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  • Vaccin obligatoire : en Guadeloupe, un « absentéisme massif » des soignants à l’hôpital
    https://www.lavoixdunord.fr/1093895/article/2021-11-03/vaccin-obligatoire-en-guadeloupe-un-absenteisme-massif-des-soignants-l-

    La direction du CHU de la Guadeloupe a dénoncé mercredi un « taux d’absentéisme massif » parmi ses personnels, en soupçonnant « des arrêts de complaisance » et la conduisant à envisager de « saisir le Conseil de l’ordre des médecins ».


    Les arrêts de travail se multiplient depuis quelques jours au CHU de Guadeloupe. - AFP

    Selon les autorités hospitalières de Guadeloupe, le taux d’absentéisme « avoisine dans certains services soignants 30 % » avec des arrêts de travail qui se multiplient depuis quelques jours. Le centre hospitalier guadeloupéen https://www.lci.fr/societe/covid-19-vaccination-obligatoire-le-chu-de-guadeloupe-condamne-des-operations-co souligne toutefois « un taux de conformité de plus de 80 % aux obligations vaccinales » des personnels de l’établissement, contre 30 % mi-septembre.

    « Le nombre d’arrêts maladie observés depuis le 25 octobre est anormalement élevé en cette période, par comparaison avec les périodes identiques des années passées », a souligné le directeur du CHU, Gérard Cotellon, en décelant un « absentéisme inexplicable autrement que par des arrêts de complaisance ».

    Selon lui, « le CHU est contraint de mutualiser plusieurs services chirurgicaux et médicaux dans le cadre d’un Plan de continuité de ses activités ». Il a par ailleurs appelé « tous les professionnels de santé prescripteurs à assumer pleinement les responsabilités » et s’est réservé « le droit de saisir le Conseil de l’ordre des médecins et la Caisse Générale de Sécurité Sociale de la Guadeloupe de cette situation ».

    « Tout le monde tombe malade à la même date »
    Le directeur adjoint du CHU de Pointe-à-Pitre/Abymes, Cédric Zolezzi, a ironisé auprès de l’AFP : « C’est très étonnant que tout le monde tombe malade à la même date dans des proportions pareilles ». « On peut imaginer des gestes de solidarité ou de protestation quand bien même ces personnes seraient en règle pour ce qui les concerne personnellement », a-t-il poursuivi, alors que la situation sociale en Guadeloupe s’est tendue ces dernières semaines sur fond de contestations de l’obligation vaccinale des soignants https://www.20minutes.fr/sante/3160491-20211029-coronavirus-guadeloupe-vaccination-avance-pass-sanitaire- .

    Environ 600 d’entre eux ont été suspendus, sur 3 300 agents, a précisé Cédric Zolezzi, en faisant valoir que des régularisations avaient également lieu « chaque jour », mettant fin aux suspensions. « Ils ont la monnaie de leur pièce » car « 80 % des personnes qui ont été se faire vacciner l’ont été sous la contrainte », a pour sa part commenté Gaby Clavier, délégué syndical de l’UTS UGTG au CHU, interrogé par l’AFP.

    #Guadeloupe #Grève #médecine #médecins #doctoresse #docteurs #passsanitaire #covid-19 #santé #coronavirus #sante #confinement #crise_sanitaire #vaccination #pandémie #variant #santé_publique #sars-cov-2

  • Vaccination : Olivier Véran « envoie un signal » de mobilisation en recevant sa troisième dose
    https://www.20minutes.fr/sante/3158475-20211027-vaccination-olivier-veran-envoie-signal-mobilisation-rece

    « J’en ai profité pour faire dans le même mouvement et dans l’autre bras la vaccination contre la grippe », précise le ministre, qui entend envoyer « un signal ».

    Je note pour ce #zeugma d’une exceptionnelle qualité.

  • Coronavirus : Quel est le seuil d’#anticorps protecteur contre une (ré)infection ?
    https://www.20minutes.fr/sante/3129343-20210922-coronavirus-seuil-anticorps-protecteur-contre-reinfection

    Après une sérologie, elle [biostatisticienne] a pu établir les niveaux d’anticorps dans le sang qui permettent de protéger, ou pas, contre le #SARS-CoV-2. « Ceux qui ont un titre d’anticorps totaux en deçà de 141 ont un taux de protection de 12,4 %. Pour ceux qui avaient un titre d’anticorps au-dessus de 1.700, il n’y avait eu aucune infection ou réinfection. Entre les deux, le taux de protection avoisine les 90 % de protection, ce qui veut dire qu’ils sont protégés à 90 % d’une infection et a fortiori d’une forme grave », détaille la chercheuse.

    […]

    La très grande majorité des personnes infectées puis vaccinées présentait un titre d’anticorps supérieur au seuil fatidique des 1.700 un mois après leur première injection, certains atteignant même le même le chiffre de 147.000, autant dire une protection XXXL.

    Un mois après leur deuxième dose, aucun des salariés vaccinés ne présentait un titre d’anticorps inférieur au seuil fatidique des 141. « Il y en a seulement quelques-uns au-dessus de 1.700 mais l’écrasante majorité se situe dans la catégorie intermédiaire », précise la bio statisticienne.

