/sante

  • Soumission chimique par un proche : les signes qui doivent alerter
    https://www.bfmtv.com/sante/soumission-chimique-par-un-proche-les-signes-qui-doivent-alerter_AN-202305220

    Pour la docteure Ghada Hatem-Ganzer, fondatrice de la Maison des Femmes 93, il faut que le corps médical, soit en capacité de penser à la soumission chimique « chaque fois que les symptômes de nos patients nous semblent incompréhensibles, que ce soit de la fatigue, des pertes de mémoire, des difficultés à dormir ».

    https://sante.unistra.fr/soumission-chimique

    La soumission chimique est définie* comme l’administration à des fins criminelles (viols) ou délictuelles (violences, vols) de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace.
    Une consommation volontaire n’est pas considérée comme une soumission chimique. “L’administration” peut recouvrir divers procédés tels qu’ingestion, inhalation, inoculation.
    *Définition de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)

    #soumission_chimique

  • « On est dans le brouillard » : le difficile suivi de l’épidémie de Covid-19
    https://www.bfmtv.com/sante/on-est-dans-le-brouillard-le-difficile-suivi-de-l-epidemie-de-covid-19_AN-202

    Alors que le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, a indiqué dans une interview à La Montagne un taux d’incidence « autour de 41 nouvelles contaminations par jour pour 100.000 habitants », l’épidémiologiste Dominique Costagliola pointe le fait que ces chiffres ne correspondent pas à ceux de Santé publique France.

    « On ne nous communique pas le nombre total de tests réalisés, donc je ne vois pas comment on peut parvenir à estimer l’incidence. Ce qui me fait dire qu’on ne peut pas caractériser l’ampleur de la situation actuelle. »

    « On est plutôt dans le brouillard », nuance pour BFMTV.com Mircea Sofonea, chercheur et maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses à l’université de Montpellier. « Un brouillard qui s’est installé progressivement. » Car selon lui, avant même la disparition de Sidep et Sivic (pour les données hospitalières), « la visibilité sur l’épidémie était déjà moindre du fait de la baisse du dépistage ».

    Si cet épidémiologiste confirme que la reprise est attestée -"avec une incidence plus forte que certaines vagues précédentes"- il estime que les données actuelles comportent des biais, qu’elles sont trop parcellaires et ne se recoupent pas.

    « Si la situation se dégrade, on ne saura pas quel indicateur croire. »

    « Un risque de symptômes persistants »

    Pour contrer ce brouillard, il aurait fallu, selon Mircea Sofonea, mettre en place un système de substitution réactif de suivi ; comme cela a pu être fait dans d’autres pays avec notamment le dépistage aléatoire de la population. Mais il déplore le manque d’intérêt et d’investissements des autorités françaises dans le suivi et la surveillance du Covid. Lui-même voit ses demandes de financement refusées afin de poursuivre ses recherches.

    « Le problème du Covid, ce n’est plus la saturation des services de réanimation, bien que l’hiver dernier la situation ait été très compliquée dans les services pédiatriques. »

    « C’est le fait qu’on ait un virus qui circule, qui peut nous infecter plusieurs fois dans la même année, avec un risque non négligeable de symptômes persistants et invalidants. »

    Les infections répétées au Covid peuvent en effet présenter un risque accru de développer des problèmes cardiaques et pulmonaires, des affections cérébrales, des maladies rénales ou du diabète.

    • En fait, on est tellement dans le brouillard qu’on parle désormais de « suspicion Covid ». C’est ainsi que la semaine dernière, je fus « suspecté » par mon MT malgré un auto-test négatif. Faut dire que c’était à s’y méprendre au vu des symptômes. En outre, le dit toubib avait remis un masque (chirurgical). ...

  • #Covid-19 : le traitement antiviral #Molnupiravir ne réduit pas le risque d’hospitalisation ou de décès
    https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-le-traitement-antiviral-molnupiravir-ne-reduit-pas-le-risque-d-hospi

    C’était une étude très attendue. Publiée dans la revue scientifique The Lancet1, une étude menée par des chercheurs de l’université de l’Oxford s’est intéressée à l’efficacité du traitement antiviral Molnupiravir sur les adultes vaccinés vulnérables face au Covid-19.

    Selon les résultats, le Molnupiravir entraîne un rétablissement plus rapide chez les adultes vaccinés infectés par le Covid-19, par rapport aux individus qui n’ont pas reçu ce traitement.

    Toutefois, l’objectif principal de l’étude était de déterminer si le Molnupiravir réduisait le risque d’hospitalisation ou de décès. Sur cette hypothèse, les résultats sont négatifs.

    1 https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(22)02597-1/fulltext

  • Hospitalisations liées au Covid : Fontanet pointe le risque d’un « pic supérieur à celui d’avril »
    https://www.bfmtv.com/sante/hospitalisations-liees-au-covid-fontanet-pointe-le-risque-d-un-pic-superieur-

    S’agissant des hospitalisations en revanche, la donne est différente. « Selon les modélisations de l’Institut Pasteur, à s’attend à 1700 nouvelles admissions quotidiennes dans les hôpitaux à l’horizon du 18 juillet, contre autour d’un millier ces jours-ci. Cette trajectoire nous rapproche du niveau atteint au printemps avec le sous-variant Omicron, B.A.2. On pourrait même observer un pic supérieur à celui d’avril », marque ainsi ce membre du Conseil scientifique et chercheur affilié à l’Institut Pasteur.

