La Quadrature du Net Social Network

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  • Jor ☝️😐 (en pause ⏸️ des RS) : « Meurice, antisémitisme, LFI J… »
    https://eldritch.cafe/@jor/112392788193617475

    Meurice, antisémitisme, LFI

    Je sais que plein de trucs encouragent à tout polariser, et encore plus avec l’emballement médiatique, l’extrême-droite de partout, et l’approche des élections, etc., mais faut essayer de prendre un peu de recul et de garder une analyse nuancée quand même.

    C’est pas parce qu’on dit que Meurice a fait une blague antisémite qu’on défend la direction France Inter (et encore moins Netanyahou 😬).
    La réaction de la direction de France Inter est d’une grande mauvaise foi et leur indignation à géométrie variable est visible. D’autant plus que ça dépasse le cas Meurice et participe d’une logique de censure de plus en plus large. 😬

    Mais l’attitude de Meurice craint aussi, et là il aurait pu (et dû) présenter des excuses et juste reconnaître qu’il avait fait une blague de merde et maladroite, désolé ça arrive, plutôt que de s’entêter.

    (Cf ce thread à dérouler pour un développement sur l’antisémitisme latent de la blague  : https://mamot.fr/@brasiers/112359817132682188)

    Et on peut dénoncer la censure sans le porter en héros et sans nier l’antisémitisme de la blague. De la même façon qu’on peut à la fois dénoncer l’instrumentalisation hypocrite de l’accusation d’antisémitisme contre LFI (par ex.), vu que les mêmes qui font cette accusation alimentent le racisme de partout de toutes les façons, sans se voiler la face sur le fait que, ben oui il y a aussi pas mal l’antisémitisme à LFI et qui doit être dénoncé (ex toutes les sorties dégueulasses de Mélenchon…).

    Il faut abandonner la logique du «  tout ou rien  » qui nous conduit à faire une défense sans nuances des gens de gauche (ou de «  gauche  ») attaqué·e·s hypocritement, parce que ça amène toujours à minimiser et à nier des vrais problèmes dans nos orgas et dans notre camp.

    Je te le mets là, pour que tu saches que parler d’Israël et des Juifs, c’est sensible, ça essentialise par les sous-entendus et qu’il ne faut pas tout mélanger l’essence, sinon, t’es antisémite (entre nous, un gauchiste, c’est antisémite par essence, mais on va encore me dire que non, cépapareil, c’est pas de l’essentialisation pareil, et c’est juste factuel).

    • https://www.humanite.fr/medias/daniel-mermet/a-france-inter-la-direction-balaie-les-voix-de-gauche

      Mais pour Adèle Van Reeth, actuelle directrice de France Inter, qui reste silencieuse depuis vendredi, les voix de gauche seraient de trop : les quatre anciens de Mermet ont tous été reçus dans son bureau cette semaine, en tête à tête sans DRH, avant qu’ils ne reçoivent leur lettre de licenciement. Lionel Thompson, membre CGT du conseil d’administration de Radio France, relate que pour Antoine Chao, l’entrevue s’est déroulée en « cinq minutes », et a été « violente ».

      Ceci-dit, ce coup-ci Meurice est suspendu par la direction de Radio France, pas par Van Reeth - d’après Charline cf fin de la « dernière chronique de Le Shlag »

      Pour une représentante de la société des « producteurices » de France Inter (SDPI), « ce qui arrive est réfléchi ». Selon elle, « quand Adèle Van Reeth et Sibyle Veil parlent de pluralisme, c’est plus de place au libéralisme. On leur a reproché d’être trop à gauche, donc elles vont à droite ». Sans complexe. Et d’ajouter : « Les journalistes ne sont pas dupes et craignent que les restrictions sur les programmes touchent aussi la rédaction. Ce qui semble déjà être le cas sur la question Israël-Palestine. ».

      [...] « L’éviction de Meurice, la communication piteuse à propos de Nassira El Moaddem, [une journaliste qui a travaillé pour la station, harcelée depuis mardi par l’extrême droite, N.D.L.R.], le remodelage de « la Tête au carré » et les suppressions de reportages qui touchent principalement les anciens de Mermet sont autant d’indicateurs d’une reprise en main politique, sous la pression du pouvoir et des droites extrêmes, au détriment de l’antenne et des auditeurs », abonde Lionel Thompson. « Adèle Van Reeth licencie ce qui constitue le pluralisme de cette antenne et ses voix dissonantes. En cédant aux pressions des médias de Bolloré, ça donne le sentiment qu’on leur donne raison », s’agace le cégétiste. Qui ajoute : « À force de dire qu’on est trop de gauche, on n’a jamais été si peu de gauche. »

    • À l’origine de la plainte qui a mis sur la touche @guillaumemeurice pour avoir osé exercer le métier pour lequel il a été engagé : le fameux Gilles-William Goldnadel qui sévit déjà depuis bien longtemps. L’avocat-militant pro-colonial, chroniqueur de CNews et du Figaro, avait déjà harcelé Daniel Mermet du temps de Là-bas si j’y suis...

      https://mamot.fr/@mutinspangee/112383440485934880

  • « Il n’y a rien à attendre du corps enseignant » - Frustration Magazine
    https://www.frustrationmagazine.fr/corps-enseignant

    Prendre conscience que l’on n’est qu’un rouage dans cette grande machine à reproduction sociale constitue à mon sens un préalable pour questionner le rapport de l’enseignant aux élèves et à l’institution. Déconstruire l’idée rassurante selon laquelle nous serions au service de la réussite des élèves. Cesser de penser l’école comme un “sanctuaire”, c’est-à-dire comme un espace évoluant en dehors du régime capitaliste. Ne plus se leurrer quant à l’idée que les élèves sont triés en fonction de leur aptitude à se montrer dociles et maîtrisant les codes de la culture dominante. C’est ici qu’intervient la question de la laïcité, pensée comme le mode opératoire central de l’autorité.

