• APPEL A TÉMOIGNAGES : Vous êtes parent et vous avez dû faire face à la délinquance de votre enfant, racontez-nous

    Alors, je m’appelle Éric DM, je préfère garder l’anonymat, mais mon petit con s’est fait gauler parce qu’il est trop idiot pour dessouder sa morue sans laisser de traces, ce qui la fout mal quand ton père est garde des sceaux.
    J’ai été dévasté par la connerie de ma progéniture. Heureusement, je peux me venger sur les parents pauvres, ça me réconforte beaucoup.

    https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/le-fils-d-eric-dupond-moretti-mis-en-examen-et-place-sous-controle-judi

    Je suis Valérie P. et mon gosse est un boulet camé. Bon, après, il suffit de gueuler au complot et de porter plainte contre ces fouille-merdes de journalistes qui ont oublié qui est le boss par ici.
    Plus de problème de RP à gérer que de mal.

    https://www.leparisien.fr/politique/arrestation-de-son-fils-pecresse-veut-savoir-qui-a-renseigne-les-journali

  • Seine-Saint-Denis : un protocole inédit pour faciliter l’accueil des femmes victimes de violences sexuelles
    https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/seine-saint-denis-un-protocole-inedit-pour-faciliter-l-accueil-des-femm

    En Seine-Saint-Denis, un protocole a été mis en place mardi 7 décembre entre la police, la justice et le centre hospitalier de Saint-Denis pour permettre de collecter les preuves dans un lieu unique.

    Ce protocole permet de simplifier la prise en charge des victimes via un dispositif d’écoute, d’examen médical, de conseil et d’assistance juridique pour un éventuel dépôt de plainte en un lieu unique. Les preuves pourront même être recueillies sans plainte et seront conservées. Lorsque « la victime se sentira prête », ces éléments pourront être utilisés lors du dépôt de plainte, a détaillé Eric Mathais, procureur de Bobigny.

    • « Je suis abasourdie que cette personne, condamnée pour des violences intrafamiliales un mois avant, qui a des problèmes d’addictions à l’alcool, soit laissée en contact avec le public, a réagi l’avocate de la famille de la victime, Solène Roquain-Bardet. On a, par les politiques mises en place depuis quelques années, gagné un peu la confiance des victimes qui poussaient plus facilement la porte des commissariats depuis quelque temps. Là, malheureusement, toutes ces informations nous font reculer d’un pas. »

      Le tribunal correctionnel de Bordeaux avait condamné ce fonctionnaire de police le 10 février à une peine de 8 mois de prison avec sursis probatoire et non-inscription de cette condamnation au casier judiciaire B2, rapporte le parquet. Le policier « a reconnu les faits, précisant être suivi par un addictologue », écrit Le Canard enchaîné dans son édition du 21 juillet.

      Faire partie de la police devrait être une circonstance aggravante à la commission des crimes et délits or c’est exactement l’inverse.

    • j’ai entendu cette info à la radio et une psy disait qu’une femme sur cinq était agressée en France en 2021 et qu’à cette date il y a eu 64 féminicides.
      https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/feminicide-de-merignac-le-rapport-d-inspection-sera-transmis-la-semaine

      Un deuxième rapport d’inspection sur le drame de Mérignac « sera transmis la semaine prochaine au Premier ministre », a annoncé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin jeudi 22 juillet. « À sa suite, je proposerai de prendre toutes les sanctions qui s’imposent à tous les niveaux de la chaîne de responsabilité. »

      à ce compte là, ce n’est plus un train de retard.

    • Violences conjugales par des policiers : l’insupportable inertie du gouvernement
      23 juillet 2021 Par Sophie Boutboul
      https://www.mediapart.fr/journal/france/230721/violences-conjugales-par-des-policiers-l-insupportable-inertie-du-gouverne
      Le policier qui a pris la plainte de Chahinez Daoud, victime d’un féminicide conjugal le 4 mai, avait été condamné pour violences sur son ex-conjointe. Les autorités doivent enfin s’emparer des violences intrafamiliales commises par des gendarmes et des policiers.

