#Selon_une_étude_récente, en fait les T-Rex étaient totalement cons.
▻https://www.researchgate.net/publication/380125521_How_smart_was_T_rex_Testing_claims_of_exceptional_cognition_
#Selon_une_étude_récente, en fait les T-Rex étaient totalement cons.
▻https://www.researchgate.net/publication/380125521_How_smart_was_T_rex_Testing_claims_of_exceptional_cognition_
Les gens intelligents seraient de gauche, c’est la science qui le dit | korii.
▻https://korii.slate.fr/et-caetera/gens-intelligents-gauche-quotient-intellectuel-genetique-liberalisme-aut
Des travaux réalisés par des chercheurs en psychologie de l’université du Minnesota affirment avoir trouvé un lien de corrélation entre des convictions de gauche et plusieurs preuves d’intelligence supérieure.
Ça ne vaut évidemment pas pour les gauchistes de droite comme le dirigeant du PCF.
Il paraîtrait (#selon_une_étude) que les vieux barbons et les vieilles daronnes voteraient majoritairement pour la bande à macron.
Le 9 juin, les vioques iront voter (même s’ils se font « ken »). Et vous ? 🤣
▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/04/15/dette-publique-nous-proposons-de-mettre-davantage-a-contribution-les-retrait
Suis une vieille peau, 69 ans cette année. Ne voterai pas pour, la bande à Macron, ni celle au RN, ni celle à Zemmour, ni celle à Glucksmann, je voterai tout de même, à gauche si possible, mais je ne sais pas encore pour qui, ou blanc. Suis un peu ken malgré tout. J’ai fait le castor souvent , trèèèèès souvent ! Ken donc.
Oui, enfin, on sait ce que valent les sondages en périodes pré-électorales. #manipulation_de_l'opinion.
Mais ce que je trouve drôle, c’est cet article de l’e-Monde qui arrive un peu comme un cheveu sur la soupe électorale.
Et puis ce petit « meme » a propos des affiches de LFI pour le scrutin des européennes ;-)
Deux ans de moins que toi @mfmb donc vieux barbon. Et « ken » aussi en 2022 par solidarité envers une famille de migrants que je connais. Maintenant concernant la castorisation des esprits, « que faire » ?
Une batterie à eau recyclable et bien plus sure que les lithium-ion
▻https://trustmyscience.com/batterie-a-eau-recyclable-et-plus-sure-que-batteries-conventionnelle
Des chercheurs ont conçu une batterie à eau offrant des avantages significatifs en matière de sécurité et d’impact environnemental, par rapport aux batteries lithium-ion. Selon eux, si les progrès se poursuivent, ce type de dispositif pourrait devenir un concurrent de taille sur le marché, d’ici une dizaine d’années.
Je viens delire l’article et comme la pratique du web-surfing fait flamber mon TDAH, je me suis aperçu que les Suisses sont décidément imbattables dans le domaine du recyclage : après « l’argent sale », « l’or dur » :
▻https://trustmyscience.com/extraction-or-dechets-electroniques-tres-rentable-grace-fromage
En 2019, Londres a interdit la publicité pour la malbouffe dans les transports
▻https://mastodon.social/@LoboTom/111930418733128490
Thomas Bourgenot sur Mastodon :
En 2019, Londres a interdit la publicité pour la malbouffe dans les transports.
Une étude montre que la consommation de malbouffe a depuis décru.
La pub, ça marche.
Corollaire, son interdiction aussi.
La pub, ça rapporte.
Mais la pub, ça coûte aussi cher à la société.
(bref, interdisons la pub pour les produits polluants et/ou mauvais pour la santé, comme on a fait pour le tabac)
TfL junk food ad ban has helped Londoners shop more healthily – study | Health | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/society/2022/feb/17/tfl-junk-food-ad-ban-has-helped-londoners-shop-more-healthily-study
Researchers estimate a 1,000 calorie decrease in unhealthy purchases associated with the policy
L’IA a tendance à opter pour la violence et les frappes nucléaires dans les simulations de guerre, révèle une étude
▻https://trustmyscience.com/ia-tendance-opter-violence-frappes-nucleaires-simulations-guerre
L’adoption de l’IA dans les stratégies militaires et diplomatiques s’accompagne d’un potentiel d’escalade conflictuelle, révèle une étude. Les résultats montrent que les simulations de guerre utilisant des agents IA autonomes ont une tendance à l’escalade, y compris vers l’usage d’armes nucléaires — avec des justifications parfois troublantes. Face à ces constats, les chercheurs insistent sur la nécessité d’adopter une approche mesurée et réfléchie quant à l’intégration de l’IA dans les processus décisionnels liés à la sécurité et à la défense.
#selon_une_étude_récente #it_has_begun et #skynet_existe déjà
Juste pour de rire, le paragraphe de conclusion, où on te dit que OpenAI autorise les usages militaires, sauf si ça devient trop méchant. Très #lol.
Récemment, OpenAI a adapté sa politique pour permettre l’usage de ses technologies dans le secteur militaire, à la stricte condition de ne pas causer de préjudice aux individus et d’éviter la création d’armements. Toutefois, l’étude souligne les dangers liés à l’emploi de l’IA générative dans le conseil et la gestion de l’information. Des collaborations entre OpenAI et les forces armées seraient en cours, notamment dans le domaine de la cybersécurité.
Wind turbines are friendlier to birds than oil-and-gas drilling
▻https://www.economist.com/science-and-technology/2024/01/10/wind-turbines-are-friendlier-to-birds-than-oil-and-gas-drilling
Contrary to what opponents of wind farms fear
Et si c’est The Economist qui le dit... #selon_une_étude_récente
People who read live longer than those who don’t, Yale researchers say
▻https://bigthink.com/personal-growth/yale-study-people-who-read-live-longer-than-people-who-dont
The extended lifespan applied to all reading participants, regardless of “gender, wealth, education, or health” factors.
