Le peuple doit s’unir contre le projet de Bruxelles ! - Marc Doyer et Sébastien Béraud (Tocsin)
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Le peuple doit s’unir contre le projet de Bruxelles ! - Marc Doyer et Sébastien Béraud (Tocsin)
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It was nineteen hundred and nineteen;
Men and women were dying,
With the stuff that the doctor called the flu.
People were dying everywhere,
Death was creepin’ all through the air,
And the groans of the rich sure was sad.
Well it was God’s almight plan,
He was judging this old land,
North and south, east and west,
It can be seen,
It killed the rich, killed the poor,
It’s gonna kill just a little more,
If you don’t turn away from the shame.
Down in Memphis, Tennessee,
The doctor said it soon would be,
In a few days influenza would be controlled.
Doctor sure man he got had,
Sent the doctors all home to bed,
And the nurses all broke out with the same.
Well it was God’s almight plan,
He was judging this old land,
North and south, east and west,
It can be seen,
It killed the rich, killed the poor,
It’s gonna kill just a little more,
If you don’t turn away from the shame.
Influenza is the kind of disease,
Makes you weak down to your knees,
Carries a fever everybody surely dreads,
Packs a pain in every bone,
In a few days, you are gone.
To that hole in the ground called your grave.
Well it was God’s almight plan,
He was judging this old land,
North and south, east and west,
It can be seen,
It killed the rich, killed the poor,
It’s gonna kill just a little more,
If you don’t turn away from the shame.
#musique #chanson #influenza #histoire #1919 #grippe_espagnole #épidémie #blues #santé
8 signes qui démontrent à quel point notre société est en train de devenir bizarre (Zerohedge.com)
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Bulletin N°171. République populaire du Texas, CIA vs Russie, €50 mds pour Zelenski. 02.02.2024 (Stratpol)
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Emmanuel macron veux donner notre dissuasion nucléaire à l’Europe (Sud Radio)
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« en cette journée bleue de novembre, nous avons pensé à nos morts, grands-tantes et grands-oncles, à nos grands-parents, que nous n’avons jamais connus, la mère de maman et Papuci, et pour vous, Mamika, nous avons chanté, en votre nom nous avons prié pour que les vivants ne meurent pas avant leur heure. »
#hommage #femmage #mémoire #épilogue #mort #voïvodine
Pigeon vole p. 238
Les MENSONGES de la classe politique pour entuber les agriculteurs. (Trouble Fait)
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Guerre en Ukraine : accord des 27 pays de l’UE pour un soutien financier de 50 milliards d’euros (Lefigaro.fr)
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Contrôle de nos pensées : le projet mondialiste a déjà commencé ! (Tocsin)
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États-Unis, Russie, Ukraine... Qu’est-ce qui ne tourne pas rond dans le monde actuel ? (Sud Radio)
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Colère des agriculteurs. Un document de France Stratégie dévoile les ambitions du gouvernement : diviser la consommation de viande par 2, faire baisser les constructions neuves de 85%, la consommation d’eau de 15%… (Fdesouche.com)
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AGRICULTEURS : La caste en mode panique ? ! (JDM)
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Vivre et lutter dans un monde toxique. #Violence_environnementale et #santé à l’âge du #pétrole
Pour en finir avec les success stories pétrolières, voici une histoire des territoires sacrifiés à la transformation des #hydrocarbures. Elle éclaire, à partir de sources nouvelles, les #dégâts et les #luttes pour la santé au XXe siècle, du #Japon au #Canada, parmi les travailleurs et travailleuses des enclaves industrielles italiennes (#Tarento, #Sardaigne, #Sicile), auprès des pêcheurs et des paysans des « #Trente_Ravageuses » (la zone de #Fos / l’étang de# Berre, le bassin gazier de #Lacq), ou encore au sein des Premières Nations américaines et des minorités frappées par les #inégalités_environnementales en #Louisiane.
Ces différents espaces nous racontent une histoire commune : celle de populations délégitimées, dont les plaintes sont systématiquement disqualifiées, car perçues comme non scientifiques. Cependant, elles sont parvenues à mobiliser et à produire des savoirs pour contester les stratégies entrepreneuriales menaçant leurs #lieux_de_vie. Ce livre expose ainsi la #tension_sociale qui règne entre défense des #milieux_de_vie et #profits économiques, entre santé et #emploi, entre logiques de subsistance et logiques de #pétrolisation.