      Chahinez Daoud a été auditionnée, en février dernier, pour des violences conjugales, par un policier condamné pour violences contre son ex-conjointe. Quelques mois plus tard, le mari de Chahinez Daoud l’a blessée par balle puis l’a brûlée vive, à Mérignac, près de Bordeaux.

      L’histoire de la jeune femme n’est pas un cas isolé.

      À travers la France, en métropole comme outre-mer, des policiers et des gendarmes auteurs de violences sur leur (ex)-conjointe reçoivent de manière inadaptée des femmes victimes de violences, refusent parfois leur plainte, minimisent les violences subies auprès de la justice ou traitent mal leur dossier…

      Il ne s’agit pas de faire des généralités sur tous les policiers et les gendarmes, mais d’entendre que ce phénomène existe et que, malheureusement, il n’est pas suffisamment pris en compte par les autorités françaises.

      Dans le cas de la plainte de Chahinez Daoud déposée en mars 2021, il y a « un doute sérieux sur le soin » apporté par ce policier, ainsi que sur la « grille d’évaluation du danger » et « la fiche d’évaluation » de la victime, remplies puis transmises au parquet, selon le rapport des inspections générales de l’administration et de la justice cité par Le Canard enchaîné.

      Ce policier avait lui même été condamné pour « violences habituelles » contre son ex-conjointe le 10 février à huit mois de prison avec sursis, avec une non-inscription au casier judiciaire B2. Toujours selon Le Canard enchaîné, la hiérarchie de ce policier était « parfaitement au courant » de sa condamnation. L’un de ses chefs a tout juste reconnu que « son affectation au bureau des plaintes “était discutable” ».

      Si le policier ou gendarme qui reçoit ces femmes est lui même agresseur, le traitement sera forcément biaisé.

      Comment ne pas penser alors à toutes les plaintes prises pour violences intrafamiliales par ce policier agresseur au fil des années ? Vont-elles être réexaminées pour déterminer si d’autres femmes que Chahinez Daoud ont potentiellement été mises en danger par un traitement trop léger de leurs plaintes ? Et quid de toutes les plaintes prises par ces hommes violents encore en poste en brigade ou en commissariat ?

      Les plus hautes autorités de l’État, les différents ministres de l’intérieur sous plusieurs présidents, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) sont alertés depuis plusieurs années, sans qu’aucune mesure de précaution et de protection ne soit prise. Et sans qu’ils prennent ce sujet à bras-le-corps dans le cadre du Grenelle contre les violences conjugales de 2019.

      Il y était pourtant question de formation des policiers et gendarmes, mais il manquait celle de la sensibilisation et de la prévention sur les violences dans leur foyer ou dans ceux de leurs collègues… Les violences de genre commises dans le couple par des policiers et des gendarmes sont une problématique à part entière qui mérite d’avoir sa place dans leurs formations, qui mérite d’être questionnée dans le recrutement, et qui mérite d’être prise en compte dans leurs examens et suivis psychologiques (parfois quasi inexistants).

      Mérignac, le 7 mai 2021. Des passants se recueillent devant le domicile de la Chahinez Daoud, victime d’un féminicide conjugual le 4 mai. © Photo Stéphane Duprat / Hans Lucas via AFP Mérignac, le 7 mai 2021. Des passants se recueillent devant le domicile de la Chahinez Daoud, victime d’un féminicide conjugual le 4 mai. © Photo Stéphane Duprat / Hans Lucas via AFP

      Porter plainte pour violences conjugales est déjà d’une difficulté inouïe pour toutes les femmes violentées… Pour les conjointes de policiers et de gendarmes, les menaces et le pouvoir supposé de l’agresseur créent une crainte supplémentaire (« C’est moi la loi », « C’est ta parole contre la mienne », « Ta plainte, elle reviendra sur mon bureau », « Tu n’es rien, je suis agréé, assermenté, je connais le procureur »…).

      Et si le policier ou gendarme qui reçoit ces femmes est lui même agresseur, le traitement sera forcément biaisé. Ce n’est pas uniquement celui de la victime qui l’est mais aussi celui de l’agresseur : traitement de faveur en garde à vue (accès au téléphone, connivence…), disparition de pièces de procédure, protection du « collègue »...

