Bronx girls learn about prejudice and empowerment by putting explorers on trial
▻http://mashable.com/2016/02/09/bronx-girls-explorers-trial
#filles #enseignement #droit par @nadjao
Bronx girls learn about prejudice and empowerment by putting explorers on trial
▻http://mashable.com/2016/02/09/bronx-girls-explorers-trial
#filles #enseignement #droit par @nadjao
8 ways you can empower girls to learn coding
1. Know the specific barriers we need to overcome.
2. Start with concrete first steps in your own life.
3. Find organizations putting in the work already.
4. Be a role model.
5. Encourage your local school to teach girls how to code.
6. Lead a coding club for girls.
7. Recognize that computer science is an intersectional issue.
8. Understand where girls need to begin, too.
Avec une vidéo de MS qui s’adresse à des fillettes pour recruter des femmes en 2027 …
Un gros problème méthodologique d’exposition d’un cours de philosophie
J’ai de sérieuses difficultés avec la manière dont je dois présenter de nombreuses partie de cours de philosophie.
Une partie de la philosophie, doit se présenter comme quelque chose proche de l’Histoire : ce que d’anciens auteurs on dit.
Cependant ce n’est pas seulement de l’histoire, ce sont des Idées, et des Idées que l’on lie a des questions contemporaines, sur laquelle éventuellement la science dit autre chose (et c’est bien souvent le cas).
Mon côté sceptique me fait inévitablement rappeler a chaque fois les aspects faux de ces idées la. Ce qui au pire crée un questionnement chez l’élève du type : mais si c’est faux pourquoi on nous l’a appris ? Ce a quoi je ne peux pas dire grand chose, si ce n’est tout ceci sont « des propositions », vous n’avez pas a être d’accord avec, juste a les connaître, et justement elle vous permettrons éventuellement par opposition de valoriser votre avis différent.
Seulement voila. Parfois, c’est « full of bullshit »... Par ex. La thématique de l’inconscient. C’est censé débordé de psychanalyse et de Freud. Alors oui, je passe mon temps a montrer les lettres, que la science a montrer que ceci est faux etc.
Mais les élèves doivent quand même retenir certains aspects qui vont être « bien considéré » : tient vous avez su ré-expliquer le complexe d’oedipe. C’est bien, vous l’avez bien rendu, on comprend bien... Mais leur réfutation, ou critique éventuelle, ne sera pas apprécié a leur même valeur, puisqu’il n’y a pas d’auteurs philosophique qui tiennent l’idée inverse... Enfin, si dans ce cas il y a Popper, mais il parle de la psychanalyse en général, pas du complexe d’oedipe et de toute façon, il présente une critique, mais pas vraiment un autre point de vue positif.
Ce qui fait que je rencontre a minima 2 problèmes en suivant « le guide de la réfutation ». Celui-ci explique comment faire de bonne réfutation vis a vis de ce que retiendra le cerveau, les présenter etc.
Il dit notamment :
1.Que le mythe que l’on veux dénoncer doit prendre peu de place. Hors, si ils doivent bien présenter la psychanalyse dans leur dissertation, il faut que ça prenne une certaine place dans le cours... D’ailleurs si il ne parle pas de la psychanalyse de quoi parlerons t’il sur un sujet comme l’inconscient. Bien sur je leur est présenté l’avis des dernières recherches en psy cogn, mais je ne m’attends pas a voir des élèves de terminale me citer une étude et en faire matière a disserte...
2.Qu’il faut proposer au mythe une autre idée qui puisse s’y substitué et être aussi facile a retenir dans les principes.
Même problème tout ceci est très contemporain. Comment faire ? Dois je leur faire aussi en même temps qu’un cours de philo, un cours de physique ou de psychologie etc. Selon le sujet. D’ailleurs, est-il même possible que j’en sois capable ?
Si vous avez des idées...
Après l’IDEX - Gabriel Galvez-Behar
▻http://ggb.ouvaton.org/spip.php?article67
Dans son état actuel, le processus du PIA traduit le naufrage de la politique de l’#enseignement_supérieur et de la #recherche en France. Qu’il ait fallu près de quatre ans au pouvoir actuel pour faire émerger une stratégie de l’enseignement supérieur (STRANES) qui ne sera probablement jamais mise en œuvre faute de temps et, surtout, de moyens, dit combien la période 2012-2017 se sera avérée stérile. Feindre de croire que les COMUE puissent pallier l’absence d’une réelle stratégie territoriale, c’est se bercer d’illusions, surtout quand la mise en œuvre du PIA est confiée à des acteurs auquel l’État abandonne ses prérogatives. En somme, les Lillois ont la même réaction vis-à-vis de leur échec à l’IDEX que les électeurs vis-à-vis du pouvoir qu’ils ont élu en 2012 : ils ont voulu y croire sans se faire trop d’illusions et cela ne les empêche pas d’être révoltés aujourd’hui à l’idée d’avoir été pris pour des imbéciles.
