https://www.thetimes.co.uk

    • In an interview with The Times, Cleverly said it was vital that no MP felt “bullied” into changing their stance on the Israel-Gaza war in light of the protests.

      “I think the organisers should recognise that they’ve made their point, they’ve made it loudly and they’re not adding to it by repeating themselves,” Cleverly said.

      The government will consider changing protest rules to require organisations of a demonstration to give police more than the current six days’

  • Unemployed will lose free NHS prescriptions if they refuse work
    https://www.thetimes.co.uk/article/jobless-will-lose-free-nhs-prescriptions-if-they-refuse-to-seek-work-xnf

    Benefit claimants who refuse to look for a job will lose their right to free NHS prescriptions, dental care and help with energy bills under a “whole-state” approach to forcing people back to work.

    Sick notes will be approved by the benefits system rather than doctors in a trial in which patients will be treated by therapists working for the Department for Work and Pensions. GPs could be cut out of the process.

    Under a “stick-and-carrot” approach to getting people back to work, Jeremy Hunt, the chancellor, is promising a big expansion of support schemes, such as life coaches for the long-term sick, and is threatening “consequences” for those who fail to take jobs.

    Olivier Dussopt prenant des notes : ça c’est une belle idée de gauche qu’elle est encore plus de gauche que ma réforme des retaites (qui était déjà très de gauche) !

  • Palestinian boy killed by Israeli sniper in Jenin was unarmed, CCTV suggests
    https://www.thetimes.co.uk/article/palestinian-boy-killed-by-israeli-sniper-in-jenin-was-unarmed-cctv-sugge

    Video has emerged of the moment a 16-year-old unarmed Palestinian boy was shot dead by a sniper during the Jenin military operation there last week, exploding Israel’s claims that only combatants were killed.

    The video, which The Times has verified with eyewitnesses, as well as with the parents of the dead teenager, appears to capture the moment Abdulrahman Hasan Ahmad Hardan died as he stood in front of the al-Amal hospital, after responding to a call from the mosque in his village to donate blood.

    #criminels #sionisme #victimes_civiles #impunité #vitrine_de_la_jungle

    • Question ergonomie web, les hyperliens du site du courrier international ne sont pas repérables. Je ne sais même pas comment j’ai cliqué sur ce lien qui mène aux études …

      Les adolescents des nations les plus grandes et les plus petites sont séparés par plus de 20 cm de hauteur

      https://ncdrisc.org

      Over 1.2 billion people have hypertension worldwide

      More than half of people with hypertension are not receiving treatment

      During school ages, children in many countries fail to achieve their potential for growing taller and gain too much weight

      Adolescents in the tallest and shortest nations are separated by more than 20 cm in height

      Emerging economies have achieved some of the largest improvements in children and adolescents’ height over recent decades

      High cholesterol is responsible for about 3.9 million worldwide deaths

      Non-optimal cholesterol had shifted from western countries to east and southeast Asia and Pacific island nations

      More than half of the global rise in BMI over the last three decades was due to increases in BMI in rural areas

      Our “Trends in children and adolescents body-mass index” article ranked number 7 in the Altmetric Top 100 list in 2017

      The rise in child and adolescent obesity has accelerated in low and middle income countries

      More than 124 million children and adolescents and 670 million adults are now obese

      More adults in the world are now obese than underweight
      422 million people have diabetes worldwide

      Middle-income countries experience
      the highest levels of adiposity and diabetes

      et en voila d’autres, dont celui du Times

      British five-year-olds up to 7cm shorter than western peers

      https://www.thetimes.co.uk/article/british-five-year-olds-up-to-7cm-shorter-than-western-peers-38csjnvz2

      et du Guardian

      Britain’s shorter children reveal a grim story about austerity, but its scars run far deeper

      https://www.theguardian.com/commentisfree/2023/jun/25/britains-shorter-children-reveal-a-grim-story-about-austerity-but-its-s

  • Le tourisme pour ultra-riches, un créneau en plein essor Jean-François Sacré - L’Echo

    L’accident du Titan a mis au grand jour l’essor du tourisme pour « super riches ». Des abysses à l’espace, ces voyages de l’extrême fascinent...
    La disparition des cinq passagers du micro sous-marin Titan affrété par la société OceanGate dans l’Atlantique Nord fut sans doute l’événement le plus médiatisé de la semaine. Ce qui en dit long sur les priorités sociétales du moment.

    Cette « expédition » de l’extrême, à 250.000 dollars par passager, est l’illustration d’une tendance que Jean-Michel Decroly, professeur en sciences et gestion du tourisme à l’ULB appelle le « cénotropisme » (du grec kénos, vide) : « Il y a une attirance croissante pour les lieux vides de toute âme humaine, qu’il s’agisse des profondeurs des océans, de l’espace, des plus hauts sommets de la terre ou les étendues désertiques, des endroits inaccessibles au commun des mortels », relève-t-il.


