• Comment filmer la politique ?
    https://www.mediapart.fr/journal/france/070318/comment-filmer-la-politique

    Vidéo dans l’article Sur le plateau de notre émission « En direct de Mediapart », Éric Benzekri (Baron noir), Gilles Perret (L’Insoumis), Mariana Otero (L’Assemblée) expliquent ce qu’ils veulent raconter, à travers leur film, de la politique, du rôle de la parole, des passions. Et ce qu’ils donnent d’eux-mêmes dans leur récit.

    #France #Culture-Idées #Baron_Noir #Cinéma #Jean-Luc_Mélenchon #Nuit_debout

  • « Baron noir » et Mélenchon ou comment filmer la politique
    https://www.mediapart.fr/journal/france/070318/baron-noir-et-melenchon-ou-comment-filmer-la-politique

    Vidéo dans l’article Eric Benzekri (Baron noir), Gilles Perret (L’Insoumis), Mariana Otero (L’Assemblée) expliquent ce qu’ils veulent raconter à travers leur film de la politique, le rôle de la parole, des passions. Et ce qu’ils donnent d’eux-mêmes dans leur récit.

    #France #Culture-Idées #Baron_Noir #Cinéma #Jean-Luc_Mélenchon #Nuit_debout

  • Jared Kushner’s Real-Estate Firm Sought Money Directly From Qatar Government Weeks Before Blockade
    https://theintercept.com/2018/03/02/jared-kushner-real-estate-qatar-blockade

    The real estate firm tied to the family of presidential son-in-law and top White House adviser Jared Kushner made a direct pitch to Qatar’s minister of finance in April 2017 in an attempt to secure investment in a critically distressed asset in the company’s portfolio, according to two sources. At the previously unreported meeting, Jared Kushner’s father Charles, who runs Kushner Companies, and Qatari Finance Minister Ali Sharif Al Emadi discussed financing for the Kushners’ signature 666 Fifth Avenue property in New York City.

    En prime
    https://www.nbcnews.com/politics/white-house/mueller-team-asking-if-kushner-foreign-business-ties-influenced-trump-n8526

    Mueller team asking if Kushner foreign business ties influenced Trump policy

    by Carol E. Lee, Julia Ainsley and Robert Windrem

    WASHINGTON — Federal investigators are scrutinizing whether any of Jared Kushner’s business discussions with foreigners during the presidential transition later shaped White House policies in ways designed to either benefit or retaliate against those he spoke with, according to witnesses and other people familiar with the investigation.

    Special counsel Robert Mueller’s team has asked witnesses about Kushner’s efforts to secure financing for his family’s real estate properties, focusing specifically on his discussions during the transition with individuals from Qatar and Turkey, as well as Russia, China and the United Arab Emirates, according to witnesses who have been interviewed as part of the investigation into possible collusion between Russia and the Trump campaign to sway the 2016 election.

    #nuit_torride ou encore "#complotisme_autorisé

  • How Qatar Is Winning The Diplomatic War In Its Dispute With Saudi Arabia And The UAE
    https://www.forbes.com/sites/dominicdudley/2018/01/31/qatar-winning-war-saudi-uae

    The diplomatic efforts of Qatar to circumvent the economic and political embargo on the country by a number of erstwhile allies in the region appears to be working, with the US government now emphasizing its support for Doha while still calling for all sides to compromise.

    The embargo was launched on Qatar in June last year by Bahrain, Egypt, the UAE and Saudi Arabia, with the last two of these countries the driving force behind the move. They accuse Qatar of supporting terrorism and destabilizing the region. Qatar rejected the accusations and has moved quickly to deepen its ties with other countries inside the region – such as Iran, Oman and Turkey – and those further afield, including the US.

    Those efforts appear to be paying off, with a strategic dialogue held this week in Washington at which senior US administration figures emphasized the close ties between the two countries.

    #nuit_torride clap de fin ?

