• Massacre à la tronçonneuse place Saint-Etienne - 20/06/2015
    http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/20/2128540-massacre-a-la-tronconneuse.html

    C’est peut-être l’arbre le plus connu de Toulouse, l’un des plus vieux en tout cas. Planté en 1735, il aurait donc l’âge vénérable de 280 ans. Hier après-midi, l’émotion était palpable au pied de la cathédrale Saint-Etienne, alors que les jardiniers de la Ville s’attaquaient à l’arbre tricentenaire, grand pourvoyeur d’ombre.

    Passée dernièrement devant, vu qu’il ne reste que le tronc, préserver les arbres ou la biodiversité dans l’ensemble de l’espace urbain ne fait pas parti des priorités de la municipalité pour qui nature=gauche, à éradiquer donc. J’avais fait une photo de ce #micocoulier cet hiver :

    https://krapooarboricole.wordpress.com/2010/10/08/le-micocoulier-de-la-cathedrale-saint-etienne-toulouse-h

    http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/17/2050886-hecatombe-au-jardin-des-plantes-28-arbres-vont-etre-abattus.html

    #arbre #tronçonneuse

  • Cukierman a raison, Marine est irréprochable : des propos antisémites c’est « inadmissible » ; mais « les Mahométans à combattre et éliminer sans hésitation par tous les moyens », c’est « un manque de prudence ».

    En Ariège, Marine Le Pen relativise les tweets polémiques de la candidate FN de Pamiers
    http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/23/2054506-ariege-marine-pen-relativise-tweets-polemiques-candidate-fn-pamier

    « Il y a chez nos candidats, parfois, un manque de prudence », a-t-elle poursuivi. « Des amalgames que nous condamnons. Nous le lui avons dit. »

    Pour la présidente du FN, les propos de Chantal Clamer sur les réseaux sociaux sont sans rapport avec le cas d’Alexandre Larionov, candidat en Aveyron exclu du FN pour des propos antisémites sur Facebook. « Dans l’Aveyron, c’est différent. Les propos étaient tout à fait inadmissibles et justifiaient tout à fait l’exclusion », a déclaré Marine Le Pen.

  • SIVENS-TESTET : fin de partie ?
    http://www.eauxglacees.com/SIVENS-TESTET-fin-de-partie

    Le Collectif de sauvegarde de la zone humide du Testet a écrit le 20 janvier, à la veille de la manifestation de soutien organisée à Toulouse, à l’ensemble des conseillers généraux du département du Tarn, dans la perspective des débats et votes prévus sur le projet de barrage de Sivens le 6 mars prochain. La « sortie de crise » revendiquée par différents protagonistes de l’affaire n’est toujours pas en vue, alors que le gouvernement vient, trois jours avant le Salon de l’Agriculture, de céder à toutes les (...)

    • C’est dans ce contexte que le Conseil général du Tarn va évidemment voter comme un seul homme le 6 mars prochain pour la « relance » du projet « suspendu », sous une forme soi-disant « alternative », lors même qu’en l’état aucune étude sérieuse, et surtout pas celle des « experts » de Mme Royal, ait pu établir la réalité de ces besoins en eau pour l’agriculture dans la vallée du Tescou…

      Qu’importe, le Conseil général du Tarn, la CACG et des propriétaires riverains ont déjà « nettoyé le terrain » en saisissant la justice, qui vient de rendre plusieurs jugements d’expulsion concernant des parcelles occupées par des zadistes et la « Métairie Neuve », tandis que chaque week-end depuis le 10 janvier se sont multiplié les incidents, à l’initiative des pro-barrageshttp://www.ladepeche.fr/article/2015/02/10/2046919-une-voiture-renversee-en-represailles.html

      Et que le pouvoir, Royal et Valls, affirment haut et fort qu’après le 6 mars, force en restera à la loi…

      Sur place la tension monte aussi entre zadistes prétendument « jusqu’au-boutistes » et le regroupement d’associations « responsables », à qui les premiers reprochent peu ou prou d’avoir par trop complaisamment accompagné le pouvoir dans la recherche de l’apaisement et d’une « sortie de crise », en réalité introuvable, ceci en ayant refusé notamment, argument qui mérite examen et concerne tout particulièrement FNE, d’engager immédiatement après le drame les recours juridiques qui auraient très probablement conduit à une annulation, définitive cette fois, de tout projet sur le site…

      Notre regroupement d’associations « responsables » se retrouvent donc dans la situation délicate, comme en attestent leurs courriers, de refuser officiellement tout projet, tout en appelant à un « apaisement » impossible dans ce contexte, qui n’augure que d’un nouveau passage en force, avec expulsion des zadistes après le 6 mars http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/21/2053429-les-elus-pro-barrage-veulent-l-expulsion.html.

