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  • Hauts-de-Seine : son compagnon la bat, elle est expulsée à cause du bruit - Le Parisien
    http://www.leparisien.fr/la-garenne-colombes-92250/hauts-de-seine-son-compagnon-la-bat-elle-est-expulsee-a-cause-du-bruit-12


    ben non, c’est pas le gorafi !

    Le tribunal d’instance a ordonné l’expulsion d’une femme victime de violence conjugale. Motif : les cris et le bruit lors des accès de colère du compagnon violent dérangeaient le voisinage !

    C’est la double peine. Victime de violences conjugales, cette mère de famille est expulsée de son logement… à cause de la violence de son compagnon. Le lien est indubitable et le juge du tribunal d’instance de Colombes, qui a ordonné l’expulsion, l’écrit d’ailleurs très tranquillement : « la plainte déposée pour violence conjugale par Madame ne fait que corroborer les troubles ». « Troubles » abondamment signalés au bailleur social, le groupe 3 F, par des voisins exaspérés d’entendre des cris. Mais qui n’ont manifestement pas jugé bon de proposer leur aide à Elodie.

    #violences_conjugales #masculinisme #violence_d'état #femmes

    • On marche sur la tête, mais non, en fait c’est la justice qui lui marche sur la tête [ici « lui » veux dire « elle »], voire la piétine tout simplement et sans vergogne.

    • La femme battue expulsée de son logement après les plaintes des voisins bientôt relogée ?
      https://www.lci.fr/societe/violences-conjugales-hauts-de-seine-garenne-colombes-une-femme-battue-expulsee-d

      [le bailleur social, le groupe 3 F] assume sa démarche réalisée pour contenter le voisinage. Bien qu’il tente de rattraper la situation en indiquant entendre « qu’elle est victime de violence » et qu’il travaille « à une solution de relogement ». Une décision semble-t-il suivie d’un acte, puisque, selon Me Rosset, ledit bailleur a proposé une solution de relogement à sa cliente

      #logement #voisins #justice #expulsion

    • Ici :
      http://www.liberation.fr/france/2018/08/14/battue-par-son-mari-une-femme-recoit-un-avis-d-expulsion-en-raison-de-nui

      A La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), Elodie et ses enfants font l’objet d’une procédure d’expulsion de leur logement social à cause des cris signalés par les voisins. Face à la mobilisation, le bailleur 3F a finalement réagi, promettant de les reloger.

      C’est une voix sereine, quoique un peu timide, à l’autre bout du fil. « La mobilisation a servi, ça a fait bouger les choses », dit Elodie, 37 ans. Cette mère de deux enfants, battue par son conjoint, fait l’objet d’une procédure d’expulsion de son logement social à La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), en raison de « nuisances sonores ». Nuisances qui n’étaient autres que ses cris.

      Une décision prononcée par le tribunal d’instance de Colombes, le 29 juin, à la suite d’une démarche de son bailleur, sollicité par des voisins excédés. Très vite, la presse et les réseaux sociaux se sont emparés de l’histoire d’Elodie. Sur Twitter, nombre d’internautes ont interpellé lundi la société immobilière 3F.

      Grâce à ces multiples soutiens (et à ce « bad buzz » pour le bailleur social), la mère de famille – qui avait formulé en vain une demande de relogement depuis le printemps – a finalement obtenu des avancées : « Les 3F m’ont appelée [lundi]. J’ai rendez-vous jeudi à 15 heures pour visiter un logement, a-t-elle confié à Libération, soulagée. Quand j’ai reçu le jugement, j’étais perdue. Je ne pensais pas qu’on pouvait faire ça : me mettre dehors avec mes enfants à cause du bruit ! »

      « Une décision hallucinante »

      Le 29 juin, Elodie s’était vu notifier la résiliation de son bail (au nom du couple) et l’expulsion de son logement. Dans le jugement civil que Libération a pu consulter, on peut lire qu’il est notamment reproché des « cris tous les jours » et des « hurlements » de femme et d’enfants, des « disputes » récurrentes… Des « nuisances sonores » qui ont visiblement importuné les voisins de la mère de famille, plutôt que de les alerter. Le juge d’instance écrit aussi que « la plainte déposée pour violences conjugales par Madame X ne fait que corroborer les troubles évoqués » ou encore que « Monsieur X est parti des lieux loués, ce qui va pacifier l’occupation du logement ».

      « C’est une décision hallucinante, sidérante. Le juge prend acte des faits de violences conjugales. On n’est pas dans du "on-dit", on est dans quelque chose de réel », commente Me Migueline Rosset, avocate d’Elodie, pourtant habituée depuis des années à traiter du droit immobilier. « Il aurait pu agir avec humanité et renvoyer l’affaire, par exemple, le temps de vérifier que monsieur était bien parti du logement », poursuit le conseil, qui note en passant que le magistrat en question est une femme. Lors de l’audience, en mai, le couple en séparation avait déclaré que le père des enfants ne résidait désormais plus au domicile. Mais « il importe peu que soit évoqué le départ de Monsieur X », estime encore le juge d’instance dans sa décision.

      « Personne n’est venu »

      Le couple s’était installé en 2016 dans cette résidence HLM de La Garenne-Colombes. Elodie raconte avoir été violemment frappée par son compagnon, qui lui avait confisqué son téléphone portable en mars.

