• Une suppression partielle de l’argent. La proposition du groupe thématique « économie » du Réseau salariat

    sources :
    https://www.reseau-salariat.info/images/article_une_monnaie_communiste_.pdf
    https://www.reseau-salariat.info/articles/2022-04-01

    Le titre est un peu provocateur au regard du positionnement de l’association, qui n’est pas abolitionniste à l’égard de la monnaie - ça ferait mauvais genre.

    Mais il est pleinement justifié si l’on regarde le nouveau modèle économique proposé.

    Pour rappel, les courants post-monétaires proposent une économie uniquement basée sur des quantités de choses à produire, incommensurables entre elles, sans gestion du droit de tirage.

    Le réseau salariat propose quelque chose qui est à mi-chemin : l’argent est utilisé comme droit de tirage, mais il est supprimé dans ses autres fonctions.

    Voilà la proposition résumée :
    – Le droit de tirage sur la production est géré par une monnaie, une « monnaie salariale », distribuée inconditionnellement à toutes les personnes majeures (salaire à vie) correspondant à la qualification de la personne (sur une échelle de salaire de 1 à 3).
    – Cette monnaie sert uniquement aux particuliers pour acheter les biens de consommations finaux
    – Les biens de consommation intermédiaires ne sont pas achetés ni vendus. Par exemple, un boulanger n’achète pas sa farine, il la demande au minotier qui lui en fournit sans échange d’argent.
    – Contrairement à l’économie capitaliste, il n’y a plus de monnaie d’investissement, c’est-à-dire créée sous forme de prêts à rembourser.
    – La monnaie est ici créée par la caisse des salaires au moment de verser des salaires. Cette monnaie doit être détruite à l’issue du cycle versement des salaires (création de la monnaie)->achat des biens de consommation->reversement de cette monnaie à la caisse des salaires par les magasins (destruction de la monnaie).
    Pour rappel la monnaie capitaliste est crée au moment des prêts et détruite à leur remboursement.
    – Mais puisqu’il y a une monnaie, il faut bien fixer un prix aux choses achetées par les gens. C’est là qu’on entre dans des complications et des propositions à mon avis hasardeuses dans le but de domestiquer la monnaie.
    Le prix est calculé, pour tel produit, à partir de la somme des temps des travaux contenus dans ce produit, multiplié par un coefficient régulièrement mis à jour, tenant compte par exemple de la quantité de travail des gens qui travaillent dans le secteur non-marchand (secteur où les produits finaux sont distribués gratuitement mais où les producteurs reçoivent un salaire à vie comme tous les autres). Le but de ce coefficient est d’équilibrer la quantité de la monnaie distribuée en salaires avec la somme des prix des biens disponibles à la vente. Les unités de production intermédiaires devront donc faire remonter l’information concernant les quantités de travaux (nombre d’heures) contenues dans leurs produits.

    Dans cette proposition, la suppression de la monnaie dans les consommations intermédiaires est une conséquence logique de la généralisation du salaire à vie à tous les producteurs : la production est déjà payée par le versement des salaires, puisqu’il n’y a pas d’avance d’argent à rembourser par ailleurs.

    Ce serait assez facile de critiquer cette proposition en imaginant tout ce qui pourrait faire capoter cette organisation.

    Elle me paraît toutefois cohérente avec le schéma de pensée du réseau salariat, consistant à généraliser deux institutions existantes (que Friot appelle le « déjà-là » communiste) : le salaire attaché à la qualification de la personne (et non au poste) et la cotisation-subvention permettant la sécurité sociale.

    Le problème est que ces deux institutions butent sur des limites : elles ne sont pas autonomes mais adossées à d’autres institutions beaucoup plus puissantes, dont elles dépendent. En l’occurrence ce sont des sous-circuits monétaires à l’intérieur d’une circulation monétaire globale plus grande, d’une monnaie créée en fonction d’un impératif abstrait d’accroissement de valeur, laissant loin derrière les priorités concernant les besoins ou tout autre critère concret (justice sociale, préservation des ressources, respect des cycles naturels, prise en compte des limites physiques etc). Pour sortir du capitalisme, il faut donc commencer à se projeter dans un monde où la monnaie capitaliste est abandonnée.

    Ça, c’est fait.

