#griveaux

  • Affaire #Griveaux : ce qu’Alexandra de Taddeo a dit aux policiers
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/02/20/les-liaisons-dangereuses-de-l-affaire-griveaux_6030193_823448.html

    "Cela n’empêche pas la presse russe de suivre l’affaire avec délectation. Dimanche, lors des « Nouvelles de la semaine », l’émission préférée de #Vladimir Poutine sur Rossiya 1, l’animateur Dmitri Kisselev – « le #propagandiste du #Kremlin », disent les opposants au régime – consacre à Piotr #Pavlenski un reportage intitulé « L’ange déchu ». Dix minutes pleines d’ironie sur celui qui était autrefois l’une des figures de la #dissidence russe devenu… l’empêcheur de tourner en rond d’une France qui lui a offert l’asile #politique, à la veille de l’élection d’Emmanuel #Macron. Dans le même sujet, on voit aussi Benjamin Griveaux claquer la bise à Emmanuel Macron, ou le chef du gouvernement Edouard Philippe et le ministre de l’intérieur Christophe Castaner soutenir l’ex-candidat à la Mairie de Paris. « Voilà bien une manifestation de la solidarité masculine », conclut le petit film.

    En France, le site #RT (anciennement #Russia Today) affichait mercredi à sa « une » Pavlenski expliquant, lors de sa remise en liberté : « Je pensais que la France était le pays de la liberté d’expression. » Une page d’accueil plutôt rare pour un média d’ordinaire peu enclin à célébrer les opposants du président Vladimir Poutine. La patronne de RT et Sputnik en Russie, Margarita Simonian, reprend elle aussi la vidéo de Pavlenski dénonçant le manque de liberté d’expression en France. Quant à l’ambassade de Russie en France, elle semble abandonner toute réserve sur cette affaire, « likant » sur son compte Twitter officiel un message expliquant que « Benjamin Griveaux a été placé sous protection policière. En effet, la police veut s’assurer qu’il ne se masturbe plus devant une caméra… »"

  • Piotr Pavlensky, agitateur vortex – à propos de « l’affaire Griveaux » | AOC media - Analyse Opinion Critique
    https://aoc.media/opinion/2020/02/17/piotr-pavlensky-agitateur-vortex-a-propos-de-laffaire-griveaux

    Ceux qui réussissent à se frayer un chemin dans le tohu bohu des réseaux sociaux constituent une nouvelle classe d’agitateurs. On pourrait les appeler « agitateurs vortex », pour les distinguer des agitateurs d’idées qui se sont illustrés pour le meilleur ou pour le pire tout au long du XXe siècle. Le « vortex » est en effet un instrument utilisé dans les laboratoires de chimie, qui permet par des impulsions rapides d’agiter un liquide afin de mélanger ses composants. L’agitateur vortex doit son efficacité moins à son pouvoir de conviction, ou à la pertinence de ses arguments, qu’à la dynamique des interactions qu’il est capable d’impulser sur les réseaux sociaux.

    Le succès des agitateurs vortex ne tient ni à la pertinence de leur analyses ni à leur radicalité, mais au contraire à leur mode opératoire qui vise à obtenir une attention maximale et pour cela doit être conforme à la logique des réseaux sociaux.

    Non plus la logique de la propagande par le fait comme les anarchistes du début du XXe siècle. Mais la conquête des attentions par la transgression. Une transgression qui ne vise pas telle ou telle norme morale, une transgression devenue la norme à l’ère néolibérale, une violence destructrice qui vise à ébranler les récits que la société tient sur elle-même.

    Pavlenski utilise les mêmes méthodes que les régimes qu’il dénonce, performant le discrédit sur des personnes publiques comme on tire sur des silhouettes de carton dans les foires. Il ne s’en cache pas : « L’art politique agit de l’intérieur de la mécanique du pouvoir et force l’appareil d’Etat à se démasquer ». Que Griveaux s’y soit prêté par « imprudence » ne signifie pas grand-chose quand c’est l’imprudence qui fait loi. Au contraire cela ne fait que renforcer l’hypothèse d’une soumission générale à cette mécanique du dévoilement de la purification, de la transparence qui régit la condition politique à l’ère du clash.

