• « Je pense qu’il faut qu’on commence à faire des listes. De la même façon que je commence à faire des listes des personnes qu’il faudrait accuser. De la même façon que je fais des listes de mesures pour s’assurer que l’oligarchie perde le pouvoir très rapidement. »

      (pas vu la vidéo d’où est tiré cet extrait cité par rebellyon, 1h40 de monologue en gros plan fixe...)

    • Il y a quelques mots qui sont de vrais repoussoirs à mon goût au moment de lire un texte, et quand on souhaite penser clairement :
      pseudo-truc
      bobo
      confusion-niste/nisme
      – ...

      Le mot « confusionnisme » utilisé pour ostraciser, c’est lourdingue et ça n’apporte rien à la réflexion, surtout quand l’éventuelle confusion n’est trop souvent pas explicitée.

      Donc, voilà, j’ai pas lu le texte au-delà du mot « confusionnisme ». Tant pis pour moi. Et pourtant, j’ai pas grand chose à foutre de Juan Branco. Et pourtant, je pense qu’on gagnerait à réfléchir et échanger avec plus jeune que soit. Et pourtant, je n’ai pas la sensation qu’on demande à ce livre et à son auteur, autre chose que de nous édifier sur les mœurs délétères de nos « premiers de cordées ».

      Je causais de ce qui faisait que les gens professionnellement bossent avec telle ou telle société, plutôt qu’avec telle ou telle autre. Une conclusion était : les gens bossent avec d’autres gens plutôt qu’avec une société en particulier. Parfois, la société joue... mais souvent, c’est bien l’individu qui compte, même s’il se révèle in-fine moins compétent que d’autres sociétés. C’est pénible, mais la rationalité a parfois bien du mal à se frayer un chemin dans nos choix de délégation, ... et notre nature première d’être humain.

    • J’ai lu le paragraphe suivant, là où on trouve des « parce que ».

      Maxime Nicole, combien de divisions ?
      Etienne Chouard, combien de divisions ?

      Encore une réflexion centrée sur les individus. Encore une réflexion supposément stratégique, où l’enjeu serait « l’alliance » blablabla, avec celui-ci ou celui-là.

      Ce qui les emmerde, les anti-confusionnistes-prout, c’est qu’on ne les lit pas assez... Ils produisent de la super-réflexion-stratégique-anti-capitaliste-vraiment-utile, mais personne ne les lit. Pas comme Maxime Nicole ou Etienne Chouard, qui sont invités et lus, dont on se fout de ce qu’ils produisent, à partir du moment où... merde, ils vont là où on souhaite débattre avec eux. Et qu’ils ne sont pas au courant qu’il y a des endroits cacas. Parce que le monde il est fait d’endroits cacas-confusionnistes et d’endroits bien sous tous rapports conformes à la lutte des classes Label Rouge.

      J’avoue avoir toujours autant de mal avec l’ostracisme de certains milieux militants. Je me sais terriblement pragmatique, et soucieux d’opérationnalité, et j’entends les critiques faites à chacun de ces individus. Mais... un peu de sérieux dans la façon de critiquer bon sang. Qu’on sorte de l’ostracisme « prout ».

    • @biggrizzly je suis assez d’accord, c’est problématique ce genre d’attitudes pour rester « pur » (et puis mettre Lancelin, Chouard et Michéa dans le même sac c’est assez risible). Pourquoi ne pas inviter Branco et lui dire tout ça en face ? Je pense que ça dégonflerait la baudruche en plus de pouvoir préciser notre propre pensée politique (peut-être que ça aiderait Juan Branco à clarifier la sienne, qui sait ?). Parce que bon c’est facile de dire « c’est confus » mais je ne suis pas certain que beaucoup de militants sont capables d’expliquer très clairement leur pensée politique et leurs objectifs à court et moyen terme.
      En plus il y a des choses intéressantes à retenir dans son bouquin et toutes les personnes qui nous disent « on savait déjà » sont un peu présomptueuses, tout le monde n’est pas aussi bien informé que le militant d’extrême gauche lambda (ou toute autre personne « conscientisée »). Branco décrit bien la logique de classe à l’œuvre dans la bourgeoisie française, un sociologue écrirait tout ça en langage universitaire qu’on n’y trouverait rien à redire mais c’est juste que personne ne le lirait à part un petit milieu bien éclairé.
      Sur l’outing de Gabriel Attal je suis partagé, évidemment qu’outer quelqu’un est problématique mais à partir du moment où il y a un intérêt public à savoir, parce que cela touche à l’attribution de postes de pouvoir (et qu’a priori tout un milieu est au courant sauf le bas peuple), je serais moins catégorique sur le fait de ne pas outer, l’outing devenant en quelque sorte une question secondaire. Cela ne choque personne quand c’est fait pour des hétéros dans ce même cadre. On parle d’un homme qui a des responsabilités, qui a du pouvoir, qui fraye dans la bourgeoisie parisienne où l’homophobie est globalement plutôt mal vue désormais (enfin je crois), pas d’un mec au fond de son village pour qui un outing serait potentiellement catastrophique dans sa vie personnelle. Je n’ai pas d’avis définitif sur la question mais disons que je ne suis pas scandalisé outre mesure.
      Au final, on retient donc juste les choses qui déplaisent et on excommunie, on finit un jour par traiter de facho tous les sympathisants plus vite que son ombre, belle stratégie pour envoyer tout droit un tas de gens (ceux qui auront lu et apprécié le bouquin sans avoir tout l’appareil critique pour soulever tous les points problématiques) vers l’extrême droite, qui elle accueille à bras ouverts sans sourciller.