  • UAE says Qatar fighter jets intercept flight ; Doha denies it - ABC News
    http://abcnews.go.com/International/wireStory/uae-claims-qatar-fighter-jet-intercepts-commercial-flight-52351549

    aujourd’hui

    The United Arab Emirates on Monday claimed that Qatari fighter jets intercepted one of its commercial airliners in international airspace on the way to Bahrain, an allegation promptly denied by a Doha official.

    hier
    Qatar says Emirati plane violated airspace, UAE denies
    https://www.reuters.com/article/us-gulf-qatar-emirates/qatar-says-emirati-plane-violated-airspace-uae-denies-idUSKBN1F035W

    Je précise à ceux qui ne suivent pas l’actualité du monde arabe qu’il ne s’agit pas de foot !

    Je pense qu’on est toujours dans #nuit_torride

    • Deux (?) incidents avec des avions militaires émiratis,

      Recently, Qatar accused Emirati military jets of violating its air space in December and January in two incidents, filing a complaint to the United Nations.

      Celui de décembre est décrit, mais je ne trouve pas trace de celui de janvier. Peut-être s’agit-il du dépôt de plainte ?

    • Mais il y a aussi l’info sur le prince qatari dont MbS a pu, un temps, penser qu’il pouvait l’utiliser comme pion …

      On Sunday night, an exiled Qatari ruling family member once promoted by Saudi Arabia amid its ongoing dispute with Doha appeared in an online video, claiming he’s being held against his will in the United Arab Emirates, an allegation denied by Abu Dhabi.

      The video of Sheikh Abdullah bin Ali Al Thani, a little-known ruling family member until the Qatar crisis, also offered new fuel to the stalemated dispute. It also recalled the bizarre, now-reversed resignation of Lebanese Prime Minister Saad Hariri while on a trip Riyadh, a Nov. 4 decision that was widely perceived as Saudi-orchestrated at the time.

      (info bien détaillée dans la légende de la photo dans ton billet)

      Exiled Sheikh Abdullah, once promoted by Saudi Arabia amid its ongoing dispute with Doha, appeared in an online video posted Sunday, Jan. 14, 2018, and aired by Doha-based satellite news network Al-Jazeera, claiming he’s being held against his will in the United Arab Emirates, an allegation denied by an Abu Dhabi official.

    • ويوم أمس، انتشر مقطع مصور يظهر آل ثاني وهو يتهم ولي عهد أبو ظبي، محمد بن زايد، باحتجازه، محملاً الأخير المسؤولية عن أي أذى يلحق به. وقال آل ثاني، في التسجيل، «(إنني) كنت ضيفاً عند الشيخ محمد، (إلا أنني) الآن لم أعد في وضع ضيافة وإنما في وضعية احتجاز»، مضيفاً أن الإماراتيين أوعزوا إليه بعدم مغادرة المكان الذي يقيم فيه. وأعرب عن خشيته من أن «يحصل لي مكروه، ويقوموا بإلقاء اللوم على قطر»، مشدداً على أنه «إذا حدث لي شيء، فأهل قطر بريئون منه، والشيخ محمد هو من يتحمل المسؤولية».

  • #BALLAST | #Castoriadis #autonomie — La #démocratie ne se limite pas au dépôt d’un #bulletin dans une #urne
    https://www.revue-ballast.fr/castoriadis-democratie-ne-se-limite-depot-dun-bulletin-urne

    "refonder une véritable pensée politique en évitant les pièges du déterminisme marxien et de la pratique autoritaire qu’il induit nécessairement."

    "Castoriadis voit là l’expression de ce qu’il nomme capitalisme bureaucratique — fragmenté à l’Ouest, total en URSS"

    mais aussi en Chine ?

