• Eurovision 2024 : Israël menace de se retirer si on lui demande de changer sa chanson, jugée trop politique
    https://www.francebleu.fr/infos/international/eurovision-2024-israel-menace-de-se-retirer-si-on-lui-demande-de-changer-

    « Si une chanson est jugée inacceptable pour quelque raison que ce soit, les radiodiffuseurs ont la possibilité de soumettre une nouvelle chanson ou de nouvelles paroles, conformément au règlement du concours », a toutefois souligné l’UER. La KAN a déclaré cette semaine qu’elle était « en discussion » avec l’UER au sujet de la participation du pays à l’Eurovision. Mais elle a également prévenu qu’elle n’avait « pas l’intention de remplacer la chanson ». « Cela signifie que si elle n’est pas approuvée par l’UER, Israël ne pourra pas participer au concours », a-t-elle ajouté.

  • Deux journalistes publient une enquête qui révèle les liens entre Nice et Israël en matière de sécurité
    Mercredi 19 janvier 2022 à 10:47 - Par Fabien Fourel, France Bleu Azur
    https://www.francebleu.fr/infos/international/deux-journalistes-publient-une-enquete-qui-revele-les-liens-entre-nice-et

    Nice et ses relations avec Israël. Deux de nos confrères, Christian Chesnot, journaliste au service international de Radio France, et Georges Malbrunot, grand reporter au Figaro, viennent de publier un livre aux éditions Michel Lafon. Dont un chapitre est consacré aux relations entre la France et Israël. Plus précisément, ils reviennent sur les liens entre Christian Estrosi et l’État Hébreux en matière de sécurité, de cybersurveillance. Le titre de cet ouvrage : « Le déclassement français. Elysée, quai d’Orsay, DGSE : Les secrets d’une guerre d’influence stratégique ».

    https://www.francebleu.fr/player/export/reecouter/extrait?content=c49f3940-e589-45a7-84b1-aaf77504035f (...)

  • Fusée hors de contrôle : à quoi s’attendre ? - Monde - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/monde/fusee-hors-de-controle-a-quoi-s-attendre-08-05-2021-12746683.php


    La fusée chinoise « Tianhe » (« Harmonie Céleste ») a été lancée le 29 avril.
    AFP

    Une fusée chinoise doit faire, ce week-end, son retour incontrôlé dans l’atmosphère terrestre. Pourquoi ? À quoi s’attendre ? Est-ce une première ? Réponses.

    1 Que se passe-t-il ?
    Le 29 avril, la Chine a lancé le premier élément de sa future station spatiale, « Tianhe » (« Harmonie Céleste »), avec la fusée Longue-Marche 5B. C’est le premier étage de ce puissant lanceur qui revient en ce moment vers nous. Sa trajectoire est hors de contrôle, non pas à cause d’une panne ou d’un incident inexpliqué, mais parce que ses concepteurs ont prévu, dès le départ, que le retour de l’engin se ferait de façon « naturelle ». Ils tablent sur une désintégration dans l’atmosphère. Depuis une orbite basse - là où vole le lanceur chinois -, les fusées retombent d’elles-mêmes, en raison du frottement de l’atmosphère, qui contribue à les consumer presque entièrement. Mais avec sa masse (entre 10 et 18 tonnes), il est peu probable que l’étage de Longue-Marche se consume entièrement, relèvent les experts. « Il y a forcément de gros morceaux qui resteront », anticipe Florent Delefie, astronome à l’Observatoire de Paris-PSL. De plus, « si la fusée est formée de matériaux qui ne se désagrègent pas en rentrant dans l’atmosphère, c’est plus risqué. Ce qui semble être le cas pour Longue-Marche », relève-t-il.

    2 Quels scénarios peut-on prévoir ?
    Vu son altitude - entre 150 et 250 km -, il est très difficile d’anticiper. De ce fait, « on ne peut pas savoir exactement à quel moment la retombée aura lieu », confirme un expert de l’ESA (Agence spatiale européenne). Vendredi après-midi, il était prévu que la retombée sur Terre intervienne entre ce samedi à 23 h 50 et dimanche à 9 h. Plus l’échéance se rapproche, plus les prévisions s’affineront. Seule certitude pour l’instant : l’engin vole sur une orbite de 41 degrés par rapport à l’équateur terrestre et ne peut donc tomber qu’à cette latitude, au nord comme au sud du Globe. La Grèce, l’Espagne ou le Maghreb se situent notamment dans cette ceinture. La France ou l’Allemagne en sont d’emblée exclues.

