Designing better target sizes
▻https://ishadeed.com/article/target-size
via @b_b
#intégration #web #ergonomie #clic #UX #accessibilité #CSS
Performance #web : l’intégrateur, ce héros
J’ai envie de pousser un concept absolument nouveau : l’amélioration progressive (ah pardon on me dit que ça date de 2003). Au minimum c’est la clé d’un premier affichage éclair car on peut se passer de #JavaScript quelques secondes.
Puis abordons le gros sujet des images : comment les charger rapidement, sans toucher aux fichiers eux-même ? Il y a eu quelques nouveautés ces deux dernières années, mais on va voir que même sur des choses que l’on peut croire acquises comme le lazy loading, il y a quelques pièges qui peuvent être contre-productifs.
Enfin terminons avec un petit résumé sur les polices : elles tapent dans l’œil mais il faut en garder le contrôle si l’on veut un bon CLS (une des métriques Google dont on va reparler).
Article intéressant sur les optimisations au moment de l’#intégration web. Ça parle (un peu) performance mais surtout #UX, #ergonomie, #HTML, #CSS, #javascript...
▻https://www.24joursdeweb.fr/2021/performance-web-lintegrateur-ce-heros
Ya des gens qui trouvent ça enthousiasmant, comme plein de techniciens qui sont à fond dans leur petite spécialité technique, mais moi ça me terrifie, ça devrait pas exister du temps à passer sur ça :D
Et surtout encore moins devoir s’en préoccuper à chaque intégration (plutôt que ce soit les gens qui font le CMS, langage de template, plugins de lazy, etc, et qu’ensuite pour un site précis à intégrer on n’y pense presque plus).
Oui, l’article est intéressant en tant que ressources, pour choisir les plugins qu’on utilise (par ex Adaptive images qui gère le WebP et le lazy loading nativement), faire ses boilerplates persos (préchargement des polices et font-display: swap;
), les optimisations côté CMS (chargement JS en asynchrone)... etc, évidemment dans l’idée d’automatiser au maximum.
Et aussi, se rendre compte que #SPIP gère une bonne partie de tout ça <3
Home | The Component Gallery
▻https://component.gallery
Designed to be a reference for anyone building component-based user interfaces, The Component Gallery is an up-to-date repository of #interface #components based on examples from the world of #design_systems
Xbox Elite Series 2 Core : Microsoft baisse le prix de sa meilleure manette
▻https://www.frandroid.com/marques/microsoft/1461648_xbox-elite-series-2-core-microsoft-baisse-le-prix-de-sa-meilleure
Microsoft a décidé de lever le voile sur une manette faisant l’objet de rumeurs. Une nouvelle manette Xbox Elite Series 2 en coloris blanc, avec des fonctions revue à la baisse pour un prix plus doux.
#jeu_vidéo #jeux_vidéo #ergonomie #console #pc #microsoft #xbox #xbox_elite_series_2 #console_xbox_series_s #console_xbox_series_one_s #durabilité #accessoires
Form design: from zero to hero all in one blog post – Adam Silver – Designer, London, UK.
▻https://adamsilver.io/blog/form-design-from-zero-to-hero-all-in-one-blog-post
Don’t mess with labels
Crafting questions
Style and microcopy
Form validation
Flow and order
Go faster
Field design
#conception #web #intégration #formulaire #ergonomie #UX #bonnes_pratiques
Intéressant !
Don’t mark required fields, mark optional ones.
Avec des liens vers une collection de composants ▻http://nostyle.herokuapp.com/components, dont un autocomplete, un date picker et un password reveal qui pourrait être utile pour ce ticket #SPIP ▻https://git.spip.net/spip/spip/issues/4872
Iconduck - Free open source icons, illustrations and graphics
▻https://iconduck.com
#icone #svg
Y a pas mal de ressources partagées ici, si on les recensait ? :)
►https://orioniconlibrary.com
►https://www.flaticon.com
►https://flaticons.net par
►https://icons.pixsellz.io
►https://icongr.am
►https://remixicon.com
►https://www.svgrepo.com
►https://danklammer.com/bytesize-icons
(par @monolecte, @b_b, @cy_altern, @rastapopoulos)
#Icons #ressource_graphique #webdesign #pictos #graphisme #ergonomie #web #intégration #interface
unDraw - Open source illustrations for any idea
The design project with open-source illustrations for any idea you can imagine and create. Create beautiful websites, products and applications with your color, for free.
Dans mon idée, on partait plus sur les icônes ici pour s’y retrouver et les outils dans d’autres fils :) et avec un #Ressources_graphisme ou #Ressources_integration pour tout lier.
Mais à voir.
des nouveaux
– ▻https://feathericons.com
– ▻https://github.com/primer/octicons
– ▻https://fonts.google.com/icons?selected=Material+Icons
– ▻https://icons.coreui.io/icons
– ▻https://github.com/danklammer/bytesize-icons
– ▻https://useiconic.com/open
– ▻https://forkaweso.me/Fork-Awesome/icons
Source + avis : ▻https://core.spip.net/issues/4727
How to Design Better Icons
▻https://blog.prototypr.io/how-to-design-better-icons-869d067fddbf
Quant-UX - Prototype, Test and Learn - 3.0.60
▻https://quant-ux.com/#
Quant UX is a free research, usability & UI prototyping/wireframing tool to quickly test your design and analyse interactive prototypes. Our visual analysis makes it easy for you to find and quickly fix pain points in your UI design.
Un outil open-source de maquettage avec possibilités d’interactions utilisateurs et d’analyses de celles-ci
Le repo Github : ▻https://github.com/KlausSchaefers/quant-ux
#prototype #maquette #web_dev #outil_web #conception #ergonomie #UX #interface #adobe_XD
Beaucoup plus gros que Penpot signalé dernièrement : ►https://seenthis.net/messages/900030
Mais moins tourné vers le travail d’équipe je crois, par contre ça permet de vraiment faire des tests utilisateurices « pro », avec des conditions, des tests à valider, des stats, des heatmaps, etc.
