de dépistage, rappelle l’Institut national du cancer (INCa) dans le cadre d’une nouvelle campagne d’information sur cette pathologie qui tue environ un millier de femmes par an en France.

  • #Vaccin #anti-HPV : l’Agence européenne du médicament remise en question - A la une - Destination Santé
    https://destinationsante.com/vaccin-anti-hpv-lagence-europeenne-medicament-remise-question.html

    Selon la parole d’experts médicaux danois* relayée ce 9 décembre dans les colonnes du Monde, les complications rapportées suite à l’administration du vaccin protégeant du cancer du col de l’utérus n’ont pas été traitées avec la rigueur scientifique nécessaire par l’Agence européenne du médicament (EMA). L’autorité aurait en effet modifié une expertise sur ce même vaccin. Motif pour lequel des médecins, chercheurs et institutions danois ainsi que le Nordic Cochran Center ont porté plainte contre l’EMA ce 5 décembre.

    Des effets indésirables « rares mais sérieux »

    Cette affaire remonte à l’été 2015. Date à laquelle un médecin de Copenhague fait remonter aux autorités nationales des effets indésirables rapportés par des jeunes femmes vaccinées contre le #HPV. Précisément, « plusieurs dizaines de cas de jeunes filles ayant présenté, dans les mois suivants [l’injection], des troubles spécifiques ». Soient des cas « de syndrome de fatigue chronique, de syndrome douloureux régional complexe ou de syndrome de tachycardie orthostatique posturale ». Ces atteintes entrainent d’importantes répercussions dans le quotidien comme une fatigue accrue, des douleurs musculaires et articulaires chroniques. Mais aussi d’inhabituels épisodes de vertiges, de nausées, de migraines et de troubles de la mémoire.

    Les médecins et chercheurs danois ont ensuite compilé tous les effets indésirables rapportés par les femmes ayant bénéficié d’un vaccin anti-HPV (#Gardasil® et #Cervarix®). Ils ont ensuite saisi la Commission européenne, chargée de missionner l’EMA dans l’éclaircissement de l’origine de ce trouble. Suite à cette démarche, le verdict de l’agence européenne tombe : aucun lien de cause à effet n’existe entre le vaccin et les complications répertoriées.

    #conflit_intérêt #santé

  • Gardasil : nos arguments contre le #vaccin réaffirmés - ma Vérité sur
    http://www.maveritesur.com/gerard-delepine/gardasil-nos-arguments-contre-le-vaccin-reaffirmes/927

    Je réaffirme haut et fort que les données acquises de la science montrent que le #cancer du col de l’#utérus n’est plus un problème de #santé publique en France depuis la pratique généralisée des #frottis. En 2012, il représentait moins de 1% des cancers de France métropolitaine (3 000 des 355 000 nouveaux cas de cancers) et 0.6% des 148 000 décès de cancer (1). De plus, la prévention de la #mort par ce cancer grâce à la pratique des frottis cervicaux vaginaux a fait la preuve de son efficacité depuis 30 ans, faisant régresser la mortalité annuelle de ce cancer de 5 000 à moins de1 000. Les femmes qui meurent encore de ce cancer sont presque exclusivement celles qui ne se sont pas fait pratiquer un frottis tous les trois ans, comme recommandé par la Haute Autorité de Santé (HAS).

  • Contre la loi du silence | Le Devoir
    http://www.ledevoir.com/societe/sante/453757/la-replique-vaccination-contre-le-vph-contre-la-loi-du-silence

    Nos critiques insistent sur le fait que le #vaccin #anti-VPH est sécuritaire, que des études le prouvent, que les preuves d’effets indésirables n’existent pas et que le système de pharmacovigilance canadien est exemplaire. Pourtant, les fabricants du #Gardasil eux-mêmes listent 21 effets indésirables graves. Du côté des États-Unis, le Programme national de compensation pour les victimes des vaccins a déjà versé des millions aux parents de jeunes filles blessées ou décédées à cause de la vaccination au Gardasil. Il existe de multiples publications scientifiques sur les effets indésirables graves liés au vaccin anti-VPH.

    De plus, notre étude nous a permis d’interviewer de jeunes filles et des parents de jeunes filles aux prises avec des effets indésirables sévères. La non-reconnaissance de leurs expériences par les professionnels de la #santé a motivé notre intervention. […] L’attitude scientifique, médicale, éthique et responsable serait de poser les bonnes questions et d’investiguer, au moyen d’une étude indépendante, sur le vaccin et ses effets chez nos jeunes Québécoises.

    Marrant, ces derniers jours, j’ai justement vu passer une floppée d’articles en France qui disaient précisément qu’il était scientifiquement prouvé qu’il y a 0 problème et que, quand même, vu que c’est totalement sans effets secondaires, on serait bien un peu dégueu de refuser ça à nos filles !

  • Gardasil, Hépatite B, adjuvants... Les vaccins peuvent-ils aussi nuire à notre santé ?
    http://www.bastamag.net/Gardasil-Hepatite-B-adjuvants-Les-vaccins-peuvent-ils-aussi-nuire-a-notre-

    Certains vaccins, dont le Gardasil, sont de plus en plus critiqués. Ils provoqueraient des fatigues chroniques, des scléroses en plaques ou des encéphalomyélites disséminées. Ils manqueraient d’efficacité ou seraient administrés en trop grande quantité. De simples rumeurs ou des croyances irrationnelles amplifiées par les réseaux sociaux, comme le soutiennent les experts du Comité technique des vaccinations ? Ou des faisceaux de preuves scientifiques troublantes ? Basta ! a interrogé chercheurs et (...)

    #Décrypter

    / Santé , #Multinationales, #Enquêtes, Menaces sur la #Santé_publique, A la une

    #Menaces_sur_la_santé_publique
    http://www.bastamag.net/IMG/pdf/1821.full.pdf
    http://www.bastamag.net/IMG/pdf/santiago_et_al._-_2015_-_macrophagic_myofasciitis_and_vaccination_conseque

    • Le énième article sur les vaccins, je ne suis pas convaincue de la qualité journalistique de cet article. Ok, il n’y a pas d’études, mais pour ce sujet, toute approximation est fatale pour pouvoir laisser chacun juger clairement.

      Sur la question des vaccins, les lanceurs d’alerte sont peu écoutés. Ils sont même qualifiés « d’extrêmement dangereux » par le président du Haut conseil de la santé publique, Roger Salamon [13]. Ce dernier estime que ces associations provoquent la « méfiance » grandissante du public. Critiquer les vaccins est un tabou, expliquent ses détracteurs qui sont souvent qualifiés d’anti-vaccinalistes.

      #vaccins

    • Un texte que j’avais écrit en 2011 mais qui, apparemment est toujours d’actualité...