    En revanche, parmi les personnes infectées mais non vaccinées, 79,3 % se retrouvaient trois mois après leur infection avec des titres d’anticorps totaux inférieur à 141, […]

    Source : Antibody titers and protection against a SARS-CoV-2 infection - Journal of Infection
    https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00483-7/abstract

    #vaccins

  • Coronavirus : Les arrêts de travail ont explosé en 2020 dans les entreprises françaises, selon une étude
    https://www.20minutes.fr/sante/3114795-20210902-coronavirus-arrets-travail-explose-2020-entreprises-franc

    Plus d’un tiers des employés des entreprises françaises (34,07 %) ont été arrêtés en 2020, un bond de plus de six points de pourcentage par rapport à 2019. Ces arrêts dérogatoires ont alimenté la hausse des arrêts maladies (+43 % en 2020), tandis que la part des arrêts ATMP (accidents du travail/maladies professionnelles) dans le taux global d’absentéisme est restée stable.

  • Thread : Avec la concurrence, les antivax deviennent des sceptiques !

    « L’ARN, une technologie qui fait de nombreux sceptiques »

    « Les vaccins à vecteur viral suscitent beaucoup de frilosité »

    Mais..

    « Sanofi, une technologie innovante & éprouvée »

    https://www.20minutes.fr/sante/3109967-20210827-coronavirus-quoi-vaccins-francais-valneva-sanofi-prevus-f

    https://twitter.com/DocteurGonzo4/status/1433280355180679169

    Avec l’arrivée du vaccin #Sanofi

    « La flambée inquiétante des #antivax-complotistes »

    devient..

    « Convaincre les sceptiques en proposant à une partie de la population un petit peu hésitante par rapport aux nouvelles technologies une technologie éprouvée »

    On en arrive à lire des choses absurdes du style :

    « Les antivax ne sont en fait pas tous hostiles aux vaccins »

    « Ces antivax qui attendent un vaccin français »

    Il a fallu aux journalistes aller chercher des philosophes et des chercheurs du CNRS pour comprendre pourquoi la plupart des antivax ne s’opposent en réalité pas, par principe, aux vaccins.

    Incroyable : ils requièrent en fait simplement « du recul et des garanties. » ....

    #marketing

  • Sachant la date de début de la campagne de vaccination ainsi que les taux de diminution de la protection des vaccins dans le temps, déterminez :

    1/ la date de la 3ème dose de vaccin
    2/ la date des rappels de vaccins
    3/ le nombre de doses à fabriquer
    4/ la valeur du cours boursier des différents laboratoires au 31 décembre 2021

    vous avez 2 heures, calculette autorisée.

    Covid-19 : Moins de 10 millions de Français restent à vacciner
    https://www.20minutes.fr/sante/3113127-20210831-vaccination-moins-10-millions-francais-recu-aucune-dose-c

    Lundi soir, 48,5 millions de personnes avaient reçu au moins une injection sur environ 58 millions de personnes éligibles, et 43,9 étaient complètement vaccinées, alors que se profile l’obligation vaccinale pour de nombreuses professions (dont les soignants) mi-septembre et l’entrée en vigueur du pass sanitaire pour les adolescents fin septembre. Le gouvernement avait fixé comme objectif 50 millions de primo-vaccinés fin août.

  • Coronavirus : « Plus il va y avoir de gens vaccinés et immunisés, plus les variants à échappement immunitaire vont avoir un avantage »
    https://www.20minutes.fr/sante/3029723-20210426-coronavirus-plus-va-avoir-gens-vaccines-immunises-plus-va

    INTERVIEW Les variants moins sensibles à la vaccination pourraient se propager davantage lorsque la population sera immunisée contre le variant britannique, si les mesures barrières sont relâchées trop rapidement, explique Jean-Stéphane Dhersin, spécialiste des modélisations d’épidémies

    Et toc ! On espère juste que les sacrificateurs adeptes de la croissance et du PIB y passent avant nous. Comme quoi l’immunité dite "de troupeau", c’est pas ce qu’on croit hein ? ...

  • Covid-19 : les soignants de « réa » s’inquiètent d’un afflux de patients plus jeunes - Coronavirus - Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/coronavirus/covid-19-les-soignants-de-rea-s-inquietent-d-un-afflux-de-patients-plus

    Des patients plus jeunes, sans comorbidités, qui développent des formes graves de la covid-19 et occupent des lits de réanimation : la troisième vague de l’épidémie inquiète gouvernement et médecins. « Des jeunes trentenaires, de 40 et quelques années, et qui n’ont pas forcément de comorbidités mais qui développent des formes graves ou intermédiaire_s » de la maladie affluent à l’hôpital, témoigne Patrick Pelloux. « _On n’est pas du tout dans le même cadre que l’an dernier », poursuit le président de l’Association des médecins urgentistes de France (Amuf).
    […]
    « Quelque chose a changé, mais on ne sait pas quoi »
    Ces nouveaux malades sont « de toutes les origines (africaines, asiatiques, caucasiennes) », de « tous les milieux sociaux », souligne le Dr Pelloux, qui se dit qu’« il s’est passé quelque chose dans l’épidémie. Quelque chose a changé, mais on ne sait pas quoi ». Relativement épargnés jusqu’à présent, les jeunes n’ont pas les bons réflexes et sont pris en charge un peu trop tard, selon lui : « Ils regardent sur internet pour trouver des réponses, tout en négligeant leurs symptômes, et retardent leurs appels aux services d’urgence et à leur médecin traitant ». Résultat : « Quand on arrive, c’est plus grave que si on avait donné un traitement plus précocement, avec de l’oxygène voire des corticoïdes », s’agace Patrick Pelloux.