    La conclusion de l’article me semble moins intéressante. Même quand on est entré dans le terrier, il y a un monde derrière disait le lapin.

    De l’affaire Lewinsky à celle de Nafissatou Diallo, des soirées bungas bunga de Berlusconi à la pornographie de Trump ce n’est pas la dépravation morale des individus qui est mis en scène, c’est la cérémonie cannibale l’exhibition/dévoration des corps. Une sorte de bizutage numérique qui met en scène le discrédit du politique. Le corps des puissants livré à la voracité des médias et des audiences fait le chemin inverse de l’amplification décrit par Kantorowicz dans le double corps du roi, c’est celui d’une mise à nu radicale, d’une exhibition sans fin. L’expérimentation de soi doit être menée « jusqu’à la fracture ». La surexposition médiatique jusqu’à la dévoration. L’affaire Griveaux va bien au-delà d’un épisode navrant de la campagne des élections municipales, elle est le symptôme de l’effondrement du fonctionnement démocratique. Au-delà du fait divers, c’est un cas d’école pour comprendre que la vie politique et la délibération politique sont à portée de missile d’un simple tweet. La révocation des élus a trouvé sa forme et sa caricature avec le revenge porn.

    L’exhibition « sacrilège » du phallus politique sous les quolibets et les indignations est le cœur du carnaval qui nous tient lieu de vie politique, une démocratie qui jouit du spectacle de sa propre fin. « C’est un immense pas vers la fin du système représentatif écrivait Jean Baudrillard en 2004. Et ceci est la fatalité du politique actuel – que partout celui qui mise sur le spectacle périra par le spectacle. Et ceci est valable pour les citoyens comme pour les politiciens. C’est la justice immanente des médias. Vous voulez le pouvoir par l’image ? Alors vous périrez par le retour-image ».

    #Médias_sociaux #Griveaux #Christian_Salmon


    • Dessins de Chereau et Deligne pour #Urtikan.net

      Les concurrents se pressent en rangs serrés.
      Il y a le candidat macroniste à la mairie de Paris qui se conduit comme un garçon de bureau, et couine qu’on « s’en prend à sa famille » (sic) parce que la photo de sa bite atterrit sur les « réseaux sociaux ».
      Il y a le performeur russe en transit, manipulé ou mal conseillé, ou spontanément assez niais pour penser que ce qui serait « très grave », c’est qu’un homme qui trompe sa femme soit élu maire de Paris. (D’accord il arrive du dix-neuvième siècle, à peine sorti des glaces, mais tout de même !)
      Il y a la grande cohorte des crétins de base qui échangent leurs estimations sur la taille et la circonférence de la teub du garçon de bureau.
      Et puis il y a les éditorialistes qui affirment sans rire que la sottise du performeur russe ajoutée à l’imprudence du crétin macroniste « mettent en danger la démocratie ». (Ben alors, qu’elle crève le plus vite possible, hein !)
      Impossibles de les départager.
      Tous ex aequo.

      Claude Guillon
      https://lignesdeforce.wordpress.com/2020/02/15/concours-du-pire-cretin-le-vainqueur-est

    • J’aurais rêvé d’écrire le discours de Benjamin Griveaux pour sa conférence de presse de vendredi matin. Cela aurait pu donner quelque chose dans ce genre : "Je vous le confirme, il s’agit bien de ma bite. Je n’ai rien fait d’illégal. En revanche, je compte bien poursuivre ceux qui ont fait circuler ces photos, parce que la loi m’y encourage. Et parce que la honte doit changer de camp. Solidarité avec toutes les victimes de revenge porn qui, habituellement, sont dans une situation moins privilégiée que la mienne." Drop the mic. »

      Ovidie

  • Piotr Pavlenski, portrait d’un agitateur forcené converti au « kompromat »
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/02/14/piotr-pavlenski-portrait-d-un-agitateur-forcene-converti-au-kompromat_602963


    L’activiste russe Piotr Pavlenski, lors d’une conférence de presse dans le bureau de son avocat, le 14 février à Paris.
    LIONEL BONAVENTURE / AFP

    Le performeur russe, à l’origine de la diffusion de vidéos ayant poussé Benjamin Griveaux à retirer sa candidature à la Mairie de Paris, utilise les mêmes méthodes que les services russes pour discréditer les opposants : l’art du « dossier compromettant ».

