• Révolution technologique qui tient au clique en accès à l’intelligence virtuelle.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4424

    Une innovation a pour effet essentiel d’être reconnue et devenir cruciale ainsi qu’à une certaine échelle elle sera répandue. Depuis l’adoption des forums sur le Net puis des réseaux qui en sont un prolongement, la technologie a modifié les contacts entre les différentes entités peu importe leur forme et grandeur. Encore des songes à ce stade de début 2023, le blockchain, les crypto-monnaies, l’IA et la « métaverse » ont l’air de se soutenir pour déployer une ou plusieurs autres plateformes végétant à profusion sur Internet. #TECHNOLOGIE,_INTERNET,_PERFORMANCES_INCLASSABLES

    / Sciences & Savoir, #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias, #IA_:_Intelligence_Artificielle, facebook, twitter, google+, économie , censure, presse, journaux, dictature, expressions, (...)

    #Sciences_&_Savoir #facebook,_twitter,_google+ #économie_ #censure,_presse,_journaux,_dictature,_expressions,_liberté

  • Enjeux climatiques : la recherche ne peut plus produire de la connaissance à tout prix
    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2023/01/27/enjeux-climatiques-la-recherche-ne-peut-plus-produire-de-la-connaissance-a-t

    Pour le physicien Pablo Jensen, la crise écologique force les sciences à s’interroger sur le type de savoir qu’elles créent et à s’ouvrir aux recherches menées en dehors des universités.

    Le 14 novembre 2022, le CNRS a publié son bilan carbone : un chercheur émet, en moyenne, 14 tonnes de CO2 par an. Comparer ce chiffre aux 2 tonnes permises par les accords de Paris, activités personnelles comprises, donne le vertige. Car il est difficile d’imaginer comment on pourrait réduire de plus de 80 % les émissions sans repenser profondément les activités de recherche.
    Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Devant l’urgence climatique, de plus en plus de scientifiques tentés par la radicalité : « La désobéissance civile est un acte désespéré, pour alerter sur la situation dramatique dans laquelle on est »

    Puis, le 12 décembre, le comité d’éthique du même organisme, le Comets, abandonnait ce qui a été, depuis le début des sciences modernes, la position standard de la plupart des chercheurs : faire avancer la connaissance, c’est forcément bon, à la société de décider ensuite des bonnes ou mauvaises « applications ». Position paresseuse, voire hypocrite, car elle conduit à revendiquer les bonnes applications (médicaments…), en rejetant sur la société les mauvaises (pollutions, bombes…). Le Comets affirme, au contraire, que, face à la gravité de la situation environnementale, la recherche doit tenter d’évaluer ses impacts au préalable, en se demandant si « utiliser ou développer tel grand équipement (accélérateur de particules, grand calculateur) ou travailler sur telle thématique (biologie synthétique, génomique) est susceptible d’engendrer des impacts néfastes pour la biosphère ».

    Je vois là deux signes d’un grand basculement en train de redéfinir les savoirs et leur place dans la société. Pour mieux en saisir l’ampleur, peignons à grands traits les étapes passées. Jusqu’au XVIIe siècle, on vivait dans un monde dominé par le biologique, au niveau de l’économie (agriculture, construction en bois…) ou de la pensée (Aristote). Les sciences modernes ont émergé à la suite d’une double révolution, technique et politique : le déferlement des machines et l’émergence d’individus libres.

    Les nouvelles technologies (imprimerie, navigation, télescope…) ont élargi la connaissance du monde et bousculé les certitudes anciennes. Une nouvelle science « machinique », intimement associée aux réseaux technologiques, a permis une rétroaction positive inédite entre connaissance théorique et croissance industrielle, à l’exemple de la génétique moderne, née dans les laboratoires du brasseur Carlsberg, qui cherchait à stabiliser des levures pour produire de la bière en masse.

    Côté politique, l’urbanisation contribua à l’émergence d’individus confiants en leur capacité à comprendre et à maîtriser le monde. Ces deux révolutions partageaient des valeurs, comme le souci du débat critique, mais ont toujours été en tension, car les sciences prétendent disposer d’un savoir supérieur à l’« opinion » des non-experts, et engendrent des technologies qui bouleversent les sociétés par les marchés, sans débat démocratique.
    S’adapter à un monde devenu fini

    La grande accélération qui s’est ensuivie ébranle désormais la planète entière et impose de recréer des savoirs adaptés à un monde devenu fini. Des savoirs moins dépendants de technologies sophistiquées, et mieux insérés dans nos espaces délibératifs. Il ne s’agit nullement d’un retour romantique à des savoirs prémodernes, mais, au contraire, de l’approfondissement de la révolution démocratique, pour la création de savoirs « terrestres ».