    Le 27 juin prochain, Virgin Galactic, la société d’expédition spatiale de Richard Branson (photo), lancera son premier vol commercial. ©ABACA

    « Avec la massification du tourisme et au fur et à mesure que l’écart entre les ultra-riches et les autres augmente, ce besoin d’exclusivité ne fait que s’accentuer. » Jean-Michel Decroly, Professeur en sciences et gestion du tourisme à l’ULB

    Dans le cas du Titan, s’y ajoute l’objet du voyage : l’exploration de l’épave du mythique Titanic qui git depuis 111 ans, scindé, à 4.000 mètres de profondeur : « Il y a toujours une fascination sur les privilèges des ultra-riches, poursuit l’expert, mais quand ils peuvent aller explorer le Titanic, cela amplifie la médiatisation. »

    Pour Jean-Michel Decroly, le phénomène remonte même à la deuxième partie du 19e siècle, lorsque les classes aisées anglaises fuyaient la foule d’estivants des côtes pour se réfugier dans de luxueuses villas sur la Côte d’Azur. « Avec la massification du tourisme et au fur et à mesure que l’écart entre les ultra-riches et les autres augmente, ce besoin d’exclusivité ne fait que s’accentuer. »

    Entre luxe et environnement, le délicat exercice d’équilibre de la compagnie Ponant
    L’exclusivité, c’est essentiellement ce que vend une compagnie maritime comme Ponant, spécialisée dans les croisières de grand luxe lorsqu’elle se vante « d’aller là où les autres ne vont pas », comme les deux pôles – compter 44.000 euros par personne pour un mois dans l’Antarctique –, transformant le touriste fortuné en « explorateur ».

    Tourisme spatial
    Mais, en matière de voyages exclusifs, Ponant semble être un petit joueur – même si comparaison n’est pas raison. Le prix de certaines expéditions atteint des montants extravagants. En 2001, l’homme d’affaires californien Dennis Tito a ainsi embarqué, moyennant 20 millions de dollars, pour sept jours à bord de la mission Soyouz TM-32. Il est ainsi devenu le premier touriste de l’espace, avant que quelques autres milliardaires bien connus - Jeff Bezos, Elon Musk et Richard Branson – ne décident d’en faire un véritable business.

    Afin d’embarquer à bord de Virgin Galactic, il faudra compter 450.000 dollars... Pour quelques minutes dans l’espace.
    Fondateur d’Amazon, le premier a créé la société Blue Origin qui se propose d’envoyer des voyageurs en apesanteur à 100 kilomètres d’altitude pour observer la courbure de la terre. Plusieurs voyages ont déjà effectué pour un coût minimal de 200.000 dollars par passager. La semaine prochaine, le 27 juin, la compagnie Virgin Galactic du milliardaire britannique Richard Branson lancera son premier vol commercial, suivi d’un autre en août, avant d’adopter un rythme mensuel, ce qui laisse sous-entendre qu’il y a une véritable demande pour ce genre de folie à 450.000 dollars pour quelques minutes dans l’espace. Mais ce n’est rien à côté d’Elon Musk et sa compagnie SpaceX, qui proposent aux passagers de passer plusieurs jours en orbite autour de la Terre, moyennant 55 millions de dollars.

    Le phénomène ne risque pas de se tarir. Car, comme le souligne Jean-Michel Decroly, la richesse s’est mondialisée avec des milliardaires issus de pays émergents comme la Chine, la Russie ou l’Inde. À bord du Titan figurait ainsi l’homme d’affaires d’origine pakistanaise Shahzada Dawood.

    Faut-il réguler ?
    Une aubaine pour les organisateurs de ce type d’expédition qui ont beau jeu de mettre en avant, comme le fait Ponant « une expérience dont vous vous souviendrez toute votre vie ». Par eux, l’agence flandrienne Starling, citée par De Standaard, qui propose, entre autres, des excursions en Alaska à la rencontre des grizzlis, des expéditions au pôle Sud pour observer les manchots empereurs moyennant 75.000 euros par personne ou encore une aventure dans la forêt tropicale de Bornéo à la recherche de la panthère nébuleuse.

    L’ascension de l‘Everest reste un grand classique qui se monnaie de plus en plus cher.
    Cette soif d’aventure exclusive et inédite des ultra-fortunés est aussi amplifiée par l’omniprésence des réseaux sociaux. Quoi de plus valorisant pour l’ego – même des plus blasés – que de poster un selfie à 8.849 mètres d’altitude au sommet de l’Everest. Et tant pis pour ce que beaucoup considèrent comme des loisirs élitistes et des non-sens écologiques.

    Faut-il dès lors les réguler ? Interdire l’accès à certains sites ? « Idéalement oui », répond Jean-Michel Decroly. « Mais il y a souvent derrière des enjeux économiques vitaux pour des populations locales comme, par exemple, au Népal. » L’ascension de l‘ Everest reste en effet un grand classique, mais qui se monnaie de plus en plus cher. Selon différents sites spécialisés il faut compter entre 40.000 et 200.000 dollars selon les services recherchés, dont le permis d’ascension de 11.000 dollars exigé par le Népal. À en juger par d’étonnantes photos de files d’attente à l’approche du sommet, le business de l’Everest semble florissant. D’où cet étonnant paradoxe qu’aujourd’hui même grimper sur le "toit du monde" commence à perdre son caractère exclusif.

