• Avec sa dernière mise à jour, Calibre devient un éditeur d’#ebooks
    http://www.actualitte.com/usages/avec-sa-derniere-mise-a-jour-calibre-devient-un-editeur-d-ebooks-47203.h

    Calibre, c’est la solution logicielle à peu près connue de tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au livre numérique. Utilisé depuis un moment pour la gestion des bibliothèques d’ebooks de par le monde, mais aussi pour le retrait des #DRM, Calibre s’enrichit avec sa dernière mise à jour d’une fonctionnalité pour modifier les livres numériques eux-mêmes.

  • Booxmaker, la maison d’édition de livres numériques sans DRM ni tatouage
    http://neosting.net/booxmaker

    Après Numeriklivres et Publie.net, je ne pouvais passer à côté d’une autre référence dans l’édition de livres numériques, à savoir Booxmaker. Derrière ce nom, pouvant être assimilé à un mal-être capitaliste, se cache en fait un éditeur ayant une toute autre philosophie ; celle de faire partager des valeurs nobles et notamment mise en confiance […] #booxmaker #drm #ebooks #editeur #livre-numerique #watermark

  • La légalité de la Culture dépend un peu plus des droits de l’éphémère
    http://neosting.net/taxe-drm-amendement-livre-numerique

    À l’Assemblée Nationale, un amendement intéressant déposé par la députée du Calavdos, Isabelle Attard - expliqué sur son blog, avait été voté avant son passage au Sénat. Ce dernier l’a tout simplement retiré, par un amendement de suppression. Cet amendement consistait, en partie, à définir ce qu’est un vrai livre numérique, afin d’ajouter une taxe […] #culture #drm #ebooks #livre-numerique

  • Numeriklivres, éditeur 100% numérique retire ses watermark !
    http://neosting.net/numeriklivres-editeur-librairie-numerique-supprime-watermark

    Il y a vraiment que très très peu d’éditeurs numériques sur cette planète qui ont le courage de proposer une librairie contemporaine totalement dépourvue de DRM. On peut encore aujourd’hui les compter sur les doigts. Pour se rassurer, en tant qu’éditeur revendiquant le sans DRM, et permettre aux auteurs d’avoir confiance sur la possibilité de […] #drm #ebooks #numeriklivres #watermark

  • The Publishing Industry is Thriving | New Republic
    http://www.newrepublic.com/article/115010/publishing-industry-thriving

    More than any major cultural product, it has retained its essential worth.Of course, publishers think that $9.99 is still too low (...). But other media still have reason to look at the relative economic health of the book with envy. Putting together an album requires not just the talents of the musician, but expensive instruments and recording equipment, costly studio space, and a team of engineers and technicians. Each edition of a newspaper consumes enormous resources. Movies and television involve sinking millions into performers, crews, and effects. Yet audiences have come to believe they should get all that on the cheap, if not for free. Meanwhile, books—not as complex a production—have held up much better.

    Part of the problem for journalism, music, and television is that they are vulnerable to disaggregation.


    #publication #éditeurs #ebooks #internet via @francoisbriatte

  • What is a Book Sprint ?
    http://www.booksprints.net/about

    A Book Sprint brings together a group to produce a book in 3-5 days. There is no pre-production and the group is guided by a facilitator from zero to published book. The books produced are high quality content and are made available immediately at the end of the sprint via print-on-demand services and e-book formats.

    #ebooks #écrire #facilitation par Adam Hyde, l’auteur de la plateforme #Booktype (http://www.sourcefabric.org/en/booktype)

  • The New Publishing - A #W3C Workshop on the Open Web Platform and the Traditional Print Publishing Industry
    http://www.w3.org/2012/12/global-publisher/Overview.html

    The goal of this W3C Workshop is to bring together major players, including publishers, standardization organizations, technology developers, booksellers, accessibility organizations and others as needed to identify areas where work is needed to make the Open Web Platform suitable for commercial #publishing, especially in print, all the way from authoring through to delivering the printed product and beyond.

    (organisé par @robin)
    #ebooks, mais surtout, comment faire pour que toute la chaîne de #publication soit dans le web

  • Après une expérience pas trop réussite avec une #tablette, je me demandais si quelqu’un peut me donner des conseils pour l’éventuel achat d’un #ebook_reader type #kindle pour lire des #ebooks.
    Car je me vois mal partir une année à Amsterdam et devoir lire des livres en hollandais...

    A quoi il faut faire attention ?
    J’imagine le format des fichiers que cet appareil peut lire —> est-ce qu’il y a la possibilité pour certains de lire des pdf ?
    Est-ce possible de convertir les formats assez facilement ? Est-ce possible de contourner amazon, si jamais je décidait pour un kindle ?