    • Non merci. L’outing est une méthode dégueulasse, pas seulement « problématique » !
      Cette interview de Philippe Mangeot à l’époque de la « menace » d’outing faite par Act Up (et d’ailleurs, sauf erreur de ma part, jamais mise en œuvre) délimite assez bien les contours du truc et les dangers qu’il y a à le manipuler :
      https://www.liberation.fr/france/1999/03/16/le-president-d-act-up-justifie-la-menace-d-outing-contre-un-depute-ceux-q

      Tu sembles vouloir retourner la culpabilité en disant qu’on enverrait les gens vers l’extrême-droite lorsqu’on critique ce genre de méthodes — mais ho ! S’ils en sont là c’est qu’ils y vont déjà de leur propre chef. Il faudrait accepter racisme, antisémitisme, homophobie etc pour « garder les gens à gauche » ? Ça n’a aucun sens…

      On pourrait se demander s’il n’y a pas aussi un léger soupçon de racisme social dans ton message, comme quoi l’homophobie serait plus grave au fond du village que chez les bourgeois parisiens. Merci de préciser d’où sort cette fulgurance, alors que ce qui est critiqué ici c’est justement cet acte homophobe avéré de la part d’un bourgeois parisien…

    • @fil je trouve juste que c’est aller vite en besogne que de qualifier d’extrême droite ou même d’homophobe Juan Branco. Encore une fois, l’outing en question est circonstancié, on en parle comme si c’était quelque chose d’abstrait mais Branco a juste dénoncé le fait qu’Attal a eu son poste en partie grâce à son compagnon, dévoilant au passage son homosexualité (c’est pour ça que je dis qu’il s’agit d’un point secondaire dans cette histoire). Et oui je pense et je maintiens que c’est plus simple et moins dangereux d’être homosexuel quand on est un bourgeois parisien que quand on est un prolo qui vit à la campagne (c’est bien pour ça que la plupart vont se réfugier dans les grandes villes) ce qui ne veut pas dire que ça ne pose aucun problème et que les bourgeois ne seraient aucunement homophobes. Mon opinion est peut-être faussée par le fait que je viens de la campagne et que je suis un prolo hein, je ne suis pas homosexuel mais j’ai bien vu la différence de traitements entre les deux environnements cités et le fait que le virilisme soit une valeur largement plus sollicitée à la campagne qu’en ville (et moi aussi c’est pour ça que je me réfugie en ville).

    • Rhétorique complotiste et sémantique extrême-droitiste : Rebellyon remet le couvert :

      https://rebellyon.info/Le-best-seller-de-Juan-Branco-un-opuscule-20685

      On a lu le bouquin de Juan Branco qui fait tant parler. C’est avec un vocabulaire d’extrême droite, une rhétorique du sous-entendu et des concepts bien foireux (l’oligarchie et ses « êtres ») que Crépuscule prétend nous dévoiler la marche du monde. Sauf qu’on y découvre pas grand-chose à part les obsessions de son auteur .../...

      Mais qu’est-ce qu’on a fait au Bourdieu ?

      Certain·es lecteur·ices ont sans doute découvert, grâce au livre de Branco, qu’il existe une classe dominante et qu’elle travaille à maintenir sa position par un système d’entre-soi bien rodé. Cela dit, il est très présomptueux de la part de l’auteur de prétendre en faire la révélation. Sans tous les citer, on peut penser aux travaux de Bourdieu et Passeron qui font aujourd’hui autorité, et que beaucoup connaissent sans les avoir lus, ou aux ouvrages des Pinçons-Charlot (qu’on aurait du mal à qualifier de « confidentiels »).

      Mais peut-être que ce qui séduit, c’est d’avoir cette fois le point de vue d’un insider un vrai, qui aime à se dépeindre en « traître à sa classe ». Pourtant, Branco ne semble guère doué pour la traitrise, puisque ce fils de la haute bourgeoisie est à présent un avocat de personnalités (ex-avocat de Mélenchon, défenseur d’Assange et Nicolle) et un polémiste médiatique... S’il veut réussir dans cette entreprise, on lui conseille de changer de méthode et de s’intéresser aux inspirantes réflexion développées sur le refus de parvenir.

      Cela dit, si l’on aime voir un milieu dépeint par ceux qui en proviennent, on regardera avec plus d’intérêt Les bonnes conditions de Julie Gavras, documentaire qui suit sur une période de treize ans huit jeunes du 7e arrondissement de Paris, du lycée à la trentaine. Documentaire lui-même réalisé par une « fille de » qui met son milieu d’origine à nu. Les mécanismes de reproduction sociale y sont très bien expliqués et on notera que le documentaire a été diffusé sur Arte, et qu’il est toujours disponible en ligne. On peut difficilement parler de censure.

    • Et on peut faire le lien avec Denis Robert, l’auteur de sa préface, qui n’hésite pas, d’après ce que j’en lis, à œuvrer par licenciement pour faute lourde, vis à vis de ses prédecesseurs·ses. Entre gens du même monde politique, ça a quelque chose de choquant (moi en tout cas, ça me choque, peu importe ce que ses prédécesseurs·ses ont fait). Mais quand on agit avec ses « couilles », comme il aime à parler, ça a du sens. Les couillus ont décidé de prendre les affaires politiques en main, et ça va déménager ! Z’allez voir...

      En fait, nous là, les gauchistes douillets, on les emmerde les gauchistes couillus, ils se sentent bridés.

  • Mongolia: A toxic warning to the world - BBC Reel

    https://www.bbc.com/reel/video/p074bqzb/mongolia-a-toxic-warning-to-the-world

    Quand je vois “Mongolie” je pense immédiatement @simplicissimus

    Mongolia: A toxic warning to the world
    23 April 2019|Environment

    All over the world cities are grappling with apocalyptic air pollution but the capital of Mongolia is suffering from some of the worst in the world.

    And the problem is intrinsically linked to climate change.

    • La question qui n’est pas abordée dans le petit film est la présence de structures d’état capables de prendre des décisions adéquates et d’imposer des mesures efficaces en fonction. A Berlin nous étions également exposés au smog causé par le charbon brûlé dans les poêles chauffant les appartements, mais on a su y trouver une solution.

      Nous sommes loin de faire tout ce qui est possible pour améliorer la qualité de l’air. Même les verts sont aujourd’hui tellement dépendant du jeux soi-disant démocratique que mes humbles idées sur la question sont extrémistes et radicales par rapport à leur grand programme de transformation pro-cycliste. Cette campagne ne consiste en vérité que dans une série de compromis absurdes qui ne font qu’aggraver les problèmes environnementales.