Une #carte de France de l’ascension sociale
▻http://www.scienceshumaines.com/une-carte-de-france-de-l-ascension-sociale_fr_35678.html
Contre toute attente, la #mobilité ascendante des personnes d’origine populaire n’est que faiblement liée au dynamisme économique des #territoires ; elle dépend bien davantage du niveau d’éducation de la population. Plus le taux de diplômés du supérieur est fort, plus les jeunes ont de chances de s’élever socialement. Or, d’un département à l’autre, ce taux varie du simple au double parmi les jeunes d’origine populaire. C’est dire que la massification de l’#enseignement supérieur n’a pas suffi à combler les « trous noirs » de l’accès à l’#éducation. Accroître les chances de mobilité ascendante suppose alors, selon les auteurs de l’étude, une démocratisation réelle de l’accès à l’enseignement supérieur, principalement là où il est le plus faible. Combler les disparités géographiques, élargir et cibler l’offre, aider à la mobilité géographique, allouer de manière plus efficace les moyens sont alors autant de leviers d’action pour l’action politique.
« Citizen Philosophy Classes » [Utne Reader]
Banned during military dictatorship, philosophy classes are now required for students in Brazilian high schools, in an effort to boost political participation.
►http://www.utne.com/politics/philosophy-classes-zm0z12sozlin.aspx
In 1971 the military dictatorship that ruled Brazil from 1964 to 1985 eliminated philosophy classes from high schools. Teachers, professors in departments of education, and political activists championed its return, while most academic philosophers were either indifferent or suspicious.
The 2008 law—the world’s largest-scale attempt to bring philosophy into the public sphere—represents an experiment in democracy. Among teachers at least, many share Ribeiro’s hope that philosophy will provide a path to greater civic participation and equality. Can it do even more? Can it teach students to question and challenge the foundations of society itself?
Une étudiante voilée conteste son exclusion de l’Ecole nationale de commerce
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/040216/une-etudiante-voilee-conteste-son-exclusion-de-lecole-nationale-de-commerc
Une étudiante a formulé un recours au tribunal administratif contre l’École nationale de commerce de Paris pour faire annuler la mesure d’exclusion dont elle a écopé. Son avocat entend prouver que l’ENC n’est pas un lycée mais un établissement d’enseignement supérieur et qu’à ce titre, le port de signes religieux n’y est pas proscrit.
Les « blancos » de Valls amènent un professeur au tribunal
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/260116/les-blancos-de-valls-amenent-un-professeur-au-tribunal
Un enseignant-chercheur de l’université d’Avignon est cité à comparaître pour #incitation_à_la_haine_raciale après qu’il a cité ironiquement les propos de Manuel Valls sur « les blancos » dans un mail interne.
#France #Bernard_Mezzadri #enseignement_supérieur #Liberté_d'expression
Les « blancos » de Valls amènent un professeur d’université au tribunal
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/260116/les-blancos-de-valls-amenent-un-professeur-duniversite-au-tribunal
Un enseignant-chercheur de l’université d’Avignon est cité à comparaître le 27 janvier 2016 pour #incitation_à_la_haine_raciale après qu’il a cité ironiquement les propos de Manuel Valls sur les « Blancs, les white et les blancos » dans une liste de diffusion interne.
#France #Bernard_Mezzadri #enseignement_supérieur #Liberté_d'expression
Relaxe de Bernard Mezzadri : réaction de l’universitaire et analyse de Plínio Prado
Pascal Maillard, Médiapart, le 18 février 2016
►https://blogs.mediapart.fr/pascal-maillard/blog/180216/relaxe-de-bernard-mezzadri-reaction-de-l-universitaire-et-analyse-de
Mort d’Ali Ziri : la justice referme définitivement le dossier
Michel Deléan, Médiapart, le 17 février 2016
►https://www.mediapart.fr/journal/france/170216/mort-d-ali-ziri-la-justice-referme-definitivement-le-dossier
L’Histoire et le mythe national.
Shlomo Sand : « Quand je lis Finkielkraut ou Zemmour, leur lecture de l’Histoire, je suis effrayé » Entretien réalisé par Pierre Barbance
►http://www.humanite.fr/shlomo-sand-quand-je-lis-finkielkraut-ou-zemmour-leur-lecture-de-lhistoire-
Il faut enseigner l’Histoire avec le même état d’esprit que le tableau de Magritte où était inscrit « Ceci n’est pas une pipe » . On n’admet pas que la plupart des histoires de l’Histoire sont des mythes. Et pourtant… Ça va continuer. Il y a des mythes nouveaux sur le capitalisme. Quand je lis Finkielkraut ou Zemmour, leur lecture de l’Histoire, je suis effrayé. Avec l’Histoire on peut faire n’importe quoi. Or l’Histoire n’est pas la vérité. Ce ne sera jamais une pipe mais toujours le dessin d’une pipe. Et l’Histoire devrait être enseignée comme ça, de façon critique, en dévoilant le bagage idéologique que chacun possède.