    Devant un parterre d’étudiants en droit réunis à Paris, en décembre 2019, Piotr Pavlenski clamait que « l’art politique est un art » qui exige d’« agir pour forcer l’appareil d’Etat à se démasquer ». « Pour cela, expliquait-il, l’artiste utilise les mêmes instruments que ceux dont use le pouvoir. » Il est passé aux travaux pratiques en préparant la mise à mort du candidat La République en marche (LRM) à la Mairie de Paris, Benjamin Griveaux, avec la technique, bien connue en Russie, du kompromat (ou « dossier compromettant »).

    En publiant une vidéo vieille de deux ans attribuée à l’ancien secrétaire d’Etat en train de se masturber, Piotr Pavlenski, 36 ans dans quelques jours, n’a rien fait d’autre, en effet, que d’imiter les services de sécurité russes, qui font « tomber » quelques-unes de leurs cibles en diffusant des vidéos intimes, souvent tournées à leur insu. Vladimir Poutine y a eu lui-même recours. Alors chef des services de sécurité russes (FSB, ex-KGB), il avait utilisé ce procédé pour écarter en 1998 le procureur Iouri Skouratov, chargé d’enquêter sur la corruption dans l’entourage et la famille de Boris Eltsine. Une vidéo diffusée à la télévision montrant les ébats du magistrat avec deux prostituées avait suffi. Puis ce fut le tour de plusieurs opposants d’être victimes de kompromat.

    • Non, le GriveauxGate n’est pas qu’une question de sexe
      http://www.analysedulangage.com/index.php/2020/02/14/griveauxgate

      Puisque cet article a été refusé, comme toutes mes dernières tribunes, par la rédaction du Huffington Post, bien loin des valeurs portées par sa fondatrice Arianna Huffington, voici sur mon site le décryptage qui a été censuré. On ne peut que déplorer ce type d’agissement : le danger pour la démocratie est dans cette peur sous-jacente ayant pour conséquence une sphère médiatique à la botte du pouvoir.

      https://seenthis.net/messages/822879

    • Tout ce foin sur le revenge port et les #vils_réseaux_sociaux me gonfle puissamment.

      J’ai une copine qui a reçu des #dickpics, y compris de #grands_hommes de son domaine d’activité. Les diffuser tombe sous le coup de la loi pour une République numérique, le faire savoir, sans diffusion, ça fera quoi : rien.

      Dans cette « affaire », que sait-on de la destinataire de la vidéo ? Vu la pelletée de merde expédiée dans le ventilateur, je doute qu’elle se dévoile pour exprimer son point de vue… Et donc, tout le discours « vertueux » considère qu’elle était consentante. Ce qui me paraît, perso, hautement improbable.

      Alors, dans le sens de ce que dit Élodie Mielczareck, révéler qu’un candidat à de hautes fonctions publiques pratique ce genre d’ignominie me parait indispensable, et même de salubrité publique, pour connaître le mode de fonctionnement de l’individu. Problème : sans image, ça n’a pas de poids et ouvre la porte à des attaques en diffamation, avec image, c’est répréhensible.

      Et je ne suis que très peu réceptif à l’argumentaire de Piotr Pavlenski sur le double langage. Quand bien même BG revendiquerait publiquement ses écarts de conduite par rapport à la morale traditionnelle, ça ne rend pas plus tolérable des pratiques ignobles comme le dickpic.

      La réaction réflexe « ça relève du privé  » participe, me semble-t-il, à l’étouffement de la voix de la destinataire. En gros, elle a drôlement intérêt soit à faire comme si ça avait été une bonne surprise de recevoir ça (rôle assez difficile à assumer publiquement), soit à la boucler.