    "L’erreur — et c’est une erreur que fait aujourd’hui une fraction de la gauche — serait de penser que la critique du néolibéralisme impliquerait la réhabilitation de l’État, ce qui occulte le fait que ce sont les États nationaux qui ont mené des politiques néolibérales, y compris pour ce qui est de leurs propres administrations, comme en témoigne le new public management. L’État social que nous avons connu sous les Trente Glorieuses est de toute manière en train de s’effondrer : la question est de savoir si nous voulons le maintenir artificiellement en vie — ce que les évolutions du capitalisme contemporain, avec la rupture du compromis fordiste, rendent très aléatoire — ou si nous voulons en profiter pour donner une nouvelle vigueur au projet d’autonomie." [...] "Je crois que Castoriadis nous donne des éléments pour penser une autre société, dans laquelle les individus n’abdiquent pas leur autonomie en échange d’avantages matériels."

    "Castoriadis en est donc venu à penser que la véritable contradiction est celle qui existe entre les dirigeants et les exécutants : tant que les individus sont soumis à ce qu’Yvon Bourdet appelle une « hétérogestion », on ne peut pas parler de socialisme ou même tout simplement de démocratie — celle-ci ne doit pas s’arrêter aux portes de l’usine, selon Castoriadis, et se limiter, tous les cinq ans, au dépôt d’un bulletin dans une urne."

    "Comme je l’ai déjà suggéré, Castoriadis ne considère pas le travail comme une activité structurellement aliénante qu’il faudrait dépasser pour espérer vivre libre. Il y voit au contraire la possibilité d’affirmation d’une liberté concrète."

    "On pourrait résumer en disant que c’est sa tendance à la scientificité que Castoriadis reproche à Marx, son fétichisme de l’économie comme « science », comme il dit."

    "La pensée de Castoriadis, profondément cohérente, ne peut éviter de dégager les conséquences des thèses qu’elle avance : être autonome, diriger consciemment sa vie, suppose sans doute un travail sur soi — ce pourquoi, selon Castoriadis, la psychanalyse relève du projet d’autonomie ; mais cela ne saurait suffire." [...] "De la gestion ouvrière, on passe ainsi à l’autogestion, puis à la démocratie, en évitant tout formalisme. L’ouvrage de Boltanski et Chiapello est fort stimulant et les analyses qu’il développe souvent justes. Il est toutefois regrettable que ses auteurs n’aient pas tenu compte des vues de Castoriadis. Ils auraient pu notamment prendre connaissance d’un texte, publié en 1974 dans une revue de la CFDT — c’est-à-dire trois ans avant la rupture de l’Union de la gauche et le « recentrage » de la centrale syndicale —, qui dénonce fermement toute forme de hiérarchie, tant du commandement que des salaires. Ils auraient alors perçu que, pour être minoritaire, existait un courant pour lequel la distinction entre critique artiste et critique sociale n’est ni acceptée ni acceptable."

    rapport à l’anarchie : "Castoriadis considère l’anarchisme comme une variante de l’individualisme. Il exprime cela dans un de ses premiers textes philosophiques intitulé « Phénoménologie de la conscience prolétarienne », qui reste encore très hégélien. Il y définit l’anarchisme comme une forme de la conscience de soi, qui estime pouvoir changer immédiatement la société, par un mouvement spontané de révolte, sans s’intéresser à la question de l’organisation. Castoriadis n’a jamais défendu la spontanéité des masses en tant que telle, sachant fort bien qu’elle n’est pas nécessairement articulée à un désir d’autonomie. [...] Enfin, Castoriadis estime que les anarchistes ne peuvent pas penser le social : comme les libéraux, ils pensent la société à partir de l’individu, et les formes de vie collective sur le modèle d’un contrat social. Ils occultent donc la force de l’institution ou des significations imaginaires sociales, ces significations qui sont au centre de toute société et qui ne sont pas le produit d’un individu ou d’un rapport entre des individus."

    intellectuels et société : "Ce qui est tout de même frappant quand on a milité un peu, c’est de voir à quel point les militants des organisations classiques de gauche sont prisonniers des schèmes de la pensée héritée : c’est moins vrai depuis que les Indignés, #Occupy Wall Street ou #Nuit_debout ont développé une réelle réflexion sur leur action. Mais les organisations syndicales ou les partis classiques restent de grandes machines bureaucratiques, qui ne conçoivent l’action que selon une division du travail reconduisant les schèmes de l’ #hétéronomie. On le voit par exemple chez les Insoumis de #Mélenchon. Nul doute ici que le travail intellectuel d’un Castoriadis soit absolument nécessaire."

