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  • Débit du Rhône : EDF a dû baisser la puissance d’un réacteur nucléaire
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/debit-du-rhone-edf-du-baisser-la-puissance-dun-reacteur-nuc

    AFP parue le 06 juin 2022 - 20h32

    EDF a dû baisser la production sur l’un des réacteurs nucléaires de sa centrale de Saint-Alban (Isère) en raison d’un trop faible débit du Rhône, alors que la sécheresse menace la France, a-t-on appris lundi auprès de l’entreprise.

    (...)

    Début mai, en pleine vague de chaleur précoce, une baisse de puissance similaire avait été effectuée pour quelques heures sur un réacteur de la centrale du Blayais (Gironde), en bord de Garonne.

    (...)

    EDF en relativise la portée, soulignant qu’en France, les pertes de production pour cause de températures élevées de cours d’eau ont représenté 0,3% de la production nucléaire annuelle depuis 2000.

    • sur l’impact du réchauffement climatique sur la production d’électricité, cet article dans La Tribune du 11/05/2022

      (on appréciera la transition subtile qui de la question initiale conclue que les énergies éolienne et solaire, elles, ont des problèmes en période caniculaire…

      Le nucléaire est-il menacé par le réchauffement climatique ? – La Tribune
      (article du 11/05/2022)
      https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/le-nucleaire-est-il-menace-par-le-rechauffement-climatique-917479.html

      Dans la nuit de lundi à mardi, EDF a très légèrement baissé la production sur l’un des réacteurs nucléaires de sa centrale du Blayais (Gironde) en raison de la vague de chaleur qui touche actuellement la France. Immédiatement récupérée par plusieurs détracteurs de l’atome, cette mesure, inhabituelle à cette période de l’année, devrait néanmoins rester limitée, même en cas de forte hausse des températures du fait du changement climatique. Analyse.

      Le sort s’acharne sur EDF, à l’heure où l’exécutif entend relancer le nucléaire dans l’Hexagone. Et pour cause, tandis qu’un défaut de corrosion identifié dans plusieurs de ses centrales a obligé l’opérateur historique à mettre neuf réacteurs à l’arrêt, un autre événement survenu dans la nuit de lundi à mardi a donné du grain à moudre à de nombreux détracteurs de l’atome, Jean-Luc Mélenchon en tête.

      En effet, des prévisions de températures élevées de l’estuaire de la Gironde ont contraint l’énergéticien a réduire de 100 mégawatts (MW) la puissance mobilisée de la centrale du Blayais (Nouvelle-Aquitaine). Et plusieurs autres installations pourraient être concernées « jusqu’au dimanche 15 mai 2022 », a fait savoir EDF, au moment-même où la France souffre d’un manque de production du parc. De quoi pousser le chef de file de la France Insoumise à qualifier cette source d’énergie décarbonée d’ « intermittente ».

      De fait, un tel ralentissement est inhabituel à cette période de l’année. Surtout, la fréquence de ces incidents a bien tendance à croître : en juillet 2019, pas moins de sept réacteurs avaient subi une réduction de puissance « pour causes externes liées aux conditions climatiques ». Y compris en dehors de l’été, puisque Chooz 2 et Cattenom 4 avaient été stoppés au mois de septembre du fait d’un débit insuffisant des cours d’eau.

      « 2019 a été une année marquante, pas en termes de perte de production au total, mais en termes de puissance indisponible au même moment, puisqu’on a atteint près de 6 GW en moins à cause de la canicule ou de la sécheresse », souligne Tristan Kamin, ingénieur d’études de sûreté nucléaire.

      Et ce risque d’indisponibilité pour les réacteurs sensibles au climat devrait encore augmenter « d’un facteur deux à trois », selon le gestionnaire du réseau électrique national RTE.

      Cela signifie-t-il qu’un mix électrique reposant en partie sur l’atome sera inefficace d’ici à la fin du siècle, alors que les études compilées du Groupe international d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) modélisent une élévation des températures entre +1,5 et +5°C, avec un bouleversement du cycle de l’eau ?

      Des réacteurs plus ou moins concernés
      Dans les faits, les pertes de production nucléaire liées à ces arrêts pour canicule ou sécheresse sont très faibles. D’après RTE, elles s’élèvent en moyenne à 1,4 térawattheure (TWh) par an, sur les 400 TWh environ générés chaque année par l’atome civil en France - même si ce chiffre plafonnera à près de 300 TWh seulement en 2022 à cause notamment du défaut de corrosion. Depuis 2000, les pertes de production pour cause de températures élevées des cours d’eau ont ainsi représenté 0,3% de la production nucléaire annuelle, selon EDF.