#Shlomo_Sand #Histoire #Mythe_national #Israël #L'Humanité #Pierre_Barbance
Il y avait un groupe à la Sorbonne après 1945, composé de personnalités comme Albert Soboul, Georges Lefebvre, occupant une place hégémonique et proche des marxistes, qui se cristallise à cause des conditions de la Libération. À ce moment-là, Lucien Febvre, de l’École des Annales et fondateur de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), a reçu une forte somme de la Fondation Rockefeller. Dans le cadre de la guerre froide, il fallait arrêter le marxisme en Europe. Si les marxistes ou les ex-marxistes en Grande-Bretagne gardent une hégémonie dans l’Histoire, en France, Soboul et ses amis reculent devant la puissance de l’EHESS. Le phénomène des Annales, qui réunit beaucoup de gens intelligents comme Furet, Le Goff… fait l’histoire moins conflictuelle même si très matérialiste. Il y aura ainsi beaucoup de thèses sur la vie des paysans d’autrefois, beaucoup moins sur les luttes sociales. Si les historiens britanniques, à la même époque, publient de plus en plus de livres sur l’apparition de la classe ouvrière au XIXe siècle, il n’y a pas d’équivalent en France de cet élan d’analyses socio-économiques de formation des luttes sociales. Les historiens des Annales, qui deviennent hégémoniques, préfèrent le Moyen Âge et les luttes sociales deviennent mineures. Il n’y a pas non plus, en France, de livre comme celui de Howard Zinn aux États-Unis.
[…]
Parce que le mythe chaud en Israël fait croire que Hébron, Jérusalem, Jéricho sont la vraie patrie des juifs. Chaque élève en Israël, à partir de 7 ans jusqu’à 18 ans (il y a une matière au bac), apprend la Bible comme on apprend un livre d’Histoire. Pour créer un attachement à la terre mythique d’autrefois. Personne ne peut s’en libérer. Heureusement que j’ai été viré de l’école lorsque j’avais 16 ans. Peut-être que cela a contribué au fait que je puisse penser, parler. Et aussi parce que j’avais un père communiste. Mais aucun facteur n’est, en soi, suffisant. Pendant des années j’ai refusé la campagne Boycott-désinvestissement-sanctions (BDS). Mais aujourd’hui je pense qu’il n’y a aucune force politique capable de changer le cap, de changer cette radicalisation droitière et pseudo-religieuse de la société. J’accepte maintenant chaque pression sur l’État d’Israël, qu’elle soit diplomatique, politique, économique. Sauf la terreur. Si quelqu’un ne soutient pas le BDS aujourd’hui, il doit savoir qu’il aide à la continuation de ce désespoir tragique des Palestiniens qui, sans arme, résistent à ce statu quo.
#BDS #Boycott #enseignement #école #religion
Frameworks of Comparison
►http://www.lrb.co.uk/v38/n02/benedict-anderson/frameworks-of-comparison
The 35 years I spent as a professor of government at Cornell taught me two interesting lessons about US academia. The first was that theory, mirroring the style of late capitalism, has obsolescence built into it, in the manner of high-end commodities. In year X students had to read and more or less revere Theory Y, while sharpening their teeth on passé Theory W. Not too many years later, they were told to sharpen their teeth on passé Theory Y, admire Theory Z, and forget about Theory W. The second lesson was that – with some important exceptions like the work of Barrington Moore, Jr – the extension of political science to comparative politics tended to proceed, consciously or unconsciously, on the basis of the US example: one measured how far other countries were progressing in approximating America’s liberty, respect for law, economic development, democracy etc. Hence the rapid rise, and equally rapid fall, of an approach that today looks pretty dead – modernisation theory. Needless to say, there was often an openly stated Cold War objective behind this kind of theory. Namely, to prove that Marxism was fundamentally wrong. In its innocence, this kind of ‘look at me’ theory typically ignored such embarrassing things as the very high murder rate in the US, its hugely disproportionate black prison population, persistent illiteracy and significant levels of political #corruption ..
Pourquoi Mark Zuckerberg investit des milliards dans « l’enseignement personnalisé »
▻https://theconversation.com/pourquoi-mark-zuckerberg-investit-des-milliards-dans-lenseignement-
Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, mise sur l’enseignement personnalisé pour répondre aux principales difficultés auxquelles le système éducatif est actuellement confronté. C’est l’un des quatre principaux secteurs que financera la Chan Zuckerberg Initiative, créée par sa femme, Prescilla Chan, et lui-même, et dotée de 41,5 milliards d’euros.