    • « On accuse les réseaux sociaux ou l’anonymat sur Internet d’avoir permis l’affaire Griveaux, mais les vidéos se sont surtout propagées grâce aux terrains fertiles que sont les groupes privés militants et des forums masculins obsédés par ce type de contenus. »
      https://www.politico.eu/article/how-kompromat-on-a-close-macron-ally-went-viral

      A close friend of prominent figures on the far left and supporter of the Yellow Jackets movement, the Paris-exiled Pavlenski first approached political activists to spread the information. Controversial lawyer and Macron opponent Juan Branco told Le Point he was aware of the upcoming publication of the videos.

      “He consulted me as a lawyer,” Branco said. “For him it was a political act. In the same way that he opposed Putin’s regime, he was ready to do whatever it takes to oppose Macron’s regime, which he considers just as repressive.”
      ’Streisand effect’ and online forums

      The blog post first popped up on Twitter on accounts close to populist groups.

      Laurent Alexandre, a businessman and essayist who has a lot of supporters among far right groups, was one of the first to tweet the link to his 74,000 followers on Twitter, before deleting his tweet.

      “This kind of action can create a ’Streisand effect,’” said Lamy, referring to the internet phenomenon whereby an attempt to hide, remove or censor a piece of information has the unintended consequence of publicizing the information more widely.

      Alexandre’s actions were imitated Thursday by his friend Joachim Son-Forget, a member of parliament with 61,000 Twitter followers who is also a former member of Macron’s La République En Marche — he was ousted after a series of scandals including sending misogynistic tweets targeting a fellow parliamentarian.

    • L’édito du Monde empile tous les poncifs.
      Toujours conditionné par l’affirmation (pour l’instant sans aucun commencement de preuve) du consentement de la destinataire.
      La relation était probablement consentie, sinon on aurait une affaire encore plus grave, mais est-ce que ça implique automatiquement le consentement à ce genre de pratique ? À mon sens, l’envoi de ce genre de message n’est pas vraiment une «  relation  » mais un geste unilatéral.

      Affaire Benjamin Griveaux : l’abaissement de la démocratie
      https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/02/15/affaire-benjamin-griveaux-l-abaissement-de-la-democratie_6029690_3232.html

      Oublié le droit reconnu aux adultes d’entretenir une relation sexuelle librement consentie, tant qu’elle ne viole aucune loi.

    • Pas vu la vidéo et pas d’avis sur le caractère consensuel (et si je me pose la question : qui peut envoyer une photo de sa bite avec le consentement de la destinataire, je me demande aussi qui peut envoyer une photo de sa bite tout court ? à part pour marquer son territoire ?). Mais dans l’hypothèse où le geste n’est pas délictueux, j’aime bien la réaction d’#Ovidie qui replace ça dans le contexte des violences en ligne majoritairement infligées aux femmes.

      Ovidie : « en se retirant, Griveaux envoie un mauvais message » - Libération
      https://www.liberation.fr/debats/2020/02/14/en-se-retirant-il-envoie-un-mauvais-message_1778509

      Lors d’actions de prévention en milieu scolaire, on me rapporte très régulièrement des situations où des jeunes filles se retrouvent harcelées après la circulation non consentie de photos ou vidéos. La plupart du temps, ce sont elles qui sont contraintes de quitter l’établissement, après avoir entendu de la part de la communauté éducative qu’il fallait « réfléchir avant d’envoyer ça ». Il me semble qu’on prend le problème à l’envers. Quel message Benjamin Griveaux envoie-t-il indirectement à ces jeunes filles en se retirant si rapidement de la course aux municipales ? Qu’il revient aux victimes de s’effacer de l’espace public.

      En tant qu’ancien porte-parole d’un gouvernement qui se targue d’avoir fait du sexisme et des violences sexuelles une de ses priorités, il aurait été bien plus courageux de montrer l’exemple en prenant publiquement la défense des victimes et en critiquant toute l’idéologie puante qui sous-tend le revenge porn. Car sans honte, ni culpabilisation autour des questions de sexualités, le revenge porn n’est rien.