    Concrètement, il s’agira d’abord de mieux financer des savoirs jugés essentiels pour apprendre à vivre dans ce monde fini : mieux comprendre les enchevêtrements entre tous les vivants, l’impact des inégalités, les alternatives low-tech, etc. Plus profondément, il faudra redéfinir ce que sont les savoirs et leur articulation avec les activités sociales. De nombreuses pistes concrètes ont été présentées aux Journées d’été des savoirs engagés et reliés (Jeser), tenues à Lyon, fin août, et organisées par un collectif de onze associations (Mouvement-ser.or).

    Ainsi, la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad) et les observatoires écocitoyens ouvrent à la société civile un savoir expert (mesure de la radioactivité, toxicologie…) pour contrer un monopole privé ou étatique potentiellement opaque. Les Jeser ont aussi donné la parole à des recherches menées en dehors des universités. Ainsi, ATD Quart Monde croise les savoirs des personnes qui connaissent la pauvreté et les savoirs académiques pour créer des connaissances engagées, car l’association veut que « ça change ». Les paysans-boulangers ont, eux, créé une filière entière, allant des semences aux consommateurs, grâce à des savoirs spécifiques sur les variétés de blés paysans, et des outils low tech partagés garantissant leur souveraineté technologique. Tout en dialoguant avec la recherche académique, comme ils l’expliquent dans leur superbe livre Notre pain est politique (La Dernière Lettre, 2019).

    On pourrait imaginer une société parsemée de chercheurs, alternant des périodes d’engagement sur le terrain et d’autres plus en retrait, pour affiner les outils conceptuels de leurs communautés disciplinaires. Comme le proposait Bruno Latour dans son dernier discours à Sciences Po : dans la « nouvelle université des sciences terrestres », les sciences fondamentales auront pour tâche, non d’être une avant-garde trouvant les solutions, mais un « back-office » contribuant à « redéfinir ce que pourrait être le problème », et aidant les professionnels grâce aux « outils les plus avancés ». De quoi redonner aux sciences l’élan qui animait le philosophe John Dewey, pour qui « le futur de la démocratie [était] lié à l’extension de l’attitude scientifique ».

    Pablo Jensen(directeur de recherche CNRS, Laboratoire de physique, chargé de mission Transition écologique à l’ENS Lyon)

    Pablo Jensen est également l’auteur de Deep Earnings chez C&F éditions

    #Pablo_Jensen #Sciences_participatives #Recherche #Ethique #Soutenabilité

  • Hopepunk, Optimism, Purity, and Futures of Hard Work, by Ada Palmer
    https://beforewegoblog.com/purity-and-futures-of-hard-work-by-ada-palmer

    In Hopepunk, people—often ordinary people, including minor characters—take a stand, resist, work together, follow through and help each other, and in the end, while some characters make bad choices, enough make good choices to leave a positive sense of the capacity of humans to choose good. Put another way, hopepunk presents an image of human beings where, in a prisoner’s dilemma situation, not everyone but enough people actually do choose the thing that helps everyone to make it possible to make the world a better place. So many stories teach us that, when crisis hits the fan, it won’t take long for biker gangs bedecked with human skulls to rampage through the devastated streets, and very few depict how studies show people really behave in crisis, banding together to supply pop-up pantries and mutual aid.

    #science-fiction #hopepunk

  • L’ingérence de la Russie via Twitter pour l’élection de Trump en 2016 analysée par des scientifiques.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4412

    Les accusations que la Russie ait manœuvré afin que Trump accède à la Maison Blanche en 2016 n’ont jamais été étayées avec des preuves irréfutables. Et aussi même lors de l’élection de Macron en France, les mêmes présomptions de cabale de Poutine a été présumée. Alors que des journalistes ne croyaient à ces vulnérabilités mais entendaient bien qu’il fallait mettre en faillite l’establishment occidental. #polémiques,_répliques,_réponses,_contradiction,_démenti,_autre_vérité,_témoignage,_authenticité,_appel

    / Sciences & Savoir, #USA,_Maison_Blanche,_CIA, Russie, Poutine, Europe de l’Est, , facebook, twitter, google+, fait divers, société, fléau, délinquance, religion , #Journalisme,_presse,_médias, Internet, Web, cyber-démocratie, communication, société, (...)

    #Sciences_&_Savoir #Russie,Poutine,_Europe_de_l’Est, #facebook,twitter,_google+ #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias
    https://www-nature-com.translate.goog/articles/s41467-022-35576-9?error=cookies_not_supported&code=52153

  • Pour éviter d’être trempé, c’est mieux de marcher ou de courir sous la pluie ? - rtbf.be
    https://www.rtbf.be/article/pour-eviter-d-etre-trempe-c-est-mieux-de-marcher-ou-de-courir-sous-la-pluie-111

    Réponse de la #science – Au total de la pluie reçue, il vaut mieux courir sous la pluie que de marcher. On sera globalement moins mouillé, mais on sera plus mouillé sur le devant du corps. 