      « Il m’a donné des coups sur le visage, m’a maintenu si fort les bras que j’en ai eu des hématomes, aussi derrière les cuisses », se souvient-elle. Ce soir-là, il plus de 4 heures du matin. Leurs filles de 4 et 6 ans dorment. « Avant, c’était des insultes. Il me parlait mal, me criait dessus. Il me rabaissait. Il me disait que j’étais une folle, une feignante, que je ne savais pas m’occuper de mes enfants. C’était tout le temps, décrit-elle. Il m’a même menacée de mort. »

      Cette femme battue dit aussi l’indifférence des riverains : « J’ai appelé au secours, mais personne n’est venu. » Des voisins qui, pour certains, n’ont pas hésité à faire remonter leur mécontentement au bailleur de l’immeuble, évoquant pêle-mêle des bruits d’enfants courant sur le sol, des hurlements, des insultes ou des jets d’objets.

      Le 30 mars, la trentenaire dépose plainte au commissariat. Les violences sont constatées, la mère de famille écope de deux jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). Début mai, son conjoint est cette fois placé en garde à vue après de nouvelles violences. A bout, décidée à trouver une solution, Elodie écrit au bailleur 3F en demandant à être relogée, « ne pouvant plus vivre dans la peur et la violence » avec ses enfants. En vain. La procédure est lancée, et selon le jugement rendu, la mère et ses enfants devraient quitter leur appartement d’ici au 12 septembre.
      « Une situation prioritaire »

      Me Rosset, qui a fait appel de la décision du tribunal d’instance et a saisi le juge d’exécution, s’est réjoui sur son compte Twitter du fait qu’Elodie allait être enfin relogée avec ses enfants. Même si, prudente, elle attend « de voir le bail ». Contactée par Libération, la société immobilière, à l’origine de la procédure d’expulsion, assure désormais : « Cette locataire est toujours dans son logement. Elle n’est pas à la rue, et ne le sera pas le 12 septembre. Sa situation est prioritaire. Nous travaillons avec elle à une solution de relogement. »
      Chloé Pilorget-Rezzouk

      Donc il y a eu dépôt de plaintes, demande de relogement mais le seul truc que le bailleur soit disant social décide c’est de l’expulser en utilisant les preuves que cette femme est battue pour soutenir cette décision. Pas de nouvelle de ses plaintes contre l’homme violent par contre qui sera traitée dans 1 an si tout va bien et classée sans suite ou fera l’objet d’un simple rappel à la loi bien sûr. Et les voisins : ils n’interviennent pas, n’appellent pas non plus la police, ne vont pas la voir après et en plus ils vont se plaindre du bruit.
      Tout va bien en France et Marlène est là pour veiller sur nous il paraît : quelle bouffonne celle-là !

    • D’autant que cette femme était au départ présentée comme seule, mais en fait non, elle a carrément la responsabilité de deux enfants ! Essaye donc de trouver un logement avec des marmots. Mon expérience rien qu’avec un seul enfant à charge m’a appris que les bailleurs se méfient des mères célibataires. Comme les banquiers qui te refusent les prêts parce que sur ta feuille d’impôt c’est marqué que tu as une #bouche_à_nourrir, ils savent très bien que ça coûte cher d’élever un enfant, que ça prend du temps où tu peux pas bosser, que le cercle de tes latitudes est restreint donc ils invoquent n’importe quoi pour ne pas te loger, au point que je cachais avoir un enfant.
      Et même si tu fais appel aux aides sociales ça ne couvre jamais ce que coûte réellement un enfant : le nourrir, le loger, l’habiller, lui permettre quelques loisirs et continuer de faire croire que tout va bien quand chaque rencontre avec les services sociaux est une nouvelle humiliation.
      #guerre_aux_femmes

  • Meurtre de Marielle Franco au Brésil : des hommes politiques impliqués - LCI
    https://www.lci.fr/international/meurtre-de-marielle-franco-au-bresil-des-hommes-politiques-impliques-2095470.htm

    Les meurtres de la militante féministe Marielle Franco et de son chauffeur le 14 mars dernier dans les rues de Rio de Janeiro auraient été orchestrés par des politiciens. C’est ce qu’a laissé entendre à la presse vendredi le ministre brésilien de la Sécurité publique, Raul Jungmann.

    Si le ministre tait leurs noms pour « ne pas entraver le déroulement de l’enquête », la presse brésilienne affirme que les soupçons de la police en charge de l’enquête se portent sur trois députés de l’Etat de Rio de Janeiro, du parti du Mouvement démocratique brésilien (MDB) du président Michel Temer.

    Trois élus du parti présidentiel mis en cause

    Depuis vendredi 10 août, trois noms sont cités dans les médias brésiliens : des députés de l’Etat de Rio de Janeiro issus du parti du Mouvement démocratique brésilien (MDB) du président Michel Temer. Edson Albertassi, Paulo Melo et Jorge Picciani, l’influent ex-président de l’Assemblée législative de Rio, seraient derrière l’assassinat. Les trois élus sont actuellement détenus pour leur implication dans un vaste réseau de corruption dans les transports.

    Cette information est relayée sur Twitter par le député du PSOL (Parti socialisme et liberté, celui de Marielle Franco) Marcelo Freixo. Il précise que l’enquête de la police continue et qu’il ne fait que « confirmer » aux médias les soupçons qui portent sur les trois élus. Jusqu’à présent, l’enquête s’orientait vers la piste de milices qui sèment terreur et extorsion auprès des habitants des quartiers les plus pauvres de Rio. En juillet dernier, un ex-policier et un ancien pompier ont été arrêtés.

    L’annonce ravive l’émotion qui avait pris le Brésil il y a cinq mois, après l’assassinat de la conseillère du Parti du socialisme et de la liberté (PSOL), figure des droits des femmes et LGBT, et de la défense des plus vulnérables. En pleine élection présidentielle, la question de l’insécurité, de la corruption et des inégalités est au centre du débat.