      Mais on peut rêver de voir le Parti du maïs, le Lobby de l’eau et l’état profond PS se résoudre à faire droit aux demandes de nos associations, soit ne pas adopter l’une des deux alternatives officielles, mettre en place un Comité de pilotage qui engagerait des études pour la promotion d’une véritable alternative au modèle agricole actuel, décider dans l’immédiat de mutualiser les ressources en eau déjà existantes dans des dizaines de retenues privées, réhabiliter la zone humide saccagée, planifier des études approfondies pour élaborer un projet définitif...

      On peut rêver, mais le premier tour des cantonales c’est le 22 mars. Et nous ne sommes pas en 1968.

      #brown_tech #agriculture_cyborg #déménagement_de_la_nature #Sivens

  • « Une sexualité plus rude » - Les mots sont importants (lmsi.net)
    http://lmsi.net/Une-sexualite-plus-rude

    Je pense que je dois avoir une sexualité, je le découvre dans ce dossier, par rapport à la moyenne des hommes, plus rude. Mais j’ai exactement le même comportement sexuel avec toutes les femmes. »

    C’est donc bien d’une seule et même manière que DSK semble concevoir et goûter les relations sexuelles avec les femmes : par la violence. En d’autres mots le viol.

    #viol

    • Si la justice française n’est pas capable de condamner Strauss-Kahn, ce sera une validation des violences contre les femmes et de la marchandisation des humains.

      La défense de Strauss-Kahn ne tient pas une seconde. Il est évident qu’il ne peut avoir du sexe avec ces femmes que parce qu’elles sont payées pour cela.

      Et le mot léger de « libertinage » dont il abuse est une obscénité quand apparait son plaisir à humilier et à faire souffrir.

    • Ou volonté.
      « Je commence à en avoir assez »

      "Relativement épargné par les questions du président, presque totalement ignoré par le parquet (celui-ci n’a posé depuis mardi qu’une seule question pour la forme à DSK), la défense de DSK n’a finalement eu ce matin qu’à ferrailler qu’avec les avocats des parties civiles qui s’attachent avec plus ou moins de talent à tenter de déstabiliser un prévenu rompu aux combats. Et qui a soigneusement préparé sa défense.

      La voix parfaitement posée, haussant juste ce qu’il faut le ton, entre agacement et coup de semonce, il lance à un avocat des prostituées : « Je commence à en avoir assez. Les comportements que j’ai, il est loisible à chacun de ne pas les apprécier. La prévention n’a pas retenu contre moi un comportement sexuel. (...) Sauf à vouloir me faire comparaître pour pratique sexuelle dévoyée, mais cela n’existe plus ».

    • @unagi
      Vous assistez au procès « du Carlton » ?
      Vous livrez là un témoignage direct ?

      Il faut effectivement rappeler que le procureur de la République de Lille, Frédéric Fèvre, avait requis la relaxe pour Strauss-Kahn dans l’affaire du Carlton et que c’est le juge d’instruction qui a imposé de le poursuivre.

      Monsieur Fréderic Fèvre n’a donc pas vu ce que n’importe qui voit d’illégal dans le comportement de Strauss-Kahn.

      http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/02/2041889-proces-du-carlton-en-direct.html

    • Le tout est entre guillemets. Retour sur le minimum à savoir http://seenthis.net/fran%C3%A7ais/article/le-minimum-%C3%A0-savoir
      « Très important : un paragraphe qui commence et se termine par des guillemets est considéré comme étant une citation, et est présenté comme tel. Pour citer un extrait, il suffit de passer à la ligne et de mettre des guillemets au début et à la fin du paragraphe. Ça fonctionne aussi avec plusieurs paragraphes successifs. »
      Ca aurait pu etre aussi un oubli de ma part, pas d’ironie s’il vous plait.