      Les ex-conjointes de ces hommes violents crient leur désarroi depuis des années aux autorités, leur dépit de voir leur agresseur continuer à exercer, arme au ceinturon, et recevoir, dans le cadre de ses fonctions, des femmes et enfants victimes de violences intrafamiliales. Mais les différents ministres de l’intérieur semblent ne pas s’y intéresser, faisant fi de leur parole, de leurs questionnements, les ignorant…

      De plus, la justice, quand elle condamne ces hommes pour violences conjugales, les dispense souvent d’une inscription au casier judiciaire B2 qui les empêcherait automatiquement d’exercer.

      Nous avons saisi et questionné le ministère de l’intérieur dès 2018 sur cette antinomie : en cas de condamnation d’un policier ou d’un gendarme actif ou réserviste pour violences conjugales, vous semble-t-il cohérent que le fonctionnaire continue à exercer ou à former d’autres policiers ou gendarmes ? Ne vous semblerait-il pas logique que des protocoles/procédures automatiques soient mis en place pour que des policiers ou gendarmes condamnés pour violences conjugales ne soient plus en contact avec du public/ des victimes ?

      La réponse du service communication du ministère en 2018 disait ceci : « Comme tout fait à caractère pénal mettant en cause un policier, le responsable hiérarchique est tenu d’agir disciplinairement à partir du moment où un lien peut être fait avec le service ou si le comportement du fonctionnaire, même dans la sphère strictement personnelle, porte atteinte à l’honneur de la police nationale. En cas de condamnation pénale pour un comportement strictement privé, une sanction disciplinaire, qui peut aller jusqu’à la révocation, est possible en fonction du quantum de la peine et des peines complémentaires prononcées. »

      Du cas par cas, donc… et souvent en faveur des policiers ou gendarmes. Dans le dossier de Chahinez Daoud, le policier condamné en février devait passer un conseil de discipline. Plus de cinq mois après sa condamnation, celui-ci n’a toujours pas eu lieu…

      En Uruguay, en Angleterre, aux États-Unis, les violences intrafamiliales des forces de l’ordre font l’objet d’un traitement spécifique

      En juillet 2014, le grand-père d’une petite fille de 4 ans tuée par son père, policier, de huit balles dans le corps tirées avec son arme de service, écrivait à Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur de l’époque, et à Manuel Valls, alors premier ministre. Il les interpellait sur plusieurs problèmes : la détection des comportements violents pour des fonctionnaires armés, la vigilance dans les recrutements sur la santé mentale des futurs policiers, la question du port de l’arme de service en congés… Une réponse cordiale lui a été faite, on lui a assuré que « ses interrogations seraient transmises à l’IGPN », puis rien.

      En 2018, le ministère de l’intérieur nous avait aussi assuré que « l’arme de service est retirée dès qu’il y a le moindre doute ». Carine R. 24 ans, a été abattue le 26 février 2016, de trois balles dans la tête tirées par son ex-compagnon avec son arme de service, devant leur fils de 2 ans assis à l’arrière du véhicule. Carine R. avait appelé le 17, déposé plainte. Rien n’a été fait pour la protéger.

      Cette question des violences conjugales commises par des agents des forces de l’ordre est pourtant traitée à l’étranger, en Uruguay, en Angleterre, aux États-Unis. Ainsi, en 1991, une psychologue américaine, Leanor Boulin Johnson, a présenté ses travaux sur la vie de couple dans les foyers de policiers à la Chambre des représentants. Lors de sa première enquête, 40 % des 728 policiers sollicités déclaraient avoir commis des violences sur leurs enfants et leur épouse au cours des six mois précédant l’étude, des chiffres confirmés par une nouvelle recherche en 2005.