    #féminicide

  • Plein de nouvelles lois définitivement adoptés ce matin titre les journaux

    – sur le logement qui s’appel « élan » dans ta face - criminalisation des squatteurs - abolition de la très hivernale - bétonnage du littoral -

    – Violences sexuelles et sexistes : le projet de loi définitivement adopté - https://www.lci.fr/politique/lutte-contre-les-violences-sexistes-le-projet-de-loi-definitivement-adopte-marle
    Des mesures cosmétiques qui ne changerons rien au sexisme et à la violophilie des institutions françaises. On a échappé de peu à une décriminalisation des viols sous le vocable « d’atteinte sexuelle sans consentement » mais le problème de la correctionnalisation des viols reste inchangé.

    – loi asile et immigration - définitivement adoptée = https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/08/01/la-loi-asile-et-immigration-definitivement-adoptee-a-l-assemblee_5338430_823

    – le projet de loi « avenir » professionnel (inspiré du roman de Boris Vian , l’herbe rouge) https://www.lemonde.fr/emploi/article/2018/08/01/le-projet-de-loi-avenir-professionnel-definitivement-adopte-par-le-parlement
    les apprentis ont entre autre la joie de passé de 8h à 10h de boulot par jour.

    – un truc de « droit à l’erreur » là aussi « définitivement adopté »
    https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=11&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwi-7eaL5c

  • Grand remue-ménage chez les parlementaires et nouvelles péripéties dans l’affaire Benalla. Ce qui me chagrine, c’est qu’il n’y a que des députés LR qui s’autorisent à commenter ce nouvel aveu de #barbouzerie de l’ #ère_Macron.

    https://www.lci.fr/politique/affaire-video-alexandre-benalla-a-dispose-d-un-badge-offrant-un-acces-super-priv

    Nouvelle révélation dans l’affaire Benalla : le collaborateur de l’Elysée faisant l’objet d’une procédure de licenciement disposait d’un badge pour entrer à l’Assemblée nationale. Un accès au cœur du Palais Bourbon qui a provoqué un nouveau tollé dans l’opposition ce samedi 21 juillet 2018, après que le député Les Républicains (LR) des Côtes d’Armor, Marc Le Fur, a révélé dans l’après-midi aux parlementaires, en séance dans l’hémicycle, l’existence de ce badge.

    Alexandre Benalla disposait d’un badge d’accès à l’hémicycle de l’Assemblée nationale, les députés LR furieux
    https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/agression-d-un-manifestant-par-un-collaborateur-de-l-elysee/alexandre-benalla-disposait-d-un-badge-d-acces-a-l-assemblee-nationale-

    Des explications pas suffisantes pour le député LR Christian Jacob. « On apprend que ce barbouze, qui ne figure pas au JO, vient ici avec un badge H, qu’il peut entrer dans l’hémicycle. Au nom de quelle fonction, de la sécurité du président de la République ? L’heure est extrêmement grave », s’est indigné Christian Jacob, président du groupe parlementaire Les Républicains.

    • A ma connaissance, rien de leur côté, concernant le badge d’accès à l’hémicycle. Je viens de me fader la lecture du JDD en ligne après avoir été obligé de désactiver mon AddBlock pour leur page et de me prendre une pub vidéo de 15 secondes. J’ai bien mérité mon (sous) titre de « Romanichel de l’info » vu que je m’assigne moi-même à résidence sur des tas d’ordures médiatiques pour démêler le vrai du faux dans tous ces #immondices passés, présents et à venir.
      D’après un autre article, du Parisien cette fois (décidément, rien ne me sera épargné), on apprend que plusieurs personnes en lien avec l’exécutif avait ainsi un accès par badge à l’assemblée nationale sous Sarkozy et sous Hollande. Les espions de l’Élysée en somme. Tout ceci ne me surprend guère. Par contre, ce qui m’étonne, c’est que cette affaire ait été révélée en pleine période de travail de ladite assemblée sur les projets de réforme constitutionnelle. Le fait que ce soit les députés LFI qui ont initié la curée et crié haro sur le baudet Bennalla ne me rassure pas plus que ça. Qui peut bien vouloir les instrumentaliser ainsi et dans quels buts ?

  • Dimanche 15 juillet 2018 : scènes de violences dans toute le pays. Des « casseurs » se joignent au supporters en liesse. Certains « voyous » arborent un drapeau tricolore en pillant des magasins (quelle horreur ... mais pour une fois, les blacks blocks sont hors de cause)
    https://www.lci.fr/coupe-du-monde/coupe-du-monde-2018-finale-france-croatie-violences-sur-les-champs-elysees-ce-qu

    Mais aussi quantité d’agressions sexuelles qui ne seront pas enregistrées par la police, la plupart des femmes victimes ayant choisi de ne pas porter plainte. Le #sport, c’est la #guerre.

    « J’ai senti des mains qui me touchaient » : le soir de la victoire des Bleus, plusieurs cas d’agressions sexuelles - LCI
    https://www.lci.fr/societe/j-ai-senti-des-mains-qui-me-touchaient-le-soir-de-la-victoire-des-bleus-plusieur

    C’est le cas pour Eva, 19 ans bientôt. Avec deux amis, elle assiste au sacre des Bleus depuis la fan zone du parc Chanot, à Marseille, où elle est arrivée en avance. « L’endroit s’est rempli rapidement et les gens se collaient » nous explique-t-elle. "J’entendais rigoler derrière moi mais c’est à partir du troisième but que ça a commencé à dégénérer. Un des jeunes derrière moi a dit : ’au prochain but, elle est pour moi’.