    Je pense qu’il y a aussi différentes façon de stocker les ebooks : est-ce qu’il y en a que je ne peux partager ? Qui s’autodétruisent après lecture ?

    Bref, quelqu’un a une expérience à partager sur cet objet ?

    @fil : des idées ?

    • J’ai choisi une Kobo Mini parce que :
      1. Ce n’est vraiment pas cher
      2. Une fois initialisée, tu peux l’utiliser à ta guise, sans être lié à la Fnac ou à Kobo
      3. Lit le format standard (epub, pdf, txt et le format des BD numériques)
      4. Tu peux gérer des livres avec Calibre sur ton ordi, pour avoir des doubles. Tu peux générer tes livres avec Calibre à partir de fichiers Amazon, il parait, mais je ne l’ai jamais fait.

      Sinon, si tu aimes être libre et autonome (et que tu as plus de sous que moi), tu as les CyBook de Sony dont les gros lecteurs me disent le plus grand bien.

      Pour des questions de confort de lecture et d’autonomie, j’ai préféré un ebook à une tablette. Et aussi parce que je sais par expérience que si tu as une tablette, tu vas être tout le temps distrait de son acte de lecture.

      Après, il y a la question du rétro-éclairage. Je ne sais pas. C’est vrai que, des fois, je n’ai pas assez de lumière pour lire et c’est chiant. Mais je n’ai pas trouvé que la fonctionnalité valait le prix à payer.

      Sur les ebooks eux-mêmes
      En France, l’offre est pauvre, vraiment pauvre et de mauvaise qualité. Pas possible, comme dans la plupart des pays anglosaxons, de s’abonner à tes magazines... c’est ballot, parce que ce serait une fonctionnalité intéressante. Sauf au Monde Diplo, il y a une offre numérique à télécharger sur le site, mais les epub mériteraient un meilleur formatage.

      En dehors du fait que des tas de livres intéressants sortent sans version numérique, ceux qui sont numérisés sont très souvent sous DRM adobe et la plupart des librairies en ligne ne se sentent pas obligées de te le signaler lors de l’acte d’achat. Le DRM Adobe te force à enregistrer chaque ebook chez adobe via un logiciel dédié. Cela verrouille l’utilisation de ton livre dont tu ne peux pas vraiment faire une copie de sauvegarde. C’est intrusif et ça fait chier d’être fliqué quand tu as fait l’effort de sortir le porte-monnaie.
      De toute manière, sous Linux, tu n’as pas le logiciel Adobe, donc tu ne peux pas récupérer et lire un livre avec DRM que tu aurais acheté.

      Du coup, je passe mon temps à râler auprès des auteurs et éditeurs pour obtenir des versions sans DRM. Sinon, je n’achète pas. Le plus con, c’est que les utilisateurs Windows ont publié des tas de tuto pour déplomber les DRM : donc, ils sont nettement plus dans la culture pirate que les Linuxiens.

      Sinon, j’utilise Calibre pour créer des ebooks à partir des fils rss de mes sites préférés : lecture tranquille aux chiottes. J’utilise aussi dotEpub pour générer des ebooks à la volée à partir de pages fournies du web et je gère ensuite avec Calibre.
      En dernier recours, je vais sur TeamAlexandriz pour récupérer de la lecture partagée. La Team a fermé, mais les livres sont encore récupérables. Il doit exister d’autres ressources, mais je ne les connais pas.
      Cela dit, je tiens à préciser que j’utilise cette solution comme expédient, à cause de la qualité médiocre des catalogues des éditeurs.

      Je ne sais plus où, il existe une liste d’Éditeurs qui ont choisi de vendre leur catalogue sans DRM comme l’Atalante ou le Diable Vauvert. Comme par hasard, ils ont un très beau catalogue et du coup, tu n’as pas besoin de les pirater.

    • Puisque tu demandes mon avis :) Je n’aime pas les liseuses électroniques.

      Je préfère soit lire en papier, soit lire des PDF (voire même des epub) sur mon ordi (notamment pour les livres techniques/documentaires).

      Pourquoi l’ordi ? Tout simplement parce que je l’ai toujours avec moi (pas la peine d’avoir un bidule en plus, avec chargeur etc) ; parce qu’il est facile de copier/coller les passages qui m’intéressent ; parce que la lenteur, quand on veut tourner la page sur les e-bidules, provoque chez moi des bouffées de haine (à chaque page) !

      Amsterdam est une super ville, tu trouveras de belles librairies (et des bibliothèques, et des groupes de lecteurs…) avec tes langues préférées. Pour l’anglais il faut semble-t-il aller  :

    • Moi aussi, @raphael, je suis d’accord avec toi, mais quand on est vagabond comme moi... c’est bien plus pratique des livres numérisés que des cartons à transporter à droite et à gauche d’un pays à l’autre !
       ;o

    • Un peu comme @cdb_77, j’ai le syndrome du piano à queue (d’ailleurs, j’ai fait du piano, même si je pense aujourd’hui que pour des raisons pratiques, il vaut mieux faire du violon ou tout autre instrument portable).

