Ryan Heath sur Twitter : “#Covid #vaccination and death rate in #Europe - in one devastating chart” / Twitter
▻https://twitter.com/PoliticoRyan/status/1463136471213346829
À la curieuse exception de la Slovaquie
Ryan Heath sur Twitter : “#Covid #vaccination and death rate in #Europe - in one devastating chart” / Twitter
▻https://twitter.com/PoliticoRyan/status/1463136471213346829
À la curieuse exception de la Slovaquie
Aucune ville épargnée
Si on observe un ralentissement depuis 2015, les #villes de toutes tailles continuent à autoriser la #construction ou l’#extension de #surfaces_commerciales en #périphérie, en dépit des discours officiels qui ne jurent que par la « #redynamisation des #centres-villes ».
#supermarchés #France #cartographie #statistiques #données #hypermarchés #commerces #visualisation
Hypermarchés, la chute de l’empire
Menacés par les géants du numérique et de nouveaux usages, les acteurs historiques de la grande distribution luttent sans merci pour assurer la pérennité de leur modèle. Une enquête fouillée, menée par le journaliste d’investigation Rémi Delescluse.
Le modèle de l’hypermarché a-t-il fait son temps ? Ce concept révolutionnaire du « tout sous le même toit », popularisé en 1963 par Carrefour, a conquis le monde entier. Aujourd’hui pourtant, le pionnier français, comme ses concurrents, a un genou à terre. En cause notamment, la crise du gigantisme, associé à une déshumanisation du commerce et à la surconsommation, pointée du doigt à l’heure des grands défis écologiques. Selon les experts, la toute-puissance de certains groupes serait menacée d’ici dix ans. Désormais, tout le secteur cherche à sauver ce qui peut l’être, quitte à verser dans des pratiques à la limite de la légalité. Pour obtenir des prix toujours plus bas, sans lesquels elles seraient désertées, les grandes enseignes mettent les fournisseurs sous pression au cours de renégociations annuelles réputées difficiles : entretiens dans des box minuscules à la température trafiquée, chaises bancales sabotées pour l’inconfort, discriminations sexistes, violence verbale... Comme le formule le directeur d’un grand groupe, dont les propos sont rapportés dans le documentaire, « ce qui est important, c’est de briser les jambes des fournisseurs. Une fois au sol, on commence à négocier ». Sans compter les contrats qui gardent captifs les franchisés ou les nouvelles alliances européennes de centrales d’achats, particulièrement opaques, qui facturent aux fournisseurs des services qualifiés par certains de « fictifs ».
La loi du plus fort
La peur de disparaître pousse les grandes enseignes à toujours plus d’agressivité. Dans leur ligne de mire, les plates-formes d’e-commerce, qui pourraient bientôt précipiter leur ruine. Trois ans à peine après avoir racheté pour 13 milliards de dollars Whole Foods, Amazon a déjà lancé sa propre enseigne, Amazon Fresh : des magasins dans lesquels les Caddies connectés améliorent l’expérience de clients fidélisés par abonnement et dont les moindres données sont collectées. Plongeant au cœur des sombres pratiques de la grande distribution, le documentaire de Rémi Delescluse propose un état des lieux mondial du secteur, soumis à la loi du plus fort, et s’interroge sur son futur. Certains prédisent la domination prochaine des nouveaux venus, de l’approvisionnement à la distribution, comme c’est le cas en Chine. En France, Amazon détient déjà 10 % du marché des produits de grande consommation…
►https://www.arte.tv/fr/videos/095178-000-A/hypermarches-la-chute-de-l-empire
signalé ici aussi:
▻https://seenthis.net/messages/933247
À Verrières-en-Anjou, juste à la sortie d’Angers, les plateformes logistiques poussent comme des champignons en automne. Et ce n’est pas fini. Après la plateforme géante d’Action et celle d’InVivo (Jardiland, Gamm Vert, Delbard…), à qui le tour ?
Afin de répondre aux demandes des entreprises, et pas seulement celles de logistique, Angers Loire Métropole a besoin de très grands terrains. Pour créer un nouveau parc d’activités, l’Agglomération a jeté son dévolu sur ceux qui se trouvent au sud de Saint-Sylvain-d’Anjou, dans un triangle dessiné par l’autoroute A 11 et les départementales 323 et 115. Son nom : « Nouvelle Océane ».
Le périmètre d’étude porte sur 125 ha, mais le chiffre définitif, qui sera connu l’an prochain, devrait passer sous la barre des 100 ha.
Ça fait encore beaucoup. Plusieurs agriculteurs et habitants qui travaillent et vivent dans ce périmètre sont très directement concernés par la concertation préalable qui a débuté, et au terme de laquelle sera défini le périmètre précis de la zone d’aménagement concerté. Des terres agricoles et des maisons sont en effet condamnées à disparaître.
Plusieurs projets « sous compromis »
Une première permanence est prévue le mardi 23 novembre de 15 heures à 18 heures à la mairie de Verrières. Des techniciens d’Alter Public, l’entreprise publique locale chargée de mener à bien le projet, seront présents...
Près d’Angers. Près de 100 hectares pris à l’agriculture pour accueillir des entreprises
▻https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/pres-d-angers-pres-de-100-ha-pris-a-l-agriculture-pour-accueillir-des-e #paywall
Drôle de news | Bébés de réfugiées… En vol direct vers la Suisse ?