Penpot - Design Freedom for Teams
►https://penpot.app
Penpot is the first Open Source design and prototyping platform meant for cross-domain teams. Non dependent on operating systems, Penpot is web based and works with open web standards (SVG).
(= un remplaçant d’Adobe XD open-source)
Le repo Github : ▻https://github.com/penpot/penpot (comprend aussi un docker pour installation serveur)
In Molenbeek par x.y.zebres | X Y Zebres | #Écoute gratuite sur SoundCloud
Par un vendredi glacial et pluvieux de février, une fantastique #visite guidée de #Molenbeek en compagnie de Hans Vandecandelaere, historien et écrivain bruxellois, enthousiaste et passionné, auteur du livre “In Molenbeek“ (EPO, 2016).
Tous les articles sur le Calendrier de l’Avent du Web sont très bien mais celui sur les formulaires est parfait, et devrait être lu par tous les développeurs Web :
▻https://www.24joursdeweb.fr/2020/l-homme-qui-hululait-a-l-oreille-des-formulaires
Assassinat de Samuel Paty : “Il faut trouver un moyen de limiter les partages pulsionnels sur les réseaux sociaux” | Interview d’Olivier Ertzscheid
▻https://www.telerama.fr/idees/assassinat-de-samuel-paty-il-faut-trouver-un-moyen-de-limiter-les-partages-
Spécialiste en sciences de l’information et de la communication, Olivier Ertzscheid pointe l’incapacité politique à comprendre les enjeux des échanges numériques, et la propension structurelle des réseaux sociaux à diffuser la haine. Il appelle à une réflexion large, des concepteurs aux régulateurs et aux utilisateurs des outils de communication virtuels.
Huit jours. C’est le temps qui s’est écoulé entre l’allumage de la mèche et l’explosion de la charge. Entre le virtuel et le réel. Entre la vidéo d’un parent d’élève prenant nommément à partie Samuel Paty, le professeur d’histoire-géo de sa fille, et l’assassinat barbare de celui-ci, décapité près de son collège de Conflans-Sainte-Honorine par un individu qui, il y a deux semaines encore, ignorait jusqu’à son existence.
Abonné Assassinat de Samuel Paty : “Être musulman, c’est respecter l’autre dans sa dignité absolue” Youness Bousenna 8 minutes à lire
Pendant ces huit jours, jusqu’à leur épouvantable culmination, l’enseignant a été la cible d’une campagne de dénigrement, à l’intensité centuplée par les réseaux sociaux, en public et en privé, en messages et en boucle. Avec l’aide de Facebook, WhatsApp ou Snapchat, la vindicte populaire a même franchi les frontières géographiques pour arriver jusqu’en Algérie. On n’en a rien su. Ou trop tard. Qu’aurait-il fallu faire pendant ces huit jours, aussi courts qu’interminables ?
Dans cet embrasement, le problème n’est pas l’anonymat, déjà pris pour cible par certains responsables politiques désarmés, mais la foule et son viatique numérique. Comme un précipité des passions les plus tristes de l’époque, cet attentat vient rappeler que la raison voyage toujours moins vite que le bruit, et repose, dans les pires conditions possibles, cette question aussi vitale qu’indémêlable : comment rendre vivables nos conversations en ligne ? Comment faire pour que, a minima, on n’en meure pas ?
Pour Olivier Ertzscheid, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université de Nantes, auteur du Monde selon Zuckerberg (éditions C&F, 2020), la solution s’écrit lentement : à l’urgence omnipotente des plateformes, il faut réussir à opposer un peu de friction et une certaine lenteur.
En de pareilles circonstances, pourquoi accuse-t-on systématiquement les réseaux sociaux ?
Il y a un effet de visibilité sur les réseaux sociaux, particulièrement dans la temporalité d’un attentat : ce que les gens disent de l’événement en ligne est immédiatement observable. Par un effet de raccourci intellectuel paresseux, il est facile de se raconter cette fable selon laquelle les réseaux sociaux seraient seuls responsables. C’est ainsi qu’on remobilise en catastrophe la loi Avia contre les discours de haine, alors qu’elle a été censurée par le Conseil constitutionnel et ferait plus de mal que de bien.
Hommage à Samuel Paty : un pays sur une ligne de crête
Valérie Lehoux 3 minutes à lire
Quel regard portez-vous sur les déclarations de certains responsables politiques, notamment Xavier Bertrand, qui saisissent ce moment pour réclamer la fin de l’anonymat en ligne ?
Il faut d’abord rappeler qu’il est totalement hors sujet de convoquer l’anonymat par rapport à ce qui s’est passé à Conflans-Sainte-Honorine. En dehors du compte Twitter qui a publié la photo de la tête décapitée de Samuel Paty, tous les acteurs de la chaîne sont identifiés. En vérité, ce réflexe pavlovien traduit deux choses : une incapacité politique à comprendre ce qui se joue sur les espaces numériques, et la tentation d’un discours liberticide, la volonté d’une prise de contrôle, d’une hyper-surveillance. À cet égard, certains de nos responsables politiques ne sont visiblement pas sortis du syndrome sarkozyste, qui décrivait Internet comme un « Far West » à civiliser.
Difficile toutefois d’escamoter la part de responsabilité des réseaux sociaux. Le problème ne se situe-t-il pas dans leur architecture ?
La finalité de ces espaces est de générer une rente attentionnelle, d’être un réceptacle publicitaire pour déclencher des actes d’achat, qu’il s’agisse de produits ou d’opinions. Je considère aujourd’hui les réseaux sociaux comme des espaces « publicidaires », c’est-à-dire qu’ils tuent toute possibilité d’un discours qui ne soit pas haineux. Tant qu’on ne changera pas ce modèle, économique et politique, on ne résoudra rien. Revenons vingt ans en arrière : quand Sergey Brin et Larry Page, les fondateurs de Google, ont créé PageRank, l’algorithme de leur moteur de recherche, ils ont expliqué leur démarche, en arguant que les autres moteurs – contrairement au leur – étaient biaisés et dangereux pour la démocratie. Regardons où ça nous a menés…
“La vidéo du parent d’élève qui a déclenché cette spirale infernale a été partagée par de grands comptes, très suivis. Pas nécessairement parce qu’ils adhèrent au fond, mais parce que c’était facile.”