    #pollution par les #super_riches #co2 #privilèges #titan #titanic #business #virgin_galactic #richard_branson #tourisme des #ultra-riches #jeff_bezos #elon_musk #virgin_galactic #blue_origin #spaceX #égo

    Source : https://www.lecho.be/entreprises/tourisme/le-tourisme-pour-ultra-riches-un-creneau-en-plein-essor/10476660.html?_sp_ses=73c9e887-6831-4a3a-9a3b-2eff958868a6

  • « Et le sabotage de Nordstream ça visait à quoi ? »

    L’aide humanitaire et militaire que fournissent les États-Unis et l’Europe à l’Ukraine vise à garantir la sécurité et le respect des frontières européennes.
    Pour que l’Europe reste un endroit où la liberté et la démocratie prospèrent, 🇺🇦 l’Ukraine doit l’emporter.

    https://video.twimg.com/amplify_video/1623223245888421890/vid/720x720/A_fHV7NYhE0DIk1b.mp4?tag=16

    https://seenthis.net/messages/989862
    https://www.thetimes.co.uk/article/us-bombed-nord-stream-gas-pipelines-claims-investigative-journalist-seym

    Le bombardement des gazoducs sous-marins Nord Stream : une opération secrète ordonnée par la Maison Blanche et menée par la CIA affirme Seymour Hersh, prix Pulitzer pour ses révélations sur les crimes de guerre américains au Vietnam.

    • Que l’impérialisme se cache derrière des discours à dormir debout sur la démocratie et la liberté, pas étonnant. Ils nous refont à chaque fois le coup. La réalité, naturellement, est d’une autre nature. Maintenant, ce que raconte Seymour, même si ces dires n’ont rien d’étonnant, il faut s’en méfier un brin – le type a glissé dans le conspirationnisme depuis un petit moment...

      La #guerre qui ravage l’#Ukraine, que les classes populaires ukrainiennes et russes paient au prix fort, n’est donc pas seulement une agression du dictateur du Kremlin contre un voisin plus petit. Elle est le dernier épisode en date de trois décennies de pressions incessantes des États-Unis et de leurs alliés de l’Otan sur la Russie, pour réduire sa #zone_d’influence en faisant basculer dans la leur le maximum de territoires issus de l’URSS. À ce titre, l’offensive en cours déclenchée par Poutine s’inscrit dans une stratégie défensive de la Russie face à la poussée de l’#impérialisme.

      Mais, comme Roosevelt et Staline en leur temps, Biden et Poutine se comportent en bandits à la fois rivaux et complices. Malgré la campagne politico-médiatique du monde occidental qui présente Poutine comme un dictateur sanguinaire, les dirigeants impérialistes, s’ils cherchent effectivement à affaiblir la Russie, ne cherchent pas à se passer de celui qui la dirige. Ils ont besoin de son régime à poigne, qui assume un rôle irremplaçable de gardien de l’ordre mondial et de la stabilité sociale sur une portion de la planète, y compris au-delà des frontières de la #Fédération_de_Russie. Ainsi, ils n’ont rien trouvé à redire quand, en janvier dernier, #Poutine a envoyé ses parachutistes pour aider le dictateur du #Kazakhstan à mater une révolte ouvrière. Il est significatif que, lorsque le président des #États-Unis, venu à la fin mars passer en revue les troupes américaines stationnées en Pologne, a déclaré  : «  Cet homme ne peut pas rester au pouvoir  », son entourage l’a immédiatement recadré, affirmant que le départ de Poutine n’était pas leur objectif. Mais en même temps, bien sûr, ils veulent un État russe suffisamment faible pour qu’il ne puisse pas entraver les affaires de leurs capitalistes ni contrer les manœuvres de leurs diplomates et services secrets dans cette même région. Le secrétaire d’État à la Défense, #Lloyd_Austin, l’a explicité le 24 avril, depuis Kiev  : «  Nous voulons maintenant voir la Russie affaiblie à un point tel qu’elle ne puisse pas recommencer des choses comme envahir l’Ukraine.  »

      Jusqu’à quel point les dirigeants américains veulent-ils affaiblir la #Russie  ? Que sont-ils prêts à concéder à Poutine, y compris sur le dos de l’Ukraine, qui fournit la chair à canon tandis que l’Amérique fournit les #armes  ? Le Kremlin a envahi l’Ukraine avec un objectif affiché  : obtenir sa neutralité et la garantie que l’#Otan n’y installera aucune base. Après avoir échoué à faire tomber Kiev et le gouvernement #Zelensky, quel compromis Poutine est-il prêt à accepter  ? La réponse à ces questions dépendra du rapport de force sur le terrain, de la réussite ou de l’échec de la nouvelle offensive russe centrée sur le Donbass. Pour les dirigeants américains, affaiblir la Russie, cela signifie prolonger la guerre en renouvelant les stocks de munitions et en augmentant encore les livraisons d’armes.

      https://mensuel.lutte-ouvriere.org//2022/05/02/ukraine-une-guerre-russo-americaine-et-un-tournant_301279.ht

  • Pentagon gives Ukraine green light for drone strikes inside Russia | News | The Times
    https://www.thetimes.co.uk/article/ukraine-drone-warfare-russia-732jsshpx

    The Pentagon has given a tacit endorsement of Ukraine’s long-range attacks on targets inside Russia after President Putin’s multiple missile strikes against Kyiv’s critical infrastructure.

