▶ The Man Who Swims With Crocodiles - Chito and Pocho - Unbelievable but true - YouTube
▻http://www.youtube.com/watch?v=6EboT9KiTrY
Pas encore visionné
#amitie_interespece #crocodile
▶ The Man Who Swims With Crocodiles - Chito and Pocho - Unbelievable but true - YouTube
▻http://www.youtube.com/watch?v=6EboT9KiTrY
Pas encore visionné
#amitie_interespece #crocodile
Et dans cette vidéo, des câlins sont prodigués à des dragons de Komodo par Nicole Viloteau, le plus intéressant est à partir de 10:00
▻http://vimeo.com/19103830
Elle est trop classe Nicole Viloteau merci pour ce docu que j’avais vu il y a un bon moment. J’ai vu aussi le docu sur Chito et Poncho c’etait très émouvant.
@mad_meg, ok pour remplacer les chatons par des #crocodiles, des loups ou des #dauphins ?
Fastoche, voici un dauphin qui est venu chercher secours auprès d’un plongeur.
▻http://www.flixxy.com/dolphin-asks-diver-for-help.htm
:-)
#animaux
Il a tout compris ce dauphin. Merci pour cette super video @touti
The Mammoth Cometh - NYTimes.com
►http://www.nytimes.com/2014/03/02/magazine/the-mammoth-cometh.html
Bringing extinct animals back to life is really happening — and it’s going to be very, very cool. Unless it ends up being very, very bad.
Mammouths et pigeons voyageurs, ça c’est pour @mad_meg
Merci @intempestive !
J’ignorais que les #pigeons_voyageurs étaient une race éteinte. J’ai moi-même eu des pigeons (paon) ils font des crottes partout et roucroucrou toute la journée et quand tu essaies de les abandonner quelque part, ils reviennent toujours. Un jour qu’ils ne revenaient pas (entre nous, je n’ai jamais essayé de perdre aucun animal), je les ai cherché et reconnu dans un zoo grâce à leurs bagues.
Les derniers pigeons voyageurs en france sont au Mont Valérien. C’est là qu’est cantonné le 8 ème régiment de transmissions français et le dernier #colombier militaire.
Découvrez également la triste histoire de #Jean_Desbouvrie qui n’ayant pas réussi à empêcher ses #hirondelles_voyageuses de migrer sombra dans l’alcoolisme.
▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Desbouvrie
Hum, je serais bien incapable de faire un lien avec les mammouths pour rester dans le sujet de ce post, désolée ;)
#animaux
A propos de la disparition de la #tourte :
Exclusif au continent nord-américain, cet oiseau était aussi appelé ectopiste voyageur (#Ectopistes_migratorius), ou encore tourte voyageuse. C’est d’ailleurs en son honneur que la tourte, que nous connaissons tous, a été ainsi nommée puisqu’il s’agissait, à l’origine, d’un #pâté_en_croûte canadien préparé avec la chair de ces pigeons (remplacé aujourd’hui par du gibier, ou à défaut du porc haché).
▻http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/actu/d/zoologie-il-mort-pigeon-migrateur-americain-17906
Réfléchir aux alternatives à l’abattage industriel des animaux
▻http://www.sad.inra.fr/Toutes-les-actualites/Reflechir-aux-alternatives-a-l-abattage-industriel-des-animaux
L’#élevage est aujourd’hui l’objet de critiques sévères qui mettent en jeu sa pérennité et dont le point nodal est l’abattage des animaux. Sur cette question, deux événements récents, organisés dans le cadre d’un projet de recherche (ANR Cow), ont mobilisé des éleveurs : une recherche participative organisée en collaboration avec des animateurs de la Confédération paysanne et un colloque organisé avec l’Université de Strasbourg.
Elevage industriel, abattoirs, viande in vitro : faut-il réinventer l’élevage ?
▻http://www.huffingtonpost.fr/2013/12/08/elevage-industriel-colloque-abattoir-viande-in-vitro_n_4404886.html
Tuer les animaux est-il un crime ? Alors que notre société vit une crise de la mort animale dont le symptôme le plus évident est l’émergence des mouvements végétariens associés à une revendication croissante de droits pour les animaux, que faire face à l’industrialisation de ce qu’il est désormais convenu d’appeler la production animale ? Faut-il abandonner toute forme d’élevage, ou peut-on en imaginer un autre, et si oui selon quels principes ? Telles furent les questions posées lors du colloque « Déshumaniser, désanimaliser, de l’abattoir à la viande in vitro » organisé à l’initiative de la sociologue Jocelyne Porcher (INRA) et de la psychologue Marie-Frédérique Bacqué, les 5 et 6 décembre à l’Université de Strasbourg, avec le parrainage de la philosophe Elisabeth de Fontenay.
Vidéos du colloque : ▻http://www.canalc2.tv/video.asp?idVideo=12409
L’élevage, un outil pour un futur post-industriel | 1+1=salade ?
►http://madeinearth.wordpress.com/2014/01/22/elevage-un-outil-pour-un-futur-post-industriel
Bien sûr, l’objectif n’est pas de continuer à produire les quantités astronomiques de viande que nous absorbons actuellement dans les sociétés industrielles. Le but est d’utiliser l’élevage pour ce qu’il apporte de mieux, comme les nombreux services à la ferme, le recyclage de matières premières qui quitteraient la chaîne alimentaire, la consolidation des fermes et des sociétés, et la production nette de nourriture.