Le projet de Mark Zuckerberg a trois défauts majeurs. D’abord, l’éducation a toujours consisté à acquérir des connaissances et des compétences en rapport avec une profession, mais aussi une culture générale. En concentrant l’enseignement sur les seules matières qui intéressent les élèves, le risque est de former beaucoup de spécialistes et peu de généralistes.
Ensuite, si l’on épargne aux élèves la confrontation avec une façon d’apprendre qui ne leur convient pas exactement, ils pourraient être amenés à souffrir ensuite, dans la vraie vie, de leur incapacité à s’adapter aux modes de fonctionnement qui ne sont pas les leurs.
Les gens étant différents, ils n’apprennent pas tous de la même façon.
Enfin, loin d’être figées, les préférences des élèves varient en fonction de leur environnement. Seule une démarche humaine permettra d’établir un contenu adapté à chacun. Un processus automatisé risquerait de dépersonnaliser l’enseignement et de réduire à leur portion congrue les échanges entre enseignant et élèves. Confier l’enseignement à la technologie serait courir le risque d’un appauvrissement du lien social que tissent élèves, enseignants et parents, indispensable à tout apprentissage efficace.
#Moocs à pas comptés
▻http://www.lenouveleconomiste.fr/moocs-a-pas-comptes-29153
Si la popularité des Moocs commence effectivement à enfler, l’équation économique est encore à plusieurs inconnues. Car si les participants doivent payer en fin de parcours pour le valider par un certificat, ils sont fort peu nombreux à parvenir à cette étape ultime, tant le taux d’évaporation est fort. Les #décrocheurs digitaux sont légion, de 5 à 10 % des inscrits en règle générale. Voilà pourquoi au vigoureux enthousiasme des débuts, dans les années 2010, a succédé une collection de stratégies plus circonspectes et timorées. Du fait de multiples expérimentations et interrogations. S’il existe plus de 300 grandes écoles et 75 universités en France, seuls 60 établissements d’enseignement supérieur français environ diffusent leur Mooc sur la plateforme FUN du ministère de l’#Enseignement supérieur et de la Recherche.
Après la phase initiale d’engouement, “on est dans la phase de désillusion” constate en expert Matthieu Cisel, doctorant préparant une thèse sur ce sujet. Quelques pionniers ont toutefois essuyé les plâtres, tirés de riches enseignements – L’école des Mines, HEC, GEM – et séduit quelques milliers d’étudiants.
“Les simples captations de cours sur vidéo des premiers temps font impérativement place à des “objets” numériques très élaborés”
La première surprise vint de l’âge et du background de ces élèves. “C’est principalement le public des formations pour adultes. Avec une problématique classique : les profs de l’enseignement supérieur ne connaissent pas vraiment cette spécificité : enseigner à des adultes, et à plus forte raison à des internautes. Et du coup, il y a un espace entre les enseignants et les enseignés.” Il va falloir apprendre, la concurrence est rude.
Le Bénin décrète l’#enseignement gratuit pour les #filles | Sans Compromis
►https://sanscompromisfeministeprogressiste.wordpress.com/2015/11/25/le-benin-decrete-lenseignement-gratuit-pour-les-filles
Le #Bénin décrète l’enseignement gratuit pour les filles de la primaire au lycée.
C’est particulièrement important pour l’éducation des filles car une majorité de familles ne scolarisent pas leurs filles par manque de moyens pour payer les droits d’inscription.
Donc un pas en avant contre les #discriminations envers les filles permettant l’accès à l’#éducation des enfants pauvres. Une fille qui poursuit sa #scolarité, c’est la plupart du temps un mariage précoce forcé de moins.
Pour info, 17 millions de filles ne sont pas scolarisées en Afrique selon le dernier rapport de l’UNESCO.
Hello amis de seenthis, je sollicite votre bienveillance pour un éclaircissement
J’ai écrit dernièrement un billet qui me tenait à coeur, issue d’une soudaine prise de conscience à la veille des attentats, amplifiée par la réalité atroce du lendemain.
En gros la question de l’intégration des populations d’origine maghrébines, qui ont un « capital culturel » que la France snobe délibérément, par exemple par le fait que la langue arabe n’est quasiment pas enseignée dans les écoles de France, alors qu’elle est bcp plus parlée que l’Allemand par exemple (et je ne parle pas du latin..), et que la France a des relations historiques avec les pays du Maghreb.
Ce billet n’ayant reçu absolument aucun feedback, cela me perturbe car je doute de la pertinence de mon raisonnement.
Aussi si des âmes charitables veulent bien me consacrer un peu de temps pour m’éclairer, je vous en serais reconnaissant.
Je souhaite récupérer des éléments de réponses pour comprendre en quoi ce texte ne suscite que de l’indifférence, en quoi il n’est pas digne d’intérêt. Cela me permettra de progresser en n’apportant aux discussions publiques que des apports plus pertinents.
Est-ce un problème de forme, de manque de clarté dans l’expression, de propos illisibles ?