    #éducation_nationale #reproduction_sociale #ségrégation #mépris_de_classe #corps_enseignant

    • À cela s’ajoutent les injonctions contradictoires que doivent subir ces adolescent-e-s. On leur martèle au quotidien l’idée que la liberté d’expression est sacrée lorsque dans le même temps tout propos non conforme à ce qu’attend l’institution est signalé à la direction et/ou au procureur. Dans mon collège, des enfants se sont ainsi retrouvés avec leurs parents au commissariat après des paroles formulées en classe. Ce qu’ont compris ces élèves, c’est que la laïcité sert de paravent à l’islamophobie de l’Etat et du service public de l’éducation. Dans le même temps, rien d’étonnant de constater qu’ils ont intériorisé une vision punitive et répressive de la laïcité. La novlangue de l’institution cache mal la fonction première de la laïcité, consistant à racialiser les problèmes sociaux et donc à appréhender ces élèves à partir de leur condition de racisés.

    • le “syndrome du bon élève” que j’ai pu observer chez une majorité d’enseignants : n’étant jamais sorti du système éducatif, ces derniers rejouent ce qu’ils ont vécu comme élève, en intériorisant les normes à respecter et en faisant ce qu’on attend d’eux. Beaucoup de profs ont donc des dispositions innées au conformisme et/ou à l’indifférence, tout en se vautrant dans le fatalisme et l’apitoiement. C’est, à mon sens, ce qui explique la dépolitisation d’une partie du corps enseignant et son incapacité à se mobiliser massivement. C’est ce qui explique aussi que la nature anti-démocratique des instances scolaires ne soit pas questionnée.

      j’ai lu ailleurs : 25% des profs ont voté LePen. ?!?

    • L’élève est libre d’exprimer son opposition à l’ordre dissident et il lui est interdit d’afficher son opposition à l’ordre dominant.

      Son éducation consiste à lui laver le cerveau pour qu’il réagisse instinctivement de cette manière.

    • j’ai lu ailleurs : 25% des profs ont voté LePen

      Pas surprenant : déjà en 2002, il m’avait été rapporté que certains « collègues » avaient voté Le Pen (père). Je ne connais pas le pourcentage national mais ces gens-là étaient en poste sur des ZEP (zones d’éducation prioritaire).

    • Mais ce positionnement de gauche [des votes des enseignants du public] est désormais de 50% environ si l’on intègre le vote pour les candidats d’extrêmegauche. La majorité des enseignants du public (52%) ont voté pour le centre-droit ou la droite en y incluant les 20% d’entre eux qui ont voté pour les candidats de la droite radicale [MLP+EZ+NDA], ce qui paraît peu par rapport aux 47% que cette droite réunit chez les policiers et militaires mais ce qui témoigne d’une évolution profonde du milieu enseignant qui, jusque-là, était resté un bastion de lutte contre l’extrême-droite.

      https://sciencespo.hal.science/hal-03790691

  • Vous avez suivi l’histoire avec la librairie #XZ ?
    C’est Mission Impossible IRL (ou le poisson d’avril le plus dingue de l’histoire des poissons d’avril)

    Rémy sur Mastodon

    Ça fait deux jours que je suis fasciné par ce qui se passe dans le monde de la sécurité informatique, autour de la backdoor XZ. Je vais essayer de vous l’expliquer, ça va être technique, mais c’est important.

    Pour Internet, c’est l’équivalent d’un gros astéroïde qui serait passé à 5000km de la Terre. Pas d’impact, pas de dégâts directs, mais on aurait pu tous y passer et personne ne l’a vu venir.

    Je vais chercher à vulgariser un maximum, tout en donnant des liens vers les sources directes, qui sont souvent très techniques et en anglais.

    Le fil complet :
    https://mamot.fr/@rusty@piaille.fr/112190942190403821

    #cybersecurité #hacking #InfoSec #backdoor #OpenSSH

  • Avec Belloubet, vers un Acte III de l’éducation ?
    https://www.cafepedagogique.net/2024/02/11/avec-belloubet-vers-un-acte-iii-de-leducation

    La nomination d’un constitutionaliste à la tête du cabinet de Nicole Belloubet, elle-même juriste et ancien membre du Conseil constitutionnel, interroge. Surtout quand la ministre a milité pour une décentralisation du système éducatif. Va-t-on vers une nouvelle loi fondamentale pour l’Ecole qui fixerait une nouvelle répartition des rôles au sein du système éducatif et entre l’Etat et les collectivités locales ? Un Acte III “girondin” qui assurerait la territorialisation demandée par de nombreux acteurs et confierait l’Ecole aux acteurs locaux ?