    Un constat que partage Lidye (†), 33 ans, infirmière à l’hôpital privé Foch de Suresnes (Hauts-de-Seine) : « Les moins de 50 ans se disent qu’ils sont coriaces, invincibles, et tardent à appeler pour être pris en charge. Or, cette maladie touche tout le monde, qu’on soit sportif ou non, qu’on mange sainement ou non ». « Une fois que les poumons sont touchés, c’est plus compliqué », souffle l’infirmière mais, cette fois, avec l’expérience acquise en un an. « On n’est pas sur un protocole où on sédate la personne tout de suite et on l’intube. Là, on les garde éveillés et on leur donne de l’oxygène. »

    La troisième vague n’épargne aucune tranche d’âge
    Pour Mathias Wargon, « on a l’impression » que les patients admis en réanimation « sont plus jeunes. Mais que disent les statistiques ? », interroge cet urgentiste de Seine-Saint-Denis, en faisant valoir que si « on a un peu moins de vieux », c’est que « les vieux sont vaccinés ». « Depuis septembre, lorsqu’on regarde l’incidence par classe d’âge, on observe qu’elle augmente le plus chez les 20-29 ans, et cette augmentation se diffuse sur les autres classes d’âge », relève le Dr Wargon.

    Selon les dernières données de Santé Publique France, la troisième vague, attisée par le variant anglais, n’épargne aucune tranche d’âge, y compris chez les actifs. Ainsi, vendredi, on décomptait 120 personnes âgées de 30 à 39 ans en réanimation sur le territoire national (103 le 27 février), 339 chez les 40-49 ans (contre 228), 801 chez les 50-59 ans (contre 542).

    Selon Stéphane Gaudry, professeur de médecine intensive et réanimation à l’hôpital Avicenne, à Bobigny, la moyenne d’âge des patients accueillis a diminué, passant d’« environ 65 ans il y a six semaines à plutôt 56-57 ans maintenant ». « Les appels au Samu de Paris ont augmenté de 30 % en à peine cinq jours », détaille Patrick Pelloux, qui plaide pour « une vaccination de masse. Il faut abandonner le concept de catégorie et vacciner toute la population ! »

  • Coronavirus : Pourquoi la vaccination avec l’#AstraZeneca démarre si lentement dans les cabinets médicaux
    https://www.20minutes.fr/sante/2990419-20210304-coronavirus-pourquoi-vaccination-astrazeneca-demarre-si-l

    Dans le cabinet du Dr Hamon, « vingt patients ont pris rendez-vous ce jeudi, idem vendredi. Mes doses sont assurées pour jeudi, mais pour vendredi, je ne sais pas encore, précise le médecin. Une chose est sûre : si on n’a pas les vaccins, si je dois décommander, j’arrête immédiatement. S’il y a des vaccins, #où_sont-ils ? J’ai autre chose à faire que de prendre des rendez-vous pour les annuler derrière, ce n’est pas tenable. A charge pour la #DGS de savoir gérer ses stocks ».

    Pour les vaccinateurs, caler ces vaccinations requiert donc une logistique importante. « AstraZeneca est conditionné en flacon de 10 doses, qui doivent être utilisées rapidement pour ne pas gâcher la moindre dose. Cela nécessite de la rigueur, de l’anticipation et du personnel pour contacter les patients en plus de nos consultations. Cela prend du temps, décrit le Dr Jacques Battistoni, médecin généraliste et président du syndicat MG France. D’autant que jusqu’à présent, la cible vaccinale était assez étroite : les patients de 50 à 64 ans avec comorbidités ne sont finalement pas très nombreux dans la patientèle de chaque médecin. Ce sont 40 à 50 patients, donc il faut être très proactif pour rassembler chaque semaine un groupe de dix personnes à vacciner ».

    Mais « la première contrainte logistique, c’est l’approvisionnement en flacons à la pharmacie, insiste le Dr Battistoni. Les témoignages attestant de non-livraisons des doses se multiplient, et encore aujourd’hui, un de mes confrères m’a indiqué qu’il n’avait pas reçu les doses commandées. Ce sont des blocs de dix patients qu’il faut déprogrammer d’un coup quand il manque un flacon, c’est très démobilisant. Nous, vaccinateurs, sommes au bout de la chaîne. On ne sait pas à quel niveau ça coince, mais force est de constater que ça coince dans toutes les régions ! »

  • Covid-19 : À Montpellier, l’analyse des eaux usées révèle une présence du variant anglais de plus en plus importante
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/covid-19-a-montpellier-l-analyse-des-eaux-usees-revele-

    Pourquoi effectuer des prélèvements dans ces villes côtières ? En raison de la fréquentation touristique des plages lors de l’été 2020, où le virus a beaucoup plus circulé qu’à Montpellier. "Cet été, on a très rapidement remarqué que la concentration de virus de la Covid-19 augmentait dans nos prélèvements d’eau. Pourtant, on n’observait pas d’augmentation des hospitalisations à ce moment-là," raconte Patrick Monfort. Et ce n’est à la fin de l’été, lorsque les personnes de moins de 40 ans contaminés - ou « pas à risques »- sont rentrées chez elles, que le virus s’est propagé à leur entourage.