    Hé mais c’est la semaine prochaine, ça.

  • Greffe historique de cœur de porc : l’organe de l’homme mort en mars était porteur d’un virus porcin
    https://www.bfmtv.com/sante/greffe-historique-de-coeur-de-porc-l-organe-de-l-homme-mort-en-mars-etait-por

    En janvier dernier, David Bennett a été transplanté avec un cœur de porc lors d’une opération réalisée aux États-Unis. Cette première historique a été saluée par le monde scientifique. Deux mois plus tard, le patient est finalement mort.

    Bartley Griffith, le chirurgien de David Bennett, a en effet expliqué la cause du décès dans un webinar relayé ce mercredi par le MIT Technology Review. Il a ainsi révélé que le cœur de porc transplanté était infecté par un cytomégalovirus.

    C’est dingue, c’est exactement (pas) le scénario de La main du diable (1942).

  • La « catastrophe perpétuelle » derrière nous ? Karine Lacombe « voit la porte de sortie » du Covid-19
    https://www.bfmtv.com/sante/la-catastrophe-perpetuelle-derriere-nous-karine-lacombe-voit-la-porte-de-sort

    Un virus désormais endémique

    Pour Karine Lacombe, la France entre dans une nouvelle phase de l’épidémie du fait d’une population largement immunisée par le vaccin ou la guérison au virus. « Il semble effectivement que le profil de l’épidémie change : celle-ci devient vraisemblablement endémique. » Autrement dit le Covid sera en permanence dans notre société mais nous pourrions vivre avec.

    « Aujourd’hui, pour l’heure, les signaux semblent plutôt positifs et malgré le très haut niveau de contamination, nous n’avons aucun indicateur qui soit au rouge à l’hôpital. »

    Est-ce donc le début de la fin du Covid ? « Il y a des signes assez parlant : (à l’hôpital) le Covid est entré dans une espèce de... routine », estime-t-elle."Nous n’avons plus désormais de secteur qui lui soit spécifiquement dédié (...) On est en train de sortir de l’exceptionnalité Covid, et ça c’est extrêmement important.

    Si c’est pas totalement saturé 6 mois sur 12, c’est que tout est sous contrôle. Après tout.

  • Un seul autotest sera désormais exigé au lieu de trois
    https://www.bfmtv.com/sante/en-direct-decrue-d-omicron-protocole-sanitaire-a-l-ecole-allege-suivez-l-actu

    Le sport pourra à nouveau avoir lieu en intérieur et sans masque « sauf les sports de contact », a argué Jean-Michel Blanquer.

    « Ce sont des allégements conséquents et encore une fois je m’en réjouis », a-t-il ajouté.

    Également, un seul autotest sera désormais exigé au lieu de trois actuellement, pour les élèves cas contacts. L’attestation sur l’honneur des parents ne sera plus exigée.

    Pffff…

  • Covid-19 : le masque ne sera plus obligatoire dans les lieux clos soumis au pass vaccinal
    https://www.bfmtv.com/sante/en-direct-decrue-d-omicron-protocole-sanitaire-a-l-ecole-allege-suivez-l-actu

    Le masque ne sera plus obligatoire dans les lieux clos soumis au pass

    Quelques minutes après avoir annoncé un nouveau protocole sanitaire à l’école, le gouvernement a indiqué qu’à partir du 28 février, le masque ne sera plus obligatoire dans les lieux clos soumis au pass vaccinal.

    L’anti-science jusqu’au bout, donc.

  • Covid-19 : pourquoi la Seine-Saint-Denis a-t-elle le taux d’incidence le plus faible de métropole malgré une faible couverture vaccinale ?
    https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-pourquoi-la-seine-saint-denis-a-t-elle-le-taux-d-incidence-le-plus-f

    « C’est le taux le plus faible de vaccination en France, mais (cette forte diminution du taux d’incidence) est presque un juste retour des choses puisque c’est la région qui a été la plus touchée au moment des grandes vagues précédentes », explique le docteur Alain Ducardonnet, consultant santé pour BFMTV.

  • Véran et Delfraissy, deux grands comiques dans la Pandémie !