    #post-monétaire #réseau-salariat #monnaie

  • Du pain et des parpaings #6 - La forêt, de l’extractivisme à la réappropriation collective | Radio Pikez | Ecoutez hearthis.at
    https://hearthis.at/radiopikez/dpedp6-forets

    Du pain et des parpaings, une série d’émissions mensuelle sur les luttes contre l’accaparement des terres, la gentrification, l’agro-industrie, le capitalisme vert, le pourrissement des écosystèmes, le colonialisme, l’extractivisme des corps et des matières, le tout principalement en Bretagne mais pas que. Parce que les luttes ne sont pas que locales, elles s’insèrent le plus souvent dans un système économique et politique global, délétère et injuste.

    Dans cette sixième émission, on balaie une histoire des usages de la forêt en France, en évoquant l’exploitation guerrière, coloniale et capitaliste. Pour arriver à l’échelle extractiviste actuelle, couplée pour la forme avec un greenwashing bien huilé. On en parle notamment avec Metig Jakez-Vargas de la revue Z.

    Puis on entre dans les bois pour observer celleux qui défendent une forêt qui vit, qui se régénère, qui se partage et se protège, avec Adam, bûcheron de métier et de passion.

    https://static.piaille.fr/media_attachments/files/110/142/052/858/618/116/original/ee50a93eeef0f8a2.mp4

  • Bonjour à vous, qui luttez pour des terres paysannes et contre l’agro-industrie.

    Notre dernière émission « Du pain et des parpaings », en ligne depuis ce matin, est consacrée à l’accaparement des terres par les sociétés financiarisées et à des manières de se réapproprier le terrain :
    https://hearthis.at/radiopikez/set/du-pain-et-des-parpaings

    On y entend Bastien, de la Confédération paysanne, Aurélie, paysanne, et Amélie, de Terres de Lien.

    C’est 1 heure de discussion, d’accordéon électronique, de détermination et de constats, sans parler des sons de grenade et des ressources nourricières.

    Merci pour votre écoute, le relais et vos éventuels retours.

    A bientôt,

    L’équipe de Du pain et des parpaings (Radio Pikez - Brest)

    Du pain et des parpaings, une série d’émissions mensuelles sur les luttes contre l’accaparement des terres, la gentrification, l’agro-industrie, le capitalisme vert, le pourrissement des écosystèmes, le colonialisme, l’extractivisme des corps et des matières, le tout principalement en Bretagne mais pas que. Parce que les luttes ne sont pas que locales, elles s’insèrent le plus souvent dans un système économique et politique global, délétère et injuste.

  • Contre la méga-porcherie de Landunvez | Du pain et des parpaings
    https://www.pikez.space/du-pain-et-des-parpaings-1

    Du pain et des parpaings, une série d’émissions mensuelle sur les luttes contre l’accaparement des terres, la gentrification, l’agro-industrie, le capitalisme vert, le pourrissement des écosystèmes, le colonialisme, l’extractivisme des corps et des matières, le tout principalement en Bretagne mais pas que. Cette première émission donne la parole à des collectifs, associations et individus en lutte contre une méga-porcherie dans le Nord-Finistère et invite Virgile Bleunven, éleveur porcin, pour en parler. Durée : 1h. Source : Radio Pikez

    https://hearthis.at/radiopikez/dupainetdesparpaings1

  • Positive Reaktionen auf private Taxi-Qualitätsoffensive
    https://www.taxi-times.com/positive-reaktionen-auf-private-taxi-qualitaetsoffensive

    23.10.2022 von Axel Rühle - Ein Taxiunternehmer hat in Eigenregie einen Plan zur Lösung zahlreicher Probleme im Taxigewerbe ausgearbeitet und am Rande der Taxi Driving Innovation verteilt. Er hat überwiegend positive Resonanz bekommen und Kontakte geknüpft.

    Für die meisten war Hilmar Werner ein unbekanntes Gesicht, als er den Gewerbevertretern aus ganz Deutschland Ende September im Ullstein-Haus in Berlin-Tempelhof nach Absprache mit dem BVTM sein Papier in die Hand gab. In Zeitungsjungen-Manier pries er das Thema an: „Taxi- und Mietwagen-Krieg: Aufruf zur Qualitäts- und Tarif-Offensive!“ Wer den Text nicht schon per E-Mail erhalten hatte, griff spontan zu, oft mit Kommentaren wie: „zu dem Thema immer gerne“.