      Mon dernier déménagement a été particulièrement éprouvant, entre les meubles habituels, mais surtout les bibliothèques et le reste. Des bibliothèques bien pleines, c’est un peu comme un ancre qui te garde au port.

      Étant gosse — déjà grosse lectrice — je crois que c’était dans Anna et ses sœurs de Joseph Joffo, l’auteur explique que si les Juifs de son récit ont eu tellement de mal à fuir, c’est à cause du piano à queue, cet objet magnifique qui fait leur fierté et qui rend, quelque part, l’idée de fuite et de chaos totalement absurde. J’ai ressenti un peu la même chose avec mes bouquins.

      Quand j’ai quitté la maison à la majorité, j’ai donné toute ma bibliothèque d’enfance, tout, absolument tout, mais j’ai recommencé immédiatement à m’acheter des livres et de nouveau, je suis confrontée au côté terriblement tangible de leur présence.

      À moment donné, j’ai rempli le dernier rayon de la dernière étagère, après avoir fait des doubles rangées, des traverses horizontales et quelques pyramides incertaines, de ci, de là, et d’un coup, je me suis juste dit : « ça suffit ».

      Surtout que l’entropie guette déjà dans la piaule de la gamine, et que des livres arrivent toujours à entrer en fraude à la maison.

      Bref, j’ai de plus en plus la sensation qu’il faut voyager léger et pas seulement quand on part au loin, et de ce point de vue, le livre électronique répond à mon cahier des charges, totalement.
      Sans compter que cet entassement d’objets à usage unique (combien de livres relisez-vous réellement plusieurs fois ?) dans des mausolées dont ils ne ressortiront plus, ça heurte mes convictions profondes sur le matérialisme.

      Bien sûr, si l’électricité vient à manquer, tout ce savoir dématérialisé disparaîtra très rapidement, encore qu’avec un chargeur solaire, on pourra faire durer le plaisir encore un moment.

    • Mais c’est à ça que servent les bibliothèques, les bouquinistes, les sites de vente par internet… et les amis !

  • Lecteurs de e-books sous haute surveillance

    Le temps où vous pouviez lire des livre en secret, sous la couverture, est passé de puis longtemps. Aujourd’hui, les grandes multinationales qui vous vendent des e-books vous observent de loin, mais très attentivement... Elles amassent grâce à vous une énorme quantité de données et d’informations

    –—

    Imaginez-vous allongé sur votre sofa, vous êtes en train de lire le roman que vous venez d’acheter l’après-midi même. Juste derrière vous, debout, se trouve le libraire qui vous a vendu le livre, et l’éditeur qui l’a publié. Ils sont là, et regardent par-dessus votre épaule pour voir à quelle vitesse vous lisez, où vous vous arrêtez, quelles pages vous sautez...

    Søren Pold, professeur au Département esthétique et communication à l’Université de Aarhus (Danemark) explique : C’est maintenant une réalité mise en place chez la plupart des vendeurs de service e-books. Cette surveillance est très préoccupante. La lecture d’un e-book par vous devient une collecte de données sur votre comportement pour d’autres... et il n’y a aucune limite vraiment pour ce qui concerne les informations qu’ils peuvent voir et collecter : tout dans le moindre détail, dans le moindre de vos mouvement, y compris les aller retour dans le livre. Le pire est il est pratiquement impossible de se prémunir contre cela

    Aux États-Unis, qui est en pointe pour les e-books, les principaux "acteurs" du marché déjà une bonne appréciation sur le comportement des lecteurs

    Par exemple, ils savent que les lecteurs de la trilogie "Hunger Games" avalent en moyenne 57 pages par heure, et Amazon sait précisément ce que les lecteurs ont soulignés dans le e-books, ainsi que les notes qu’ils ont ajouté au texte original.

    Apple et Google par exemple sont capable de savoir combien de fois les livres sont ouverts, combien de pages le lecteur a lu, et combien de temps il a passé sur chacune d’elle . Certains fournisseurs vendent ces les données à des tiers.

    La technique aujourd’hui permet d’avoir un aperçu très détaillé sur tout ce que nous lisons, Et les consommateurs ont en revanche très peu d’informations sur les données qui sont stockées.

    Søren Pold : Cela veut dire que notre culture littéraire est potentiellement directement impliquée dans le grand cycle de la surveillance, et on peut imaginer qu’un jour, la lecture d’un livre sulfureux ou considéré comme "dangereux" par un Etat quelconque et qu’on vous refuse un visa quelques années plus tard si vous souhaitez vous rendre dans cet Etat quelconque !