    -- Permalien

    #météo

  • La FDA et les CDC américains constatent les premiers signes d’un lien possible entre l’injection bivalente de COVID de Pfizer et un accident vasculaire cérébral (AVC) (Reuters.com)
    https://www.crashdebug.fr/la-fda-et-les-cdc-americains-constatent-les-premiers-signes-dun-lien-poss

    "Le CDC affirme maintenant qu’il y a eu assez de cas de personnes qui ont reçu le vaccin et qui ont ensuite subi un AVC. L’agence va maintenant enquêter sur les liens potentiels entre le vaccin et les accidents vasculaires cérébraux chez certains de ces patients"#covid #vaccins pic.twitter.com/9GiS4hcmgK — Marcomak (@KaagMarc) January 13, 2023

    Des flacons avec un autocollant indiquant « COVID-19 / Vaccin contre le coronavirus / Injection uniquement » et une seringue médicale sont vus devant un logo Pfizer affiché dans cette illustration prise le 31 octobre 2020. REUTERS/Dado Ruvic/File Photo 13 janvier (Reuters) - (Cet article du 13 janvier a été déposé à nouveau avec un titre modifié pour préciser que le lien avec un accident vasculaire cérébral est possible, mais pas certain). Selon des données (...)

    #Épinglé #Actualités_scientifiques #Sciences #ROOT

    • CDC identifies possible safety issue with Pfizer’s updated Covid-19 vaccine but says people should still get boosted | CNN
      https://www.cnn.com/2023/01/13/health/pfizer-bivalent-booster-safety-cdc/index.html

      […]
      The CDC said it had identified possible confounding factors in the data coming from the VSD that may be biasing the data and need further investigation.
      […]
      “Undoubtedly, the risk of a whole series of adverse events, including hospitalization, is much, much greater with Covid-19 than it is from the vaccine,” [Dr. William Schaffner, an infectious disease expert at Vanderbilt University and a member of the CDC Advisory Committee on Immunization Practices’ Covid-19 Vaccine Work Group,] said.

  • L’activité physique améliore les gènes.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4409

    Étant donné que le contrôle moléculaire primaire de l’expression des gènes implique l’épigénétique (domaine que nous expliquons dans l’article), les facteurs environnementaux tels que l’AP (activité physique) peuvent modifier la régulation de l’expression des gènes, afin que cette dernière favorise la physiologie. Faire du sport régulièrement, sinon le travail mouvementé ou dur à bonne fréquence, avec une bonne nutrition sont les fondements des efforts de prévention et de traitement des maladies chroniques. High-tech / Sciences

    / Sciences & Savoir, #médecine,_sciences,_technologie,_ADN,_vaccin,_médicaments,_découvertes, Sport et compétitions (...)

    #High-tech_/_Sciences #Sciences_&_Savoir #Sport_et_compétitions_sportives

  • Ben Armstrong : Il existe de nombreuses preuves que les vaccins COVID-19 peuvent endommager le cerveau. (Naturalnews.com)
    https://www.crashdebug.fr/ben-armstrong-il-existe-de-nombreuses-preuves-que-les-vaccins-covid-19-pe

    Bonsoir, comme je vous l’aie dit votre correctrice préférée (Chalouette) a des soucis de santé, et son état c’est fortement dégradé depuis ses 2 injections Moderna (elle ne m’a pas écouté elle ’a fait confiance à son médecin’, bref même si les gériatres peuvent nier comme ils l’ont fait depuis 5 ans, l’IRM ne ment pas, et le diagnostique c’est Alzheimer niveau 3 sur 6. Donc je pense que vous allez devoir supporter mon orthographe improbable quelque temps.... Désolé, remerciez Moderna....... Et imaginez l’impact VICIEUX et à long terme sur ces millions de personnes ’injectés’..... Encore une fois tout ce qui peut détruire le cerveau des gens est bon à prendre pour les autorités, car une personne qui n’est pas éduquée ou qui a des capacités cognitives dégradées ne remettra JAMAIS en cause le discours (...)

    #Épinglé #Actualités_scientifiques #Sciences #ROOT

  • La mésinformation scientifique des jeunes à l’heure des réseaux sociaux - Fondation Jean-Jaurès
    https://www.jean-jaures.org/publication/la-mesinformation-scientifique-des-jeunes-a-lheure-des-reseaux-sociaux

    À l’heure où TikTok s’impose comme le réseau social préféré des jeunes français, que sait-on de l’impact de cette plateforme sur ses utilisateurs, qui sont de plus en plus nombreux à l’utiliser pour se divertir, mais aussi pour s’informer ? François Kraus livre son analyse d’une enquête qui fait le point sur le sujet ; elle est suivie des points de vue de Rudy Reichstadt et de Helen Lee Bouygues.