    — Pour #Delfraissy, qui confesse qu’il ne « devrait pas dire ça », les nouveaux vaccins anti-covid sont quand même « très particuliers »https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-
    On ne le sait pas. Il y a une diminution de la protection avec le temps” pour Jean-françois Delfraissy. “Ce vaccin est très particulier, c’est un vaccin-médicament. Il protège contre les formes sévères et les formes graves, et ça n’a pas été assez dit

    –- Pour #Véran, dont la théologie byzantine évolue de jour en jour, il n’est finalement plus nécessaire de faire une injection post-infection au bout 4 mois (qui était pourtant vitale la semaine dernière !)
    https://www.bfmtv.com/sante/pass-vaccinal-olivier-veran-annonce-qu-une-injection-equivaut-a-une-infection

    –- D’ailleurs, pour Delfraissy auditionné au Sénat, ces injections répétées pourraient bien déclencher des maladies auto-immunes, on ne sait pas trop, « on n’a jamais fait ça ! »

    "la vaccination peut être un facteur de génération de maladie auto-immune chez une personne prédisposée. Est ce que les vaccins répétés pourraient induire des phénomènes d’auto-immunité plus fréquents ? Je ne sais pas" !

    https://twitter.com/B_Stiegler/status/1489701674746884102

  • Covid-19 EN DIRECT : « Cette vague sera la dernière avec autant de restrictions », assure le patron de Pfizer...
    https://www.20minutes.fr/sante/3218039-20220117-covid-19-direct-pass-vaccinal-adopte-france-promulgation-

    Les efforts de Pékin pour éradiquer le variant Omicron à trois semaines des Jeux olympiques d’hiver semblent vains. Avec 223 nouveaux cas signalés lundi, la Chine a atteint son plus haut niveau depuis mars 2020.

    On en a 1000 fois plus et on crie victoire, mais ça permet d’annoncer la défaite des Chinois simultanément.

    #propagande_de_crétins

  • Je fais le pari que la focalisation d’une partie des enseignants sur les masques FFP2, ça va donner ça : jeudi soir, si la grève est très suivie, Blanquer annoncera royalement qu’il a « entendu » les revendications, et hop, il va faire distribuer des masques FFP2 aux enseignants, et voilà, retournez au travail maintenant.

    • je ne crois pas. 55 millions de FFP2 par mois sans techniques de réemploi, jamais l’État n’aurait fait autant pour l’équipement des profs et autres personnels, bordel logistique e problème d’approvisionnement à la clé. ça douille, et un tel précédent serait utilisé ailleurs par les salariés (les syndicats de l’enseignement supérieur ont attendu hier pour se joindre vaguement à la grève du 13 ; je suis pas du tout certain que des concessions fassent un effet canadair suffisant).
      admettons que cette fourniture de moyens ait lieu, la gestion de l’école resterait celle d’une halte garderie manquant de souplesse au vu des fluctuations des effectifs dues à la pandémie et aux « protocoles ».

      par ailleurs, quoi de mieux qu’une grève pour diffuser massivement une attention collective à la réduction des risques. pour l’instant c’est la meilleure des campagnes de prévention qui soit. une victoire en soi.
      #école #EPI #masques #FFP2 #grève #réduction_des_risques

    • J’ai une amie directrice en maternelle qui ne fait pas la grève parce que ses collègues ne la feront pas, et parce que les parents n’imaginent même pas que l’école puisse fermer.

      Les conditions d’hygiènes dans les zoos sont plus drastiques que dans nos écoles.

      Ils ne feront rien de collectif, ne prendront aucune responsabilité, laisseront tout le monde se débrouiller. Leurs objectifs ne sont pas déterminés en fonction de l’état de santé du troupeau, mais en fonction de sa docilité. Le fascisme est là, et il faudrait, donc, vivre avec. La journée du 13 janvier va hélas être très vite oubliée. En février, on aura les dizaines de PIMS chez les gamins, mais il n’y aura que quelques spécialistes sur les réseaux pour partager les courbes démontrant l’affluence. Les parents seront laissés à leur solitude face aux soignants exaspérés.

      Comme l’an dernier. Des dizaines d’avions qui se crashent, et personne pour réagir officiellement. Parce que dans ces avions, il n’y a que des « rien ». Les vrais avions contiennent des « vrais gens importants », les règles de sécurité ne sont pas identiques.

      Certains font la fine bouche, quand on utilise l’expression #surnuméraires. Mais comment qualifier les victimes de cette non-stratégie de l’immunité collective qui décide de sacrifier tout ce qui est naturellement immunodéprimé ?

    • je ne doute pas que tu soit favorable à cette grève arno ! il s’agit simplement d’échanger à propos de sa signification, de sa portée. que des acteurs centraux de cette usine qui voit passer 20% de la population au quotidien, les profs, défaits politiquement en 2003, mettent, 19 ans plus tard ! un tant soit peu en jeu leur existence, débanalisent (?) la grève de 24h (...), cela peut avoir des effets en cascade. que foutent les étudiants, les lycéens, les chômeurs et précaires, et les « garantis » (sur siège et éjectable et managés à mort) ? la question pourrait se poser dans des termes nouveaux.

      c’est une lecture « léniniste » si on veut (faire de la guerre impérialiste le moment d’une révolution) au ras des comportements d’abstention et de refus : à quel moment et comment la forme capitaliste de la crise peut elle être renversée en crise politique pour le capital.
      que l’évènement, la pandémie, et sa normalisation, sa gestion pandémique, passe à l’histoire, soit l’occasion d’un partage, d’une division politique.