  • Finland and Sweden eager for Nato membership
    https://www.thetimes.co.uk/article/finland-and-sweden-will-make-nato-decision-in-weeks-not-months-p0ps905sl

    One of the crowning ironies of President Putin’s attempt to shore up Russia’s position by annexing its neighbour is that he is about to double the length of its land borders with Nato.

    [...] It would also put Nato soldiers scarcely 100 miles from St Petersburg, Putin’s home city, and on the doorstep of the Kola peninsula, a significant base for Russia’s naval power as it seeks to expand its footholds in the warming waters of the Arctic.

    [...] In the strict sense of the word, Sweden and Finland left neutrality behind more than 25 years ago. Both joined the European Union in 1995 and in the late 1990s formed partnerships with Nato that have become steadily closer over time, in particular since Russia illegally annexed Crimea in 2014.

    They routinely exchange intelligence with the alliance and have contributed troops to joint training exercises, peacekeeping missions and rapid reaction forces, including the UK-led Joint Expeditionary Force. They have sent large quantities of armaments to Ukraine — including roughly 10,000 anti-tank missiles from Sweden — breaking with their traditions of not dispatching weapons to conflict zones.

    Less immediately obvious are the risks. Article 5 does not cover candidate states during the accession process, which could take as long as a year.

    • La Russie en pleine prophétie autoréalisatrice. À quelques détails près. Bon nombre de responsables militaires et politiques russes n’accepteront jamais la manière dont Poutine a cramé le matos, les hommes, des hauts gradés et surtout le crédit de la glorieuse armée rouge, bien au-de-là de la Guerre d’Afghanistan.

      #Otan

  • #docu
    Le monde en face - #Wagner, les #hommes_de_l'ombre de #Poutine en #streaming - Replay #France_5 | France tv
    https://www.france.tv/documentaires/politique/3140025-wagner-l-armee-de-l-ombre-de-poutine.html

    L’#opacité, le #crime, et l’impunité. Voilà comment l’on pourrait définir le groupe Wagner, une #armée_privée de #mercenaires travaillant pour le compte de la #Russie, même s’ils s’en défendent. On les retrouve dans plusieurs pays où ils sont employés pour, officiellement, gérer la sécurité. En réalité, le groupe est l’exécuteur des #basses_oeuvres de Poutine.

    #afrique
    #rca
    #madagascar
    #mali

  • Migrants risk life and limb crossing snow-choked Alpine passes

    Ill-equipped families suffer frostbite and worse as they walk past wealthy skiers in the mountains between Italy and France, writes Tom Kington.

    About 1,200 migrants have risked their lives every month this winter crossing the snowy Alpine peaks from Italy into France. It’s a perilous journey that kills some and maims others, but emboldens those survivors who are heading for the Channel.

    The numbers braving the eight-hour trek across the border from Claviere and Bardonecchia are higher than in 2020 and 2019, suggesting that the known death toll of six over the past four years could rise in coming weeks.

    (#paywall)

    https://www.thetimes.co.uk/article/migrants-risk-life-and-limb-crossing-snow-choked-alpine-passes-qq0vpm5j0
    #frontières #asile #migrations #réfugiés #Alpes #Montgenèvre #Briançon #Briançonnais #montagne #hiver #frontière_sud-alpine #Hautes-Alpes
    –—

    ajouté à cette métaliste :
    https://seenthis.net/messages/733721

    Et plus précisément ici :
    https://seenthis.net/messages/733721#message930101

  • Jane Merrick sur Twitter : “Despite me being the first journalist in the world to break the story of the Omicron variant, in the days that followed lots of people on Twitter went “here are some great accounts of scientists/journalists to follow” & they were all men. This is so tiring https://t.co/BAfBGVU46v” / Twitter
    https://twitter.com/janemerrick23/status/1472516560669585413

    Et blancs

  • Royaume-Uni : à la conférence annuelle du Labour, Keir Starmer sous le poids des critiques
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/09/27/keir-starmer-sous-le-poids-des-critiques-a-la-conference-annuelle-du-labour_

    La conférence a bien mal commencé : M. Starmer s’était mis en tête quelques jours plus tôt d’y faire adopter une réforme de la désignation des dirigeants du parti dans le but non avoué de donner plus de poids aux voix des députés du Labour, et moins à celles des 400 000 membres du parti, réputés plus radicaux, afin d’éviter le retour d’un chef de file « à la Corbyn ». Jeremy Corbyn avait été élu à la tête du Labour en 2015, en partie à la faveur de la règle du « une voix, un vote ».