    Als IHK-geprüfter Stadtführer für anspruchsvollere Kunden hat er klare Vorstellungen von einer guten Dienstleistung. Das, woran es seiner Ansicht nach hauptsächlich fehlt, um den Niedergang des Taxigewerbes aufzuhalten, hat er auf zehn Seiten zusammengefasst.

    Einleitend schreibt Werner von „tödlichen Gegnern“ des Taxigewerbes, neben selbstfahrenden Autos vor allem die Mietwagen „und deren Dulder in der Regierung“, die es geschafft hätten, „die Aktivitäten von Uber & Co. durch die PBegG-Schlupfloch-Novelle zu ‚legalisieren’“. Hier helfe kein Schimpfen, auch Aufklärungsarbeit bei Politikern und Kunden sei nicht genug; man müsse auch vor seiner eigenen Tür kehren „und die eigene Leistung samt dem eigenen ‚Image’ aufpolieren – und zwar nicht nur für Werbezwecke, sondern so, dass wir real besser werden und unser Ruf beim Kunden nachhaltig steigt – auch bei den Meinungsmachern in den Medien und bei den ‚Entscheidern’ in der Politik“.

    Dazu müsse man als erstes die häufige Kundenkritik ernstnehmen, egal, ob diese objektiv berechtigt sei: fehlende Hilfsbereitschaft, mangelnde Ortskenntnis und gefährlicher Fahrstil, absichtliche Umwege, eigenwillige Musik und private Telefongespräche am Steuer, aufdringliche Kontaktsuche oder kaum mögliche Verständigung mit dem Fahrer, ungepflegter Zustand des Fahrers und des Autos, schlechte Erreichbarkeit und unfreundliche Mitarbeiter bei Funkzentralen, nicht zuverlässig funktionierende Vorbestellungen und schließlich fehlende Möglichkeiten in Apps, Fahrer zu bewerten, um sie zu einer besseren Dienstleistung anzuspornen. Bei den Apps der Konkurrenz funktioniere letzeres im Wesentlichen ohne Probleme (wobei der Autor an dieser Stelle außer Acht lässt, dass auch zahlreiche Taxizentralen solche Fahrtbewertungen ermöglichen).

    Die Sanktionen für imageschädigendes Verhalten wie das Nicht-Ausführen von Aufträgen seien viel zu lasch. Einen Funk-Kunden ‚im Regen stehen zu lassen’, wenn sich eine lohnendere Tour anbiete, dürfe sich nicht lohnen. Eine halbstündige Funksperre, die kaum länger dauert als die lukrative Fahrt zum Flughafen, sei zu leicht zu verschmerzen.

    Von den gewerbeeigenen Taxi-Apps wünscht er sich nicht nur die Möglichkeit, Kunden zu bewerten oder zu blockieren, sondern vor allem bessere Möglichkeiten der direkten Kommunikation mit den Fahrgästen, um Probleme zu klären, besonders um sich gegenseitig leichter zu finden und so Fehlfahrten und Frust zu vermeiden, sowie allgemein laufende Verbesserungen in der Funktionalität und Geschwindigkeit, wie es bei Konkurrenz-Apps üblich sei. Diese würden viel häufiger aktualisiert und setzten Kritik und Anregungen schneller um.

    Es gelte demnach zum Überleben des Taxigewerbes zwei große Aufgaben zu bewältigen: a) besser werden und b) dies auch kommunizieren.

    Zur ersten Aufgabe regt Hilmar Werner eine echte Qualitätsoffensive an, für die er ein Segment namens „Top Quality Taxi“ vorschlägt, dessen Fahrer „einen garantierten Top-Qualitätsstandard bieten, die prioritär Aufträge vermittelt bekommen und prioritär bestellt werden können“; also eine Weiterentwicklung von bestehenden Ansätzen wie z. B. das „VIP-B-Modell“ in Berlin. Er nennt Stichworte wie Höflichkeit, Freundlichkeit, Konversation oder Schweigsamkeit, Sauberkeit, Geruchsfreiheit und Einhaltung der Vorschriften, die die Fahrer in „entsprechenden Verhaltenskursen“ vermittelt bekommen und auch praktisch üben sollen. Darüber hinaus müsse die abgeschaffte Ortskundeprüfung durch eine vom Taxigewerbe angebotene, „elementare“ Prüfung ersetzt werden, „die es dem Fahrer ermöglicht, zu verstehen, was der Kunde von ihm will, wenn dieser Vorstellungen zu Weg und Ziel äußert, die ihn in die Lage versetzt, in Notfällen wichtige Ziele verzögerungsfrei anzufahren (z. B. Krankenhäuser), und dem Kunden unterschiedliche Wege zu empfehlen (z. B. wenig teure Kilometer, aber lange Fahrtdauer vs. mehr teure Kilometer, aber kürzere Fahrtdauer)“.