#élevage #agriculture #permaculture #paysages #animaux #fermes #shameless_autopromo
(ton blog insiste pour me filer des cookies mais je préfère les miens aux flocons d’avoine donc je poste mon commentaire ici)
Que se passerait-il si demain le monde devenait subitement vegan ? Beaucoup de choses, mais l’une est particulièrement intéressante, et déduite des chiffres de la FAO (encadré 5.1) : si le monde devenait subitement vegan, il n’y aurait pas plus de protéines disponibles pour l’alimentation humaine au niveau mondial
Si toute l’humanité devenait végane ET appliquait de la polyculture #biointensive, avec un rendement moyen la SAU actuelle (de terres arables uniquement soit 1.4 milliards d’ha, en excluant ce qui est classifié en « parcours » et paturages) permettrait de nourrir entre 35 et 36 milliards de personnes. J’ai l’impression que ces calculs de la FAO ne prennent pas en compte la possibilité de directement composter ou humifier les déchets pour accroître la fertilité des sols, ni le fait que les engrais verts peuvent être inclus dans les surfaces mises en culture (voir être à la fois un engrais verts et une culture alimentaire comme plusieurs fabacées (fixatrices d’azote) et céréales (fixatrices de carbone))
Cela dit à titre personnel je considère l’élevage par défaut de volailles (et de cochons mais là il faut de la place et du matos) entièrement judicieux, pour tous les services rendus que tu détailles ici.
Je pense que passer d’un élevage basé sur des cultures fourragères à un élevage par défaut comme tu le décris ici serait déjà un très grand pas et rendrait une certaine dignité à l’élevage.
(Mon blog peut même te filer des pubs à l’occasion maintenant ...)
J’aime bien la stat de la FAO pour son côté choquant mais ça n’a pas grand intérêt sauf à montrer que l’élevage peut « créer » de la nourriture car on pourrait commencer à croire qu’il faut forcément en perdre 90%. Le chercheur Pimentel a même dit qu’il fallait 100 000l d’eau par kilo de viande, parce qu’il comptait la pluie qui tombait sur les pâturages. Des fois on se demande quel est le plan derrière tout ça.
Pourquoi est-ce que tu considère que l’élevage par défaut serait seulement un très grand pas ? Ça serait quoi le pas d’après ?
« seulement » un très grand pas parce-qu’on peut faire encore plein d’erreurs même avec de l’élevage sans culture fourragère, parce-qu’outre le fait de ne pas faire de culture fourragère il y a plein de choses qu’on peut améliorer et affiner
En fait je crois que la question va au-delà des cultures fourragères. Les cultures fourragères sont absentes des systèmes avec élevage par défaut, et ça en fait toute l’élégance, mais je crois que la vraie question est celle du seuil de contre-productivité (Ivan Illich) dans l’élevage, le seuil à partir duquel les échanges entre éleveur et animal domestique ne sont plus à bénéfices réciproques et aliènent l’éleveur (ou l’animal, ou les deux).
Et c’est possible que ces seuils soient atteints même en élevage par défaut. Exemple tu as un terrain avec des ronciers relativement loin de là où tu passes tous les jours. Tu te dis je vais y mettre des chèvres ça va désengorger le milieu et me faire de la viande. Du coup il te faut bien clôturer ou les tenir au piquet (où desfois elles restent emmêlées et bêlent à la rescousse), il leur faut de l’eau donc à toi d’en assurer l’approvisionnement. Desfois elles chopent des maladies donc tu les soignes. Certaines saisons il n’y a plus grand chose à brouter donc tu leur aportes un complément, puis de là tu peux basculer à cultiver un carré de féverole pour elles, en te disant ok c’est une culture fourragère mais ça me fait aussi de l’azote pour mon sol, puis imperceptiblement tu bascules comme ça vers de l’élevage qui ne sera plus par défaut et où tu consacreras plein de ressources à tes chèvres, au détriment d’autres éléments de ton système, voire au détriment de ta famille. Tout ça parce-qu’au départ il y a eu un souci de prise en compte de l’échelle dans la conception : à partir de combien de chèvres ça vaut le coup de consacrer du temps pour préparer tel espace aux besoins liés à leur présence, à partir de quelle taille mon espace peut-il recevoir des animaux qui s’insèreront bien dans les cycles et rendront plus de services qu’ils n’en demandent, etc.
Et bien sûr il y a d’autres systèmes avec élevage par défaut où tout marche impec, parce-que ces questions d’échelle et d’espace auront été bien prises en compte (consciemment ou pas), comme chez l’ami Fabien ►http://senshumus.wordpress.com/2006/10/16/o-corse-ile-de-permaculture
En y repensant, je trouve assez difficile de vivre avec les animaux quand ils sont élevés par défaut. C’est à dire qu’en période de sécheresse ou quand une femelle met bas ou quand l’hiver est rude ou autre circonstance particulière, en tant qu’éleveur on aura plutôt tendance à vouloir les complémenter avec du fourrage, et donc à glisser vers un peu (puis un peu plus, puis beaucoup) de cultures fourragères.
Pour faire un élevage par défaut au sens strict, il faut considérer ses animaux de façon nettement plus utilitaire, comme des variables d’ajustement, qui passeront sur la table à découper dès que les ressources (sauvages ou rebuts agricoles) qui les nourrissent viendront à diminuer.