Genre, tu sais déchiffrer : « Attention, danger ! »
Selon des chercheurs de Yale, les personnes qui lisent vivent plus longtemps que celles qui ne lisent pas
Les avantages de la lecture ne doivent pas être sous-estimés, même lorsqu’il s’agit de vivre plus longtemps. Une nouvelle étude révèle que la lecture de livres, en particulier, entraîne des gains cognitifs qui augmentent la longévité.
Que les rats de bibliothèque se réjouissent ! Une nouvelle étude publiée dans la revue Social Science and Medicine vient de découvrir que les personnes qui lisent des livres vivent plus longtemps que les autres.
Des chercheurs de l’université de Yale ont interrogé 3 635 participants de plus de 50 ans sur leurs habitudes de lecture. À partir de ces données, ils ont divisé la cohorte en trois groupes : les non-lecteurs, les personnes qui lisent moins de 3,5 heures par semaine et celles qui lisent plus de 3,5 heures par semaine. Les chercheurs ont suivi chaque groupe pendant 12 ans. Les personnes qui lisaient le plus étaient des femmes ayant fait des études supérieures et appartenant au groupe à revenu élevé.
Tout au long de l’étude, les chercheurs ont constaté que les deux groupes de lecteurs vivaient plus longtemps que les non-lecteurs. Les lecteurs qui lisaient plus de 3,5 heures par semaine ont vécu 23 mois de plus que les personnes qui ne lisaient pas du tout. L’étude explique que cet allongement de la durée de vie s’applique à tous les lecteurs, indépendamment du sexe, de la richesse, de l’éducation ou de l’état de santé. Il s’agit d’une réduction de 20 % de la mortalité due à une activité sédentaire. Ce n’est pas rien, et c’est une solution très facile à mettre en œuvre pour améliorer la qualité de vie des personnes de plus de 50 ans.
Les résultats sont encore meilleurs. "Par rapport aux non-lecteurs, poursuivent les auteurs, les lecteurs de livres avaient un avantage de survie de 4 mois, à l’âge où 20 % de leurs pairs sont décédés. "Les lecteurs de livres ont également connu une réduction de 20 % du risque de mortalité au cours des 12 années de suivi par rapport aux non lecteurs de livres. Les auteurs poursuivent :
« En outre, nos analyses ont démontré que la lecture de livres, quel qu’en soit le niveau, offrait un avantage de survie significativement plus important que la lecture de périodiques. Il s’agit d’une nouvelle découverte, car les études précédentes ne comparaient pas les types de matériel de lecture ; elle indique que la lecture de livres plutôt que la lecture en général est à l’origine d’un avantage en termes de survie. »
La raison pour laquelle les gains sont plus importants pour les livres que pour les périodiques est que la lecture de livres fait appel à davantage de facultés cognitives. Les lecteurs ne disposaient pas au départ de facultés cognitives plus élevées que les non-lecteurs ; ils se sont simplement engagés dans l’activité de lecture, ce qui a renforcé ces facultés. « Cette découverte suggère que la lecture de livres offre un avantage en termes de survie en raison de la nature immersive qui aide à maintenir l’état cognitif », ont déclaré les auteurs de l’étude.
Comme tout amateur de livres le sait, la lecture implique deux processus cognitifs majeurs : la lecture approfondie et la connexion émotionnelle. La lecture approfondie est un processus lent au cours duquel le lecteur s’engage dans le livre et cherche à le comprendre dans son propre contexte et dans le contexte du monde extérieur. La connexion émotionnelle est le moment où le lecteur éprouve de l’empathie pour les personnages, ce qui favorise la perception sociale et l’intelligence émotionnelle. Ces processus cognitifs ont été cités par l’équipe de Yale et utilisés comme marqueurs pour cette étude. Bien qu’ils offrent apparemment un avantage en termes de survie, « de meilleurs comportements en matière de santé et une réduction du stress peuvent expliquer ce processus [également] », selon l’étude. Néanmoins, ces avantages cognitifs sont réels, comme l’explique l’auteur Nicholas Sparr :
Toutes les données ont été autodéclarées par le biais d’une enquête téléphonique et ne tiennent pas vraiment compte des livres électroniques, mais elles sont tout de même encourageantes. Il n’y a pas de réels inconvénients à la lecture, si ce n’est qu’il faut en prendre le temps. Mais si vous n’êtes pas convaincu et que vous préférez que John Green vous enseigne la littérature au lieu de lire les classiques par vous-même, le philosophe et doyen de l’université de Yale Jeffrey Brenzel vous présente 5 autres avantages de la lecture :
la valeur des idées oubliées, la valeur des liens entre les idées, la valeur de l’étrangeté, la valeur du renforcement intellectuel, la valeur d’un meilleur jugement.
Internet, un allié contre la démence ?
▻https://www.consoglobe.com/internet-contre-la-demence-cg
Une étude récente de l’université de New York suggère que l’utilisation quotidienne d’Internet pourrait réduire les risques de démence chez les adultes. Les chercheurs ont suivi plus de 18.000 participants pendant près de 8 ans, observant l’impact de l’usage d’Internet sur leur santé cognitive.
Ça faisait longtemps : #selon_une_étude_récente, troller préserve de la démence :-)
Le cerveau d’un journaliste fonctionnerait à un niveau inférieur que la moyenne, selon une étude Alexandre Tétreault
▻https://www.journaldequebec.com/2017/05/20/le-cerveau-des-journalistes-fonctionne-a-un-niveau-inferieur-que-la

Les journalistes gèreraient mal leurs émotions, boiraient trop d’alcool et travailleraient plus lentement qu’un salarié moyen. C’est du moins ce qu’avance une étude réalisée par la docteure Tara Swart qui a fait grand bruit sur les médias sociaux.
C’est en analysant le style de vie et les comportements de 40 journalistes que la docteure spécialisée dans les neurosciences en est arrivée à ces conclusions.