Qu’aurait-il fallu faire pendant les huit jours qui ont séparé la mise en ligne de la première vidéo d’un parent d’élève et l’assassinat de Samuel Paty ?
Dans un monde idéal, où les plateformes seraient soucieuses de produire des espaces de discours régulés, nous aurions pu mettre en place des mécanismes de friction afin de briser les chaînes de contamination. La vidéo du parent d’élève qui a déclenché cette spirale infernale a été partagée par de grands comptes, très suivis. Pas nécessairement parce qu’ils adhèrent au fond, mais parce que c’était facile. Ça ne coûte rien cognitivement et ça rapporte beaucoup socialement.
Ces partages sont perdus dans un brouillard d’intentionnalité. Prenons l’exemple de la mosquée de Pantin : elle a d’abord diffusé la vidéo du père de famille puis, quelques heures après l’attentat, l’a finalement supprimée en exprimant ses regrets et en appelant aux rassemblements de soutien. Le temps de l’éditorialisation a complètement disparu, plus personne ne sait pourquoi tel ou tel contenu est relayé. Or les réseaux sociaux mettent en proximité des communautés qui ne s’entendent pas. Et parfois, ce mécanisme d’hystérisation déclenche chez quelqu’un une pulsion.
“Dans une démocratie de deux milliards d’habitants comme Facebook, il n’est pas normal qu’il n’y ait pas de haltes, de ralentissements.”
Faudrait-il renvoyer les discours de haine dans la sphère privée, au risque de favoriser un phénomène de balkanisation, de morcellement, qui nous empêcherait de repérer les départs d’incendie ?
Facebook et consorts ont fait le choix de mettre en avant le partage privé dans ce qu’on appelle le « dark social » [c’est-à-dire le trafic de l’ombre, constitué d’informations échangées hors de la sphère publique, NDLR]. Il y a chez les plateformes une volonté de capter les moments d’agitation de surface pour alimenter des conversations privées.
Il y a une clé pour comprendre le problème de la hiérarchisation entre espaces publics et interpersonnels : le design d’interface. Comme le formulait Lawrence Lessig [professeur de droit à Harvard et théoricien de l’Internet libre, NDLR] en 1999, « le code, c’est la loi », et ceux qui le fabriquent ne peuvent pas faire l’économie d’une profonde réflexion éthique. Ce n’est pas anodin de voir aujourd’hui un très grand nombre d’ingénieurs de la Silicon Valley regretter leurs créations, qu’il s’agisse du bouton j’aime ou du scrolling infini.
On le voit, ce débat oppose l’urgence de la réaction à la lenteur, salutaire. Comment les réconcilier ?
Dans une démocratie de deux milliards d’habitants comme Facebook, il n’est pas normal qu’il n’y ait pas de haltes, de ralentissements. Je ne dis pas qu’il faut rationner le nombre de contenus qu’on peut relayer quotidiennement sur les réseaux sociaux, ou qu’il faut instaurer un permis à points, mais il faut trouver un moyen de limiter les partages pulsionnels. Dans mes cours, j’oblige par exemple mes étudiants à recréer des liens hypertextes pour qu’ils produisent un effort intellectuel même minime avant de les envoyer. Pour autant, on ne peut pas uniquement blâmer l’utilisateur.
Nous sommes dans un espace-temps qui nous sort de notre posture lucide, et personne ne se regarde en train d’utiliser les réseaux sociaux, pas plus qu’on ne s’observe en train de visionner un film au cinéma. Il faut travailler sur un cycle, qui va de la conception des plateformes – le premier levier – à l’éducation, en passant par la régulation. À condition de ne pas tout attendre du design (design utilisateur, ou UX design, ndlr), du politique ou de l’internaute, on peut y arriver.
« Des #émojis accessibles »
"La synthèse vocale de mon téléphone le lit ainsi : « Singe qui se cache les yeux main avec index et majeur croisé teint clair main avec index et majeur croisé teint clair main avec index et majeur croisé teint clair okok bon bah bon courage visage envoyant un baiser visage envoyant un baiser visage envoyant une baiser »."
▻https://blog.hello-bokeh.fr/2020/07/23/des-emoji-accessibles
La policière, l’attestation, et « les gens comme ça » - Libération
►https://www.liberation.fr/debats/2020/03/30/la-policiere-l-attestation-et-les-gens-comme-ca_1783580
Par naïveté sans doute, et parce que je considérais la démarche légitime, je suis saisie par l’absence absolue de discussion possible, la condescendance méprisante envers les patients. Le verdict est évidemment sans appel, rien à faire, « Je fais mon travail ». Je suis tellement sidérée par cette phrase que j’ai un mouvement de recul, je demande par la même occasion à l’agent de bien vouloir respecter la distance de sécurité, et également de me parler correctement. J’aurais dû m’y attendre, elle me répond : « C’est à vous de me parler correctement. » Je me résigne, mais avant de partir, je lui demande son RIO, elle dit d’abord, « bien sûr vous pouvez l’avoir ! » puis se ravise « et puis non, vous me parlez tellement mal, je ne vous le donnerai pas ! »
Elle ne m’a pas touchée, elle ne m’a pas insultée, mais il y a une telle violence dans son attitude, dans son refus, dans son autorité injuste, que je finis par m’adresser à l’un des deux agents qui l’accompagnent, et qui reste silencieux, « Comment pouvez-vous laisser faire cela ? » Il ignore ma question. Je repars avec mon patient.
Quelle merde, pauvre patient et pauvre médecin.
J’ai une question sur ces attestations.