      En 2018, nous soulevions déjà cette question dans Mediapart, ici ou là. En 2019, nous avons publié Silence on cogne, coécrit avec Alizé Bernard (voir notre Boîte noire), et on racontait la galère d’une ex-conjointe de policier violentée convoquée au tribunal… Et cela ne touche pas que la police et la gendarmerie nationale mais aussi la police municipale, comme nous le racontions à propos d’Aix, où la maire a refusé de sanctionner un policier municipal condamné pour violences conjugales.
      Lire aussi

      Violences conjugales : les femmes de gendarmes et de policiers ont le plus grand mal à faire valoir leurs droits Par Sophie Boutboul
      A Aix, la maire refuse de sanctionner un policier municipal condamné pour violences conjugales Par Sophie Boutboul

      Il aura fallu attendre mars 2021 pour que le sujet fasse son entrée à l’Assemblée nationale. Après avoir été interpellée par la militante féministe Stéphanie Lamy, la députée du Val-d’Oise Fiona Lazaar a déposé une « question au gouvernement » sur le sujet : elle demande au ministère de l’intérieur des données sur « le nombre de procédures disciplinaires ouvertes à destination de policiers ou gendarmes pour des faits supposés de violences intrafamiliales ».

      Une pétition a été lancée par le collectif Abandon de famille, dont l’intitulé est : « Gérald Darmanin, savez vous combien il y a de policiers auteurs de violences faites aux femmes ? »

      Les autorités n’ont toujours pas réagi. Il est temps que la voix de ces femmes violentées soit entendue, et que toutes les femmes soient réellement protégées. Les cadavres ne doivent plus s’accumuler.

      #féminicide #sexisme #police #violence_intrafamiliale

    • Accrochez vous notre ministre des violences policières et des extorsions de services sexuels a déjà réglé le pbl sur twiter

      Gérald DARMANIN ;

      Nouveauté au commissariat d’Orléans : une signalétique différente et deux files d’attente distantes : une avec un rond orange 🟠 pour les personnes victimes de viol, de violences conjugales ou intrafamiliales et une avec un rond bleu 🔵 pour les victimes d’une autre infraction.

  • Inceste : un conseiller régional du Rassemblement national mis en examen pour viols sur sa belle-fille de 12 ans
    https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/inceste-un-conseiller-regional-du-rassemblement-national-mis-en-examen-

    Un conseiller régional du Rassemblement national en Normandie, âgé de 76 ans et résidant dans la Manche, a été mis en examen pour le viol de sa belle-fille de 12 ans et incarcéré, a annoncé mardi 26 janvier le procureur de Coutances (Manche).

    La victime a déclaré avoir subi « régulièrement et depuis près d’une année des actes sexuels commis par son beau-père », a indiqué le procureur Cyril Lacombe dans un communiqué. « La personne mise en cause, entendue sous le régime d’une garde à vue, reconnaissait partiellement les faits », a-t-il précisé.

    • Il me semble important de ne pas invisibilisé le sexisme de ce discours, or je ne voie pas grand monde pour en parler. Les commentaires font comme si ce type de discours était rare et interdit alors que la fenêtre est grande ouverte sur l’injonction faites aux femmes de se mettre au service d’hommes à travers la conjugalité et surtout la procréation. Dans le concret c’est le message que toute la société porte aux femmes.

      #sexisme #violence_économique #couple #femmes #divorce #déni #invisibilisation

      http://www.payetondivorce.fr/2019/11/06/divorce-violence-argent

      Une fois débarrassées de notre conjoint violent, nous tombons sous le coup d’une autre violence, dans l’indifférence générale.

      Et si hier une banale et proprette nazillonne a pu tranquillement cracher sur une chaîne d’info que les femmes au smic n’ont pas à divorcer, ce n’est pas du tout parce qu’elle a eu le culot dégueulasse des fachos décomplexés, mais parce qu’elle n’a fait qu’exprimer une vérité que la société toute entière approuve, sans même le savoir. La petite faf d’hier n’a pas proféré une horreur inédite : elle a verbalisé un constat que nous, femmes divorcées avec les huissiers au cul, nous faisons chaque jour. Quand on a pas de fric on ne divorce pas. Et si on divorce quand même, on le paiera.

      Depuis le 6 mai la société ne me dit qu’une seule phrase, toujours la même, à chaque courrier, à chaque mise en demeure, à chaque prélèvement rejeté, à chaque article que je sors de mon caddie : “Marche ou crève, connasse”.