L’étude, que relaie le Business Insider ▻https://www.businessinsider.com/journalists-brains-function-at-a-lower-level-than-average-2017-5?r= , a permis d’établir un constat : le cerveau des journalistes fonctionnerait plus lentement que la moyenne. Conséquemment, les journalistes auraient plus de difficulté à résoudre des problèmes complexes, à alterner entre deux tâches et à être créatifs et ouverts d’esprit.
Ce fonctionnement plus lent du cerveau serait dû à la déshydratation et à la surconsommation d’alcool. 81% des journalistes sondés ont avoué boire 18 consommations alcoolisées ou plus par semaine, ce qui est quatre consommations de plus que la quantité recommandée en Angleterre. De plus, seulement 5% d’entre eux boivent la quantité d’eau recommandée.
Pour les besoins de l’étude, chacun des 40 journalistes a dû se conformer à plusieurs règles. Ils ont porté un moniteur de fréquence cardiaque pendant trois jours et ils ont respecté une diète pendant une semaine, en plus de se soumettre à une batterie de tests sanguins et psychologiques.
Tera Swart, auteure de renom dans le domaine des neurosciences, souhaitait originalement approfondir les connaissances scientifiques sur ce métier qui lui semblait a priori très stressant. L’étude a été lancée en Angleterre, en collaboration avec le London Press Club.
Pas que du négatif
Sur une note plus positive, les journalistes auraient une plus grande facilité à composer avec la pression et le stress causés par leur emploi. Ils seraient aussi meilleurs que le commun des mortels pour attribuer une valeur aux évènements et déterminer ce qui doit être prioritaire.
Selon les études psychologiques auxquelles ont pris part les sondés, les journalistes croient que leur travail à un impact sur la société, ce qui fait qu’ils auraient une plus grande facilité à performer sous la pression et à respecter des délais précis.
À la lumière de ces découvertes, la docteure Tara Swart en arrive à cette conclusion : « Les journalistes sont sans contredit confrontés à de nombreuses pressions, et ce tant au travail qu’à la maison, mais le sens et la raison d’être qu’ils attribuent à leur travail les aident à rester mentalement stables », peut-on lire dans son rapport.
▻https://www.insider.com/journalists-brains-function-at-a-lower-level-than-average-2017-5
#alcool #addiction #journaliste #journalisme #propagande #bêtise
Journalists scored lower on:
Executive function. As well as the traits mentioned above, low scores for executive function also suggest poor sleep, nutrition, exercise, and mindfulness. Many participants reported they had no time for breaks while working.
Silencing the mind, which is related to the ability to have thoughts without getting distracted by them, or a powerful ability to focus. Low scores indicate the opposite, suggesting journalists have a hard time preventing themselves from worrying about the future or regretting the past.
Compared with bankers, traders, or salespeople, journalists showed that they were more able to cope with pressure. Traits that make journalism a stressful profession are deadlines, accountability to the public, unpredictable and heavy workloads, public scrutiny, repercussions on social media, and lower pay.
The results, however, showed that the journalists were on average no more physically stressed than the average person. The blood tests showed that their levels of cortisol — known as the stress hormone — were mostly normal.
#selon_une_étude_récente, enfin, pas tant que ça, ça date de mai 2017…
ça faisait longtemps – 16 mois – le dernier emploi du mot-dièse
l’"étude" est là
▻https://www.taraswart.com/mental-resilience-of-journalists
• 21 répondants + 10 avec réponses partielles
• tous les résultats en pourcentage -> on ne sait jamais combien il y a effectivement de répondants
• aucun élément quantifié sur les différences de performance (sans même parler de significativité)
• aucune définition du groupe de référence (ou contrôle) avec des comparaisons du genre
Results indicated that, on average, the journalists who participated were no more physically stressed than the average person.
(première phrase du paragraphe Results)
The study was based on a programme called Leading Sustainable Performance designed by Dr Tara Swart which she ordinarily runs with leadership teams in banks and large corporates.
On peut supposer que sa référence vient des autres résultats du « test » qu’elle pratique lors des formations que l’autrice dispense. Médecin, elle se présente comme spécialiste en neuroscience et adepte de la #pleine_conscience …
My top of list of priorities essential for optimum brain function are rest, nutrition, hydration, exercise, and mindfulness.
… les 4 autres priorités ne révolutionnant pas vraiment l’approche de la question
On connaissait le danger du #paracétamol pouvant occasionner une intoxication hépatique aigüe. #selon_une_étude, il pourrait aussi altérer notre jugement.
Danger avec le Paracétamol : il augmenterait la prise de décisions dangereuses - Astuces Au Quotidien
▻https://astucesauquotidien.com/sante/danger-avec-le-paracetamol-il-augmenterait-la-prise-de-decisions
Baldwin Way, un des responsables de cette étude, a déclaré que « l’acétaminophène semble faire en sorte que les gens ressentent moins d’émotions négatives lorsqu’ils envisagent des activités à risque. Ils n’ont tout simplement pas aussi peur »
Bon après, le protocole expérimental est discutable parce que faire remplir des petites cases de 1 à 7 à des étudiants bien au chaud (ou pas) dans un amphi, je me demande si c’est bien fiable pour mettre en évidence les effets psychotropes de l’#acétaminophène.
L’étude en question : ▻https://academic.oup.com/scan/article/15/7/725/5897711?login=false
Abstract
Acetaminophen, an analgesic and antipyretic available over-the-counter and used in over 600 medicines, is one of the most consumed drugs in the USA. Recent research has suggested that acetaminophen’s effects extend to the blunting of negative as well as positive affect. Because affect is a determinant of risk perception and risk taking, we tested the hypothesis that acute acetaminophen consumption (1000 mg) could influence these important judgments and decisions. In three double-blind, placebo-controlled studies, healthy young adults completed a laboratory measure of risk taking (Balloon Analog Risk Task) and in Studies 1 and 2 completed self-report measures of risk perception. Across all studies (total n = 545), acetaminophen increased risk-taking behavior. On the more affectively stimulating risk perception measure used in Study 2, acetaminophen reduced self-reported perceived risk and this reduction statistically mediated increased risk-taking behavior. These results indicate that acetaminophen can increase risk taking, which may be due to reductions in risk perceptions, particularly those that are highly affect laden
Straight male guitarists play extreme metal to impress other men, study suggests | Guitar World
▻https://www.guitarworld.com/news/straight-men-play-extreme-metal-to-impress-other-men
The study – entitled Extreme metal guitar skill: A case of male-male status seeking, mate attraction, or byproduct? (opens in new tab), authored by Tara DeLecce, Farid Pazhoohi, Anna Szala and Todd K. Shackelford – suggests that heterosexual extreme metal guitarists, for the most part, don’t play to increase their mating chances, but rather to show off to other straight male guitarists.