Ou bien sur le fond, est-ce que j’enfonce des portes ouvertes ? Suis-je confondant de naïveté ? Est-ce une réflexion inutile ?
Ai-je une posture agaçante qui me rend antipathique ?
Je manque de légitimité, de notoriété, cela décrédibilise mon raisonnement ?
Je suis incapable de privilégier la moindre hypothèse.
Je suis donc preneur de tout éclairage franc et sincère.
Voilà voilà, je surmonte mon orgueil en venant mendier votre sollicitude, et comme un mendiant honteux, j’espère ne pas vous déranger :-)
J’ai ce besoin de partager le fruit de mes réflexions pour progresser dans ma compréhension du monde par échanges mutuels. Si je fais des monologues dans le vide, la logique voudrait que j’en tire des conclusions implicites et m’arrête d’écrire, ce dont je ne parviens pas à me résigner.
J’ai raté ton texte @petit_ecran_de_fumee et je ne pense pas avoir un avis éclairé. Je veux bien quant meme le lire et te dire si j’en pense quelquechose mais ça serait bien si tu me fournissait le lien vers le texte en question.
Je fus enseignant d’arabe, et je répondrai juste sur ce point même si le terme « intégration » mériterait plein d’autres commentaires.
Je reprends quelques uns de tes mots :
« La question se pose, alors que près de 3 millions de français sont arabophones, » : non, ils sont d’origine arabophone pour la plupart, sachant qu’une bonne partie des populations concernées sont berbérophones aussi. En plus, au regard des origines sociales, rarement éduqués, par rapport à une langue dont la maîtrise du code écrit est un terrible marqueur social. Intégrés justement, ces populations le sont jusqu’à un certain point puisque la/les langue(s) d’origine ont été perdues en grande partie (certes, pour un français mal maîtrisé dans le cadre d’une institution scoalire clivante).
« Pourquoi l’arabe arrive si loin dans le classement des langues vivantes du baccalauréat ? Pourquoi un tel tabou, pour ne pas parler d’indifférence ou de mépris ? »
Question complexe là encore. Prof d’arabe en banlieue, il m’arrivait de me tirer une balle dansle pied en suggérant aux familles de mettre leurs enfants brillant scoalirement an allemand plutôt qu’en arabe où ils allaient couler scolairement avec le reste du bateau ! Les familles d’origine arabophone ne font pas forcément (loin de là) le choix de l’arabe à l’école (classes ghetto, choix de l’enseignement religieux de l’arabe, choix de l’intégration comme les auters, etc.) mais surtout les « Gaulois » ne vont, sauf à être suicidaires scolairement, sauf dans de rares lycée d’élite en fin de parcours, jamais choisir l’arabe (alors que le chinois, hein !)
« Comment les français d’origine arabe peuvent-ils ressentir cela ? »
Autant de réponses que d’individus...
« Et pourquoi ces jeunes bilingues ne peuvent pas ou si peu faire valoir cette compétence dans le système scolaire français ? » parce qu’ils ne les ont pas, précisément, ces compétences... N’oublie pas que l’arabe « littéral » n’est la langue naturelle de personne (sauf Allah et encore ;-)) et que les éventuelles "avantages"qu’ils possèderaient par rapport à d’autres candidats scolarisés (vocabulaire, investissement personnel, maîtrise des phonèmes...) sont réduits à néant au regard du statut social de cette langue.
Parmi les multiples trahisons de la gauche socialiste, celle de Miterrand en l’occurrence, qui a enterré, en 1983 je crois, une réforme préconisée par l’arabisant (génial) jacques Berque préconisant, pour TOUS les élèves de la République, des cours obligatoires de sensibilisation à TOUTES les cultures immigrées... Son rapport s’appelait « Les enfants de l’immigration à l’école de la République » (mais il consistait à mettre la République à l’école de l’immigration aussi).
Voilà, on est 35 ans plus tard...
Depuis ton appel à contribution je réfléchis à une réponse. Ce qui a laissé le temps à @gonzo d’en proposer une à laquelle, bien que n’ayant pas autant d’expérience, je ne peux que souscrire vivement.
J’ajouterai quelques remarques. D’abord, me semble-t-il une dimension que l’on retrouve pour les langues régionales françaises et, en l’espèce, le breton. Où les stratégies d’intégration aboutissent à ne pas valoriser, voire à rejeter complètement, la langue d’origine. Et pour lisser tout ça, le rouleau compresseur linguistique de la télévision.