      Et je crois que je fais les deux en même temps, jour après jour. Je marche, et je crève. Je suis dévorée de colère, mais ma colère est politique, et elle se dresse contre une violence économique, infligée de façon systémique à des femmes parce qu’elles ont divorcé. Cette violence n’est pas le fruit de notre inconséquence ou d’une décision mal pesée au regard de nos moyens financiers. Elle est le fruit d’une répression organisée, visant à nous tenir en laisse, à nous empêcher de sauver notre peau. Et comme on ne plie pas et qu’on divorce quand même, on n’a qu’à se débrouiller et crever sous les dettes et le manque de pognon, le manque d’aides, le manque de soutien. Après tout, on s’en est sorties, on l’a quitté ce sale con, qu’est-ce qu’on veut de plus, il y a des femmes qui meurent assassinées quand même, un peu de décence, fermez vos gueules les survivantes au frigo vide. Vous êtes indésirables, invendables pour les assos, invendables dans les médias, tout le monde s’en fout de ce qui va vous arriver.

      Ne l’oubliez pas quand vous me voyez mendier du fric sur internet, ou quand vous voyez passer les appels au secours de celles qui comme moi paient leur décision à chaque minute de leur nouvelle existence, toujours vivantes et dépérissant face à des gens qui détourneront forcément le regard à la fin de la première saison, puisque leur histoire n’est plus assez sexy pour émouvoir, et que le récit d’un naufrage quotidien, à base de paquets de nouilles et de rage frustrée, sera toujours moins vendeur que la photo d’un visage couvert de bleus ou des pancartes agitées sous vos yeux. Vous nous préférez mortes, en fait.

      Sentez-vous coupables de nous laisser crever en espérant que ça s’arrangera tout seul ou qu’on aura un truc plus passionnant à raconter au prochain épisode. Vous êtes tous coupables. Comme je le suis d’avoir divorcé, alors que je n’ai même pas un SMIC. C’est ce qu’on me prouve chaque jour.

    • Elle a joué son rôle, elle a étendu la fenêtre d’Overton ; L’incorrect va pouvoir passer pour un magazine modéré ; mission accomplie pour la soldate ultra conservatrice Graziani.

      Après ses propos polémiques sur les mères célibataires, l’éditorialiste Julie Graziani renvoyée du magazine « L’incorrect »

      « La rédaction a décidé qu’en aucun cas Julie Graziani ne pouvait plus la représenter, à la télévision ni ailleurs, sur les réseaux sociaux ou dans quelques médias », explique le directeur du mensuel sur son site internet.

      https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/apres-ses-propos-polemiques-sur-les-meres-celibataires-l-editorialiste-
      #violences_faites_aux_femmes

  • Tout ce que le néogrenelle ne veut pas entendre
    https://joellepalmieri.wordpress.com/2019/09/05/tout-ce-que-le-neogrenelle-ne-veut-pas-entendre

    Ce graphique est librement traduit de matériels produits par la campagne états-unienne contre le viol « 11thprincipleconsent ». Une version française, produite par le collectif « Féministes contre le cyberharcèlement », précise cette notion de culture du viol. Au moment où se tient en #France le « Grenelle contre les #Violences conjugales », il m’est apparu impératif de me servir de … Lire la suite →

    #Humeurs #Domination #Masculinisme #Militarisation #Pensée


    https://0.gravatar.com/avatar/9756ba41fe8333157071419a20733f4a?s=96&d=https%3A%2F%2F0.gravatar.com%2Fa

  • #Féminicides : un collectif demande à Emmanuel Macron de prendre « cinq mesures immédiates »
    https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/un-collectif-demande-a-emmanuel-macron-de-prendre-cinq-mesures-immediat

    Ce texte appelle notamment à « donner la consigne ferme aux commissariats et gendarmeries qu’aucune femme victime de violence au sein du couple ne reste sans réponse » et à augmenter le nombre d’ordonnances de protection attribuées en France (1 300 par an actuellement, contre 20 000 en Espagne). Sont également demandées la « suspension de l’autorité parentale d’un père meurtrier le temps de l’instruction », l’ouverture de places d’hébergement supplémentaires et la mise en place d’un « plan de détection systématique des violences à l’hôpital ».