      En janvier 2008, j’avais été amusé par une dépêche de l’AFP qui mettait en garde contre le « sexe oral », plus dangereux encore que la clope... Je m’étais rendu compte que cette info visait en fait à faire peur sur le virus du papillome humain (VPH), et surtout à promouvoir un traitement potentiel, le Gardasil. Campagne de pub des pharmaceutiques (ici Merck, en l’occurrence) qui ont le bras tellement long et les poches tellement pleines qu’elles peuvent bénéficier de l’aide, entre autres, de l’AFP. L’enjeu est de taille puisqu’il vise toutes les femmes, malades ou non, et que ce serait l’Etat qui rembourserait ce traitement s’il était jugé indispensable !

      Pourtant le Gardasil n’immunise que contre certaines souches du virus, dont la dangerosité est nulle dans 90% des cas, dont les conséquences principales sont des verrues génitales et, parfois, le cancer du col de l’utérus, lequel n’est mortel que dans 0.001% de la population. Enfin, pour lutter contre ce cancer, un dépistage est suffisant et nettement préférable ! Tout ceci est étayé dans un article de 20 Minutes, et surtout dans un dossier de l’excellente revue québecoise, A Babord...
      http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2008/09/30/un-editorial-du-nejm-doute-de-l-utilite-du-gardasil-e
      https://www.ababord.org/Une-campagne-pour-les-jeunes

      Malgré tout, le bras long et les poches pleines, Merck pouvait corrompre jusqu’au comité Nobel qui, en octobre 2008, décernait son prix au découvreur du VPH, attirant encore plus l’attention sur le Gardasil.

      En 2008, le Gardasil était le 16e médicament le plus remboursé par la Sécurité sociale, soit 145 millions d’euros, et encore 81 millions d’euros en 2009...

      Depuis 2011, ce sont les victimes du Gardasil, et non pas du VPH, qui portent plainte contre les pharmaciens pour les paralysies, maux de tête et douleurs au ventre que causent leurs « médicaments ».
      http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/07/11/gardasil-premieres-demandes-d-indemnisation_1547179_3224.html
      http://www.actualites-news-environnement.com/26842-Cancer-col-uterus-vaccination-est-contestee-med
      http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/ce-que-dit-la-revue-prescrire-sur-le-vaccin-contre-le-cancer-du-col-de-l-ut

      Non content de ne pas soigner une maladie qui n’est pas grave, ce médicament cause lui même des désordres que, n’en doutons pas, Merck trouvera à guérir avec une autre drogue...

      #virus_du_papillome_humain
      #Gardasil
      #Merck
      #Prix_Nobel

    • Et il y a encore des gynécologues aujourd’hui qui n’hésitent pas à te faire peur pour te vendre l’injection du Gardasil, on se demande combien illes perçoivent de Merck dessus. http://seenthis.net/messages/317399#message356371

      Et Merck, bien sur, le fabricant du Vioxx, (27 785 décès et problèmes cardiaques qui pourraient avoir été causés entre 1999 et 2004 rien que ça !)
      http://seenthis.net/messages/158698#message158811

      Le Vioxx a fini par être retiré de la vente alors que les effets nocifs étaient connus depuis près de 4 ans. …

  • #Papillomavirus : controverse sur un #vaccin
    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/04/14/papillomavirus-questions-sur-un-vaccin_4401036_1650684.html

    A quoi servent ces vaccins ?

    Deux types de vaccins contre les papillomavirus humains (HPV) sont disponibles en France. Le #Gardasil est commercialisé depuis novembre 2006 par le laboratoire franco-américain Sanofi Pasteur MSD (Merck), avec 85 % de part de marché, et le #Cervarix, du laboratoire britannique GlaxoSmithKline (GSK), depuis 2007. Les HPV sont des infections fréquentes transmises par contact sexuel qui disparaissent spontanément dans la majorité des cas. Treize types de HPV sont hautement cancérigènes, dont les sous-types HPV 16 et 18 – inclus dans les vaccins –, responsables de deux tiers des cancers du col de l’utérus induits par ces virus. Les HPV sont aussi associés à d’autres cancers (pénis, anus, larynx…). Avec 3 000 nouveaux cas estimés en 2012, et 1 100 décès, le cancer de l’utérus se situe au 11e rang des cancers chez les femmes en France. Il est en revanche beaucoup plus fréquent dans les pays en voie de développement, faute de dépistage par frottis.

    La vaccination HPV n’est pas obligatoire, mais recommandée chez les filles de 11 à 14 ans, l’âge ayant été abaissé à 11 ans en avril 2013 par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP). Un rattrapage est préconisé pour les jeunes filles de 15 à 19 ans non encore vaccinées. Point essentiel, cette vaccination doit être réalisée avant toute relation sexuelle. Jusqu’ici en trois doses, le schéma vaccinal est en voie de simplification à deux doses, sur la base d’études scientifiques.

    Ces vaccins ont-ils démontré leur efficacité ?

    Jusqu’ici, il n’y a pas de preuve directe que cette vaccination permette d’éviter les cancers du col de l’utérus. Le docteur Soizic Courcier, directrice médicale et des affaires réglementaires chez GSK France explique que « dans les études cliniques, ce n’est pas le cancer du col qui a été choisi comme critère d’évaluation car la lésion cancéreuse nécessitant en général 10 à 15 ans pour se développer/proliférer après une infection persistante à HPV, cela rend quasiment impossible la réalisation d’une telle étude. » La démonstration, si elle peut être faite, prendra de toute façon des années. Pour certains, les données existantes sont cependant déjà suffisantes. « Mise en œuvre dans des conditions optimales, cette vaccination prévient l’infection à papillomavirus et ses conséquences avec une efficacité proche de 100 % et constitue ainsi une mesure de prévention primaire du cancer du col de l’utérus et des lésions précancéreuses », écrit le professeur Olivier Graesslin, secrétaire général du CNGOF, sur le site de cette société savante. « Le vaccin réduit de façon drastique les dysplasies, les lésions précancéreuses du col de l’utérus. En combinant des stratégies de dépistage et de vaccination, ces cancers sont à 98 % évitables », estime ce gynécologue-obstétricien au CHU de Reims, qui ne déclare pas de lien d’intérêt avec les laboratoires concernés.

    Mais d’autres sont plus sceptiques. « Les vaccins anti-HPV n’ont pas prouvé leur efficacité, ils sont chers et ne dispensent pas de faire des frottis. De plus, il y a un doute sur leur innocuité. Si l’on doit faire des économies, autant dépenser l’argent de façon intéressante », estime Jean-Paul Hamon, président de la Fédération des médecins de France, signataire de la pétition. Pour ce généraliste, « la seule stratégie qui ait fait reculer le cancer du col de l’utérus, c’est le dépistage par frottis. C’est sur ce dépistage, auquel échappe presque une femme sur deux en France, qu’il faudrait faire porter les efforts ». « II y a beaucoup d’inconnues et d’incertitudes sur l’efficacité de ces vaccins », confirme Alice Touzaa, gynécologue libérale à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), elle aussi signataire de la pétition, en rappelant que beaucoup de lésions précancéreuses du col utérin, même de haut grade, n’évoluent pas vers un cancer invasif. « Il existe des inconnues dans la modélisation du bénéfice, juge aussi le professeur Bernard Bégaud (département de pharmacologie médicale, Bordeaux). Par exemple, quelle est la probabilité que des souches de HPV non pathogènes et non incluses dans le vaccin deviennent cancérigènes ? Quelle est exactement la part attribuable des papillomavirus dans les cancers du col, et que sera-t-elle dans vingt ou trente ans ? » Des interrogations que ce spécialiste met en balance avec la relative rareté des cancers du col, leur évolution lente, et les possibilités de dépistage et de traitement précoces.