    Les services d’abonnement e-books à domicile sont soumis à des règles très strictes qu’aux États-Unis, mais il peut y avoir" des pressions sur des fournisseurs en Europe par exemple.

    Tous les fournisseurs aux Etats-Unis et en Europe reconnaissent qu’ils est possible de collecter ces informations, et pour certains, ils reconnaissent qu’ils le font, mais tous prétendent que c’est pour mieux servir le lecteur, pour mieux répondre à ses attentes

    Søren Pold : Si vous voulez éviter d’être espionné, n’achetez que des livres en papier et payez en liquide !

    Søren Pold au Danmark reçoit le soutien d’Erik Wilberg, professeur à la Norwegian School of Management. Il estime qu’il y a de bonnes raisons de s’inquiéter .

    Erik Wilberg : Il est clair Søren Pold a raison. Les grandes entreprises qui diffusent les e-books collectent et vendent ces renseignements "à très haute valeur ajoutée". Nous laissons derrière nous beaucoup de traces électroniques, et cela en permanence. La surveillance des lecteurs de e-book n’est qu’un petit paramètre du problème. Il y a, entre autre chose, la vidéo-surveillance. Mais contrairement à la vidéo-surveillance dans les rues, les informations que nous laissons derrière nous en ligne peuvent être intéressantes pour les opérateurs commerciaux qui assemblent des bases de données gigantesques (les fameuses « Big Data ») qui aura à terme une valeur inéstimable. C’est un peu le "nouvel eldorado pétrolier". Les conséquences de l’exploitation de ces bases de données restent totalement inconnues.

    Beaucoup de monde peut-être intéressé par nos lectures, outre les services de renseignements (si tout à coup vous achetez beaucoup de livres sur les armes et l’extrême-droite), il y a aussi les compagnies d’assurance, pour les assurances vie (livres sur la santé, les maladies...). On peut tout imaginer.

    Le journaliste de la NRK a expliqué, qu’au cours de son enquête, Google, Apple et Amazon ont catégoriquement refusé de lui parlé.

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    Articles sources (en Danois et en Norvégien)

    Du bliver overvåget når du læser e-bøger | Kultur | DR
    http://www.dr.dk/Nyheder/Kultur/Boeger/2013/09/03/154050.htm

    Af Silas Bay Nielsen

    Forestil dig, at du ligger i sofaen og læser din nyindkøbte roman. Bag ved dig står både boghandleren, der har solgt dig bogen, og måske endda forlaget, som har udgivet din bog. Der står de og kigger dig over skulderen for at se, hvor hurtig du er til at læse, og hvor i bogen du går i stå.

    Slår alarm om ebok-overvåking - NRK - Kultur og underholdning

    http://www.nrk.no/kultur/slar-alarm-om-ebok-overvaking-1.11223420

    Slår alarm om ebok-overvåking

    Nettgigantene kan se hva du leser, hvor lenge du leser og hvor mye leser. Nøyaktig hva informasjonen brukes til, er det ingen som vet.

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    A lire aussi

    Readers’ privacy is under threat in the digital age | Books | The Guardian

    http://www.theguardian.com/books/2012/aug/31/readers-privacy-under-threat

    Every time you read a newspaper on your computer or buy an ebook, you can leave an electronic trail behind you. That trail is potentially lucrative for business, and is a new source of surveillance for government and law enforcement.

    Google Hopes to Open a Trove of Little-Seen Books - NYTimes.com

    http://www.nytimes.com/2009/01/05/technology/internet/05google.html?pagewanted=1&_r=1&

    By MOTOKO RICH
    Published: January 4, 2009

    MOUNTAIN VIEW, Calif. — Ben Zimmer, executive producer of a Web site and software package called the Visual Thesaurus, was seeking the earliest use of the phrase “you’re not the boss of me.” Using a newspaper database, he had found a reference from 1953.

    E-Reader Privacy Chart, 2012 Edition | Electronic Frontier Foundation

    https://www.eff.org/pages/reader-privacy-chart-2012

    E-Reader Privacy Chart, 2012 Edition

    #ebooks #édition #contrôle #surveillance #espionnage #marketing #wtf

  • Lecture illimitée pour iPhone : Oyster, 100.000 #ebooks pour 9,95 $
    http://www.actualitte.com/applications/lecture-illimitee-pour-iphone-oyster-100-000-ebooks-pour-9-95-44857.htm
    Netflix a renoncé à s’implanter en France, pour l’instant.

    Le service américain Oyster vient d’ouvrir, pour une période limitée, un accès à 100.000 livres numériques, pour 9,95 $ par mois. Actuellement, l’application n’est accessible que sur iPhone et uniquement sur le territoire américain. Mais le modèle Netflix se développe autour du livre numérique, et la version iPad est prévue pour cet automne.