  • Coronavirus à Marseille : Les marins-pompiers observent une explosion de la présence du virus
    https://www.20minutes.fr/sante/2969683-20210204-coronavirus-marseille-marins-pompiers-observent-explosion

    Les chiffres ont de quoi donner des sueurs froides. La semaine dernière, les marins-pompiers, qui procèdent chaque semaine à des relevés dans les eaux usées de Marseille, avaient décelé 695 copies du Covid-19 par millilitre, soit une légère hausse par rapport à la semaine précédente. Cette semaine, selon les dernières données publiées par le bataillon ce mercredi, ce chiffre s’élève à… 2.271. Soit un taux multiplié par trois en quelques jours seulement.

    […]

    Pour autant, l’épidémiologiste ne cache pas son inquiétude. « Si la flambée observée par les marins-pompiers se confirme dans quinze jours dans les hôpitaux, on va se prendre un coup de boost copieux ». Les services de réanimation à l’AP-HM se remplissent en effet à vue d’œil. « Ces chiffres ne m’étonnent pas, s’alarme Audrey Jolibois, secrétaire générale FO à l’AP-HM. On voit du monde arriver tout le temps. Et le souci, c’est qu’on n’est pas capable de faire face à une vague fulgurante. On manque de personnel ! Et les équipes sont fatiguées. Le physique n’est plus là depuis longtemps. Le moral non plus. »

    • la fin de l’article est vraiment à mourir de rire :

      le point de vue du gars de terrain , chiffres localisés, nets et précis :

      Cette hausse exponentielle se fait de manière concentrée, sur les arrondissements les plus défavorisés de Marseille. « Le phénomène se produit sur une sorte de frange littorale du Nord de Marseille, qui va en gros du quartier de la Belle-de-Mai aux quartiers Nord », note le contre-amiral.

      le point de vue du savant de l’aphm, chiffres officiels d’abord :

      « Les chiffres des marins-pompiers sont un indicateur à prendre en compte, note l’épidémiologiste Pascal Auquier, professeur de santé publique à l’Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille (AP-HM). Il faut surveiller cela. Pour autant, il faut le prendre avec pondération, puisqu’on note que le taux d’incidence se stabilise ces cinq derniers jours dans le département. »

      Le point de vue de l’ARS :

      Une inquiétude d’autant plus vive que, pour l’heure, cette explosion reste inexpliquée. Plusieurs sources évoquent une présence accrue du variant du Covid-19 dans la deuxième ville de France, sans certitude. Interrogée sur ce sujet, l’Agence régionale de santé, habilitée à communiquer sur ces questions, n’a pas donné suite à nos sollicitations à l’heure où ces lignes sont écrites.

      #eaux_usées pas #obepine

    • https://seenthis.net/messages/900372#message900459

      La seule variable explicative qui tienne un peu la route, c’est qu’on est en train de gravement sous-détecter le virus. En témoigne les chiffres stables alors que dès qu’on teste un bahut ou un hosto, c’est l’horreur, alors que les gus qui mesurent le virus dans les égouts paniquent (alors même qu’il a beaucoup plu ces derniers temps, ce qui dilue un peu).

      Pourquoi serions-nous en sous-détection  ?
      → Sous-test chez les gens qui en ont marre de perdre des jours de boulot (peut-être voir s’il y a des secteurs mal indemnisés en cas de quarantaine)
      → Sous-test institutionnalisé dans toute l’EN et chez les mineurs
      → Sous-test parce que les parents ne veulent plus perdre de journées de travail  : beaucoup de témoignages rapportent des enfants scolarisés alors que toute la famille se sait touchée
      → incapacité de voir les variants
      → fiabilité en baisse des tests à cause des variants
      → protocole non respecté sur des tests AG  : un négatif doit être suivi d’un PCR de confirmation
      → sous-suivi des cas contact
      → refus des tester les asymptomatiques (pas mal de cas rapportés)
      → Non reconnaissance de suspicion de covid à cause de la méconnaissance profonde de la diversité des symptômes  : toute la com’ tourne autour de 3 symptômes (fièvre, grosse fatigue, anosmie) + une complication (détresse respiratoire), alors qu’il y a au moins une bonne vingtaine de symptômes connus.
      → la sous-détection entraine logiquement des flambée nosocomiales  : on met en chambre double et en service ordinaire des gens covidés
      → maintien délibéré des malades au travail (personnel de santé 👍)
      → quarantaine délibérément trop courte pour les infectés… et même pas respectée. Le lycée de ma fille (où elle refuse de remettre les pieds malgré les menaces) a fermé mercredi l’internat et la cantine  : tout le personnel était contaminé. Ils rouvrent lundi. 🤦‍♀️

  • Coronavirus : Six mois après avoir été infecté par le Sars-Cov2, il y a 84,8 % de chance de ne pas le recontracter
    https://www.20minutes.fr/sante/2963875-20210128-coronavirus-six-mois-apres-avoir-infecte-sars-cov2-848-ch

    Dans une étude menée à partir des tests sérologiques réalisés sur son personnel soignant, le laboratoire de virologie du CHU de Toulouse a démontré que le taux de protection à six mois des personnes infectées était de plus de 84 %

    Pourquoi n’ont-ils pas titré qu’il y avait 16% de chance de le choper à nouveau ?