    #flippant

  • Aisne : un homme au comportement « étrange » meurt après un tir de taser - LCI
    https://www.lci.fr/faits-divers/aisne-un-homme-au-comportement-etrange-meurt-apres-un-tir-de-taser-2092798.html

    Un homme d’une trentaine d’années est décédé lundi à Vic-sur-Aisne (Aisne) d’un malaise cardiaque après avoir été tasé par des policiers. L’homme au comportement « étrange » et muni d’une tige métallique avait crié « Allah Akbar » en allant « au contact » des gendarmes, a indiqué le parquet de Soissons.

    Un homme est décédé lundi d’un malaise cardiaque à Vic-sur-Aisne (Aisne) après un tir de taser. Selon le parquet de Soissons, l’individu d’une trentaine d’années a été la cible d’un tir « réglementaire » à la suite de son comportement « étrange ». L’homme qui vivait à Vic-sur-Aisne avait attiré l’attention de témoins lundi matin en « déambulant bizarrement » dans les rues. Il avait ensuite pénétré dans le jardin d’une maison où il avait « dégradé une antenne parabolique », s’emparant d’une « tige métallique arrachée de cette parabole », indique le communiqué du parquet à l’AFP.

    Les gendarmes de Soissons ont alors tenté de l’appréhender. Mais l’homme criant « Allah Akbar » est « allé au contact » des militaires, tapant des poings sur le capot de leur voiture après avoir lancé la tige dans leur direction. « Les gendarmes ont d’abord tenté de le maîtriser à mains nues », puis avec leur bâton télescopique et enfin « avec leur arme à impulsion électrique » sans y parvenir, déroule le parquet. « Il était finalement ceinturé puis mis au sol par un gendarme ». C’est là que les gendarmes ont réalisé qu’il était en train « de faire un malaise ». Il décédera sur place « quelques minutes plus tard ».
    Deux enquêtes en cours

    Aucune précision n’est faite quant au nombre de tirs. « Les premières investigations permettent de déterminer qu’on est dans le cadre et la distance réglementaire et qu’il n’y a pas de mauvaise manipulation », a néanmoins précisé le parquet à l’AFP. « Rien ne permet de dire non plus à ce stade que cet homme relevait d’une éventuelle radicalisation islamiste ».

    L’autopsie sera pratiquée mardi matin. Elle devra notamment évaluer si cet homme, inconnu des services de police, était sous l’emprise de stupéfiants. L’enquête devrait également dire s’il avait des antécédents psychiatriques. Deux enquêtes ont été ouvertes, l’une confiée à l’inspection générale de la gendarmerie nationale pour « déterminer les causes de son décès », l’autre à la SR d’Amiens et à la BR de Laon sur « les actes qu’il a commis ».

    Arme non létale qu’on appelle ça, non ?

    #taser #islamophobie #violences-policières

  • Arrêtez tout ! Faire le ménage régulièrement revient à fumer 20 cigarettes par jour - LCI
    https://www.lci.fr/sciences/bien-etre-maison-arretez-tout-faire-le-menage-regulierement-revient-a-fumer-20-c

    Est ainsi démontré qu’une utilisation régulière de sprays d’entretien équivaut à fumer 20 cigarettes - l’équivalent d’un paquet - par jour sur une période de 10 à 20 ans !

    Il fallait que ce soit dit... :-)

    #selon_une_étude_récente

  • Une femme de 92 ans tue son fils qui voulait la mettre en maison de retraite
    https://www.lci.fr/international/une-femme-de-92-ans-tue-son-fils-qui-voulait-la-mettre-en-maison-de-retraite-209

    Les policiers de l’Arizona ont arrêté une nonagénaire qui venait de tuer son fils, lui-même âgé de 72 ans. Ce dernier aurait eu l’intention de placer sa mère en maison de retraite, ce que celle-ci n’aurait pas supporté.

    Je sais qu’il n’y a pas trop de faits divers sur @seenthis mais celui là m’intéresse. #vieillir #retraite #infanticide

  • Plainte déposée contre Françoise Nyssen : peut-on vraiment parler de « racisme anti-blanc » ? - LCI
    https://www.lci.fr/societe/plainte-deposee-contre-francoise-nyssen-peut-on-vraiment-parler-de-racisme-anti-

    L’OLRA, organisation de lutte contre le racisme anti-blanc, a porté plainte contre la ministre de la Culture Françoise Nyssen après qu’elle a fustigé « les hommes blancs de 50 ans ». Mais au fait, peut-on vraiment parler de « racisme anti-blanc » ? À quelle réalité sociologique cette expression correspond-elle ?

    « Tu n’es plus seule ». En affichant, mardi 4 juin, son soutien à Delphine Ernotte, la ministre de la Culture Françoise Nyssen s’est exposée à une plainte. L’OLRA - pour organisation de lutte contre le racisme anti-blanc - a en effet décidé mardi 3 juillet de traduire en justice la membre du gouvernement, dans la foulée de sa déclaration. En cause ? Cette référence à une ancienne sortie de la patronne de France Télé, qui déplorait en 2015 le manque de diversité à l’antenne en parlant d’une « télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans ». Le soutien est clairement affiché de la part de la ministre : « Delphine, tu as dû te sentir bien seule lorsque tu portais un constat, à la fois évident et courageux. Tu sais : ’l’homme blanc de plus de 50 ans’ ».

    L’OLRA, qui se présente comme une « association laïque et apolitique » dénonçant et condamnant « le racisme sous toutes ses formes » et dont « l’action est particulièrement centrée sur le racisme anti-blancs », a vu dans cette déclaration une stigmatisation des hommes blancs. Mais quelle est la réalité sociologique du « racisme anti-blanc » ? Cette expression en elle-même dépeint-elle une situation observable, vécue, au sein de notre société ? Pour le savoir, nous avons posé la question à deux chercheuses spécialistes de ces questions.

