• À Strasbourg, les syndicats aussi détestent la police - CQFD, mensuel de critique et d’expérimentation sociales
    http://cqfd-journal.org/A-Strasbourg-les-syndicats-aussi

    SO révolutionnaire
    À Strasbourg, les syndicats aussi détestent la police
    Aussi radicaux se veulent-ils, les syndicats ne sont jamais très à l’aise avec les mouvements qu’ils ne parviennent pas à encadrer. Mais à Strasbourg, surprise : l’intersyndicale accompagne les manifs sauvages… et plus si affinités. On est allé y faire un tour.

  • Hemmes mathematische Rätsel : Der erfolgreiche Bettler - Spektrum der Wissenschaft
    https://www.spektrum.de/raetsel/der-erfolgreiche-bettler/1687070

    La solution se trouve sur la page référencée.

    Ein Bettler klingelt an der Haustür eines steinreichen Mannes. »Ich bitte Sie um ein paar Euro, damit ich mir eine warme Mahlzeit kaufen kann«, sagt er, als der Mann die Tür öffnet. Der Hausherr ist zwar geizig, aber grundehrlich und erwidert: »Sagen Sie mir irgendeinen Satz. Wenn er wahr ist, gebe ich Ihnen zwei Euro. Ist er aber falsch, bekommen Sie von mir entweder mehr oder weniger als zwei Euro, jedoch nicht genau zwei Euro.« Der Bettler stutzt, erkennt seine Chance, und geht schließlich mit einer Million Euro in der Tasche von dannen. Mit welchem Satz könnte der Bettler den Mann dazu gebracht haben, ihm soviel Geld zu geben?

    Il n’y a pas de super-riches et intelligents et de bonne foi, alors l’énigme est absurde. Il faut accepter sa hypothèses de départ en tant qu’axiome. Bref, on fait de la #politique. Une petite dose #ésotérisme fait aussi bien l’affaire. ;-)

    #logique

    #énigmes_logiques

  • Proposition de loi « antisquat » : les experts de l’ONU écrivent à la France leurs inquiétudes
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/04/04/proposition-de-loi-antisquat-les-experts-de-l-onu-ecrivent-a-la-france-leurs

    Le rapporteur spécial de l’ONU sur le logement convenable, Balakrishnan Rajagopal, et le rapporteur spécial sur l’extrême pauvreté et les droits humains, Olivier De Schutter, ont adressé au gouvernement français une communication officielle longue de huit pages, rendue publique mardi 4 avril. « Nous alertons sur la régression que constitue cette proposition de loi, et sur le risque qu’elle conduise la France à violer ses engagements internationaux », résume M. De Schutter. S’il n’est pas exceptionnel que des rapporteurs de l’ONU transmettent une telle communication à un pays membre, c’est, « à ma connaissance, la première fois que la France est saisie au sujet d’un texte de loi relatif au logement », précise-t-il.

    Mais puisqu’on te dit que c’est comme les coups de matraque dans la gueule, c’est pour aider les pauvres qu’ils font ça ! Bon sang, ils sont obtus à l’ONU.

  • A Bayonne, des milliers de manifestants pour dénoncer les prix de l’immobilier au Pays basque
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/04/01/a-bayonne-des-milliers-de-manifestants-pour-denoncer-les-prix-de-l-immobilie

    Alors que le nombre d’habitants de la région est en hausse constante, le nombre de résidences secondaires a également fortement augmenté et le prix du mètre carré a bondi de plus 35 % en quatre ans.

    #logement #tourisme #rente_foncière #loyers

  • #Crest : la mairie opte pour de l’habitat groupé coopératif sur le site de l’ancien hôpital
    https://ricochets.cc/CREST-la-mairie-opte-pour-de-l-habitat-groupe-cooperatif-sur-le-site-de-l-

    Après avoir examiné les coûts très élevés de son projet d’Hôtel et d’appartements privés sur le site de l’ancien Hôpital de Crest, et vu l’absence d’investisseurs et de subventions, la mairie de Crest a décidé d’accompagner un tout autre projet. Etant donné les prix stratosphériques atteints par les logements qui deviennent inaccessibles à la plupart des foyers, la mairie a décidé de réhabiliter les locaux dans le cadre d’un gros projet d’habitat participatif, placé sous le statut de coopérative d’habitants. (...) #Les_Articles