      #luttes

    • Je suis assez persuadé que ce gouvernement a des sondages et analyses qui lui indiquent que son électorat potentiel pour les prochaines élections, ce sont des gens qui veulent « la garderie à tout prix », et n’en ont rien à carrer des mesures de protections (on dit « restrictions ») : les gens vaccinés ne risquent rien avec Omicron, et pour les enfants Omicron c’est rien qu’un rhume. Les gens précautionneux et informés, je pense que ça fait longtemps que la Macronie fait une croix dessus. Et de toute façon l’extrême-droite est encore plus covidiote. Donc inutile d’aller dans le sens des gens qui portent déjà un masque FFP2 et qui sont scandalisés par la gestion des écoles en mode YOLO : ceux-là ils lisent déjà Christian Lehmann dans Libé, ils sont clairement perdus pour le premier tour de prochaine élection, et de toute façon au deuxième tour contre Marine, ils voteront pour qui ils veulent, mais ils voteront Macron.

      Entre la sortie insupportable de Macron qui « a très envie d’emmerder » les non-vax, le protocole scolaire qui s’« allège » tous les deux jours parce que « trop contraignant » pour les parents, ou encore l’imposition que les deux parents soient OK pour vacciner les 5-11 ans, il me semble clair que le gouvernement a fait le choix tout à fait clair que sa cible électoral, ce sont les gens qui « en ont marre », sont vaccinés et pensent qu’ils ne risquent rien avec Omicron, sont bien persuadés que c’est la dernière vague, les enfants faut les laisser respirer, et puis merde, il est temps qu’on passe en mode « endémie » quoi qu’il en coûte.

      Filer des masques FFP2, c’est pas infaisable : ils ont largement été capables de distribuer des masques en tissu modèle slip-kangourou à tous les élèves et enseignants, donc je ne vois pas de grosses difficultés logistiques. À mon avis leur vraie crainte, c’est que céder sur le FFP2 banalise l’idée de la transmission par aérosols, et ça c’est disruptif pour toute l’économie. Je pense même que pour le coup, si c’est annoncé jeudi il y a moyen de faire passer en sous-texte l’idée que « en fait c’est pas vraiment prouvé, en fait c’est pas officiellement recommandé, continuons à parler de gouttelettes même à propos de aérosols, et si on leur file des FFP2, c’est juste pour calmer ces fainéants d’enseignants islamo-wokistes ». Et ainsi totalement invalider le fond de la revendication.

      Une journée de grève alors qu’on est déjà habitués à 300 morts par jour sans bouger le petit doigt, et précédemment des énucléations et des amputations de manifestations tous les samedis pendant des mois, même si je soutiens le mouvement des profs, j’ai proche de zéro espoir que ça fasse bouger quoi que ce soit.

    • Et c’est même à cela qu’on les reconnaît :
      https://www.bfmtv.com/sante/en-direct-nouveau-protocole-scolaire-pic-d-omicron-suivez-l-actualite-de-l-ep

      « Je sais qu’il y a beaucoup de fatigue, de nervosité. J’en appel au sang-froid, à l’unité, mais aussi à ne pas confondre les sujets. [...] C’est dommage d’avoir une journée qui va perturber davantage le système », a réagi sur BFMTV Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale.

    • Moi c’est vrai que ça me complique. Normalement vendredi je devrais faire les autotests J+4 à mes trois enfants. Mais si le jeudi y’a pas classe, logiquement il n’y a pas d’incrémentation du « J », est-ce que je dois repousser les autotests du vendredi au lundi suivant ?

    • ça me semble plus fondamental que ces calculs électoraux (qui valent une hausse de 10 milliards du budget police sur 5 ans et tant d’autres annonce, mesures, etc). c’est chaque jour, en toute occasion, et au travers mille péripéties que doit se réinstaurer la légitimité de nos démocraties représentatives, antées sur un principe aristocratique (l’élection), et désormais vouées à un mouvement de dé-démocratisation (Wendy Brown).

      je dis cela aidé pour partie par l’audition pendant une sortie aux courses de Présidentielle : le vote, un acte en voie de disparition
      https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-idees/vincent-tiberj-et-marie-neihouser


      #abstention-janus #intermittence_du_vote #grève_des_électeurs #abstention_civique #politique

      on a joué avec les protocoles de manière à faire désirer l’école garderie sans précaution aux parents (la dénégation est l’affect qui sert d’appui politique) histoire de couper au mieux l’herbe sous le pied à des jonctions possibles. c’et un travail de police au sens où l’emploie Rancière : assigner chacun à une place (ce qui englobe le « diviser pour régner » standard).

      gouverner est une activité contre révolutionnaire. l’exemple que je connais le mieux c’est celui de Jospin en 1998 contre les mouvements de précaires : "je préfère une société de travail à l’assistance" comme signe adressé aux smicards qui se lèvent tôt, à l’inverse des feignasses d’assistées pleureuses qui avaient osé agir partout par des centaines d’occupations pour se voir garanti un revenu dont il était dit qu’il ne devait pas être inférieur au SMIC mensuel.
      la « déclaration d’amour » aux travailleurs pauvres qui sont pourtant aussi pour partie les mêmes que ceux qui chôment par moments plus ou moins durables ou par intermittence a tout bonnement formalisé la néantisation de la révolution, jusqu’à déféquer sans gène et sans qu’aucun témoin ne le relève sur un préambule de la Constitution, trace de la Révolution française, où l’assistance était définie comme un devoir sacré de la société.