    Le racisme comme un système

    Pour parler de « racisme anti-blanc », disent-elles, il faut d’abord s’accorder sur la définition... du racisme. « Si on voit le racisme comme un rapport social, une relation de domination au niveau macro-sociologique, alors on ne peut pas considérer qu’en France, aujourd’hui, les personnes considérées comme ’blanches’ fassent l’objet d’inégalités statistiquement significatives en raison de ce facteur » nous explique Marie Peretti-Ndiaye, docteure en sociologie et chercheuse invitée au CREF (Centre de recherches éducation et formation) Paris Nanterre. « En revanche, si le racisme est défini comme un phénomène se jouant au niveau individuel, à une plus petite échelle, alors on peut trouver quelques situations très circonscrites de personnes considérées comme blanches dans une situation qui leur est défavorable. »

    Or, complète Charlotte Recoquillon, chercheuse à l’institut français de géopolitique, « c’est la définition étendue du racisme qui fait oeuvre dans notre société et qui est retenue dans les travaux sociologiques ». Elle ajoute : « Cette définition voit le racisme comme un système, un ordre social, dont découlent des privilèges. Personne ne nie que certaines attitudes, ponctuellement, peuvent nuire à des personnes dites blanches. Mais cela ne détermine pas leur position sociale, leur rapport aux autres. » C’est pour cela, conclut-elle, que d’un point de vue sociologique, « le racisme anti-blanc n’existe pas ».

    Le « racisme anti-blanc » n’a pas le caractère « d’une expérience de masse »

    La longue étude de l’Ined sur la diversité des populations en France, publiée en 2016, ne dit pas autre chose. Les chercheurs qui ont participé à cette enquête constatent que les personnes nées en France métropolitaine de parents français à la naissance et bénéficiant d’un certain capital économique, sont les moins concernées par l’expérience du racisme. Les chercheurs précisent ainsi : « seulement 15% des personnes de cette population déclarent en avoir été la cible au cours de leur existence, contre par exemple 60% des descendants d’immigrés d’Afrique subsaharienne. » Les manifestations de racisme à l’encontre des personnes blanches n’ont donc, selon l’étude, « pas le caractère d’une expérience de masse ».

    En outre, les chercheurs concluent : « Le racisme des minoritaires à l’encontre des majoritaires peut blesser verbalement, voire être agressif physiquement, mais il ne fait pas système et ne produit pas d’inégalités sociales. » En d’autres termes, sans remettre en cause des situations isolées qui peuvent être vécues comme injustes, l’expérience du racisme à l’égard des blancs ne constitue pas, en France, un système à part entière.
    Les privilèges existent du fait des discriminationsCharlotte Recoquillon

    Mais si le « racisme anti-blanc » est une fiction d’un point de vue sociologique, la récupération - souvent politique - de cette expression, n’a quant à elle rien de virtuel. Pour n’en citer qu’un exemple, Jean-François Copé, alors secrétaire général de l’UMP, écrivait dès 2012 dans son « Manifeste pour une droite décomplexée » : « Je sais que je brise un tabou en employant le terme de ’racisme anti-blanc’ mais je le fais à dessein, parce que c’est la vérité que vivent certains de nos concitoyens et que le silence ne fait qu’aggraver les traumatismes ».

    Rien de plus normal que cette réaction, selon Charlotte Recoquillon : « Qui a le plus à perdre dans la mise en cause du racisme, si ce n’est les personnes qui bénéficient des positions de pouvoir ? Les privilèges existent du fait des discriminations. Certains se sentent menacés par les revendications des groupes qui sont jusqu’à présent discriminés. Par exemple, si on veut une parité dans les prises de parole, cela implique que certains... laissent la parole. »

    #racisme #sexisme #fragilité_blanche #privilèges

  • Parents, voici pourquoi vos enfants se sont fait bannir de Twitter et Instagram - LCI
    https://www.lci.fr/high-tech/rgpd-pourquoi-twitter-et-instagram-ont-suspendu-les-comptes-de-milliers-d-adoles

    depuis le 25 mai et l’entrée en vigueur du nouveau règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD), la loi impose aux plateformes un nouvel âge du consentement dans les pays de l’Union européenne (UE). En France, le seuil de la majorité numérique, c’est-à-dire l’âge à partir duquel le mineur n’a plus besoin de l’autorisation de ses parents ou tuteurs pour utiliser un réseau social, a été fixé à 15 ans, contre 16 ans dans la plupart des autres pays de l’UE. « A cet âge, on estime que l’adolescent possède la maturité suffisante pour comprendre les conséquences de partager ses données personnelles », déclarait récemment à LCI la députée (LaREM) Paula Forteza, rapporteure du texte. A compter de cette date, l’entreprise qui ne respecte pas la règle s’expose à une amende de 20 millions d’euros ou d’un montant équivalent à 4 % de son chiffre d’affaires mondial.

    En France il y a un age du consentement numérique mais pas sur le consentement sexuel.
    #consentement

  • Retour de l’uniforme à l’école publique : « Un enjeu de galité », pour Jean-Michel Blanquer - LCI
    https://www.lci.fr/societe/retour-de-l-uniforme-a-l-ecole-un-enjeu-d-egalite-pour-jean-michel-blanquer-2089

    GALITÉ - À Provins, une consultation de parents d’élèves devrait aboutir au retour de l’uniforme scolaire dans les six établissements élémentaires publics de la ville. Pour le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer, c’est avant tout « un enjeu de galité ».
    03 juin 13:25 - La rédaction LCI

    Vers un retour de l’uniforme à l’école ? C’est en tout cas ce que souhaite une majorité de parents d’élèves des écoles élémentaires de Provins, en Seine-et-Marne. Ils se sont prononcés à 62% en faveur du port, non obligatoire, de l’uniforme lors d’une consultation organisée par la mairie LR de la ville et donc les résultats ont été rendus publics samedi.