Je les fait aussi à la main, car j’ai pas d’imprimante et la boutique près de chez moi est fermé. Du coup je ne recopie pas les mention inutiles de motifs de déplacements qui ne me concernent pas, ni les cases à cocher. Est-ce que ca me coutera aussi 135€ pour ne pas avoir recopié à la main les mentions inutiles et les petits carrés que je doit cocher comme une débile volaille ? J’imagine que ce patient puisqu’il doit se taper le recopiage à la main à mis deux motifs pour recyclé son papier, ce qui me semble être du bon sens, mais le bon sens des poulets...
edit - en fait j’ai ma réponse, il faut tout copier même les petits carrés et bien cocher le bon car les poulets saisirons tous les prétextes y compris ceux qu’illes inventent eux même.
#dictature #état_policier #leur_travail_de_nazi
Toujours se méfier des gens qui te disent, pour se justifier, qu’ils « font leur travail ». M’est avis qu’ils ne sont pas très fiers de le faire, ce travail. Et partant, ils vont te faire chier par pure frustration.
Autre hypothèse : ce sont des pourritures qui n’en n’ont rien à foutre de la relation aux autres, le curseur de l’empathie dans nos société, toussa...
Oui, du coup, j’opte pour la deuxième. Parce que l’empathie pour ce genre de « boloss », faut pas exagérer non plus.
C’est pas obligé d’exclure l’une de tes options, c’est des pourritures frustrés qui se défoulent sur celleux qui ne sont rien et en plus y a des riens qui osent avoir un caducée, et là ca énerve grave ces étrons assermentés.
#coronavirus #fascistovirus #France #le_sens_des_priorités
Voir compile des effets délétères indirects de la pandémie :
►https://seenthis.net/messages/832147
Nope @mad_meg en manuscrit c’est marqué officiellement que dans ce cas on ne recopie que le motif du moment (par contre faut bien recopier le paragraphe qui précède « autorisé par l’article 3 blabla »).
▻https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R55781
Si vous n’avez pas d’imprimante, vous pouvez rédiger l’attestation sur papier libre. Vous devez recopier la partie correspondant à votre identité, la mention « Certifie que mon déplacement est lié au motif suivant autorisé par l’article 3 du décret du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire » et la ligne correspondant au motif. Vous devez inscrire le lieu, la date et vous devez apposer votre signature.
Sauf qu’on a bien vu que les contrôles, comme toujours en France républicaine, contiennent une dose d’#arbitraire qui fait que la protection du droit ne tient pas quand un·e flic a choisi de se repaître de violence pour se faire un petit plaisir aux dépens du maintien de l’ordre et de l’État de droit. Il faut respecter le droit et plus que le droit, avoir une tête qui revient à la flicaille, etc.
Et puis ne pas oublier la mention de l’heure qui est devenue obligatoire entre temps, me semble-t-il.
Oui les flics n’ont plus aucun cadre et j’ai vu passé que certain·es n’acceptent pas les formulaires fait à la main qu’illes jugent non réglementaire. A cela le gouvernementeur à répondu qu’il faut faire #konfiansss aux flics.
C’était hier ;
Romain_Pigenel
Bonjour @prefpolice @gouvernementFR @Place_Beauvau, je viens d’être verbalisé car je n’avais pas recopié TOUS les motifs sur mon attestation de déplacement sur papier libre, en plus de celui de ma sortie. Confirmez-vous qu’il s’agit d’un motif valable ? #Covid_19
2 381
11:57 - 30 mars 2020
►http://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-doit-on-recopier-tous-les-motifs-sur-l-attestation-30-03-2020
Oui, je sais : j’ai passé un certain temps sur cette histoire. C’est du pur #arbitraire.
Après, c’est rude pour un élu bourgeois de découvrir ainsi le quotidien les gueux de banlieue…
leparisien :
vous n’avez pas le droit d’utiliser de crayon à papier qui soit effaçable
A ajouter aux dommages collatéraux de leur incurie criminelle de la catastrophe : une forêt entière qui va disparaitre à coup d’attestations à refaire absurdement durant 3 mois x 60 millions de personnes qui sortent à minima une fois par jour = 90 jours x 60 millions = 5400000000 de feuilles A4 …
Un arbre = max15000 feuilles A4 -> il faudra donc détruire 360.000 arbres pour leurs saloperies de merde de pourriture de flicage.
▻https://www.rts.ch/decouverte/sciences-et-environnement/environnement/6556650-combien-un-arbre-produit-il-en-moyenne-de-feuilles-a4-.html
Je trouve aussi super polluant et perso j’ai pas que ca à faire que de recopier cette punition comme une victime de Blanquer. Et si on fait une faute d’orthographe ou de dislexie on n’est pas non plus à l’abri d’un coup de taser ou d’une sodomie à la matraque télescopique.
Après je ne comprends pas que ce soit les médias mainstream qui édicte le fait que tu ne peux pas utiliser de crayon à papier vu que je n’en ai trouvé nulle part mention sur le site du gouvernement où tu dois télécharger l’attestation.
Une taxe covid-19, avec un prélèvement direct sur le compte bancaire des plus riches, plutot que de taxer les pauvres en les obligeant à écrire ces conneries. Mais comment font les analphabèt·es et les personnes n’écrivant pas le français ?
#exclusion_sociale #on_y_est #it_has_begun #fascitovirus
Moi à qui on a souvent reproché le pessimisme, qui me fait violence pour puiser un peu d’espoir dans de petits signes de bonheur, je me suis souvent surprise à me demander comment on avait réussi à ne pas encore tous crever de leurs saloperies. Du coup, je suis pas extrêmement étonnée de ce qui arrive, c’est assez logique, pour les tenants du pouvoir j’entends, de stranguler les plus faibles. La continuité nazie ne fait aucun doute.
@touti, une dame qui enseigne le français langue étrangère à des réfugiés dont certains sont illettrés ou alphabétisés dans d’autres systèmes d’écriture leur a envoyé une photo de l’attestation écrite en capitales pour les aider à tout recopier comme ils peuvent. Comme ils peuvent. Sachant que de toute façon la plupart sont des jeunes hommes Noirs déjà en faute d’être Noirs...