    Avec ses propositions radicales (nationalisations, sortie de l’OTAN, etc.), il avait dévéloppé une véritable « Corbynmania » chez les militants du Labour, mais suscité le rejet des électeurs traditionnels du parti. Ce dernier a essuyé une défaite historique aux élections générales de fin 2019, et concédé une majorité de 80 sièges aux conservateurs à la Chambre des communes.

    Tu vois, si Corbyn a provoqué un rejet dans l’électorat qui se déplace jusqu’aux urnes, c’est à cause de la radicalité de ses propositions qui l’ont fait arriver à la tête du parti. Et pas du tout du tout à cause de la shitstorm orchestrée par les blairistes au sujet des accusations d’antisémitisme contre on ne sait pas qui ni où ni quand, mais que Corbyn n’a pas assez bien condamné ni assez bien géré ni assez bien prout. En fait, il avait tort (même les gauchistes du continent lui ont donné tort, parce que quand on est équilibré, on est toujours d’accord avec l’idée qu’un gauchiste n’est pas tout à fait au clair avec l’antisémitisme, surtout quand celui-ci est pro-palestinien, etc). Et il fallait donc y passer beaucoup de temps. Quant aux propositions radicales, plus personne ne s’en souvient. Ce n’était de toute façon pas le sujet. Sauf rétrospectivement, évidemment.

  • #Julie_Bindel : Message aux hommes : le sexe n’est absolument pas un droit de l’homme
    https://tradfem.wordpress.com/2021/05/04/message-aux-hommes-le-sexe-nest-absolument-pas-un-droit-de-lhomme

    Dans un billet du Times publié aujourd’hui et intitulé « When sex with a prostitute is a human right » (Quand le sexe avec une prostituée constitue un droit de l’homme), la chroniqueuse Melanie Phillips fait l’éloge du juge britannique Anthony Hayden qui, dans un jugement rendu la semaine dernière, a déclaré qu’il serait légal pour des soignants de faciliter l’achat de sexe par un autiste de 27 ans, identifié comme « C ».

    Madame Phillips affirme que Hayden a « fait preuve de compassion » et mentionne un article que j’ai écrit sur le sujet, en disant : « L’opposition de Julie Bindel à la prostitution est puissante et convaincante. Cependant, elle n’a pas accepté que la décision du juge mette, à juste titre, au premier plan les intérêts d’une personne défavorisée. » (Mel Phillips, The Times)

    C’est tout le contraire ; ma préoccupation pour les « personnes défavorisées » détermine ma position sur la prostitution – à savoir qu’elle devrait être abolie et que les femmes devraient être soutenues pour sortir du commerce du sexe.

    Il est assez incroyable que les droits des femmes aient été largement ignorés, non seulement dans le jugement Hayden, mais aussi par plusieurs défenseurs des « droits de l’homme » qui ont commenté cette affaire.


    Version originale : https://www.thetimes.co.uk/article/when-sex-with-a-prostitute-is-a-human-right-lfzxrf88z
    Traduit par #TRADFEM

  • TV - La série sur les Sex Pistols agace leur leader - 20 minutes
    https://www.20min.ch/fr/story/la-serie-sur-les-sex-pistols-agace-leur-leader-853143106154

    Johnny Rotten, leader des Sex Pistols, a dit tout le mal qu’il pensait d’un programme en préparation sur son mythique groupe punk.

    https://twitter.com/lelojbatista/status/1386612094242594817

    Attention : contrairement aux apparences, ce que Danny Boyle est en train de tourner ces jours-ci n’est ni une pub pour brioches en sachet individuel ni un hommage vibrant aux types-qui-vendaient-de-la-drogue dans les séries AB Productions mais un biopic sur les #Sex_Pistols.

  • #Janice_Turner : Recension de « Irreversible Damage » d’#Abigail_Shrier
    https://tradfem.wordpress.com/2021/01/09/recension-de-irreversible-damage-dabigail-shrier

    Une expérience théorique (thought experiment) . . . Des spécialistes traitant une maladie rare observent un changement profond de leur clientèle habituelle. Historiquement composée à 90 % d’hommes, cette patientèle vient de connaître une augmentation soudaine du nombre de jeunes femmes qui, en l’espace d’une décennie, représentent maintenant trois cas sur quatre, alors que le nombre de patient-e-s a augmenté de plus de 3 000 %. Aujourd’hui, au lieu d’être des cas isolés, ils se présentent en groupes et, plus étrange encore, cette maladie qui se développe lentement frappe plus tard qu’avant et sans prévenir. On observe les mêmes changements dans le monde entier.
    Qu’arrive-t-il maintenant ?
    On s’attendrait à ce que les médecins, les épidémiologistes et des universitaires étudient les patients, explorent les données disponibles, publient des articles dans les revues savantes, se demandent s’il ne s’agit pas d’une nouvelle maladie nécessitant des protocoles de traitement différents. À tout le moins, des questions seraient posées.