On s’est pincées pour y croire ! Difficile de faire plus explicite en termes d’image faussée de la réalité que la carte présentant les demandes d’asile du mois d’août 2021 publiée par le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) sur son compte Twitter (▻https://twitter.com/SEMIGRATION/status/1438424510324150272) et affichée en accueil de son site web. La carte figure par de grosses flèches rouges les arrivées en Suisse en provenance de cinq pays : Afghanistan, Turquie, Érythrée, Syrie et Algérie. Et chiffre le nombre de demandes d’asile.
https://i.imgur.com/mv5xM3n.png https://mlcmv4wmqpkf.i.optimole.com/eWcI4mc.vvwy~5d90d/w:1620/h:900/q:auto/https://asile.ch/wp-content/uploads/2021/11/Carte-statistiques-SEM-aou%CC%82t-2021jpeg-1.jpeg Or, celles et ceux qui lisent Vivre Ensemble savent désormais que parmi ces demandes sont incluses les naissances d’enfants de réfugiées ou demandeuses d’asile déjà en Suisse, certaines depuis des années… Dès lors, les représenter par une flèche laisse plus que perplexe ! D’autant plus si l’on se décide à consulter les données en question : au lieu des 227 « arrivées » d’Érythrée, il n’y en a que 38, et les 100 « arrivées » de Syrie se réduisent à… 41. Même en ajoutant les regroupements familiaux (resp. 14 et 4), on est très, très loin du compte.
Bref, nous avons fait part de notre étonnement au SEM. Qui a reconnu l’inadéquation de l’illustration et promis dès le mois prochain « une carte faisant la distinction entre les demandes primaires et les demandes secondaires [#naissances, #regroupements_familiaux et #demandes_multiples] ». Réaction plutôt bienvenue. De là à supprimer ses tweets litigieux… Au moment où nous publions ce billet, le SEM n’avait pas franchi le pas.
▻https://asile.ch/2021/11/08/drole-de-news-bebes-de-refugiees-vol-direct
#enfants #naissances #asile #migrations #réfugiés #Suisse #statistiques #chiffres #visualisation #cartographie #manipulation
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voir aussi :
Décryptage | Les bébés de réfugié-e-s gonflent les statistiques des demandes d’asile
►https://asile.ch/2020/06/29/decryptage-les-bebes-de-refugie-e-s-gonflent-les-statistiques-des-demandes-das
Visualisation de données dans la jeune Union soviétique
▻https://visionscarto.net/visualisation-de-donnees-urss
La Collection Merrill C. Berman vient d’ouvrir une exposition en ligne intitulée “Visualization of Data in the Soviet Union : Informational Posters and Pictorial Statistics of the 1920s and 1930s” (Visualisation de données dans l’Union soviétique : posters d’information et statistiques pictoriales dans les années 1920 et 1930). La collection ouvre par cette citation de V. I. Lénine de 1918 : Dans la société capitaliste, la statistique était le domaine de compétence exclusive des « fonctionnaires » ou (...) #Inspirations
#union_soviétique #URSS #visualisation #visualisation_des_données
De véritables photos de croisières afin d’y réfléchir à deux fois avant de réserver ses vacances !
▻https://tops.easyvoyage.com/photos-croisieres/4
Avez-vous déjà fait une croisière ? Cela peut certainement être très amusant. Et ces dernières années, les bateaux de croisière ont beaucoup à offrir aux gens qui choisissent de passer leurs vacances sur l’eau. Ce n’est plus seulement une piscine sur le pont, mais il y a des #restaurants, des #cinémas, des #spectacles et des #concerts, et beaucoup d’activités à bord.
Mais parfois, la publicité peut être un peu fausse. Bien sûr, certains bateaux sont énormes et luxueux au-delà des rêves les plus fous, mais d’autres peuvent être plus petits, et beaucoup moins glamour que annoncé. S’il y a une chose que les gens qui ont fait des croisières savent, c’est que parfois les attentes ne sont pas tout à fait à la hauteur de nos espérances. Avant de partir en croisière, regardez ces photos et assurez-vous de choisir le bon type de bateau.
#Croisières #imaginaire #rêve #réalité #fantasme #images #bateaux #luxe #tourisme #visualisation #croisiere #visualisation #représentation #publicité #humour
Croisières : Embarquement – ce que nous imaginons
Quand nous aurons clôturer notre valise avec tous nos vêtements, nos appareils électroniques, et à peu près tout ce que vous pouvez avoir besoin pour un voyage fou comme celui-ci, la première chose que nous devons faire est d’attendre dans la file d’attente pour pouvoir monter sur le bateau de croisière. Comme vous pouvez le voir ici, les sourires sur les visages de ces jeunes femmes laissent entendre que chaque moment d’embarquement est simplement pêche et crème. Mais pour ceux d’entre vous qui songent à partir en croisière, nous vous recommandons de ne pas faire confiance à l’image que vous voyez devant vous, parce que monter à bord d’un bateau de croisière n’est pas toujours amusant.
▻https://tops.easyvoyage.com/wp-content/uploads/3/2019/04/1b-boarding-1.jpg
Croisières : Embarquement à bord du navire – comment c’est vraiment
C’est le jour et de nuit, non ? Lorsque vous considérez la dernière image que vous avez vue et que vous la comparez à ce que vous constatez maintenant, vous pourriez être choqué de la réalité. Comme vous pouvez le voir ici, monter à bord du bateau de croisière n’est pas toujours une expérience si agréable. N’oubliez pas, vous devez embarquer avec des centaines d’autres personnes, et cela signifie que vous devez faire la queue. La patience est vraiment une vertu dans ces types de scénarios, et bien que se tenir en ligne n’est pas la pire chose que vous pouvez faire !
▻https://tops.easyvoyage.com/wp-content/uploads/3/2019/04/2a-boarding-2.jpg
Bordeaux, Anglet, Nice… À quoi pourraient ressembler les villes avec la montée des eaux ?
▻https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/anglet/bordeaux-anglet-nice-a-quoi-pourraient-ressembler-les-villes-avec-la-montee
À quelques jours de la COP 26, des scientifiques tirent la sonnette d’alarme. À cause du réchauffement climatique, la montée des eaux va se poursuivre pendant plusieurs siècles
Même si l’humanité parvient à limiter le réchauffement à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle, le niveau des mers va monter pendant des siècles, inondant des villes actuellement habitées par un demi-milliard de personnes. C’est la mise en garde faite par plusieurs scientifiques ce mardi.