  • Il va falloir faire de douloureuses réévaluations, chez nous (moi y compris), avec la progression des décès en Allemagne. Un pays dont on disait qu’il n’avait pas détruit son système hospitalier comme ses voisins, que sa chancelière parlait de manière scientifique et traitait les gens en adultes, et surtout dont on vantait le protocole sanitaire volontariste (aération, filtres…) dans l’éducation.

    L’Allemagne affiche une courbe des décès en progression ininterrompue depuis la fin de l’été, et un nombre de décès par habitant qui est environ le double de la France.

    Il ne s’agit pas de savoir si la France « fait mieux » ou « moins bien » : le nombre de cas a baissé en Allemagne après Noël, alors que le nombre de cas en France est désormais supérieur, ce qui laisse présager dans les prochains jours un nombre de morts en France qui pourrait être équivalent à l’Allemagne (presque 900 morts quotidiens désormais).

    Ce qui m’interpelle, c’est qu’on a largement considéré qu’en appliquant les méthodes de l’Allemagne (investissements dans l’aération des classes, parler aux gens comme à des adultes…), on aurait pu éviter les confinements, ne pas fermer les universités et les lieux de culture… Et qu’apparemment, ben non.

    • Exemple le 5 janvier : Coronavirus : Le variant anglais est-il plus dangereux pour les enfants ?
      https://www.20minutes.fr/sante/2944639-20210105-coronavirus-variant-anglais-plus-dangereux-enfants

      Selon lui, on pourrait donc envisager de renforcer certaines mesures avant d’imaginer fermer les écoles. Comment ? En aérant davantage les salles, notamment. « En Allemagne, ils font classe avec leur blouson parce qu’ils aèrent tout le temps, justifie-t-il. Après, dans ce pays, les enfants ont souvent des demi-journées de classe et mangent beaucoup à la maison. »

      Pourtant les chiffres du 5 janvier (nombre de morts pour un million d’habitants) :

      Et alors que l’Allemagne, à cette date, est déjà déconfinée, et que la chancelière annonce que ça va durer encore jusqu’à au moins fin janvier : Covid-19 : l’Allemagne renforce et prolonge son confinement partiel - Capital.fr
      https://www.capital.fr/economie-politique/covid-19-lallemagne-renforce-et-prolonge-son-confinement-partiel-1390087

      Les écoles tout comme la plupart des magasins non alimentaires, les bars, restaurants, équipements culturels, sportifs et de loisirs vont rester fermés jusqu’à cette date.

    • Je reste convaincu que c’est toute la chaine de lutte, les recherches, les soins, les modalités de prévention, tant en matières d’équipes, de collectivités humaines que de matériels divers, dont des productions à lancer, qui devrait être revue en détail et réinvestie à nouveaux frais pour éviter les échecs qui rendent les confinements indispensables. Sans ça, on en reste au stop and go.

    • J’aurais tendance à considérer que, tant qu’on ne vise pas l’élimination du virus, au lieu de chercher à « vivre avec », le « stop and go » est inévitable. Et tant qu’une telle politique n’est pas appliquée, de manière coordonnée, au moins à l’échelle de toute l’Europe, c’est mort (et encore l’Europe n’est-elle pas une île).

      Tant que les pays européens acceptent de « vivre avec » plusieurs milliers, ou dizaines de milliers, de contaminations identifiées chaque jour, toute politique de tracer/isoler est impossible.

    • Les modèles sont sous nos yeux depuis le début, en Asie. Confinement strict et général si circulation trop importante du virus, sinon, à la moindre réapparition, même pour un seul cas : bouclage du quartier ou de la ville, isolement des malades (hôtels réquisitionnés si nécessaire), tests massifs de la population locale. A comparer avec l’objectif de 5000 cas/jour pour pouvoir « assouplir les règles »... Mais on m’a répondu que la méthode asiatique c’était attentatoire à nos libertés. C’est vrai effectivement, cela dit faut dire qu’on est bien avec nos couvre-feu à 18h et nos confinements avec attestation de déplacement...
      Je pense que nos gouvernants ne comprendront jamais ou pas assez vite, on va se payer ce virus jusqu’à immunité collective (via vaccins ou contaminations) ou par mutations dudit virus le rendant finalement inoffensif (hypothèse pouvant expliquer la « disparition » du SRAS1).

  • Après consultation des patientes, l’agence du médicament remanie les indications pour le Lutéran et le Lutényl
    https://www.20minutes.fr/sante/2949823-20210112-gyneco-apres-consultation-patientes-ansm-restreint-indica

    Résultat : l’ANSM limite nettement les indications. Ces pilules ne devraient plus être prescrites en cas de ménopause, d’irrégularités du cycle menstruel, de syndrome prémenstruel, de mastodynies légères (douleurs aux seins) et de contraception. En revanche, la balance bénéfice/risque a été jugée favorable en cas d’endométriose, d’hémorragies fonctionnelles, de ménorragies (règles très abondantes) liées aux fibromes et de mastopathie sévère (maladie du sein non cancéreuse).