    Un lien dans l’article renvoie vers les principaux chiffres sur les violences au sein du couple : https://stop-violences-femmes.gouv.fr/les-chiffres-de-reference-sur-les.html

    De très intéressantes et régulières études sont publiées sur ces violences par la délégation aux victimes du ministère de l’intérieur. On trouvera à la suite les rapports pour les années 2017 (a), 2016 (b) et les plus anciens (c) :
    a. https://www.centre-hubertine-auclert.fr/sites/default/files/fichiers/etude-nationale-sur-les-morts-violentes-au-sein-du-couple-a
    b. https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/wp-content/uploads/2017/09/Etude-nationale-sur-les-morts-violentes-au-sein-du-couple
    c. https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/publications/droits-des-femmes/lutte-contre-les-violences/morts-violente-au-sein-du-couple

  • Filmer sous les #jupes des #femmes à leur insu va devenir un #délit
    https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/filmer-sous-les-jupes-des-femmes-a-leur-insu-va-devenir-un-delit_286380

    Nommée « #upskirting », cette pratique se heurtait à un flou juridique. Un amendement au projet de loi contre les #violences_sexistes et sexuelles prévoit de faire condamner les auteurs de tels agissements à un an de prison et 15 000 euros d’amende.

  • Colère en Espagne à la suite de la condamnation pour « abus sexuels » de « la Meute » de Pampelune
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2018/04/26/colere-en-espagne-apres-la-condamnation-pour-abus-sexuels-de-la-meute-de-pam

    Ils se surnommaient « la Meute ». Cinq hommes ont été condamnés à neuf ans de prison, jeudi 26 avril en Espagne, pour « abus sexuels » et « abus de faiblesse » sur une femme de 18 ans aux fêtes de la San Fermin, à Pampelune – la capitale de la Navarre –, en juillet 2016.

    Les cinq Andalous âgés de 27 à 29 ans – dont le groupe de messagerie WhatsApp était appelé « La Manada » (« la Meute ») – ont également été interdits d’approcher la victime à moins de 500 mètres et de la contacter pendant quinze ans. Ils devront par ailleurs lui verser une indemnisation de 50 000 euros.

    Mais la décision du tribunal de Pampelune a provoqué la colère des associations de défense des droits des femmes, qui déplorent que l’accusation de viol n’ait pas été retenue par la justice. La condamnation est en effet très inférieure aux réquisitions du parquet, qui demandait vingt-deux ans et dix mois de réclusion contre chacun d’eux, ainsi que 100 000 euros d’indemnisation totale.

    Article bizarre où tu sais quelles étaient les réquisitions, mais où tu ne vois jamais quelles sont les peines réellement jugées.

    • Espagne : polémique après la condamnation de cinq hommes pour « agressions sexuelles » et non pour « viol »
      https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/espagne-polemique-apres-la-condamnation-de-cinq-hommes-pour-agressions-

      Cinq Espagnols ont été condamnés à neuf ans de prison par le tribunal de Navarre, jeudi 26 avril, pour des « abus sexuels » commis sur une jeune femme de 18 ans. Les faits s’étaient déroulés à Pampelune, lors des fêtes de San Fermín en juillet 2016. Âgés de 27 à 29 ans, les agresseurs s’étaient eux-mêmes vantés de leurs actes. Sur un groupe WhatsApp intitulé « la meute », ils s’étaient envoyé une vidéo des faits, avec le message « en train d’en baiser une à cinq ».

      Sauf que le « viol » n’a pas été retenu par les juges. Le Code pénal espagnol stipule qu’il doit y avoir « intimidation » ou « violence ». Une décision qui a aussitôt suscité une vague de protestations. Et ce, dès la sortie du tribunal. Des manifestants ont crié « ce n’est pas un abus sexuel, c’est un viol ». Même réaction sur Twitter, avec le hashtag « moi je te crois, ma sœur » ("#YoTeCreoHermana).

      On trouve les infos complètes ailleurs.