    La question de la durée de la protection n’est pas non plus résolue. « Mon argumentaire n’est pas fondé sur les effets secondaires, mais sur son efficacité et son coût très élevé au regard de l’alternative du frottis, bien moins cher et de surcroît le seul moyen pour éviter le cancer de l’utérus », explique le docteur Philippe de Chazournes.

    « Dire que ce vaccin est inefficace est de la désinformation », souligne toutefois le professeur Floret. Selon lui, il est « clairement démontré que ça prévient des lésions précancéreuses ». Autre critique récurrente, le prix : 370 euros pour trois injections, remboursées à 65 %, contre 15 à 20 euros pour un frottis annuel. Ce coût élevé avait été signalé par le rapport de la Cour des comptes sur la politique vaccinale en France en 2012.

    Quels sont les risques ?

    Depuis leur mise sur le marché, le Gardasil et le Cervarix font l’objet d’un plan de gestion des risques (PGR) à l’échelle européenne et d’un suivi renforcé de pharmacovigilance au niveau national. Le dernier bilan, rendu public par l’ANSM jeudi 10 avril, n’est pas inquiétant selon l’agence. Les données concernent uniquement le Gardasil, dont les ventes sont 20 fois supérieures à celles du Cervarix. Depuis sa commercialisation en 2006 et jusqu’au 20 septembre 2013, 5,5 millions de doses de Gardasil ont été vendues en France. Pendant cette période, 2 092 notifications d’effets indésirables ont été recensées par le centre de pharmacovigilance de Bordeaux, qui assure ce suivi ; dont 503 considérés comme graves, soit 24 %, et 4 décès. Le rapport fait en particulier état de 127 maladies auto-immunes, dont 17 cas de sclérose en plaques (SEP). Le pourcentage d’effets indésirables graves est plus élevé qu’aux Etats-Unis (24 % versus 7,9 %), de même pour la proportion d’atteintes neurologiques.

    Des chiffres a priori impressionnants, mais à interpréter avec précaution. « Ces événements ne sont pas forcément imputables au vaccin mais peuvent être observés chez des jeunes filles non vaccinées. Ces nouvelles données de surveillance ne remettent pas en cause le rapport bénéfice-risque de ce vaccin, commente le docteur Mahmoud Zureik, directeur de la stratégie de l’ANSM. A ce stade, les études publiées, robustes sur le plan méthodologique, ne mettent pas en évidence une fréquence plus élevée de maladies auto-immunes chez les filles vaccinées avec le Gardasil que chez celles qui ne l’ont pas été. Quant aux décès, dont le dernier remonte à plus de trois ans, la responsabilité du vaccin n’est pas établie. »

    Le docteur Zureik précise toutefois que l’ANSM lance une nouvelle étude, à partir des bases de données de l’Assurance-maladie de ces trois dernières années, pour comparer l’occurrence des maladies auto-immunes et de SEP chez les jeunes filles vaccinées ou non. Les résultats devraient être disponibles d’ici la fin de l’année. « La première étude menée en France sur ce sujet ne montrait pas de sur-risque mais elle était préliminaire. Il faut la consolider, avec une méthodologie dans les règles de l’art », poursuit l’épidémiologiste.

    Une démarche qu’approuve le professeur Jean-Marc Léger (neurologue, hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris). « La question posée est celle d’un lien direct, de cause à effet, entre une vaccination et l’apparition de maladies auto-immunes, dont la SEP. Comme dans le cas du vaccin contre l’hépatite B, seules des études scientifiques indépendantes peuvent y répondre, explique-t-il. Les lanceurs d’alerte sont utiles, mais il faut rester prudent face à des cas individuels médiatisés et revenir à la science. »

    Les plaintes ont-elles une chance d’aboutir ?

    Les effets secondaires attribués aux vaccins suscitent en France des actions en justice. La première plainte au pénal a été déposée en novembre 2013 par maître Jean-Christophe Coubris, l’avocat de la famille de Marie-Océane Bourguignon, 18 ans, qui a développé une inflammation du système nerveux après une injection de Gardasil (Le Monde du 24 novembre 2013). Les experts de la commission de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux de Bordeaux avaient conclu à « une sclérose en plaques » et fait le « lien entre les deux injections de Gardasil et la survenue » de la maladie de l’adolescente. Jean-Christophe Coubris a reçu à ce jour une centaine de témoignages de victimes présumées. Parmi les pathologies les plus fréquemment évoquées figurent la SEP, le lupus, des inflammations du système nerveux central, etc. Vingt-cinq nouveaux dossiers devraient être déposés auprès du parquet du pôle de santé du tribunal de grande instance de Paris fin avril, contre Sanofi Pasteur MSD et l’agence du médicament (ANSM) pour « blessures involontaires, violation d’une obligation manifeste de sécurité et méconnaissance des principes de précaution et de prévention », précise Jean-Christophe Coubris.

    Parallèlement, neuf autres victimes potentielles du Gardasil ont elles aussi déposé plainte contre X en décembre 2013 pour « atteinte involontaire à l’intégrité physique et tromperie aggravée » au tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Ces jeunes femmes avaient en commun d’avoir contracté des maladies très invalidantes dans les semaines et les mois qui ont suivi la vaccination, souligne maître Camille Kouchner, leur conseil.

    « Nous avons privilégié la plainte contre X car il y a beaucoup d’intervenants et il faut chercher la responsabilité de chacun. Je ne suis pas du tout dans une politique antivaccins, mon combat c’est le Gardasil », précise la fille de l’ancien ministre de la santé. Elle a reçu à ce jour une cinquantaine de demandes de dépôt de plainte et doit en déposer cinq à dix dans les semaines à venir au tribunal de Bobigny.

    Faut-il vacciner ses enfants ?

    Alors que la vaccination des jeunes filles fait débat, le fabricant du Gardasil défend depuis le début l’idée d’inclure les garçons, pour prévenir certains cancers masculins et pour diminuer la circulation des HPV. Pour l’instant, seuls les Etats-Unis recommandent de le faire. « Il y a forte pression du laboratoire, mais un obstacle au niveau de l’Agence européenne du médicament [EMEA] car l’efficacité protectrice du vaccin n’est pas reconnue pour les cancers anaux, encore moins pour les cancers oropharyngés », explique Daniel Floret, sceptique sur une vaccination des garçons. Sanofi Pasteur MSD a déposé de nouvelles études à l’EMEA, qui devrait rendre une décision prochainement.