      Aujourd’hui notre problème est le nombre de véhicules polluants qui occupent toute la place et empêchent l’amélioration des transports en commun et le changement de cap vers une ville verte agréable pour les piétons et cyclistes.

      Pourtant on a réussi le remplacement du chauffage au charbon utilisé dans tous les bâtiments anciens jusque dans les année 1980. Il n’en reste que de rares appartements exotiques où on continue à brûler des « Briketts ». La généralisation des chauffages au gaz, au fuel et par récupération des la chaleur des centrales d’électricité est le résultat de l’injection d’amples subventions dans les immeubles. Tout au long des années 80 et 90 les plombiers réalisaient des chiffres d’affaires faramineuses en installant des chauffages au gaz dans des millions d’appartements.

      Il n’y a jamais eu d’interdiction de se chauffer au charbon et il y a toujours deux machands de charbon qui livrent à domicile. Le succès des mesures est sans doute dû à la gestion efficace des fonds. Depuis la ville de Berlin a vu l’amputation d’une grande partie de son administration dans l’élan néolibéral après 1989. Ceci a crée une situation où les services au citoyens ne suffisent plus, la croissance de la ville amplfie encore ce problème. Résultat : dans plusieurs secteurs professionnel les modèles d’affaires criminelles sont devenus incontournables pour tenir en vie une entreprise.

      Sous ces conditions il n’est plus sûr du tout si des décisons gouvernementales produisent l’effet désiré. Je crains qu’à Oulan-Bator le problème soit encore plus graves que dans le tier-monde allemand.

      L’autre problème expliqué dans le film est la désertification des steppes. Sachant que l’abondance d’eau dont nous jouissons est au fait assez précaire, la région qui entoure Berlin risque de subir des phénomènes semblables à celles obsevés dans les steppes de la Mongolie.

      Actuellement nous sommes à la troisième incendie de forêt de l’année seulement dans les limites de la ville. Dans un cercle de 100 kilomètres autour le sol n’est que du sable sauf quelques marécages qui ónt survécu la construction de drainages depuis le 18éme siècle. Les agriculteurs se plaignent déjá autant du manque de pluie que les employés de l’administration des espaces verts de la ville.

      La Mongolie c’est comme chez nous, il faudrait se le rappeller plus souvent.

    • Il n’en reste que de rares appartements exotiques où on continue à brûler des « Briketts ».

      À UB, le problème majeur est le chauffage. Comme en DDR, charbon de mauvaise qualité (genre la lignite…) en raison de son coût, mais aussi parce que l’anthracite est réservée à l’exportation. De plus, UB est situé dans une vallée assez encaissée orientée est-ouest. À l’entrée de cette vallée (et de la ville) sont situées la centrale (à charbon) pour l’électricité et celle pour le chauffage urbain (les célèbres canalisations bouillantes, gloire d’UB). Le seul truc (un peu !) sérieux entrepris par le gouvernement (ou la ville, je ne sais plus) est de proposer des radiateurs électriques avec électricité gratuite dans certains « quartiers de yourtes »…

      L’autre problème expliqué dans le film est la désertification des steppes.

      Dérèglement climatique comme il est bien indiqué dans l’article : hiver trop froid, avec 3 variantes trop de neige, trop de froid (glace), dans les 2 cas, les ovins et caprins ne peuvent pas se nourrir et trop sec, ce qui a l’aire d’être le cas cette année. Et de l’autre côté, étés trop secs ou trop pluvieux.

      Tu ajoutes à ça le surpâturage, facteur majeur de désertification, provoqué par la modification de la part des familles animales dans la composition du troupeau. La part des chèvres, de toute éternité fortement contingentée car destructrice (les chèvres arrachent les herbes) a fortement augmenté sous la pression économique (le cachemire)

      Sachant que l’abondance d’eau dont nous jouissons est au fait assez précaire,…

      Ça commence à se sentir, cf. les étiages quasi catastrophiques du Rhin et du Danube…

    • @aude_v L’année dernière l’armée allemande a mis le feu à d’immenses couches souterraines de tourbe. Suite à des tirs d’essai des kilomètres et kilomètres ont brulé pendant des mois sans possibilité d’intervention.

      En ce qui concerne les incendies de forêts je ne suis que l’actualité régionale. Jusque il y a peu de temps les incendies de forêts ne constituaient qu’une éventualité. On nous rappellait sans cesse de ne pas fumer pendant les ballades et de pas jeder de mégots par la fenêtre quand on roulait sur les autoroutes.

      Là les incendies arrivent de plus en plus souvent. Voici quelques sources qui décrivent le status quo et nous font comprendre si l’augmenation de cadence a vraiment llieu.

      Eh non ...

      Waldbrände | Umweltbundesamt
      https://www.umweltbundesamt.de/daten/land-forstwirtschaft/waldbraende#textpart-1
      https://www.umweltbundesamt.de/sites/default/files/styles/800w400h/public/medien/384/bilder/2_abb_waldbraende-schadensfl_2018-09-18.png?itok=qEGZFo12

      Waldbrände in Deutschland

      Mit deutschlandweit 424 Waldbränden ist 2017 die bisher niedrigste Anzahl an Waldbränden seit Erstellung der Waldbrandstatistik registriert worden. Mit einer betroffenen Waldbrandfläche von 395 Hektar (ha) war das Jahr 2017 ein unterdurchschnittliches Jahr im Vergleich zum mehrjährigen Mittel der Jahre 1993 bis 2016 (in diesem Zeitraum lag der jährliche Mittelwert bei durchschnittlich 1.001 Waldbränden und 505 ha betroffener Waldfläche pro Jahr), wobei die Waldbrandfläche um 39 Prozent (%) im Vergleich zum Vorjahr zunahm.

      52% des incendies sont la suite directe d’actes humains, 5% seulement ont des raisons naturelles.