      Si les centrales sont sensibles à la météo, c’est parce que les réacteurs et les piscines d’entreposage du combustible usé doivent être refroidis en permanence. Pour ce faire, les installations prélèvent de l’eau dans un estuaire, la mer ou un cours d’eau, et la rejettent plus chaude, tout en devant respecter des seuils de températures maximales pour ne pas nuire à la reproduction des poissons et éviter la prolifération des algues. Dans le cas du Blayais, EDF a ainsi pâti d’un effet de seuil, fait valoir l’énergéticien. Car avant la mi-mai, c’est la norme hivernale qui s’applique, avec un niveau maximal autorisé de 30°C de la Gironde, contre 36,5°C en été.

      « Les causes ne sont jamais liées à des critères de sûreté, mais à des contraintes fixées sur la température et le débit dans chaque cours d’eau », explique à la Tribune Tristan Kamin.

      Surtout, la sensibilité des réacteurs à la météo dépend fortement de leur situation géographique et de leur système de refroidissement. Les 30 qui fonctionnent en circuit fermé s’avèrent en effet moins concernés, puisque l’eau prélevée est faible (de 2 à 4 mètres cube par seconde) et s’évapore en partie via une tour aéroréfrigérante, plutôt que d’être rejetée à la source. A l’inverse, en circuit ouvert comme au Blayais, le volume d’eau prélevé est important (autour de 50 mètres cubes par seconde), et revient en quasi-totalité à la source avec une température plus chaude, sans passer par des tours d’évaporation. Ce sont donc celles-ci qui risquent d’avoir des rejets thermiques trop importants.

      « A cet égard, la centrale de Civaux (Vienne) est un élève modèle, puisqu’elle dispose de deux grosses tours aéroréfrigérante, et deux autres petites tours complémentaires dites « de purge », afin de refroidir une deuxième fois l’eau avant le rejet en rivière. Ce qui permet de supprimer tout échauffement dès que la température à Vienne atteint 25°C. Par conséquent, cette installation n’est jamais touchée par des arrêts pour sécheresse, alors que se situe sur l’un des plus petits cours d’eau », souligne Tristan Kamin.

      Choix des sites
      Afin d’y remédier, EDF a élaboré des modélisations sur différents scénarios climatiques à plusieurs échéances - sachant que les installations actuelles devraient de toute façon toutes être arrêtées d’ici à 2050. Concrètement, l’énergéticien doit estimer les pertes de capacité et de volumes production, en fonction des critères retenus. « C’est un sujet identifié, mais il n’y a aucun problème rédhibitoire, excessivement dangereux ou cher identifié », assure Tristan Kamin.

      Pour ce qui est des futurs réacteurs, dont Emmanuel Macron a annoncé la commande à la fin de l’année dernière, EDF devra tenir compte de cette problématique dans le choix des sites.

      « La modification du parc, la localisation des tranches actuelles qui resteraient en service et le choix des sites d’implantation des nouvelles installations sont autant de paramètres qui influeront sur la disponibilité du parc lors des phases de canicule ou de sécheresse », fait ainsi valoir RTE dans ses scénarios Futurs Energétiques 2050.

      Reste que la sélection sera surtout guidée par l’implantation dans les sites du parc existant. « Il y aura une préférence pour le bord de mer, mais EDF va privilégier les lieux où il y a déjà des centrales, pour des questions de coûts d’acceptabilité », analyse Tristan Kamin.

      Cependant, pour les éventuelles nouvelles installations nucléaires en bord de rivière ou de fleuve, le recours à un fonctionnement en circuit fermé avec tour aéroréfrigérante est devenu obligatoire depuis 2021.

      Tout le système électrique sera touché
      Surtout, au-delà de l’atome, la question de l’impact du réchauffement climatique porte sur le système électrique dans son ensemble. Et pour cause, toutes les installations seront concernées, des barrages aux panneaux solaires, en passant par les éoliennes.

      « Chaque infrastructure a des seuils de tolérance technique. Si on veut exclure une technologie au motif qu’elle est sensible au modèle climatique, autant exclure tout le modèle électrique », glisse Tristan Kamin.

      D’autant que la plus grosse vulnérabilité concernera les périodes froides, où la demande est forte, combinées à un manque de vent. Et pour cause, « le développement des énergies renouvelables variables apporte une sensibilité accrue du système aux aléas météorologiques (vent, rayonnement, température...) », prévient RTE dans son étude Futurs Energétiques 2050. Et d’affirmer que « la question des périodes sans vent devient en particulier centrale dans l’analyse des besoins de flexibilité du système ».

      Mais aussi, paradoxalement, celle des périodes caniculaires pour ce qui est des panneaux solaires, puisqu’au-delà d’une température extérieure de 25°C, leur rendement commence à chuter, à raison de 0,5% par degré.

      Marine Godelier

    • du coup, une petite recherche sur l’expert Tristan Kamin, ingénieur d’études de sûreté nucléaire, dont il n’est pas évident de trouver l’employeur, détail absent, p. ex. de sa bio sur LinkedIn, absent également dans la totalité de ses interventions médiatiques (nombreuses) où il reprend l’intitulé ci-dessus.