Un ouvrage d’une saisissante actualité à l’heure de la désindustrialisation des #territoires_pétroliers, des #conflits sur la #décarbonation des sociétés contemporaines, et alors que le désastre de #Lubrizol a réactivé les interrogations sur les effets sanitaires des dérivés pétroliers.
▻https://www.seuil.com/ouvrage/vivre-et-lutter-dans-un-monde-toxique-collectif/9782021516081
Ces territoires sacrifiés au pétrole
La société du pétrole sur laquelle s’est bâtie notre prospérité ne s’est pas faite sans sacrifices. Gwenola Le Naour et Renaud Bécot, co-directeurs d’un ouvrage sur ce sujet, lèvent le voile sur les dégâts causés par cette « pétrolisation » du monde, en France et à l’étranger.
Si le pétrole et ses produits ont permis l’émergence de notre mode de vie actuel, l’activité des raffineries et autres usines de la pétrochimie a abîmé les écosystèmes et les paysages et a des effets de long terme sur la santé humaine. Dans le livre qu’ils ont coordonné, Vivre et lutter dans un monde toxique (Seuil, septembre 2023), Gwénola Le Naour et Renaud Bécot lèvent le voile sur les dégâts causés par cette « pétrolisation » du monde, selon leurs propres mots. Ils ont réuni plusieurs études de cas dans des territoires en France et à l’étranger pour le démontrer. Un constat d’autant plus actuel que la société des hydrocarbures est loin d’être révolue : la consommation de pétrole a atteint un record absolu en 2023, avec plus de 100 millions de barils par jour en moyenne.
À la base de votre ouvrage, il y a ce que vous appelez « la pétrolisation du monde ». Que recouvre ce terme ?
Gwenola Le Naour1. Dans les années 1960, s’est développée l’idée que le pétrole était une énergie formidable, rendant possible la fabrication de produits tels que le plastique, les textiles synthétiques, les peintures, les cosmétiques, les pesticides, qui ont révolutionné nos modes de vie et décuplé les rendements agricoles. La pétrolisation désigne cette mutation de nos systèmes énergétiques pendant laquelle les hydrocarbures se sont imposés partout sur la planète et ont littéralement métamorphosé nos territoires physiques et mentaux.
L’arrivée du pétrole et de ses dérivés nous est le plus souvent présentée comme une épopée, une success story. On a mis de côté la face sombre de cette pétrolisation, avec ses territoires sacrifiés comme Fos-sur-Mer, qui abrite depuis 1965 une immense raffinerie représentant aujourd’hui 10 % de la capacité de raffinage de l’Hexagone, ou Tarente, dans le sud de l’Italie, où se côtoient une raffinerie, une usine pétrochimique, un port commercial, une décharge industrielle et la plus grande aciérie d’Europe.
Comment des territoires entiers ont-ils pu être ainsi abandonnés au pétrole ?
Renaud Bécot2. L’industrie du pétrole et des hydrocarbures n’est pas une industrie comme les autres. Les sociétés pétrolières ont été largement accompagnées par les États. Comme pour le nucléaire, l’histoire de l’industrie pétrolière est étroitement liée à l’histoire des stratégies énergétiques des États et à la manière dont ils se représentent leur indépendance énergétique. L’État a soutenu activement ces installations destinées à produire de la croissance et des richesses. Pour autant, ces industries ne se sont pas implantées sans résistance, malgré les discours de « progrès » qui les accompagnaient.
Des luttes ont donc eu lieu dès l’installation de ces complexes ?
G. L. N. Dès le début, les populations locales, mais aussi certains élus, ont compris l’impact que ces complexes gigantesques allaient avoir sur leur environnement. Ces mobilisations ont échoué à Fos-sur-Mer ou au sud de Lyon, où l’installation de la raffinerie de Feyzin et de tout le complexe pétrochimique (le fameux « couloir de la chimie ») a fait disparaître les bras morts du Rhône et des terres agricoles... Quelques-unes ont cependant abouti : un autre projet de raffinerie, envisagé un temps dans le Beaujolais, a dû être abandonné. Il est en revanche plus difficile de lutter une fois que ces complexes sont installés, car l’implantation de ce type d’infrastructures est presque irréversible : le coût d’une dépollution en cas de fermeture est gigantesque et sans garantie de résultat
Les habitants qui vivent à côté de ces installations finissent ainsi par s’en accommoder… En partie parce qu’ils n’ont pas d’autre choix, et aussi parce que les industriels se sont efforcés dès les années 1960-1970 et jusqu’à aujourd’hui de se conduire en « bons voisins ». Ils négocient leur présence en finançant par exemple des infrastructures culturelles et/ou sportives. Sans oublier l’éternel dilemme entre les emplois apportés par ces industries et les nuisances qu’elles génèrent. Dans le livre, nous avons qualifié ces arrangements à l’échelle des districts pétrochimiques de « compromis fordistes territorialisés ».