  • Le Monde diplomatique, une nouvelle façon de lire en ligne

    http://www.journalismes.info/Le-Monde-diplomatique-une-nouvelle-facon-de-lire-en-ligne_a4610.html

    Avec une excellente interview de @baroug qui se la pète un peu

    « Nous avons élaboré une maquette agréable et pratique. »

    « Depuis le début, on pense, contrairement à ce qui est souvent dit, qu’Internet ne signifie pas format court. Il semblerait que l’on ait raison sur cette question. »

    mais on lui pardonne, le résultat est superbe.

    Pour sa nouvelle édition électronique lancée il y a deux mois, le Monde Diplomatique a pris un chemin inattendu. A l’heure où le mot « interactivité » se répand dans toutes les rédactions, celle du Monde Diplomatique a tout simplement choisi de proposer aux utilisateurs de tablettes de « lire » le journal. Pas de vidéos, de photos, de diapos, d’alertes ni de liens à gogo... C’est tout simplement un livre électronique qui est présenté aux lecteurs.

    Sur son site, le Monde Diplomatique explique son choix. La première raison est « technique : les livres électroniques fonctionnent avec la plupart des écrans, et notamment les liseuses (Kindle, Kobo, etc.) ». La deuxième raison est « politique : nous en maîtrisons toute la chaîne de fabrication, ce qui nous dispense de recourir à des prestataires extérieurs ». Et enfin, « intellectuelle » car « ce format permet de retrouver, au moins en partie, la ’lecture profonde’ propre au papier ».

  • Données personnelles : mieux vaut pirater un ebook que l’acheter
    http://www.actualitte.com/acteurs-numeriques/donnees-personnelles-mieux-vaut-pirater-un-ebook-que-l-acheter-44628.htm

    Les internautes n’ont pas été les seuls à s’inquiéter de la décision prise par l’organisation néerlandaise de lutte contre le piratage, le BREIN, en coopération avec la plateforme de vente d’ebooks, eBoelhuis. En effet, les clients de cette dernière seront fliqués tout particulièrement, après l’achat de fichiers numériques, grâce à un tatouage numérique spécifique apposé sur leurs ebooks...

    #ebooks #données_personnelles #flicage

  • Google. Acheter n’est pas louer, ni le client, une vache-à-lait
    http://neosting.net/actualite/google-play-acheter-jim-o-donnell.html

    Ce n’est pas nouveau, mais puisque le sujet est remis sur le tapis, je vais en profiter pour en rajouter une petite couche et pousser un énième coup de gueule, qui ne changera certainement pas la face du monde. Mais si, en me lisant, vous pouviez prendre conscience du problème, ce serait déjà un très […] #copyright #ebooks #google #google-play

  • @monolecte ou autres seenthisiens : avez-vous déjà travaillé à la genèse d’ebooks au format epub ? Quels outils utilisez-vous pour ce faire ?

    Je lis certains classiques du domaine public, comme par exemple Maurice Leblanc* (L’île aux trente cercueils, l’aiguille creuse etc...).

    Or, les epub disponibles sont assez mauvais et ne s’adaptent pas bien à la lecture en grands caractères (par exemple les numéros de page sont au milieu des pages).

    Et je passe sur les coquilles qui traînent ou les couvertures absolument affreuses. Du coup, je me disais que ça pouvait valoir le coup de travailler sur quelques textes du domaine public. Mais, je ne sais pas où commencer. Any idea ?

    #ebooks #epub #technique #edition

    * : Tu vas me dire : tu pourrais acheter par exemple « Eclats d’obus » qui vient d’être réédité chez Payot-Rivages. Je te dirais alors que je ne suis même pas sure de la qualité de leurs livres électroniques. Alors non.

    • J’ai programmé un truc avec @baroug pour les ebooks du @mdiplo ; tu lui donnes des pages web à manger. Mais il faut que je package le script proprement, pour l’instant il n’est pas très générique.

      Pour ce qui est des livres du domaine public, j’aurais tendance à recommander partir du #projet_Gutenberg. Certaines choses peuvent être automatisées (typographie, corrections de fautes de scan), d’autres à la relecture. Il me semble que #Github offre une interface très facile pour ça.

    • Pour l’instant, je ne m’y suis pas vraiment penchée, mais vas bien falloir que je le fasse. Je vais voir, déjà, ce que donne l’exportation en format epub de #Scrivener. Sinon, j’ai installé #Sigil depuis longtemps, mais je ne l’ai jamais utilisé. Il y a aussi le module de conversion de #Calibre qui donne des résultats intéressants, mais qui est très chiant à paramétrer correctement.
      Sinon, quand je trouve un long article web intéressant et que je préfère le lire aux chiottes ou dans mon hamac, j’utilise http://dotepub.com qui donne de très bons résultats.