    #EMI #Sciences #ReseauxSociaux #Jeunesse #Information #CDI

  • A #Sciences_Po_Grenoble, des plaies toujours vives après l’affaire des professeurs dénoncés par des colleurs d’#affiches

    La direction de l’#IEP a choisi de garder le #silence après la récente suppression de subventions décidée par le conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes. Deux ans après, deux procès viennent raviver cette affaire.

    « Vous émettiez souvent des avis sur les cours dispensés à Sciences Po ? », s’enquiert la juge, le regard interrogateur. A la barre du tribunal correctionnel de Grenoble, mardi 10 janvier, la voix de #Thomas_Mandroux, ex-coprésident de l’#Union_syndicale (US) des étudiants de l’institut d’études politiques de la ville, est posée, mais porte peu.

    Accusé de #diffamation et d’#injure par #Vincent_Tournier, l’un des deux enseignants dont le nom avait été placardé sur les murs de l’école, le 4 mars 2021, le jeune homme a tenté de justifier l’appel à témoignages lancé sur la page Facebook de l’US, le 22 février 2021, pour collecter « les propos problématiques » et « islamophobes » qui auraient pu être tenus lors du cours de M. Tournier sur l’islam et les musulmans en France.

    Désormais diplômé de l’institut, Thomas Mandroux a indiqué qu’il n’avait pas poursuivi en thèse. « Je suis considéré comme horrible, a-t-il commenté. Cela a mis un terme à toute possibilité de trouver un directeur de thèse. »

    Cette comparution rappelle que la crise qui a ébranlé l’IEP il y a près de deux ans est encore loin d’être soldée. Le président (Les Républicains) de la région, Laurent #Wauquiez, a récemment soufflé sur les braises : un vote du conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes, le 16 décembre 2022, a acté l’annulation du versement d’une somme de 400 000 euros, habituellement allouée aux étudiants de Sciences Po pour leur cursus à l’étranger. En cause : la supposée « longue dérive idéologique et communautariste » de l’école, qu’il avait dénoncée fin 2021. Un professeur d’allemand, #Klaus_Kinzler, venait d’être suspendu pour une durée de quatre mois par sa direction pour avoir qualifié son établissement d’« institut de rééducation politique » où des enseignants « endoctrineraient » les étudiants.

    « On est là pour étudier »

    Ce professeur, dont le nom avait été placardé auprès de celui de Vincent Tournier, accolé à la phrase « Des fascistes dans nos amphis. L’islamophobie tue », s’était opposé à Mme M., une historienne, fin 2020, sur l’usage du terme « islamophobie » auprès des mots « racisme » et « antisémitisme », ces trois thèmes devant servir à définir le contenu d’une table ronde. Près de deux ans plus tard, les colleurs de ces affiches n’ont pu être identifiés, indique au Monde le procureur de #Grenoble, Eric Vaillant.

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/01/11/a-sciences-po-grenoble-des-plaies-toujours-vives-deux-ans-apres-la-polemique

    –—

    ajouté à la métaliste atour de ce qu’on a surnommé l’#affaire_de_Grenoble :
    https://seenthis.net/messages/943294

  • La fonte des glaciers s’arrêtera dès réduction des gaz à effet de serre.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4406

    Ce qui peut apporter une atténuation plausible du #Réchauffement_climatique est l’objectif de la cop-21 de Paris et qui n’a pas de rival plus ambitieux. La situation actuelle est que la grande majorité des glaciers de la planète fondent. Ils rétrécissent suite aux températures plus élevées, à des précipitations plus importantes et à des températures océaniques accrues, qui, elle, entame les plates-formes de glace flottantes des glaciers marins. Editorial, opinion, point de vue, déclaration, paix, pertinente, monde, histoire, population, société,

    / Sciences & Savoir, #calamités_naturelles, #Ecologie,_environnement,_nature,_animaux, Réchauffement climatique, Data - (...)

    #Editorial,opinion,_point_de_vue,_déclaration,_paix,_pertinente,_monde,_histoire,_population,_société, #Sciences_&_Savoir #Data_-_Données

    • Dans le cas de Fukushima et de la plupart des réacteurs à eau bouillante (BWR), ce qui précède est totalement faux car en réalité on devrait écrire : « Dès détection du tremblement de terre, le réacteur s’est mis en sécurité. Projetées violemment vers le haut par un mécanisme – pneumatique ? hydraulique ? mécanique ? – situé sous la cuve du réacteur, les barres de contrôle ont atteint leur position, perchées au sommet de cette cuve d’où le mécanisme les a ensuite empêchées de retomber. » Nettement moins rassurant… et pourtant vrai, regardez la véritable disposition des barres de contrôle dans un réacteur type Fukushima (elle a été vraisemblablement modifiée dans le schéma équivalent du Monde sans fin).