    Dans cinq mois, au retour des vacances de la Toussaint, les élèves des six écoles élémentaires de la ville porteront un uniforme avec un polo bleu portant la devise républicaine. Au total, 759 élèves du CP au CM2 sont concernés par cette mesure qui ne revêt aucun caractère obligatoire. La mairie va lancer un appel d’offres pour la fabrication du trousseau de 10 pièces qui coûtera « au maximum » 145 euros. Le coût sera divisé par deux à partir du deuxième enfant et la Caisse centrale d’activités sociales (CCAS) pourra subvenir aux familles qui en ont besoin, a précisé l’édile.
    Voir aussi
    Provins : les parents d’élèves en faveur de l’uniforme dans les écoles publiques
    Les marques de vêtements comptent beaucoup trop aujourd’hui et l’uniforme peut être une réponseJean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale

    Interrogé à ce sujet sur BFMTV, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer a assuré ne pas être surpris par ce résultat. « Mon expérience m’a montré que lorsque le débat est posé, il y a en général une forte majorité qui se dégage en faveur de cette mesure car beaucoup de vertus y sont vues ».

    La première vertu selon lui : « Développer une certaine fierté autour de l’école ». La deuxième : « C’est un enjeu d’égalité » entre les enfants. « Les marques de vêtements comptent beaucoup trop aujourd’hui. L’uniforme peut être une réponse. »

    Pour autant, il ne souhaite pas en faire un sujet national. "Ce serait la meilleur façon de ne pas réussir à accomplir ça, assure-t-il. « Depuis toujours il est possible pour ceux qui le veulent de décider d’avoir un uniforme. Dans certains car ça peut être utile, mais ça ne peut marcher que s’il y a un certain consensus local. Ce qui est important c’est de faire le bien des enfants. »

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    On ne sais pas si les garçons porterons des jupes et les filles des pantalons mais on sait que les filles aurons sur leur coeurs la devise de leur exclusion citoyenne.

    #fraternité #uniformes #école #sens_commun #blanquer

    • il ne souhaite pas en faire un sujet national. "Ce serait la meilleur façon de ne pas réussir à accomplir ça, assure-t-il.

      (Il = Blanquer)
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      A Provins les seul·es qui votent là bas le font à droite et à extrême droite : https://www.20minutes.fr/elections/resultats/seine-et-marne/provins-77160 Il doit y avoir un paquet d’homophobes misogynes de la manif pour tous dans ce village.
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      Une ambiance à la « Harry Potter » dans la cité médiévale ? La ville de Provins, en Seine-et-Marne, pourrait bientôt voir gambader dans ses rues quelque 759 écoliers tous vêtus d’un polo frappé de l’écusson de la ville, d’un pantalon ou d’une jupe noire, d’un pull bleu ciel col V ou encore d’une veste sweat-shirt bleu marine. Les parents d’élèves des six écoles publiques élémentaires viennent en effet de voter à plus de 62 % pour le port, non obligatoire, de l’uniforme. Soit 376 votants sur 609 familles concernées. La mesure pourrait prendre effet après les prochaines vacances de la Toussaint. Mais pour l’instant, rien n’est encore joué. Cette décision dépend en effet du conseil de chaque établissement, qui décidera ou non de l’inscrire dans son règlement intérieur.

      Vu ce que dit le fogaro les uniformes ne serons pas obligatoires. Ils servirons juste à savoirs quels gosses ont des parents à la manif pour tous.
      http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/06/03/01016-20180603ARTFIG00161--provins-les-parents-d-eleves-votent-le-retour-de

      Soit 376 votants sur 609 familles concernées.

      C’est à peu près les mêmes qui votent, comme aux législatives. Uniqement les familles de droite et uniquement les hommes puisqu’il n’y a que des votants.

      Les gosses sont donc déguisé·e en intégristes catholiques homophobes de la manif pour tous...

  • Comptes de campagne de Mélenchon : le parquet de Paris ouvre une enquête pour « vérifications » - Libération
    http://www.liberation.fr/direct/element/comptes-de-campagne-de-melenchon-le-parquet-de-paris-ouvre-une-enquete-po

    Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour mener des « vérifications sur une éventuelle violation » des règles de financement liées à la candidature de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle de 2017, rapporte l’AFP. Saisi par un signalement de la commission nationale des comptes de campagne, le parquet de Paris a confié en avril aux policiers anticorruption de l’office central de la lutte contre les infractions fiscales et financières (Oclciff) « le soin de procéder à des vérifications sur une éventuelle violation des prescriptions du code électoral relatives au financement des campagnes électorales », a précisé la source judiciaire.

    L’organisme qui a validé les comptes demande finalement l’ouverture d’une enquête préliminaire.
    Car tu vois, cet organisme, qui a validé ces comptes particuliers là en premier, permettant aux journalismes d’accéder en premier à l’ensemble des données de cette campagne précise, permettant mécaniquement de générer en premier des commentaires oiseux sur les dépenses effectuées, cet organisme, il a tout validé, y compris quand l’équipe de campagne a demandé des confirmations sur telle ou telle dépense.