    « Pour le Lutéran et le Lutényl, les autorisations de mise sur le marché (AMM) datent respectivement de 1973 et de 1984, précise Isabelle Yoldjian, cheffe du pôle gynécologie de l’ANSM. Or elles sont massivement utilisées avec, dans un bon nombre de cas, une relative déviance par rapport au libellé des AMM. C’était important de faire le ménage dans ces indications. »

    Combien de femmes seraient concernées ? Le travail de l’ANSM n’a pas permis d’obtenir des chiffres exhaustifs, mais « on sait qu’en 2019, environ 200.000 femmes avaient pris du Lutényl (ou génériques) au moins une fois et 240.000 du Lutéran (ou génériques). » Autant dire que ces nouvelles recommandations, si elles sont suivies, risquent de faire chuter les ventes. « Entre août 2018 et août 2020, on a une baisse des prescriptions de 30 % pour le Lutényl et 50 % pour le Lutéran », reprend Isabelle Yoldjian.

  • Ici on parle d’un virus qui ne donne aucun symptôme à 98% des personnes atteintes, qui ne donne que de légers symptômes à 98% des 2 % restants et qui dont le taux de survie des malades en réanimation est de 98%.

    Ce que Vittoria Colizza, Giulia Pullano et Laura Di Domenico proposent c’est une idée entre l’inutile, le ridicule et le fascisme médical.

    Covid-19 : « Si nous voulons éviter de passer les quatre prochains mois confinés, il faut changer de paradigme »
    https://www.lejdd.fr/Societe/covid-19-si-nous-voulons-eviter-de-passer-les-quatre-prochains-mois-confines-i

    Dans une autre étude que nous avions mené lors du premier confinement, nous avions montré qu’il faut trouver au moins une infection sur deux (ce qui permet de mettre la personne à l’isolement, de trouver ses contacts) pour éviter d’avoir une résurgence de cas et pour éviter d’être obligé de mettre en place des mesures de distanciation sociale très strictes, comme le confinement.

    C’est pourquoi il faut vraiment que les tests deviennent une habitude. On peut imaginer que, dans les semaines ou les mois à venir, d’autres technologies permettront d’améliorer encore la situation, comme le prélèvement salivaire, actuellement à l’étude. Au début cette approche a été mise de côté, car trop peu sensible, mais les protocoles ont été améliorés. On peut imaginer que dans quelques temps, les gens pourront se tester eux-mêmes.

    Si nous voulons éviter de passer les quatre prochains mois confinés, il faut changer de paradigme.

    • Ici on parle d’un virus qui ne donne aucun symptôme à 98% des personnes atteintes, qui ne donne que de légers symptômes à 98% des 2 % restants et qui dont le taux de survie des malades en réanimation est de 98%.

      je connais pas de virus qui corresponde à ces chiffres, c’est lequel ?

    • @koldobika

      Je parle du covid19. Alors bon, oui, ce n’est pas 98%, 98% et 98% Mais c’est 86%, 84% et 80,4%. Je vais reprendre un peu de magnésium pour améliorer ma mémoire, mais pas beaucoup.

      1/ Asymptomatiques : 86% des contaminés ne présentent aucun symptôme

      86% des résidents du Royaume-Uni testés positifs au Covid-19 ne présenteraient pas de symptômes spécifiques comme la toux, la fièvre, la perte du goût ou de l’odorat. Cette nouvelle étude réalisée durant le confinement en Grande-Bretagne (du 26 avril au 27 juin 2020) a été menée par des chercheurs de l’University College de Londres (UCL) et publiée dans le journal spécialisé Clinical Epidemiology. Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont utilisé les données de l’Office for National Statistics Coronavirus, qui réalise une vaste enquête basée sur la population examinant l’association entre les symptômes de Covid-19 et les résultats du test Covid-19.

      https://www.sciencesetavenir.fr/sante/86-des-personnes-contaminees-par-le-covid-19-n-auraient-pas-de-symt

      2/ Taux de survie en hôpital : 80,4% des hospitalisés survivent à la contamination

      Depuis le 1 mars 2020, 1 936 établissements de santé ont déclaré au moins un cas de coronavirus, 245 237 patients ont été hospitalisés (41 200 patients sont décédés à l’hôpital au 17 décembre). La durée moyenne entre l’infection et l’hospitalisation est de 11 jours, rapportait le Conseil scientifique dans un Avis du 26 octobre.

      https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2627893-hospitalisation-covid-19-france-courbe-cas-aujourd-hu

      3/ Taux de (non) sévérité (nombres de cas total/ nombre d’hospitalisations [245 237]) : 84% des contaminés ne nécessitent pas une hospitalisation

      France Coronavirus Cases : 2,547,771

      https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france

    • ouais,…

      il y a quand même une (petite) différence entre les 2 versions :
      • 2% x 2% x 2% = 8 ppm (8 par million)
      • 4% x 6% x 19,6% = 470 ppm
      appliqué à la population française (67 M), ça donne plus de 31 000 décès, soit la surmortalité observée pour chacun des deux épisodes printemps et automne.
      Soit pour les deux vagues (à ce jour, puisque la deuxième n’est pas terminée) 10% des décès annuels d’une année « normale ».