    • Laurence De Cock
      https://mamot.fr/@laurencedecock1/111917958256706911

      Un article limpide et très bien argumenté qui montre le prochain coup bas de Macron sur l’école : la territorialisation. Il faut nous y attendre et commencer à affûter les arguments. Ce ne sera pas simple car il n’y a pas d’unité syndicale sur ce sujet.

      Je ris jaune de lire ce genre de constat, au point où on est rendu. Il n’y a toujours pas d’unité syndicale, au point où on est rendu. Autant dire qu’il n’y en aura jamais, en fait. Les syndicats ne servent à rien, au point où on est rendu. Ils s’en contrefoutent. Tout comme leur base. Qui s’en contrefout. Si c’est pas l’un qui trahit l’autre, c’est l’autre qui lâche l’un en rase campagne.

      Et je crois qu’en fait, tout cela est encore très optimiste :-))

    • Je suis convaincu que les enseignant·es ont toujours été victimes de leurs centrales syndicales. Pour la plupart, les dirigeants sont des apparatchiks qui ont un siècle de retard sur les stratégies à adopter pour faire plier l’état.

    • Les trafiquants ne réservent pas leurs menées corruptives aux seuls fonctionnaires. Si les plus hautes sphères de l’Etat leur restent pour le moment inaccessibles, ils ont parfaitement compris que leur puissance financière et un pouvoir d’intimidation pratiquement sans limites fournissent autant d’arguments pour circonvenir les échelons décisionnaires locaux, au plus près de leurs besoins immédiats.

      Ici, c’est un maire qui offrira un emploi à un affidé des trafiquants, désormais placé au cœur de la machine municipale et susceptible de renseigner le réseau sur les rondes de la police municipale ou l’installation de caméras de vidéosurveillance sur le territoire de la commune ; là, c’est un employé d’aéroport qui détournera des bagages remplis de cocaïne du circuit de contrôle ; ailleurs, ce sont des dockers qui transborderont le bon conteneur pour le placer à l’endroit où des complices déchargeront la drogue sans risque d’être découverts.

      Identifier les vulnérabilités

      Les lourdes sanctions pénales (jusqu’à dix ans d’emprisonnement et 1 million d’euros d’amende pour les personnes physiques, jusqu’au double du produit de l’infraction pour les personnes morales) n’intimident guère corrompus et corrupteurs au regard du profit escompté. En mars 2023, l’interpellation d’un douanier modèle de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle a mis au jour le montant des émoluments qu’il percevait pour chaque valise de cocaïne en provenance d’Amérique latine soustraite à la surveillance de ses pairs : jusqu’à 50 000 euros.

      https://justpaste.it/e52dy

      #corruption #corruption_de_basse_intensité #tricoche #drogues #trafic_de_drogue

    • Les trafiquants de drogue, stratèges de la corruption : 40 000 euros pour « passer » une valise en douane, 20 000 pour « perdre » son badge de sécurité...
      https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/10/selection-des-profils-et-techniques-d-approche-les-trafiquants-de-drogue-ver

      Le rapport annuel de l’Office antistupéfiants décrypte la manière dont les groupes criminels tissent leurs réseaux, en recourant aux services de salariés du privé et de fonctionnaires, rémunérés ou menacés.
      Par Antoine Albertini, Thomas Saintourens et Simon Piel

      Les groupes criminels spécialisés dans le trafic de stupéfiants ne constituent pas seulement des entreprises illégales hautement spécialisées dans les domaines de la logistique, du marketing ou de la finance. Le rapport de l’Office antistupéfiants (Ofast) montre qu’elles peuvent aussi se comporter en véritables agences de renseignement structurées au bénéfice d’un objectif : la corruption.

      Pour sécuriser les flux de marchandises, fluidifier leurs modes opératoires, réduire les risques auxquels ils se trouvent exposés, les réseaux sont désormais capables de mettre en œuvre un savoir-faire poussé en matière de recrutement de complices, avec « criblages personnalisés » des profils dignes d’intérêt et « enquêtes approfondies (...) dont le traitement peut s’inscrire dans le temps long » sur leurs vulnérabilités ou leurs centres d’intérêt (addictions diverses, besoins économiques, voire quête de statut social). « Une approche tentaculaire », résume le document, qui fait de chaque personne corrompue un recruteur potentiel dans son cercle intime ou professionnel. Et si les promesses de gains échouent, l’intimidation prend le relais avec une efficacité comparable, sinon supérieure.

      Pour parvenir à leurs fins, les trafiquants ne manquent ni d’idées ni de ressources. Leurs menées ne les dirigent pas seulement vers les profils à haute valeur ajoutée. La tendance s’inscrit même à rebours de cette idée reçue. « Enjeu majeur d’une riposte régalienne », la corruption dite de « basse intensité » constitue non seulement une dynamique « préoccupante » mais encore « difficilement quantifiable ». Son principe est simple : recruter, au profit du réseau, des « agents intermédiaires » disposant d’« attributions qui semblent anodines mais ont en commun une capacité à accéder à des lieux ou à des données primordiales pour favoriser la réussite de l’entreprise criminelle ».