J’ai plutôt l’impression que l’élevage par défaut se divise en deux grandes parties :
– les monogastriques (cochons, poules) qui peuvent vivre près des villes, mangent les surplus (déchets de cultures, surplus de cultures les années fastes, déchets de cuisine, produits d’abattoir). Ces animaux sont la variable d’ajustement.
– les herbivores qui maintiennent les paysages, mangent des choses non comestibles, concentrent la fertilité. Ces animaux ne sont pas une variable d’ajustement, ou alors hypothétiquement à long terme comme signe avant coureur d’un dépassement de capacité de charge
La tentation du fourrage est là, mais si le fourrage est de l’herbe, je pense que c’est toujours un élevage par défaut, et peut être que l’agriculteurice devrait prévoir une marge. Pour l’été, les arbres apportent de bon fourrages à cette époque, il faut voir comme les intégrés au mieux (par exemple des champs herbes/tagasastes qui sont ouverts aux animaux le temps que les tagasastes ne soient pas surpatûrés).
Cela dit je suis peut être sur un schéma différent du pur élevage par défaut dans mes visions de l’élevage. Je vois plutôt des espaces très planifiés pour les bêtes, avec plein de cultures fourragères vivaces.
Comme ça je sais pas trop, y a pas plus d’explications dans le livre ?
Effectivement ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Peste_noire c’était au XIVème
Ils se disputent la collecte d’animaux morts dans les fermes
▻http://www.boursorama.com/actualites/ils-se-disputent-la-collecte-d-animaux-morts-dans-les-fermes-3cf458e8854
▻http://s.brsimg.com/static-1389620304/cache/i/content/3/c/f/3cf458e885408e880919d6fd851c0454-0-628-423-3407832.jpg
Que faire des animaux morts en élevage ? Engrais, combustibles et même biocarburants, les débouchés sont nombreux et les équarrisseurs se disputent un marché devenu désormais juteux, sous l ??il inquiet des éleveurs.
Longtemps les carcasses de bovins, moutons et autres animaux trouvés morts en élevage (ATM) n’ont plus eu de débouchés. La faute à l’ESB, encéphalopathie spongiforme bovine ou vache folle, qui a réduit pendant longtemps les possibilités de recyclage et conduit à l’interdiction progressive des farines animales pour nourrir les animaux.
Pire, les collecteurs devaient payer pour s’en débarrasser, notamment les cimenteries pour qu’elles acceptent de les incinérer, raconte Yves Berger, directeur général de l’Interprofession de la viande et du bétail (Interbev).
Aujourd’hui, la situation a bien changé : les stocks sont vides et la réglementation s’est lentement assouplie, permettant par exemple l’utilisation des protéines animales, riches en azote, dans la fabrication d’engrais.
Et même les cimenteries se mettent maintenant à acheter les farines animales pour leurs propriétés combustibles, poursuit Yves Berger.
« Maintenant, on gagne de l’argent : le kilo de cuir se vend même plus cher que le kilo de viande », selon lui.
Les équarrisseurs disposent en outre d’une nouvelle piste à explorer : les biocarburants. Le numéro un du biodiesel en Europe, Sofiprotéol, s’est ainsi allié à l ?équarrisseur Atemax (groupe Akiolis) pour lancer une activité de production de gazole à partir de graisses animales d’ici 2015.
Et l’équarrisseur concurrent Sifdda (groupe Saria) a fait de même avec Intermarché pour créer Estener, dont la première usine a été inaugurée en novembre dernier au Havre.
Ces biocarburants ont d’autant plus de valeur qu’ils devraient compter double dans le taux d’incorporation des carburants, l’Union européenne privilégiant l’usage de matières non destinées à l’alimentation comme ces graisses animales tirées de cadavres qui ne peuvent pas être réintroduites dans la chaîne alimentaire.
120 emplois menacés ?
En moins de 20 ans, le marché est donc passé d’une situation où l’on détruisait les ATM à une situation où ils sont valorisés et vendus. Et les collecteurs (équarrisseurs) qui transforment ces produits sont gagnants deux fois : à la collecte des animaux, puisque les éleveurs paient pour qu’on vienne ramasser leurs bêtes mortes, et à la revente des produits tirés de ces carcasses.
D’où le glissement sémantique : dans la profession on ne parle plus de « sous-produits » de la viande, mais de « co-produits ».
Dans ce contexte, les quatre acteurs (Saria, Atemax, Monnard et Sopa) se disputent la collecte dans les fermes.
▻http://s.brsimg.com/static-1389622392/cache/i/content/3/c/f/3cf458e885408e880919d6fd851c0454-1-628-462-3407833.jpg
Depuis que le marché a été privatisé en 2009, ce sont des associations de filières (ATM porc, ATM ruminants...) qui décident de la répartition du marché.
Et ils viennent de décider de l’attribution de la collecte pour la période 2013-2015, en rééquilibrant les parts de marché. Ainsi Saria qui pouvait collecter dans 57 départements (56% du marché), se voit réduire son terrain de collecte à 49% du marché, au profit d’Atemax qui devrait maintenant détenir 45% du marché, contre 38% précédemment.
Mais Saria conteste cette nouvelle répartition commerciale et traîne le groupement des ATM devant le tribunal de grande instance de Paris. Une audience doit avoir lieu lundi, pour une décision attendue en février.