  • Médecine | De nouvelles plaintes contre le vaccin Gardasil
    http://www.dna.fr/sante/2014/04/02/de-nouvelles-plaintes-contre-le-vaccin-gardasil

    Sanofi Pasteur MSD défend son vaccin et réfute les attaques : « Gardasil est soumis aux exigences européennes en termes de sécurité, efficacité et qualité des vaccins », répond le laboratoire qui s’appuie également sur l’avis de la Haute autorité de Santé. Pour Sanofi Pasteur MSD les plaintes ne sont que « l’instrumentalisation du désarroi de ces jeunes filles, à des fins médiatiques ».

    #gardasil #vaccin #Sanofi_Pasteur_MSD #mépris_des_victimes

  • #Cancer du col de l’#utérus : de nouvelles plaintes contre le #Gardasil
    http://www.lemonde.fr/sante/article/2014/04/02/vingt-cinq-nouvelles-plaintes-bientot-deposees-contre-le-gardasil_4394385_16

    Vingt-cinq nouvelles plaintes vont être déposées d’ici à la fin du mois contre le vaccin Gardasil, commercialisé par la coentreprise franco-américaine Sanofi Pasteur MSD (Merck) et destiné à prévenir le cancer du col de l’utérus, a indiqué mercredi 2 avril Me Jean-Christophe Coubris.

    Auteur de la première plainte déposée en novembre dernier, l’avocat a précisé que les 25 plaintes pénales seraient déposées contre Sanofi et l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) auprès du parquet du pôle de santé du tribunal de grande instance de Paris. « Le point commun entre toutes ces affaires est le délai très court entre l’injection du Gardasil et les premiers symptômes de la maladie », a-t-il indiqué, précisant qu’il espérait la désignation rapide d’experts.

  • « #Gardasil : un scandale international ? » Conférence de presse avec des experts et des lanceurs d’alerte) : Pharmacritique
    http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2014/04/02/gardasil-un-scandale-international-conference-de-pres

    Arrivé sur le marché français en novembre 2006, le Gardasil est un #vaccin du laboratoire [Merck, commercialisé en France par] Sanofi-Pasteur MSD contre certains #papillomavirus humains pouvant être à l’origine de cancers. En l’espace de 7 ans, près de 2 millions de jeunes femmes âgées de 13 à 26 ans ont reçu au moins une dose de ce vaccin, remboursé à hauteur de 65% par la Sécurité sociale… alors même que la preuve de son efficacité n’a toujours pas été donnée.

    En effet, tout porte à croire que les études cliniques du Gardasil n’ont pas été réalisées dans les règles de l’art. Normalement, pour évaluer son innocuité, on compare un traitement à un placebo. Or, dans le cas de ce vaccin, le « placebo » utilisé n’était pas autre chose que l’adjuvant du vaccin. L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps / ANSM) a d’ailleurs inscrit le Gardasil sur sa liste des médicaments sous surveillance après la crise du Médiator.

    #HPV #santé #whistleblower

  • Une pétition contre le Gardasil - (420 médecins)
    http://www.lejdd.fr/Societe/Sante/Une-petition-contre-le-Gardasil-659188

    La phrase de François Hollande leur est restée en travers de la gorge. « Ce vaccin a fait la preuve de son efficacité », a-t-il lancé lors de la présentation du nouveau plan cancer début février. Une promotion présidentielle pour le Gardasil, destiné à prévenir certaines lésions précancéreuses du col de l’utérus, au cœur d’un débat après le dépôt de neuf plaintes concernant des effets secondaires présumés.

    #gardasil #cancer #utérus #vaccination #lobbying_pharmaceutique #Merck #Sanofi #Pasteur #socialistes #foutage_de_

  • Le Gardasil® en 10 questions-réponses
    Par Joël Pelerin et Philippe de Chazournes, au nom de Med’Océan, actualisé au 19 février 2014
    Inclut des informations transmises par Catherine Riva et le Dr Jean-Pierre Spinosa, auteurs de « La piqûre de trop ? »

    Depuis plusieurs années, ce vaccin est l’objet de controverses dans de nombreux pays européens et dans le reste du monde (E.U., Canada, Inde…). Depuis juin 2013 elle n’est plus recommandée par les autorités japonaises. Le 3 octobre 2011, un débat s’est tenu à l’Assemblée Nationale (vidéos complètes sur le site http://www.medocean.re) avec les auteurs du livre La piqûre de trop ? (1) et des représentants de l’Association Méd’Océan. Deux ans après, ces derniers font le point.
    http://www.medocean.re/2014/02/si-vous-etes-medecin-generaliste-ou-specialiste-et-si-vous-etes-daccord-ave

    Question préliminaire : On vous traite de « mouvement sectaire anti-vaccinal ». Qu’en est-il ?

    Réponse Med’Océan : C’est absolument faux ! L’un de nos membres a d’ailleurs travaillé en dialyse, s’est contaminé plusieurs fois et il est peut-être encore en vie grâce à sa vaccination préventive contre l’hépatite B, c’est tout dire !
    La mission de Med’Océan est de promouvoir une médecine de qualité, réfléchie, basée sur les preuves et indépendante, sur des sujets de Santé Publique et de Médecine Générale, au départ dans la zone Océan Indien (nous sommes à l’Ile de La Réunion). Nous avons vu défiler, depuis cinq ans et à grands frais via l’industrie pharmaceutique, de multiples « leaders d’opinion » promouvant activement cette vaccination, alors que son intérêt n’était pas évident. Nous avons également pu constater dans le cas du Gardasil® que de nombreux « leaders d’opinion » n’avaient qu’une connaissance très superficielle des principales études scientifiques sur ce vaccin, sans esprit critique. Ces études, non publiées dans la grande presse médicale, se trouvent sur le site de la FDA(2,3) et sont consultables par tous.
    Enfin, nous, nous n’avons aucun conflit d’intérêts.

    Question n° 1 : La plupart des articles de presse sur le Gardasil® relatent des plaintes de familles de patientes à propos d’effets indésirables graves, par exemple des paralysies ou même des décès. Quel est votre point de vue ?

    Réponse Med’Océan : Les effets indésirables « classiques » des vaccins sont les plus sujets à polémique, car sauf exception, il est quasiment impossible de prouver la causalité entre la pathologie observée et la vaccination. Aussi nous privilégions dans notre exposé tout ce que nous avons trouvé d’autre et qui repose sur des données facilement analysables. Nous reviendrons sur les effets indésirables « classiques » seulement à la fin, après la question n° 10…

    Question n° 2 : Connaissez-vous alors d’autres effets indésirables graves ?