    Comme le souligne Pékin, le scénario le plus probable est celui d’une chute en mer, dont notre planète est constituée à 75 %, ou dans une zone désertique. « Plus on avance dans le temps, plus on peut exclure de zones. Mais nous n’avons pas les instruments pour prévoir suffisamment à l’avance le lieu précis », regrette Florent Delefie.

    Cependant, la probabilité d’un impact sur une zone habitée est « infime, de moins d’une chance sur un million, sans doute », rassure le responsable de l’ESA. Quand bien même des débris tomberaient sur des maisons, la vitesse d’impact sera relativement faible (environ 200 km/heure). Rien à voir avec la chute d’une météorite, qui fonce à 36 000 km/heure, note-t-il. Mais sur une personne, la chute pourrait être fatale, ajoute Florent Delefie.

    3 Y a-t-il des précédents ?
    En 2020, des débris d’une autre fusée Longue-Marche s’étaient écrasés sur des villages en Côte d’Ivoire, provoquant des dégâts, mais sans faire de blessés. Depuis le lancement du premier satellite en 1957 par les Soviétiques, des tonnes de lanceurs, de véhicules et d’instruments ont été envoyées dans l’espace. Selon des chiffres diffusés par la Nasa en janvier 2020, on estime à 20 000 les « objets » qui se situent dans l’orbite terrestre. Il s’agit là des fragments les plus gros, d’une taille supérieure à 10 cm, qui, plus dangereux, sont suivis depuis la Terre par des radars et télescopes. En soixante ans de vols spatiaux, il y a eu quelque 6 000 rentrées non contrôlées de gros objets fabriqués par l’homme, et un seul débris a touché une personne, sans la blesser, selon Stijn Lemmens, un expert de l’ESA.

  • Pays Basque : une soixantaine de migrants bloqués à #Irun

    En provenance d’Afrique de l’Ouest, ces migrants sont refoulés par la #police française à #Hendaye. Les services sociaux sont débordés. Les associations viennent à la rescousse.

    De plus en plus de migrants se retrouvent bloqués à Irun et #Saint-Sébastien. Depuis deux mois, la Croix rouge espagnole a fait venir au Pays Basque Sud 2.000 des migrants ayant accosté en Andalousie. Des migrants refoulés à la frontière par la police française. Résultat : dans la province du #Gipuzkoa, services d’accueil sont débordés.

    Irun n’est pas devenu un nouveau Vintimille, mais les scènes sont inhabituelles. Depuis quinze jours, ils sont désormais une soixantaine de migrants à errer dans les rues d’Irun. Des jeunes hommes en provenance d’Afrique de l’Ouest en majorité (Cameroun, Guinée-Konakry, Burkina Faso, Côte d’Ivoire...). Certains dorment dans la rue, à la gare de la RENFE ou au Ficoba, près de la frontière.

    La municipalité a bien ouvert un centre d’hébergement de 28 places, habituellement destiné aux personnes souffrant du froid l’hiver. Il est plein. Ce sont les associations qui ont lancé l’alerte ces dernières semaines.

    Contrôles renforcés à la frontière

    Pour Jon de l’association SOS Racisme à Irun la situation est provoqué par un renforcement récent des contrôles de la police. La préfecture des Pyrénées Atlantiques dément toute chasse aux sans-papiers, les contrôles étant les mêmes depuis les attentats de 2015. En revanche.... l’Etat suit de près un possible transfert des flux migratoires, de l’Italie désormais plus fermée vers l’Espagne.


    https://www.francebleu.fr/infos/international/pays-basque-une-soixantaine-de-migrants-bloques-a-irun-1533712255

    #refoulement #France #push-back #Espagne #frontières #migrations #asile #réfugiés

    • Francia usa una medida antiterrorista para devolver migrantes a España

      Una parte de las devoluciones se hace de forma oficial, pero otra sin avisar a las autoridades españolas y en menos de 20 minutos.

      La gendarmería francesa está intensificando este verano sus controles en los pasos fronterizos con el País Vasco y el aumento de la presencia de patrullas ha cuadruplicado desde principios de año las cifras de migrantes, sobre todo subsaharianos, devueltos en tiempo récord a territorio español. Una parte de las devoluciones se hace de forma oficial y amparadas legalmente, al menos en el papel, en un acuerdo bilateral de readmisión, pero otra de manera extraoficial, en ocasiones en menos de 20 minutos y sin siquiera avisar a las autoridades españolas.