      On finit par la trouver sur la présentation de ce membre de la #Génération_Jancovici


      sur le site de la SFEN, Société française d’énergie nucléaire, association fondée en 1973, dont l’objet est de :

      développer les connaissances de toutes celles et ceux qui s’intéressent à l’énergie nucléaire.

      et la vision (à côté du logo) est :

      Permettre aux esprits curieux de partager de nouvelles idées sur l’énergie nucléaire

      dont le bureau rassemble le gratin du secteur


      https://www.sfen.org/qui-sommes-nous/gouvernance

      il fait partie de ces experts très impliqués sur les réseaux dont l’émergence est appréciée par cette même SFEN :

      4/10 – Nucléaire : du nouveau sur les réseaux sociaux - Sfen
      (article de septembre 2020, màj en septembre 2021)
      https://www.sfen.org/rgn/4-10-nucleaire-reseaux-sociaux

      Ils ne s’expriment pas au nom de leur entreprise, mais ne font pas mystère de leur rattachement à leur employeur. Comme ils se plaisent à le rappeler, ils ne font pas de communication, ne portent pas la parole officielle de leur entreprise, mais assument leurs messages à titre personnel. Ce sont ces « nouveaux citoyens », animés par le désir de partager leurs compétences sur les réseaux sociaux et de ne pas laisser passer les idées reçues et les fausses informations. Avec eux, quelque chose est en train de changer dans l’information du public sur le nucléaire. Un changement culturel indéniable, alors qu’apparaissent les signaux, de moins en moins faibles, d’une évolution dans le ton des conversations.

      voir p. ex. ses publications sur le site <l’EnerGEEK />, 6 articles entre août 2018 et octobre 2020
      https://lenergeek.com/author/tristan-kamin

      dont le titre du plus ancien est, justement :

      Nucléaire + canicule : associer deux mots clés pour en faire une polémique stérile (tribune)

      https://lenergeek.com/2018/08/14/nucleaire-canicule-polemique-tristan-kamin-tribune

      une de ses dernières interventions (11/2021) sur le site de la revue Progressistes, sous-titrée Science Travail et Environnement
      « L’énergie nucléaire peut se vanter d’une excellente maîtrise de son potentiel de danger », Tristan Kamin – Science, Travail & Environnement
      https://revue-progressistes.org/2021/11/16/lenergie-nucleaire-peut-se-vanter-dune-excellente-maitrise-de-s

      Pour finir, il a, bien sûr, été repéré par Reporterre

      Comment le nucléaire gagne la bataille des réseaux sociaux
      https://reporterre.net/Comment-le-nucleaire-gagne-la-bataille-des-reseaux-sociaux

      Cette promotion de l’industrie nucléaire se poursuit aussi sur Twitter. Cette fois... par des salariés eux-mêmes. Tristan Kamin, 27 ans, est ingénieur en sûreté nucléaire pour « un industriel privé ». Depuis 2018, il commente sur les réseaux sociaux les sujets d’actualité liés à l’énergie, et décrit certains aspects de son métier dans des séries de tweets. Surtout, il traque impitoyablement tous les contenus critiques du nucléaire, pour les « débunker » (c’est-à-dire montrer qu’ils sont faux).
      […]
      En 2018, l’association Voix du nucléaire a été créée. Elle réunit aujourd’hui près de trois cents adhérents — dont Tristan Kamin, qui fait partie du conseil d’administration — issus de l’industrie pour la plupart d’entre eux. Son but : diffuser, notamment grâce aux réseaux sociaux (Twitter et Linkedin en tête), un discours en faveur du nucléaire.
      […]
      Depuis quelques années, une nouvelle catégorie d’internautes semble d’ailleurs s’intéresser au discours pro-atome. Et, surprise... ils se revendiquent écologistes. Alors que le mouvement écolo français s’est fondé sur des racines profondément antinucléaires, on observe pourtant une augmentation du nombre de personnes estimant que l’énergie atomique, peu émettrice de gaz à effet de serre, pourrait être un atout dans la lutte contre le changement climatique.
      […]
      Cette position est incarnée par une personne : Jean-Marc Jancovici. Ce consultant et spécialiste de l’énergie, surnommé « JMJ » par sa communauté de fans, rencontre un franc succès sur les réseaux sociaux.

  • La Russie dit prendre des mesures pour « minimiser » l’impact de l’embargo sur son pétrole
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/la-russie-dit-prendre-des-mesures-pour-minimiser-limpact-de

    La Russie a jusqu’à présent toujours relativisé la portée des sanctions économiques prises depuis le début de l’intervention en Ukraine par les pays occidentaux. Moscou peut encore compter sur sa manne gazière, dont les Européens sont dépendants.

    L’effet des sanctions commence toutefois à se faire sentir, avec notamment une accélération de l’inflation, et nombre d’économistes estiment que la situation va s’aggraver dans les prochains mois.