Pour Saria, la perte de neuf départements de collecte représenterait un manque à gagner de 10 millions d’euros (sur un chiffre d’affaires de 60 millions) et entraînerait la fermeture d ?une usine dans le Morbihan et de trois centres de collecte en Mayenne, Dordogne et Saône-et-Loire, employant 120 personnes au total, détaille le porte-parole de l’entreprise.
En attendant la décision de justice, Saria continue d’aller collecter les cadavres dans les départements qui lui ont pourtant été retirés.
Les éleveurs, qui payent pour ce service, sont furieux et inquiets car la collecte est avant tout pour eux une nécessité sanitaire, surtout quand il s’agit de maîtriser une épizootie. Et puis, « quand on refuse de baisser les prix, c’est normal qu’on perde un département », s’insurge-t-on dans le groupement des ATM.
#environnement
#collecte-d’animaux
#animaux
#Engrais
#combustibles
#biocarburants
SERIE - Ferme usine : et si l’on pensait aux vaches ? - Reporterre
▻http://www.reporterre.net/spip.php?article5231
Il semble utile de rappeler aux promoteurs des fermes usines et autres décideurs que les vaches sont des êtres vivants et conscients. Réduire leur existence à subir un élevage concentrationnaire revient à les considérer comme des machines.
Où l’on regarde avec effarement une émission télévisée de 1970. Où il apparaît que l’Inra a été le grand organisateur de l’élevage industriel. Où l’on confirme que Novissen est une grande association humaine.
Les animaux. Qui oserait oublier les mille vaches, et les sept cent cinquante génisses et veaux qui les accompagneraient dans leur calvaire ? Brigitte Gothière, responsable de l’association L214, se souvient pour Reporterre : « Pour nous, ça a démarré en août 2011. Gilberte Wable, actuellement responsable de Novissen, nous a contactés
pour nous alerter sur l’enquête publique en cours. On a donc rédigé une petite contribution pour dénoncer les conditions de vie promises aux animaux avec un tel projet ».
L214 (Éthique et animaux) est une association née en 2008, dans le prolongement du collectif Stop au gavage, qui dénonçait depuis des années les souffrances infligées aux oies et aux canards pour obtenir du foie gras. L214 tire son nom d’un article – le L214 bien sûr – du Code rural, qui date de 1976. Pour la première fois, les animaux sont considérés pour ce qu’ils sont. Citation : « Tout animal étant un être sensible, il doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce. »....
#ferme-usine Ferme des Mille Vaches
#vaches
Ensemble avec harmonie et solidarité
▻http://vimeo.com/6434925#at=0
▻http://intercession.over-blog.org/article-there-are-no-others-there-is-only-us-118074948.html
Je voudrais revenir sur les vols d’#étourneaux. Vous avez tous observé cela, à la bonne saison, ces extraordinaires figures, balais, que forment les étourneaux. Ils forment des filets, des structures en filets, liquides, qui se déplacent, et qui sont des objets mathématiques absolument sublimes. On a toujours eu beaucoup de mal à comprendre comment ils faisaient : pour ne pas se quitter, s’éparpiller, et comment ils faisaient pour ne pas non plus s’agglutiner.
Il est apparu, contrairement à ce que l’on pense, que cette structure n’est possible que s’il n’y a pas de #chef, s’il n’y a pas de #leader, d’une part. Et cette #structure n’est possible, aussi, que parce que les liaisons sont peu nombreuses, c’est-à-dire que chaque étourneau, donc chaque point du filet d’étourneaux, est lié à peu près à sept ou huit autres étourneaux, dans un lien qui est constamment modifiable – c’est-à-dire que ce n’est pas les sept ou huit même. C’est comme ça tout le temps, et c’est ce ‘‘comme ça tout le temps’’ qui structure la tenue du filet. Or, ce qui m’intéresse là-dedans comme image, c’est qu’on ne peut pas parler d’égalité des étourneaux entre eux, mais on peut parler d’une structure #politique, si l’on peut dire, en tous cas spatiale, qui les tient ensemble comme séparé.
Cette #structure qui tient les #hommes #ensemble comme #séparé, c’est peut-être ce que vainement, depuis qu’il y a des hommes, nous cherchons. Il y aurait à creuser d’avantage du côté de voir comment l’#espacement n’est possible comme espacement, que parce qu’il espace des distincts, et non pas des #semblables. Dans le discours de l’#égalité, dans le #discours des semblables, dans le discours des #égaux, il y a la déposition d’une #pensée toujours séparatrice et toujours hiérarchique, ou du moins, d’une pensée qui n’est pas capable, qui n’a pas su séparer la séparation de la #hiérarchisation. Et c’est d’autant plus pénible et tracassant, que dès lors qu’il y a #représentation, au sens politique, il y a forcément quelque chose de cela de cette non #séparation entre la séparation et la #hiérarchisation qui se pointe et qui revient.
Jean Christophe Bailly
Par ailleurs le Même #Jean_Christophe_Bailly a publier un plaidoyer en faveur de la condition animale :
▻http://www.nonfiction.fr/article-6579-mort_ou_vif.htm
#Le_parti_pris_des_animaux a toujours pour fond, pour arrière-plan cette inquiétude sourde, cette #menace de #disparition prochaine des #animaux #sauvages, de tous les animaux sauvages. Mais, alors que le texte de 2007 développait une #esthétique de la #présence des animaux, fondée sur des images, le parti pris engage une réflexion sur le #langage, et l’écriture, sur la possibilité de faire place à ce sens en irruption (tel que Bailly veut en donner une idée en rapportant au début de son texte de 2007 l’expérience significative de la rencontre avec le chevreuil) dans la pensée("L’affect de la rencontre avec [les animaux] reste lié aux régimes de l’irruption, du suspens bref et de la fuite" ).