L’Homme pourrait coloniser Proxima du Centaure en 2254
▻https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/colonisation-espace-homme-pourrait-coloniser-proxima-centaure-2254-
Les chercheurs ont établi un calendrier avec une date possible de lancement des missions, qui ne tient toutefois pas compte du temps de voyage. Ainsi, si une mission habitée vers Proxima du Centaure - le système planétaire le plus proche de notre Système solaire - est envisageable en 2254, l’étude ne dit rien du temps de vol qu’il faudrait pour atteindre cette étoile située à 4.244 années-lumière.
Chuis allé lire le pre-print, et ils sont bien plus précis que ce que ce papier de vulgarisation dévoile. En fait, c’est le 15 janvier 2254 à 00h34 UTC qu’une mission habitée va atterrir sur Proxima du Centaure.
Drinking way, way too much coffee might shrink your brain
▻https://massivesci.com/notes/coffee-consumption-brain-volume-anxiety
Up to five cups of coffee per day seems to be fine. Six or more? Your brain is going to feel it
Dans la déclaration d’absence de conflit d’intérêt, les auteurs de cette étude ont oublié de préciser combien de cafés ils doivent chaque jour.
Parce que si ça se trouve, ils boivent tous plus de cinq cafés par jour, donc selon leurs propres conclusions on devrait se méfier de leurs propres conclusions.
Study Finds Falsehoods About Delta Variant May Spread Twice As Easily As Original Covid Misinformation
▻https://www.theonion.com/study-finds-falsehoods-about-delta-variant-may-spread-t-1847422010
C’est prouvé : les riches trichent plus que les autres | Economie humaine | Gilles Raveaud | Les blogs d’Alternatives Économiques
▻https://blogs.alternatives-economiques.fr/gilles-raveaud/2013/08/01/c-est-prouve-les-riches-trichent-plus-que-les-autres
C’est un résultat très important. Les expériences menées à l’université de Berkeley (Californie) par Paul Piff ont mis en avant les comportements anti-sociaux des personnes aux plus hauts revenus.
Ainsi, si 90% des conducteurs s’arrêtent pour laisser traverser les piétons (et oui, ça se passe comme ça, en Californie !), seuls 50% des personnes conduisant des voitures de luxe le font.
Dans une autre expérience, on laisse un bol de bonbons devant des personnes laissées seules dans la pièce, en leur disant que ces bonbons sont destinés à des enfants. Mais il est possible d’en prendre, bien sûr, puisque personne ne regarde... sauf une caméra qui filme tout. Résultat : les riches prennent deux fois plus de bonbons que les pauvres.
Et lorsqu’il s’agit de dire combien on a fait aux dés, les riches trichent... 4 fois plus que les pauvres en gonflant leur score pour pouvoir décrocher la timbale, un chèque de 50$.
Le bol de bonbons et le jeu de dés appliqué aux 1% ça ne fait pas très sérieux :-)
Y’avait pas aussi une #selon_une_étude qui trouvait un taux vachement plus élevé de sociopathes chez les dirigeants politiques et les dirigeants d’entreprises ?
Le saviez-tu ? → #éthologie de la #hiérarchie (trouvé sur FB)
(C’est un long le saviez-tu, mais vous allez voir, ça vaut la peine.)
Une étude a été menée dans les années 1990-2000 au laboratoire de biologie comportementale de la faculté de Nancy par Didier Desor. L’objectif était d’étudier l’aptitude à nager chez les rats. Dider Desor en a réuni six dans une cage dont l’unique issue débouche sur une piscine qu’il faut traverser pour atteindre une mangeoire qui donne des aliments.
On a rapidement constaté que les six rats n’allaient pas chercher leur nourriture en nageant de concert. Des rôles sont apparus :
– 2 nageurs exploités
– 2 non-nageurs exploiteurs
– 1 nageur autonome
– 1 non nageur souffre-douleur
Les deux nageurs exploités vont chercher de la nourriture en nageant sous l’eau. Lorsqu’ils reviennent à la cage, les deux exploiteurs les frappent et leur enfoncent la tête sous l’eau jusqu’à qu’ils lâchent la bouffe. L’autonome est un nageur assez robuste pour ramener sa nourriture et passer les exploiteurs pour se nourrir de son propre travail. Le souffre-douleur est incapable de nager et incapable d’effrayer les exploités, donc il ramasse les miettes tombées lors des combats.
L’expérience fut reconduite dans une vingtaine de cages. Et à chaque fois, la même structure, le même schéma que dans la première expérience :
– 2 nageurs exploités
– 2 non-nageurs exploiteurs
– 1 nageur autonome
– 1 non nageur souffre-douleur
L’expérience aurait pu en rester là, mais les chercheurs poussèrent encore les investigations.
On plaça six rats exploiteurs ensemble.
Ils se battirent toute la nuit et au matin il y avait :
– 2 nageurs exploités
– 2 non-nageurs exploiteurs
– 1 nageur autonome
– 1 non nageur souffre-douleur
On plaça six rats exploités ensemble. Les combats furent un peu moins violents, mais au matin il y avait :
– 2 nageurs exploités
– 2 non-nageurs exploiteurs
– 1 nageur autonome
– 1 non nageur souffre-douleur
On renouvela l’expérience avec six nageurs autonomes et six souffre-douleurs, et à chaque fois, le lendemain, on retrouva la même configuration.