      Puissance financière
      Ces salariés du secteur privé (employés de sociétés de manutention, grutiers sur un port), ces douaniers, policiers ou greffiers, « acteurs indispensables au trafic », « constituent la cible principale des réseaux ». Ces derniers, parce qu’ils sont parfois sollicités pour des actes sans grande conséquence apparente, n’ont pas « toujours conscience de participer pleinement à une activité criminelle d’ampleur ».
      Les grilles tarifaires pratiquées par les réseaux illustrent leur puissance financière et les bénéfices que les corrompus peuvent tirer du « pacte corruptif ». La « perte » d’un badge permettant l’accès à une zone portuaire se négocie entre 20 000 et 60 000 euros ; le placement d’un conteneur bourré de cocaïne dans une zone spécifique d’un port, sa porte « orientée vers l’extérieur » pour faciliter son déchargement, 50 000 euros ; l’introduction d’une puce téléphonique en prison par un surveillant pénitentiaire, entre 500 et 2 000 euros. Parfois, nul besoin d’agir : la corruption repose non sur une action mais sur une omission, ce qui la rend indolore ou presque pour la conscience des corrompus. L’exemple le plus flagrant : le salarié d’un fournisseur d’énergie qui s’abstiendra de signaler des anomalies sur le réseau électrique, comme une surconsommation en un point identifié, révélatrice sans équivoque d’une intense activité de culture de cannabis indoor.

      « Aucune profession n’est épargnée », pointait Stéphanie Cherbonnier devant la commission d’enquête sénatoriale sur le narcotrafic le 27 novembre 2023. La cheffe de l’Ofast n’ignore pas la difficulté de l’exercice. Dans son service même, certains fonctionnaires se sont retrouvés soupçonnés d’atteintes à la probité, comme un brigadier mis en examen en janvier 2021 notamment pour blanchiment, violation du secret professionnel et détournement de fichiers. Un temps incarcéré, il a été placé depuis sous contrôle judiciaire.

      L’impossible quantification
      Comment lutter contre un « phénomène particulièrement inquiétant » ? Le droit français dispose d’un « arsenal juridique permettant de réprimer précisément les atteintes à la probité », souligne encore le rapport. Mais cette spécialisation infractionnelle, assise notamment sur la distinction entre corruption active et passive pour permettre les poursuites pénales à l’encontre des corrupteurs comme des corrompus, se révèle un outil à double tranchant : très précis mais, pour cela, complexe à mettre en œuvre au regard des exigences légales. Aussi, le pacte corruptif n’est que rarement démontré et les magistrats se retrouvent contraints d’user d’expédients juridiques.

      La plupart du temps, l’agent corrompu se trouve ainsi mis en examen des chefs de complicité de trafic de stupéfiants, voire d’association de malfaiteurs. L’infraction de corruption « n’est que rarement retenue ». Cette technique permet certes à la justice de prononcer parfois des peines plus lourdes que celles administrées en matière de corruption. Mais elle emporte une regrettable conséquence : impossible « de quantifier réellement l’ampleur de la corruption de basse intensité, ni l’influence réelle des trafiquants de stupéfiants en France » dans ce domaine.

  • Ça doit pas être triste, le moment où tu essaies d’expliquer à ton client que son site Web vient d’être attaqué par une armée de brosses à dents.

    Three million malware-infected smart toothbrushes used in Swiss DDoS attacks — botnet causes millions of euros in damages
    https://www.tomshardware.com/networking/three-million-malware-infected-smart-toothbrushes-used-in-swiss-ddos-a

    According to a recent report published by the Aargauer Zeitung (h/t Golem.de), around three million smart toothbrushes have been infected by hackers and enslaved into botnets. The source report says this sizable army of connected dental cleansing tools was used in a DDoS attack on a Swiss company’s website. The firm’s site collapsed under the strain of the attack, reportedly resulting in the loss of millions of Euros of business.

    In this particular case, the toothbrush botnet was thought to have been vulnerable due to its Java-based OS. No particular toothbrush brand was mentioned in the source report. Normally, the toothbrushes would have used their connectivity for tracking and improving user oral hygiene habits, but after a malware infection, these toothbrushes were press-ganged into a botnet.

  • @davduf m’apprend la mort de Wayne Kramer, guitariste du MC5.
    https://mamot.fr/@davduf/111867538601483082
    Wayne Kramer, Influential MC5 Guitarist, Is Dead at 75
    https://www.nytimes.com/2024/02/02/arts/music/wayne-kramer-dead.html
    https://www.youtube.com/watch?v=74jS3dW0DtE


    Remembering Wayne Kramer of the MC5
    https://www.discogs.com/digs/music/wayne-kramer-mc5

    https://jail-guitar-doors.myshopify.com

    In 1978, The Clash released the song, “Jail Guitar Doors.” The song tells the story of the imprisonment of their fellow musician #Wayne_Kramer. In 2007, to honor the life of Clash founder, Joe Strummer, Billy Bragg launches an initiative in England to provide musical equipment used to rehabilitate inmates serving time in Her Majesty’s Prisons in the United Kingdom. His initiative is named for that very same song, “Jail Guitar Doors.” In 2009, Wayne Kramer partners with Billy Bragg to found Jail Guitar Doors USA. Together, their combined effort continues the mission for prisoners in America. The circle is unbroken

  • Loi « immigration » : avec finalement 51 articles, un texte plus fourni que le projet initial du gouvernement

    Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a estimé, après la #censure partielle du Conseil constitutionnel, que la version définitive correspond au texte « voulu par le gouvernement ». La première mouture, de 27 articles, a cependant été augmentée par la droite sénatoriale. De nombreux articles continuent d’inquiéter juristes et associations.