    On se figure que chez nous, ça ne peut pas être comme au Brésil par exemple, où un multi-condamné parvient à destituer une présidente élue au casier judiciaire incomparablement moins chargé. Et où un gars qui se présente à la présidentielle peut se faire mettre en prison sur la base de témoignages douteux et d’éléments factuels particulièrement minces.

    Mais en fait si. Chez nous, la justice peut émettre des non-lieux quand des gamins se font estropier par la Police, et la justice peut utiliser des lois d’exceptions pour mater des gamins qui militent, et des militaires peuvent obtenir l’autorisation d’utiliser des armes défensives afin de mater et estropier des zadistes inoffensifs.

    Alors instrumentaliser la justice pour faire diversion... Pourquoi ce n’est pas étonnant ?

  • #Macron aux étudiants américains : « Vous n’êtes pas obligés de toujours suivre les #règles »
    http://www.rtl.fr/actu/politique/macron-aux-etudiants-americains-vous-n-etes-pas-obliges-de-toujours-suivre-les-r

    Un discours qui aurait été particulièrement apprécié de ce côté de l’Atlantique par les zadistes, étudiants révoltés, cheminots en grève, avocats, juges et greffiers mécontents, ou encore par le personnel des Ehpad... 

    [...]

    « (...) Si vous n’arrivez pas à trouver la bonne explication à cette frustration, n’abandonnez pas, allez plus loin, et ne croyez pas ceux qui disent ’ce sont les règles du jeu, ne les remettez pas en cause, ça a toujours été comme ça, vous devez suivre les règles’. C’est des conneries ! (rires) ». 

    Une phrase résumée dans un tweet : « Vous n’êtes pas obligés de toujours suivre les règles ».

    Les internautes français, et pas seulement, n’ont pas manqué de faire le parallèle avec les #conflits_sociaux qui sévissent en #France. "[...] « Vous rigolez n’est-ce pas ? Vous envoyez la police et l’armée à tous ceux qui ne sont pas d’accord avec vous... ».

    En mars dernier, il avait tenu des propos similaires devant les étudiants indiens. « Ne respectez jamais les règles ! », leur avait-il conseillé dans un centre culturel de New Delhi.❞

    #hypomane #sans_vergogne

  • Ghyslain Wattrelos a perdu sa femme et deux enfants dans le vol MH370 : « La France m’a lâché » - LCI

    https://www.lci.fr/faits-divers/video-vol-mh370-avion-disparu-ghyslain-wattrelos-a-perdu-sa-femme-et-deux-enfant

    @simplicissimus que penses-tu de cette émission de TF 1 ?

    INTERVIEW - Il vient d’écrire à Emmanuel Macron pour que la France sorte du silence et l’aide à connaître la vérité sur la disparition du vol #MH370. Ghyslain Wattrelos, qui a perdu trois membres de sa famille dans le drame il y a quatre ans, publie un livre dans lequel il raconte son combat, et accuse.
    01 mars 10:58Propos recueillis par Tristan MICHEL

    C’est un mystère qui a tenu en haleine la planète entière. Le 8 mars 2014, le vol MH370 disparaît des radars avec 239 personnes à son bord. Impossible de retrouver sa trace. Comment un engin de 300 tonnes a-t-il pu ainsi s’évaporer ? Les annonces se succèdent, de la compagnie Malaysian Airlines, du gouvernement malaisien, des autorités chinoises, australiennes... Annonces partielles, contradictoires, vaines. Près de quatre ans après, les seules traces matérielles du Boeing 777 disparu sont un flaperon et un morceau d’aile, retrouvés sur une plage de La Réunion en juillet 2015 et sur l’île Maurice en mai 2016.

    • Je n’avais encore pas écouté G. Wattrelos, j’ai écouté cette émission, ainsi que celle du mois dernier, toujours sur LCI.
      https://www.youtube.com/watch?v=ZCNIxMywM-Y

      Il semble très mesuré et on ne peut qu’être d’accord avec lui quand il dénonce l’absence de transparence. Demander communication des pièces existantes parait évident, mais c’est non…, du coup, imaginer qu’il y a des gens qui savent quelque chose ou des bouts de quelque chose parait raisonnable.

      Comment fonctionne le comité d’enquête conjoint (JIT) ? Les participants ont-ils conclu un accord de non-divulgation comme pour l’enquête sur le MH17 où chaque participant au JIT, potentiellement impliqué au demeurant, peut mettre son veto sur la divulgation d’informations ? C’est probable mais on n’en sait rien. Auquel cas, la France, apparemment membre du JIT, ne pourrait de toutes façons rien révéler et ceci pourrait expliquer l’absence évidente de soutien à G. Wattrelos. Et je dois dire que son calme – qui n’est visiblement pas de la résignation – devant le fait qu’on le ballade assez ouvertement est assez impressionnant.

  • Réforme de l’assurance-chômage : pourquoi cette alliance entre syndicats et patronat face au gouvernement ? - LCI
    https://www.lci.fr/politique/reforme-de-l-assurance-chomage-cotisations-sociales-pourquoi-cette-alliance-entr

    A la veille de l’ouverture des négociations sur la réforme de l’assurance-chômage, les syndicats et organisations patronales ont lancé une mise en garde commune au gouvernement. Ils s’inquiètent d’une remise en cause de leur gestion paritaire et des conditions de l’extension de l’assurance-chômage aux indépendants et aux salariés démissionnaires.

    Ils en parlaient l’autre soir au journal du LeMedia (qui me force à aller sur youtube pour pouvoir le consulter...).