    Auch gehöre ein Mindestmaß an Deutsch- und Englischkenntnissen zu einem guten Fahrer, zweiteres zumindest in Großstädten (eine Ansicht, die schon oft formuliert wurde und in der Praxis trotzdem viel zu wenig funktioniert).

    Darüber hinaus sei korrekte Kleidung ein Merkmal für eine professionelle „Corporate Identity“ eines Taxigewerbes mit einem „Chauffeur-Image“, vorzugsweise in den Farben Hellelfenbein, Schwarz oder Dunkelgrau, Gelb und Weiß und mit Taxi-Logo. Mit seinem eigenen Oufit versuchte er dies bei der Veranstaltung zu demonstrieren. Ein „neueres Fahrzeug der gehobenen Klasse“ runde das Bild des Top-Qualitäts-Fahrers ab.

    as alles ist von der Idee her nicht neu, funktioniert aber erfahrungsgemäß nur bedingt. Einen Grund dafür sieht Werner in der mangelnden Kontrolle: „Die besten Vorgaben taugen nicht viel, wenn ihre Einhaltung nicht überwacht wird.“ Er schlägt daher ein gewerbeeigenes Team vor, das die Fahrer mit vertraglicher Zustimmung stichprobenartig überwacht und ihnen „bei wiederholtem negativen Feedback seitens der Kunden“ das Qualitätssiegel aberkennt. Unrealistisch ist das nicht: In Österreich gibt es solche Kontrollen seitens der Wirtschaftskammern. Finanzieren müsse das Gewerbe die Kontrollen im eigenen Interesse selbst. Schließlich habe nur der Teil des Gewerbes mit hohen Qualitätsstandards eine Überlebenschance, denn das, was schlechte Taxifahrer bieten, würden Kunden bei Uber & Co. in gleicher Qualität oft billiger bekommen.

    Die zweite große Aufgabe, die Verbesserung des durchwachsenen Rufs des Taxigewerbes, müsse dringend durch eine bundesweite, groß angelegte Werbekampagne in Angriff genommen werden. Man brauche sich nicht zu wundern, dass die Kundschaft in Massen zur unseriösen Konkurrenz abwandere, da diese auf allen Online-Kanälen, im öffentlichen Raum und im Radio mit permanenter Reklame präsent ist, während das Taxi dort kaum wahrnehmbar sei. Das Taxigewerbe müsse also aus eigener Kraft in die völlig vernachlässigte Werbung investieren, um besser im Bewusstsein der Verbraucher präsent zu sein.

    Auch müsse öffentlich viel stärker über die „wuchernden, kriminellen Aktivitäten unserer lieben Konkurrenz“ mit ihren „asozialen Arbeitsbedingungen“ aufgeklärt werden, beispielsweise durch professionell produzierte Kurz-Videofilme auf YouTube. Wer im Taxigewerbe wirklich Geld verdiene, könne auch einen Teil dafür investieren, „der naiven Öffentlichkeit vor Augen zu führen, wie die ‚Kollegen’ ständig das Gesetz brechen, indem sie überall herumstehen und herumcruisen, wie die Kollegen ausgebeutet werden, wie sie damit nicht nur sich selbst, sondern indirekt auch andere ruinieren“. Auch für dieses Problem regt er Kontrollen an, auch, um an Beweise für juristisches Vorgehen zu kommen.

    Um den „mörderischen, asozialen Dumping-Wettbewerb, der auf dem Rücken der Fahrer ausgetragen wird“, zu beenden, fordert Werner von Kommunen, „bundesweit konzertiert“ eine Tarifuntergrenze für Mietwagen festzulegen, die „deutlich höher liegt als der übliche Taxi-Tarif“. Paragraph 51 a des novellierten Personenbeförderungsgesetzes (PBefG) lässt dies zu.