    Réponse Med’Océan : Nous en voyons au moins deux potentiels : le premier est la possible augmentation paradoxale du nombre de lésions précancéreuses après vaccination chez les femmes déjà porteuses d’un des virus (HPV 6, 11, 16 ou 18), comme nous l’avons détaillé à l’Assemblée Nationale (10). Ce phénomène se retrouve d’ailleurs tant au niveau des lésions condylomateuses cutanées (verrues vénériennes) que des lésions sévères du col de l’utérus. Le très sérieux INSERM en parle d’ailleurs dans sa revue de novembre-décembre 2011 (11) « Des effets indésirables graves sont soupçonnés : augmentation du risque de cancer si l’infection est déjà installée, information pas toujours communiquée par le laboratoire. »

    Sur le plan scientifique, on pourrait avancer l’explication suivante : non seulement le Gardasil® n’est pas curatif, mais la montée des anticorps après vaccination exaspère la virulence oncogène.

    En clair, les parents qui font vacciner leur fille ne se doutent pas qu’ils aggravent peut-être son risque de cancer du col si elle n’est plus vierge. Et toutes celles qui se sont fait vacciner « en rattrapage dans la première année qui suit le début des rapports sexuels » sont dans le même cas. Nous y reviendrons à la question n° 7.

    Question n° 3 : Vous avez parlé d’un deuxième effet secondaire grave potentiel, quel est-il ?

    Réponse Med’Océan : Le deuxième effet secondaire grave est encore la possible augmentation paradoxale des lésions, cette fois-ci chez les femmes non contaminées ou vierges, par manque d’efficacité et faux sentiment de protection.

    Question n° 4 : Comment pouvez-vous dire cela ? Il est bien établi que le Gardasil®, s’il n’est pas curatif, est efficace à près de 100 % chez les patientes « naïves » vis-à-vis des virus HPV 6, 11, 16 et 18, principaux pourvoyeurs du cancer !

    Réponse Med’Océan : C’est la que réside tout le malentendu. Le message qui circule est que la vaccination permet d’être protégé contre ces 4 virus, qui sont à l’origine de 70 % des lésions graves. Nous saluons effectivement la réussite des chercheurs qui ont travaillé pour le fabricant, leur produit est d’une efficacité remarquable vis-à-vis des 4 sérotypes qu’il cible. Mais le problème, c’est que, malgré l’efficacité sur les 4 souches, le nombre total de lésions ne diminue pas notablement ! Il y a plusieurs dizaines d’autres virus potentiellement oncogènes, et l’efficacité réelle de ce vaccin contre tous les HPV confondus, la seule qui compte en pratique, est malheureusement de moins de 20 % (1,12).

    Question n° 5 : Cette efficacité de moins de 20 % tous virus confondus, sur l’apparition de lésions sévères du col, a été confirmée récemment par le Haut Conseil de Santé Publique et le Comité Technique des Vaccinations. Qu’en dites-vous ?

    Réponse Med’Océan : En effet, suite à notre débat à l’Assemblée Nationale, Xavier Bertrand, ministre de la Santé, a reformulé dans une lettre (13) nos questions au Professeur Salamon, Président du Haut Conseil de la Santé Publique. Le groupe de travail a répondu le 21 octobre 2011, en confirmant que l’efficacité du Gardasil, tous virus confondus, était de moins de 20 % (16,9 % et non significative dans la population per protocole et 18,4 % dans le groupe MITT3 (14) du total des essais 013 et 015).
    C’est un premier pas dans la bonne direction, malheureusement encore bien insuffisant : sur un échantillonnage plus large (essais 007+013+015) l’efficacité chute à 12.2 % et n’est plus significative (14b) !
    Par ailleurs il faudrait, par exemple, recalculer le ratio coût de la vaccination/bénéfice attendu, qui a été calculé avec 70 % d’efficacité…

    Question n° 6 : Cette efficacité du vaccin, même si elle est très inférieure à celle attendue, est toujours bonne à prendre, c’est un vaccin contre le cancer quand même !

    Réponse Med’Océan : Double erreur fondamentale !
    Premièrement la vaccination procure donc un faux sentiment de protection. Une enquête (15) portant sur plusieurs centaines de jeunes femmes a montré qu’une majorité d’entre elles pensent qu’après vaccination, la pratique du dépistage est inutile. Un grand nombre de patientes vaccinées se croyant suffisamment protégées vont espacer leur frottis et risquent de ne consulter qu’à l’apparition habituellement trop tardive de signes cliniques du cancer. Dès 2007, le Comité Technique des Vaccinations écrivait (16) : « il serait possible que, si les femmes vaccinées se faisaient moins dépister, l’incidence et plus encore la mortalité du cancer du col de l’utérus augmentent, le vaccin n’étant pas efficace vis-à-vis d’environ 30 % des cancers ».
    Cette phrase prend aujourd’hui une valeur particulière, quand on sait que le vaccin est loin d’avoir les 70 % d’efficacité qu’on croyait à l’époque ! Il faudrait dire avec les connaissances actuelles : « le vaccin n’étant pas efficace vis-à-vis d’au moins 80 % des lésions précancéreuses ».
    Deuxièmement il n’est pas impossible que dans certaines circonstances la vaccination favorise le cancer, comme nous allons le voir plus loin !

    Question n° 7 : Les médias ont largement diffusé les résultats positifs de la vaccination à grande échelle dans « l’étude australienne »(17). Qu’en dites-vous ?

    Réponse Med’Océan : Parlons-en, de cette fameuse étude australienne ! Effectivement, chez les moins de 18 ans, on observe une certaine efficacité (sans que l’on puisse savoir si le bénéfice est dû à la vaccination ou au programme de dépistage, qui a été conduit de façon concomitante). Mais dans le même temps, on note ce que les auteurs appellent « une légère augmentation de l’incidence » chez les femmes âgées de 21 ans et plus.
    Au total on s’aperçoit que dans cette étude, portant sur plus d’un million et demi de femmes, la vaccination aurait permis d’éviter 21 lésions sévères du col chez les moins de 18 ans, mais aurait favorisé l’apparition de plus de 800 lésions chez les autres, avec un bilan global de 790 lésions supplémentaires, et de façon extrêmement significative (18).
    On retrouve encore une fois cette notion que la vaccination, non seulement n’est pas protectrice, mais qu’elle augmente le nombre de cas de lésions précancéreuses, si les femmes ont déjà été contaminées (ce qui est très fréquent dès qu’elles ont une activité sexuelle). Or, ce message n’est pas diffusé par le fabricant.
    En réponse à la question n° 2, nous avons déjà signalé que les essais randomisés montraient une tendance à l’aggravation des lésions, aussi bien pour les condylomes cutanés que pour les lésions du col, si les femmes sont déjà porteuses du virus, et dans l’étude australienne, on retrouve une augmentation très significative (p<0.0001) des lésions CIN2/3 chez les patientes au-delà de l’âge de 21 ans, l’INSERM en parle aussi (11). Pourtant le groupe de travail du Haut Conseil de la Santé Publique cité plus haut (13) conclut : « Il n’existe actuellement aucune donnée suggérant un caractère potentiellement délétère du vaccin dans certaines catégories de la population, en particulier, de risque de survenue de cancer chez des femmes préalablement infectées. »
    À noter que plusieurs membres de ce groupe de travail ont des conflits d’intérêts majeurs…

    Question n° 8 : C’est sans doute devant ces résultats que le fabricant du vaccin met l’accent sur la vaccination des adolescentes très jeunes, ayant toutes les chances d’être vierges ! Quel est votre avis ?