Si la planète se réchauffe d’un demi-degré de plus, ce sont 200 millions de citadins supplémentaires qui seront ainsi régulièrement affectés par des inondations et rendus plus vulnérables lors des tempêtes, ont-ils écrit dans la revue “Environmental Research Letters”.
On visualise sur différentes villes notamment Bordeaux, Anglet, Nice, la montée des eaux avec différents °C de réchauffement global.
Et ça semble venir de ce site :
▻https://picturing-our-future.netlify.app
Par exemple pour Bordeaux :
▻https://picturing-our-future.netlify.app/location/44.837866,-0.577713
J’ai choisi une ville à 300 m d’altitude minimum…
Un autre reportage sur le sujet ▻https://seenthis.net/messages/934345
Vivre avec moins de 5 dinars par jour, cartographie de la pauvreté en Tunisie
Dans plusieurs délégations du gouvernorat de Kasserine, un·e habitant·e sur deux vit sous le seuil de pauvreté. À El Menzah, banlieue huppée de Tunis, sur un groupe de 500 individus, seule une personne est considérée comme pauvre.
Comment expliquer de tels écarts ? Pour comprendre, inkyfada a analysé et cartographié les données de la pauvreté en Tunisie. À travers ces chiffres, il est possible d’établir une répartition des #inégalités au sein de la population.
Ces inégalités peuvent être causées par d’autres indicateurs, comme le #chômage, le #niveau_éducatif ou encore l’#accès_aux_services_publics. Inkyfada a ainsi dégagé des corrélations significatives en comparant les différentes données.
►https://inkyfada.com/fr/2021/08/18/vivre-moins-5-dinars-jours-carte-pauvrete-tunisie
#pauvreté #Tunisie #cartographie #visualisation #statistiques #chiffes
via @fl
ping @_kg_
Mapping Amazon. Where the Online Giant Locates Its Warehouses and Why
Visualisation : Cities and civil society networks for a Welcoming Europe
The network map visualizes relevant networks of municipalities and civil society actors working closely with cities engaged in the effort of welcoming people seeking sanctuary in Europe, working on local-transnational relocation mechanisms and related topics of migration, integration, and asylum.
The goal of this digital interactive mapping tool is not only to make these networks visible and accessible to actors from civil society, municipalities, researchers, and activists. The map can also be used as a tool to identify and connect relevant actors and to build strategic partnerships between networks of cities, municipalities and civil society all over Europe. We believe that strengthening relationships between these actors contributes to build more political pressure points to change the current European politics towards a human right based migration policy with cities and civil society at its centre.
At the same time, the visualisation tool wants to show to policy makers that many European actors are willing to see change and are already actively working for a welcoming Europe.
▻https://graphcommons.com/graphs/36b68722-0427-45e1-867b-f03f3475f92b?sel=75dd1277-3219-423a-97b6-40a30
#cartographie #visualisation #villes-refuge #asile #migrations #réfugiés #Europe #réseau #réseaux #solidarité
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ajouté à la métaliste sur les villes-refuge :
►https://seenthis.net/messages/759145
ping @karine4 @visionscarto
Atlas of the Invisible: using data to map the climate crisis | Climate crisis | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/environment/2021/sep/01/atlas-of-the-invisible-using-data-reveal-climate-crisis
In a new book, Atlas of the Invisible, the geographer James Cheshire and designer Oliver Uberti redefine what an atlas can be. The following eight graphics reveal some of the causes and consequences of the climate crisis that are hard to detect with the naked eye but become clear when the data is collected and visualised.
Atlas of the Invisible
Maps & Graphics That Will Change How You See the World
James Cheshire Oliver Uberti
▻https://www.penguin.co.uk/books/307/307265/atlas-of-the-invisible/9781846149719.html
▻https://i.guim.co.uk/img/media/3967c43f78bb0d2f2d0d425ccb7b1a20c198e264/0_0_1920_1280/master/1920.jpg?width=940&quality=85&auto=format&fit=max&s=00cfc5ef3ba5ed3e0a64e9
When we look up into a blue sky and see a white plume trailing a silver plane, air travel can seem harmless, even pretty. A darker truth is emerging. Choosing to fly is one of the most carbon-intensive choices an individual can make. This map depicts a week’s worth of flights over Europe. A return flight from London to Istanbul emits more CO2 than the average citizen in many countries will in a year – and that is not counting the doubling effect of contrails.
Dal 2008 a oggi, i paesi europei hanno valutato 600.000 richieste d’asilo da parte di afghani.
Ne hanno rifiutate 290.000, rimpatriando oltre 70.000 persone (di cui 15-20.000 donne).
Nel mare di ipocrisia, per una volta l’Italia svetta in positivo.
Questo significa che su 290.000 afghani che non hanno ricevuto protezione, 220.000 sono ancora in Europa.
Ora i governi dovrebbero impegnarsi per proteggerli tutti. Sospendendo i rimpatri sine die, ma soprattutto concedendo permessi umanitari a chi oggi è irregolare.
▻https://twitter.com/emmevilla/status/1427159238892216322
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Tra il 2008 e il 2020 abbiamo rimpatriato più di 70.000 afghani.
▻https://twitter.com/emmevilla/status/1426924703105564679
#renvois #expulsions
#statistiques #chiffres #réfugiés_afghans #Europe #asile #migrations #réfugiés #Matteo_Villa #graphique #visualisation #demandes_d'asile
10 maps to understand #Afghanistan
Al Jazeera visualises Afghanistan – a mostly mountainous country of 38 million people – which has suffered decades of war.