    Schließlich regt Werner ein Verbot von Werbung für Mietwagen auf den Türen von Mietwagen und Taxis an, denn solche Werbung trägt seiner Ansicht nach dazu bei, dass Mietwagen wie Taxis benutzt werden. Über ein solches mögliches Verbot sprach Werner vor Ort mit Herwig Kollar, dem Präsidenten des BVTM. Kollar allerdings schätzte die Chancen der Durchsetzung als gering ein.

    Hilmar Werner hat sein Papier nicht nur an die Teilnehmer der Taxi Driving Innovation verteilt, sondern zudem per E-Mail an zahlreiche Verkehrspolitiker aller Fraktionen im Bundestag und im Berliner Abgeordnetenhaus, an weitere Gewerbevertreter, an Wissenschaftler und an Medienvertreter verschickt. Gegenüber Taxi Times spricht er von fast ausschließlich positiven, wohlwollenden Reaktionen. „Auch, wenn verständlicherweise nicht alle Zentralenchefs begeistert sind, wenn man die Arbeit ihrer Zentrale kritisiert und sie zu Geldausgaben für Werbung überreden möchte, so habe ich doch hauptsächlich Zustimmung von Gewerbevertretern bekommen, die ich zum größten Teil aus diesem Anlass vor Ort kennengelernt habe. Mit einigen kam ich in interessante, freundliche Gespräche und rannte mit meinen Vorschlägen offene Türen ein. Ich merke allerdings, dass mir eines fehlt, das ich mir nicht so eben mal aneignen kann: der richtige Stallgeruch. Nicht jeder alte Hase lässt sich von einem Neuling gerne etwas sagen. Mir geht es aber ausschließlich darum, gemeinsam besser zu werden, und dazu möchte ich möglichst alle ins Boot holen und überzeugen, meine Kritik konstruktiv zu nehmen. Dass ich Mängel beim Namen nenne, schmälert ja nicht die Verdienste von Zentralen, die insgesamt eine gute Dienstleistung erbringen.“

    Freundliche bis zustimmende, persönliche oder per E-Mail geschickte Reaktionen kamen unter anderem von Boto Töpfer, dem Vorsitzenden des Taxiverbandes Berlin, Brandenburg, Danielo Baltrusch aus dem Vorstand der Berliner Taxi-„Innung“, vom Berliner SPD-Fraktionsmitglied Takis Mehmet, vom Berliner AfD-Mitglied Christian Wirth, vom Berliner „Taxi-Soziallotsen“ Klaus Meier und von Hobby-Radiomoderatorin Sonja von Rein, Produzentin einer regelmäßigen Radio-Sendung mit Taxi-Themen und selbst Taxiunternehmerin.

    Das Papier war nicht Werners erste Aktion in Sachen Qualität des Taxigewerbes. Als im Deutschen Bundestag heftig um die Inhalte der PBefG-Novelle gefeilscht wurde, brachte Werner, der früher unter anderem als professioneller Radiosprecher tätig gewesen war, in einer Radiosendung dem Publikum den Begriff „Uberisation“ näher – in einem Beitrag, der Hörspiel-ähnlich aufgemacht war und in Kooperation mit Taxi-Times-Redakteur Axel Rühle produziert wurde (hier ab Minute 14:30 zu hören).
    https://hearthis.at/pi-radio/2020-08-20-19-00-taxi-berlin-hier-spricht-taxi-berlin-47
    Ebenso veröffentlichte er detaillierte Texte zum Thema in der Taxi-Fachpresse.