On poussa l’expérience un peu plus loin, avec deux cents rats. Ce fut la guerre toute la nuit. Trois rats furent retrouvés dépecés par leurs congénères. Les exploiteurs mirent en place une hiérarchie avec des lieutenants chargés de répercuter leur autorité sans même avoir besoin de se donner le mal de terroriser les exploités.
Les indépendants étaient moins nombreux mais laissés tranquilles pour une raison indéterminée.
La dernière phase de l’expérience consista à analyser, grâce à une autopsie, les cerveaux de l’ensemble des rats.
Les plus stressés n’étaient ni les souffre-douleurs, ni les exploités
ni les indépendants : c’était les exploiteurs. Il faut dire que s’ils perdaient leur statut d’exploiteurs, ils risquaient de devoir aller bosser, on comprend leur stress.
Il n’y a rien d’impossible à ce que les humains soient tributaires de ce type de phénomènes hiérarchiques. Mais il est assez mal vu d’enfermer des humains dans une cage pour vérifier. Sauf si on le transforme en téléréalité, là, ça passe, mais il faut que l’expérience soit très cadrée et la présence de caméras crée des biais, tout ça est fort compliqué. Néanmoins, si nous autres humains, qui ne sommes après tout que des mammifères comme les autres, sommes sujets aux mêmes types de phénomènes, alors quel que soit le système de gouvernance, on retrouvera toujours plus ou moins les mêmes répartitions de population.
L’expérience avec les rats montrent tout de même deux « détails » intéressants :
– plus la population est nombreuse, plus la cruauté envers les souffre-douleurs est grande.
– l’administration d’anxiolytiques ne modifie pas la hiérarchie quand elle est déjà établie mais crée un plus grand nombre de rats exploités si l’administration se fait avant la structuration de la hiérarchie.
Je vous laisse en tirer d’éventuelles conclusions plus ou moins hâtives.
C’est une description d’ « expérience » (#selon_une_étude) qu’on retrouve régulièrement depuis de nombreuses années. Mais j’ai encore jamais vu aucune source.
Le gus a étendu son étude aux humains en 2007 ▻https://hal.inria.fr/inria-00193539/document
J’ai un article en anglais qu’il a cosigné sur son expérience ▻https://www.partagerfichier.fr/download.php?f=2020-06-19-14-24-50_6zeznqsugs.pdf
Ça fait peur. Sauf que les arguments du texte sont linéaires, homogènes, et dénués de scrupules. Il n’y a rien qui empêche le texte de marcher droit ? Pas de « qu’est-ce qui va pas la-dedans ? » Cela me fait l’effet d’une boutade aux allures provocatrices (elle mime le registre de la critique du libre arbitre) qui conforte nos (des) conclusions les plus désolatrices. L’exploitation c’est pour toujours. La hiérarchie, on n’y échappe pas (au mieux on la réduit, sur le plan le plus micro possible). Y a d’la structure. Mektoub.
nous autres humains, qui ne sommes après tout que des mammifères comme les autres
Mais pas seulement (et il le sait). Croire autre chose serait faire comme si il n’existait pas des exemples (La Commune, l’EZLN, telle ou telle expérience, modalité d’organisation de la vie sociale) qui contredisent la thèse d’une structuration naturellement hiérarchique et nécessairement centrée sur l’exploitation « quel que soit le système de gouvernance ». Le passage de l’éthologie animale à une éthologie humaine naturalise radicalement les rapports sociaux. Excécrable éternité.
Les anxiolytiques c’est pas bien, ça favorise l’exploitation. Au moins, avec ça, on est pas bousculé par du contre intuitif. Difficile de ne pas partager cette « conclusion hâtive » à laquelle l’article nous (re)conduit. Peut-être. À condition quand même de ne pas réduire l’anxiolytique à l’administration de produits pharmaceutiques.
La télé a été longtemps au premier rang.
La consommation plus ou moins modérée d’alcool persiste à répondre à un besoin de colmater l’angoisse de la liberté tout en atténuant le péril que tout contact comporte.
On bride sans doute ainsi une destructivité nécessaire à toute transformation sociale. Mais se voir en victimes manipulées (par big pharma et ses agents divers, par exemple), ou déterminés sans reste par les rapports sociaux, ou comme des obstinés de la servitude volontaire. On doit (ethiquement) s’y refuser.
Et les usages ? Pour en revenir aux anxiolytiques et à ce qui en tient lieu, les petites politiques de prévention/réparation de la souffrance psychique qui se bricolent avec ce que l’on trouve sur son chemin ne sont pas un détail négligeable.
Autre écart avec le schéma proposé, on voit des entreprises qui poussent à des pratiques de méditation de pleine conscience, tai chi, yoga et je ne sais quoi encore qui sont promues pour améliorer la productivité de leurs salariés et leur aptitude à coopérer. Et non pour les éteindre. C’est que des entreprises ont appris de l’histoire de l’entreprise la différence entre le travail prescrit (dans ce cadre, le commandement) et le travail réel (sans lequel pas de profit). Taylor doit se supprimer en se conservant (modalités diverses : Amazon ou l’hôpital, ça rigole pas). L’entreprise, l’exploitation marchent elles-aussi au désir et aux affects (pas que les sordides). Le travail c’est pas la santé, les entreprises pas de la philanthropie, mais il leur faut parfois soigner quelque chose plutôt que rien.
Si il s’agit de décrire une tendance plus qu’une structure, c’est alors la fabrication de la pénurie et de la situation de concurrence qu’il faudrait interroger. On a déjà mille fois décrit « la société » comme un analogue de la télé-réalité (et Pôle emploi n’appelle pas pour rien les chômeurs des « candidats ») et la notation sociale chinoise des individus a rendu plus crédible encore de telles vues.