    C’est une loi « immigration » composée de 51 articles que le président de la République, Emmanuel Macron, devrait promulguer de façon imminente. A l’issue de la censure partielle du texte par le Conseil constitutionnel, jeudi 25 janvier, environ 40 % de ses dispositions ont été invalidées, principalement pour des motifs de forme. Il s’agit quasi exclusivement d’éléments introduits par la droite parlementaire.

    La version définitive correspond donc au « texte voulu par le gouvernement », s’est félicité le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, jeudi soir sur TF1. « Jamais la République n’a eu une loi aussi dure contre les étrangers délinquants », a-t-il insisté, soulignant que les dispositions initialement prévues par le gouvernement sont contenues dans le texte final (26 articles sur les 27 du projet présenté en février 2023).

    Les juges constitutionnels ont, jeudi, estimé conformes dix mesures sur la quarantaine dont ils étaient saisis. Ainsi ont-ils validé la levée des protections à l’éloignement dont bénéficient certaines catégories d’étrangers, comme ceux arrivés en France avant l’âge de 13 ans. Cette disposition est censée permettre 4 000 expulsions supplémentaires de délinquants étrangers, promet la Place Beauvau. Elle est assimilée par ses opposants au rétablissement d’une forme de « double peine ».

    De même, le Conseil a jugé conforme à la Constitution la généralisation du juge unique, au détriment des formations collégiales de trois juges, pour statuer plus rapidement sur les demandes d’asile devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA). La possibilité de recourir à des vidéoaudiences pour juger du maintien en rétention des étrangers a aussi été avalisée.

    Quatre instructions d’application immédiate

    Le Conseil a en outre déclaré conforme l’article imposant à l’étranger de signer un contrat d’engagement au respect des principes de la République. Alors qu’une disposition similaire avait été censurée dans la loi dite de lutte contre le séparatisme, en 2021, les juges constitutionnels ont cette fois considéré que le gouvernement avait listé les principes de la République de façon suffisamment détaillée, qui comprennent « la liberté personnelle, la liberté d’expression et de conscience, l’égalité entre les femmes et les hommes, la dignité de la personne humaine, la devise et les symboles de la République ».

    Des dispositions introduites par la droite sénatoriale ont également été approuvées, et notamment celles conditionnant la délivrance de visas à la bonne coopération des pays d’origine en matière de réadmission de leurs ressortissants en situation irrégulière.

    Validée aussi, la possibilité, ajoutée par la droite parlementaire, pour un département de refuser la prise en charge au titre de l’aide sociale à l’enfance des jeunes majeurs lorsqu’ils ont fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF), ou encore la création d’un fichier des mineurs étrangers suspectés d’être des délinquants.

    Dans un registre satisfait, le ministre de l’intérieur a prévenu, jeudi soir sur TF1, qu’il réunirait dès vendredi 26 janvier les préfets pour leur transmettre au moins quatre instructions d’application immédiate. D’abord, M. Darmanin souhaite que l’intégralité des dossiers des étrangers délinquants soit réétudiée, afin d’envisager des expulsions sur la base de la nouvelle loi. Ensuite, il entend demander de régulariser certains travailleurs sans-papiers évoluant dans les secteurs en tension, ainsi que le facilite une disposition de la loi.

    M. Darmanin souhaite aussi s’appuyer sur la loi pour accentuer la lutte contre l’immigration irrégulière, contre les marchands de sommeil ou contre le travail des autoentrepreneurs sans-papiers, à l’image des livreurs à domicile. Le ministère de l’intérieur veut enfin appliquer sans attendre l’interdiction en métropole du placement en rétention des mineurs. Dans les faits, la mesure est déjà pratiquement à l’œuvre.

    « C’est un texte très mal rédigé »

    Du côté des associations et des juristes, si la censure partielle de la loi a été accueillie positivement car elle balaye les mesures les plus dures, de vives inquiétudes demeurent sur les dispositions du texte restantes. Président d’Amnesty International France, Jean-Claude Samouiller a appelé le gouvernement à ne pas mettre en œuvre les mesures qui, « si elles ne sont pas jugées comme anticonstitutionnelles, n‘en sont pas moins attentatoires aux droits et aux libertés des personnes exilées ».

    Par la voix de sa présidente, Adeline Hazan, l’Unicef France se dit également « préoccupé par le maintien de plusieurs dispositions qui, si elles n’ont pas été déclarées inconstitutionnelles, semblent toutefois incompatibles avec le respect des droits de l’enfant ». « Retour de la “double peine”, instauration d’un juge unique à la CNDA ou nouvelles conditions mises à la délivrance de titres de séjour. Ces dispositions, nous continuerons à les contester », a appuyé Dominique Sopo, le président de SOS Racisme.