      logistiquement, cela reste plus compliqué de filer des masques à usage unique que les meilleurs intissés lavables (de 10 à 100 fois) ou les pires masques slips, du moins tant que la critique en acte de la gabegie (réemploi de trucs pas fait pour ça, suite aux innovations lancées par 3M dès les années cinquante pour en finir avec les masques réemployables) ne diffuse pas davantage. et ça c’est pas du ressort de l’État (trie tes déchets, fais pipi sous la douche, et ne nous emmerde pas avec les dispositions collectives, du coté de l’industrie, de l’agriculture, des transports, de la santé, et surtout ! de la décision)

      ils auront tout fait : anti masques à répétition ; anti vax à leur façon Mc Kinsey : sabotage de la campagne de vaccination, moralité, ressentiment, et avec la foule des préposés à la diffusion de la trouille et de la confusion qui font la sous traitance des tâches les plus avancées, en intérim dans les média, sur les réseaux asociaux, et parmi les médecins, pharmaciens, infirmiers) ; anti-tests, du ni tester, isoler, tracer à la multiplication des tests au pif (c’est comme les masques dehors, on nous fatigue tous à faire nawak et ça donne l’impression que le sommet fait quelque chose : ici les auto-tests qui cassent à nouveau et autrement l’un des instruments de mesure de la situation) pour finir par « l’attestation »

      edit je crains au contraire que les employés de l’enseignement ne soient pas assez focalisés sur le FFP2 car si il y a des endroits (le 93, par exemple) ou la question des moyens se posent y compris pour les parents d’enfants scolarisés dans le public (les remplacements, au premier chef), l’alliance Parents/employés due l’éducationnel not n’a rien d’évident si il ne s’agit « que » des moyens de l’éduc. nat, dont les salaires de merde, sauf qu’il s’agit d’une situation si commune, y compris chez des bac + N que ça passe pas si facilement de l’appuyer pour craints et pas pour tous, pas si facilement de se dire qu’épauler ceux qui luttent et pourraient gagner puisse être un préalable pour que d’autres s’engouffrent dans la brèche.

      ceux qui gagnent plus peuvent plaindre les profs, mais avant tou ils les méprisent comme tout ce qui vaut moins qu’eux.

      on nous apprend à avoir peur de la dégringolade sociale, ça se conjure à coup de position altière pour qui est juste en dessous, ça permet de arquer la distance, et puis on les hais car ils ont gardé ce qu’on a perdu : quelque chose qui pourrait ressembler à la durée des vacances scolaires d’autrefois, avec trois thunes pour les prendre. on les hais parce que l’avenir des enfants, une vie, dépend de leurs notes, de leur rôle d’évaluateurs. et que partout on est soi même évalué. ces minables diplômés sous payés ont trop de pouvoir, trop de loisirs (peu importe le temps passé hors cours, on veut pas le savoir).

      #gouverner #tests

  • Autotests, attestation... Les détails du nouveau protocole sanitaire dans les écoles
    https://www.bfmtv.com/sante/autotests-attestation-les-details-du-nouveau-protocole-sanitaire-dans-les-eco

    · Trois autotests suffisent

    Depuis le 3 janvier dernier, dès qu’un cas de Covid-19 est détecté dans une classe, chaque élève de la classe devait se faire tester trois fois : un test PCR ou antigénique à J0, puis des autotests à J+2 et J+4. Désormais, un simple autotest suffit à J0. Il devra toutefois toujours être renouvelé à J+2 et J+4.

    · Un enfant à venir chercher à la fin de journée

    Autre nouveauté, les parents ne seront plus obligés de venir chercher immédiatement leur enfant dès qu’il est déclaré cas contact. Désormais, ils peuvent attendre la fin de journée et la fin des cours pour le faire.

    · Une seule attestation sur l’honneur

    Les parents devaient, à chaque autotest, attester sur l’honneur du résultat négatif de leur enfant. Désormais, une seule attestation sur l’honneur, certifiant que le premier autotest est négatif, sera demandée pour un retour en classe.

    · Ce qui ne change pas...

    Un point du protocole ne change pas : celui correspondant au dernier assouplissement en date, qui exempte de tests pendant 7 jours les élèves s’étant déjà plié au cycle complet J0/J+2/J+4 en raison de la contamination d’un autre enfant de la classe. Concrètement, cela signifie que sur une même période de 7 jours, un élève n’est pas considéré comme cas contact de chaque camarade infecté, mais uniquement du premier.

    Et bientôt le nouveau nouveau nouveau protocole : pas de protocole.

  • Masques #FFP2 : le Haut Conseil de la santé publique se prononcera vendredi sur sa généralisation
    https://www.bfmtv.com/sante/masque-ffp2-le-haut-conseil-de-la-sante-publique-se-prononcera-vendredi-sur-s

    la question de distribuer des masques anti-Covid-19 FFP2 aux agents du service public est évoquée, Jean Castex a promis sur BFMTV-RMC ce jeudi a minima de fournir en masques chirurgicaux « tous les personnels enseignants d’ici la fin du mois ».