    Pendant que lémédias s’écharpent pour savoir si Macron a ses nerfs sous contrôle ou pas au Salon de l’Agriculture, la remise en cause de la gestion paritaire c’est en gros ça :
    1) Comme l’assurance chômage est financée par la CSG, ça veut dire que c’est financé par l’état.
    2) Donc, on décide que les décisions sur le fonctionnement de l’assurance chômage, c’est l’état qui les prend.
    3) Demain, l’état décide de déléguer au privé l’assurance chômage.

  • Père célibataire, vous avez trois fois plus de risque de mourir plus tôt que les autres - LCI
    https://www.lci.fr/sante/pere-celibataire-vous-avez-trois-fois-plus-de-risque-de-mourir-tot-que-ceux-en-c

    Seuls ou en couple, les pères ne sont pas égaux face au risque de mourir prématurément. C’est en tout cas ce qui ressort d’une étude canadienne publiée mercredi 14 février 2018 dans la prestigieuse revue scientifique et médicale britannique The Lancet. « Notre étude souligne que les pères célibataires ont une mortalité plus élevée et démontre la nécessité de politiques de santé publique pour contribuer à identifier et soutenir ces hommes », affirme l’auteure principale de cette étude, Maria Chiu, chercheuse en santé publique à l’université de Toronto.
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    Selon les données, issues de questionnaires de santé posés à 40.500 personnes entre 2000 et 2012, le taux de mortalité atteignait 5,8‰, chez les 871 pères sans compagne déclarée. Chez les mères célibataires, il n’était que de 1,7‰ et chez les pères en couple de 1,9‰.
    La faute au stress et au mode de vie moins sain

    Mais ces différences s’expliquent en partie par certains facteurs spécifiques à ces pères célibataires, qui sont en moyenne plus âgés et plus souvent atteints par le cancer ou les maladies cardiovasculaires. Mais, même en en dehors de ces facteurs, le risque de mortalité reste deux fois plus élevé.

    Quels pourraient être les autres facteurs ? Les chercheurs soupçonnent le stress et des modes de vie moins sains tels qu’une alimentation peu équilibrée, un manque d’exercice physique, et une plus forte consommation d’alcool. En outre, ces hommes ont, semble-t-il, moins souvent un réseau social, une assistance sociale ou un soutien dans l’éducation de leurs enfants que les mères célibataires.

    Autre différence, les mères seules ont plus souvent été abandonnées par leur partenaire avant la naissance d’un enfant, tandis que les pères seuls sont plus fréquemment veufs, divorcés ou séparés après une relation durable.

    Selon les derniers chiffres publiés par l’Insee, les mères célibataires sont sept fois plus nombreuses que les pères célibataires.

    On se demande pas dans quel état sont les enfants élevés par ces pères célibataires alcooliques, incapables de se nourrir correctement, désocialisés, qui ne sont pas fliqués par les services sociaux qui s’acharne sur les mères et laisse les pères en roue libre... L’étude se demande pas non plus si ces pères qui sont en sur-mortalité ne sont pas non plus sur-maltraitants vis à vis des enfants dont ils ont la charge éducative et parentale.

    L’article s’apitoie sur les pères qui n’ont pas de bonniches gratuite à domicile et présente les mères célibataires comme une catégorie favorisée par pléthore d’aides, de services auquel les hommes n’auraient pas accès.

    #sexisme #discrimination #mères_célibataires #nouveaux_pères #paternité #parentalité #enfance #éducation #mortalité

    • merci de ta lecture Je n’ai pas eu le courage de me taper l’étude pour en comprendre réellement le fond, qui /vers/ quoi mais le côté perdu sans maman m’est aussi apparu @mad_meg :)

  • Des internautes cyberharcelées pour un tweet sur la couleur des sacs à dos : l’appel au calme du community manager de Decathlon - LCI
    https://www.lci.fr/societe/des-internautes-cyberharcelees-pour-un-tweet-sur-la-couleur-des-sacs-a-dos-le-co

    La polémique de Decathlon sur les sacs à dos relancée. Début août, une internaute publiait le cliché pris en rayon du magasin de sport de deux sacs de randonnée équipés respectivement d’une étiquette rose et bleue, se demandant pourquoi ces articles « ont un sexe ». S’ensuivit d’une série de tweets d’insultes. Aussitôt, le community manager, qui gère l’identité numérique de Décathlon France, avait expliqué à la jeune femme que « les sacs sont simplement adaptés aux morphologies féminines et masculines, rien de plus ».

    Mais la certaine « Léa » avait alors dû faire face à un flots d’insultes de la part d’autres utilisateurs de Twitter, puis fait l’objet d’une discussion sur le forum 18-25 de Jeuxvideo.com, dont une partie des utilisateurs se spécialisent dans les « raids » numériques contre des femmes. Le community manager avait déjà appelé à faire cesser cette campagne de cyberharcèlement. Quelques mois plus tard, ces produits continuent de provoquer l’ire de certains. Dans son sillage, deux autres utilisatrices, qui se définissent comme des féministes, ont signalé, mercredi 7 février, ces couleurs si particulières autour des sacs à dos... pour finir à leur tour dans le viseur d’autres internautes. Six mois plus tard, l’échange tendu sur Twitter a repris, au grand dam de Décathlon.

  • Les plus riches ont accaparé 82% de la richesse mondiale créée en 2017 - Le Temps
    https://www.letemps.ch/economie/2018/01/22/plus-riches-ont-accapare-82-richesse-mondiale-creee-2017


    La #croissance, pour leur gueule et pour continuer à niquer l’environnement. La #rigueur pour nous, pour transférer les ressources de tous pour gaver quelques uns !

    Une étude publiée lundi par Oxfam montre que 50% de la population mondiale n’a pas touché le moindre bénéfice de la croissance mondiale l’an dernier, alors que le 1% le plus riche en a empoché 82%