    progrès : "une société qui s’intitule elle-même « moderne » affirme d’une certaine manière que rien ne pourra venir après elle, qu’elle constitue la fin de l’Histoire — ce qui est absurde. [...] Castoriadis se veut fidèle à ce qu’il appelle lui-même le projet d’autonomie, qui ne naît pas avec la modernité, mais bien avant, au moment où la société grecque invente à la fois la démocratie et la philosophie : l’un des acquis de ce projet d’autonomie, dont les Lumières constituent à la fois la reprise et la radicalisation, est en effet l’idée de la raison critique, à laquelle Castoriadis est très attaché. [...] Ni moderne ni antimoderne, il est donc plutôt, comme Socrate, atopos : non situable dans cette polémique qui ne le concerne pas, fidèle à ce qu’a de meilleur la modernité (l’universalisation du projet d’autonomie) et critique de ce qu’elle a de pire."

    Imaginaire radical et instituant : Castoriadis tâche de rendre compte de ce qui est, de la réalité effective. La considération des sociétés et de la contingence de leur histoire conduit à reconnaître qu’elles ne relèvent que d’elles-mêmes, qu’elles s’auto-instituent. —> condition de possibilité : l’imagination individuelle ou l’imaginaire collectif

    Castoriadis, qui a longtemps gagné sa vie comme économiste, voyait dans le néolibéralisme l’une des plus grandes régressions intellectuelles de notre époque, témoignant précisément de ce qu’il considérait comme la « montée de l’insignifiance », y compris dans la théorie.

    Mais Castoriadis faisait un diagnostic d’ensemble des sociétés occidentales : il y voyait un vaste mouvement de dépolitisation, de repli dans la vie privée, et une crise des significations imaginaires centrales sur lesquelles ces sociétés s’étaient bâties. Ce n’est pas la partie de l’œuvre de Castoriadis que je préfère — il y cède souvent à des constats sociologiques à l’emporte-pièce : le moraliste et le polémiste l’emportent parfois sur le philosophe —, mais Castoriadis y pointe tout de même certains phénomènes inquiétants comme la disparition de certains modèles anthropologiques au profit du consommateur-jouisseur fabriqué par le néo-capitalisme contemporain.

    Castoriadis est en effet lu et revendiqué par beaucoup de militants. Il a eu le mérite de ne pas proposer d’utopie (terme qu’il rejetait) ni de vouloir prophétiser la forme que prendrait le mouvement social : c’était contraire à son idée de la créativité historique.

    Castoriadis pose les questions essentielles : quelles sont les significations imaginaires qui peuvent aujourd’hui faire sens pour nous ? voulons-nous une démocratie authentique, un régime de l’autonomie et de l’auto-limitation ? comment rompre avec la société marchande ? quelle éducation pour un homme démocratique ? Les mouvements révolutionnaires ont tout intérêt à se réapproprier ces questions, qui sont au centre du travail de Castoriadis.

    autre article Ballast : juillet 2017 : https://www.revue-ballast.fr/castoriadis-lautonomie-radicale

    Pour info, l’asso Castoriadis, regrouppant ses textes et speech :
    http://www.castoriadis.org/fr/default.asp?sw=2560

  • هل أجهضت القوّات التركيّة انقلابًا لإطاحَة النّظام القطريّ في حزيران الماضي؟ ولماذا سَرّبت القِيادة التركيّة أنباءه للإعلام في هذا التّوقيت؟ وهل تراجعت.. أم تأجّلت احتمالات التدخّل العَسكريّ السعوديّ الإماراتيّ؟ | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=803263

    Rai al-yom revient sur les infos à propos d’un coup d’Etat contre le Qatar déjoué en juin dernier (voir https://seenthis.net/messages/655151). Il souligne les tentatives de mobiliser certaines tribus, le fait que l’info ait été reprise par un quotidien proche d’Erdogan (même si le Qatar a officiellement démenti), et qu’il y a désormais 35 000 militaires turcs au Qatar. Le déploiement militaire turc comprend aussi désormais le Soudan à la suite d’un accord récent.