    Mais ce n’est pas le cas. On ne parle pas du pic mondial, indiqué plus haut, chez les adolescentes convaincues d’être « nées dans le mauvais corps ». En fait, poser de telles questions est maintenant considéré comme une censure, un « effacement » des personnes transgenres, la recherche est de l’ »intolérance » et les universités ou les revues qui en publient sont harcelées en réclamant des excuses. Ainsi, alors que des Californiennes de 13 ans à peine subissent des doubles mastectomies, les médias libéraux américains et britanniques jouent les meneuses de claque ou ne disent mot.

    Version originale : https://www.thetimes.co.uk/article/irreversible-damage-by-abigail-shrier-review-resisting-the-transgender-c
    Traduction : #TRADFEM

  • Deadly Crossings and the militarisation of Britain’s borders

    Military-style solutions won’t solve humanitarian problems, argues our new report that details the nearly 300 border-related deaths in and around the English Channel since 1999. Deadly Crossings and the Militarisation of Britain’s Borders reveals the human tragedies caused by inhumane border enforcement at a time when the UK Home Office is seeking to make Channel crossings ‘unviable’.

    https://irr.org.uk/article/deadly-crossings

    Pour télécharger le rapport:
    https://irr.org.uk/wp-content/uploads/2020/11/Deadly-Crossings-Final.pdf

    #Manche #UK #Angleterre #mer #France #mourir_en_mer #décès #migrations #asile #réfugiés #frontières #militarisation_des_frontières #rapport #chiffres #statistiques #IRR #Gisti #Le_Gisti #chronologie #morts #décès #timeline #time-line #frise_chronologique

    ping @isskein @karine4

    • À Calais, la frontière tue. Contre l’oubli et l’impunité, nommer et compter les victimes

      Jeudi 19 novembre, près de Calais, un homme est mort.

      « Coquelles : un migrant décède à l’hôpital après avoir été percuté sur l’autoroute A16 » a titré La Voix du Nord dans un article classé dans les « Faits divers » [1]. « L’accident s’est produit peu après 16h30 au niveau de l’échangeur 42 sur l’autoroute A16 » a précisé France 3 Hauts-de-France [2].

      Fatalité. Un « migrant » qui « décède après avoir été percuté sur l’autoroute A16 », c’est forcément un « accident » à ranger dans les « faits divers ».

      Pourtant, à Calais et dans la région, des « migrants qui décèdent », il y en a eu des dizaines, des centaines même. Des hommes, des femmes, des enfants et même parfois des nourrissons. Avec un nom, une identité, une histoire. Depuis 1999, ce sont au moins 297 personnes en exil qui sont mortes dans cette zone transfrontalière.

      Mortes en tentant de franchir la frontière qui sépare le Royaume-Uni de la France : écrasées par la cargaison d’un camion ou broyées par l’essieu, électrocutées par les caténaires de l’Eurotunnel, percutées par un véhicule sur l’autoroute A16 ou noyées en essayant de franchir le Channel en bateau, en kayak ou tout simplement à la nage avec des bouteilles en plastique comme seules bouées de fortune. Mortes également du fait des conditions de vie inhumaines que leur réservent les gouvernements français successifs depuis plus de 25 ans.

      « Les CRS font de nos vies un enfer » écrivaient des exilé·es érythréen·nes dans une lettre adressée au préfet du Pas-de-Calais le 16 novembre dernier [3]. « Les CRS sont venus et ont gazé nos affaires et nous ont frappés comme si on était des animaux. Le lendemain matin ils nous attendaient et nous ont encore frappés. Même quand nous marchons ils ouvrent leur voiture et ils nous gazent, juste pour s’amuser » détaillent ils et elles un peu plus loin dans le courrier.

      Violences policières, harcèlement continu, humiliations, contrôles d’identité répétés, destructions de tentes, privation de duvets ou confiscation d’effets personnels, gazage de bidons de stockage d’eau sont le quotidien des personnes exilées présentes dans le Calaisis. Et cette réalité n’est pas nouvelle. Depuis des années, les exilé·es et leurs soutiens locaux dénoncent ce régime de violences généralisées. Des organisations internationales, telles que Human Rights Watch [4], font de même. Le Défenseur des Droits, à plusieurs reprises (notamment en 2012 [5], 2015 [6] et 2018 [7]), a dénoncé les politiques qui font de cet espace transfrontalier un « enfer » pour les exilé·es fuyant la guerre en Afghanistan ou en Syrie, la dictature en Érythrée ou les violences d’états autoritaires au Soudan ou en Éthiopie.

      Mais rien ne change. La réponse des gouvernements, quelle que soit leur étiquette politique, qui se succèdent reste inchangé et le message officiel adressé aux exilé·es errant dans le Calaisis est toujours le même : « Disparaissez ! ». Et si les coups de matraques et les gazages ne suffisent pas, les personnes migrantes comprendront d’elles mêmes qu’à Calais et dans la région, on risque sa peau.