      Disposition des barres de contrôle dans un réacteur type Fukushima.
      Source : Wikimedia Commons

      Cette position de l’entrée des barres de contrôle par le fond de la cuve du réacteur a eu des conséquences beaucoup plus graves que la simple présence du risque indiqué plus haut. En effet les fonds des six cuves des réacteurs à eau bouillante de Fukushima ont été percés lors de leur fabrication de centaines de trous par où coulissent les barres de contrôle. En cas de fusion du cœur (ce qui a été le cas pour les trois réacteurs alors en fonctionnement), du corium (nom donné au résidu de cette fusion) porté par sa radioactivité résiduelle à une très forte température a détruit les joints entourant les barres de contrôle à hauteur de la traversée de la cuve et s’est écoulé sous les trois cuves, ce qui dans la hiérarchie des accidents nucléaires vient juste après l’explosion complète d’un réacteur et de son bâtiment comme à Tchernobyl.

      https://www.researchgate.net/profile/Randy-Nanstad/publication/255241979/figure/fig2/AS:670702378160138@1536919316497/Boiling-water-reactor-reactor-pressure-vessel.png
      _Cuve sous pression d’un réacteur à eau bouillante.
      Source : Busby, Jeremy & Nanstad, Randy Prioritization and Implementation Plan for Collaborative Case Study on RPV Steels During Extended Service-

      Le domaine est tellement sensible que les autorités japonaises ont fait croire pendant des heures à un faux suspense (les cuves allaient-elles résister ?) alors qu’elles savaient, ainsi que les concepteurs et les constructeurs de ce type de centrales et les autorités de sûreté des pays où elles sont actuellement en exploitation, que c’était absolument impossible puisque les fonds de cuves étaient déjà percés. Ce secteur d’activité ne respire donc pas la transparence…

    • P. 42. Le gaz n’a remplacé aucune énergie, il s’ajoute aux autres (p. 41, il est dit la même chose sur le pétrole qui n’aurait pas remplacé le charbon)

      FAUX : le pétrole a d’abord répondu puis engendré le développement de la mobilité routière, il s’est ensuite imposé comme substitut au charbon pour fabriquer de la vapeur (et donc de l’électricité, mais aussi dans les trains et les bateaux), puis dans tous les usages thermiques, puis, face à la concurrence du gaz, il s’est replié sur ses usages non substituables dans le paradigme actuel, à savoir les engins de transports, le bitume et la chimie organique. La conclusion tirée est donc fausse, abusée par la magie des graphiques simplistes.

      Euuuh… Jean-Baptiste Fressoz, spécialiste de l’histoire des énergies, a écrit des livres entiers, démontrant historiquement et nombreux chiffres à l’appui que chaque énergie n’a jamais remplacé les précédentes mais toujours ajouté en plus. Par exemple qu’on consomme bien plus de charbon maintenant qu’il y a 100 ou 200 ans, et pareil pour le bois. Pour toute énergie.
      https://seenthis.net/messages/970907

  • Le sociologue et l’historien - Agone
    https://agone.org/livres/lesociologueetlhistorien

    En 1988, l’historien Roger Chartier reçoit le sociologue Pierre Bourdieu à France Culture pour une série de cinq entretiens. Ce livre les reprend intégralement, avec une préface de Roger Chartier qui en restitue le contexte intellectuel et politique. Dans un dialogue où se manifestent à la fois leur complicité et une claire conscience de leurs différences, le sociologue et l’historien confrontent les avancées et les problèmes de leurs deux disciplines, et leurs rôles respectifs dans la société. Ils analysent ensemble les illusions et les confusions répandues par les intellectuels-prophètes, qui font obstacle au rôle émancipateur de la sociologie et de l’histoire.

    Vingt ans après, leurs propos n’ont pas pris une ride. On trouvera notamment dans ces entretiens, sous une forme concise particulièrement claire et pédagogique :

    -- la présentation de certains concepts fondamentaux de la pensée de Bourdieu, notamment ceux d’« habitus » et de « champ » ;
    -- des réponses percutantes à des objections (aujourd’hui encore) récurrentes sur son (prétendu) déterminisme, sur les (fausses) oppositions entre subjectivisme et objectivisme ou entre individu et société, etc., et contre le procès qui lui est fait de vouloir substituer son discours savant à la parole des dominés.

    Et voilà les entretiens de départ en entier :
    https://www.youtube.com/watch?v=LleWydRkT3A

    #Bourdieu #Pierre_Bourdieu #Roger_Chartier #sociologie #histoire #sciences_sociales

  • Une revue scientifique dédiée à l’étude des Beatles
    https://actualitte.com/article/109375/edition/une-revue-scientifique-dediee-a-l-etude-des-beatles

    Les presses universitaires de Liverpool ont fièrement publié, il y a quelques semaines déjà, le numéro inaugural de The Journal of Beatles Studies, accessible et lisible gratuitement. Au sommaire de cette revue scientifique assez spéciale, entièrement tournée vers les Fab Four, un article sur la première formation universitaire autour de l’étude des Beatles, un autre sur la place des quatre garçons dans le vent à Liverpool et un décorticage de la « Beatlemania » dans laquelle s’inscrit aussi cette publication.