@touti trouvé là :
►https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13952
Elle doit être renseignée à l’aide d’un stylo à encre indélébile et doit être renouvelée pour chaque déplacement. Il n’est donc pas possible d’écrire au crayon à papier et de gommer.
merci @antonin1 et @rastapopoulos pff, télécharger d’un côté l’attestation et avoir son mode d’emploi sur un autre site, c’est encore une vaste saloperie pour piéger n’importe qui
c’est exactement ce que je me suis dit @touti, que TOUTES les infos nécessaires (comment le remplir, avec quel stylo, etc), soit pas sur la même page que celle contenant les documents, c’est totalement n’importe quoi en terme d’ergonomie/navigation/accessibilité
et ça peut tout aussi bien être voulu (ça ne serait pas si étonnant) que totalement dû à l’incompétence bureaucratique de l’administration (ça ne serait pas non plus étonnant)
C’est bien leur style de choisir les incompétent·es pour ce genre de tâches, comme pour le RIC. Et en même temps les gentes compétentes se sont barré depuis longtemps pour échapper à la zombifiction en marche.
L’autre truc bien dégueulasse des #portevomis de macron a été de hurler contre les bureaus de tabac qui osaient proposer à ceux qui ne pouvaient pas la recopier facilement de se procurer l’attestation pour 50cts. C’est vrai que ça ne leur rapportaient rien à ces salopards du gvt, alors que les timbres fiscaux ou le tabac taxé, c’est le bien.
Sicilia, il dramma del petrolchimico siracusano
A nord di #Siracusa l’inquinamento industriale si insinua da decenni nel suolo e nelle falde acquifere, si diffonde nell’aria e contamina il mare. Si teme una deflagrazione di tumori, già da anni in eccesso, e una propagazione di inquinanti nel Mediterraneo. Viaggio nel labirinto di una storia dai risvolti inquietanti. Un giallo siciliano di cui si rischia di parlare molto nel 2020.
Fabbriche, ciminiere e cisterne di greggio si estendono a macchia d’olio. Il polo petrolchimico a nord di Siracusa è una spina nel fianco dell’Italia. E del Mediterraneo. Venti chilometri di costa, un territorio e una baia imbottiti di sostanze contaminanti e nocive. Dall’insediamento negli anni cinquanta della prima raffineria, la zona è oggi stravolta dall’inquinamento e il governo costretto a correre ai ripari. Nello scorso novembre il ministro dell’ambiente Sergio Costa si è precipitato sul territorio: «Per far sì che si avvii, finalmente, il processo di bonifica». La fretta governativa è percepita come il segnale di una catastrofe.
A gennaio, senza perdere tempo, è stata istituita una «direzione nazionale delle bonifiche». Per risolvere «una situazione inchiodata da troppi anni», spiega Costa. Subito dopo, a febbraio, una commissione ministeriale dava il via ai sopralluoghi nelle fabbriche. «Per valutare le emissioni in acqua e in aria» e dare speranza alla popolazione, che da decenni convive con tre impianti di raffinazione, due stabilimenti chimici, tre centrali elettriche, un cementificio e due aziende di gas. Quattro centri urbani sono i più esposti all’inquinamento: Augusta, Melilli, Priolo e Siracusa, circa 180 000 abitanti, di cui 7000 dipendono dall’attività industriale.
Disillusioni e tradimenti
A volte nell’aria i miasmi tossici sono da capogiro. Su questi è intervenuto un anno fa il procuratore aggiunto Fabio Scavone, inchiodando le fabbriche petrolchimiche a seguito di due anni di inchiesta. «Superavano i limiti di emissioni inquinanti nell’atmosfera», conferma allargando le braccia. Nel suo ufficio della procura di Siracusa avverte: «Ci sarà un processo». Si rischia di parlare molto nel 2020 del petrolchimico siracusano.
Troppi anni di disillusioni e tradimenti insegnano però a non coltivare grandi speranze. In questo periodo convulso affiorano alla mente spettacolari capovolgimenti, a cominciare dall’archiviazione negli anni 2000 dell’inchiesta «Mare Rosso» sullo sversamento di mercurio da EniChem nella baia di Augusta. Più tardi si scoprì che il procuratore incaricato dell’inchiesta intratteneva uno «strettissimo rapporto di amicizia» con l’avvocato dell’azienda.
Negli anni 2010 arriva una nuova amara delusione, questa volta sul fronte delle bonifiche, «attese da tempo e mai eseguite», sottolinea Cinzia Di Modica, leader del movimento Stop Veleni. L’attivista rammenta con stizza gli interventi promessi dall’ex ministra forzista dell’Ambiente Stefania Prestigiacomo, i finanziamenti predisposti e i progetti in partenza. «Ma tutto svanì come per incanto».
Perfino il più battagliero degli agitatori locali, don Palmiro Prisutto, arciprete di Augusta, non si spiega come possano esser spariti i 550 milioni di euro messi a disposizione per le bonifiche.
Il parroco si è allora incaricato di tenere la luce puntata sugli effetti dell’inquinamento. Da sei anni, ogni 28 del mese, legge durante l’omelia i nomi delle vittime di tumore: sono un migliaio in questo scorcio del 2020. Intitolata «Piazza Martiri del cancro», la lista è composta «con il contributo dei fedeli che mi segnalano i decessi avvenuti in famiglia», ci racconta nella penombra della sua chiesa. "Ognuno di noi conta almeno una vittima tra i parenti
https://www.tvsvizzera.it/image/45639986/3x2/640/426/93402618ee5ae7b10ba4ce60090c4dad/DH/martiri.jpg Nelle statistiche, quelle ufficiali, la cittadina di Augusta rassegna i più alti tassi di «incidenza tumorale», ovvero l’apparizione di nuovi casi. Seguono, in un macabro ordine, Priolo, Siracusa e Melilli. In tanti chiamano ormai questi luoghi il «quadrilatero della morte». Si muore «in eccesso» di carcinoma ai polmoni e al colon, denuncia nel giugno 2019 un rapporto del ministero della Salute. A sorpresa si registra anche l’apparizione negli uomini di tumori al seno.