    #turquie #nuit_torride

  • انباء عن احباط أنقرة انقلابا على أمير قطر | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=802032

    D’après un journal turc cité dans l’article, les Turcs auraient militairement empêché un coup d’Etat contre l’émir du Qatar le 5 juin dernier, juste après le début de la #nuit_torride. 200 militaires d’une base turque qui se trouve à Qatar auraient été chargés de protéger l’émir, et des troupes saoudo-émiriennes auraient dû alors faire demi-tour. L’aviation turque aurait été en alerte également. Le parlement truc a par ailleurs donné son feu vert juste après pour augmenter les effectifs de ladite base.

    (Quelque part on avait parlé à l’époque d’une opération des voisins du Golfe en colère menée avec des mercenaires nord-américains.)

  • Jordan fears ’turmoil’ as Saudis rush to embrace Israel | Middle East Eye
    http://www.middleeasteye.net/news/exclusive-jordan-braces-turmoil-saudis-rush-embrace-israel-1491957420

    Saudi Arabia is bypassing Jordan in its headlong rush to normalise relations with Israel, offering concessions on Palestinian refugees which could endanger the stability of the Hashemite kingdom, and compromise its status as the custodian of the holy sites in Jerusalem, a senior official close to the royal court in Amman has told Middle East Eye.

    The official, speaking on condition of anonymity, accused Saudi Crown Prince Mohammed bin Salman of treating Jordan with contempt. “He deals with Jordanians and the Palestinian Authority as if they are the servants and he is the master and we have to follow what he does. He neither consults nor listens to us,” the official said.

    #nuit_torride

  • Port Strategy | Collision course
    http://www.portstrategy.com/news101/world/middle-east/collision-course

    la situation dans la péninsule arabique au prisme du transport maritime, avec une revue de tous les ports de la péninsule arabique et les effets de la #nuit_torride.

    Overcapacity, politics and the price of oil are set to collide in the Middle East, writes Stevie Knight.

    Cattle aren’t often a metaphor for independence. However, this July’s airlift of 165 pregnant dairy cows to Doha by Qatar Airways sent a clear message to Egypt, United Arab Emirates, Bahrain, and most of all, Saudi Arabia, that Qatar is not about to buckle under this or any boycott.

    Whether the diplomatic rift is fully resolved or not, what makes this bovine signal interesting for the region’s ports lies what it could mean for longer term shipping patterns.
    Shailesh Garg of Drewry explains that the Saudi-led bloc’s isolation of the country “really wasn’t expected to last... it’s happened before and so this time we thought it would blow over in a few weeks, and things would return to [normal ?]3

    Instead, Qatar is digging in. Until June, Jebel Ali and, to a lesser extent, Khor Fakkan, acted as the country’s container transhipment hub with edible produce coming in by road via Saudi. “_It’s almost certainly dampened, if not led to a drop in overall Jebel Ali’s figures,” says Martin Mannion of [?.]

    Nearby Sohar in Oman is an obvious beneficiary, though the country’s playing it close to its chest. Oman has earned a name as ‘the Switzerland of the Middle East’, so it’s carefully preserving its neutrality and is coy about how much it’s gained. However, Mr Garg guesses “around half Qatar’s flow is being diverted via Oman – if things continue as they are, it could make an extra 100,000 teu in a year”. Not huge, but still interesting.

    Still, food security remains Qatar’s biggest issue. The relationship with India, already a grain provider, was hastily firmed up during the summer and the country’s national line, Milaha Maritime, started running a weekly feeder that takes in Kandla, Mundra and Nhava Sheva.