    Une série de 41 articles n’ont en outre pas été soumis au contrôle des juges constitutionnels. Parmi ceux-là : la possibilité de placer en rétention certains demandeurs d’asile à la frontière ; le fait qu’un parent étranger doit s’engager à éduquer ses enfants dans le respect « des valeurs et principes de la République », ou encore le passage d’un examen de français pour l’obtention d’une carte pluriannuelle de séjour. « Le Conseil ne s’est pas prononcé sur de nombreux articles, comme les mesures spécifiques à Mayotte », regrette Marie-Laure Basilien-Gainche, professeure de droit à l’université Lyon-3 et « membre sénior » de l’Institut universitaire de France.

    « C’est un texte très mal rédigé, sa procédure d’adoption a été catastrophique », ajoute encore Samy Benzina, professeur de droit public à l’université de Poitiers, qui, comme d’autres de ses collègues, estime que la loi devrait engendrer de nombreux contentieux. « On peut déposer des questions prioritaires de constitutionnalité à l’occasion de la contestation des décrets d’application par exemple, prévient Serge Slama, professeur de droit public à l’université de Grenoble. Il peut aussi y avoir des contrôles de conventionnalité et de conformité au droit de l’Union européenne dans le cadre de contentieux individuels. » Des procédures qui prendront nécessairement du temps.

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/01/26/loi-immigration-avec-51-articles-au-final-un-texte-plus-fourni-que-le-projet

    #loi_immigration #conseil_constitutionnel #migrations #asile #réfugiés #France

    • Loi immigration : Un pouvoir de nuisance intact

      À l’issue d’un épisode inédit qui a vu l’exécutif se défausser sur le Conseil constitutionnel pour éliminer des dispositions nauséabondes qu’il avait lui-même complaisamment validées, reste une loi qui s’en prend violemment aux droits des personnes étrangères.

      Non seulement le tri opéré par le Conseil constitutionnel laisse subsister près des deux tiers d’une loi marquée du sceau de la suspicion envers un étranger présumé délinquant ou hostile aux principes de la République, mais celles qui ont été écartées ne l’ont été qu’au motif de leur absence de lien direct ou indirect avec l’objet de la loi. Autant dire que cette censure, aussi large soit-elle, ne dit rien de leur contrariété avec les principes constitutionnels. Elle ne peut donc rassurer personne.

      Le Conseil constitutionnel est satisfait : il a fait son travail.
      L’exécutif est satisfait : il a sa loi.
      Les commentateurs de tous bords sont satisfaits : les uns pensent tenir là l’occasion de crier haro sur la Constitution, les autres de crier victoire après « une large censure » de la loi.

      Qui pour évaluer et dénoncer les conséquences à venir, pour les personnes étrangères, des 27 articles du projet de loi initial, quasiment tous épargnés par la censure, auxquels s’ajoute un nombre équivalent de dispositions issues des surenchères xénophobes de la droite sénatoriale et qui restent dans la loi ?

      Un droit au séjour désintégré par des dispositions qui en limitent drastiquement l’accès, le mettent en sursis permanent ou en dégradent les conditions d’exercice.

      Des familles qui voleront en éclats sous les coups de boutoir d’une omni-présente « menace pour l’ordre public » valant blanc seing pour les préfets ou du simple fait de la perte du droit au séjour de l’un de leurs membres.

      Des obligations de quitter le territoire ouvrant la voie à la traque policière pendant trois ans et un arsenal répressif toujours plus fourni avec une « double peine » d’interdiction du territoire banalisée.

      Un parcours toujours plus restrictif et expéditif pour les demandeurs d’asile, privés de leurs droits au moindre accident et, pour nombre d’entre eux, assignés à résidence ou placés en rétention avant même d’avoir pu déposer leur dossier.

      Qui se souvient que le gouvernement prétendait « intégrer par le travail » en donnant un titre de séjour d’un an aux sans-papiers travaillant dans les métiers en tension ? Inutile de souligner qu’il ne reste rien de ce dispositif : là encore c’est l’arbitraire des préfets qui fera loi.

      Une fois passée la colère, il restera à forger les outils destinés, dans les tribunaux et ailleurs, à enrayer le fol engrenage qui prend les personnes étrangères pour cibles.

      http://www.gisti.org/article7167

  • Le 29 décembre, l’Afrique du Sud a déposé une plainte auprès de la Cour Internationale de Justice (CIJ) contre Israël pour crime de génocide.
    https://mamot.fr/@leprintempsduCARE/111719242433708298

    Les premières audiences, publiques, se dérouleront jeudi 11 et vendredi 12 janvier de 10h à 12h . Elles seront retransmises en direct sur la WebTV de l’ONU (https://webtv.un.org/en) . L’avocat international Johann Soufi fera également un live tweet sur Twitter.

    Jeudi et vendredi, c’est journée binge watching, pour vérifier si la justice internationale existe encore, ou pas.