      Ursachen für Waldbrände

      Im Wesentlichen sind zwei Faktorenkomplexe von besonderer Bedeutung für das Waldbrandgeschehen: Zum einen das menschliche Handeln (Brandstiftung und Fahrlässigkeit) und zum anderen das Klima- bzw. Witterungsgeschehen. Als Hauptursache für das Waldbrandgeschehen kann gemäß den Daten der Waldbrandstatistik (pdf) menschliches Handeln identifiziert werden (sofern eine Ursache ermittelbar ist). Klima und Witterung hingegen beeinflussen zusammen mit den lokalen Gegebenheiten (wie dem Vorhandensein von brennbarem Material) die Disposition einer Waldfläche für die Entzündung und in Folge das weitere Brandgeschehen (Feuerausbreitung). Fahrlässigkeit und Vorsatz (das heißt Brandstiftung) waren im Jahr 2017 für rund 52 Prozent (%) der Waldbrände ursächlich. Natürliche Ursachen, wie zum Beispiel Blitzschlag, waren hingegen nur für rund 5 % der Waldbrände der Auslöser. Bei ungefähr 36 % der Waldbrände konnte die Ursache nicht geklärt werden (siehe Abb. „Waldbrandursachen 2017“).

      Ce sont les statistques pour l’Allemagne entière.

      Le land Brandebourg est particulièrement touché par les incendies de forêts.

      FAQ : Warum brennt es in Brandenburg so oft ? | rbb|24
      https://www.rbb24.de/panorama/beitrag/2018/08/hintergrund-brandenburg-wald-waldbraende.html

      Im Jahr 2017 lag Brandenburg mit knapp 140 Bränden deutlich an der Spitze. In Hessen gab es 58 Waldbrände und in Bayern 44. In ganz Deutschland kam es im vergangenen Jahr zu 424 Waldbränden. Wie dramatisch die Lage in diesem Jahr ist, zeigt eine aktuelle Zahl: Allein in Brandenburg wurden bis Mitte August 405 Feuer in Wäldern gezählt.

      Warum ist Brandenburg so häufig betroffen?

      Nirgends in Deutschland gibt es laut Potsdamer Forstministerium so viele Kiefern wie in Brandenburg - auf rund 70 Prozent der Waldfläche des Bundeslandes stehen die Nadelbäume. Schon im 18. Jahrhundert war der Holzbedarf groß, weshalb die im Mittelalter noch vorherrschenden Eichen und Buchen durch die genügsamen und schnell wachsenden Kiefern ersetzt wurden. Das setzte auch die DDR fort. Diese Monokulturen auf oft sandigem Boden sind stärker waldbrandgefährdet als Laub- und Mischwälder. Zudem trocknet der aus Kiefernnadeln bestehende Boden schnell aus und kann ebenfalls brennen. Zusätzlich ist die durchschnittliche Regenmenge in Brandenburg deutlich geringer als etwa in Bayern.

      Voilà.

      On pourrait ajouter que les « fleuves » de Berlin coulent si lentement qu’ils n’emmènent quasiment pas d’eau. Parfois ils changent même de sens et ce qui étaite « en amont » il y a une semaine devient « en aval » le jour présent. Suivant l’explication d’un spécialiste de l’entreprise berlinoise qui gère l’eau de la capitale (Berliner Wasserwerke) sont des « interprètes de fleuve » comme des acteurs sur une scène de théâtre.

      La ville de berlin et le Land de Brandebourg entreprennent d’efforts considérable pour contrer ces facteurs de base plutôt négatifs. Une nouvelle loi impose la construction de cisternes et l’aménagement d’espace de verdure pour retenir l’eau et pour prévenir les conséquences des averses de plus en plus violentes.

      L’avenir des mines de charbon joue également un rôle important car on cesse de pomper l’eau des énormes trous quelles ont laissé ce qui réduit l’arrivée d’eau dans les cours d’eau de toute la région. Le paysage du Spreewald qui ressemble au Marais poitevin en paie également les frais.

      #Brandebourg #Mongolie #incendie #climat #eau

    • @simplicissimus Tout Berlin utilisait du charbon de mauvaise qualité pour se chauffer, pas seulement les gens à l’est.

      C’est une idée fausse tres répandue comme quoi l’Est était gris (oui, c’était gris) et l’Ouest brillait dans toutes les couleurs (non, c’était plutôt gris aussi). Jusque dans les années 70 les deux parties de la ville se ressemblaient beaucoup. C’est avec la banqueroute prévisible de la RDA dans les années 1980 qu’une véritable différence devenait perceptible.


      Abrißhäuser, #Kreuzberg 1975

      A l’Est on suivait le même principe urbanistique qu’on connaissait déjà à l’Ouest : On construisait des cités en banlieue et laissait á l’abandon les quartiers au centre ville.


      Politisch bewegte Clowns vor dem Laden der #Mieterinitiative #Klausenerplatz in der #Nehringstraße 11, im Jahr 1979. Foto : Gottfried Schenk

      A l’Ouest les squatteurs ont sauvé de quartiers entiers de la déstruction alors qu’à l’Est c’est le manque de moyens qui a freiné la déstruction des quartiers ouvriers devenus chics aujourd’hui.

      #Berlin #squat

  • Purpose-Driven Brands See a 3x Return on Investment
    https://hackernoon.com/purpose-driven-brands-see-a-3x-return-on-investment-43bb6f3e2bae?source=

    Purpose-driven brands are proliferating alongside the expansion of ecommerce and becoming increasingly popular with consumers. A recent study by Accenture highlighted that 63% of consumers prefer to purchase products from a brand that stand for a mission or purpose that resonates with them. Purpose-driven brands are defined as those that consistently place the “why” in their communication and advertising efforts.While the distinction between purpose-driven, sustainable, organic, and other similar terms is not always clear, an easy way to tell if a brand is purpose-driven is that it places an either altruistic or otherwise not commercial goal prominently on its website. Being purpose-driven can manifest itself in the form of a particular mission or in the consistent (not one-time (...)