    That rotation is also stopping at the new Hamad facility. While some die-hard conspiracy theorists point to overly auspicious timing, most put it down to coincidence as the port has been functional for some time... although the official inauguration of its 17-metre deepwater port has certainly buoyed Qatar’s assurance in its ability to deal with Saudi et al.

  • Mauvaise nouvelle pour le prince Walid bin Talal, détenu au Carlton-Ritz de Riyadh : l’agence Bloomberg met en lumière ses investissements "secrets" avec l’ex PM Qatari Hamad Bin Jassem, celui-là même qui avait divulgué pas mal de petits "secrets" sur les manoeuvressaudo-qatariennes dans le conflit syrien.
    بلومبيرغ تكشف تفاصيل استثمارات “سرية” بين حمد بن جاسم والوليد بن طلال تعود الى تسعينات القرن الماضي.. فنادق واستثمارات عقارية | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=779281

    #prison_dorée et aussi #nuit_torride deux tags dont on voit qu’ils nesont pas si étrangers l’un à l’autre...

  • Russisk foto-bløff om amerikansk støtte til IS - NRK Urix - Utenriksnyheter og -dokumentarer

    https://www.nrk.no/urix/russisk-foto-bloff-om-amerikansk-stotte-til-is-1.13778738

    L’histoire : les Russes ont expliqué qu’ils pouvaient prouver que les Américains soutenaient Daech, en publiant une série d’images... apparemment récupérées d’un jeu vidéo pou téléphone portable (et photoshopées).

    équivalent américano-russe en syrie et en irak de #nuit_torride

    Russland hevdet først at bildene ble tatt nær grensa mellom Syria og Irak 9. november og beskrev dem på Facebook og Twitter som « ugjendrivelige beviser for at USA beskytter kampenheter fra IS ».

  • مستشار الملك المغربي ينفي رفع محمد السادس شعارا مؤيدا لتميم | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=778789


    Toujours ces maudits #clichés_arabes, même si celui-ci sent un peu le photoshop. Gros émoi parce que le roi du Maroc, en visite au Qatar, aurait brandi une écharpe de soutien à l’émir par encore emprisonné par les Saoudiens même si ça les démange... L’intéressé dément.

    #nuit_torride (ça commence à faire un bail mais les Qataris viennent d’expliquer qu’ils ne s’en portent que mieux.)

  • À lire un extrait de « Faites place : novices en lutte », de Sélim Smaoui – CONTRETEMPS
    http://www.contretemps.eu/faites-place-selim-smaoui

    C’est ainsi que d’un côté, #Nuit_Debout fut disqualifié. Outre les appels explicites à déloger les participants au nom de l’état d’urgence et les commentaires regrettant que les «  lieux publics  » soient «  privatisés  », l’évènement était dénigré par bien des commentateurs autorisés. Cette défiance empruntait les voies détournées de la dépréciation sociale. Tout comme lors des #occupations des places espagnoles en 2011 où, pensant effrayer l’opinion en agitant la menace d’un rassemblement de «  punks à chiens  » (perroflautas), d’aucuns se répandirent en railleries pour stigmatiser les look vestimentaires, Nuit Debout n’assemblait selon ses détracteurs qu’un amas d’«  oisifs  » et de «  gauchistes petit-bourgeois  ». Ce dédain caricatural n’exprimait rien d’autre qu’un procès en compétence et en #légitimité politiques. Les gesticulations anecdotiques de ces assistés, flâneurs et autres traînards sans foi ni loi, qui vivraient hors du «  réel  » et qui osaient parler politique par-dessus le marché, ne valaient pas une heure de peine, disaient-ils. Ces «  bobos  » ne faisaient d’ailleurs que singer Mai 68, persistaient-ils en se désolant de voir ainsi flétrie la mémoire d’une lutte dont ils étaient devenus étonnamment les nouveaux gardiens. Ce désaveu quasi-machinal se doublait de la traque du moindre signe d’un «  essoufflement  ». Toujours à l’affût des fausses notes, se tenant fins prêts à «  condamner  » tel ou tel évènement, ces arbitres des élégances annonçaient l’«  échec  » du #mouvement à intervalles réguliers. Sans que jamais les critères d’une telle débâcle soient sérieusement définis, cette sentence était toujours assénée avec diligence, à tel point que l’on aurait cru que cet «  échec  » signât une victoire pour certains. Il y avait lieu de se demander d’ailleurs si un tel empressement à siffler la fin de la partie n’était pas pour entraîner cette seule satisfaction. Quoi qu’il en soit, ce n’était certainement pas à partir de ces analyses à l’emporte-pièce, hors sols et fort attendues, que pouvait s’apprécier de quoi il retournait sur la Place.