  • Khrys’presso du lundi 1er janvier 2024
    https://framablog.org/2024/01/01/khryspresso-du-lundi-1er-janvier-2024

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue
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  • #YouToo Gégé : la culture se rebiffe | cerveaux non dispo | 29.12.23

    Contre-tribune sur CND, 2500 signatures au 31.12 - via Libé.

    https://www.liberation.fr/culture/affaire-depardieu-angele-judith-chemla-waly-dia-600-artistes-fustigent-un

    https://cerveauxnondisponibles.net/2023/12/29/contre-tribune-artistes

    Nous souhaitons avec cette contre-tribune manifester notre désaccord.
    [...]
    La défense de Macron et cette tribune [publiée par le Fig] sont autant de crachats à la figure des victimes [de l’acteur français] mais aussi de toutes les victimes de violences sexistes et sexuelles. C’est l’illustration sinistre et parfaite du monde d’avant qui refuse que les choses changent.
    [...]
    Ne vous trompez pas, nous aussi, nous souhaitons que la justice fasse son travail. C’est même ce que les féministes réclament à cor et à cri depuis toujours, [mais] impossible de faire comme si de rien n’était, en attendant « que la justice fasse son travail ». Nous ne pouvons pas rester muet·te·s !
    [...]
    Que la justice fasse son travail. Mais nous devons également faire le nôtre. Celui de soutenir les victimes et de ne pas laisser tranquilles des agresseurs, des violeurs, des oppresseurs. Qu’ils ne puissent plus penser qu’ils peuvent agir en toute impunité, et parfois même en étant récompensés et glorifiés.
    [...]
    Nous sommes là pour rappeler que l’art n’a pas à être fait par des idoles hors de la réalité, l’art n’est pas du côté des caprices de star. L’art refuse de se soumettre à leur système. La production de l’art n’est pas une abstraction située en dehors des dynamiques sociales.

    Alors oui, nous allons nous retrouver, nous regrouper, et nous soutenir. Et si cela dérange Depardieu, Macron et 56 « célébrités » de la culture, tant mieux.

  • Expulsé de Noël 🎅 La Rochelle | Blast | 26.12.23

    https://mamot.fr/@blast_info/111648256832571669

    https://www.blast-info.fr/articles/2023/ousmane-toure-lexpulse-de-noel-4QsaljGSRLaLC5E9UhS3Lg

    Ousmane Touré 23 ans pilier depuis trois ans du restaurant « Ginger » à La Rochelle, où il travaillait en CDI, a été expulsé vers la Guinée, son pays d’origine. La brutalité et l’urgence de la procédure, revendiquées par le nouveau préfet, ont pris de cours ses soutiens, dont son patron…

    Si c’est la loi immigration, c’est rapide et sans décret d’application ...

    Contactée par Blast, la préfecture de Charente-Maritime nous a fait savoir qu’Ousmane était arrivé sur le territoire Français « en 2018 de manière irrégulière ». « Débouté du droit d’asile en première instance et en appel, une #OQTF (obligation de quitter le territoire français) lui a été notifiée en 2021 contre laquelle il a fait appel. Cet appel a également été rejeté. » Le communiqué précise : « Son éloignement est donc la conséquence de l’application stricte du droit du séjour. Mr Touré a obtenu son CDI alors même que le droit lui avait été refusé. »

  • I Watched The Hamas Massacre Film. Here Are My Thoughts. - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=mc5iG3DX7ho

    I was invited to watch a screening - organised by the IDF - of the Hamas atrocities committed on 7th October. Here’s my response in detail.

    “When you learn of the horrors which humans are capable of inflicting against each other, you either allow these horrors to deepen your humanity or you use those horrors to numb your humanity so that you can be complicit in even more, and indeed often, greater horrors.”

    Owen Jones, journaliste au Guardian.

    ⏚ Larchmutz 🦊 🍂 : « Journaliste britannique pour l… » - Mastodon
    https://mamot.fr/@Larchmutz/111489168549038548

    Journaliste britannique pour le Guardian, Owen Jones a visionné le film de 43 mn à partir d’une centaine d’heures d’images récupérées auprès des assaillants du Hamas du 7 oct de caméras de surveillance, ou dans les smartphones des Israéliens.
    « Ce film montre bien des crimes de guerre contre des civils, mais il ne présente aucune preuve tangible sur le moindre enfant tué par les combattants du Hamas, ni de preuve de femmes enceintes éventrées, ni même de preuve évidente de viol sur des femmes »

    Selon lui ces « mensonges » servent in fine à « justifier aux yeux du monde le massacre de 15000 Palestiniens dont 6000 enfants »,

    • La dernière phrase du commentaire de « Larchmutz » est fausse.

      Owen Jones ne qualifie pas l’absence d’images de viols, décapitations de gens vivants, etc., de « mensonges ». Il précise bien, à plusieurs reprises, que leur absence ne prouve pas que ça n’est pas arrivé, il se contente de dire que le film en question n’est pas une preuve de leur existence. Évidemment, cela introduit un doute sur la réalité de ces affirmations-là, puisque le film est par ailleurs présenté comme l’argument définitif des atrocités commises le 7 octobre, mais pour autant Jones ne va pas jusqu’à dire que ce sont des mensonges. Il se contente de dire qu’il n’y a pas d’images, dans ce film, correspond à ces affirmations. (Il indique aussi qu’à une projection aux États-Unis, des journalistes dans la salle ont demandé pourquoi il n’y avait pas d’images de cela.)