      Aucune de ces vies volées n’est un accident. C’est pourquoi il importe de compter et nommer les exilé·es mort·es à la frontière franco-britannique, et de refuser de réduire ces décès à des événements isolés et anonymes, pour les ranger ensuite dans la case des « faits divers ». Au contraire, recenser les étranger·es décédé·es dans cette zone frontalière montre que ces morts sont le résultat des politiques menées par des sous-préfets, des préfets et des ministres successifs, qui ont délibérément décidé de faire de cette frontière un « enfer ».

      En 2016, le Gisti publiait un numéro de sa revue Plein Droit intitulé « Homicides aux frontières » dans lequel paraissait l’article « Voir Calais et mourir ». L’auteur, un ancien salarié de la Plateforme des Soutiens aux Migrant·e·s (PSM) basée à Calais, y décrivait ce travail d’enquête sur les mort·es à la frontière franco-britannique (qui permettait de dresser une liste des victimes et une cartographie) et montrait comment « l’addition d’accords européens et de traités bilatéraux, destinés à empêcher les indésirables d’accéder au territoire britannique a fait de cette région un mur meurtrier ».

      Des liens récents entre militant·es français·es et activistes britanniques ont permis de travailler à la publication de cette enquête sur les personnes exilées mortes à la frontière franco-britannique pour un public anglophone. Fruit d’une collaboration entre l’Institute of Race Relations (IRR), le Tribunal Permanent des Peuples (TPP) de Londres et le Gisti, le rapport « Deadly Crossings and the Militarisation of Britain’s Borders » a pour but de donner à voir, une fois encore, les conséquences des politiques migratoires menées par les gouvernements français et britanniques dans cet espace frontalier et d’outiller activistes et associations anglophones dans leur contestation sans relâche du régime meurtrier des frontières.

      https://www.gisti.org/spip.php?article6510

    • Army sends drones to France to catch migrants crossing Channel

      The armed forces have supplied France with a range of military-grade kit amid fears that plans to overhaul British asylum laws will trigger a sharp rise in Channel crossings this summer.

      Drones, thermal imaging gear, advanced binoculars and radar technology used by the army are being deployed to detect small boats entering the sea at the French coast.

      A fleet of motorbikes was also supplied as part of a £28 million deal struck with Paris in November to bolster efforts on the French side of the Channel.

      (#paywall)

      https://www.thetimes.co.uk/article/army-sends-drones-to-france-to-catch-migrants-crossing-channel-n27nkcvkl

    • UK government spent up to £1bn for military drones to monitor migrants in the Channel despite no-one evading the coastguard

      #Surveillance drones’ sole purpose appears to be to help the state prosecute those seen driving the boats

      THE UK government paid up to £1 billion (€1.1bn) to a drone manufacturing company last year to monitor migrant crossings of the English Channel despite the fact that no-one made it past the coastguards, The Civil Fleet can reveal.

      HM Coastguard told The Civil Fleet in response to a freedom of information (FOI) request that a total of 8,319 people attempted to cross the Channel in 2020.

      With the Channel being one of the busiest and most closely watched shipping lanes in the world, nobody evaded the coastguards, went missing or drowned in English waters last year, service figures show — though four people did die and a 15-month-old boy went missing in French jurisdiction last October.

      Despite the increase from 1,844 people in 2019 to over 8,000 in 2020, the number of irregular arrivals into Britain is less than a tenth of the 99,583 people that the International Organisation for Migration estimates made it into Fortress Europe.

      July, August and September saw the most crossings last year — with 1,128; 1,473, and 1,892 respectfully.

      In response to the right-wing media backlash to the crossings last summer, Home Secretary Priti Patel said the number of “illegal” crossings was “appalling and unacceptably high” and vowed to make this route into Britain “unviable.”

      In August the RAF launched several surveillance flights across the Channel and, according to an FT report that month, the Home Office toyed with the idea of naval blockades and the use of wave machines to push the boats back to France.

      On several occasions that month, The Civil Fleet spotted a drone (with tail number G-TEKV) patrolling the waters in the Straight of Dover on the free flight scanning website Flight Radar.

      The Civil Fleet sent an FOI request to the Home Office in August asking the following:
      • how many drones has the UK Border Force been using or chartering in the English Channel since December 2019 to August 2020,
      • which companies have supplied the drones,
      • when did contracts with these companies begin, and
      • how much has been paid to these companies for these contracts since January 2019?

      It took until November for the Home Office to reply.

      “We neither confirm nor deny whether we hold the information that you have requested about numbers of drones,” the Home Office said in its response.

      Its justification for withholding the information was due to the supposed potential for the disclosure to result in crime. The Home Office did not specify what these crimes could — nor who the victims would — be.

      Asylum seekers crossing borders, “illegally” or not, is not a crime, as Article 31 of the UN Refugee Convention makes clear.

      The government’s contract finder service shows that drones were supplied by Portuguese firm Tekever Ltd from November 21, 2019 to March 31, 2020 – the contract valued from “£0 to 1bn.”

      The Home Office told The Civil Fleet it could not reveal exactly how much public money was spent on the contract because “release of the withheld information would provide [Tekever’s] competitors with information, not available to them by any other means, about current service providers.

      “This would create an unfair advantage resulting in a prejudice to the commercial interests of the company concerned.”