    • Le titre est pas piqué des hannetons (pour rester dans le registre animal ...).

      Aujourd’hui en France, pour le Procureur de la République Fréderic Fèvre, et pour certains qui commentent en bas de cet article de Sud-Ouest, une femme qui se prostitue est moins qu’un animal. Parce que les sévices à un animal tombent eux sous le coup de la loi, ils font l’objet de mouvements de dénonciation scandalisés, et dans les faits, la Justice a la main lourde dans bien des cas de sévices à animaux.

    • A Rotherham, yorkshire ils ont aussi l’amour un peu rude.
      http://www.rotherham.gov.uk/downloads/file/1407/independent_inquiry_cse_in_rotherham

      « Que signifie l’intelligence ? Définissez ce qu’est la raison. Le désir... un non-sens. L’intellect n’est pas un remède. La justice, morte. La peur, le reproche, l’innocence, la compassion, le remords, le gaspillage, l’échec, le deuil, toutes choses, toutes émotions que plus personne ne ressent vraiment. La pensée est vaine, le monde dépourvu de sens. Dieu ne vit pas. On ne peut croire en l’amour. La surface, la surface, la surface, voilà ce dans quoi on trouve une signification... C’est ainsi que vis la civilisation, un colosse déchiqueté... » Bret easton Ellis

      http://youtu.be/KtNNKzfmR-0

    • No one knows the true scale of child sexual exploitation (CSE) in Rotherham over the years. Our conservative estimate is that approximately 1400 children were sexually exploited over the full Inquiry period, from 1997 to 2013.
      In just over a third of cases, children affected by sexual exploitation were previously known to services because of child protection and neglect. It is hard to describe the appalling nature of the abuse that child victims suffered. They were raped by multiple perpetrators, trafficked to other towns and cities in the north of England, abducted, beaten, and intimidated. There were examples of children who had been doused in petrol and threatened with being set alight, threatened with guns, made to witness brutally violent rapes and threatened they would be next if they told anyone. Girls as young as 11 were raped by large numbers of male perpetrators.
      This abuse is not confined to the past but continues to this day. In May 2014, the caseload of the specialist child sexual exploitation team was 51. More CSE cases were held by other children’s social care teams. There were 16 looked after children who were identified by children’s social care as being at serious risk of sexual exploitation or having been sexually exploited. In 2013, the Police received 157 reports concerning child sexual exploitation in the Borough.
      Over the first twelve years covered by this Inquiry, the collective failures of political and officer leadership were blatant. From the beginning, there was growing evidence that child sexual exploitation was a serious problem in Rotherham. This came from those working in residential care and from youth workers who knew the young people well.
      Within social care, the scale and seriousness of the problem was underplayed by senior managers. At an operational level, the Police gave no priority to CSE, regarding many child victims with contempt and failing to act on their abuse as a crime. Further stark evidence came in 2002, 2003 and 2006 with three reports known to the Police and the Council, which could not have been clearer in their description of the situation in Rotherham. The first of these reports was effectively suppressed because some senior officers disbelieved the data it contained.

  • Le personnel de la Caf redoute l’accueil uniquement sur rendez-vous - 13/02/2015 - LaDepeche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/13/2048607-personnel-caf-redoute-accueil-uniquement-rendez.html