    #santé_publique

    • Covid-19 : face au variant Omicron, faut-il généraliser le port des masques FFP2 ?

      (...) Olivier Véran [qui joue les l’imbéciles, ndc], a dit avoir demandé l’avis du Haut Conseil de la santé publique « sur la question des masques FFP2, notamment des soignants, compte tenu de la très forte circulation du variant Omicron et de manière à éviter les paralysies dans certains services totalement essentiels ». A l’hôpital, le masque FFP2 est essentiellement utilisé dans les services accueillant de nombreux malades du Covid-19, en réanimation ou au bloc chirurgical.

      A l’origine réservés aux professionnels de la santé notamment, ces masques sont aujourd’hui vendus en pharmacies ou dans le commerce. Certaines personnes, à risque ou simplement plus inquiètes du virus, en portent déjà.

      (...) Le masque chirurgical – le plus répandu actuellement – a, lui, l’inconvénient de ne pas être hermétique [dit Le Monde qui joue les imbéciles, ndc] . Assez lâche, il peut laisser passer de toutes petites gouttelettes ou [peut-être même....] des aérosols qui peuvent rester dans l’air lorsqu’un lieu est mal aéré. Il est par ailleurs conseillé de le changer toutes les quatre heures, contre huit pour un FFP2.

      [Mais l’imbécile finit par lâcher le morcif] Une étude parue le 7 décembre dans la revue PNAS [avant , on a rien vu rien entendu, pas cherché à comprendre la différences entre les masques] a confirmé l’efficacité des FFP2 pour se protéger contre le virus et protéger les autres. Selon les chercheurs des universités de Göttingen (Allemagne) et de Cornell (Etats-Unis), si une personne non infectée par le SARS-CoV-2 porte un masque chirurgical lors d’une discussion avec une personne infectée, non masquée, et à une distance de 1,50 mètre, le risque maximal d’infection atteint 90 % après trente minutes. Avec un masque FFP2, ce risque baisse à près de 20 %, même après une discussion d’une heure. Si les deux personnes portent un masque chirurgical, le risque maximal est inférieur à 30 %, même après une heure. Mais si les deux individus portent un masque FFP2 correctement ajusté, alors ce risque tombe à 0,4 % au maximum.

      [...] « Attention à la fausse sensation de sécurité, il ne faut pas en faire une solution miracle qui conduirait à un relâchement des autres gestes barrières », nuance Pierre Parneix, médecin en santé publique et président de la Société française d’hygiène hospitalière. Il craint notamment que l’on jette le doute sur le masque chirurgical, tout de même efficace.
      Comme M. Parneix, Pascal Crépey est plutôt réticent à l’idée d’une généralisation du FFP2 dans tous les lieux recevant du public. L’enseignant-chercheur en épidémiologie et biostatistiques à l’Ecole des hautes études en santé publique, à Rennes, considère que ce masque est trop contraignant pour être accepté et correctement porté par la population. « Quand il est bien porté et donc bien étanche, on peut facilement se sentir opprimé : on respire moins bien, on peut avoir envie de l’enlever à la longue. » M. Crépey redoute que le bénéfice du port d’un masque plus protecteur soit gommé par le risque que les gens « le portent sous le nez ou sous le menton ». Auquel cas, cela n’apporterait qu’un bénéfice incertain en matière de lutte contre l’épidémie.

      [...] En janvier 2021, la direction générale de la santé affirmait à LCI que Santé publique France avait en sa possession – en plus des stocks gérés par les établissements – 406 millions de masques FFP2, « soit 203 % du stock cible correspondant à trois semaines de crise épidémique ».

      https://justpaste.it/90dpt

    • « Certaines personnes, à risque ou simplement plus inquiètes du virus, en portent déjà. »

      Là aussi ils jouent fort honorablement aux imbéciles.

      « Quand il est bien porté et donc bien étanche, on peut facilement se sentir opprimé : on respire moins bien, on peut avoir envie de l’enlever à la longue. »

      Heu, je pige pas bien là. Je ne sais pas si c’est moi mais bien au contraire depuis la rentrée je porte exclusivement des FFP2 et je trouve qu’on respire vachement mieux dedans, parce que justement une fois bien ajusté on respire à travers une paroi qui filtre, pas devant un truc qui se colle à ta gueule quand tu inspires.

      Ils ont du bien le chercher celui là pour balancer ce genre d’avis qui rappelle étrangement les premiers arguments du gouvernement sur le fait que "les gens ne sauront pas s’en servir".

    • mais c’est une position très partagée. même avec la pandémie, même avec la contagiosité de Omicron, la Société Française d’Hygiène Hospitalière « ne recommande pas le port de masques FFP2 par tout professionnel des établissements de santé et médico-sociaux car il demande une adaptation à la morphologie du visage pour une bonne efficacité . »
      https://www.hospimedia.fr/actualite/articles/20220104-equipement-le-port-du-masque-ffp2-n-est

      comme si avec des masques chirurgicaux qui protègent moins, les fuites du coté des arrêtes nasales et sur les cotés du masques n’étaient pas un souci qui peut demander des adaptations.

      on connait bien ces conneries de sachants professionnels. les médecins ont longtemps refusé d’admettre la nécessité du lavage de mains pratiqué par les sages-femmes, par exemple.