Que recouvre ce terme de compromis ?
R. B. En échange de l’accaparement de terres par l’industrie et du cortège de nuisances qui l’accompagne, les collectivités locales obtiennent des contreparties qui correspondent à une redistribution partielle des bénéfices de l’industrie. Cette redistribution peut être régulière (via la taxe professionnelle versée aux communes jusqu’en 2010, notamment), ou exceptionnelle, après un accident par exemple. Ainsi, en 1989, après une pollution spectaculaire qui marque les habitants vivant près de Lubrizol en Normandie, l’entreprise a versé 100 000 francs à la municipalité du Petit-Quevilly pour qu’elle plante quatre-vingts arbres dans la ville...
Mais ce type de compromis a également été très favorable aux industries en leur offrant par exemple des allégements fiscaux de long terme, comme en Sicile près de Syracuse où se situe l’un des plus grands sites chimiques et pétrochimiques qui emploie plus de 7 000 personnes, voire une totale exonération fiscale comme en Louisiane, sur les rives du Mississippi. Des années 1950 aux années 1980, pas moins de 5 000 entreprises sur le sol américain – majoritairement pétrochimiques, pétrolières, métallurgiques ainsi que des sociétés gazières – ont demandé à bénéficier de ces exonérations, parmi lesquelles les sociétés les plus rentables du pays telles que DuPont, Shell Oil ou Exxon...
Ces pratiques, qui se sont développées surtout lors des phases d’expansion de la pétrochimie, rendent plus difficile le retrait de ces industries polluantes. Les territoires continuent de penser qu’ils en tirent un bénéfice, même si cela est de moins en moins vrai.
On entend souvent dire, concernant l’industrie pétrolière comme le nucléaire d’ailleurs, que les accidents sont rares et qu’on ne peut les utiliser pour remettre en cause toute une industrie… Est-ce vraiment le cas ?
G. L. N. On se souvient des accidents de type explosions comme celle de la raffinerie de Feyzin, qui fit 18 morts en 1966, ou celle d’un stock de nitrates d’ammonium de l’usine d’engrais AZF à Toulouse en 2001, qui provoqua la mort de 31 personnes – car ils sont rares. Mais si l’on globalise sur toute la chaîne des hydrocarbures, les incidents et les accidents – y compris graves ou mortels pour les salariés – sont en réalité fréquents, même si on en entend rarement parler au-delà de la presse locale (fuites, explosions, incendies…). Sans oublier le cortège des nuisances liées au fonctionnement quotidien de ces industries, telles que la pollution de l’air ou de l’eau, et leurs conséquences sur la santé.
Pour qualifier les méfaits des industries pétrochimiques, sur la santé notamment, vous parlez de « violence lente ». Pouvez-vous expliquer le choix de cette expression ?
G. L. N. Cette expression, créée par l’auteur nord-américain Rob Nixon, caractérise une violence graduelle, disséminée dans le temps, caractéristique de l’économie fossile. Cette violence est également inégalitaire car elle touche prioritairement des populations déjà vulnérables : je pense notamment aux populations noires américaines de Louisiane dont les générations précédentes étaient esclaves dans les plantations…
Au-delà de cet exemple particulièrement frappant, il est fréquent que ces industries s’installent près de zones populaires ou touchées par la précarité. On a tendance à dire que nous respirons tous le même air pollué, or ce n’est pas vrai. Certains respirent un air plus pollué que d’autres. Et ceux qui habitent sur les territoires dévolus aux hydrocarbures ont une qualité de vie bien inférieure à ceux qui sont épargnés par la présence de ces industries.
Depuis quand la nocivité de ces industries est-elle documentée ?