    Avec 25 000 #allocataires supplémentaires en 3 ans, la Caisse d’allocation familiales de Haute-Garonne croule sous les sollicitations. Aux #guichets des différents #accueils de l’agglomération toulousaine, les files d’attente se prolongent. Une nouvelle directive de la Caisse nationale des allocations familiales vient dans ce contexte susciter une nouvelle crainte au sein des employés de la #CAF, cette réforme vise à ne recevoir que sur rendez-vous.
    Le directeur départemental s’oppose néanmoins à ce changement. Un membre de la direction explique que « le directeur ne voit pas l’intérêt de cette prise de rendez-vous obligatoire, à avant de simples demandes et des #renseignements ».
    Cet accueil sur rendez-vous se fait déjà depuis longtemps concernant certaines demandes, à savoir, les #demandes de #RSA ainsi que les analyses de situation en termes de #droits. Dans les régions où cette réforme a été mise en place pour la totalité des requêtes, les délais d’#attente pour une entrevue sont parfois de plusieurs mois. Pour Mme Ayache, responsable départementale à la CGT, « le service de la CAF est déjà non-satisfaisant, il y a une souffrance au travail, inutile de rajouter un problème supplémentaire ». Les syndicats se plaignent déjà de la non-création de nouveaux CDI lorsque des départs à la retraite ont lieu. « La charge de travail est trop élevée et les conditions se détériorent » constate Mme Ayache. La direction de la CAF Haute-Garonne atteste tout de même que « dans le département, on s’en tire beaucoup mieux qu’ailleurs. Il y a une stabilité du personnel et aucune suppression de postes ». Faire de son mieux en fonction de l’enveloppe budgétaire est la priorité de la CAF Haute-Garonne. En mars prochain, la #fermeture du centre d’accueil de l’avenue de Grande-Bretagne fera suite à celle de l’accueil de Jolimont en juillet dernier. Mais le personnel sera redéployé et aucun emploi ne sera supprimé.

  • « Spirale négative », la CAF lui réclame 4000 euros - 10/02/2015 - LaDepeche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/10/2046885-victime-d-erreurs-la-caf-lui-reclame-4-000-euros.html

    Victime d’un concours de circonstances malheureux, une mère de famille appaméenne se retrouve sans revenus depuis trois mois. Un drame alors que l’intéressée attend son deuxième enfant.

    La malchance poursuit Ady Meri. Cette mère de famille appaméenne, originaire de La Réunion, se retrouve sans revenus depuis le mois de novembre. La faute à un rocambolesque concours de circonstances.

    Vivant séparément du père de la petite Kayliah, militaire au 1er RCP, la jeune femme s’est vue retirer ses #droits aux #allocations familiales et au Revenu de Solidarité Active (#RSA). En cause, le fait que son ex-compagnon résiderait sous le même toit que celui de la mère de sa famille. « Une bêtise sans nom », avance l’intéressé, hébergé aujourd’hui chez des amis. Une situation survenue à la suite d’un #contrôle mené par un agent de la Caisse d’allocations familiales (CAF) de l’Ariège le 1er décembre 2014. Venu au domicile d’Ady, il observe les gestes et les attitudes de la mère de famille, enceinte de son deuxième enfant. Sans jamais la questionner. « Le contrôleur n’a fait qu’observer. S’il avait fait un tour de la maison, il aurait vu qu’il n’y avait aucune présence masculine ici ». Seuls éléments pouvant induire en erreur le fonctionnaire, la présence d’affaires appartenant à des amis et au père de la petite Kayliah, venu dormir la veille suite à l’agression de la locataire des lieux. L’épée de Damoclès au-dessus d’Ady tombe pourtant quatre jours plus tard. Elle découvre sur le site internet de la CAF que l’ensemble de ses droits sont clôturés. Dans une partie des informations, elle s’aperçoit également que dans sa situation familiale, son statut a changé et qu’elle vit désormais en #concubinage [#suspicion de, ndc]. « Ce même agent a mis que je vivais en concubinage depuis le 3 octobre 2013, date de mon arrivée dans cette maison, alors que le papa de Kayliah est encore marié ». Un détail crucial que le principal intéressé n’a pas pris soin de relever.

    Inscrite aux Restos du Cœur

    Consciente de l’enjeu, la jeune mère de famille entame les démarches demandées par l’organisme. Et tente de fournir les #justificatifs exigés. Sans succès. Elle démarche alors le #médiateur de la République. Et reçoit une fin de non-recevoir. La #CAF lui envoie un nouveau courrier fin décembre et lui demande le remboursement de près de 4000 euros.

    Du côté de la CAF, tout juste avance-t-on que le travail réalisé par le contrôleur n’a pas été effectué « à charge » et que le dossier a fait l’objet d’un examen en commission. Un procédé habituel dans ce genre d’affaire. « Elle a le droit de demander un recours, explique Marc Masduraud, directeur adjoint de la succursale ariégeoise. Si sa situation a changé [sic !], elle peut faire parvenir une lettre écrite au directeur pour apporter les pièces nécessaires à un nouvel #examen. »

    Sans un sou, Ady est entrée aujourd’hui dans une spirale négative. Ne disposant plus de revenus, elle a vu sa couverture maladie universelle coupée. « Aujourd’hui je suis obligée d’aller aux « Restos » du cœur et à la Croix-Rouge ». Un engrenage dont la jeune femme ne connaît pas encore la fin.