Pour l’arabe, on peut rajouter le racisme effréné qui régnait dans l’enseignement universitaire et tout particulièrement à l’égard des « arabophones cultivés », dénigrant absolument tout validité à une connaissance de l’arabe littéral acquise en dehors de l’établissement universitaire occidental. En gros, heureusement que les européens se sont penchés sur cette langue merveilleuse qu’est l’arabe, parce que les bougnoules sont bien trop bornés pour en comprendre l’esprit. Je caricature à peine…
Ajoutez à ces considérations « scientifiques » une pratique discriminatoire avérée. Aux Langues O, il y a plus de trente ans, les étudiants au patronyme arabe disparaissaient extrêmement rapidement. À l’époque (je ne sais pas si c’est toujours le cas) le premier cycle (DULCO) se faisait en 3 ans avec la possibilité de suivre la première et la deuxième année simultanément conditionnée à un examen en fin de premier trimestre universitaire dit autorisation de cumul. J’ai passé cet examen à côté d’un bon copain algérois, j’ai fait la version, il a fait le thème. Je l’ai eu, pas lui… Idem, pour mon autre copain syrien d’origine tcherkesse…
Du coup par la suite, le public étudiant était composé majoritairement (de l’ordre de 60%) de jeunes filles de bonne famille dont c’était la seule formation universitaire, quelques militaires, en général à 3 galons, venant acquérir un bagage permettant d’accompagner l’exportation des belles productions françaises dans les pays concernés et des atypiques qui réalisaient là un deuxième voire un troisième cursus, en complément à d’autres formations supérieures.
merci @gonzo pour ce précieux témoignage !
Puis-je le diffuser ?
Je vais en particulier creuser la question concernant Jacques Berque, et cette décision de 1983, édifiante...
Pour répondre aux interrogations légitimes de « petit-écran de fumée »
Olivier Roy : ►http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2015/11/26/le-djihadisme-est-une-revolte-generationnelle-e
Analyse profonde, sur laquelle j’ai fait un petit commentaire visible à la suite de l’article
@petit_ecran_de_fumee Juste un petit élément de réponse un peu tranché mais qui résume bien tes interrogations. C’est une phrase prononcée, à propos de la France, par Mamadou Diouf que j’ai retenu lors d’une émission dont il était l’invité : « La modernité occidentale est une modernité autoritaire qui soumet tout à sa logique ».
▻http://seenthis.net/messages/431475
merci @remi : effectivement cette réflexion est passionnante, elle mérite plus de visibilité, je vais l’épingler sur un nouveau fil
@petit_ecran_de_fumee : pas de pb pour la diffusion (en corrigeant mes fautes de frappe du matin embrumé !) Pour le rapport Berque, j’ai perdu ma copie papier et n’ai jamais réussi à trouver une copie numérique... Si tu trouves qq ch, je suis preneur.
Apres lecture de ton texte @petit_ecran_de_fumee, que j’ai trouvé plein de questionnement interessant. Je ne trouve bien sur rien d’aussi pertinant que ce que disent @gonzo, @simplicissimus, @remi et @odilon. Je vais voir si j’ai des choses intéressantes a mettre en lien sur la question de l’intégration, histoire de pas trop écrire pour ne rien dire.
–---
Édit :
Sur « les mots sont importants » il y a pas mal de choses :
▻http://lmsi.net/Integration-et-assimilation
▻http://lmsi.net/Integration-piege-a-cons
▻http://lmsi.net/L-integration-contre-l-egalite
▻http://lmsi.net/L-integration-contre-l-egalite,407
En fait il y a meme une rubrique « intégration »
▻http://lmsi.net/-Integration-
Tiens, une illustration de cette aberration...
Ne pas connaitre le langage de l’adversaire c’est par définition la cause originelle qui a donné naissance à cet adversaire.
►http://www.20minutes.fr/societe/1839175-20160504-special-investigation-gendarmes-traquent-vraiment-djihadi
La séquence a de quoi interroger. Dans le documentaire « Les soldats d’Allah » diffusé lundi soir sur Canal + pour Spécial Investigation, le colonel Nicolas Duvinage, patron du Centre de cybercriminalité de la gendarmerie nationale (C3N), expliquait qu’il ne disposait d’aucun agent arabophone : « On utilise des outils en ligne type Google Translate. La traduction est de qualité assez approximative. Ça pourrait être mieux d’en avoir mais encore une fois, nous ici on se contente de ce qui est visible sur internet ».
(...)
Si au sein de cette unité spécifique, composée de 43 gendarmes, aucun ne parle arabe, ce n’est évidemment pas le cas dans la totalité des services amenés à effectuer des recherches et des missions de surveillance sur internet et les réseaux. Les besoins existent et les ressources sont faibles reconnaît toutefois un agent de l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (OCLCTIC), qui dépend de la Direction Centrale de la Police Judiciaire : « Nous n’en avons pas énormément et lorsque nous n’avons pas la chance d’avoir un policier arabophone, il arrive que nous faisions appel à des traducteurs de façon ponctuelle ou d’affiner avec des agents qui appartiennent à d’autres unités ».