    Der Job beim Radio war nur eine von zahlreichen Tätigkeiten, die der 66-jährige gebürtige Münchner im Laufe seines Lebens ausgeübt hat. Er belegte die Studienfächer Philosophie, Kunstgeschichte, Religionswissenschaft, Sportwissenschaft/Anthropologie, Psychologie, Ethnologie und Archäologie. Statt zu promovieren, wurde er in den 1980er-Jahren als Wehrdienstverweigerer „professionell“ in der Friedensbewegung tätig, gründete die „Friedensinitiative Philosophie“ am Philosophischen Institut der Freien Universität FU Berlin und organisierte Aufklärungsveranstaltungen über die militärischen Spannungen dieser Zeit sowie Demonstrationen. Er arbeitete unter anderem als Ausstellungsführer, Schauspieler, Rundfunksprecher, Bausystemdesigner und Tragwerksplaner, Reiseführer, Autor und Übersetzer. Um seine freiberufliche Tätigkeit als Stadt- und Museumsführer zu ergänzen, machte Werner, der seit vier Jahrzehnten in Berlin lebt, vor zehn Jahren den Taxischein, später noch den Unternehmerschein und schaffte sich ein Großraumtaxi mit Panoramadach an, in dem er sowohl normale Fahrgäste von A nach B befördert als auch Touristen „mit optimalem Durchblick“ die Stadt zeigt.

    #Taxi #Politik #Arbeit

  • Pi Radio – Freies Radio in Berlin
    https://piradio.de

    Pi Radio: Berliner Stimmen und ihre Musik
    Freies Radio aus Berlin, Donnerstag von 6:00 Morgens bis 6:00 Nachts auf UKW 88,4 MHz (Berlin) und 90,7 MHz (Potsdam).

    Zum Nachhören
    https://hearthis.at/pi-radio/set/taxi-berlin

    Zum Beispiel

    Taxi Berlin - Hier spricht Tiffany Berlin: Kein Plan vom Stadtplan #58
    https://hearthis.at/pi-radio/2021-06-24-19-00-taxi-berlin-hier-spricht-tiffany-berlin-kein-plan-vom-stad

    #Berlin #Radio #Taxi

  • État vs éduc pop #1 : interview de la Boite Sans Projet
    https://hearthis.at/radiopikez/etat-vs-educ-pop-interview-de-la-boite-sans-projet

    La Boite sans projet est une asso d’éduc pop d’Amiens. En octobre 2020, elle intervenait à la demande de la Fédé des Centres sociaux pour animer une rencontre de jeunes de toute la France sur le thème des religions. Sarah El Haïri, secrétaire d’état à la jeunesse et à l’engagement, s’est trouvé dépourvue en découvrant que les jeunes abordent les discriminations qu’ils subissent, font des propositions pour changer ces situations et questionnent la laïcité telle qu’elle est appliquée. Elle a demandé un rapport qui vient d’être rendu public. Durée : 46 min. Source : Radio Pikez

  • Autour des inculpé-e-s du 8 décembre | Radio Pikez
    https://hearthis.at/radiopikez/podcastacentrale10042021

    Le 8 décembre 2020, neuf militant·e·s libertaires, écologistes, pro-Kurdes, féministes et anti-racistes ont été perquisitionné·e·s et arrêté·e·s par la DGSI. Emission en présence des comités de soutien de Paris et Rennes. Avec la participation de La Quadrature du Net et André Hebert, auteur de « Jusqu’à Raqqa, avec les kurdes contre Daech » aux éditions Les Belles Lettres et « Hommage au Rojava », aux éditions Libertalia. Pour toutes les informations concernant les Inculpé-e-s du 8 décembre : https://soutienauxinculpeesdu8decembre.noblogs.org Durée : 1h59. Source : L’Aacentrale

    https://hearthis.at/radiopikez/podcastacentrale10042021/download

  • En finir avec l’insertion | SocioMerdier
    http://www.pikez.space/insertion

    Ce podcast est principalement construit autour d’extraits d’une Midinale où nous avions abordé le milieu de l’insertion professionnelle. Les réflexions de Bernard Friot sont insérées deci-delà. Il est sociologue et économiste, spécialiste de l’histoire de la sécurité sociale et militant du Réseau Salariat : une association d’éducation populaire qui milite pour une sortie du capitalisme par l’instauration de la société du salaire à vie. Durée : 1h12. Source : Pikez !

    https://hearthis.at/radiopikez/9-sociomerdier-en-finir-avec-linsertion

  • Gachette facile : une politique d’État
    https://hearthis.at/lacucaracha/cuca09-gachettefacileunepolitiquedetat

    Prise de parole des membres de la coordination contre les violences policières et institutionnelles en Argentine, la Correpi, le 22 février 2018. Ce jour-là, à Villa Carlos Paz, dans le centre de l’Argentine, la famille de Franco Amaya commémorait la mort de ce dernier. Des membres de la Correpi avaient développé leur analyse de la « gachette facile », cette politique qui protège et encourage les forces de sécurité à utiliser leur arme à feu lors des interpellations. Durée : 59 min. Source : La Cucaracha