    #précaire #mère_célibataire #indû

    Sur l’improbable #vie_maritale :
    http://seenthis.net/messages/206330

  • Emploi : un nouveau plan pour les chômeurs de longue durée
    http://www.leparisien.fr/economie/emploi/emploi-un-nouveau-plan-pour-les-chomeurs-de-longue-duree-08-02-2015-45160

    Décrétés « cause nationale » par François Hollande en juillet 2014, ils viennent d’être érigés « priorité des priorités » 2015 par le président.

    .. Ils, ce sont les #chômeurs_de_longue_durée, qui cumulent au moins douze mois sans travail sur deux ans. Symptôme de la dureté de la crise, ils sont près de 2,5 millions (si l’on inclut ceux ayant une petite activité) à être tombés dans cette trappe. Aujourd’hui, près d’un chômeur sur deux inscrits à #Pôle_emploi est touché par ce fléau. Et l’#ancienneté moyenne par chômeur est passée en trente ans de 160 à 539 jours. Effroyable.

    #François_Rebsamen le sait bien : les recettes miracles n’existent pas. Dans le plan qu’il dévoilera lundi, pas de grosses annonces en vue avec de nouveaux contrats aidés. L’échec des contrats de génération lancés en 2013, comme du CDD senior de 2005 ou encore de la promesse d’une formation pour tous faite par Sarkozy en 2012, a semble-t-il servi de leçon au ministre du Travail. Exit, aussi, de nouvelles primes à l’embauche : le budget du gouvernement est bien trop serré. « Le problème n’est pas tant de réinjecter des moyens que de mobiliser tout le monde autour d’un plan d’action efficace, indique-t-on à l’Elysée, grâce notamment à une large concertation menée depuis des mois avec Pôle emploi, les réseaux associatifs comme le Face (Fondation agir contre l’exclusion), etc. »

    Plus de 400 000 chômeurs bénéficieront d’un #suivi_renforcé. Selon nos informations, l’accompagnement renforcé dont ont bénéficié les 200 000 chômeurs les plus éloignés de l’emploi en 2014 va être doublé, pour concerner 400 000 à 450 000 personnes en 2015. Les discussions se poursuivront aujourd’hui pour arrêter le chiffre définitif. De quoi s’agit-il ? Les conseillers de Pôle emploi, chargés de faire du sur-mesure, ont un #portefeuille_de_70_personnes au maximum, contre 100 à 150 pour les conseillers suivant des publics moins fragiles. Une bonne partie des 4 000 nouveaux postes d’agents recrutés depuis 2012 y sera affectée.

  • Université Jean-Jaurès : meeting interdit, meeting tenu... - 06/02/2015 - LaDepeche.fr
    #
    http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/06/2044703-universite-jean-jaures-meeting-interdit-meeting-tenu.html

    Le collectif unitaire « Contre l’union sacrée, pour une union antiraciste et populaire », a trouvé porte close, hier soir, comme prévu, devant l’amphithéâtre 8 de l’université Jean-Jaurès, où il avait appelé à un meeting contre l’islamophobie. Un rendez-vous, que Jean Michel Minovez, le président de la faculté avait décidé d’interdire, estimant que, « les conditions de sécurité n’étaient pas réunies, du fait du contexte national et du plan VigiPirate renforcé » en vigueur sur le campus du Mirail. « Nous avons eu une entrevue avec lui et il nous a expliqué qu’il n’avait aucune marge de manœuvre, explique Robin, un étudiant et militant du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), l’une des organisations qui a organisé le débat. Jean-Michel Minovez nous a précisé qu’il s’agissait d’une injonction gouvernementale, poursuit-il, qui interdit tout type de rassemblement, qui n’est pas directement lié à la vie universitaire ». À défaut d’amphi (protégé par des gardiens), la cinquantaine de personnes présentes, hier soir, s’est finalement rabattue dans une salle de cours voisine sur le campus. Sans que les services de sécurité, qui gardent les lieux, n’interviennent. Un débat a donc pu avoir lieu réunissant diverses associations : Palestine Libre, CCIPPP, Collectif des femmes révoltées, NPA, Parti des Indigènes Toulouse, Les Ailes du savoir, Journal Retour Arabe, Révolution... des « citoyens » mobilisés « contre les menaces actuelles sur les musulmans et sur les libertés en général ».