Cela dit avant de lire « Induction expérimentale d’une différenciation sociale chez l’homme ».
Tous aux abris, les libertariens ont décidé de lire Bernard Werber.
▻https://twitter.com/pandovstrochnis/status/1273708912785739778
Hélas, ainsi que l’explique cet état de l’art sur le sujet, le comportement décrit ici n’a été observé que dans UNE expérience, avec des rats en captivité. Les rats de l’espèce concerné, dans la nature, ont un modèle social coopératif et hiérarchisé.
▻https://elifesciences.org/articles/54020
[…]
Et j’en viens à ma dernière remarque, parce que fondamentalement je m’en tamponne des résultats d’études sur le comportement social des rats norvégiens :
[…]
Nous ne sommes pas des rats norvégiens élevés en captivité et foutus dans une expérience dont les conditions ne se présentent jamais dans la nature.
Donc on ne le saura jamais.
A rapprocher d’autres expériences sur les #rats
Le #Cloaque_Comportemental :
►https://seenthis.net/messages/550819
Oh it’s a disgrace to see the
Human-race in a rat race, rat race
You got the horse race
You got the dog race
You got the human-race
But this is a rat race, rat race
On va enfin le savoir, grâce à une étude randomisée en double aveugle : est-ce que la prière est efficace pour soigner les malades de Covid-19 qui sont en soins intensifs ?
The COVID-19 ICU PRAYER Study - Full Text View - ClinicalTrials.gov
▻https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04361838
This is a multicenter; double blind randomized controlled study investigating the role of remote intercessory multi-denominational prayer on clinical outcomes in COVID-19 + patients in the intensive care unit. All patients enrolled will be randomized to use of prayer vs. no prayer in a 1:1 ratio. Each patient randomized to the prayer arm will receive a “universal” prayer offered by 5 religious denominations (Christianity, Hinduism, Islam, Judaism and Buddhism) in addition to standard of care. Whereas the patients randomized to the control arm will receive standard of care outlined by their medical teams. During ICU stay, patients will have serial assessment of multi-organ function and APACHE-II/SOFA scores serial evaluation performed on a daily basis until discharge. Data assessed include those listed below.
On saura (ou non) à la rentrée ce qu’aura donné l’étude. Je choisirai ma religion en fonction. Promis ;-)
Sans rire : ce type de question ne peut être que le produit d’une société qui a transformé l’assurance maladie dans un service pour les privilégiés.
Study Type : Interventional (Clinical Trial)
Estimated Enrollment : 1000 participants
Allocation: Randomized
Intervention Model: Parallel Assignment
Masking: Double (Participant, Care Provider)
Primary Purpose: Supportive Care
Official Title: Impact of Multi-Denominational Prayer on Morbidity and Mortality of Patients Admitted to the Intensive Care Unite With Corona Virus Infection
Estimated Study Start Date : June 1, 2020
Estimated Primary Completion Date : August 31, 2020
Estimated Study Completion Date : August 31, 2020
#USA #religion #santé #maladie #science #médecine #étude #superstition #wtf
Il me semble qu’il y avait déjà eu pas mal d’études de ce genre (pas pour le Covid) sur la relation santé / prière… et que c’était pas franchement concluant. Mais c’est bien d’avoir encore d’autres confirmations !
– ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_de_la_pri%C3%A8re
– ▻https://en.wikipedia.org/wiki/Efficacy_of_prayer
Si vous voulez mon avis : ça va pas marcher. Parce qu’ils n’ont pas donné d’azithromycine avec la prière.
Tu voulais dire « avant la prière » évidemment ?
« le Canard enchaîné » 3 juin 2020
Mgr Eric de Moulin-Beaufort , archevêque de Reims et président de la Conférence épiscopale française, a un drôle de discours pour expliquer l’arrivée du virus. Dans « Le Parisien » (31/5), le supermitré l’assure : « [Dieu] ne s’est pas amusé à susciter un virus comme ça. Il ne s’est pas dit : « Tiens, je vais donner une bonne leçon aux hommes ! » En revanche, si Dieu n’empêche pas cette épidémie, c’est un avertissement de plus qui nous est donné. » en clair : son Très-Haut a laissé faire le virus à sa guise.
Sur terre, des ministres risquent des poursuites pour moins que ça...
La sixième extinction de masse s’accélère à un rythme vertigineux
►https://reporterre.net/La-sixieme-extinction-de-masse-s-accelere-a-un-rythme-vertigineux
La sixième extinction de masse s’accélère et met en péril la survie de la population humaine : c’est ce qu’affirme une étude, publiée le 1er juin dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. Selon l’équipe de chercheurs ayant réalisé cette étude, 515 espèces de vertébrés terrestres sont sur le point de s’éteindre et disparaîtront probablement d’ici une vingtaine d’années.
Alors je vais te dire coco. Moi les #selon_une_étude_récente, j’ai compris ce qu’il fallait désormais en faire. Faut les benner directement et sans explication. Parce qu’il n’y a qu’à attendre 2 ou 3 jours que les factcheckers Youtube reconnus internationalement dans leur domaine de spécialité te la démontent et que l’éditeur te dévoile qu’en fait, l’étude elle avait pas été vraiment relue, que bon, c’est pas vraiment une étude, que bon, quoi, attendez-vous à apprendre que les signataires de l’étude n’existe pas, voire que le sujet d’étude n’existe pas lui non plus !
Tu veux dire que parmi les signataires de l’étude il y aurait une actrice porno ? Pas très sérieux.
#biodiversité, ceci dit #animal
Je ne faisais qu’exprimer (je déblatérais, je le confesse) une consternation face à cette boulimie que nous avons de faire et d’évoquer des études qui ne mènent rigoureusement à rien de déterminant sur le court et moyen terme. Une étude donne un résultat qui ne convient pas à l’époque ? Elle est rétractée. Une étude donne un résultat dont on ne sait que faire ? Elle est ignorée. En fait, on ne prend en compte que les études qui permettent d’appuyer une décision de court terme... Comme cette étude sur 24 patients (on a retiré les 2 patients qui ne correspondaient pas à l’intuition du directeur de l’étude), qui par la puissance de l’intuition du dit directeur, est supérieure à toutes les autres formes d’études.