    • Un tweet de Frédérique Matonti (politiste du sexe et du genre)

      L’art de mélanger tout et n’importe quoi et notamment ce qui relève du pénal (ballets roses) et ce qui relève du comportement certes éventuellement condamnable moralement mais licite

      https://twitter.com/FMatonti/status/1228601012778360833

      Elle répond à un diplomate qui la joue gauloise.

      Il est vrai que la France chrétienne de la Montespan, de la du Barry, que la France de Felix Faure, de Le Troquer et des ballets roses, des bordels et de la syphilis, du maréchal octogénaire et de ses visiteuses du soir nous rappelle d’autres valeurs...

      C’est le même mélange dans beaucoup d’affaires sexuelles : on ne sait pas si on blâme la moralité du bonhomme ou des actes violents punis par la loi (sexe avec des mineures, actes non-consensuels, etc.). Dans un cas on aimerait dire qu’on s’en fout, dans l’autre que c’est hyper grave mais il y a une manière de mettre tout ça sur le même niveau qui est assez minable et empêche de rappeler des exigences de base en matière de relations sexuelles et entre sexes.

    • Vu qu’on n’a strictement aucune info de quelque sorte sur la relation, càd la personne réceptrice, je vois mal ce qu’on pourrait en dire. La réaction à en faire est vraiment super différente suivant le cas où c’est non-consenti (harcèlement donc etc), et le cas où c’est consenti. Je veux dire, des couples, hétéros ou homos, qui s’envoient vidéos ou photos pour s’exciter l’un l’autre lorsque les conjoints/amants/amoureux sont éloignés, c’est juste méga courant, et pas récemment, ça fait genre… 20 ans que c’est courant, avec internet. Et dans le cas où c’est consenti, je suis totalement d’accord avec Ovidie.

    • Savoir si la personne réceptrice était consentante, ou qui elle est, importe peu, on espère surtout qu’elle va bien. Si une vidéo de ce type circule au-delà du cercle intime, c’est soit un piratage soit une dénonciation de la personne qui reçoit ce type de message et qui n’a pas l’intention de se laisser faire.
      Donc non consentante, et avec ce genre de preuve, aucune hésitation à rendre public ce genre de pratique de #sale_type.

    • Le consentement importe fondamentalement pour la qualification juridique.

      Sur le fond, bien que je pense comme toi que s’il y a diffusion, c’est qu’il y a non consentement, mais on ne peut non plus exclure qu’il y ait eu une évolution dans le temps. C’est le fondement même du revenge : aux temps heureux a succédé ce qui est vécu comme une «  trahison  » entraînant la «  vengeance  »…

      Et on avance vers le dévoilement de la destinataire,
      https://seenthis.net/messages/825979

    • Si une vidéo de ce type circule au-delà du cercle intime, c’est soit un piratage soit une dénonciation de la personne qui reçoit ce type de message et qui n’a pas l’intention de se laisser faire.

      Ou soit du revenge porn (mais attention : à vocation « artistique » et « politique »), sachant que la vidéo a plus de 2 ans... Plus ça avance plus ça ressemble à ça. Ovidie avait donc probablement raison depuis le début.

  • Une grenade aussi dangereuse va remplacer celle retirée par le ministère de l’Intérieur
    https://www.bastamag.net/retrait-GLIF4-ministere-interieur-christophe-castaner-remplace-par-GM2L-pl

    « Un faux geste sans changement de stratégie », dénonce la Ligue des droits de l’Homme (LDH). Les raisons de ce scepticisme ? Christophe Castaner a annoncé, le 26 janvier, le retrait immédiat de la GLI-F4, une grenade explosive composée notamment de 26 grammes de TNT. Cette charge explosive a valu à un zadiste et, d’après le décompte du journaliste David Dufresne, à cinq gilets jaunes, de perdre leurs mains, arrachées par l’explosion. La France est le seul pays d’Europe à l’utiliser, selon un rapport (...) En bref

    / #Violences_policières, #Droits_fondamentaux, #Atteintes_aux_libertés