▻https://www.aljazeera.com/news/2021/8/12/10-maps-to-understand-afghanistan-interactive
#cartographie #cartes #Afghanistan #visualisation #cartographie
#IDPs #déplacés_internes #réfugiés #réfugiés_afghans #talibans #opium #pauvreté #alphabétisation #illettrisme
ping @visionscarto
Mosaïque ethno-linguistique en Afghanistan au milieu des années 1990
▻https://visionscarto.net/afghanistan-ethno-linguistique
Titre : Mosaïque ethno-linguistique en Afghanistan au début des années 2000 Mots-clés : #guerre #conflits #afghanistan #talibans #islamisme Contexte : Atlas du Monde diplomatique, 2003, page 168 et 169 Source : - Auteur : Philippe Rekacewicz Date : 1996 et 2003 #Musée_et_archives
Fiefs et seigneuries en Afghanistan, 2003
▻https://visionscarto.net/Afghanistan-Fiefs-et-seigneuries
Titre : Fiefs et seigneuries en Afghanistan, 2003 Mots-clés : #guerre #conflits #afghanistan #talibans #islamisme Contexte : Atlas du Monde diplomatique, 2003, page 168 et 169 Source : - Auteur : Philippe Rekacewicz Date : 2003 #Musée_et_archives
Conquête de l’Afghanistan par les talibans, 1994-1998
▻https://visionscarto.net/afghanistan-talibans-1994-1998
Titre : Conquête de l’Afghanistan par les talibans, 1994-1998 Mots-clés : #guerre #conflits #afghanistan #talibans #islamisme Contexte : Atlas du Monde diplomatique 2003, page 168 et 169 Source : - Auteur : Philippe Rekacewicz Date : 1999, 2002 et 2003 #Musée_et_archives
Habitability map of Australia, 1946.
#extractivisme #useless #Australie #colonisation #colonialisme #exploitation #cartographie #visualisation #cartographie_historique #habitabilité #géographie_du_plein #géographie_du_vide
#ressources_pédagogiques
États-Unis - #Détroit : une « #Shrinking_city », entre #crise_automobile, #ségrégation et #évitement
Ville de 670 000 habitants dans une grande région métropolitaine de 6,3 millions d’habitants, Détroit fut le berceau de l’industrie automobile. Cette Motor City des Grands Lacs dominée par les Big Three - Ford, General Motors et Chrysler - traverse depuis les années 1970 une crise systémique, à la fois économique, industrielle, sociale et urbaine. Les processus de hiérarchisation, de ségrégation fonctionnelle et raciale et d’évitement ont débouché sur un effondrement de sa population, de son tissu productif et de son cadre urbain, la transformant en une icône des « Shrinking Cities ». Face à l’abandon de dizaines de milliers de pavillons sur 65 % de son territoire communal, les destructions massives ont créé un espace-mosaïque singulier alors que l’initiative privée réinvestit quelques sites privilégiés (CBD, Midtown, rives fluviales). Pour autant, la crise de la ville-centre alimente des dynamiques centrifuges bénéficiant largement à son espace régional, de plus en plus multipolaire. Replacer Détroit par emboitements d’échelles dans sa grande région permet alors d’éclairer les dynamiques urbaines, dont l’urban sprawl, d’une large partie des territoires métropolitains des États-Unis.
Refugee journeys during 2020
Africa accounts for more than one-third of the world’s displaced people. By the end of 2020, at least 30.6 million people were displaced across the continent.
In 2020, nearly 60,000 refugees fled from Ethiopia to neighbouring countries following violence in several parts of the East African country. In November 2020, fighting broke out in Ethiopia’s northern Tigray region displacing more than one million people according to the International Organization for Migration.
In the Middle East, Syrian refugees continued to flee their country’s 10-year-long war, with nearly 134,000 recorded to have left in 2020. Half of them (65,000) fled to neighbouring Turkey, which now hosts the world’s largest refugee community – 3.7 million people. That same year, nearly a quarter of Syrian refugees (32,500) reached Germany.
In Latin America, nearly 400,000 refugees fled Venezuela following a political and economic crisis in the country. Of these, 139,000 were recorded fleeing to Peru, 80,000 to the Dominican Republic and 60,000 to Brazil.
In Asia, the UN recorded at least 29,000 refugees from Myanmar. Nearly all of these refugees arrived in neighbouring India (17,000) and Bangladesh (12,000).
In Europe, at least 89,000 refugees fled from Azerbaijan to Armenia following 44 days of fighting that broke out between Armenian and Azerbaijani forces in the disputed territory of Nagorno-Karabakh.
Across the Atlantic, during 2020, the United States received 8,500 refugees from 20 countries. Nearly half of these refugees came from only three countries: Venezuela (1,600), El Salvador (1,200), and Guatemala (1,100). This is significantly lower than in 2019 when the country received 32,000 refugees.
Canada received 7,500 refugees from 21 countries in 2020. The top countries of origin were Nigeria (1,400), Iran (1,200) and Hungary (629). On the other side of the globe, Australia received only 956 refugees in 2020 – mostly from Iran.
The plight of Palestinian refugees is the longest unresolved refugee problem in the world. On May 14, 1948, the British Mandate for Palestine expired, triggering the first Arab-Israeli war. Zionist militias expelled at least 750,000 Palestinians. According to figures compiled by UNHCR, by 1952 the number of Palestinian refugees was 867,000. Today, that figure is 5.7 million.
Afghanistan has been ravaged by four decades of war. From 1979 to 1989, the country was a stage for one of the Cold War’s last battles as Soviet troops fought a bloody guerrilla war against the Afghan mujahideen. For the next decade, the county struggled on. Just 12 years after the Soviet withdrawal, Afghanistan would find itself invaded again, this time by the US. The highest number of Afghan refugees was recorded in 1990 where 6.3 million refugees were reported.