      Dans tous les cas de figure, je suggère qu’on partage nos expériences.

    • Pour l’instant, je vois plusieurs problèmes :
      – la ponctuation, la typographie,
      – les infos génériques (résumé, couverture)
      – les fautes de scan (mots collés, lettres mal captées etc...)
      – si l’ebook est mal fait, il est impossible d’augmenter correctement la taille des caractères. Et, je ne parle même pas de la question de la césure des mots dans ce contexte de gros caractères qui est catastrophique.

      Ce sont plutôt des problèmes de lecteur donc. J’ai noté 189 fautes de ce type sur le dernier livre lu, qu’on m’a prêté mais qui a gentiment été acheté à la base. Je vais donc faire les corrections moi même :) et le mettre en circulation corrigé. Le foutage de gueule de l’édition consiste à vendre des trucs aussi pourris.

      Sinon, l’auto-édition, je n’y crois pas, un peu long à expliquer, donc j’y reviendrais.

  • Ending the book hunger
    http://newint.org/blog/2013/07/26/ending-the-book-hunger

    sur la question de l’accès aux livres pour les #enfants d’#Afrique, New Internationalist propose une solution technologique à base d’#ebooks, ce qui m’étonne un peu d’eux ; argumentaire :

    (...) E-readers fit to the needs of rural education almost as if they are specifically designed for it.

    E-readers are cost and energy efficient. Most models’ batteries can last up to two months with a single charge. There are also versions which work with solar energy. An average computer would require not only constant energy, but also someone with moderate computer literacy to operate it. But e-readers don’t have such obstacles. Any child could start to use an e-reader within minutes, with no prior IT literacy. It is possible to fit literally thousands of books into an e-reader. With the combination of freely available children’s classics and perhaps copyright donations from individual authors and publishing houses, every child could own a large library.

    #inégalités #enseignement

  • Notes sur le Kobo Glo, pour mémoire.

    Vu que mon sony reader pocket a mystérieusement disparu (volé, perdu, égaré ?) j’ai opté à reculons pour un Kobo Glo, au lieu d’un autre sony reader, à cause de l’option retro-éclairage. Et comme prévu, le Kobo n’arrive pas à la cheville des lecteurs sony, (j’ai pas d’actions de la firme japonaise). Sauf qu’avec les reader sony, impossible de lire dans le noir et d’assurer la paix des ménages.

    Résultat, une heure et des brouettes pour que le Kobo fasse à peu près ce que je veux. Inscription obligatoire à Kobotruc pour pouvoir activer le lecteur, super reloud moi qui ait fuit le kindle, argh. Donc modification des fichiers de config pour 1/ virer le logo affreux qui sert d’écran de veille 2/ gérer les bouquins via Calibre 3/ne pas avoir à être connecté à leur plateforme pète-couille. Pff...

    Virer le logo beurk
    Afficher les fichiers cachés. Aller dans le répertoire .kobo et ouvrir le fichier affilate.conf. Retirer la mention affiliate=xxx. Et hop, plus de logo mais la couverture du livre en cours de lecture.
    Gérer les bouquins avec Calibre Merci au tutoriel de ebooksgratuits.com
    http://www.ebooksgratuits.com/divers/test_kobo_glo.html
    utiliser le lecteur « sans compte » (un chouille plus touchy)
    http://www.mobileread.com/forums/showthread.php?s=729b1d44e0df6a958411893e7f65ea6f&p=2383345#post2383345

    Les dernières générations de lecteurs intègrent le wifi, les réseaux sociaux etc... ce qui ne me sert absolument à rien. Rendez-moi mon Pocket reader !

    #reader #ebooks

    • J’ai un #kobo mini dont je suis très contente, même s’il m’a fallu aussi faire toutes ces opérations pour pouvoir m’en servir tranquillement. Le wifi est pratique pour pouvoir initialiser le bousin sans passer par Windows. Sinon, comme toi, j’utilise Calibre. Mon soucis, c’est plutôt la prolifération des DRM qui m’empêche d’acheter une grande partie de la production actuelle et non parlons pas de la misère des catalogues sur les ouvrages un peu pointus (en gros, tout ce qui n’est pas roman grand public).
      Après, j’avais essayé un Sony en magasin et j’avais beaucoup aimé la sensibilité de son écran, là où le Kobo est un chouia plus poussif.
      Après, pour avoir de tas de livres dans la poche, c’est vachement bien.

      Je me demandais si les .mobi d’Amazon étaient facilement convertissables en .epub par Calibre et s’ils ne sont pas moins plombés par les DRM que les .epub natifs.