    #purpose-branding-roi #purpose-driven-brand #marketing #purpose-driven-brand-roi #branding

  • Clarifying your blockchain product’s brand messaging
    https://hackernoon.com/clarifying-your-blockchain-brand-messaging-98231489fe7?source=rss----3a8

    Actually, forget about crypto and blockchain for a moment, and think about fast food. Think about the biggest fast-food brand in the world. You’ve heard of it, right? You’re aware of what they offer. In a crowded marketplace, you know what they do. Do you need to be reminded of their existence? Of course not, you may insist — and yet, if you live in any Western city (or pretty much anywhere else), you probably saw or heard an advert for them today.Maybe not a social media post, an influencer recommendation or a stealthy bit of virality, because they’re way past all of that in terms of public awareness — just an ad, plain and simple. I could have been a logo on a bus shelter or a poster or a flyer, or some #branding on a bit of print or TV media, an echo of a jingle — a single letter is enough. (...)

    #marcom #pr #cryptocurrency #blockchain-technology

  • 4 Tips for Augmenting Your Generic Product and Building Better Customer Experience
    https://hackernoon.com/4-tips-for-augmenting-your-generic-product-and-building-better-customer-

    Physique, Personality, Culture, Self-AwarenessI’m sure your product has all the parts and functionalities that your customers need. But what you want to sell is more than the generic product, you want to sell the “whole product”. The whole product is a generic product augmented by secondary, auxiliary services such as a nice package, polite salesperson, pleasant in-store experience, ease of use, fun on-boarding process and everything else that is required for the user to feel good about putting their money into your pocket. Offering the whole product provides the complete brand experience, tied to the emotions of the prospective buyer. Since buying is an emotional decision, you should invest some time in creating the whole product. These are the layers of a whole product which I like to (...)

    #marketing #product-management #branding #business #brand-strategy

  • How Virtual Reality Can Help You Take Customers From Competitors
    https://hackernoon.com/how-virtual-reality-can-help-you-take-customers-from-competitors-9c68268

    Virtual Reality is like dreaming with your eyes openThough the technology recently gained global accolades, it had been around since long. Initially adopted by the US army, followed by a few more brands, however, Virtual Reality was never accepted on a mass level for user engagement.With technology having so much potential and scope, the primary expertise lies in understanding the way it can be utilized to meet objectives. Be it user engagement or attaining new audience, virtual reality can indeed be a key ingredient to boost your customer experience. An early adopter of the technology will have a greater competitive advantage in grabbing the attention of potential customers.The Virtual Reality Market is Set to be HugeAccording to a report shared by statista, the Virtual Reality market (...)

    #augmented-reality #customer-experience #branding #virtual-reality

  • The Future of #retail: Lessons Learned from Shoptalk 2019
    https://hackernoon.com/the-future-of-retail-lessons-learned-from-shoptalk-2019-c1554a0ab22c?sou

    I spent the past four days at Shoptalk, a retail and e-commerce conference that welcomed nearly 8,500 attendees from around the world. As a venture investor who thinks a lot about the future of retail and how startups can make an impact, I was excited to hear from an amazing roster of industry experts, from CEOs of public companies to data scientists at global retailers.Shoptalk 2019 photo from Daisuke Iizuka on Twitter.As a newcomer to Shoptalk, I thought it would be fun to share some of the things I learned, with a focus on the topics and questions that are top-of-mind for retailers of all sizes today. Here are five of the key initiatives that many retailers seem to be thinking about:Meeting the consumer where they are — outside of a mall!In the age of Amazon, many consumers are no longer (...)

    #branding #venture-capital #entrepreneurship #hackernoon-top-story

  • #branding and the #brain: the #neuroscience behind consumer decision making
    https://hackernoon.com/branding-and-the-brain-the-neuroscience-behind-consumer-decision-making-

    Why performance #marketing isn’t enoughI recently spoke to a really smart group of performance marketers about the importance of brand marketing. This was a very analytical group, so I decided to attempt to reduce the fluffy reputation of brand marketing by talking about neuroscience and how the brain works when it comes to decision making.I started by showing the group a slide with the following logo pairings on them. As we went through each pairing one by one, I asked them to choose one, and I’d like you to do this too. Quickly. Don’t think about why, just choose one for each.(No more comments on this for now — we’ll come back to this later)Rational choice theory tells us that consumers are rational agents who make choices after considering all the available information, costs, benefits and (...)

    #brand-strategy

  • #Branko_Milanović sur arte :

    « La solution que je propose, c’est d’avoir des migrations circulaires. Il y aura des migrations parce qu’il y a besoin de #main_d'oeuvre. Mais d’autre part on ne donnerait pas aux immigrés le droit d’accéder à la citoyenneté en restant dans le pays. ’Circulatoire’ ça veut dire qu’ils devraient retourner dans leur pays après, disons, 4 ou 5 ans et leur immigration serait conditionnée par le poste de travail. S’il n’y a pas de poste de travail, il n’y a pas de migration. Je sais que c’est pas une solution idéale, que beaucoup de gens sont contre, il y a aussi un aspect discriminatoire »

    https://twitter.com/ARTEfr/status/1095373970893930496

    #migration_circulaire ##Branko_Milanovic #marché_du_travail #droits #migrations

    Une migration au service de l’#économie... et de nos belles sociétés capitalistes...
    #capitalisme #néolibéralisme

    Les migrants ne seraient pas des personnes, mais des #marchandises... On les envoie là où le capital les appelle !

    Les effets pervers de ce système, on l’a connu en #Suisse notamment... avec les #enfants_du_placard :
    https://seenthis.net/messages/214887

  • Effectively #marketing #blockchain Technology with Erica Blair
    https://hackernoon.com/effectively-marketing-blockchain-technology-with-erica-blair-11f056c9379

    Episode 24 of the Hacker Noon Podcast: An interview with Erica Blair, founder of Blockchain #branding.Listen to the interview on iTunes, or Google Podcast, or watch on YouTube.In this episode Trent Lapinski and Erica Blair discuss branding, messaging, and what takes to effectively market a blockchain technology company.“I see cryptocurrencies more generally as a broad political philosophy about what it is you find important in the World.”“Crytpocurrency is an entire governance model of saying this how decisions get made, this is how how value gets distributed.”“We are changing the World and we’d like you to join us, oh and by the way, we’re doing it with these tools and this technology that was never available before, which is why what we’re doing is so revolutionary.” — Erica (...)