    Revue académique, The Journal of Beatles Studies entend proposer des articles et études de qualité, soigneusement relus et corrigés par un comité scientifique. Elle témoigne surtout de l’impact culturel durable du groupe, de l’attraction qu’il continue d’exercer sur les auditeurs du monde entier : « D’une manière peut-être contre-intuitive, la fascination culturelle et académique pour les Beatles n’a pas fléchi avec le temps, au contraire », remarquent Holly Tessler et Paul Long, les deux coéditeurs du titre, dans leur introduction.

    #Beatles #Science

  • Voir la nature comme un·e naturaliste : une contre-histoire de la modernité
    https://www.terrestres.org/2022/11/30/voir-la-nature-comme-un-naturaliste-une-contre-histoire-de-la-modernite

    Vanessa Manceron : Quand j’ai commencé mon enquête sur les pratiques naturalistes amateurs en Angleterre, Par-delà nature et culture, était déjà paru. Je lisais dans le même temps les philosophes et les anthropologues qui tiraient les conséquences de l’ontologie naturaliste pour en faire la critique, considérant que cette vision du monde conduit à considérer la nature comme un simple entourage dont les modernes, du fait de leur exceptionnalité et de leur position supérieure dans l’échelle du vivant, se sont extraits par la culture. De sorte, ils ont pu exercer librement leur volonté de puissance et d’assujettissement, qu’il s’agisse d’en faire un stock de ressources dans lequel puiser sans restriction ou qu’il s’agisse de la protéger et, ce faisant, de lui assigner une position subalterne.

    Tandis que j’observais le rapport à la nature qu’expérimentent les observateurs de la faune et de la flore que je suivais sur le terrain un certain nombre de dissonances ont surgi. J’ai en effet découvert des hommes et des femmes qui se relient intensément et pour la vie à certaines catégories d’êtres vivants, qui pour les connaître s’immergent dans leur monde et tentent d’approcher ce que cela veut dire d’être une plante ou un oiseau. Ce sont des gens que les manières d’exister des vivants émerveillent, parce qu’elles sont autres, intrigantes et éminemment variables. Ils aiment et étudient les plantes et les animaux pour ce qu’ils sont et font en situation, sans finalisme, sans désir de transformation ou d’appropriation, ni même d’interaction, car ils cherchent des alignements avec des êtres autonomes et libres, considérant qu’ils font partie du même tissu symbiotique.

    Les naturalistes amateurs échappent donc à la critique du dualisme mortifère parce que celui-ci n’est pas étanche. Mais surtout, et c’est sans doute ce qu’il y a de plus intéressant, ils ne rompent pas pour autant avec l’ontologie naturaliste telle que la définit Descola, ni ne témoignent par leurs pratiques d’un quelconque désir d’animisme. Ils incarnent selon moi une potentialité relationnelle de l’ontologie naturaliste mal connue et impensée, qu’il m’importait de décrire. On a à faire avec un régime de connaissance héritée des débuts de la modernité qui produit des schèmes relationnels symétriques et d’une grande intensité, bien étrangers aux jugements réducteurs sur l’incapacité des modernes à se relier et à considérer avec respect et équité les autres vivants. C’est pour cela que je trouve très important de toujours situer nos connaissances et ne jamais céder à la tentation de cesser de rendre compte des variations et de la singularité des situations.

    [...] L’Angleterre offre des décalages très intéressants à penser. Selon l’historienne des sciences Lorraine Daston, les représentations d’après nature naissent au XVIIe siècle. L’histoire naturelle précède ce qu’elle appelle l’objectivité mécanique, quand il s’est agi de mettre le monde à distance sans inférence humaine, pour dévoiler les lois universelles de fonctionnement de la nature. Les naturalistes amateurs, héritiers d’une tradition de recherche des débuts de la modernité, ne considèrent pas que les émotions esthétiques, les affects et l’engagement personnel de l’observateur soient un obstacle à l’objectivation et à une bonne observation. C’est même tout l’inverse. Les savoirs sont justes et précis parce qu’ils ne sont pas exempts de doutes, d’interprétations, voire même dans certains cas d’une certaine dose d’anthropomorphisme. Et c’est sans doute ce que Romain appelle les rémanences de l’analogisme. De la même manière que les illustrations d’après nature n’excluent pas l’artiste de la représentation, les savoirs naturalistes n’excluent pas les observateurs du monde qu’ils étudient. Il s’agit d’une science avec des chercheurs dedans. Cette épistémologie qui assouplit et trouble la coupure entre sujet connaissant et chose à connaître, me semble particulièrement marquée en Angleterre. Et sans doute faut-il y voir l’influence historique de la tradition empirique qui fait de l’expérience sensible l’origine de toute connaissance. Le monde ne se connaît qu’en en faisant l’expérience sensible. C’est là un motif extrêmement fort qui explique sans doute aussi le succès outre-Manche de l’histoire naturelle mais aussi des pratiques amateurs.