Rischi dentro e fuori
«La tendenza nazionale va invece verso una diminuzione di casi e di mortalità», osserva Anselmo Madeddu, direttore del Registro dei tumori della provincia di Siracusa. Nella sua sede, l’esperto ci svela un dato preoccupante: ad Augusta, Priolo e Melilli, dove si registrano 20% di tumori in più rispetto al resto della provincia, donne e uomini sono colpiti in misura quasi uguale. «Un’incidenza ubiquitaria», la definisce il direttore. È come se l’impatto dei contaminanti sulla salute avesse ormai uguale esito dentro e fuori dagli stabilimenti. Un risultato sorprendente già osservato in uno studio del 2013 «su lavoratori della stessa fabbrica, esposti esattamente agli stessi fattori prodottivi e quindi di rischio», spiega il direttore. «I lavoratori residenti nel quadrilatero mostravano un’incidenza tumorale doppia rispetto ai colleghi pendolari, che abitavano altrove».
È arrivata oggi la conferma, conclude Madeddu, che il rischio di ammalarsi di cancro si sta pericolosamente trasferendo dai soli impianti alla totalità del territorio. Il direttore fa cogliere la gravità della situazione usando un paradosso: «Se con un colpo di bacchetta magica cancellassimo tutte le industrie, avremmo le stesse incidenze tumorali, poiché noi oggi stiamo osservando i risultati delle esposizioni di trenta o quarant’anni fa».
Per l’esperto le bonifiche devono essere «immediate», per evitare una deflagrazione delle malattie di cancro. Lo ha capito il ministro dell’ambiente Costa, scegliendo di confrontarsi con un «disastro gigantesco», valuta Pippo Giaquinta, responsabile della sezione Legambiente di Priolo. Nei decenni la contaminazione «si è insinuata dappertutto», nel suolo e nelle falde acquifere, si è diffusa nell’aria ed ha avvelenato il mare.
Una montagna di sedimenti nocivi
Ma è nella rada di Augusta che oggi si concentra l’attenzione governativa. «Già nel primo metro, indica Sergio Costa, troviamo mercurio, idrocarburi pesanti, esaclorobenzene, diossine e furani». L’Istituto superiore per la protezione e la ricerca ambientale ha censito più di tredici milioni di metri cubi di sedimenti nocivi. Dimensioni che equivalgono alla somma di quattrocento palazzi di ventiquattro piani ciascuno! Un gigantesco impasto tossico che fa crescere i timori di una propagazione nel Mediterraneo.
Per il mercurio il dato ufficiale è di 500 tonnellate sversate nel mare, dal 1959 al 1980, dall’ex Montedison, poi EniChem. Una quantità accertata dalla Procura di Siracusa. È probabile che nei decenni successivi circa altre 250 tonnellate abbiano raggiunto i fondali. Fa allora impallidire il parallelo con la catastrofe della baia giapponese di Minamata, negli anni settanta. La biologa marina Mara Nicotra tuona: «Nella rada di Augusta si parla di quantità ben superiori alle 400 tonnellate sversate nel mare del Giappone, che provocarono all’epoca circa duemila vittime». Al disastro umano e ambientale di Minamata l’Onu ha dedicato una Convenzione sul mercurio.
La preoccupazione riguarda anche il consumo di pesce. Concentrazioni da record di mercurio sono state rilevate nei capelli delle donne in stato di gravidanza che si nutrivano di specie ittiche locali. Nel 2006 la Syndial, ex EniChem, decise di risarcire più di cento famiglie con bambini malformati con 11 milioni di euro in totale. Destò scalpore all’epoca l’esborso spontaneo della somma. Nessun tribunale aveva pertanto emesso una sentenza di risarcimento.
Lo scandalo delle malformazioni da mercurio non è però bastato a bloccare la minaccia. Malgrado il divieto di pesca, lo scorso 6 marzo, nel porto di Augusta, la polizia marittima ha scoperto una rete clandestina di circa 350 metri. «L’ennesima», sottolinea la Capitaneria di Porto. La pesca di frodo non si arresta, e non si sa dove finisce il pesce contaminato.
L’impressione è che gli atti inquinanti e lesivi della salute sfuggano al controllo. «A Priolo, nel 2018, una centralina accanto ad un asilo pubblico ha registrato per ben due volte sforamenti di emissioni di arsenico, ma si è saputo solo a distanza di un anno», sbuffa Giorgio Pasqua, deputato del Movimento 5 Stelle al parlamento regionale siciliano. In un bar della suggestiva marina di Ortigia, patrimonio dell’Unesco a pochi chilometri dal petrolchimico, ci racconta la sua odissea legislativa per ottenere «un sistema integrato con sensori e centraline per il monitoraggio ambientale». Dopo una lunga battaglia il dispositivo, in vigore da aprile, «permetterà infine di reagire in poche ore, e di capire subito quale impianto industriale è all’origine delle emissioni nocive». Fino ad oggi, lamenta il deputato, la verità è che «abbiamo tenuto un occhio chiuso, se non tutti e due» sull’inquinamento atmosferico.
Le grandi fabbriche si difendono
Soltanto negli ultimi mesi la giustizia e la politica hanno inviato chiari segnali di contrasto. A novembre il ministro Costa non ha nemmeno concesso una visita di cortesia al presidente di Confindustria Siracusa. Diego Bivona usa parole forti, «il territorio è diventato inospitale», e denuncia il «clima luddista» che si sarebbe insinuato, secondo lui, nella politica, un fenomeno «che esercita pressioni nei confronti anche della magistratura».
Lo sfogo del portavoce del petrolchimico avviene a microfoni aperti nella sede dell’organizzazione. Avverte che le industrie hanno fin qui «mostrato una grande resilienza», ma «potrebbero un giorno andarsene con danni importanti in termini di impiego». L’avvertimento è chiaro, a forza di tirare la corda si spezza. Fa notare che «l’Eni e le altre aziende non investono più nel territorio da dieci anni, se non per adeguamento a normative ambientali» e che, nel 2013, «il gruppo italiano Erg ha venduto la sua raffineria» alla multinazionale russa Lukoil. Il cambio della guardia con le aziende italiane è stato ultimato nel 2018, quando il gigante algerino Sonatrach è subentrato a Esso Italia.