      La fórmula francesa, justificada en el restablecimiento de los controles fronterizos vigente desde finales de 2015 tras el atentado en el teatro Bataclán, resulta un quebradero de cabeza a este lado de la frontera. La policía no tiene control de las expulsiones y las instituciones que amparan a los migrantes están desbordadas. Por cada persona devuelta con garantías hay más de diez rechazadas sin ellas. Ya son 3.200 subsaharianos que se han quedado atrapadosen Euskadi en su viaje hacia Europa y que han tenido que ser atendidos por entidades humanitarias, según el Gobierno vasco. Las readmisiones oficiales contempladas en un acuerdo entre Francia y España, de 2002, han sido apenas 411 desde enero. Del resto no hay registro oficial. “Es completamente ilegal, además de un abuso. Ya existe un protocolo para readmitirles más o menos garantista, pero este procedimiento incumple todas garantías”, critica un agente de la Brigada de Extranjería. Al Ministerio del Interior le consta el problema y la Comisaría General de Extranjería ya busca una solución con sus homólogos franceses, según una portavoz.

      Los datos de devoluciones de años anteriores han puesto de manifiesto la deportación de potenciales refugiados que intentan llegar a países como Alemania o Reino Unido a través de la frontera sur. En 2014 y 2015, por ejemplo, España aceptó 407 sirios expulsados por Francia. “Uno de los fundamentos para una buena defensa es saber en qué procedimiento se encuentra la persona. Si no hay procedimiento no hay garantías. A los que llevan a la comisaría al menos se les da asistencia, a los otros los dejan en la calle”, denuncia el profesor de la Universidad del País Vasco, Iker Barbero.

      La policía francesa se ampara en el restablecimiento de los controles fronterizos, vigente desde finales de 2015, para devolver a España a los migrantes, sin pasar por las autoridades españolas, a migrantes interceptados en los puntos de paso entre ambos países. Tras los atentados de noviembre de aquel año, el Francia recurrió al artículo 2.2 del Convenio de Schengen, que permite estos controles entre las fronteras entre Estados de la Unión Europea, “cuando el orden público o la seguridad nacional lo exigen”. Desde entonces ha prolongado varias veces esta medida, en principio, extraordinaria, que deja en suspenso labata apertura de las fronteras interiores de la UE y la libre circulación de personas.

      A efectos prácticos, la policía francesa de fronteras puede verificar si la persona que entra en Francia dispone de los documentos válidos. Si a esta persona le falta algún documento, los agentes pueden impedirle la entrada en Francia. Las autoridades francesas no lo consideran una expulsión ni una devolución, sino una «no-admisión». Una fuente francesa que pidió el anonimato explicó que a estas personas se les suele entregar un papel con los motivos de la «no-admisión», pero no es necesario avisar a las autoridades españolas. Según denuncian, no solo las asociaciones humanitarias españolas, sino también alguna francesa como La Cimade, los gendarmes no discriminan entre adultos y menores, vayan o no acompañados.

      Cuatro horas

      Otra cosa ocurre cuando la persona que entra en Francia ya ha pisado territorio francés. Entonces, según la citada fuente, sí se aplica el acuerdo entre Francia y España. Este acuerdo estipula los procedimientos por los que un migrante de un tercer país puede ser devuelto al país vecino en el plazo de cuatro horas tras su entrada, y obliga a rellenar unos formularios y a avisar a las autoridades vecinas.

      Varias ONG llevan años denunciando la prolongación de los controles fronterizos dentro de la UE. También señalan que la medida se usa para un fin distinto al que estaba previsto. “Mientras que el motivo invocado para poner en práctica este arsenal de controles en las fronteras es la lucha antiterrorista, está claro que el objetivo primero es limitar drásticamente la libertad de circulación de las personas migrantes dentro de la UE y en particular las que vienen de Italia, Grecia y España”, se quejaron en noviembre de 2017 tres asociaciones francesas de apoyo al migrante. La nota criticaba que los controles eran discriminatorios, basados en el color de la piel y el aspecto físico. Las tres asociaciones presentaron una demanda ante el Consejo de Estado francés, que validó el sistema actual.


      https://elpais.com/politica/2018/08/31/actualidad/1535739245_344129.html

      #terrorisme #anti-terrorisme