    Réponse Med’Océan : Chez les très jeunes patientes, la vaccination procure des taux d’anticorps contre les HPV 6,11, 16 et 18. Mais les questions sont nombreuses, par exemple le taux sera-t-il encore protecteur dans 15 ou 20 ans ? On sait déjà que 35 % des patientes n’ont plus d’anticorps anti-HPV 18 après 5 ans (19).
    D’ici 15 ou 20 ans n’y aura-t-il pas émergence massive d’autres sérotypes oncogènes ? Déjà durant la courte période des essais avant commercialisation, on observe un nombre accru de lésions sévères du col par les « autres virus » dans le groupe Gardasil® par rapport au groupe placébo (20). Et il y aura toujours le dangereux faux sentiment de protection, et les éventuels effets indésirables graves neurologiques, hématologiques, etc. Le jeu en vaut-il la chandelle ?
    Par ailleurs, une personne prendra des décisions différentes suivant si elle se croit protégée à 70 % ou à moins de 20 %.
    Enfin, préconiser « vaccination + frottis » comme étant « l’idéal » est aussi une énorme erreur, non seulement en termes de coûts, mais surtout en termes de risques d’effets secondaires de type maladies auto-immunes, et d’efficacité illusoire puisqu’il y aura toujours des femmes qui considèreront que, vaccinées, elles sont protégées, et ne feront plus de frottis, ou trop tardivement, quel que soit l’effort de leur médecin généraliste ou gynécologue pour le leur rappeler.

    Question n° 9 : Mais alors, que doivent dire les médecins à leurs patientes ?

    Réponse Med’Océan : Il suffit de se référer au serment d’Hippocrate : « … je ne tromperai jamais leur confiance… » Dire aux mères qui amènent vacciner leurs filles, et aux patientes : « Savez-vous que la protection conférée par ce vaccin est douteuse, et qu’on pense même qu’il peut aggraver les choses s’il y a déjà eu contact avec le virus ? Alors que la pratique régulière des frottis a depuis longtemps fait ses preuves ! »

    Question n° 10 : Et selon vous, quelle devrait être la position des médias ?

    Réponse Med’Océan : Leur responsabilité est très importante. Leur devoir est de relayer une information juste et sans apriori. S’ils ne font pas leur travail d’information correctement, les patientes ne peuvent pas choisir en connaissance de cause. Il est également de leur devoir de le faire pour que, plus tard, personne, aussi bien les patientes que les autorités, ne puisse dire : « A l’époque, on ne savait pas ! » Nous n’avons JAMAIS vu un parent insister pour faire vacciner son enfant à l’énoncé de tout ce qui précède.

    Retour sur la Question n° 1 : pouvez-vous parler maintenant des effets indésirables classiquement évoqués pour ce vaccin ?

    Réponse Med’Océan : Dans une population donnée, on observe toujours l’apparition d’un certain nombre de maladies auto-immunes neurologiques, hématologiques ou rhumatismales et de décès inexpliqués. La causalité avec la vaccination est donc difficile à prouver, mais elle est bien sûr possible. Trois faits majeurs sont à retenir : d’abord la forte dose de protéines injectée à chaque piqûre de Gardasil®, 120 microgrammes, ce qui, comme indiqué dans l’ouvrage récent Novel Approaches to Vaccine Research(4), expliquerait la forte proportion de maladies auto-immunes.
    Ensuite la présence d’aluminium dans l’excipient qui, même chez l’enfant, peut aussi induire des maladies auto-immunes, et pas seulement la myofasciite à macrophages, ce qu’on en connait n’est que la partie émergée de l’iceberg (syndrome ASIA : Autoimmune Syndrome Induced by Adjuvants (5,6)). À ce propos, il est tout à fait anormal que la FDA ait permis que le placébo contienne de l’aluminium dans la très grande majorité des études. Sur le plan scientifique, c’est bafouer l’intérêt des études d’innocuité, et c’est inadmissible sur le plan éthique. Cela permet de pouvoir prétendre que le vaccin n’est pas plus dangereux que son comparatif, appelé placébo, et par glissement, de faire croire que le vaccin est inoffensif. Enfin, alors que l’intérêt de la vaccination n’est pas démontré, le laboratoire, dès les premiers résultats, s’est empressé sous le couvert de raisons éthiques, de vacciner aussi le groupe placébo, ce qui fait qu’on ne peut plus suivre dans le temps l’évolution entre les deux groupes.

    Aux États-Unis, l’organisme VAERS (Vaccine Adverses Events Reporting System) comptabilise les effets secondaires signalés et ils sont très nombreux dans le cas du Gardasil® : par exemple, en 4 mois et demi, près de 1500 cas ont été recensés, dont 8 % ont été qualifiés de « sérieux », de même que 10 décès (7). Même si l’imputabilité à la vaccination n’est pas certaine, cela fait quand même beaucoup.
    Un autre problème soulevé récemment est la présence de borate de sodium (35 microgrammes par dose vaccinale, indique le fabricant (8)). Ce produit, connu depuis l’antiquité, était considéré comme peu toxique, mais depuis peu, on lui attribue un effet nocif sur la reproduction et le développement fœtal (9), ce qui change complètement la donne, et ces effets risquent de n’apparaître que dans de nombreuses années…

    Question d’actualité : Et la vaccination chez les garçons ?

    Réponse Med’Océan : Les extensions successives d’indication (garçons, mais aussi femmes plus âgées) auxquelles on assiste depuis deux ans semblent avant tout motivées par un souci de rentabilisation maximale du produit. Vacciner un adolescent parce que s’il se révèle homosexuel, il aura (peut-être) moins de chance de faire un cancer de l’anus, est-ce sérieux ? Faire prendre le risque d’induire une maladie auto-immune pour éviter (peut-être) des verrues vénériennes dont le traitement n’est certes pas agréable, mais efficace ? Quel parent bien informé l’autoriserait pour son enfant ?
    Enfin, on peut rappeler quelques faits sur le cancer du col de l’utérus en France : il s’agit d’un cancer dont le nombre de nouveaux cas ne cesse de diminuer, surtout depuis la mise en place du dépistage par frottis. Malheureusement, environ 800 femmes en décèdent encore chaque année… Il s’agit la plupart du temps de femmes qui ont échappé au dépistage pour diverses raisons. On peut espérer qu’un dépistage systématique et bien organisé permette rapidement de faire encore baisser cette mortalité.