L’idée forte du parti pris est que, si les animaux ne parlent pas, et si les faire parler relève de la fable (avec d’ailleurs la violence qu’il y a dans l’expression « faire parler »), ils ont néanmoins quelque chose à dire, et qu’écrire peut prendre pour dessein premier de faire une place à ce dire.
Le livre de Bailly se situe donc aux confins du langage, est une sorte d’expérience avec le #langage. Jusqu’où est-il possible d’aller avec le langage et l’écriture ? Jusqu’où peut-on suivre les animaux, les « tracer », selon une image cynégétique que Bailly affectionne tout particulièrement, avec pour seul recours l’#écriture, qui dans sa linéarité, sa #visibilité semble, de prime abord, imperméable à l’accueil des animaux, qui cherchent la cache et l’invisible, qui sont tout de silence, qui sont rétifs à la #géométrisation de leurs mouvements ?
Il faut se perdre dans ce #recueil, afin d’accéder à l’#expérience, qui n’est que dans la langue, des animaux, proposée par ce livre. Cependant, nous souhaiterions ici indiquer, en guise de critique (et ce au sens d’un développement de ce que nous avons pu discerner en lisant ce livre, sans que nous trouvions, par ailleurs, à redire), un fil de la pensée de Bailly, celui qui conduit à une épuration grammaticale qui doit donner à penser à tout #animaliste : il faut revenir aux verbes, à l’infinitif. L’idée – qui se décline dans tous les essais de ce recueil, même si elle est davantage développé pour lui-même dans « les animaux sont des maîtres silencieux » et « les animaux conjuguent les verbes en silence » , qui propose une réflexion à partir du célèbre Traité sur l’origine des langues (1772) de Herder –, est la suivante : si nous voulons faire place à ce sens irruptif qui marque la présence des animaux sauvages, alors il faut se laisser aller à la manière dont cette irruption, ces lignes de fuite, ces traces, font sens, ce qui, pour nous qui écrivons et parlons, veut dire, fait grammaire, dans des verbes, « des verbes qui traversent le monde et qui passent devant et derrière nous, nous entourant comme dans un filet qui serait le chuintement ou la bande-son du sensible, chaque animal y jouant sa partition dans l’enchevêtrement latent de tous les autres » .
#Condition_Animale #Poésie #Musique #Marc_Silver #Ben_Frost #Musique #Vidéo #Livre
Actualité > L’échosondeur d’Exxon Mobil impliqué dans un échouage de dauphins
▻http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/actu/d/zoologie-echosondeur-exxon-mobil-implique-echouage-dauphins-49250
Plus d’une centaine de cétacés, vivant d’ordinaire en pleine mer, se sont échoués en mai et juin 2008 dans le système lagunaire de Loza, sur la côte nord-ouest de Madagascar. L’événement est tout à fait inhabituel, car les dauphins d’Électre (Peponocephala electra) ne quittent que très rarement leur habitat naturel. Ils n’avaient jamais été observés auparavant (ni même après leur échouage) dans le lagon de Loza. Ces dauphins pélagiques, au même titre que les baleines de Cuvier par exemple, ne s’approchent jamais des côtes. Il semble qu’entre mai et juin 2008, les hautes fréquences des sondes multifaisceaux les aient guidés vers le littoral.
Au moment de l’incident, responsables locaux, organismes de conservation, experts internationaux et sociétés de prospection d’hydrocarbures travaillant dans la région se sont déployés et ont réuni quantité d’échantillons et données physiques. Les organisations américaines Ifaw (International Fund for Animal Welfare) et WCS (Wildlife Conservation Society) ont envoyé une équipe sur place, pour remettre à l’eau les dauphins échoués encore en vie, et mener des autopsies sur les cadavres. Malgré tout ce déploiement, ce n’est que quelques années plus tard qu’une enquête sur les causes de cet échouage massif a eu lieu.
Le son modifie le comportement des dauphins d’Électre
La tâche est difficile. L’accès au lieu d’échouage n’est pas aisé, les équipes de terrain ont mis du temps à arriver sur place, et donc, malgré la quantité d’échantillons obtenus, certains étaient dégradés. De plus, l’enquête a démarré bien après l’événement, et au moment des faits, personne ne pouvait témoigner du comportement des cétacés dans le lagon.
#échosondeur
#Exxon_Mobil
#dauphins
#zoologie
#animaux
#mammifère_marin
Des outils pour occuper les #animaux quand leurs propriétaires ne sont pas là - NYTimes.com
▻http://www.nytimes.com/2013/09/12/technology/personaltech/new-devices-mind-pets-while-owners-are-away.html?src=me&_r=0
Le New York Times publie une galerie de gadgets pour occuper et mesurer l’activité de nos animaux de compagnie. Quantified pets Tags : fing internetactu2net internetactu animaux #quantifiedself #bodyware (...)