      On peut ajouter deux points supplémentaires :

      • c’est des vieux, on s’en fout… 93% des décès ont 65 ans ou plus (presque 80% ont 75 ans ou plus)
      https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france

      • entre une fois et demie et deux fois le nombre de morts (48 000 - 64 000) – de tous âges – ont des séquelles lourdes qui persistent au delà de 4 mois, mais on s’en fout
      https://www.20minutes.fr/sante/2906935-20201112-coronavirus-quatre-mois-apres-30-40-cas-graves-gardent-se

    • @simplicissimus Je pense que tu déplaces le sujet du post initial ("changer de paradigme" et tester les masses) vers un sujet que je n’aborde pas ("on s’en fout" des morts).
      Je ne me « fous » pas de ce virus, j’ai 59 ans, j’ai bossé 6 ans en hopital et vécu 26 ans avec une infirmière d’unité de réanimation. ça fait de bonnes raisons pour que je sois sensibilisé. J’ajoute que je fut militant LGBT et longtemps concerné par le SIDA. Pour autant je ne laisserai pas s’instaurer une dictature sous des prétextes médicaux. Voilà ce que je pense de toute cette histoire de Covid19, de nos gouvernements, des complotistes, des laboratoires, de big pharma et du capitalisme. ça se résume à : vous ne me fliquerez pas de la naissance jusqu’à la mort.

    • Désolé si je n’ai pas bien compris l’objet du message ; pour moi, le recours à des chiffres, minimisés de surcroît, est un signal d’alerte.

      Et pour qu’on soit bien clair, j’ai plus de 65 ans, un IMC autour de 30 kg/m2 et traité pour HTA depuis plus de 20 ans, j’ai fait un séjour de 12 heures mi-avril aux urgences covid pour un problème pulmonaire (ce n’était pas la covid, mais on ne me l’a dit que 3 heures avant que je sorte) mais, en l’état actuel des connaissances, je n’ai aucune intention de me faire vacciner. La vaccination, en soi, n’est pas bien ou mal ; chaque vaccin, y compris chaque type d’un même vaccin et chaque variante commerciale, est une décision différente, à la fois individuellement et collectivement. De ce point de vue, le passage de 4 à 11 vaccins obligatoires en France est un pur scandale de santé publique.

      Et donc, en l’état,
      • perso, je ne compte pas me faire vacciner et, du point de vue de la santé publique,
      • autoriser prématurément tel ou tel vaccin est une décision lourde qui me semble prise un peu hâtivement,
      • rendre le vaccin covid (lequel ?) obligatoire serait une très mauvaise décision

      Enfin, mais je change de paradigme, ;-) oui, la dépossession progressive des choix concernant les risques auxquels nous sommes exposés, sanitaire, terroriste ou autres…, au profit d’États ou d’institutions (économiques, industrielles, médiatiques ou complotistes – puisqu’on voit émerger aujourd’hui de telles « institutions » anti-système sur les réseaux) est très inquiétante.

    • Entièrement d’accord avec @Simplicissimus.
      Moi aussi, plus de 65 ans, et pas plus l’intention de me faire vacciner compte-tenu des éléments actuels en ma connaissance.
      Le problème ce ne sont pas les mesures sanitaires qu’il est nécessaire de respecter ; le problème ce sont ceux qui nous imposent et qui n’arrivent pas à masquer leur gueule de loup même quand ils enfilent le bonnet de dentelles de la grand-mère.

  • Coronavirus : L’ibuprofène est-il réellement dangereux face au Covid-19 ?
    https://www.20minutes.fr/sante/2900083-20201103-coronavirus-ibuprofene-reellement-dangereux-face-covid-19

    Une position qui émergeait du terrain, notamment de patients hospitalisés à Bordeaux et Toulouse. Elle conquiert plusieurs pays européens. Et repose sur un biais, critique Nicholas Moore. « On n’est pas surpris que la plupart des cas graves aient été exposés à l’ibuprofène [qui soulage les douleurs et maux de tête] ». Ce n’est pas une preuve suffisante pour incriminer le produit. Un point de vue partagé par une équipe de chercheurs espagnols qui s’est intéressée au parcours de cette « fake news » (selon leurs mots). Ils en concluent, dans cet article de Misinformation Review, que l’impact de la désinformation est d’autant plus massif que ce sont des sources crédibles qui la colportent. Ici le ministre de la Santé et les médias, qui n’ont pas démenti l’information…

    Cette alerte a depuis été démentie par des études scientifiques. « Depuis mars, on a bien avancé, reprend Nicholas Moore. Une bonne dizaine d’études ont été faites. Est-ce que les AINS augmentent le risque d’attraper le Covid-19 ? Non. Est-ce que quand on est positif, on a davantage de risques d’avoir une forme grave ? On a neuf études qui montrent qu’il n’y a pas de risque supplémentaire de décès. » Dont une britannique, datant du 14 août et s’appuyant sur près de 2 millions de personnes , qui conclut : « [il n’y a] aucune différence de risque de décès lié au COVID-19 associé à l’utilisation actuelle des AINS par rapport à la non-utilisation »

    En France, pourtant, une revue de pharmacovigilance de l’Agence nationale de la sécurité du médicament datant de mai 2020 reste sur ce principe de précaution. « Cette recommandation d’éviter la prise d’AINS pour des symptômes précoces suspects de Covid-19 reste tout à fait d’actualité », conclut le rapport.