Oui mais, finalement, avons-nous besoin de cette étude pour savoir ce qu’elle énonce. Elle vient simplement confirmer ce que l’on sait déjà. Ce genre d’étude est de l’ordre de la documentation du désastre en cours. On ne peut pas vraiment la comparer avec la course à l’échalote que nous connaissons aujourd’hui sur le front médical.
Oui, y’a le #cherry_picking au sein des études en question puis entre les études elles-mêmes. Biais de confirmation ?
Les enfants ne sont pas les agents du Covid que l’on croit - Libération
▻https://www.liberation.fr/france/2020/04/19/les-enfants-ne-sont-pas-les-agents-du-covid-que-l-on-croit_1785682?xtor=r
Dans une étude sur le cluster de Haute-Savoie, publiée le 11 avril aux Presses universitaires d’Oxford, des chercheurs Français ont établi la faible contagiosité d’un enfant contaminé.
#selon_une_étude_récente les enfants n’ont pas besoin d’être confinés
Le « déconfinement », c’est PAS maintenant si on en croit cet article de l’AFP relayé par « 20 Minutes ».
Coronavirus : Des périodes de distanciation sociale sans doute nécessaires jusqu’en 2022, selon des chercheurs
▻https://www.20minutes.fr/sante/2760907-20200415-coronavirus-periodes-distanciation-sociale-doute-necessai
Un retour à la normale n’est clairement pas pour tout de suite. Plusieurs périodes de distanciation sociale seront sans doute nécessaires jusqu’en 2022 pour empêcher que le nouveau coronavirus n’engorge les hôpitaux de malades aux Etats-Unis, estiment des chercheurs d’Harvard dans une étude publiée mardi par la revue Science.
L’équipe d’Harvard a modélisé la pandémie de Covid-19, la maladie causée par le virus, en partant de l’hypothèse qu’elle serait saisonnière comme d’autres virus de la même famille, dont des coronavirus responsables du rhume, qui aiment l’hiver. Leur simulation a dû s’accommoder de nombreuses inconnues sur le nouveau venu, baptisé SARS-CoV-2, notamment sur le niveau et la durée de l’immunité acquise par une personne contaminée.
« Une mesure ponctuelle de distanciation sociale sera probablement insuffisante pour que l’incidence de SARS-CoV-2 reste dans les limites de la capacité des services de réanimation aux Etats-Unis », a résumé l’un des auteurs, Stephen Kissler, dans une conférence téléphonique mardi avec des journalistes. « En l’absence de traitements, des périodes intermittentes de distanciation sociale seront sans doute nécessaires », a-t-il dit
L’étude mentionnée dans l’article : ▻https://science.sciencemag.org/content/early/2020/04/14/science.abb5793
How Long Will Social Distance Rules Be Needed? Harvard Says 2022 - Bloomberg
▻https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-04-14/harvard-researchers-say-some-distancing-may-be-needed-into-2022
People around the world might need to practice some level of social distancing intermittently through 2022 to stop Covid-19 from surging anew and overwhelming hospital systems, a group of Harvard disease researchers said Tuesday.
Lifting social-distancing measures all at once could risk simply delaying the epidemic’s peak and potentially making it more severe, the scientists warned in an article published Tuesday in the journal Science.
The course of the pandemic will depend on questions not yet answered: Will the virus’s spread change with the seasons? What immunity will people have after they’re infected? And does exposure to coronaviruses that cause mild illnesses confer any protection against the pathogen that causes Covid-19?
Those questions are being weighed by government leaders who have seen economies around the globe come to a standstill because of the social-distancing measures. With millions of people out of work and staying home, pressure is growing to loosen restrictions in the U.S. and elsewhere. Doing so, experts have said, will depend on having in place measures to control the disease, such as widespread testing.
VIDAL - COVID-19 : le rôle du choc cytokinique et les premières pistes thérapeutiques - Actualités
▻https://www.vidal.fr/actualites/24612/covid_19_le_role_du_choc_cytokinique_et_les_premieres_pistes_therapeutiques
Chez certains patients, la COVID-19 semble déclencher un syndrome de libération des cytokines, ou orage cytokinique, qui pourrait être à la racine de nombreuses complications sévères. Chez ces malades, des taux sanguins élevés d’interleukines 6, 2, 7 et 10, de G-CSF, de TNF alpha et de protéines induites par l’interféron gamma ont été observés.
Les inhibiteurs des récepteurs de l’interleukine 6, et en particulier le tocilizumab (ROACTEMRA), ont montré leur intérêt dans d’autres contextes où se produit ce choc cytokinique. Des résultats préliminaires d’auteurs chinois ont déjà été publiés, mais de nombreux autres essais ont été mis en place dont le descriptif fait l’objet d’un autre article ce même jour, « Choc cytokinique : les essais thérapeutiques en cours dans la COVID-19 ».
▻https://www.ser.es/wp-content/uploads/2020/03/TCZ-and-COVID-19.pdf
Bon, les experts gouvernementaux et propagandistes de la raie (publique), en plein syndrome respiratoire sévère, ne venez pas nous dire que pour vous c’est du « chinois », le documents est rédigé en « anglich’ » ...
(ping (at)SalomonJérôme, le Directeur Général de la Santé Effondrée)
Décryptage d’un sondage
Effondrement du moral parmi les personnes les plus précarisées : les « théories » des collapsologues l’avaient-elles anticipé ?