En Seine-Saint-Denis, le refus du déclassement et des inégalités territoriales - A l’écart des circuits officiels, des parents d’élèves défendent l’école pour tous, par Allan Popelard (mars 2014)
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2014/03/POPELARD/50234
Redoutant l’#enseignement dans les écoles d’une « théorie du genre », quelques parents d’élèves, abondamment relayés par la presse, ont préféré soustraire leurs enfants à leur obligation scolaire. Même si la chose est moins médiatisée, il arrive que parents et enseignants œuvrent au contraire à la défense commune des principes fondamentaux de l’#école républicaine. Comme en #Seine-Saint-Denis, depuis quelques années. [#st]
Limites de la coéducation
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2014/03/POPELARD/50235
Etat, collectivités territoriales, associations de parents d’élèves et syndicats enseignants manifestent un rare unisson lorsqu’il s’agit de la coéducation, ce nouveau « partenariat » visant, selon le site du ministère, à « donner toute leur place aux parents dans l’école » en construisant « une école accueillante et bienveillante ».
Une rupture, selon le sociologue Philippe Gombert : « Longtemps les familles ont été tenues à distance de l’école. De la Révolution française aux années 1960, l’Etat les considérait comme un obstacle au projet éducatif qu’il entendait mener. »
▻http://zinc.mondediplo.net/messages/11006 via Le Monde diplomatique
L’objectif a toujours été de fermer les écoles rurales et de liquider les RPI | La petite Gascogne
▻http://nogarojournal.imadiez.com/2015/10/27/lobjectif-a-toujours-ete-de-fermer-les-ecoles-rurales-et-de-l
Fermer les écoles de campagnes et concentrer les effectifs dans les chefs-lieux, c’est supprimer de l’emploi, c’est augmenter la facture du transport scolaire qui pèse de plus en plus lourd sur les finances locales et — par extension et transferts — sur les familles, c’est dégrader le bilan carbone, c’est réduire l’autonomie des enfants tout en leur allongeant parfois démesurément la journée de travail. En effet, réduire les heures de cours, comme c’est actuellement la tendance, ne sert à rien quand le ramassage scolaire démarre tôt, que le trajet s’allonge à cause des nouvelles dessertes et que l’enfant est ramené tard à la maison.
Utiliser Wikipédia en classe : création d’un kit pédagogique pour les enseignants | Archimag
▻http://www.archimag.com/veille-documentation/2015/10/23/utiliser-wikipédia-classe-portail-enseignants
Avouons-le : si Wikipédia fait partie des « favoris internet » des élèves et des étudiants, ces derniers n’en font pas toujours bon usage.
Les copiés-collés issus de l’encyclopédie universelle et collaborative en ligne, ou même l’absence de croisement des sources le prouvent : former les jeunes générations en classe à une utilisation éclairée de l’outil s’impose. Et pourquoi pas en leur permettant de passer du statut de lecteur à celui de contributeur ?
Pour ce faire, l’association Wikimedia France (qui soutient les projets de la Wikimedia Foundation, elle-même à l’origine de l’encyclopédie Wikipedia) vient de mettre en ligne un kit pédagogique sous la forme d’un portail dédié aux enseignants et aux acteurs de l’éducation.
"#Socialisme, #communisme, #syndicalisme en #Allemagne depuis 1875" par les visualisations.
Difficile pour les élèves de terminale d’aborder un programme d’histoire-géographie qui pose d’entrée trois séquences sur lesquelles ils n’ont que peu de repères : « les mémoires de la Seconde guerre mondiale », « Penser le monde en cartes » et « Socialisme, communisme et syndicalisme en Allemagne depuis 1875 ».
Très rapidement, des enjeux se posent autour de l’appropriation des contenus. Pour aider à fixer une compréhension globale, une chronologie d’événements autour d’une question au programme, la construction visuelle peut être utile.
La construction propose ici trois visualisations résumant le découpage d’une séquence de cours sur cette deuxième question du programme d’histoire « Socialisme, communisme et syndicalisme en Allemagne depuis 1875 ». Là encore, comme pour les croquis, il s’agit d’une construction personnelle, qui n’indique pas les attendus de contenus pour l’épreuve.
L’intérêt est de permettre à l’élève de comprendre qu’une fiche de révision peut s’élaborer sur d’autres outils avec un autre cadre que le seul textuel, même si ces trois constructions demeurent chargées en rédaction ! Le jeu de trois couleurs associées à trois moments chronologiques de la séquence peut paraître superflu, il offre néanmoins un repère essentiel pour des élèves en difficultés sur l’écrit. Il en va de même pour le choix de quelques illustrations qui fixent les éléments clés de contenus ou qui familièrement aident à « se souvenir »...