Il presidente di Confindustria Siracusa si dice anche stupito dalla «cecità di chi guarda esclusivamente alle grandi fabbriche e non vede l’inquinamento generato dalla molteplici attività che si svolgono nel territorio». Sottolinea che nelle parcelle private occupate dall’industria «è stato realizzato il 68% delle bonifiche». Pure l’adeguamento degli impianti dichiara il presidente, «è in avanzato stato di completamento» riguardo alle prescrizioni del ministero dell’Ambiente, mentre «non sono accettabili» i limiti previsti nel recente Piano regionale della qualità dell’aria, su cui è pendente un ricorso, «in quanto si basa su dati di emissioni obsoleti».
«Le fabbriche si oppongono a tutto», deplora il sindaco di Augusta Cettina Di Pietro, una delle figure politiche in prima linea nella lotta contro l’inquinamento. Lo scorso anno la pentastellata si è allineata sulle posizioni del presidente di centrodestra della Regione Sicilia, Nello Musumeci, in contrasto con Confindustria sul tema dell’inquinamento atmosferico. «Ma è una battaglia impari». Nel suo ufficio, dove il sole di marzo fatica a crearsi uno spiraglio, la prima cittadina si mostra lucida sull’esito della lotta: «Il territorio non è ancora pronto a fronteggiare il fenomeno, gli enti e le municipalità sono sprovvisti di personale qualificato». Lo squilibrio balza agli occhi nei tavoli di discussione: «Spesso ci ritroviamo in tre, io, un assessore e un consulente; dall’altra parte, un esercito di avvocati ed esperti».
Al potere politico e giudiziario incombe oggi il compito di spezzare lo stato di paralisi in cui da anni sprofonda il territorio. «Fin qui non ci è riuscito nessuno», ricorda però Pippo Giaquinta, storico attivista di Legambiente a Priolo. «Capiremo nei prossimi mesi se si continuerà a scrivere un nuovo capitolo di questo interminabile dramma, o se riusciremo a mettere un punto finale».
▻https://www.tvsvizzera.it/tvs/inquinamento_sicilia--il-dramma-del-petrolchimico-siracusano/45639136
–-> Reportage de #Fabio_Lo_Verso et @albertocampiphoto (@wereport)
#cancer #pétrochimie #industrie_pétrochimique #pollution #Sicile #Italie #pollution_industrielle #Méditerranée #raffinerie #Augusta, #Melilli #Priolo #Siracusa #Mare_Rosso #mercure #EniChem #Stop_Veleni #don_Palmiro_Prisutto #Palmiro_Prisutto #Piazza_Martiri_del_cancro #toponymie #toponymie_politique #décès #morts #quadrilatero_della_morte #rada_di_Augusta #métaux_lourds #Montedison #Minamata #Syndial #malformations #pêche #poissons #pollution_des_eaux #pollution_des_sols #pollution_atmosphérique #pollution_de_l'air #Erg #Lukoil #Sonatrach #Esso_Italia
–-> quantité de mercure déversée dans la mer :
Per il mercurio il dato ufficiale è di 500 tonnellate sversate nel mare, dal 1959 al 1980, dall’ex Montedison, poi EniChem. Una quantità accertata dalla Procura di Siracusa. È probabile che nei decenni successivi circa altre 250 tonnellate abbiano raggiunto i fondali.
voir aussi :
Point de fuite : #Sicile, au cœur du pôle pétrochimique dʹ#Augusta
►https://seenthis.net/messages/845663
Pour « bien vieillir », des retraités conçoivent leur propre habitat coopératif et écologique
▻https://www.bastamag.net/maison-de-retraite-cooperative-bien-vieillir-habitat-ecologique-chamarel-v
Elle est la première coopérative d’habitants pour personnes vieillissantes en France : Chamarel-les-Barges, dans la banlieue de Lyon. Cette expérience pionnière ouvre la voie à une autre vision du vieillissement... et de la propriété. « Vous ne croyez pas qu’à la place des placards dans la cuisine, on pourrait mettre des tiroirs ? A nos âges, ce serait plus pratique. » Jean et Hélios hochent la tête. « Ça fait partie des choses qu’il faut discuter avec les autres », confirment-ils à Madeleine. Et (...) #Inventer
/ #Habitat_écologique_et_social, #Reportages, #Retraites, #Logement, Economie partagée et gratuité, A la (...)
#Economie_partagée_et_gratuité
I’m so sorry, says inventor of endless online scrolling
▻https://www.thetimes.co.uk/article/i-m-so-sorry-says-inventor-of-endless-online-scrolling-9lrv59mdk
En même temps, et cet article le prouve, la solution au scrolling infini est... le #paywall
Stop building websites with infinite scroll!
▻https://blog.logrocket.com/infinite-scroll
In 2006 Mr Raskin, a leading technology engineer himself, designed infinite scroll , one of the features of many apps that is now seen as highly habit forming. At the time, he was working for Humanized - a computer user-interface consultancy.
The take away? Don’t force the user to ask for more content: just give it to them.
↑ so nice...
▻https://web.archive.org/web/20120606053221/http://humanized.com/weblog/2006/04/25/no_more_more_pages
Where to put #buttons on #forms
▻https://adamsilver.io/articles/where-to-put-buttons-in-forms
Align the primary button to the left edge of the inputs
illuminate a clear path to completion. Aligning inputs and actions with a strong vertical axis clearly communicates how to go about completing a form."
This layout also helps screen magnifier users to see it without having to pan across.