▻https://www.aljazeera.com/news/2021/6/20/infographic-world-refugee-day-journey
#statistiques #chiffres #cartographie #visualisation #time-line #timeline
#réfugiés #asile #migrations #histoire #réfugiés_palestiniens #réfugiés_afghans #réfugiés_syriens
ping @reka @visionscarto @karine4 @isskein
China’s railway construction plans in Africa
source :
中国在非洲建设的主要铁路项目
▻http://www.travacocro.com/news_view.aspx?TypeId=28&Id=442&FId=t2:28:2
La carte apparaît aussi dans ce média russe :
▻https://lenta.ru/articles/2021/04/29/on_debys_death
via Samuel Ramani sur twitter :
▻https://twitter.com/SamRamani2/status/1406795245875085315
#train #transport_ferroviaire #Chine #Afrique #Chinafrique #cartographie #visualisation
ping @reka @visionscarto
Fields Medals Are Concentrated in Mathematical ’Families’ - Scientific American
▻https://www.scientificamerican.com/article/fields-medals-are-concentrated-in-mathematical-families
#visualisation de Shirley Wu
Le Conseil d’Etat juge illégal le recours à la « technique des nasses » par les forces de l’ordre lors des manifestations
▻https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2021/06/10/le-conseil-d-etat-juge-illegal-le-recours-a-la-technique-des-nasses-par-les-
Le Conseil d’Etat a annulé, jeudi 10 juin, quatre dispositions phares du schéma national de maintien de l’ordre sur lequel il avait été saisi par plusieurs syndicats et associations. Parmi elles, la très sensible « technique des nasses », utilisées pour encercler des groupes de manifestants. —« Si cette technique peut s’avérer nécessaire dans certaines circonstances précises, elle est susceptible d’affecter significativement la liberté de manifester et de porter atteinte à la liberté d’aller et venir »—, note le Conseil d’Etat dans son communiqué. « Le Conseil d’Etat annule ce point car rien ne garantit que son utilisation soit adaptée, nécessaire et proportionnée aux circonstances », est-il précisé dans le communiqué.
[...]
S’agissant de la presse, l’instance considère que les journalistes « n’ont pas à quitter les lieux lorsqu’un attroupement est dispersé » et qu’ils n’ont pas « l’obligation d’obéir aux ordres de dispersion » des forces de l’ordre. « Les journalistes doivent pouvoir continuer d’exercer librement leur mission d’information, même lors de la dispersion d’un attroupement. »
(...) Concernant la technique de la « nasse », dite de « l’encerclement », le ministère a estimé que le Conseil ne l’interdisait pas mais demandait « que les conditions d’emploi soient précisées ». « Le gouvernement va s’y employer », affirme le ministère.
(...) A Beauvau, on a relevé que la juridiction administrative précisait en outre que les journalistes « ne devaient pas faire obstacle aux forces de l’ordre ».
Le communiqué et la décision :
▻https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/manaeuvre-d-encerclement-accreditation-des-journalistes-le-conseil-d-et
super « l’interprétation du ministère » qui fait sa sauce sur des points
A (re)voir ce billet et ces #visualisations publié sur @visionscarto :
►https://visionscarto.net/dans-la-nasse
#nasse #technique_des_nasses #nasses #France #visualisation #cartographie #violences_policières
Maintien de l’ordre : le désaveu politique du Conseil d’Etat
▻https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2021/06/11/le-conseil-d-etat-annule-quatre-dispositions-du-schema-national-du-maintien-
Quatre dispositions du schéma national du maintien de l’ordre ont été annulées par la juridiction. Parmi celles-ci, la pratique de la « nasse », qui consiste à encercler les manifestants, a été jugée jeudi illégale car insuffisamment précise.
C’est un camouflet pour le ministère de l’intérieur. Dans une décision rendue publique, jeudi 10 juin, le Conseil d’Etat a annulé quatre dispositions majeures du schéma national du maintien de l’ordre (SNMO), la « bible » des forces de sécurité en matière de gestion des manifestations. La réflexion autour de cette nouvelle doctrine, lancée en juin 2019 par Christophe Castaner, alors ministre de l’intérieur, avait été parachevée quinze mois plus tard – avec une année de retard sur le calendrier prévu – le 16 septembre 2020, à l’occasion de la publication d’un document de 29 pages.
Le texte, aux dires des associations, avait été formalisé « sans réelle concertation ni transparence » dans le but de doter police et gendarmerie de règles d’action communes après des mois d’affrontements avec les « gilets jaunes ». Dès sa parution, il avait été critiqué, notamment en raison de la consécration du recours à des services non spécialisés – brigades anticriminalité, brigades de recherche et d’intervention ou de répression de l’action violente – dans les opérations de maintien de l’ordre, ou de la confirmation d’usage des grenades de désencerclement et des lanceurs de balles de défense (LBD) à l’origine de dizaines de mutilations et de blessures graves, essentiellement entre 2018 et 2019.
Lire aussi Le ministère de l’intérieur dévoile la nouvelle doctrine du maintien de l’ordre
Défense de la liberté d’informer
Les plus vives dénonciations, portées par une quarantaine d’associations dont la Ligue des droits de l’homme (LDH), le Syndicat de la magistrature (SM) ou le Syndicat national des journalistes (SNJ), visaient également des pratiques considérées comme gravement attentatoires aux libertés publiques, parmi lesquelles celle de la « nasse », consistant à encercler des protestataires un temps indéfini, et dont l’usage était devenu quasi systématique en cas de manifestation d’ampleur. Si le SNMO validait son recours « utile, sur le temps juste nécessaire (…) aux fins de contrôle, d’interpellation ou de prévention d’une poursuite des troubles », le Conseil d’Etat a purement et simplement annulé cette disposition en considérant qu’elle n’encadrait pas de manière suffisamment précise les cas dans lesquels il était possible de mettre en œuvre cette technique.
C’est cependant en matière de défense de la liberté d’informer que la juridiction suprême de l’ordre administratif s’est montrée la plus incisive en rappelant son caractère essentiel à la vie démocratique « en ce qu’elle permet de rendre compte des idées et opinions exprimées et du caractère de cette expression collective ainsi que, le cas échéant, de l’intervention des autorités publiques et des forces de l’ordre ». Et en annulant trois mesures emblématiques relatives au travail des journalistes lors des manifestations.