    #contestation #analyse #livre

  • « Soft power » : jusqu’où ira le #Qatar en France ?
    http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/soft-power-jusqu-ou-ira-le-qatar-en-france-756122.html

    L’argent étranger a toujours joué un rôle dans la conduite dans les affaires françaises. Les Qataris l’ont bien compris ! Par Bruno Alomar, économiste, ancien auditeur de la 68e session de l’IHEDN

    Au niveau français également. À cet égard, comment ne pas s’interroger sur l’influence si exagérée qu’elle en est devenue un objet de controverse lors de l’élection présidentielle d’un pays comme le Qatar ? Ce petit pays du Moyen-Orient a en effet développé une politique de soft power extrêmement poussée au cours des vingt dernières années. La pénétration européenne a commencé avec Al Jazeera au Royaume-Uni dans les années 1990 dans une stratégie média ciblant les pays anglophones. Puis, dans les années 2000, le Qatar s’est tourné vers la France, en partie pour toucher les pays africains francophones. Il a ensuite commencé à grignoter des parts dans le sport (football, équitation, handball, avec le PSG comme navire amiral) et investi dans les groupes médias français (Lagardère, dont il possède via Qatar Holding 13% du capital, et qui détient une participation dans EADS), l’hôtellerie de luxe, etc. Côté financier, le fonds souverain QIA a pris des parts dans des entreprises françaises stratégiques comme Total.

    Le résultat doit interroger : le Qatar, pays vis-à-vis duquel la France n’est pas dépendante (le gaz qatari représente moins de 3% du mix gazier français) et avec lequel elle a peu de relations stratégiques, puisque le pays de la région qui lui sert de base arrière est les Émirats Arabes Unis, a acquis une place démesurée en termes d’influence. Cette influence ne se limite pas à un entrisme systématique auprès de quantités de décideurs politiques français, d’aujourd’hui ou de demain, éminemment malsain. Elle a acquis une influence délétère à travers une stratégie de pénétration déterminée des banlieues françaises, frappées part un chômage de masse chez les jeunes, que le Qatar utilise comme levier d’Archimède pour y faire prospérer une vision néo wahhabite de l’Islam en contradiction majeure avec les principes autour desquels s’est construite la laïcité à la française.

    Ça ressemble bien au début d’une offensive de la part de la partie opposée de la #nuit_torride.

    Question : l’Arabie séoudite, c’est bien un Islam (pas néo) wahhabite qu’elle promeut ?

  • Selon "des sources occidentales haut placées", les USA se seraient très fermement opposées, en septembre, à un projet saoudien d’invasion militaire du Qatar (avec le soutien de la bande des quatre et de mercenaires). Parmi les motifs avancés, le fait qu’on n’intervient pas ainsi dans un pays où les USA ont une base militaire (!) et aussi le fait que cela ferait trop penser à l’invasion du Koweït par l’Irak de Saddam HUssein (!!)
    البنتاغون نَبّه بلُغةٍ صارمة السعوديّة : مُهاجمة قطر عَسكريًّا هو إذلال للولايات المتحدة والتّشويش على مُكافحة الإرهاب في الشّرق الأوسط.. قاعدة “العيديد” هي الضّمانة.. ومَصيرها لم يتقرّر بَعد | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=769702