    Les économies ne pouvant se décider de se passer de pétrole du jour au lendemain, ce que les européens n’achèterons plus aux russes, ils vont devoir l’acheter à d’autres. Ce que les autres ne vendaient pas aux européens, ils le vendaient à d’autres. L’offre de pétrole ne pouvant augmenter d’un coup de baguette magique, ce que les uns vont désormais vendre aux européens, ils ne le vendront pas à d’autres. Et les russes, donc, vont pouvoir vendre leur pétrole à ces autres. Nous sommes dans une sorte de jeu à somme nulle.

    Tout ça pour ça, pourrait-on dire.

    Comme la conclusion le signale, les effets des sanctions se font sentir, par l’inflation, conséquence dont on ne sait pas s’il faut y voir un succès ou un échec, et si ces conséquences s’appliquent aux russes ou aux européens.

    • Pétrole : la Russie souhaite poursuivre la coopération dans le cadre de l’OPEP+
      https://www.connaissancedesenergies.org/afp/petrole-la-russie-souhaite-poursuivre-la-cooperation-dans-l

      Selon un article du Wall Street Journal publié mardi, les membres de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) étudient la possibilité de soustraire la Russie du plan de production décidé en juillet dernier avec leurs alliés de l’accord Opep+. Ceci permettrait ainsi aux quelques pays encore en mesure de relever sensiblement leur production, en premier lieu l’Arabie saoudite, de monter en régime.

    • Pétrole : l’Opep+ en conclave après la mise au ban de la Russie
      https://www.connaissancedesenergies.org/afp/petrole-lopep-en-conclave-apres-la-mise-au-ban-de-la-russie

      Pour l’heure, « l’Opep+ va sans doute s’en tenir à ses plans et ne fera pas de miracles à cette réunion », juge Ipek Ozkardeskaya, de Swissquote Bank, misant plutôt sur des évolutions « d’ici fin septembre ».

      Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faisal bin Farhan, a réaffirmé lors du récent Forum économique mondial de Davos que « le royaume avait fait ce qu’il pouvait », selon la presse économique.

      « La situation est plus complexe que simplement ajouter des barils au marché », a-t-il insisté, tandis que les membres du G7 pointaient le « rôle clé » de l’Opep+ face au « resserrement des marchés internationaux ».

      Si les économies du Golfe restent sourdes aux appels, c’est aussi parce qu’elles tirent des bénéfices juteux d’un baril bien au-delà de 100 dollars : l’Arabie saoudite a ainsi enregistré au premier trimestre sa croissance la plus forte en dix ans.

      Dans ce contexte, pas sûr que se dissipent rapidement « les réticences envers une large ouverture des robinets », fait valoir Susannah Streeter, chez Hargreaves Lansdown.

      Et même si elle le voulait, l’Opep+ ne pourrait pas remplacer tous les volumes perdus de la Russie du fait des difficultés de certains de ses membres à atteindre leurs quotas, rappelle l’analyste.

  • L’Afrique s’inquiète des conséquences des sanctions européennes
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/lafrique-sinquiete-des-consequences-des-sanctions-europeenn

    (...)
    « Quand le système Swift est perturbé, cela veut dire que même si les produits (à acheter) existent, le paiement devient compliqué, voire impossible. Je voudrais insister pour que des solutions idoines soient trouvées », a déclaré Macky Sall aux dirigeants des Vingt-Sept réunis en sommet à Bruxelles.
    (...)
    Pour autant, « il est important que l’UE et l’UA parlent d’une seule voix, avec un message aligné sur le fait que le blocage des exportations de blé est dû à la guerre en Ukraine et non aux sanctions européennes », insiste une source européenne.

    Il est important de rappeler que si y-a des morts, c’est pas nous les responsables, comme dans la méditerranée, ou la manche, et tout et tout...

  • Washington lance un plan à 3,5 milliards USD pour le captage de CO2 dans l’air
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/washington-lance-un-plan-35-milliards-usd-pour-le-captage-d

    Le gouvernement américain a lancé jeudi un plan prévoyant 3,5 milliards de dollars pour des projets de captage de dioxyde de carbone (CO2) directement dans l’air, une technologie récente considérée comme une possible solution dans la lutte contre le changement climatique.

    Plutôt le capter que de ne plus le produire.

  • Finlande : l’opérateur du réseau assure pouvoir se passer de l’électricité russe
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/finlande-loperateur-du-reseau-assure-pouvoir-se-passer-de-l

    L’opérateur du réseau électrique finlandais a assuré pouvoir se passer des importations de courant venues de Russie, suspendues à partir de samedi à cause d’impayés, au moment où la Finlande s’apprête à annoncer sa candidature à l’Otan.

    « Nous étions préparés à cela et ce ne sera pas difficile. On peut gérer avec un peu plus d’importations de Suède et de Norvège », a déclaré vendredi à l’AFP Timo Kaukonen, un responsable des opérations de l’opérateur Fingrid.