    [...] Les naturalistes amateurs ne sont pas dans un mode projectif pour accroître leurs états intérieurs. En se reliant à la nature comme ils le font, ils ne construisent pas un paysage admiré à distance, ils plongent dans les détails, ils s’immergent, ils ont le sentiment qu’ils sont membres d’une espèce parmi les autres et que les êtres qu’ils admirent sont une part d’eux-mêmes. Il ne s’agit donc pas d’un système d’identification à la nature, mais d’un système qui crée la possibilité d’expérimenter une nouvelle version de la réalité, en étant avec et parmi. Ils ne voient pas non plus le sauvage comme un espace des confins où s’ensauvager. Le sauvage est ce qui est libre et autonome, mais qui peut évoluer dans les espaces habités et transformés par les hommes. Ils ne sont pas des romantiques s’extasiant devant un monde sans homme, ils se préoccupent des intrications entre les existants, dans des milieux où les êtres cohabitent avec les humains. Les naturalistes amateurs ont des prises très concrètes sur le monde et une volonté de comprendre comment les vivants habitent le territoire. La nature pour eux est un monde qui a ses propres logiques merveilleuses à observer, et qui transforme la perception qu’ils ont de leur environnement proche, non pas comme un entour et un espace, mais comme un milieu et un lieu auquel s’attacher et dans lequel s’immerger.

    [...] Romain Bertrand : Là où je me retrouve dans la démarche de Vanessa, comme dans celle d’autres anthropologues qui réinvestissent une ethnologie de l’Europe, c’est qu’elle essaye de cerner des régimes de pratiques qui montrent qu’on fait de la politique autrement – à bas bruit, comme tu dis –, laquelle permet des tas de liaisons nouvelles entre les êtres, entre les causes. Ces situations ne sont pas réductibles à des catégorisations idéologiques faciles et rapides. Dès qu’on descend dans l’ordre du quotidien et de la pratique, on est dans la multiplicité, et c’est cette multiplicité qui permet ces prises. Ce que l’histoire peut ajouter, c’est l’écriture d’une histoire de l’Europe qui ne soit plus celle d’une identité enracinée dans une provenance. J’aime bien dire que ça a toujours été un peu flou. Ce que Vanessa documente dans le contemporain, on peut aussi le documenter dans le passé, y déceler une altérité interne à nous-mêmes. C’est très important aujourd’hui, parce que tous les discours conservateurs, ceux qui refusent de penser la sortie du modèle capitaliste, la crise écosystémique, le font toujours au nom d’un même argument : si on faisait les choses autrement, ça ne serait plus nous. Or ce « nous », seule raison refuge qui s’oppose aux changements que la catastrophe impose, est porté par un discours complètement faux. Nous avons aussi été autres : nous avons été analogistes, empiristes, mystiques, etc. La petite contribution des sciences humaines, c’est de le montrer en sapant l’illusion d’une identité au nom de laquelle on refuserait de changer. Il faut qu’on change, oui, et ça n’est pas grave : l’histoire montre que nous n’avons jamais cessé de changer, et l’ethnographie que nous avons des milliers d’alternatives à notre disposition.

    #naturalisme #analogisme #Descola #Latour #nature #sciences #anthropologie #écologie

  • Jacques Testart : « La gestion de l’urgence s’accorde mal avec la science »

    Une opinion publique prise à témoin, des citoyens qui s’affrontent par études scientifiques interposées, des responsables politiques, sommés de prendre des décisions dans l’urgence, qui en appellent à l’avis des experts, etc. La controverse scientifique concernant la chloroquine et la polémique autour du professeur Didier Raoult se sont propagées comme une traînée de poudre dans l’espace public. Les citoyens s’intéresseraient-ils enfin, à la faveur de la crise sanitaire actuelle, à la recherche scientifique ? Et y aura-t-il un avant et un après-Covid-19 pour les chercheurs ? Trois questions à Jacques Testart, biologiste et « critique de science ».