    • Question : pas trop galéré pour changer l’email de connexion ?

      Sinon, ce qui manque au Kobo ainsi kitté : des boutons !

      Pour les .mobi d’amazon, oui, cela fonctionne. J’ai du à mon corps défendant en acheter un ou deux (textes théoriques en anglais) et j’ai pu les adapter du temps de mon reader pocket chéri.

      On ne reviendra effectivement pas sur la pauvreté des catalogues en français, le prix de certains éditeurs et surtout la mauvaise qualité des fichiers epub ! Certains utilisateurs vont jusqu’à les refaire pour pouvoir lire convenablement.

      Pour les achats, j’essaye me cantonner aux éditeurs sans #drm ou qui se bidouillent.

    • Les éditeurs de livres ont la même politique que les éditeurs de musique et de films avant eux : ils veulent que rien ne bouge, qu’on surflique les consommateurs en ne développant surtout pas une offre légale digne de ce nom. Résultat : leurs ventes s’effondrent et ils disent que c’est la faute aux pirates.
      Personnellement, je ne vais pas acheter un livre que je n’ai pas la possibilité de lire. Je tente de mettre la pression sur les auteurs, pour qu’ils fassent chier leurs éditeurs, mais là aussi, on est dans un modèle timoré et dépassé.

      De toute manière, sorti de quelques maisons dignes et indépendantes (genre l’Atalante qui a un super catalogue et s’est publiquement prononcé contre les DRM), tout le reste de la profession est un gang de requins indignes. Je bosse sur un truc. Si j’arrive au bout, je vais m’auto-éditer chez Lulu.com, parce que là, je reste totalement maîtresse de mon œuvre et de son devenir, de sa distribution. Si je décide de faire le ebook sans #DRM, personne ne va me péter les couilles en en mettant quand même.

    • Le problème de l’auto-édition, c’est le travail du texte, la distribution et tous les aspects commerciaux. Je crois que se regrouper pour faire des petites maisons d’édition et mutualiser les forces (editing, corrections, distribution, financement etc...) me semble quand même plus judicieux. J’ai des contacts qui ont édité sur lulu, avec déjà un public et des gens qui attendaient les livres. Ils ont quand même du se taper des tournées de libraires, faire des dépôts, avancer des fonds à perte. Et c’était des livres, c’est à dire des ouvrages lisibles, avec du travail sur le texte, sur les données etc... L’édition numérique et le print-on-demand ont de l’avenir mais je crois qu’il faut quand même derrière une mutualisation de forces de travail pour que le résultat soit lisible. Combien de trucs meurent chez l’Harmattan parce qu’ils publient des thèses telles quelles, c’est à dire des textes pas faits pour être lus :D. Financer des publications, c’est pas le problème, même l’impression est devenue accessible.

    • Avec Lulu, tu te tapes tout le boulot et, effectivement, il vaut mieux construire de petites équipes de soutient, ce serait-ce que pour la relecture. Cela dit, je préfère avoir du boulot en plus que de laisser l’essentiel de la rémunération à un éditeur que je soupçonne de plus en plus de ne plus vraiment faire correctement son boulot, le tout, en cédant les droits, avec un bandeau sur les yeux.

      Pour mon premier bouquin, je n’ai même pas cherché un éditeur. Ça me pétait les couilles veugra de devoir gratter à la porte de gens qui préféreront toujours publier un monument de conneries et de banalités gratté au kilomètre par un nègre précaire pour le compte d’une célébrité de la la télé dont la renommée n’a d’égale que la vacuité intellectuelle. J’aurais eu l’impression de négocier avec Al Capone, quelque part.
      Tandis que là, j’ai été maître du projet de bout en bout, j’ai obtenu de l’aide pour la couverture, la relecture et j’ai pu faire mes propres choix pour la mise en page.
      Ensuite, j’ai pu tirer les leçons de ce premier essai et je pense que je ferai plus court et moins cher.

    • Ces éléments, qu’ils soient obligatoires ou optionnels, peuvent être implémentés quasiment au bon vouloir des revendeurs et développeurs d’application sans base réellement solide et commune

      Quant aux métadonnées, elles sont un véritable défi tant le système se révèle incroyablement complexe au quotidien, celles-ci pouvant être tout simplement étendues par les revendeurs...
      Plus important encore, EPUB 3 a beau être présenté comme rétrocompatible, il ne l’est effectivement qu’en partie.

      Les balises a et span ne peuvent pas être utilisées en même temps

      Les auteurs d’une publication (...) doivent être mentionnés un par un et de nombreuses applications et revendeurs ne prendront en compte que le premier élément de cette liste. Inutile de compter sur un support des rôles des différents intervenants, ceux-ci étant simplement ignorés.