G. L. N. Longtemps, les seules mesures de toxicité dont on a disposé étaient produites par les industriels eux-mêmes, sur la base des seuils fixés par la réglementation. Pourtant, de l’aveu même de ceux qui la pratiquent, la toxicologie est une science très imparfaite : les effets cocktails ne sont pas recherchés par la toxicologie réglementaire, pas plus que ceux des expositions répétées à faibles doses sur le temps long. De plus, fixer des seuils est à double tranchant : on peut invoquer les analyses toxicologiques pour protéger les populations, l’environnement, ou les utiliser pour continuer à produire et à exposer les gens, les animaux, la nature à ces matières dangereuses. Ainsi, ces seuils peuvent être alternativement présentés comme des seuils de toxicité, ou comme des seuils de tolérance… Ce faisant, la toxicologie produit de l’imperceptibilité.
R. B. Des études alternatives ont cependant commencé à émerger, avec des méthodologies originales. Au Canada, sur les territoires des Premières Nations en Ontario, au Saskatchewan précisément, une étude participative a été menée au cours de la décennie 2010 grâce à un partenariat inédit entre un collectif de journalistes d’investigation et un groupe de chercheurs. En distribuant très largement des kits de mesure, peu coûteux et faciles d’utilisation, elle a permis de démontrer que les populations étaient exposées aux sulfures d’hydrogène, un gaz toxique qui pénètre par les voies respiratoires. Grâce à cette démarche participative, des changements de règlementation et une meilleure surveillance des pollutions ont été obtenus. Il s’agit d’une réelle victoire qui change la vie des gens, même si l’industrie n’a pas été déplacée.
Qu’en est-il des effets sur la santé de tous ces polluants ? Sont-ils documentés ?
G. L. N. En France, les seuls travaux menés à ce jour l’ont été autour du gisement de gaz naturel de Lacq, exploité de 1957 à 2013 dans les Pyrénées. Une première étude, conduite en 2002 par l’université, concluait à un surrisque de cancer. Deux autres études ont été lancées plus récemment : une étude de mortalité dévoilée en 2021, qui montre une plus forte prévalence des décès par cancer, et une étude de morbidité toujours en cours. À Fos-sur-Mer, l’étude « Fos Epseal », conduite entre 2015 et 20223, s’est basée sur les problèmes de santé déclarés par les habitants. Ses résultats révèlent que près des deux-tiers des habitants souffrent d’au moins une maladie chronique – asthme, diabète –, ainsi que d’un syndrome nez-gorge irrités toute l’année qui n’avait jamais été identifié jusque-là.
R. B. Ce que soulignent les collectifs qui évoquent des problèmes de santé liés à l’industrie pétrochimique – maladies chroniques de la sphère ORL, diabètes, cancers, notamment pédiatriques, etc. –, c’est la difficulté de prouver un lien de corrélation entre ces maladies et telle ou telle exposition toxique.
L’épidémiologie conventionnelle ne le permet pas, en tout cas, car elle travaille à des échelles larges, sur de grands nombres, et est mal adaptée à un déploiement sur de plus petits territoires. C’est pourquoi les collectifs militants et les scientifiques qui travaillent avec eux doivent faire preuve d’inventivité, en faisant parfois appel aux sciences humaines et sociales, avec des sociologues qui vont recueillir des témoignages et trajectoires d’exposition, des historiens qui vont documenter l’histoire des lieux de production…
Cela suppose aussi la mise au point de technologies, d’outils qui permettent de mesurer comment et quand les gens sont exposés. Cela nécessite enfin une coopération de longue haleine entre chercheurs de plusieurs disciplines, militants et populations. Car l’objectif est d’établir de nouveaux protocoles pour mieux documenter les atteintes à la santé et à l’environnement avec la participation active de celles et ceux qui vivent ces expositions dans leurs chairs.