    #cryptocurrency #hackernoon-podcast

  • Ne passez pas à coté du potentiel de votre territoire #numérique ! Offrez à votre #stratégie digitale une perspective innovante en bénéficiant d’un accompagnement personnalisé ! https://www.afnic.fr/fr/l-afnic-en-bref/actualites/actualites-generales/11259/show/l-afnic-lance-la-1ere-edition-de-ses-coaching-days.html

    Don’t miss out on the potential of your #digital territory ! Boost your online #strategy with an innovative perspective ! Benefit from a personalized support ! https://www.afnic.fr/en/about-afnic/news/general-news/11260/show/afnic-launches-the-first-edition-of-its-coaching-days.html #Afnic #Brands #Branding #Marketing

  • D2C 2.0: The Rise of Infrastructure
    https://hackernoon.com/d2c-2-0-the-rise-of-infrastructure-d2172fdf59d4?source=rss----3a8144eabf

    Billions of dollars in venture capital have poured into direct-to-consumer (D2C) brands over the past ten years, funding hundreds of upstart brands challenging the incumbents in nearly every product category. These brands, once ignored by investors, are now raising multi-million dollar rounds pre-launch and recruiting top talent.There’s no question that there’s hype around the D2C space, but we’ve seen far less interest in the infrastructure that allows these brands to scale. D2C brands uniquely own every step of their production and distribution process — from product design to packaging to marketing to fulfillment. New brands can struggle to put all these pieces together, while established brands face challenges like figuring out how to serve an international audience and maintaining (...)

    #venture-capital #startup #branding #hackernoon-top-story #entrepreneurship

  • Brand Presence and Visibility : Importance, Challenges, and Solutions ?
    https://hackernoon.com/brand-presence-and-visibility-importance-challenges-and-solutions-cec1f1

    Picture yourself walking down the aisle of a grocery store looking for the coffee section. You see it, it’s halfway down the aisle to your right. “Ok I see it now, there’s my favorite product…and there’s my brand, oh what’s that? Hmm…looks interesting”. Such a scenario, in a nutshell, is why you need to monitor your brand presence on #retail shelves or how well your brand stands out among the sea of similar products.The store shelf is the shoppers’ first point of interaction with your product. As a result, your brand presence or how your product looks at the retail shelf becomes almost imperative. When shoppers approach the shelf, their eyes are constantly scanning the shelf to see what else there is — this is the moment when another brand can catch the attention of the shopper and become part of (...)

    #market-research #artificial-intelligence #brand-presence #branding

  • taz-Serie Was macht eigentlich …? (Teil 2): Thaifood auf Preußenart - taz.de
    http://www.taz.de/!5558490

    31. 12. 2018 - Die Thaiwiese im Preußenpark, wo im Sommer asiatische BerlinerInnen kulinarische Spezialitäten anbieten, ist eine Attraktion – und Störfaktor zugleich.

    Mit den unterschiedlichen Namen ­gehen die verschiedenen Sichten schon los. Als die taz eine Sekretärin im Bezirksamt Charlottenburg-Wilmersdorf fragt, mit welchem Stadtrat sie denn über die Thaiwiese sprechen könne, antwortet die: „So etwas haben wir hier nicht. Sie meinen bestimmt den Preußenpark.“

    „Preußenpark“ heißt auf Berliner Stadtplänen und bei den unmittelbaren Anwohnern die staubige Brache zwischen den U-Bahnhöfen Fehrbelliner Platz und Konstanzer Straße, auf der nur noch wenig daran erinnert, dass sie einmal eine Grünfläche war. „Thaiwiese“ heißt der Ort hingegen in Berlin-Reiseführern. Und unter diesem Namen lockt der Ort in der warmen Jahreszeit Berliner aus allen Bezirken und Touristen an, die mitten in Europa fernöstliche Streetfood-Gastronomie erleben wollen.

    Garküchenbetreiber aus Thailand, den Philippinen, Vietnam, Korea und Japan bereiten dann hier auf mitgebrachten Campingkochern und Bastmatten Spezialitäten zu – allerdings ohne sich dabei an deutsches Recht zu halten. Denn die mit den Jahren immer stärker gewachsene Streetfoodszene ist vollkommen illegal: Weder zahlen die Händler hier Steuern, noch schaut die Lebensmittelaufsicht nach dem Rechten.

    Des halb will der Bezirk das Treiben auf der Thaiwiese in seiner jetzigen Form nicht mehr dulden. Fernöstliche Gastronomie, die Touristen aus aller Welt nach Wilmersdorf zieht, soll es allerdings weiter geben – darüber sind sich alle Parteien im Bezirksparlament einig, ob sie nun „Preußenpark“ oder „Thaiwiese“ sagen. Aber sie soll an den Rand der Brache in nur noch wenige feste Stände ziehen. Dort sind Wasser- und Stromanschlüsse geplant, die die Einhaltung von Hygienevorschriften und der Kühlkette ermöglichen. Wer einen Stand will, muss Steuern und Miete zahlen und ein Gesundheitszeugnis vorlegen.

    SERIE: WAS MACHT EIGENTLICH ...?
    Die meisten Geschichten enden nicht, bloß weil wir einen Artikel für die Printausgabe oder für die Onlineseite der taz.berlin darüber geschrieben haben. Deshalb fragen und haken wir bei ProtagonistInnen noch einmal nach. In unserer Serie „Was macht eigentlich ...?“ rund um den Jahreswechsel erzählen wir einige Geschichten weiter.

    Teil 2: Wie geht es weiter mit der Thaiwiese im Preußenpark? (taz)

    Doch: Bis es so weit ist, will Ordnungsstadtrat Arne Herz (CDU) die illegale Gastronomie in Wilmersdorf weiter dulden, „um keine Fakten zu schaffen“, wie er sagt. Denn die Thaiwiese ist eine Institution und hat es schon in bis in amerikanische Zeitungen gebracht. Danach soll es mit der bunten Thaiwiese, deren Charme gerade das Spontane, Urwüchsige ist, vorbei sein. Ob das schon 2019 ist, wie es der Bezirk eigentlich anstrebt oder doch erst 2020, ist offen.