L’adieu au steak
Un reportage de Jutta Pinzler sur les condition d’élevage et d’abattage en masse des animaux de consommation et les répercutions sur l’environnement à échelle mondiale.
▻https://www.youtube.com/watch?v=5Xv1H81qy_Q
#viande #bouffe #alimentation #agriculture #animaux #antibiotiques #film #docu
Tabac
▻http://www.animaldestiny.com/tabac.php
Des chiens à qui on met des électrodes sur le pénis pour voir les effets de la cigarette, des tests sur les foetus des primates...
Les autorités sanitaires savent depuis des décennies que fumer des cigarettes provoque des maladies chez presque tous les organes du corps humain et que les expérimentations animales sont de mauvais indicateurs de ces effets. Pourtant, les compagnies de tabac et les laboratoires sous-traitants qu’ils embauchent continuent à mener des tests cruels sur les animaux pour les nouveaux produits et ceux déjà existants.
Beaucoup de gens ne réalisent pas que les tests sont encore menés, les animaux sont forcés de respirer la fumée de cigarette pendant six heures d’affilée, chaque jour, jusqu’à trois ans. Les animaux évitent naturellement de respirer la fumée de cigarette, donc des rats de laboratoires sont enfermés dans des minuscules conteneurs, et la fumée de cigarette est pompée directement dans le nez. Dans le passé, les chiens et les singes ont eu des tubes reliés à des trous dans le cou ou avaient des masques attachés à leur visage pour forcer la fumée dans leur poumon. Dans d’autres tests couramment effectués, les souris et les rats ont du goudron de cigarette appliqué directement sur leur peau nue pour induire la croissance des tumeurs de la peau.
Je ne veux pas qu’on torture des animaux, que ce soit pour mon plaisir ou pour ma santé, ce sera toujours pour le bénéfice d’humanoïdes qui n’ont rien d’êtres humains.
Luiz Antonio ne veut plus manger de poulpe ni aucun autre animal. (sous-titres français) - YouTube
▻http://www.youtube.com/watch?v=oYN-P77mkUA
Trop mognon le gosse et une maman à l’écoute...
(les poulpes qui parlent néanmoins, peut-être un effet dessins animés)
Merci pour ce message plein d’amour. Luiz Antonio est un sage.
Autre lien pour la vidéo :
▻http://www.youtube.com/watch?v=p7WdqC8CEQQ
cc @sloumpy
A venir, un documentaire sur le Mokele MBembe...
▻http://www.youtube.com/watch?v=P_kez7a5S8U&feature=player_embedded
Filmer la #cruauté envers les #animaux devient un crime aux Etats-Unis
►http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/04/11/filmer-la-cruaute-envers-les-animaux-devient-un-crime-aux-etats-unis_3157361
Pourtant, depuis quelques mois, une douzaine d’Etats américains ont proposé ou adopté des lois criminalisant la dénonciation de ces pratiques dans les élevages et abattoirs. Avec quelques différences selon les Etats, ces législations interdisent de filmer ou de prendre des photos secrètement au sein de fermes d’élevage et de postuler pour un emploi dans l’un de ces établissements sans divulguer des liens avec des groupes de défense des animaux – un délit punissable d’un an d’emprisonnement et de 1 500 dollars d’amende en Utah. Elles contraignent aussi les ONG à livrer les vidéos dénonçant des abus aux autorités dans les 24 ou 48 heures qui suivent leur réalisation. Le plus extrême de ces textes, en Arkansas, va même jusqu’à proposer d’interdire à quiconque d’autre que les autorités d’enquêter sur les animaux.
La plupart de ces projets de loi punissent non seulement les militants qui prennent des photos et des films, mais aussi les médias et les organisations de défense des droits des animaux qui diffusent les documents.
Pas contre, je pense qu’on peut continuer avec les #femmes...
après un combat acharné des associations depuis des décennies, un petit progrès enfin gagné hier ! L’expérimentation animale pour les cosmétiques vendus en Europe est enfin interdite.
Je rappelle tout de même que les cosmétiques étaient une fraction infime de tous les cas de vivisections dans lesquels on utilise les modèles animaux. La médecine et la recherche fondamentale en sont de bien plus grands utilisateurs.
Un article dans Le Monde sur le sujet : ▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/03/12/bruxelles-interdit-les-tests-sur-les-animaux-de-cosmetiques-vendus-dans-l-un
Une association de scientifiques qui lutte depuis des années pour une science sans modèle animal, pour des raisons d’efficacité et non par sensiblerie ou compassion : ▻http://antidote-europe.org/fr
#animaux #expérimentation_animale #vivisection #cosmétiques #europe
Le truc c’est que pas mal de produits ne sont pas testés eux-mêmes sur les animaux, mais chacun des composants (ou mélange de composants) le sont, venant de multiples fournisseurs.
Donc un produit peut être estampillé « non testé sur les animaux », alors que si.
justement c’est ce détail qui vient d’être à peu près réglé par la commission européenne. Les produits finis n’étaient déjà plus testés depuis des années, ce sont bien les ingrédients qui aujourd’hui ne doivent plus être expérimentés non plus.
Ok ok, merci de la précision !
Sans remettre en cause la bienvenu de cette amelioration de la condition des non-humains, ca se télescope bizarrement avec l’info d’hier sur la vente de cadavres de prisonniers chinois en pièce détaché pour l’industrie cosmétique.