La France : patrie de la collapsologie ? | Fondation Jean-Jaurès
►https://jean-jaures.org/nos-productions/la-france-patrie-de-la-collapsologie
Si le sondage dégage une moyenne de 65 % de Français d’accord avec la théorie de l’effondrement, la proportion de ceux qui pensent que la civilisation va s’effondrer progresse à mesure que le niveau de vie diminue : 50 % des membres des catégories aisées adhèrent à la théorie, 61 % parmi les membres des classes moyennes supérieures, 64 % parmi ceux des classes moyennes inférieures, et le pourcentage culmine à 75 % parmi les catégories modestes, avant de légèrement redescendre chez les Français les plus pauvres de notre typologie en cinq tranches de revenus (64 % adhérent à cette thèse). Sur le plan éducatif, c’est parmi les sans diplôme (73 %) que l’adhésion est la plus forte. Nous verrons plus loin comment ces chiffres varient fortement en fonction des appartenances politiques mais, pour l’heure, il est important de noter que le portrait statistique qui se dégage de ces résultats issus d’un échantillon représentatif ne coïncide guère avec les enquêtes réalisées jusqu’alors auprès des milieux « collapsonautes », terme employé à propos d’individus qui sont non seulement convaincus de la menace, mais ont entamé une réorientation de leurs modes de vie pour mieux s’y préparer (ils se distinguent des « collapsosophes », plus portés sur le changement intérieur et spirituel, et des « collapsologues » à proprement parler, qui sont les théoriciens et les inventeurs de la collapsologie).
Dans la revue Yggdrasil cofondée par Pablo Servigne, une étude menée par trois enseignants membres de l’Obveco, l’Observatoire des vécus du collapse, auprès de participants à des forums Facebook collapso, aboutit au portrait suivant[2] : des hommes (60 %), urbains (65 %), « très diplômés par rapport à la population française et plutôt jeunes (entre trente-quatre et trente-huit ans de moyenne d’âge selon les études) », puisque « 85 % des collapsonautes ont suivi des études supérieures, voire très longues » et qu’« ils manipulent bien l’information scientifique et savent exercer leur esprit critique. » Ce collapso engagé est un « geek », écrivent encore les auteurs, « car ses connaissances sont très pointues pour un non-spécialiste ».
Nous analyserons plus en détail les distinctions entre collapsonautes et survivalistes dans la troisième partie. Mais le décalage entre le portrait-robot d’un collapsonaute (sur-)diplômé, (hyper-)informé et volontariste d’une part, et le niveau socioculturel des adhérents à la thèse de l’effondrement dans notre sondage peut s’expliquer de la manière suivante. Les collapsonautes engagés, qui fréquentent les plateformes et les lieux de débat et ont même engagé une transition, représentent une minorité éclairée très exposée médiatiquement, scrutée par les journalistes et les chercheurs. Notre enquête montre un mouvement plus souterrain et massif d’adhésion à la thèse de l’effondrement de la part d’une population qui vit ce risque sous l’angle d’une menace et qu’elle associe à une situation sociale et économique globalement « dominée », ou subie sans grande marge de manœuvre pour s’en extraire. Son adhésion signale l’impuissance plutôt que le volontarisme collapsonaute et ses accents scoutistes, qui sont le propre de cette minorité de décrocheurs ou décroissants volontaires. Il est par ailleurs peu probable que ce public économiquement fragilisé se définisse comme sympathisant de la « collapsologie », un terme que nous n’avons pas utilisé dans les questions du sondage.
#collapsologie #selon_une_étude #effondrement (récits de l’)
Ici aussi :
►https://seenthis.net/messages/827005
mais je laisse les deux parce que d’autres citations etc.
Scientists have shown the perfect way to make pancakes, and that has huge implications
▻https://massivesci.com/articles/making-perfect-crepes-simple-scientific-experiment-important-results
Some science is labeled "silly" by the media and politicians, but don’t be fooled — simple research is extremely important
Bon c’est bien tout ça, mais concrètement, je m’en fous des ponts et des circuits imprimés, moi je veux savoir comment on fait des crêpes parfaites !
L’étude est payante à lire :
▻https://journals.aps.org/prfluids/abstract/10.1103/PhysRevFluids.4.064802
Mais il y a un article résumé :
▻https://physics.aps.org/synopsis-for/10.1103/PhysRevFluids.4.064802
Right after placing the batter into the pan, incline the pan steeply in one direction so that the batter flows from the pan’s center to its rim. Next, rotate the inclined pan in a circle—this step ensures that the batter coats the pan’s full circumference. Finally, while continuing the circular motion, decrease the pan’s incline, filling in any holes, until the pan is horizontal and the batter is cooked.
C’est pas ce que tout le monde fait déjà ?
moi je veux savoir comment on fait des crêpes parfaites !
Je ne peux laisser ce cri du cœur sans réponse !
▻https://www.youtube.com/watch?v=6MgkY7ldNak
▻https://www.krampouz.com/actualites/fr/conseil/les-differentes-techniques-detalement-des-crepes
▻https://files.meilleurduchef.com/mdc/pdf/produit/kra/crepiere-gaz-krampouz-standard/notice_krampouz.pdf
Si avec ça tu es toujours perdu, je te filerai le numéro de mon frère :p
haha mais pour ça faut investir dans une crêpière plate, t’as un pourcentage c’est ça ? :D
hihi, j’ai justement hésité à préciser que je n’avais aucune part chez eux :p
PShame : je ne sais absolument pas me servir d’un billig.
C’est pas ce que tout le monde fait déjà ?
Sauf avec un galetier/billig de 10 kg.
#selon_une_étude_récente
#selon_une_étude_récente: Experimental replication shows knives manufactured from frozen human feces do not work - ScienceDirect
▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352409X19305371
The ethnographic account of an Inuit man manufacturing a knife from his own frozen feces to butcher and disarticulate a dog has permeated both the academic literature and popular culture. To evaluate the validity of this claim, we tested the basis of that account via experimental archaeology. Our experiments assessed the functionality of knives made from human feces in controlled conditions that provided optimal conditions for success. However, they were not functional. While much research has shown foragers to be technologically resourceful, innovative, and savvy, we suggest that this ethnographic account should no longer be used to support that narrative.