Le SNMO prévoyait ainsi que le port d’équipements de sécurité par des reporters soit assorti d’éléments d’identification et n’induise aucune « infraction ou provocation ». Cette obligation aux termes « ambigus et imprécis » ne relève pas, a estimé le Conseil d’Etat, de la compétence du ministre de l’intérieur, auquel il n’appartient pas davantage « d’édicter ce type de règles à l’attention des journalistes comme de toute personne participant ou assistant à une manifestation » .
Idem en matière d’obligation faite aux journalistes de quitter les lieux d’une manifestation après un ordre de dispersion. Balayant cette injonction, le Conseil d’Etat a jugé la mesure entachée d’illégalité. Aussi, pour « rendre compte des événements qui s’y produisent », les journalistes peuvent-ils « continuer d’exercer librement leur mission lors de la dispersion d’un attroupement sans être tenus de quitter les lieux, dès lors qu’ils se placent de telle sorte qu’ils ne puissent être confondus avec les manifestants et ne fassent obstacle à l’action des forces de l’ordre ».
Enfin, en réservant aux seuls journalistes « accrédités auprès des autorités » un droit d’accès au canal d’informations dédié des forces de l’ordre lors de manifestations, sans autre forme de précision, le SNMO aurait porté « une atteinte disproportionnée à la liberté de la presse et à la liberté de communication ». La disposition a également été annulée.
Arrêt jugé trop timide
Pour les associations, une telle décision apparaissait loin d’être acquise. Au cours de la procédure, le rapporteur public, dont les conclusions préfigurent en règle générale la position du Conseil d’Etat, n’avait, en effet, rien trouvé à redire aux dispositions soumises à l’examen du juge administratif suprême, se bornant à requérir l’annulation des conditions imposées au port d’équipements spéciaux par les journalistes. « Le Conseil d’Etat, se félicite Me Patrice Spinosi, qui intervenait au nom du SNJ et la LDH, a clairement mis un coup d’arrêt à la volonté caractérisée du gouvernement de fragiliser l’indépendance de la presse. Un journaliste n’est pas un manifestant, il est là pour informer. Sans lui, il n’y a plus de regard. »
Plusieurs associations se montrent toutefois déçues par l’arrêt, jugé trop timide. Eric Mirguet, directeur du pôle programme et plaidoyers de l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture, une ONG partie à la procédure, déplore ainsi « une décision a minima » . L’interdiction des nasses, notamment, « est basée sur la seule liberté de manifester alors que c’est aussi une pratique dangereuse qui peut porter atteinte à l’intégrité physique des personnes qui y sont soumises, qui est indiscriminée en ce qu’elle s’applique à des individus ciblés sur leur seule présence dans un lieu donné et non des actes qu’on leur reprocherait ».
Parmi d’autres, l’association, qui a publié en mars 2020 un volumineux rapport d’observation sur les conditions du maintien de l’ordre, fruit d’une année de travail sur le terrain, estime que le Conseil d’Etat « a fait le choix de taire ces préoccupations » . Jeudi dans la soirée, le ministère de l’intérieur a fait savoir que « des modifications seront apportées pour permettre d’atteindre les objectifs voulus par le texte, tout en respectant les orientations de la décision rendue par le Conseil d’Etat », qui a validé « la très grande majorité du texte ».
Littérature numérique – Un site cartographie l’archipel saisissant d’#Italo_Calvino | 24 heures
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Le voyage littéraire dont il est ici question débute en 1943, avec quelques écrits timides qu’on pourrait considérer comme autant de préludes à une première œuvre consistante : « Le Sentier des nids d’araignées ». Le périple se prolonge quarante-deux ans durant et à l’arrivée, 200 textes plus loin, une boucle s’achève avec la dernière signature d’Italo Calvino, posée sur « Un Roi à l’écoute », texte qui charpente une pièce musicale de Luciano Berio. Entre ses deux extrémités, le corpus de l’écrivain italien ressemble à un archipel saisissant où on croise des atolls et des îlots de toutes sortes. Les plus populaires sont connus sous nos latitudes aussi : la trilogie formée par « Le Vicomte pourfendu », « Le Baron perché » et « Le Chevalier inexistant » demeure aujourd’hui encore une borne lumineuse.
Oggi Italo #Calvino avrebbe quasi cento anni. E di fronte alle profonde trasformazioni a cui la letteratura, la stampa, i mezzi di comunicazione e la ricerca stanno assistendo non sarebbe rimasto chiuso a difendere la cittadella umanistica assediata. Sarebbe uscito a vedere.
La letteratura come l’ha pensata, praticata e modellata Calvino tra gli anni Quaranta e gli anni Ottanta del secolo scorso aveva soprattutto un fine: quello di tenere la mente aperta. Renderla abbastanza elastica non certo da capire tutta la complessità del mondo, ma almeno da misurarla. E trarne qualche conseguenza: la prima di queste è che abbiamo bisogno di storie, perché la nostra mente non si limiti a riprodurre se stessa, ma attraverso la narrazione si trasformi in un grande laboratorio di possibilità. Aperto al futuro, grazie alla molteplicità di sguardi con cui partecipa alla costruzione del passato.
Il progetto finanziato dal Fondo Nazionale Svizzero e intitolato Atlante Calvino: letteratura e visualizzazione ha scommesso sulla critica letteraria come esercizio intellettuale di apertura mentale e sperimentazione. Per tre anni (2017-2020) il progetto ha messo in contatto un’équipe letteraria dell’Unité d’italien dell’Université de Genève e il laboratorio di ricerca DensityDesign del Politecnico di Milano, specializzato in progetti di Digital Humanities e Data Visualization, con la collaborazione della casa editrice Mondadori, che detiene i diritti italiani dell’intera opera di Calvino.