Effectivement. En même temps, ça montre le problème des trucs législatifs. Au-dela des pyrénées...
Ce sera pour la prochaine fournée législative : « Ne contient de morceaux de cadavre de condamné à mort »
je préfère me battre pour ceux qui sont encore en vie, le reste je laisse ça à tous les astrologues de l’après-vie :) Donc plutôt lutter contre la peine de mort que contre une industrie qui fait du recyclage de carcasses (finalement c’est écolo). nan ?
Et puis ça nous entraîne pour l’arrivée de #SoleilVert
Il faudrait quand même vérifier que les chevaux étaient déjà morts quand ils ont été transformés en lasagnes... :-)
Si la Chine publie un décret interdisant aux piétons de marcher sur les routes, il faudra quand même éviter de manger des lasagnes dans les mois qui suivent
#cannibalisme
Le scandale alimentaire qui s’annonce
►http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/02/25/le-scandale-alimentaire-qui-s-annonce_1838402_3232.html
Que se passe-t-il vraiment dans l’univers de la viande industrielle ? Et que nous fait-on manger, de gré ou de force ? Avant d’essayer de répondre, il est bon d’avoir en tête deux études récentes.
La première, publiée en 2011, montre la présence dans le lait - de vache, de chèvre ou d’humain - d’anti-inflammatoires, de bêtabloquants, d’hormones et bien sûr d’antibiotiques. Le lait de vache contient le plus grand nombre de molécules.
La seconde, qui date de 2012, est encore plus saisissante. Une équipe de chercheurs a mis au point une technique de détection des résidus dans l’alimentation, en s’appuyant sur la chromatographie et la spectrométrie de masse.
Analysant des petits pots pour bébés contenant de la viande, ils y ont découvert des antibiotiques destinés aux animaux, comme la tilmicosine ou la spiramycine, mais aussi des antiparasitaires, comme le levamisole, ou encore des fongicides.
Certes à des doses très faibles – en général –, mais, comme on le verra, la question se pose aujourd’hui dans des termes neufs.
On remarquera que, dans le scandale en cours, un mot a presque disparu : phénylbutazone. Cet anti-inflammatoire, on le sait, a été retrouvé dans des carcasses de chevaux exportés vers la France.
Or la phénylbutazone est un produit dangereux, interdit dans toute viande destinée à la consommation humaine. S’agit-il d’une fraude isolée ? Ou bien, comme certains éléments permettent de l’envisager, d’une pratique tolérée par les autorités de contrôle ?
Sait-on comment l’oxytétracycline se mélange avec la gonadolibérine chez un poulet ? Comment le flubendazole se marie avec l’azapérone et les prostaglandines PGF2 dans la chair d’un porc ? Le thiabendazole avec le diazinon ou le décoquinate dans le sang d’une bonne vache charolaise ?
Aucune étude sur les effets de synergie de ces produits n’est menée. Il n’est pas dit qu’elles seraient possibles.
Lorsque c’est le cas, on découvre en tout cas un nouveau monde. Le 3 août 2012, la revue PloS One publiait un travail sur les effets combinés de trois fongicides très employés dans l’agriculture. Leur association provoque des effets inattendus sur les cellules de notre système nerveux central.
Commentaire de l’un des auteurs, Claude Reiss : « Des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés. »
Je n’ai pas la place de recopier la liste des médoc administrés, il faut la voir défiler absolument, une fois !
▻http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000432020&dateTexte=&categorieLie
Allez, je mets les derniers signataires, par délégation, personne ne sera responsable ? tous irresponsables ? des tumeurs, des cancers, des maladies dégénérescentes, des défaillances immunitaires ?
Même les copains qui tentent d’élever des veaux en bio sont dans l’illégalité parce qu’ils refusent de shooter leurs bêtes, un choix pour leur santé et pour la nôtre.
L’inspecteur en chef de la santé publique,
D. Perre
Le ministre de la santé, de la famille
et des personnes handicapées,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général de la santé,
W. Dab
OpenCalais est en vacances ?
#Alerte sur la #santé avec l’#alimentation et la #médication des #animaux, soit une #viande ingérée avec ses #antibiotiques et un #SARM le #Staphylococcus aureus qui résiste à la méticilline.
Manifestation contre l’élevage industriel le 3 mars à Paris | Éthique et animaux
►http://www.l214.com/projet-elevage-mille-vaches-somme
exprimer ensemble notre opposition à l’intensification de l’élevage en général et à ses conséquences sur la qualité de la vie humaine et animale.
Non aux usines à vaches = ►http://www.novissen.com/Pages/default.aspx
Autre bonne raison pour laquelle les Gazaouis doivent payer...
Sirens causing some pets to suffer from anxiety JPost - National News
►http://www.jpost.com/NationalNews/Article.aspx?id=292648
#Gaza #
Alarm in Jlem
Alarme finie, rocket tombée en dehors de la ville, donc #Gaza #animauxdecompagnie #stress #commentfaireplus ridicule
Wildlife Photography 2012, ses beaux et fascinants animaux – Lense.fr
►http://www.lense.fr/2012/10/29/wildlife-photography-2012-ses-beaux-et-fascinants-animaux
Depuis 48 ans, et avec le concours du Museum d’Histoire Naturelle, les clichés les plus sauvages de la faune et la flore sélectionnés envoient dans un autre monde, fascinant et intriguant. Cette année, pas moins de 48 000 photos prétendantes provenant de 98 pays différents, pour au final n’en retenir qu’une centaine. Les clichés les plus marquants, pleines de couleurs, de poésie, que nous nous apprêtons à vous livrer.