    Nananèreuh.

  • Australie : 91% de la Grande Barrière de corail a subi un « blanchissement »
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/australie-91-de-la-grande-barriere-de-corail-subi-un-blanch

    Environ 91% de la Grande Barrière de corail d’Australie a subi un « blanchissement » en raison d’une vague de chaleur prolongée lors de l’été austral, selon un nouveau rapport gouvernemental publié mardi soir.

    Sur les 719 récifs étudiés, 654, soit 91%, présentent un certain niveau de blanchissement des coraux.

    C’est la première fois que le plus grand récif corallien du monde est touché par un tel blanchissement au cours du phénomène climatique La Niña, habituellement caractérisé par une température anormalement basse des eaux.

  • Londres va renationaliser en partie la gestion de son réseau électrique
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/londres-va-renationaliser-en-partie-la-gestion-de-son-resea

    Londres va créer un nouvel organisme de gestion du réseau énergétique britannique pour assurer la sureté de son système et une transition vers la neutralité carbone « fluide », ce qui passera par une nationalisation d’activités de la société cotée National Grid.

  • Dans les ports européens, la question du blocage des navires russes avance
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/dans-les-ports-europeens-la-question-du-blocage-des-navires

    Si les 27 choisissaient d’imiter Londres et que la Russie décidait de représailles contre les navires de l’UE, « cela pourrait perturber significativement les exportations russes à court terme », note Niels Rasmussen, analyste en chef à l’organisation d’armateurs Bimco.

    « A moyen terme cependant, il est probable que des navires non russes et non européens se positionnent sur la liaison Russie-Europe » tandis que les tankers sous sanctions « iraient sur d’autres marchés », dit-il à l’AFP.

    • ce blocage a été initié par des dockers, en Italie et en Suède

      Ailleurs en Europe, les initiatives sont restées limitées, comme au grand port français du Havre, où la CGT dockers s’est refusée à suspendre le déchargement des bateaux russes. « Ça ne peut être qu’une décision prise à l’échelle européenne », justifie Johan Fortier, représentant du syndicat dans le deuxième port français, interrogé avant l’annonce d’une possible décision de l’UE. « Sinon, le port du Havre ou les ports français vont se tirer une balle dans le pied, avec des trafics qui vont se déporter vers les ports qui ferment les yeux ».

      #ports #dockers #guerre

  • Trêve au Yémen : des pétroliers arrivés à Hodeida, les premiers en trois mois
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/treve-au-yemen-des-petroliers-arrives-hodeida-les-premiers-

    Le conflit au Yémen oppose les forces loyales au gouvernement, appuyées depuis 2015 par une coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite voisine, aux Houthis, des rebelles soutenus eux par l’Iran, grand rival de Ryad dans le Golfe.

    La coalition, qui comprend les Emirats arabes unis, contrôle l’espace aérien et maritime du Yémen, y compris dans les zones tenues par les rebelles, à l’instar de la capitale Sanaa et des ports de Hodeida, stratégiques pour l’entrée des importations essentielles et de l’aide humanitaire.

    (...)

    La guerre au Yémen a provoqué l’une des pires tragédies humanitaires au monde, faisant des centaines de milliers de morts et des millions de déplacés. Une grande partie de la population de 30 millions d’habitants est confrontée à une grave insécurité alimentaire.

  • Venezuela : plus de 200 morts dans les hôpitaux en raison des coupures de courant
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/venezuela-plus-de-200-morts-dans-les-hopitaux-en-raison-des

    Le Venezuela connaît des coupures d’électricité constantes depuis plus de dix ans.

    Le pouvoir du président Nicolas Maduro les attribue généralement à des actes de sabotage, ainsi qu’aux sanctions internationales destinées à l’évincer du pouvoir.

    Toutefois, les experts s’accordent à dire que la crise énergétique dans les hôpitaux est le résultat d’années de mauvaise gestion et de manque d’investissement.

    Yaka pas avoir de sanctions, et yaka bien gérer.

  • Demander le paiement du gaz russe en roubles n’est « pas acceptable », affirme le G7
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/demander-le-paiement-du-gaz-russe-en-roubles-nest-pas-accep

    « Tous les ministres du G7 sont tombés d’accord sur le fait qu’il s’agissait d’une violation unilatérale et claire des contrats existants (...) ce qui signifie qu’un paiement en roubles n’est pas acceptable », a dit M. Habeck, à l’issue d’une réunion virtuelle avec ses homologues du G7.

    « Je pense qu’il faut interpréter cette demande comme le fait que Poutine est dos au mur », a-t-il ajouté.

    Vladimir Poutine a annoncé la semaine dernière que la Russie n’accepterait plus de paiements en dollars ou en euros pour les livraisons de gaz à l’UE, donnant une semaine aux autorités russes pour élaborer un nouveau système de règlement en roubles.