    Insuffisant, critique le spécialiste en pharmacovigilance. « En tout et pour tout, on voit que l’immense majorité des études montre qu’il n’y a aucun risque à prendre des AINS, une seule montre une augmentation du risque et deux une protection, ce qui est compatible avec l’effet anti-inflammatoire dans une maladie, le Covid-19, qui provoque une inflammation pulmonaire. »

    On vit tout de même dans un pays rempli de magie, où la science ne fonctionne jamais comme dans le reste du monde.

  • Le même jour, Yonathan Freund (oui, qui prédisait qu’il n’y aurait pas de seconde vague cet été) :
    https://twitter.com/yonatman/status/1318472922743320582

    Bon. Je ne vois pas trop comment on va éviter un nouveau confinement. Les derniers chiffres sont vraiment moches. J’espère que je me plante encore, mais la 2eme vague est bien là. Croissance lente en IdF mais inéluctable. Et ailleurs, ça fait peur. Sur ce : bonne journée !

    Dr Marty (président UFML Syndicat) :
    https://twitter.com/Drmartyufml/status/1318602322142953477

    Peut on éviter un confinement général ?
    Il y a 1 mois j’aurais encore dis oui...

    Coronavirus : Peut-on éviter un reconfinement en France ?
    https://www.20minutes.fr/sante/2889487-20201020-coronavirus-peut-eviter-reconfinement-france

    - L’Irlande et le Pays de Galles sont les premières nations européennes à avoir opté ce lundi pour un reconfinement.
    – La fin d’un tabou en Europe, alors que ces deux pays ont des chiffres de circulation du virus et de mortalité bien inférieurs à la France.
    – La question se pose fatalement. Est-ce que la France, l’un des pays les plus touchés par la seconde vague européenne du Covid-19, peut réussir à s’en sortir sans un reconfinement général ?

  • Coronavirus : La hausse des nouveaux cas se confirme
    https://www.20minutes.fr/sante/2854923-20200906-coronavirus-hausse-nouveaux-cas-confirme

    « En France métropolitaine, la progression de la circulation virale est exponentielle. La dynamique de la transmission en forte croissance est préoccupante », relève Santé publique France, dans son point régulier de la situation. Surtout, la multiplication des tests n’explique pas « la hausse des cas observés ». « Depuis début juillet, le nombre de patients dépistés a été multiplié par un peu plus de deux et le nombre de nouveaux cas par douze », relève ainsi Santé publique France. Près de neuf millions de tests ont été réalisés depuis le début de l’épidémie, dont plus d’un million au cours de la semaine écoulée.

  • Black babies are less likely to die when cared for by black doctors, US study finds | The BMJ
    https://www.bmj.com/content/370/bmj.m3315

    Les #bébés #noirs ont plus de chances de survivre quand ils sont soignés par des #médecins noirs
    https://www.20minutes.fr/sante/2842643-20200819-bebes-noirs-plus-chances-survivre-quand-soignes-medecins-

    Aux #États-Unis les nourrissons noirs ont deux fois plus de chances de mourir que les nourrissons blancs, et d’autant plus s’ils sont soignés par des médecins blancs. C’est le résultat d’une étude parue dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) le 17 août, menée sur des milliers de naissances en Floride.

    « Les résultats suggèrent que lorsque les nouveau-nés noirs sont soignés par des médecins noirs, le taux de mortalité dont ils souffrent est réduit de moitié, par rapport à celui des enfants blancs », indique l’étude.

    [...]

    Les raisons de cette différence sont multiples, entre racisme et facteurs socio-économiques.

  • Coronavirus en Bretagne : Faut-il s’inquiéter de voir l’indicateur de reproduction du virus virer au rouge ?
    https://www.20minutes.fr/sante/2824215-20200717-coronavirus-bretagne-faut-inquieter-voir-indicateur-repro

    Elle était jusqu’ici relativement épargnée par le coronavirus. Mais depuis quelques jours, la Bretagne présente quelques signaux d’une reprise de l’épidémie sur ses terres. Mercredi, l’Agence régionale de santé avait fait savoir que 110 nouveaux cas confirmés avait été enregistrés en cinq jours, soit presque cinq fois plus que la semaine précédente.

    Ce vendredi, c’est Santé Publique France qui a placé toute la région « en zone rouge » concernant l’indicateur de « reproduction effectif ». En Bretagne, cet indicateur est de 2,6 cette semaine. Un chiffre nettement supérieur à la moyenne nationale qui veut dire qu’un malade contamine en moyenne 2,6 personnes. Faut-il s’en inquiéter ? « Non, mais rester vigilants », estiment les autorités de santé.

    Tant que ça ne dépasse pas le taux d’alcoolémie autorisé dans la région, c’est pas la peine de s’inquiéter, donc. (Taux maximum autorisé en Bretagne qui est, je te le rappelle, de 3,5 g/l.)

    #Faut-il_s'en_inquiéter._Non.