      Mais surtout, toute la seconde partie de sa vidéo insiste bien sur le fait que ce sont bien les crimes de guerre (du Hamas), qu’il reconnaît, les horreurs et atrocités du 7 octobre, qui ne peuvent pas justifier en réponse d’autres horreurs et atrocités. Il ne parle pas du tout de « mensonges » dans cette partie : il dit très clairement qu’il refuse qu’on utilise les horreurs (avérées) du 7 octobre pour justifier les horreurs contre la population de Gaza. C’est un point de vue bien plus général qui ne dépend pas du tout de la présence ou non de « mensonges ».

      (Par contre, pour être bien clair : la vidéo de Jones est très intéressante et son propos à la fois engagé et mesuré. Et il se prend des tonnes de merde sur la tronche depuis sa mise en ligne – évidemment.)

    • Une ONG israélienne, Physicians for Human Rights, présentée par Peter Harling comme couvrant de manière équilibrée les violences commises de part et d’autre, publie un rapport synthétisant les informations disponibles sur les accusations de viol et conclue de leurs recoupements qu’elles confirment l’existence massive de tels crimes.
      https://twitter.com/PeterHarling/status/1729767849374183426

      This is an initial, professional, deeply disturbing report on rape as an integral part of 7 October.

      It is published by an Israeli human rights organization that equally covers all violations committed by Israel, and forcefully denounces the Gaza war.

      Il poursuit :

      This goes beyond the scope of this focused study, but rape has in this context been weaponized twice: on 7 October and since, to eclipse or justify other crimes.

      This is also why serious human rights organizations are so crucial: They document all crimes, and weaponize none.

      #viols #crimes_de_guerre Pour cette ONG ces crimes sont susceptibles d’être considérées comme des #crimes_contre_l'humanité
      Le rapport est accessible ici : https://www.phr.org.il/wp-content/uploads/2023/11/5771_Sexual_Violence_paper_Eng-final.pdf

  • Khrys’presso du lundi 27 novembre 2023
    https://framablog.org/2023/11/27/khryspresso-du-lundi-27-novembre-2023

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    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue
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  • Khrys’presso du lundi 20 novembre 2023
    https://framablog.org/2023/11/20/khryspresso-du-lundi-20-novembre-2023

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  • Khrys’presso du lundi 13 novembre 2023
    https://framablog.org/2023/11/13/khryspresso-du-lundi-13-novembre-2023

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  • Une conférence sur la Palestine attaquée par des membres de l’ultradroite lyonnaise | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/121123/une-conference-sur-la-palestine-attaquee-par-des-membres-de-l-ultradroite-

    Les organisateurs, le thème étaient insupportables à l’ultradroite lyonnaise. Aussi, plusieurs dizaines de nervis, vêtus de sombre et encagoulés, ont pris d’assaut la Maison des Passages, dont la porte a heureusement résisté. Ils sont armés de bâtons, de gazeuses et de mortiers. Sur une vidéo diffusée sur X (anciennement Twitter), on les entend beugler : « La rue, la France, nous appartient [sic] ! »
    Des témoins ont raconté les avoir entendus aussi clamer : « Avant, avant, Lion le melhor ! », qui signifie : « En avant, en avant, #Lyon la meilleure ! » et était le cri de ralliement des bourgeois de Lyon durant le soulèvement de 1269… contre l’autorité ecclésiastique. 

    Le berceau lyonnais de l’ultradroite

    Aux environs de 20 heures, une présence massive des forces de l’ordre et des camions de pompiers se trouvaient autour du local, selon l’AFP sur place.
    Alors que des témoins se plaignaient des délais d’intervention des forces de l’ordre, la préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Fabienne Buccio, a assuré que « la #police nationale était rapidement intervenue ». L’appel au 17 a été passé à 19 h 15 et les premiers équipages sont arrivés à 19 h 28, selon ses services. « Compte tenu des faits décrits, il était nécessaire que les équipages se regroupent pour intervenir », ont-ils précisé. Mais les agresseurs avaient déjà pris la fuite.
    À leur arrivée, les policiers ont procédé à l’interpellation de plusieurs membres du service d’ordre de la conférence. D’après Le Progrès, ils auraient confondu les premiers policiers arrivés en civil avec des agresseurs revenus armés. Dans la confusion, certains auraient donc été menottés. Un incident qui a généré beaucoup d’incompréhension chez les victimes qui tentaient de sortir de la salle. « Nous sommes restés une trentaine de minutes avec les policiers avant qu’ils nous relâchent », témoigne l’un d’entre eux auprès du Progrès.

    https://archive.ph/pzVT9

    #Extrême_droite #surf

  • Khrys’presso du lundi 6 novembre 2023
    https://framablog.org/2023/11/06/khryspresso-du-lundi-6-novembre-2023

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    https://mamot.fr/system/cache/media_attachments/files/111/261/026/549/749/844/original/559ab7dbe65118ca.mp4