    #nuit_torride

  • « Surtout ne pas trahir les siens et prendre l’argent de l’ennemi » : rencontre avec deux jeunes de 18 ans, #habitants et #militants du #93.
    http://www.platenqmil.com/blog/2017/10/23/surtout-ne-pas-trahir-les-siennes-et-prendre-largent-de-lennemi---rencon

    I : Les gens à #Nuit_Debout étaient sincères dans leurs convictions, mais en voulant bien faire ils ont exclu des gens. Nous on connaît des gens impliqués dans les réseaux, mais un jeune de #Bobigny, de #Drancy qui voulait y aller, il ne pouvait pas… D’ailleurs il n’y avait jamais de noirs ou d’arabes parmi les intervenants. Et il y a le fait que ce soit au milieu de Paris : nous on met 40 minutes à y aller, et on a de la chance, quand t’habites dans le 91 tu mets 1h30…

    "On considère que les #banlieues c’est des cités-dortoirs…

    …ouais, que les gens ils travaillent, ils rentrent, ils mangent, ils dorment. Alors que pas du tout, il y a une vraie vie dans Bobigny, culturelle, il y a beaucoup de jeunes qui ont créé leur association, qui organisent des spectacles de danse et qui ont un incroyable talent. Ça bouge, il y a des concerts, il y a une nouvelle génération de rappeurs qui est en train de monter… Faudrait juste qu’on ait des moyens, si on avait des moyens, comme un théâtre dans Paris, on ferait des trucs de fou. Il y a des théâtres à Bobigny qui font des spectacles que personne n’a envie de voir, ils veulent ramener les parisiens, mais les habitants de Bobigny n’y vont pas. Au lieu de vouloir attirer des gens qui ont déjà huit théâtres dans leur rue, ils pourraient faire des trucs pour nous un peu !

    Pour les plus petits il y a rien du tout, pour les jeunes il y a rien et les adultes soit ils partent de Bobigny soit ils restent et rebelote, leurs enfants vont vivre la même chose."

  • La médiation koweïtienne dans la #nuit_torride : "Il faut que nous ayons conscience des dangers d’une escalade, avec ce que cela implique comme conséquences régionales et nationales, dangereuses pour le Golfe et ses habitants."

    أمير الكويت يحذر من تصعيد محتمل “بالغ الضرر” في الأزمة مع قطر قد تؤدي الى تدخلات “اقليمية ودولية” تلحق اضرارا “مدمرة” بأمن الخليج (فيديو) | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=766073

    ويحب أن نكون على وعي كامل بمخاطر التصعيد بما يعنيه ذلك من تداعيات إقليمية ودولية تعود بالضرر على الخليج وشعوبه

  • #Nuit_debout, ce qu’il en reste
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/221017/nuit-debout-ce-qu-il-en-reste

    Au printemps 2016, la place de la République, à Paris, a été longuement occupée, en pleine contestation de la loi El Khomri. Dix-huit mois plus tard, un documentaire, L’Assemblée, et un livre, Faites place !, reviennent sur l’expérience concrète vécue par les centaines de militants, novices pour nombre d’entre eux, qui ont participé au mouvement. On est loin du constat d’échec facilement tiré par des observateurs trop éloignés.

    #Culture-Idées #loi_sur_le_travail #manifestations #occupation_de_place

  • Qatar burns $38 billion in reserves as Gulf boycott bites - Sep. 14, 2017
    http://money.cnn.com/2017/09/14/news/economy/qatar-isolation-economy-reserves/index.html

    Three months after it was cast into unprecedented isolation by its neighbors, Qatar is counting the economic cost.

    The gas-rich nation burned through $38.5 billion of its vast financial reserves in June and July, ratings agency Moody’s estimated this week. And there’s no sign of the dispute being resolved any time soon.

    “In the short term, we expect tensions to persist, quite possibly to escalate,” Moody’s said in a report on Wednesday. “The severity of the dispute is unprecedented.”

    #nuit_torride