Le due anime del progetto, quella letteraria e quella del design dell’informazione, sono state chiamate a mescolarsi per trovare soluzioni efficaci e innovative intorno al caso esemplare dell’opera di Calvino: l’opportunità di mettere in contatto un oggetto letterario e analisi di sistemi complessi condotta tramite la visualizzazione è l’obiettivo principale di questa ricerca. Nato a Santiago de Las Vegas nel 1923 e morto a Siena nel 1985, Italo Calvino è uno dei più noti e studiati scrittori della letteratura italiana contemporanea. La statura internazionale della sua fama, insieme alla bibliografia critica ormai sterminata che lo riguarda e alla varietà sperimentale delle sue opere, lo rende un modello perfetto per una ricerca fondata sul contributo scientifico che la visualizzazione dei dati può fornire agli studi letterari.
Il risultato del progetto è la piattaforma web in cui vi trovate, che offre la possibilità di esplorare l’opera narrativa dello scrittore da un nuovo punto di vista: vale a dire attraverso un certo numero di elaborazioni visuali, che corrispondono ad altrettante interrogazioni letterarie rivolte al corpus dei testi calviniani. L’unione tra la figura di un autore fondamentale della letteratura del XX secolo e un metodo di studio innovativo ambisce a offrire un valido esempio di ricerca nel campo delle Digital Humanities di seconda generazione, che contribuisca all’attuale esigenza di rinnovamento delle discipline letterarie. La qualità scientifica del progetto si sforza di combinarsi, in questo senso, con le sue qualità pedagogiche, estetiche e comunicative, al fine di proporre una nuova “narrazione visuale” dell’autore.
La France connaîtra la sécheresse cet été
▻https://reporterre.net/La-France-connaitra-la-secheresse-cet-ete
Selon une carte prévisionnelle publiée le 18 mai par le ministère de la Transition écologique, quatre-vingts départements sont concernés par un risque de #sécheresse cet été. Seuls une partie de la Normandie, l’Île-de-France et les Hauts-de-France pourraient y échapper.
Reflections on Four Years of Housing-Justice Support Work with #Mapping_Action_Collective
Mapping Action Collective, based in #Portland, Oregon, leverages mapping and data to support housing-justice organizing, using #GIS to dismantle systems of oppression, and grounding its work in the needs of the communities and movements with which it works.
As the interwoven US crises of homelessness, evictions, displacement, and housing instability reach catastrophic levels, students, scholars, practitioners, and activists are joining the call of housing justice for all. In this article, we reflect on the work of Mapping Action Collective (#MAC), a small nonprofit organization based in Portland, Oregon, that over the past four years has leveraged mapping and data to support housing-justice organizing. MAC’s work includes curating and producing relevant nontraditional or hard-to-acquire datasets owned by and in support of community-based groups; developing decision-support software consisting of an interactive map; producing spatial analyses that support campaign work; and organizing educational workshops and events focused on applied critical methods and data literacy.
MAC formed out of a student club in Portland State University’s geography department, where several members became frustrated with the dominant paradigm of academic geographic information systems (GIS), which often fancies itself value-free, apolitical, or neutral, regardless of outputs or products that suggest otherwise. While critical perspectives have emerged in the domain of GIS since the 1990s, many of those criticisms are rarely considered in the standard quantitative GIS course curriculum. Few spaces are available for students to engage critically with their newfound data and mapping skills. The 2017 Resistance GIS (RGIS) conference provided a space to discuss and learn from other like-minded scholars, students, and organizers. Building on the work of critical geographers around the globe, at RGIS we asked ourselves if there was room for subversion of the status quo in GIS: can mapping and data be used to dismantle systems of oppression, rather than reinforce them?
Asset mapping and spatial analysis supporting Portland’s unhoused community
Shortly after the conference, our small student group grew into MAC and began to apply that question to our studies and work in Portland. Through a small grant from Second Nature, we focused our efforts on the exploding crisis of homelessness in our community. Grounding our work in non-extractive collaboration, we began building a relationship with Street Roots, a local nonprofit organization that, in addition to advocacy work, publishes a weekly alternative newspaper sold by people experiencing homelessness to earn an income. One of Street Roots’ main assets to the people it serves is the Rose City Resource (RCR), a comprehensive list of resources and services such as food boxes, bathrooms, needle exchanges, shelters, and counseling and recovery services. No other organization in the area curates such an important dataset for those experiencing homelessness, and this one could only be accessed in a printed three-by-three-inch (7.6 × 7.6 cm) paper booklet, and was updated only twice yearly.
While honoring the value of this paper booklet as a low-barrier, nontechnical way of sharing resources, we wondered if broadening its reach via mobile phone and web, or structuring its format for wider dissemination, would benefit Street Roots and the community it serves. Simultaneously, we reflected on the inherent problem of our outsider thinking and wanted to avoid preaching technology as savior. We learned more about the work Street Roots was doing, joined their events, and built relationships with Street Roots organizers and staff to learn what they needed to do their work. As it turned out, our thinking and Street Roots’ vision aligned—increasing the reach of the RCR was a necessary endeavor.
In late 2018, MAC and Street Roots staff began working together to navigate web development, data management, and data communication (the practice of informing, educating, and raising awareness of data-related topics), to create a tool that was accurate, accessible, and easy for Street Roots staff and volunteers to use and update. Most importantly, MAC wanted the tool to be useful to the community that Street Roots serves. To get feedback on the usability of the tool, MAC members stopped by the Street Roots HQ to test it with paper vendors, folks who dropped in to get coffee or use the restroom, and Street Roots volunteers. MAC integrated this feedback into the development of the tool. The end result was the Rose City Resource Online, a web application and data-transformation pipeline that was collaboratively created with the community it was intended to serve—designed to be easy to use, and functional for any member of the community to use to get up-to-date information about resources and services. The tool was officially launched at the onset of the Covid‑19 pandemic.