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/ces-territoires-sacrifies-au-petrole
Bruxelles menace de frapper l’économie hongroise si Viktor Orbán oppose son veto à l’aide à l’Ukraine (FT.com)
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Macron nous entraine vers la guerre mondiale - Politique & Eco n°421 avec François Asselineau (UPR)
▻https://www.crashdebug.fr/macron-nous-entraine-vers-la-guerre-mondiale-politique-eco-n-0421-avec-fr
La matinale 29/01 : #AgriculteursEnColere : Vers une trahison des syndicats (?) (Tocsin)
▻https://www.crashdebug.fr/la-matinale-29-01-agriculteursencolere-vers-une-trahison-des-syndicats-to
[26_21h ]Message du 25 janvier 2024, Direct le vendredi 26 janvier, avec Sr Emmanuel de Medjugorje (Enfants de Medjugorje Emmanuel Maillard)
▻https://www.crashdebug.fr/26-21h-message-du-25-janvier-2024-direct-le-vendredi-26-janvier-avec-sr-e
SE LIBÉRER DE LA FINANCE ÉTATIQUE DOMINÉE PAR LES BANQUIERS | VALÉRIE BUGAULT (GÉOPOLITIQUE PROFONDE)
▻https://www.crashdebug.fr/se-liberer-de-la-finance-etatique-dominee-par-les-banquiers-valerie-bugau
Le COÛT de la guerre en Ukraine…et ses BÉNÉFICES ! (Trouble Fait)
▻https://www.crashdebug.fr/le-cout-de-la-guerre-en-ukraine-et-ses-benefices-trouble-fait
Apple announces changes to iOS, Safari, and the App Store in the European Union - Apple
▻https://www.apple.com/newsroom/2024/01/apple-announces-changes-to-ios-safari-and-the-app-store-in-the-european-union
Apple today announced changes to iOS, Safari, and the App Store impacting developers’ apps in the European Union (EU) to comply with the Digital Markets Act (DMA). The changes include more than 600 new APIs, expanded app analytics, functionality for alternative browser engines, and options for processing app payments and distributing iOS apps. Across every change, Apple is introducing new safeguards that reduce — but don’t eliminate — new risks the DMA poses to EU users. With these steps, Apple will continue to deliver the best, most secure experience possible for EU users.
The new options for processing payments and downloading apps on iOS open new avenues for malware, fraud and scams, illicit and harmful content, and other privacy and security threats. That’s why Apple is introducing protections — including Notarization for iOS apps, an authorization for marketplace developers, and disclosures on alternative payments — to reduce risks and deliver the best, most secure experience possible for users in the EU. Even with these safeguards in place, many risks remain.
La réponse du principal challenger d’Apple en matière de distribution d’apps hors App Store :
Tim Sweeney sur X :
▻https://twitter.com/TimSweeneyEpic/status/1750589570880516402
Apple’s plan to thwart Europe’s new Digital Markets Act law is a devious new instance of Malicious Compliance.
They are forcing developers to choose between App Store exclusivity and the store terms, which will be illegal under DMA, or accept a new also-illegal anticompetitive scheme rife with new Junk Fees on downloads and new Apple taxes on payments they don’t process.
Apple proposes that it can choose which stores are allowed to compete with their App Store. They could block Epic from launching the Epic Games Store and distributing Fortnite through it, for example, or block Microsoft, Valve, Good Old Games, or new entrants.
The Epic Games Store is the #7 software store in the world (behind the 3 console stores, 2 mobile stores, and Steam on PC). We’re determined to launch on iOS and Android and enter the competition to become the #1 multi-platform software store, on the foundation of payment competition, 0%-12% fees, and exclusive games like Fortnite.
Epic has always supported the notion of Apple notarization and malware scanning for apps, but we strongly reject Apple’s twisting this process to undermine competition and continue imposing Apple taxes on transactions they’re not involved in.
There’s a lot more hot garbage in Apple’s announcement. It will take more time to parse both the written and unwritten parts of this new horror show, so stay tuned.
Célébration, cependant, chez Fortnite :
▻https://twitter.com/FortniteGame/status/1750616130174234859
Remember Fortnite on iOS?
How bout we bring that back.
Later this year Fortnite will return in Europe on iOS through the @EpicGames Store.
(shoutout DMA - an important new law in the EU making this possible). @Apple, the world is watching.
#mobile #jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #apple #epic_games #dma #digital_markets_act #ue #union_européenne #ouverture
Les milliards de Scholz à l’Ukraine rendent fous les paysans allemands (E&R)
▻https://www.crashdebug.fr/les-milliards-de-scholz-a-lukraine-rendent-fous-les-paysans-allemands-e-r
Révolte des agriculteurs : le début de la fin de l’UE (Nicolas Dupont-Aignan)
▻https://www.crashdebug.fr/revolte-des-agriculteurs-le-debut-de-la-fin-de-lue-nicolas-dupont-aignan
Le monde occidental est au bord de la banqueroute - Politique & Eco n°419 avec Pierre Jovanovic (TV Libertés)
▻https://www.crashdebug.fr/le-monde-occidental-est-au-bord-de-la-banqueroute-politique-eco-n-0419-av
Marc German : "Les services ont accès à tous vos appareils connectés" (LCDS)
▻https://www.crashdebug.fr/marc-german-les-services-ont-acces-a-tous-vos-appareils-connectes-lcds