    Le feuilleton continue. Les européens sanctionnent à longueur de mois depuis 10 ans, et rompent de fait leurs contrats, mais ils souhaitent que les sanctionnés respectent leurs contrats.

    Quand l’entreprise Renault quitte du jour au lendemain la Russie, respecte-t-elle ses contrats ? Et tous les autres qui partent du jour au lendemain ? Ils disent qu’ils partent... mais le font-ils vraiment ? Comment vont-ils faire pour assumer les ruptures de contrats sous-jacentes ?

  • Pétrole : les Émirats arabes unis réaffirment leur attachement à l’OPEP+ et taclent les Occidentaux
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/petrole-les-emirats-arabes-unis-reaffirment-leur-attachemen

    Alors que les pays occidentaux pressent l’OPEP, qui doit se réunir le 31 mars, à augmenter sa production pour freiner l’envolée des prix du brut, le ministre émirati a estimé que cela était « difficile », alors que certains pays membres font face à un déclin de leur production, en raison de la baisse des investissements dans le secteur pétrolier.

    « Lors de la COP 26 (sur le climat), tous les pays producteurs se sont sentis indésirables (...) Aujourd’hui, parce qu’ils veulent qu’on augmente notre production, on est à nouveau des supers héros. Mais ça ne marche pas comme ça », a-t-il ironisé. Le ministre a plaidé pour des investissements à long terme dans le secteur et une approche plus « raisonnable » vis-à-vis de la transition énergétique. Il a également mis en garde contre l’impact de la guerre en Ukraine sur les prix de toutes les matières premières, et pas seulement l’énergie, en appelant à un règlement « diplomatique » du conflit.

  • Forum de Doha : Zelensky accuse la Russie de pousser à la course aux armes nucléaires | Connaissances des énergies
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/forum-de-doha-zelensky-accuse-la-russie-de-pousser-la-cours

    La Russie alimente une dangereuse course aux armements en mettant en avant son arsenal nucléaire, a dénoncé samedi le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une intervention vidéo au Forum de Doha, organisé par le Qatar.

    Les américains, en quittant tous les traités sur le sujet depuis le début du millénaire n’ont évidemment aucune responsabilité dans cette relance de la course aux armements.

    Dans le même temps, les gentils te disent qu’ils sont gentils, et que le nucléaire, c’est comme le reste, on l’utilise. Si vous comprenez le goubliboulga ci-dessous, bravo.

    Biden réaffirme la Doctrine Nucléaire Américaine face à la menace russe Par Investing.com
    https://fr.investing.com/news/world-news/biden-reaffirme-la-doctrine-nucleaire-americaine-face-a-la-menace-russ

    Hier soir, le Wall Street Journal a révélé que le président Biden, est revenu sur sa promesse de travailler à une politique dans laquelle le « seul » but de l’arsenal nucléaire américain serait de dissuader ou de répondre à une attaque nucléaire ennemie.

    Cependant, M. Biden aurait selon le WSJ pris la décision en début de semaine, sous la pression des alliés, d’utiliser une formulation différente qui stipule que le "rôle fondamental" de l’arsenal nucléaire américain sera de dissuader les attaques nucléaires.

    Cette formulation prudente laisse ouverte la possibilité que les armes nucléaires puissent également être utilisées dans des "circonstances extrêmes" pour dissuader des attaques ennemies conventionnelles, biologiques, chimiques et éventuellement cybernétiques, ont déclaré les responsables cités par le WSJ.

    Rappelons que pendant la guerre froide, les États-Unis se sont réservé le droit d’utiliser des armes nucléaires en réponse à une attaque conventionnelle pour compenser l’avantage numérique du bloc soviétique. Ensuite, après avoir renoncé aux armes chimiques et biologiques conformément aux traités de contrôle des armements, le pays a ensuite modifié sa doctrine nucléaire pour spécifier son droit d’utiliser des armes nucléaires pour dissuader des attaques au gaz toxique et aux armes bactériologiques dans certaines circonstances.

    Soulignons que l’OTAN s’était montré réticente à une doctrine d’utilisation de l’arme nucléaire uniquement en cas de menace du même type, craignant que cela n’affaiblisse la dissuasion contre une attaque conventionnelle russe contre l’alliance.

    • Dmitri Medvedev liste les cas précis où la Russie pourrait avoir recours à l’arme nucléaire
      https://www.bfmtv.com/international/dmitri-medvedev-liste-les-cas-precis-ou-la-russie-pourrait-avoir-recours-a-l-

      Medvedev rappelle « les bases »

      Après que le régime de Moscou a fait référence à plusieurs reprises à un possible emploi de sa force nucléaire depuis son invasion de l’Ukraine, le vice-président du Conseil de sécurité de la Russie et ex-président de la Fédération, Dmitri Medvedev, a strictement précisé auprès du Guardian le cadre qui occasionnerait le franchissement de ce point de non-retour.