  • Ah, apparemment, Blanquer trouve son nouveau protocole est encore trop contraignant…
    https://www.bfmtv.com/sante/en-direct-rentree-scolaire-sous-omicron-nouvelles-regles-d-isolation-suivez-l

    « Dès que ce sera possible, nous allégerons les protocoles sanitaires », déclare Jean-Michel Blanquer

    Interviewé sur LCI, Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale, a estimé que le nouveau protocole sanitaire à l’école durerait « vraisemblablement » tout le mois de janvier.

    « On a le sentiment que le pic est pour bientôt, donc dès que ce sera possible, nous allégerons les protocoles sanitaires », a déclaré le ministre.

    • « sentiment », « je le sens », « j’ai l’impression », ce sont des formules que j’entends sans cesse sur ces questions, irl et au plus proche. on a pas La Boétie 2.0 sous la main (juste le plus souvent des caricatures du premier), mais c’est plus moche encore qu’un ministre.

      alors que ...

    • Ecole et Covid-19 : « Jusqu’à quand tiendra-t-on comme ça ? »

      Au premier jour de la rentrée, lundi, les directeurs et chefs d’établissement comptent déjà des absents, aussi bien chez les personnels que chez les élèves.

      « Jusqu’ici, ça peut aller » : c’est le constat qui remontait de bon nombre d’écoles, lundi 3 janvier, jour de la rentrée des classes. Avec la volonté mise en avant par la plupart des enseignants contactés de « tenir à distance » les pronostics épidémiologiques les plus sombres – jusqu’à un tiers d’entre eux pourraient être touchés par le Covid-19, d’ici à la fin janvier, selon le conseil scientifique. Sans y parvenir vraiment : « Face à une doctrine sanitaire qui fluctue, on va gérer au jour le jour, mais cette rentrée est fragile », témoigne Hervé Lalle, directeur d’une école maternelle à Paris. Sans doute l’« une des plus fragiles » qu’il ait eu à orchestrer en deux ans de crise sanitaire et trente ans de carrière.

      Pas de « scénario catastrophe » à ce stade, tempère ce syndiqué au SE-UNSA : s’il a dû faire la rentrée avec deux professeurs (sur six) en moins – « tous deux covidés » –, l’un devait revenir dès mardi. L’autre, qui enseigne dans une unité pour enfants autistes, est secondé par des éducatrices spécialisées. « Elles prendront le relais et tiendront la semaine », espère-t-il.

      « Tenir. » C’est aussi le mot qu’emploie Ida (elle a requis l’anonymat), à la tête d’une autre école parisienne. Elle l’utilise, toutefois, sur le mode interrogatif : « Jusqu’à quand tiendra-t-on comme ça ? » Sa rentrée ne s’est pas trop mal passée, concède la directrice chevronnée : « Toutes les collègues sont là aujourd’hui, cinq enseignantes sur cinq, et c’est une chance. Mais est-ce qu’avec Omicron, on ne va pas toutes y passer ? C’est la question qu’on a bien en tête. » Suivie d’une autre : « Que fera-t-on de nos élèves, si on tombe malade et qu’on ne peut pas les répartir dans les classes ? »

      « On joue sur les mots »

      C’est l’une des inflexions apportées au protocole sanitaire ce 3 janvier : si les classes ne ferment plus, et que les écoliers peuvent y revenir en présentant trois tests négatifs successifs, ces mêmes écoliers ne pourront pas, toutefois, passer la journée dans une autre classe que la leur si leur maître ou leur maîtresse est à son tour contaminé. Face à cette équation compliquée, l’institution a pris un engagement : accroître ses capacités de remplacement. Celles-ci vont « passer de 9 % [de la totalité des effectifs des professeurs des écoles] à 12-15 % selon les académies », a promis M. Blanquer dans l’entretien donné au Parisien, lundi. Mais sur le terrain, on se demande où trouver les volontaires.

      Marie-Hélène Plard, qui dirige une école à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), en a fait l’expérience ce lundi de reprise. Avec deux enseignantes – sur six – absentes, il lui a fallu renvoyer à la maison près de cinquante élèves. Elle avait pris sur elle d’écrire aux parents dès dimanche. La plupart se sont pourtant présentés, à 8 h 30. « Les écoles ouvertes, ils prennent ça comme une garantie, note cette syndiquée au SNUipp-FSU. Officiellement, les classes ne ferment pas, mais pour les familles, le résultat est le même : l’école n’est pas en mesure d’accueillir leurs enfants. On joue sur les mots ! »

      A J + 1, au ministère de l’éducation, on communique avec prudence sur ces absences. « On disposera peut-être d’une première estimation chiffrée en milieu de semaine, pronostique-t-on – alors qu’un conseil de défense est prévu le 5 janvier. Mais pas avant, aussi parce que les directeurs et les chefs d’établissement ont été dispensés des tâches administratives [dont ces remontées chiffrées font partie] pour se concentrer sur la gestion de la crise au quotidien. »