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2022/12/30/jacques-testart-la-gestion-de-lurgence-saccord

    #science

  • LA Science au féminin :

    https://theconversation.com/eunice-foote-la-premiere-scientifique-et-suffragette-a-avoir-theori

    Oubliée pendant plus de 150 ans

    Selon le récit de McNeill, des centaines d’hommes de sciences, inventeurs et dilettantes se réunirent le matin du 23 août 1856 à Albany, dans l’État de New York, pour la 8e réunion annuelle de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS) – ces conférences rassemblaient les scientifiques étasuniens pour partager de nouvelles découvertes, discuter d’avancées dans leurs domaines respectifs et explorer de nouveaux champs de recherche. Jamais le rendez-vous n’avait attendu autant de participants que ce jour-là.

    Aucune étude d’intérêt particulier n’y fut pourtant présentée… à l’exception notable d’un rapport, dont l’importance scientifique est passée inaperçue jusqu’à ce qu’il soit tiré de l’oubli par Raymond P. Sorenson en 2010.

    Or l’étude en question, intitulée Circonstances affectant la chaleur des rayons du soleil, était – à la surprise générale – signé par une femme, Eunice N. Foote.

    À cette époque, les femmes n’étaient pas autorisées à présenter des rapports à la AAAS : c’est donc Joseph Henry, un professeur de la Smithsonian Institution, qui se chargea de présenter les travaux. Ni le document de Foote ni la présentation de Henry ne furent consignés dans les actes de la conférence. En novembre 1856, l’American Journal of Art and Science, revue de l’AAAS, se contenta de publier une brève page et demie sur le sujet.

    Néanmoins, l’article ne se lasse pas de marteler que les découvertes de Eunice N. Foote n’enlèvent rien aux travaux de deux autres « confrères » John Tyndall et Svante (et non Steven) Arrhenius qui « confraternellement » se seraient abstenus de piller les conclusions de cette « illustre inconnue ».

    Dans sa publication, Tyndall ne mentionna pas Foote. On ignore s’il connaissait son travail ou s’il ne l’avait pas jugé pertinent. Selon Roland Jackson, il est probable qu’il n’ait pas eu connaissance du travail de Foote.

    Las, le conditionnel sauvera toujours la mise à « l’expertise universitaire » et à « l’exigence journalistique » ...

    #climat #effet_de_serre

  • Les machines de guerre en robots est un réel danger dans les conflits.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4400

    Les observateurs avouent ne pas être très à l’aise avec les missiles téléguidés, pourtant ils atteignent uniquement leurs objectifs et remplacent les bombardements en tapis qui détruisent des zones entières. L’automatisation qui est à l’ère du drone et d’outils de détection, augure plus d’atrocité. Elle n’est qu’à ses balbutiements. Alors que pour le but d’épargner les humains des conséquences de frappes des lourds armements, on s’accroche à engager des machines dans les batailles... #TECHNOLOGIE,_INTERNET,_PERFORMANCES_INCLASSABLES

    / économie , #technologie,_drone,_citoyen,_USA,_google,_High_Tech, fait divers, société, fléau, délinquance, religion , Sciences & Savoir, IA : Intelligence (...)

    #économie_ #fait_divers,société,_fléau,_délinquance,_religion #Sciences_&_Savoir #IA_:_Intelligence_Artificielle

  • Les sciences nous sauveront-elles des fake news ?

    A propos du livre d’Hubert Krivine : On nous aurait menti ? De la rumeur aux fake news (préface de Guillaume Lecointre, Postface de Jacques Treiner), éditions De Boeck,2022.

    Dans un ouvrage qui s’inscrit dans la suite du travail d’Hubert Krivine, qui vise à défendre la nécessité d’un cadre rationnel pour aborder les choses humaines et celles de la nature, l’auteur ne pouvait éviter de s’intéresser au lot de fake news qui s’empare des foules par media et réseaux interposés. Comme à son habitude, il le fait d’une manière accessible au lectorat ne disposant pas de la technicité des sphères savantes, tout en ne cédant en rien à la rigueur du propos.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2022/12/24/les-sciences-nous-sauveront-elles-des-fake-new

    #science

  • Une fusion nucléaire qui multiplie sa méga-énergie incandescente.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4398

    Les travaux se déroulent dans la plus grande installation de fusion nucléaire au monde. L’expérience n’est pas première mais elle réalise cette fois réalisé le phénomène connu sous le nom d’allumage. L’inédit est que la réaction nucléaire généré plus d’énergie qu’elle n’en consomme pour être générée. Ce qui peut être orienté à l’utilisation en électricité et autres combustibles de plus en plus nécessaire pour les humains et leurs activités. Actualité, événement, opinion, intérêt général, information, scoop, primauté

    / #énergie, #technologie,_drone,_citoyen,_USA,_google,_High_Tech, économie , Sciences & Savoir, #Réchauffement_climatique, #Ecologie,_environnement,_nature,_animaux, USA, Maison Blanche, (...)

    #Actualité,_événement,_opinion,_intérêt_général,_information,_scoop,_primauté #économie_ #Sciences_&_Savoir #USA,_Maison_Blanche,_CIA