    Vorschläge von Studenten
    Im Sommer hatten die Bezirksverordneten beschlossen, die Thaiwiese zu verkleinern, Recht und Gesetz durchzusetzen und den Preußenpark wieder zu begrünen. Dazu sollte es einen Bürgerdialog geben. Der sollte eigentlich im September beginnen, lässt aber bis heute auf sich warten. „Wir werden erst ab Februar damit starten“, erklärt der grüne Stadtentwicklungsstadtrat Oliver Schruoffeneger der taz. „Entgegen unserem ursprünglichen Vorhaben warten wir, weil die TU-Studenten der Landschaftsplanung in diesem Jahr ihre Masterarbeiten dazu schreiben.“ Da könne er sich sinnvolle Vorschläge vorstellen und die wolle der Bezirk mit einbeziehen. „Es ist aber möglich, dass das Konzept dennoch im Frühjahr fertig sein kann,“ sagt Schruoffeneger.

    Der Handel, der im vergangenen Sommer auf einer riesigen Fläche mit bis zu 100 Ständen für Papayasalat, fernöstliche Suppen, Currygerichte und Pasteten stattfand, hat einmal ganz klein angefangen. In den 1990er Jahren trafen sich hier Berliner Thailänderinnen an warmen Sonntagen und brachte ihre heimatlichen Gerichte zum eigenen Verzehr mit. Deutsche Parkbesucher fragten, ob sie etwas kaufen dürften. Diese Nachfrage machte aus dem geselligen Zusammensein ein Geschäft, das in den vergangenen vier Jahren kräftig wuchs. 2018 hatten sich zu den thailändischen Verkäufern längst Kollegen aus anderen fernöstlichen Ländern gesellt. Und Brasilianer, die hochprozentige Cocktails mixen und verkaufen. Zu viel Alkohol sowie dessen Verkauf an Minderjährige sind ein Vorwurf, der immer wieder über der Thaiwiese schwebt.

    Den Anwohnern stinkt das – im wahrsten Sinne des Wortes. Der Dunst von süßsauren Currygerichten, Knoblauch und Zitronengras liegt im Sommer über Wilmersdorf. Anders als bei regulärer Gastronomie fehlen auf der Thaiwiese Toiletten, sodass die Besucher ihre Notdurft in Treppenhäusern oder den Gärten der Anwohner verrichten. Die private Müllentsorgung und Reinigung der einzigen Toilette im Park, die die Händler bis 2016 organisiert hatten, funktioniert nicht mehr. Und das Ungeziefer, das durch die hygienisch nicht einwandfreie Großgastronomie unter freiem Himmel angezogen wird, verbreitet sich auch zu den Anwohnern. Die machten Druck auf den Bezirk, das illegale Treiben zu beenden.

    „Warum lassen Sie den Park nicht räumen? Sie haben jede rechtliche Handhabe dazu“, fragte eine Anwohnerin im Sommer auf der ­Bezirksverordnetenversammlung. Zahlreiche Nachbarn pflichteten ihr bei. Wenn es nach ihnen ginge, solle die Thaiwiese umziehen. Irgendwohin, nur sehr weit weg von ihnen. Sie wollen den Preußenpark zurückhaben.

    Dahinter steckt die Frage: Wem gehört die ehemalige Grünfläche? Den Anwohnern, die dort Erholung und Ruhe suchen, oder der hippen Stadtcommunity und den Touristen, die sich nach einem Stück Exotik mitten in Berlin sehnen – sowie natürlich den asiatischen Berlinern? Preußenpark oder Thaiwiese?

    Schweigen der thailändischen Community
    Doch während die Kunden der Thaiwiese im Internet um deren Erhalt streiten, ist die thailändische Community selbst still. Rund 5.000 Menschen aus Thailand wohnen in Berlin. Etwa 80 Prozent von ihnen sind ältere Frauen, die einmal als Krankenschwestern angeworben wurden und heute auf das Renten­alter zugehen oder es bereits erreicht haben. Sie verdienen sich im Sommer ein Zubrot auf der Thaiwiese, stocken so ihre Rente oder ihre Sozialleistungen auf.

    „Was sollen sie auch öffentlich sagen?“, fragt eine jüngere Thailänderin, die Kundin auf der Thaiwiese ist und die Szene als geselliges Zusammensein mit Freunden und Bekannten bei leckerem Essen schätzt. „Die Händler wissen doch, dass ihr Verkauf nicht legal ist.“ Die Frau, die ihren Namen nicht nennen möchte, kann sich nicht vorstellen, dass eine dieser Frauen ein legales Gewerbe anmelden wird. „Dann müsste sie das ganze Jahr über Standmiete bezahlen. Das Geschäft läuft aber nur in den Sommermonaten. Das rechnet sich nicht.“

    Mehr und mehr Köchinnen würden zudem jeden Sommer eigens mit einem Touristenvisum für drei Monate aus Thailand kommen und in Privatwohnungen das Essen vorkochen, das dann Frauen mit deutschen Sprachkenntnissen vor Ort aufwärmen und verkaufen, verrät sie. „Touristen können aber gar kein Gewerbe anmelden. Ich glaube nicht, dass man den Verkauf hier in legale Formen lenken kann.“

    Das baldige Ende der gesetzlosen Thaiwiese sieht die Frau mit einem weinenden und einem lachenden Auge. „Unser geselliges Beisammensein könnte damit wegfallen. Das ist die traurige Seite. Aber in den letzten Jahren wurde dieses ohnehin immer stärker kommerzialisiert. Die Stimmung ist nicht mehr wie vor fünf oder zehn Jahren. Wenn ich mit meiner Familie auf einer Decke liege und mich alle zehn Minuten jemand fragt, ob ich eine Massage oder Maniküre brauche, nervt das einfach nur.“ Zudem, fügt die Frau hinzu, gäbe es Gesetzesverstöße, bei denen die Behörden wirklich nicht wegschauen könnten. „Illegales Glücksspiel beispielsweise oder Alkoholverkauf an Kinder.“

    #Berlin #Wilmersdorf #Fehrbelliner_Platz #Brandenburgische_Straße #Württembergische_Straße #Pommersche_Straße #Preußenpark #Gastronomie #Umwelt #Kultur

  • Why Chinese Companies Suck at User Engagement
    https://hackernoon.com/why-chinese-companies-suck-at-user-engagement-f07a47f1d10f?source=rss---

    Tech OpinionsI think I’ve just figured out why Chinese companies suck at user engagement (& community/brand building).Here’s my story: I entered the #blockchain space in China about a year ago with a specialty in social media marketing. I’ve advised multiple Chinese blockchain companies and hands-on grown one of them into an international community through content creatives and audience targeting. This job has made me understand exactly why some of the top blockchain companies coming out of China have miserably failed at building a truly engaging global community and an international brand.But this job is not naturally suited to the Chinese market. While social media marketing has become more and more so popular and even necessary for business growth in the West, China’s social media (...)