      It claimed disclosure would also prejudice the Home Office’s commercial interests by “damaging commercial relationships with contractors and service providers” and concluded “that the balance of the public interest lies in maintaining the exemption and withholding the contract value information.”

      The Home Office doubled down on March 5, 2021 after The Civil Fleet put in a request for an independent review into its decision not to provide the value of the contract.

      However, the reviewer did accept that the “disclosure of this information would help the public to assess whether or not the Home Office is getting best value for money in terms of its contracts with private providers and partner agencies.”

      In July 2020 the government announced that it had awarded a £990,000 contract in February 2020 to Israeli defence company Elbit Systems UK to develop drones for coastal surveillance operations.

      The EU has been more forthcoming about its work with Tekever in the past, costing a two-year AR5 drone maritime surveillance contract with the European Maritime Safety Agency at €77 million (£66m) in 2018.

      A video posted to the Home Office’s twitter feed last September suggests the true purpose of Tekever’s drones is to gather footage of those driving the boats in order to prosecute them.

      Over footage of what appears to be one of the company’s AR5 drones — which also bears tail number G-TEKV, registered to Tekever — the government’s newly created Clandestine Channel Threat Commander Dan O’Mahoney says: “The aerial surveillance that we can see here today at Lydd [airport] reflects the whole government response that we’re delivering.

      “So the message I want to deliver today is that every single one of these small boats has to be driven by somebody and if that person is you, you can expect to be arrested on your arrival in the UK and locked up in prison for a sizeable jail term.”

      On March 1, the Home Office boasted that “this year nine people have now been jailed for steering small boats across the Channel.”

      Drone Wars’ Peter Burt, author of Crossing A Line: The Use of Drones to Control Borders, warned of the negative human rights implications that come from using military technology at the border and of viewing the people crossing them as a threat.

      “What is increasingly clear is that such technology is no longer just being used for surveillance and control overseas,” Mr Burt told The Civil Fleet.

      “Britain’s military drones are now being deployed on the home front where they are first being deployed against minorities such as refugees fleeing conflict and oppression. But unless we act now, they will eventually be used to spy on us all.”

      Jacob Berkson, an activist from the refugee distress hotline network Alarm Phone, told The Civil Fleet: “It’s difficult to know where to start with such disgusting behaviour.

      “It’s an expenditure of more than £100,000 per person being handed to the same ‘private’ enterprises who profit from the manufacture of the weapons that cause people to flee.

      “It neatly illustrates how the trade in border securitisation goes hand in glove with the trade in weapons and is no more than a trade in death.

      “It’s naked corruption, distorting UK society for the profit of the very few, but more importantly generating those profits at the expense of people’s lives.

      “These unimaginable sums of money should be spent on facilitating people’s right to move and right to stay by repairing the damage caused by centuries of slavery and decades of wars.”

      Clare Moseley, founder of Care4Calais, said: “The people we work with in Calais are not a military enemy. They are farmers, families and students who are simply asking for our help.

      “They are running from the most dangerous regimes in the world.

      “Flying expensive drones over the Channel will not stop them coming because they feel they have no choice. There is no way for them to claim UK asylum other than risking their lives in a flimsy boat.

      “The government is wasting taxpayers money while failing to protect some of the most vulnerable people on the planet.”

      https://thecivilfleet.wordpress.com/2021/03/12/uk-government-spent-up-to-1bn-for-military-drones-to-monito
      #complexe_militaro-industriel

  • #SELINA_TODD : D’avoir été privée du droit de parole m’a fait réaliser la valeur de cette liberté
    https://tradfem.wordpress.com/2020/11/23/davoir-ete-privee-du-droit-de-parole-ma-fait-realiser-la-valeur-d

    Mon ange gardien à The Guardian a été éjectée par ses collègues. N’osez pas me dire que « Comment is Free », comme le prétend le bandeau de la page d’opinions de ce journal.

    La semaine dernière, la chroniqueuse Suzanne Moore a démissionné du Guardian, le journal pour lequel elle avait écrit pendant plus de 25 ans.

    Ses écrits n’ont jamais eu peur de remettre en question la pensée de troupeau (groupthink) ou de ridiculiser certains réflexes de tribus. Cela peut souvent être exaspérant, en partie parce qu’elle le fait avec beaucoup de talent. J’ai été en désaccord avec beaucoup de ses opinions au fil des ans ; Suzanne, qui a 62 ans, a même déjà eu l’audace de faire une petite critique d’un livre que j’avais écrit.

    Une des raisons de son départ est une lettre sans précédent adressée au début de l’année par 338 de ses collègues du Guardian à la rédactrice en chef du journal, Kath Viner. Ce texte ne mentionnait pas le nom de Suzanne, mais il a été écrit peu après la publication d’une de ses chroniques. Les auteurs se sont plaints que le journal publiait du « contenu transphobe ».

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://www.thetimes.co.uk/article/a5eb66d6-2a88-11eb-9d71-3a8cfebe9319?shareToken=9e74b903f031f0b7611de016