      « Nous avons un document spécifique sur le sujet de la dissuasion nucléaire. Il indique clairement les bases sur lesquelles la Fédération de Russie peut légitimement utiliser ses armes nucléaires. Il y en a très peu, permettez-moi de vous les rappeler », a d’abord lancé celui qui fut aussi le Premier ministre de Vladimir Poutine jusqu’en 2020.

      « Le premier cas est celui dans lequel la Russie est frappée par un missile nucléaire. Le second désigne toute utilisation d’une autre arme nucléaire contre la Russie ou ses alliés. Le troisième serait une attaque contre une infrastructure vitale qui paralyserait nos forces de dissuasion nucléaires. Et le quatrième cas serait un acte d’agression contre la Russie et ses alliés, menaçant l’existence du pays lui-même, même sans utilisation d’armes nucléaires, c’est-à-dire avec l’emploi d’armes conventionnelles », a-t-il énuméré.

  • Exiger le paiement du gaz russe en roubles est une « rupture de contrat », dénonce Berlin
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/exiger-le-paiement-du-gaz-russe-en-roubles-est-une-rupture-

    L’Allemagne a critiqué mercredi une « rupture de contrat » après l’annonce par le président russe Vladimir Poutine que Moscou n’accepterait plus de paiements en dollars ou en euros en échange de ses livraisons de gaz à l’Union européenne.

    Cette exigence « constitue une rupture de contrat », a déclaré le ministre de l’Économie Robert Habeck lors d’une conférence de presse à Berlin.

    « Nous allons maintenant discuter avec nos partenaires européens de la manière de répondre à cette demande », a-t-il ajouté.

    Les Russes, ces individus abjects qui ne respectent pas les contrats.

    Notons que les sanctions occidentales qui s’accumulent depuis bientôt 10 ans ne sont pas des ruptures de contrats.

    Souvenirs d’il y a 10 ans, quand la Grèce devait se soumettre aux divers diktats européens, et où il n’était pas question d’une quelconque souveraineté grecque.

  • Poutine ne veut plus de dollars et d’euros pour le gaz russe livré à l’UE
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/poutine-ne-veut-plus-de-dollars-et-deuros-pour-le-gaz-russe

    Vladimir Poutine a annoncé mercredi que la Russie n’acceptera plus de paiements en dollars ou en euros pour les livraisons de gaz à l’UE, donnant une semaine aux autorités russes pour élaborer le nouveau système en roubles.

    « J’ai pris la décision de mettre en oeuvre un ensemble de mesures pour passer au paiement en roubles de notre gaz livré aux pays hostiles, et de renoncer dans tous les règlements aux devises qui ont été compromises », a dit le président russe lors d’une réunion gouvernementale, expliquant qu’il s’agissait d’une réaction au gel des actifs de la Russie en Occident à cause de son offensive en Ukraine.

    M. Poutine a demandé à la banque centrale et au gouvernement d’établir « dans un délai d’une semaine » le nouveau système qui doit être « clair, transparent » et implique « l’acquisition de roubles sur le marché » russe des changes.

    Cette annonce a eu un effet immédiat sur la devise russe, qui s’est renforcée face à l’euro et au dollar, alors qu’elle s’était écroulée dès le 24 février et l’entrée des forces russes en Ukraine.

    Notez que la défaite quotidienne des russes est entrée dans une nouvelle étape ce jour, puisque c’est Biden et le Pentagone qui l’annoncent.

    Je ne dis pas que l’armée russe va conquérir l’Ukraine. Mais je crains que comme je l’indique depuis plusieurs semaines, cela se termine en nouvel Afghanistan, avec une guerre qui va devenir de plus en plus sale, et un pays qui va se retrouver effectivement réduit à l’état de champ de ruines.

    • Andrew S. Weiss :
      https://twitter.com/andrewsweiss/status/1506622495977259016

      THREAD: Things are not going well for Putin in Ukraine war. But slew of news today should remind everyone that Putin definitely knows how to build and exploit leverage. 1/x

      Take Putin’s unexpected announcement that EU countries will now have to pay for natural gas shipments in rubles, not euros. That move, plus a Russian-directed shutdown of the Caspian Pipeline (1 mln/bpd), are pushing oil prices back to the $120 level today. 2/x

      Germany’s Olaf Scholz announced in a speech today that Europe should not impose sanctions on Russian oil/gas, raising the spectre of massive job losses and a Europe-wide recession.
      https://www.reuters.com/world/europe/europe-cannot-end-russia-energy-dependence-overnight-scholz-2022-03-23

      3/x

      Just as Biden lands in Europe, Moscow is trying to damage some of the much-touted Western unity over how to punish the Kremlin under pressure. It’s probably a manageable challenge for US and Germany policymakers but hardly desirable under the circumstances. 4/x