We also joined activists working to end the overpolicing and criminalization of people experiencing extreme poverty and homelessness on the streets of Portland. This criminalization occurs through excessive policing within “enhanced service districts” (ESDs). ESDs, similar to business improvement districts (BIDs), are zones where businesses and property owners pay an extra fee collected as a tax to pay for extra security and maintenance. Proponents of ESDs claim they facilitate urban beautification and keep neighborhoods safe, but overlook the reality that this process of so-called revitalization amounts to coercive exclusion of vulnerable people. Clean & Safe, Portland’s largest ESD in downtown, pays for armed and unarmed private security, and supervises six Portland Police officers who solely patrol in their district. In August 2020, an award-winning audit of ESDs revealed the City provides almost no oversight of the activities of these districts, even as they have large budgets and authority over public space. This year, Portland city commissioners will vote on whether to renew Clean & Safe’s 10‑year contract. Organizers and community members are preparing to oppose the contract, especially given recent scrutiny of the district and its managing organization, Portland Business Alliance.
West Coast–based activists from Right 2 Survive, Sisters of the Road, and the Western Regional Advocacy Project asked us to analyze and map police arrest data to strengthen their argument against ESDs. A report from the city auditor that incorporated arrest data from 2017 to 2018 had already concluded that over half of all arrests made by the Portland Police Bureau were of the unhoused. Building on that fact, our research found that the citywide average of arrests for unhoused individuals was 6.1 per square mile, but within the bounds of ESDs that number was 137.7. And while correlation is not causation, it is hard to ignore the magnitude in difference between these numbers.
Data on police harassment and arrest of the unhoused community are difficult to obtain and understand. Through our work with the anti-ESD team, MAC members have learned how to navigate the complicated system of roadblocks that keep this data from the public, and use the data to support the argument against policing homelessness.
Collaboratively developed tools for fighting displacement and speculation
We have also collaborated with organizations we consider leaders in the intersecting space of data activism and housing justice. In the summer of 2019, we joined the efforts of the Anti-Eviction Mapping Project (AEMP) to develop a tool to facilitate landlord and building research in San Francisco (and soon Oakland). For years, tenant unions and organizers have scrutinized corporate-ownership documents, property records, assessor data, and eviction data to unmask speculators, serial evictors, greedy landlords, and their entangled networks of limited-liability companies (LLCs) and shell companies. Investment companies purchase properties using different LLCs for the purpose of anonymity and liability reduction. The corporate web guarding landlords can make ownership and property research challenging and slow.
At the commencement of the project, AEMP contributors in San Francisco garnered feedback from their partners at the San Francisco Anti-Displacement Coalition and facilitated workshops with local tenant groups to assess their research needs and questions in fighting displacement. Shortly thereafter, MAC joined AEMP by assisting in the prototyping process, and by providing general support, design capacity, code contributions, and cloud infrastructure for hosting the project. The result is Evictorbook (in development), a web-based tool that simplifies organizer and tenant research by enabling a user to type an address, landlord, or neighborhood into a search bar to reveal a profile of a building’s eviction history, its owner, and the corporate network to which it belongs. The ability to surface this data to the user is the result of a custom data-processing pipeline that links and stores publicly available assessor, eviction, property, and corporate-ownership data in a regularly updated graph database. A public launch of Evictorbook is expected in the coming months.
Similar collaborative work has evolved through a partnership with the Urban Praxis Workshop (UPX) to redevelop Property Praxis, a research tool focused on speculative and bulk property ownership in the city of Detroit. Every year since 2015, members of UPX have curated a dataset that incorporates assessor data that is augmented with tax-foreclosure data and corporate filings to illuminate the LLCs and individuals that own more than 10 properties in the city. The intention of Property Praxis is to offer a more holistic understanding for organizers and community members of how speculative property ownership impacts Detroit neighborhoods. In late 2019, UPX asked MAC to build upon their previous work by modernizing the Property Praxis user interface and automating their data-curation process. The new version is currently in development and will be launched later this year.
Final thoughts
Activist work can be strengthened by research and data, but only if this is done in a way that is not extractive and based on community need (voiced by the community). Four years of experience working with MAC has taught us that grounding our work in the needs of the communities and movements we support is crucial to doing justice-oriented work. This can only happen by building successful, trusting, and long-lasting partnerships. By showing up and participating in community events and never moving forward on project work without meaningful discourse and consideration of community goals, we work towards dismantling the top-down legacy of data work. Even after several years of doing this work, we still have lessons to learn from our community partners on trust-building and accountability.
Part of our development as an organization over the last few years has been the choice to organize horizontally, make decisions through consensus, and avoid toxic tech culture in our own spaces. Such intentionality promotes healthy working environments and reflects the values at the core of our organization in our day-to-day operations. Organizing in this way is by no means simple, efficient, or profitable. It takes long conversations, trust-building among members, and solid conflict-resolution mechanisms to operate without hierarchy. Despite the extra time and mental and emotional labor that it can require, our group feels strongly that it is worth it.
While we try to hold these aspirational goals, we are also aware of our own complicity in problematic systems in the fields of research and data analysis. Recognizing and dismantling our own internalized norms of white supremacy, sexism, classism, and colonist behavior is work that is ongoing. We are a work in progress. We continue to be inspired and led by the work of our partners and we look forward to many more years of collaborative work.
▻https://metropolitics.org/Reflections-on-Four-Years-of-Housing-Justice-Support-Work-with-Mappin
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Mapping for Social Justice
The Mapping Action Collective is a group based in Portland, Oregon that specialize in data-visualization, mapping, and data analysis. We support grassroots organizations and individuals by providing them with maps, data, and training in data literacy. We collaborate with these groups to help them analyze and visualize data in a way that can support and elevate the work they are doing. Our work has a strong emphasis on collaboration rather than dictation. As data activists, we advocate for publicly accessible data and open source software and hope to dismantle some of the barriers of access to data analysis tools.
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We aim to be collaborators, not just allies, when supporting frontline communities, always working toward building trust and long-term partnerships with the groups we work with. As GIS students and practitioners, we want to build a system to support one another not just to network or get ahead professionally, but to foster a critically thinking and socially just community.Maps are a manifestation of how we visualize space and place. They should be tools for all communities to use and create. We seek out collaborative and community-based projects that use data to disrupt existing power structures and elevate voices that have been marginalized, diminished, or misrepresented by the GIS status-quo.