    #branded-content #china-startup #community-engagement #social-media-marketing

  • Découvrez le portrait-robot de la présence en ligne des TPE/PME françaises grâces aux premiers résultats de notre grande étude Réussir avec le Web https://www.afnic.fr/fr/l-afnic-en-bref/actualites/actualites-generales/11270/show/reussir-avec-le-web-dresse-le-portrait-robot-de-la-presence-en-ligne-des-tpe-p #Afnic #Marketing #Branding #Entrepreneurs

    Find out everything you ever wanted to know about the online presence of French VSEs / SMEs thanks to #Afnic's study Réussir avec le Web https://www.afnic.fr/en/about-afnic/news/general-news/11271/show/afnic-via-reussir-avec-le-web-portrays-the-online-presence-of-french-vses-smes #Marketing #Branding #DotFR #Entrepreneurs #DigitalTransformation

  • The 10 Best Podcasts of 2018 for #branding, #startup, #marketing, and Self-Improvement.
    https://hackernoon.com/the-10-best-podcasts-of-2018-for-branding-startup-marketing-and-self-imp

    Podcasts are awesome! :)Podcasts are just the best!As I’m sure you already know, there’s some good podcasts and ones that just leave you like…“What did I just listen to?”Thankfully the information in this post will be focusing on the good ones!Yes, you’re welcome. :)Podcasts are so great for a number of reasonsYou can learn from other people while still doing another activity like driving, exercising, working, etc.I usually turn on a #podcast when I’m running, exercising, or driving.Learning is so important.Learners are leaders.Leaders are learners.If you’re not constantly learning you’re losing out on achieving your goals.I’ve identified my favorite podcasts for learning and equipping myself with the information I need to succeed in branding, #business, marketing, and entrepreneurship.Are you ready to grab (...)

  • It Doesn’t Take 10 Years To Build A Brand Anymore. Here’s How To Scale Yours Fast
    https://hackernoon.com/it-doesnt-take-10-years-to-build-a-brand-anymore-here-s-how-to-scale-you

    Early in my career, the founder of Under Armour, Kevin Plank, told me that it takes a minimum of 10 years to build a widely-recognizable brand.He reasoned that people need to be exposed to a product or service multiple times and in a variety of settings to create strong, and hopefully positive, associations. That advice resonated, considering our first company, VEEV, was a spirits brand in the liquor industry — renowned for competing with companies that have been in the space for 100+ years. It took a while to make ourselves known to customers in the liquor space, so I assumed Kevin’s rule was hard and fast.But today, the 10-year rule simply no longer holds true.Startups are emerging and failing at unprecedented rates, and the amount of time it takes to become a household name has (...)

    #brand-strategy #entrepreneurship #startup #marketing #branding

  • L’Afnic lance la 1ère édition de ses “Coaching Days”. Remportez un accompagnement personnalisé pour lancer ou développer votre extension internet https://www.afnic.fr/fr/l-afnic-en-bref/actualites/actualites-generales/11259/show/l-afnic-lance-la-1ere-edition-de-ses-coaching-days.html

    Afnic launches the first edition of its “Coaching Days”. Win a customized support from Afnic Conseil to start or develop your TLD https://www.afnic.fr/fr/l-afnic-en-bref/actualites/actualites-generales/11259/show/l-afnic-lance-la-1ere-edition-de-ses-coaching-days.html

    #Afnic #NewgTLDs #Brands #Branding #Trademark #ICANN #BrandTLDs #GeoTLDs

  • See the #first #commit of a #github repository in a matter of seconds
    https://hackernoon.com/see-the-first-commit-of-a-github-repository-in-a-matter-of-seconds-4fb71

    If you are curious to see the first commit that has been done to some preferred GitHub repository of yours, then you do not need to spend minutes just to navigate to that particular commit. You can now see it using a new Chrome plugin.You may be curious to see the first commit that you have done for a particular project that you have started, or that your colleagues have done so that you can feel a bit of nostalgy what included that commit. You may also be curious to find out this for many other projects as well.This new Chrome plugin is really easy to use and can save you a lot of time from having to navigate and find the first commit of Github projects. All you have to do is install it and in then you can go to the Github page of the project that you want and go to its first commit (...)

    #githunt #branch

  • Using Machine Learning in the Creative Process
    https://hackernoon.com/using-machine-learning-in-the-creative-process-6d71c2d21fe8?source=rss--

    If you’ve ever participated in a brainstorming session, you may have been in a room with a wall that looks like the image above. Usually, the session starts with a prompt or a problem statement of some sort. The team will write down as many ideas/thoughts around it as possible in a predetermined time frame and eventually throw them up on the wall. Taking a step back, patterns start to emerge and the sticky notes can start to be clustered into themed camps, creating order out of the chaos of random ideas.I was a part of an ideation session like this recently where the goal was to create a brand platform for a company. This creative exercise inspired me to think programmatically about what we were doing. My thought was that there were computational methods that would be able to organize (...)

    #technology #web-development #branding #data-science #development

  • François Ruffin sur Twitter : "Vous connaissez le #branding, Madame la ministre ? C’est le championnat de France de football qui devient la #Ligue1Conforama, le stade de l’OM #OrangeVélodrome. Je suggère la même chose pour le palais présidentie l : on pourrait le renommer « Elysée Sanofi ». #DirectAN #Sanofi https://t.co/ZHhgYrsByA" / Twitter
    https://mobile.twitter.com/Francois_Ruffin/status/1054991261080477696