      The bigger question for Biden, Scholz, et al is how to manage this crisis over the long-term and to deal with the limitations of the West’s toolkit. What if Putin refuses to slow down his devastating attacks on major cities across Ukraine and kills huge number of civilians? 5/x

      Yet Western leaders are being stampeded by public anger. Every single day they are being forced to “do something” to hurt Putin. Their main response is to impose sweeping sanctions on Russia. The White House and the EU will highlight that during Biden’s trip. 6/x

      But money is always fungible (esp if you’re in the oil/gas business!), and there is a big timing mismatch between the imposition of sanctions and the impact on the Kremlin. How long will it take to starve the Russian war machine? 7/x

      In short, the West is entering a pain contest with Vladimir Putin. Can Joe Biden tolerate an uninterrupted spike in energy prices and the pass-through to inflation from other disruptions in global commodities markets and supply chains? 8/x

      The moral imperative to support Ukraine in their defense against a Russian invasion is 100% unquestionable. Yet Ukraine’s remarkable s/t successes on the battlefield may not immediately impact Kremlin decisionmaking about how much punishment Russia is willing to absorb. 9/x

      Does Putin get accurate information from his generals? Does he even trust it? Impossible to say. But what we know for sure is that Putin has routinely used escalation in such situations to upend his opponents’ best-laid plans. No reason to doubt that that’s changed. END

  • Baisser le chauffage, piste « pas négligeable » pour réduire la dépendance au gaz russe, dit Engie
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/baisser-le-chauffage-piste-pas-negligeable-pour-reduire-la-

    Baisser d’un degré le chauffage aurait un effet « pas négligeable » sur la consommation de gaz, a estimé lundi la patronne du géant énergétique français Engie, alors que les Européens cherchent à réduire leur dépendance à l’égard de la Russie.

    On pourrait aussi le couper. Tant qu’à faire.

  • Nucléaire iranien : « urgence critique à conclure les négociations cette semaine », affirme Paris
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/nucleaire-iranien-urgence-critique-conclure-les-negociation

    Il y a une « urgence critique » à ce que les négociateurs réunis à Vienne sur le dossier du nucléaire iranien arrivent à un accord « cette semaine », a estimé lundi le ministère français des Affaires étrangères.

    Il y a « une urgence critique à conclure les négociations cette semaine », a déclaré la porte-parole du Quai d’Orsay.

    Le négociateur en chef de l’Iran Ali Baghéri est revenu dimanche à Vienne pour poursuivre les négociations avec les grandes puissances sur le dossier nucléaire iranien.

    Ces derniers jours, des négociateurs ont fait état d’avancées dans les pourparlers de Vienne visant à sauver l’accord nucléaire conclu en 2015 entre l’Iran, les Etats-Unis, la Chine, la France, le Royaume-Uni, la Russie et l’Allemagne.

    L’enjeu est de faire revenir dans l’accord les Etats-Unis, qui s’étaient retirés en 2018 en rétablissant des sanctions contre l’Iran. Téhéran avait en réaction rompu ses engagements liés à ses activités nucléaires sensibles.

  • Bruno Le Maire salue la « sage décision » allemande de suspendre la mise en service de Nord Stream 2
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/bruno-le-maire-salue-la-sage-decision-allemande-de-suspendr

    L’annonce de Berlin est un « tournant majeur », a affirmé mardi un haut responsable américain, qui « libérera l’Europe de l’étau géostratégique russe du fait de son approvisionnement en gaz naturel ».

    Les américains se frottent les mains. Ils vont pouvoir continuer à vendre du gaz russe aux européens.

  • Climat : les émissions de méthane largement sous-estimées, alerte l’AIE
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/climat-les-emissions-de-methane-largement-sous-estimees-ale

    Les émissions de méthane du secteur de l’énergie sont largement sous-estimées dans les déclarations officielles, alerte mercredi l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui appelle à agir contre ce puissant gaz à effet de serre pour lutter contre le dérèglement climatique.

    Selon le Global Methane Tracker 2022 de l’AIE, les émissions de méthane liées aux secteurs du pétrole, du gaz et du charbon sont reparties à la hausse, avec +5% en 2021.

    Dans les faits, elles sont aussi environ 70% supérieures aux chiffres produits par les Etats, ajoute l’Agence, qui appelle à « plus de transparence » et à « des mesures plus fortes et immédiates ».

  • EDF renfloué par l’État au début d’une année 2022 difficile
    https://www.connaissancedesenergies.org/afp/edf-renfloue-par-letat-au-debut-dune-annee-2022-difficile-2

    EDF a annoncé vendredi un « plan d’actions » avec un renflouement de l’État pour renforcer ses finances alors que l’année 2022 s’annonce difficile avec des problèmes dans la production nucléaire et les mesures du gouvernement pour limiter la hausse des factures d’électricité.

    Toutes les entreprises d’énergie font des bénéfices records, mais EDF doit être renflouée.
    Y-aurait pas comme une fuite qq part ?