    Ce meeting se voulait la première initiative à Toulouse d’une « contre offensive antiraciste contre l’islamophobie, contre le racisme et l’impérialisme, pour l’égalité et la justice sociale ».

    #islamophobie

  • Le tribunal administratif tacle le barrage de la Barne | On peut détruire illégalement l’environnement, du moment qu’on est le plus rapide.
    http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/06/2044374-le-tribunal-administratif-tacle-le-barrage-de-la-barne.html

    Pour autant, il est assez peu probable que cette décision change le devenir de la retenue du bassin Adour. La construction est achevée ou presque : la digue a été achevée en septembre, et la phase de mise en eau devait suivre. Le financement public de l’ouvrage — 2,7 millions d’euros — devrait en empêcher la destruction, comme l’admettait hier un responsable de FNE Midi Pyrénées joint au téléphone.

  • « Fraude de survie » et chasse aux pauvres.
    CAF : un arsenal judiciaire adapté contre la fraude - 05/02/2015 - LaDepeche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/05/2043490-caf-un-arsenal-judiciaire-adapte-contre-la-fraude.html

    « Nous avons mis en place des procédures internes pour identifier les fraudes, explique Daniel Chardenoux, le directeur de la #CAF. Nous avons deux #contrôleurs assermentés et deux personnes supplémentaires formées contre la falsification des documents. Nous avons de véritables outils numériques pour faire du #profilage. Dans le cadre de la #procédure, nous avons aussi accès aux #relevés_bancaires des suspects. À un moment ou à un autre, la fraude sera découverte. »

    D’autant que la CAF n’agit pas seule, mais dans un véritable réseau articulé autour du comité départemental de lutte contre la fraude, où se retrouvent la préfecture, les caisses sociales, #Pôle_Emploi, les impôts, le conseil général ainsi que les forces de l’ordre et le parquet.

    « Nous avons progressé dans la détection en resserrant le maillage entre organismes », explique Anne-Marie Castellot, responsable du service #prestations.

    « Pour une partie, il s’agit de fraude de survie que l’on peut comprendre mais pas accepter dans un pays déjà généreux en matière de droits sociaux , précise le directeur. Il ne faut pas que ces débordements délégitimisent tout le système. Il s’agit d’un petit travail non déclaré ou d’apparaître comme une personne seule alors qu’on vit en couple. »

    Le responsable évoque aussi des fraudes plus organisées via des sociétés écrans. Il pointe aussi deux motifs d’inquiétude et de vigilance :

    « Nous avons près d’1 M€ de situations douteuses ou problématiques, proches de la fraude. L’autre phénomène, c’est l’explosion des #dénonciations, dont la majorité d’ailleurs n’est finalement pas avérée. »

    200 dénonciations ont été reçues l’an dernier, la plupart par écrits anonymes. Pour Daniel Chardenoux, « cela témoigne d’un climat pas très sain et d’une moindre acceptation de ces situations considérées comme abusives. Il y a aussi la complexité du système qui nuit à son efficacité ». 30 prestations et pas moins de 17.000 règles de droit concernent la CAF. « Il faut simplifier ce cadre et disposer de réponses adaptées. »

    À la CAF, une commission gère les #sanctions à l’encontre des #fraudeurs qui sont mis en #recouvrement : soit un avertissement, soit une pénalité financière, soit la poursuite devant les tribunaux.

    « C’est là qu’intervient la convention avec le parquet, précise le directeur. Elle hiérarchise les implications des uns et des autres par rapport à l’importance de la fraude et à la situation des personnes. »

    Plusieurs réponses s’offrent alors à la justice : un rappel à la loi, une médiation pénale ou une sanction. Sur les 40.000 allocataires bigourdans, on n’a recensé que 89 fraudeurs en 2014.

    #police_des_conduites