À lire : un extrait de « La destruction de l’université française » de Christophe Granger | Contretemps
▻http://www.contretemps.eu/lectures/%C3%A0-lire%C2%A0-extrait-destruction-universit%C3%A9-fran%C3%A7aise-chr
L’#université française a vécu. Les mots d’ordre anciens qui tramaient ses missions d’#enseignement et de #recherche n’ont plus cours. Désormais, c’est à la #compétitivité, à la #concurrence et même à la #flexibilité qu’on rapporte à peu près tout ce qui s’y passe 1. Pareille liquidation n’appartient pas à un lieu : depuis les années 2000 elle a pris corps aux quatre coins du monde. Elle est fille de ce #capitalisme de #crise qui circule partout, et qui n’est pas autre chose au fond qu’un perpétuel #chantage à l’effondrement prochain : l’université va au désastre, nous disent les autorités de tout bord ; pour la sauver, il faut consentir à la misère et à l’insécurité. Quels que soient les noms qu’elle s’est donnés, cette politique a enfanté l’indigence. Partout, elle a voué les professionnels du savoir à l’impuissance et au mensonge. Partout, elle a fait des étudiants de simples consommateurs-payeurs. Et partout elle a ravalé les connaissances au rang d’une triste marchandise.
▻http://label-ddrs.org/index.php?option=com_flexicontent&view=item&cid=2&id=36&Itemid=101
Label DD&RS - Texte page d’accueil - Accueil
DD&RS : Le label développement durable des établissements d’enseignement supérieur
Le dispositif de labellisation « Label DD&RS » est le fruit du travail collectif d’une dizaine d’universités et de grandes écoles, de la Conférence des Grandes Ecoles, de la Conférence des Présidents d’Universités, du Ministère en charge du développement durable, du Ministère en charge de l’enseignement supérieur et du REseau Français des Etudiants pour le développement Durable. Il s’inscrit dans la lignée de l’art 55 du Grenelle 1 de l’environnement, en réponse à la feuille de route de la Conférence environnementale 2013 et au nombre des initiatives internationales rassemblées sur la plate-forme www.sustainabilityperformance.org.
Le label DD&RS permet de :
Valoriser nationalement et internationalement au meilleur rapport bénéfices/coûts les démarches de développement durable et de responsabilité sociétale des établissements d’enseignement supérieur et de recherche.
Monter en compétences au sein d’un collectif d’établissements engagés
Qu’est-ce encore que cette usine à gaz ? gaz durable néanmoins ;-)
De Peter Pan à Tintin : géographie des #pays_imaginaires
A l’occasion du Festival international de géographie de Saint-Dié dont nous sommes partenaire, Planète terre invite à une étude scientifique et géographique des pays de fiction. Des territoires inventés de la BD et de la littérature à la création pure et simple d’un espace ex nihilo à des fins d’expérience scientifique, Planète terre arpentera les chemins de l’#imaginaire
▻http://www.franceculture.fr/emission-planete-terre-de-peter-pan-a-tintin-geographie-des-pays-imagi
La brochure « enseigner la géographie avec le numérique »... sur l’imaginaire :
▻http://cache.media.eduscol.education.fr/file/Numerique/60/3/enseigner-num_geo_2015_web3_%281%29_477603.pdf
#enseignement #pédagogie
Le Collège de France, de François Ier aux cours en ligne
▻http://www.laviedesidees.fr/Le-College-de-France-de-Francois-Ier-aux-cours-en-ligne.html
Un ouvrage collectif richement illustré et documenté récapitule l’histoire du Collège de France, et retrace son étonnante continuité depuis son fondateur François Ier aux modernes cours en ligne.
Livres & études
/ #enseignement, #recherche, #pouvoir, #communication
Le Collège de France, de François Ier aux cours en ligne
▻http://www.laviedesidees.fr/Le-College-de-France-de-Francois-1er-aux-cours-en-ligne.html
Un ouvrage collectif richement illustré et documenté récapitule l’histoire du Collège de France, et retrace son étonnante continuité depuis son fondateur François Ier aux modernes cours en ligne.
Livres & études
/ #enseignement, #recherche, #pouvoir, #communication
Réfléchir à la question des migrants et des réfugiés à l’école (Aggiornamento hist-geo)
►http://aggiornamento.hypotheses.org/2999
Pour remettre en perspective ce qu’il convient d’appeler un événement médiatique, il fallait rappeler l’importance des contextes : temporels (long et court) et spatiaux (dans une approche multiscalaire). Pour ensuite comprendre via des supports variés : le rôle des mots (article de presse), des statistiques (infographie) ou encore des dessins de presse. Enfin permettre l’élaboration de commentaires à propos de deux situations problèmes, ayant fait l’objet de polémiques (plus ou moins relayées par les médias.)
L’université belge est une université pour les élites
▻http://inegalites.be/L-universite-belge-est-une
"L’accès à l’université est aujourd’hui encore largement favorisé pour les étudiants qui ont des parents fortement diplômés. De ce fait, on ne peut pas dire que l’enseignement supérieur se soit "démocratisé". Comment l’expliquer et comment y répondre ? L’université pourrait se préoccuper avant tout d’être un service public pour toute la population."(Permalink)