      Pas de chiffres non plus de la part des syndicats d’enseignants, mais ils ont reçu, au fil de la journée, les « premières alertes » : dans deux des trois circonscriptions de Saint-Denis, le SNUipp-FSU a recensé une cinquantaine de classes sans professeur, pas uniquement du fait du Covid-19. Son antenne marseillaise rapporte une « situation tendue » dans deux écoles des Bouches-du-Rhône, où quatre enseignants sur sept ont été testés positifs dans l’une, trois sur quatre dans l’autre. Les élèves aussi manquent à l’appel, rapportent les équipes, parfois « par dizaines ». « Des élèves exposés au Covid-19 lors des réunions familiales de fin d’année, mais aussi des enfants dont les parents préfèrent attendre une semaine avant de nous les ramener, rapporte Mme Plard, histoire de voir comment l’école gère… »

      Dans les collèges et les lycées, aussi, on compte les premiers absents. Ils seraient entre cinq et dix personnels par établissement, selon le SNPDEN-UNSA, syndicat de proviseurs, qui évoque aussi 10 % d’élèves non revenus. Dans un « gros lycée » des Yvelines, sept professeurs sont absents, « les collègues ont du mal à obtenir des créneaux pour se faire tester, rapporte Catherine Nave-Bekhti du SGEN-CFDT, d’autres absences sont à prévoir ». Autre exemple : celui d’une cité scolaire de l’académie de Créteil qui fait sa rentrée avec quinze professeurs absents non remplacés. « Cela risque de monter dans la semaine », redoute Sophie Vénétitay du SNES-FSU, en faisant état d’une réunion prévue pour faire un « point sanitaire » ce jeudi, avec le ministère.

      Dans sa petite école de deux classes dans le centre de la France, Céline (elle a requis l’anonymat) a comptabilisé ce lundi « tout le monde de présent », côté élèves comme côté enseignants. Mais son optimisme est relatif : « Vous y croyez, à ce zéro [cas] positif, après les fêtes ? Je comprends surtout que le but, en cette rentrée, n’est pas du tout de freiner la vague, et que nos dirigeants pensent qu’Omicron n’est pas grave. » Et de conclure : « Il ne nous reste qu’à espérer qu’ils aient raison. »

      https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/01/04/ecole-et-covid-19-jusqu-a-quand-tiendra-t-on-comme-ca_6108093_3224.html

      #école

  • Couvre-feu, rentrée, isolement… Les pistes de l’exécutif pour freiner le variant Omicron
    https://www.bfmtv.com/sante/couvre-feu-rentree-isolement-des-cas-contacts-les-pistes-de-l-executif-pour-f

    L’exécutif pourrait en revanche opter pour un durcissement de la doctrine pour protéger les enfants avec par exemple une accélération de la vaccination et le renforcement du protocole sanitaire à l’école.

    Par « durcissement de la doctrine », qu’est-ce que vous voulez dire ? Rétablir les punitions corporelles pour les enfants cas contact (mais ça dépend, est-ce que les coups de règle en fer sur les doigts c’est assez « dur » ?) ? Ou bien interdire totalement l’absence des enfants, sauf pour ceux ayant un certificat d’admission en réanimation ?

    Et par « accélération de la vaccination », pour mes enfants, vous parlez de quoi ? Parce qu’avant d’« accélérer », il faudrait déjà que…

    (J’adore ces titres d’articles et ces « pistes » totalement orwelliennes.)

  • Hier en France : « Nous atteignons le pic » de l’épidémie de Covid, selon Olivier Véran
    https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20211212.OBS52093/nous-atteignons-le-pic-de-l-epidemie-de-covid-selon-olivier-veran.html

    « Nous avons dépassé en début de semaine les 70 000 diagnostics en 24 heures, du jamais-vu depuis le début de la pandémie dans notre pays. Mais, depuis une dizaine de jours, on constate un début de ralentissement de la vague épidémique », explique-t-il, assurant que « selon toute vraisemblance, nous sommes en train d’atteindre le pic » de l’épidémie de Covid-19.

    Aujourd’hui en Angleterre : Un "raz-de-marée" ? Ce que représente le variant Omicron au Royaume-Uni
    https://www.bfmtv.com/sante/un-raz-de-maree-ce-que-represente-le-variant-omicron-au-royaume-uni_AN-202112

    Le Premier ministre Boris Johnson a parlé dimanche d’un « raz-de-marée », son ministre de la Santé d’un taux de propagation « phénoménale, jamais vu auparavant ». La diffusion du variant Omicron effraie les autorités britanniques qui ont déploré ce lundi un premier mort.

  • #Covid-19 : Lila Bouadma, du Conseil scientifique, s’attend à « 50.000 contaminations d’#enfants par jour » à la rentrée
    https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-lila-bouadma-du-conseil-scientifique-s-attend-a-50-000-contamination

    [La] forme longue de la maladie pourrait […] être un problème majeur chez cette catégorie d’âge. "Même si on imagine que c’est moins et qu’il y a 4 à 10% qui font des #Covid_long, ça fait des conséquences pour ces enfants…

    #post_covid