      ( extraits d’un document de travail de l’excellentissime Jiminy Panoz, de chez http://chapalpanoz.com )

    • Mes amis, savez-vous que se tient à Paris en septembre un workshop dédié aux problèmes du monde de l’epub ?

      Publishing and the Open Web Platform

      http://www.w3.org/2012/12/global-publisher

      C’est organisé par le W3C, et c’est gratuit dans la limite des places disponibles (en échange d’un « position paper » où le participant explique son point de vue sur le sujet). Avoir des retours de personnes qui doivent travailler avec le format est toujours intéressant.

      Personnellement je pense qu’on doit s’orienter vers un format qui serait le même que pour des applis, etc., fondé sur HTML plutôt que XHTML, et le plus similaire possible au Web. Mais bien sûr, il y a débat !

      Venez apporter vos opinions !

    • J’oubliais : il reste 5 jours pour fournir un position paper. Il n’a pas besoin d’être compliqué (deux-trois paragraphes de prise de position suffisent) sauf pour qui voudrait obtenir une présentation durant le workshop, auquel cas il faut convaincre qu’on a un sujet qui tient la route (et du coup écrire un peu plus).

  • Publishers Tell of Disputes With Apple on E-Book Prices - NYTimes.com

    http://www.nytimes.com/2013/06/06/business/media/publishers-tell-of-disputes-with-apple-on-e-book-prices.html?nl=todaysheadl

    In an e-mail to her boss, Leslie Moonves, Carolyn K. Reidy, the chief executive of Simon & Schuster, dismissed an Apple executive as a “minion.”

    David Shanks, the chief executive of Penguin Group USA, fought with Apple over the e-book pricing it initially proposed.

    ##édition #ebooks #édition-electronique

  • Test. Kobo Aura HD, la liseuse tactile à éclairage intégré
    http://neosting.net/materiel/test-kobo-aura-hd.html

    Elle me faisait rêver, bien plus que la Kindle Paperwhite d’amazon pour plusieurs raisons. La Kobo Aura HD sera donc arrivée chez moi, il y a quelques jours. Pour le moment, seul le modèle noir semble exister en France, distribué par la FNAC qui reste très peu communicante ... #aurahd #kobo #test #ebooks #liseuse

  • Une nouvelle édition électronique pour « Le Monde diplomatique »
    http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2013-04-11-edition-electronique

    Elle était attendue avec impatience par nos lecteurs les plus fervents : vingt ans après la création du site Internet du Monde diplomatique — une première dans la presse française – voici enfin son édition électronique . Dans cette première version, « faite maison » par la petite équipe qui s’occupe du (...) / A propos du « Diplo » - #La_valise_diplomatique

    #A_propos_du_« Diplo »

  • Apple : un brevet pour la revente de contenus numériques d’occasion

    Ben voyons.... puisqu’ils ont les #brevets-qui-tuent-la-concurrence pourquoi ils se gêneraient hein !!!

    http://www.idboox.com/economie-du-livre/apple-un-brevet-pour-la-revente-de-contenus-numeriques-d-occasion

    Le bureau d’enregistrement des brevets américains a fait remonter un dossier déposé par Apple en 2012. Il s’agit d’une demande de brevet pour la revente de contenus numériques d’occasion. Après Amazon qui s’était déjà intéressé à la question avec un brevet similaire, Apple regarde aussi de près le marché de l’occasion numérique.

    Le document décrit un procédé qui permet à une personne de transférer la licence de son contenu numérique vers une autre personne. Les ebooks, la musique, les films et les applications sont mentionnées dans le brevet. Le processus est entièrement contrôlé par Apple.

    Le transfert peut être temporaire ou permanent. Cela pourrait s’apparenter à un prêt ou une revente. A la fin de l’échange, la personne qui a revendu son contenu numérique ne peut alors plus y accéder. Une commission est également prévue pour le détenteur des droits d’auteur, créateur ou éditeur, lorsque le transfert a lieu. Il n’y a pas de restriction sur le prix de revente du contenu numérique....

    zanks to @idebox @thedigitalreader
    #eBooks_d'occasion #brevets #Apple #tout-est-à-eux...

  • Le contenu des applications-livres commence à être indexé par Google | SoBookOnline
    http://www.sobookonline.fr/livre-numerique/le-contenu-des-applications-livres-commence-a-etre-indexe-par-google

    Face au pessimisme affiché contre les applications-livres-manuels, jugées fermées et propriétaires (à juste titre, d’ailleurs – encore que ce constat totalitaire peut être contrebalancé par l’anthropologie des pratiques de lecture…), Inkling vient d’apporter un nouvel éclairage en annonçant l’indexation du contenu de ses manuels « sociaux » par Google (via Digital Book World).

    #ebooks