Les boutons des formulaires de #SPIP seraient mal placés ?
exemple de résultats du « Eye tracking » pour le premier point : ▻https://www.lukew.com/ff/entry.asp?571
Priority Guides : A Content-First Alternative to Wireframes – A List Apart
►https://alistapart.com/article/priority-guides-a-content-first-alternative-to-wireframes
Une manière de commencer l’ergonomie uniquement sur une liste de contenus ordonnés, hiérarchisés. On se focalise sur la hiérarchie du contenu, sans préjuger du placement (je ne parle même pas des styles mais bien même pas du placement, layout, maquettes filaires). En plus c’est directement mobile-first, puisque juste en une longue colonne.
Du coup, en allant même plus loin que ce que montre l’article, cela peut se faire uniquement en texte amélioré (markdown par ex), et donc dans un pad commun à plusieurs. Cela permet de valider avec les propriétaires du site/clients le « qu’est-ce qu’on décide de mettre dans chaque page », sans du tout passer des heures à discuter de l’affichage.
The Guardian digital design style guide
▻https://design.theguardian.com
The Guardian a sorti son « guide de digital #design » (refonte de sa homepage, continuité entre site & version papier, choix des typo, des couleurs, logos ...).
Et pour qui se passionne pour l’#UI, c’est une pépite.
The Best App Launchers for Ubuntu & Linux Mint
▻https://www.omgubuntu.co.uk/2019/08/best-app-launcher-for-ubuntu-linux
Ubuntu’s default app launcher is the GNOME Shell Applications Overview — but this full-screen grid of icons doesn’t suit everyone’s tastes. We share our favourite Linux app launchers, all of which work on Ubuntu & […] This post, The Best App Launchers for Ubuntu & Linux Mint, was written by Joey Sneddon and first appeared on OMG! Ubuntu!.
« #Mozilla est décentralisée, comme le Web des origines » | L’Humanité
▻https://www.humanite.fr/mozilla-est-decentralisee-comme-le-web-des-origines-675370
La #numérisation, le #télétravail et les collectifs éclatés sur plusieurs continents sont souvent propices à une fracturation des #conditions_de_travail. Mozilla s’efforce d’allier une certaine culture de la Silicon Valley et le respect des travailleurs.
#ergonomie #droit_du_travail #management #travail #internet #santé_au_travail
User Inyerface - A worst-practice UI experiment
▻https://userinyerface.com
Hi and welcome to User Inyerface, a challenging exploration of user interactions and design patterns. To play the game, simply fill in the form as fast and accurate as possible. Source: Relevé sur le Net...
Note pour mes camarades abstentionnistes : c’est une #visualisation assez bien foutue des positions de toutes les listes de tous les pays européens, sur un même socle de questions transversales.
J’ai pas réussi à tomber sur LFI... A croire qu’ils ne se présentent pas.
En fait le système fonctionne par filtres successifs, en éliminant les listes dont la position ne coïncide pas avec celle qu’on exprime.
La méthode ne permet pas de trouver la liste la plus proche de ses propres choix parmi les 22 questions, mais oriente vers une liste en fonction des choix successifs. Le résultat dépend donc fondamentalement de l’ordre dans lequel on répond aux questions.
Ainsi, si je commence par la question de la libéralisation de l’euthanasie et que j’exprime une position « neutre », il ne me reste plus que la seule liste de l’UDI et donc mes 21 autres choix sont déterminés ; en revanche, si je réponds « favorable », il y a 4 listes admissibles qui partagent au total 14 des 22 opinions, il me reste les 8 autres (avec leurs interdépendances) pour « choisir » entre ces 4 listes.
C’était en effet mon second ou troisième essai, démarrer par en bas... Et je suis tombé sur une liste inconnu.
J’ai trouvé ! A la question sur la monnaie unique, ils sont neutres, et seuls à l’être !
@biggrizzly cf. mon commentaire ci-dessus.
Si tu veux tomber sur LFI du premier coup, il te suffit de commencer par exprimer une position « neutre » sur la question : The single European currency (Euro) is a bad thing
Pour LFI, c’est la seule question avec réponse en 1 coup.
point de vue ergonomie le fait de ne pas pouvoir changer un choix autrement qu’en faisant un « Clear selection » qui impose donc de repartir de zéro semble assez moyen...
(et effectivement @aude_v les intitulés des questions ne paraissent pas géniaux...)
Vers des variantes plus ergonomiques de claviers français.
Perso, je suis en Bépo depuis 9 ans, donc je suis mal placé pour comprendre la nouveauté qu’il y a la dessous. Mais apparemment, tant qu’aucun institut de normalisation ne s’intéressait à la question, cela restait un truc de geeks.
Maintenant, c’est bien engagé pour devenir le standard de demain : le BÉPO.
Fini les lamentables collages de gommettes sur de vieux claviers !
▻https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/informatique-voici-clavier-anti-fautes-orthographe-75598
Ce n’est évidemment pas la première fois que nous en parlons ici, puisque nous avions déjà retourné le sujet il y a 2 ans :
Tout le monde participe :
►https://seenthis.net/messages/605030
Les dispositions de claviers comparées :
►https://seenthis.net/messages/482633
#clavier #azerty #bépo #disposition #ergonomie
Ai trouvé un clavier sous android MessagEase.
▻https://www.exideas.com/ME/index.php
▻https://s14-eu5.startpage.com/cgi-bin/serveimage?url=https:%2F%2Fthenextweb.com%2Fwp-content%2Fblogs.di
Sur mon 1er smartphone (2014), j’avais réinstallé un clavier T9… mes doigts sont trop gros pour un clavier complet sur un petit écran. C’était un 2"5… même pour des doigts fins, c’est pas bien grand. Le T9, j’ai appris la téléphonie mobile avec, alors je maîtrise.
J’avais tenté des variantes à touches glissée (clic+mouvement), c’était insupportable. Leur gros défaut, c’est qu’il faut bien tenir son téléphone. Alors que T9 tu peux taper n’importe comment, c’est résiliant.
En faisant mes recherches qui m’avaient conduites à remettre un T9, j’avais aussi vu que sur Android, il existe pleins de dispositions de clavier. Dont certaines sont pensées pour une écriture mono-main (droite ou gauche, au choix).
Le plus relou, c’est quand même de bouger les pouces latéralement. tandis que plier les pouces, ça passe.
#ux