Un mot : Magnifique.
#Photographie #Animaux #Nature
Fake meat: is science fiction on the verge of becoming fact? | Science | The Guardian
►http://www.guardian.co.uk/science/2012/jun/22/fake-meat-scientific-breakthroughs-research
The race to make fake meat just got interesting. Two scientists on opposite sides of the world both claim to be on the verge of serving up the first lab-grown hamburger – and saving the planet in the process. The new reality is so close, you can almost taste it
‘I think the meat industry will be an adversary, and maybe a dangerous one,’ Mark Post says.
#viande_artificielle #agro-alimentaire #recherche #alimentation #animaux
#Pénurie d’œufs et normes respectueuses des poules...
►http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1308
Se nourrir sans #cruauté, des élevages d’ #animaux traitant avec des #êtres bien sensibles !
une #éthique existant déjà dans le code rural français. Notamment son article 124, mentionnant le caractère d’êtres sensibles pour les animaux d’élevage. Et justement ce n’est pas dans cette conjoncture que le panier de la ménagère, ni son ventre ou son portemonnaie, qui en souffrira le plus. Elle a provoqué une réduction de l’offre, et en conséquence la flambée des #prix
« Les rapports entre les hommes et les #animaux devront changer », par Jacques Derrida (Prolégomènes 3)
►http://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article1573
D’autre part, même si depuis toujours une grande violence s’est exercée contre les animaux — on en trouve déjà la trace dans des textes bibliques que j’ai étudiés ailleurs de ce point de vue —, j’essaie de montrer la spécificité moderne de cette violence, et l’axiome — ou le symptôme — « philosophique » du discours qui la soutient et tente de la légitimer. Cette violence industrielle, scientifique, technique ne saurait être encore trop longtemps supportée, en fait ou en droit. Elle se trouvera de plus en plus discréditée. Les rapports entre les hommes et les animaux devront changer. Ils le devront, au double sens de ce terme, au sens de la nécessité « ontologique » et du devoir « éthique ». Je tiens ces mots entre guillemets car ce changement devra affecter le sens et la valeur mêmes de ces concepts (l’ontologique et l’éthique). Aussi, même si leur discours me paraît souvent mal articulé ou philosophiquement inconséquent, j’ai une sympathie de principe pour ceux qui ont, me semble-t-il, raison, et de bonnes raisons, de s’élever contre la façon dont les animaux sont traités : dans l’élevage industriel, dans l’abattage, dans la consommation, dans l’expérimentation.
Ils ne parlent pas de la manière dont les chats traitent les humains dans cette histoire… (ok je sors [->] )
Oui, mais ce n’est pas comme si on ignorait que les chats sont la véritable espèce dominante de la planète... avec les blattes. Les deux espèces qui ont utilisé l’industrie d’une troisième pour étendre leur territoire sans rien foutre : respect !
Je crois que le spectacle que l’homme se donne à lui-même dans le traitement des animaux lui deviendra insupportable. Tous ces débats dont nous parlons en sont le signe annonciateur. Ce n’est plus supportable. Si vraiment on vous mettait tous les jours devant les yeux le spectacle de cet abattage industriel, que feriez-vous ? (...) Si tous les jours passait sous vos yeux, lentement, sans vous laisser le temps de la distraction, un camion rempli de veaux sortant de l’étable pour aller à l’abattage, pourriez-vous encore, pendant longtemps, manger du veau ?...
Je crois qu’on s’habituerait, comme les petits paysans s’habituent à ce que l’on retire le pyjama à Jeannot Lapin après avoir commencé par beaucoup pleurer.
La répétition insensibilise, surtout celle du malheur et de la souffrance.
C’est donc plus une quête intérieure, la nécessité de cesser nous-mêmes d’être de stupides prédateurs (et commencer à œuvrer à la survie de notre espèce au-delà de l’horizon boursier) que viendra le nécessaire respect de la vie, dans toutes ses formes.
Millions of animals spared from chemical safety tests | Nature News Blog
►http://blogs.nature.com/news/2012/02/millions-of-animals-spared-from-chemical-safety-tests.html
en faisant des tests moins stricts (une génération au lieu de deux) on épargnerait des #animaux et on réduirait les coûts, ce qui permettrait peut-être (??) aux industriels de la #chimie de se mettre en conformité avec #REACH
Alex the parrot’s last experiment shows his mathematical genius | Nature News Blog
►http://blogs.nature.com/news/2012/02/alex-the-parrots-last-experiment-shows-his-mathematical-genius.html
In early September 2007, Alex said to Pepperberg: “You be good. I love you. See you tomorrow.” The next day, the 31-year-old parrot was found dead of what was determined to be a heart event probably related to hardened arteries
S’ils en font un film, avec cette scène-là, l’acteur qui interprétera le perroquet est certain de gagner l’Oscar.
Arabian ’unicorn’ no longer extinct | Environment | guardian.co.uk
►http://www.guardian.co.uk/environment/2011/jun/16/arabian-oryx-antelope-extinct
An antelope species, widely believed to be the source of the unicorn legend and hunted to extinction in the wild, has been brought back from the brink, conservationists said today as they unveiled the latest update on threatened species.