    Et pour terminer, comment voyez-vous la suite de votre action ?

    Nous sommes heureux de voir que des scientifiques publient des conclusions analogues aux nôtres. Voici la traduction en français d’une récente mise au point publiée par deux chercheurs canadiens, et qui a le mérite de se fonder sur les principes de l’EBM (médecine basée sur des preuves) (21) :

    «  À ce jour, l’efficacité des vaccins anti-HPV dans la prévention des cancers du col de l’utérus n’a pas été démontrée, tandis que les risques des vaccins restent incomplètement évalués.
    Les pratiques mondiales actuelles de vaccination contre le HPV avec l’un ou l’autre des deux vaccins n’apparaissent ni justifiées par des bénéfices sanitaires à long terme ni économiquement rentables, de même qu’il n’existe pas non plus de preuve que cette vaccination anti-HPV (même si elle était prouvée efficace dans la prévention du cancer du col) puisse réduire le taux de cancers du col en deçà de ce que la pratique du dépistage par frottis a déjà permis.
    En outre, la liste des effets secondaires graves liés à la vaccination mondiale anti-HPV inclut des décès, des convulsions, des paresthésies, des paralysies, des syndromes de Guillain-Barré, des myélites transverses, des paralysies faciales, des syndromes de fatigue chronique, des anaphylaxies, des maladies auto-immunes, des thromboses veineuses profondes, des embolies pulmonaires et des cancers du col de l’utérus.
    Parce que la couverture du programme de vaccination anti-HPV est généralisée et d’ampleur mondiale, la santé à long terme de beaucoup de femmes pourrait être compromise en contrepartie de bénéfices vaccinaux toujours incertains. »

    De telles conclusions nous inquiètent aussi ; elles montrent que, pour l’avenir, tout dépendra du courage et de la réelle indépendance de nos politiques...

    Références :

    (1) Catherine Riva, Jean-Pierre Spinosa, La piqûre de trop ? Pourquoi vaccine-t-on les jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus ? Ed. Xenia, mars 2010.

    (2) VRBPAC Background Document, mai 2006 http://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf

    (3) http://www.fda.gov/cber/review/hpvmer060806r.pdf

    (4) http://issuu.com/researchsignpost/docs/hefferon_e-book?mode=window&pageNumber=1

    (5) Lucija Tomljenovic and Christopher Shaw, Mechanisms of aluminium adjuvant toxicity and autoimmunity in pediatric population , Lupus, February 2012 vol. 21 no. 2 223-230 http://lup.sagepub.com/content/21/2/223

    (6) N Agmon-Levin,GRV Hughes,Y Shoenfeld, The spectrum of ASIA : ‘Autoimmune (Autoinflammatory) Syndrome induced by Adjuvants, Lupus, February 2012 vol. 21 no. 2 118-120 http://lup.sagepub.com/content/21/2/118.full

    (7) http://www.scribd.com/full/71036877?access_key=key-1tybcgl1x1b4frvg1nwt VAERS, du 1er mai au 15 septembre 2011

    (8) http://www.merck.ca/assets/fr/pdf/products/GARDASIL-PM_F.pdf

    (9) http://www.substitution-cmr.fr/fileadmin/mediatheque/Reglementation/30th_ATP.pdf
    COMMISSION DIRECTIVE 2008/58/EC, Official Journal of the European Union, 15.9.2008, p 137 annexe 1G index 005-011-01-1

    (10) http://www.medocean.re/2011/09/le-gardasil-a-l%E2%80%99assemblee-nationale

    (11) Pharmacovigilance : l’urgence des réformes, Science et Santé n° 5 novembre-décembre 2011 (magazine de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), p. 42 http://www.inserm.fr/mediatheque/infr-grand-public/fichiers/science-sante/science-sante-n-5nov-dec-2

    (12) VRBPAC Background Document, mai 2006, Table 25 http://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf. Réduction obtenue : 16.9 % CI (<0 %, 39.8 %) p calculé 0.25. Il s’agit de la seule étude contre placébo qui évalue l’efficacité du vaccin dans différentes populations (per protocol, en intention de traiter…) elle est déposée à la FDA et consultable par tous

    (13) « Le vaccin Gardasil® et la stratégie de prévention globale des cancers du col de l’utérus , rapport du groupe de travail du 21 octobre 2011 », p. 5 http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspr20111021_gardasil.pdf

    (14) ibid., § 3-2-2 p. 19

    (14b) ) http://www.fda.gov/cber/review/hpvmer060806r.pdf tableau 272 p 355 : sur plus de 17600 femmes (8814 vaccinées et 8846 témoins, groupe MITT-3) efficacité 12.2 % non significative (p0.10) pour les lésions CIN2+ et 11.2 % non significative (p0.25) pour les lésions CIN3+

    (15) Isabelle Lerais, Mai-Ly Durant, Florence Gardella, Philippe Hofliger, Christian Pradier, Valérie Giordanengo, Françoise Bevançon, Enquête sur les connaissances, opinions et comportements des lycéens autour des Human Papilloma Virus (HPV), France, AlpesMaritimes, 2009, Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire 23 mars 2010, no 11 http://www.lecrips.net/GED/77199.pdf

    (16) Avis du Comité Technique des Vaccinations et du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France, Séance du 9 mars 2007, p. 4 http://www.hcsp.fr/docspdf/cshpf/a_mt_090307_papillomavirus.pdf

    (17) Julia M L Brotherton, Masha Fridman, Cathryn L May, Genevieve Chappell, A Marion Saville, Dorota M Gertig, Early effect of the HPV vaccination programme on cervical abnormalities in Victoria, Australia : an ecological Study, The Lancet, Volume 377, Issue 9783, Pages 2085 – 2092, 18 June 2011 http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(11)605515/fulltext#article_upsell.

    (18) ibid. Chez les 21-25 ans, l’incidence passe de 1.53 % à 1.71 %, soit 0.18 % de plus, soit une efficacité négative –12 % = augmentation du nombre de lésions p<0.0001, efficacité négative –13 % p<0.0001 chez les 26-30 ans, et encore efficacité négative –6 % p=0.002 chez les 31 ans et plus, cf :

    (19) Olsson SE, Villa LL, Costa RL, Petta CA, Andrade RP, Malm C, Iversen OE, Høye J,
    Steinwall M, Riis-Johannessen G, Andersson-Ellstrom A, Elfgren K, von Krogh G, Lehtinen M, Paavonen J, Tamms GM, Giacoletti K, Lupinacci L, Esser MT, Vuocolo SC, et al. Induction of immune memory following administration of a prophylactic quadrivalent human papillomavirus (HPV) types 6/11/16/18 L1 virus-like particle (VLP) vaccine. Vaccine 2:4931-9, 2007.