  • Justice et Vérité pour Babacar Gueye | RadioPikez | Listen on hearthis.at
    https://hearthis.at/radiopikez/justice-et-verite-pour-babacar-gueye

    Émission publique le 13 septembre 2020 pendant le weekend de soutien au collectif Justice et Vérité pour Babacar Gueye organisé à l’Avenir, à Brest. Babacar Gueye est mort sous les balles de la police pendant la nuit du 2 au 3 décembre 2015 à Rennes. Partie 1 : l’histoire de Babacar et le combat du collectif Justice et Vérité pour Babacar Gueye par Awa et Tarik. Partie 2 : une lutte alliée à d’autres familles de victimes de violences policières meurtrières et collectifs engagés dans la lutte contre l’impunité policière et le déni de justice. Durée : 1h28. Source : Relevé sur le Net...

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  • Ethique et Travail Social | Des Corps, d’la Bricole et un tas de merdier
    https://hearthis.at/radiopikez/8-sociomerdier-ethique-et-travail-social

    Saül Karsz est sociologue et philosophe. Vous trouvez ici des extraits de sa conférence « Travail social, intervention sociale, questionnements éthiques », accompagnés de trois morceaux de musique : « Comme un aimant » de IAM, « Le blues du tox » des Svinkels et « L’agence des amants de Madame Müller » de Thiéfaine. Durée : 1h05. Source : Radio Pikez

    https://hearthis.at/radiopikez/8-sociomerdier-ethique-et-travail-social/download

  • Monstroplante, le soja qui fait boum
    http://www.pikez.space/monstroplante-le-soja-qui-fait-boum

    Une série sur le « système soja ». Pour mieux comprendre le « boom » économique fabuleux de ce protéagineux qui nourrit le bétail partout sur la planète. Pour cerner ses conséquences monstrueuses sur les paysages, les terres, les vies animales et humaines. Pour imaginer d’autres voies à une question fondamentale : quel est le menu des prochaines décennies ? Durée : 1h30 et 1h37. Source : Radio Pikez !

    https://hearthis.at/radiopikez/soja-1/download

  • #balancetaporcherie
    http://www.pikez.space/balancetaporcherie

    Un documentaire d’Adèle, Marion et Romain. Landunvez, petit village de bord de mer, aux allures de cartes postales. Oui mais voilà, à moins de 500 m du bourg se trouve l’exploitation Avel Vor, une des plus grosses porcheries industrielles de France. Voyage en pays porcin, parmi les gens qui luttent contre ce modèle, ici à Landunvez, et ailleurs… Durée : 1h. Source : Radio Pikez !

    https://hearthis.at/radiopikez/balancetaporcherie051119/download

  • Le capitalisme sécuritaire | Le Bruit et la Fureur
    http://www.pikez.space/le-bruit-et-la-fureur-6-le-capitalisme-securitaire

    Ça fait longtemps que notre société discrimine, contrôle au faciès, torture l’étranger, terrorise la population, surveille les corps et les âmes… On peut même dire qu’elle se fonde en grande partie sur ces pratiques « civilisées »… Quelques éléments pour une histoire du capitalisme sécuritaire. Durée : 50 min. Source : Radio Pikez !

    https://hearthis.at/radiopikez/le-bruit-et-la-fureur-6

  • A l’assaut du poulpe, épisode 1 : La mine
    https://hearthis.at/lacucaracha/cuca08-a-lassaut-du-poulpe-1-la-mine

    En 2018, La Cucaracha est allée promener ses antennes en Argentine, pour creuser - entre autres - ce qui se cache derrière des projets extractivistes, en donnant la parole à celles et ceux qui s’y opposent. La série « À l’assaut du poulpe » est constituée de 5 épisodes. Dans cette 1ère partie, on se rend à Esquel, dans la province du Chubut en Patagonie, une ville emblématique de la lutte contre l’extractivisme, puisque c’est ici qu’il y a une quinzaine d’année, pour la première fois, la population a réussi à rejeter un projet de mine d’or. Durée : 22 min. Source : La Cucaracha