    (20) VRBPAC Background Document, mai 2006, Table 27 page 18 : 169 lésions dans le groupe Gardasil® attribués aux virus « non vaccinaux », seulement 142 dans le groupe témoin http://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf

    (21) Tomljenovic L, Shaw CA, Human papillomavirus (HPV) vaccine policy and evidencebased medicine : Are they at odds ?, Annals of Medicine, 2011 Dec 22 ; DOI : 10.3109/07853890.2011.645353 http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/LTShaw-Annals-Med-2011--HPV-vaccines---EBM.pdf Cet article a été partiellement traduit en français : « Les pratiques vaccinales en matière de papillomavirus humain (HPV) sont-elles en phase avec l’Evidence Based Medicine ? » http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/Etude-de-C.-Shaw-et-LucijaTomljenovic.pdf
    #santé #vaccin #cancer #prévention #études

  • Plan #cancer : Le Canard enchaîné soupçonne un conflit d’intérêts au profit d’un laboratoire
    http://www.politique.net/2014022301-plan-cancer-conflit-d-interets-canard-enchaine.htm

    La vaccination fait partie des mesures de prévention. D’ici à cinq ans, 60% des jeunes femmes devront être vaccinées contre le cancer du col de l’#utérus. Un rapport de la direction générale de la santé (DGS) prévoyait même d’aller plus loin : vacciner toutes les filles de 11 à 14 ans dans les collèges et rembourser intégralement le #vaccin (qui est déjà remboursé à hauteur de 65% aujourd’hui). Une telle mesure coûterait entre 350 et 420 millions d’euros sur cinq ans. « De quoi ravir Sanofi, fabricant du principal vaccin, le #Gardasil », note Le Canard.
    Le lien entre la DGS et le labo

    Où est le problème ? Le Canard soupçonne un #conflit d’intérêts ente ce laboratoire et une directrice adjointe de la direction générale de la santé qui pilote le plan cancer. Son beau fils est... directeur de la stratégie du laboratoire. Un lien qui ne figure même pas dans la déclaration d’intérêts de la directrice adjointe qui est censée signaler ses liens de parenté avec toute personne qui travaille dans le secteur pharmaceutique.

  • Plainte contre le #Gardasil le #vaccin contre le #cancer_de_l’utérus de #Sanofi #Pasteur MSD
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/20131124trib000797449/plainte-contre-le-gardasil-le-vaccin-contre-le-cancer-de-l-uterus-de-sanof

    Le #groupe_pharmaceutique regrette que les conclusions formulées par les experts de la commission, jettent le discrédit sur le vaccin Gardasil et la vaccination anti-HPV en général.

    Bravo aux nombreuses victimes des vaccins de tenter de faire la vérité, inutile de s’empoisonner pour faire tourner l’économie des labos.

  • FRANCE : Plainte contre le vaccin anticancer de l’utérus Gardasil
    http://www.brujitafr.fr/article-france-plainte-contre-le-vaccin-anticancer-de-l-uterus-gardasil-12

    http://www.momlogic.com/gardasil_ow2-thumb-250x334.jpg

    Une jeune Aquitaine a déposé une plainte visant Sanofi Pasteur et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour de graves effets secondaires liés, selon elle, au vaccin Gardasil contre le cancer du col de l’utérus, a-t-on appris dimanche auprès de son avocat. Alerte : une scientifique dévoile que le Gardasil et le Cervarix sont dangereux et qu’ils ne préviennent pas le cancer du col de l’utérus Un médecin ose parler : le dangereux vaccin Gardasil est complètement inutile pour prévenir le… Gardasil : une jeune fille vaccinée raconte Une adolescente vaccinée de force en subi les effets (...)

    #SANTE

  • Plainte contre le #vaccin #anticancer de l’utérus Gardasil - Yahoo Actualités France
    http://fr.news.yahoo.com/plainte-contre-le-vaccin-anticancer-lutérus-gardasil-161327181--finan

    Une jeune fille de Bayonne a porté plainte contre Sanofi Pasteur MSD et l’Agence nationale de sécurité du médicament pour des effets secondaires liés au vaccin Gardasil contre le cancer de l’utérus, a indiqué dimanche son avocat.

    La plainte a été déposée vendredi auprès du procureur de la République de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour « violation d’une obligation manifeste de sécurité et méconnaissance des principes de précaution et prévention ».

    Marie-Océane et son avocat reprochent au Laboratoire Sanofi Pasteur MSD de ne pas avoir informé les utilisateurs du Gardasil des risques inflammatoires du système nerveux central alors que ces risques ont été identifiés depuis 2009, suite à une déclaration d’effets indésirables.

    Ils reprochent également à l’ANSM de n’avoir pris aucune mesure à l’encontre du laboratoire.

    #cancer #big_pharma

  • Prices Cut for HPV Cervical Cancer Vaccines for Neediest - NYTimes.com
    http://www.nytimes.com/2013/05/10/health/prices-cut-for-hpv-cervical-cancer-vaccines-for-neediest.html

    Gardasil and Cervarix, given to girls as young as 9, have caused controversy in the United States, where many parents fear side effects and worry that girls will see the vaccines as condoning sex at a young age. The vast majority of girls in the United States have not been inoculated.

    In Australia, where the vaccines have been readily accepted, a recent study found a striking drop in cervical abnormalities, which are cancer precursors, among young women. In the five years after the vaccine was introduced there, cases of warts dropped by 93 percent among women and girls under age 21.

    Despite the excitement among global health agencies, the charity Doctors Without Borders called the news “disappointing,” arguing that the prices should be even lower. “Why are the pharmaceutical companies still making profits off the backs of the poorest countries?” asked Kate Elder, a vaccines policy specialist at the charity.

  • Vaccin Gardasil : « Judicial Watch » expose les effets secondaires signalés aux Etats-Unis : Pharmacritique
    http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2010/12/12/vaccin-gardasil-judicial-watch-expose-les-effets-seco

    Cela dit, n’oublions pas que dans le cas de vaccins, et surtout de vaccins tels le Gardasil et le Cervarix, dont l’autorisation de mise sur le marché ne semble pas scientifiquement justifiée, il s’agit de produits administrés à des personnes jeunes et a priori en très bonne santé, ce qui veut dire que le raisonnement en termes de rapport bénéfice - risques n’est pas du tout le même que lorsqu’on décide de prendre le risque de certains effets indésirables chez des personnes malades qui tirent un bénéfice net du produit en question. La « tolérance » face aux effets secondaires devrait être d’autant moindre que l’efficacité de ce vaccin - comme de son concurrent Cervarix - est très faible selon les données du laboratoire Merck lui-même (les chiffres donnés par les spécialistes varient entre 17% et 20%) et que même ces chiffres faibles n’ont pas été démontrés pour le cancer du col de l’utérus à proprement parler, mais uniquement pour des dysplasies modérées et sévères impliquant les HPV 16

    #santé #femmes #alerte #pharmabarons #for:rezo.net #for:twitter