    / Crest, #Logement

  • Sur Radio St Fé : « La Drôme n’est (toujours) pas une résidence secondaire »
    https://ricochets.cc/Sur-Radio-St-Fe-La-Drome-n-est-toujours-pas-une-residence-secondaire.html

    Alors que le #Logement dans la #Vallée_de_la_Drôme devient très compliqué, de plus en plus inaccessible pour les non-riches et les jeunes non bourgeois, Radio St Fé a fait une émission autour des résidences secondaires : Radio St Fé : La Drôme n’est (toujours) pas une résidence secondaire Pendant ce temps, le gouvernement macroniste a asséné récemment une loi qui punit plus sévèrement les pauvres qui n’arrivent plus à payer leur loyer, ainsi que les squateureuses. Les raclures de propriétaires riches ne (...) #Les_Articles

    / Vallée de la Drôme, #Crest, Logement, #Le_monde_de_L'Economie

    https://www.radiosaintfe.com/emissions/details/view/la-drome-nest-toujours-pas-une-residence-secondaire
    https://lundi.am/De-gre-et-de-force

  • #Piwigo, la #Photo en liberté
    https://framablog.org/2023/03/28/piwigo-la-photo-en-liberte

    Nous avons profité de la sortie d’une nouvelle version de l’application mobile pour interroger l’équipe de Piwigo, et plus particulièrement Pierrick, le créateur de ce #Logiciel_libre qui a fêté ses vingt ans et qui est, c’est incroyable, rentable. … Lire la suite­­

    #Interviews #Outils_émancipateurs #Entreprise #Entreprises #Facebook #Instagram #Interview #logiciel_libre #modèle_économique #photothèque #Pixelfed #utilisateurs

  • Échirolles libérée ! La dégooglisation (3)
    https://framablog.org/2023/03/24/echirolles-liberee-la-degooglisation-3

    Voici déjà le troisième volet du processus de dégooglisation de la ville d’Échirolles (si vous avez manqué le début) tel que Nicolas Vivant nous en rend compte. Nous le re-publions volontiers, en souhaitant bien sûr que cet exemple suscite d’autres … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #Migration #Témoignages de_« dégooglisation » #Applications_métier #clients #cloud #collectivités #communes #coopération #Degooglisons #DSI #Gandi #Linux #logiciels_libres #NGINX #schéma_directeur #Sogo

  • #CLIC : Un #Projet pour des apprentissages numériques plus interactifs
    https://framablog.org/2023/03/23/clic-un-projet-pour-des-apprentissages-numeriques-plus-interactifs

    La proposition de CLIC est de s’auto-héberger (de faire fonctionner des services web libres sur son propre matériel) et de disposer de ses contenus et données localement, et/ou sur le grand Internet avec un système technique pré-configuré. Le dispositif s’adresse … Lire la suite­­

    #Dans_notre_archipel #Logiciel_libre #Outils_émancipateurs #chatons #CICP #Claviers_invités #Code #coding_party #colibris #Contribution #Hack #hack-design #Linux #Mas_Covado #Odroid #ordinosaures #panneaux_solaires #Piratebox #RasperryPi #récupération #rencontre #ritimo #Wiki #Yunohost

  • Quelques nouvelles de la transformation du Bas-Montreuil - Paris-luttes.info
    https://paris-luttes.info/dans-le-bas-montreuil-quatre-16764

    Dans le Bas-Montreuil, quatre squats sont expulsables à la fin de la trêve hivernale, c’est-à-dire le 1er avril 2023. Il nous a semblé important de faire exister les récits des personnes qui habitent ces lieux et qui voient leur espace de vie se faire menacer.
    Ces récits se retrouvent à la fois sous la forme d’une brochure mais aussi sous la forme d’une carte !

    Qui sommes nous

    On est un collectif plus ou moins formel composé de personnes vivant en squat, hébergé.es chez des potes, partageant des grandes collocs... On se réunit depuis presque deux ans pour s’organiser autour des questions de mal logement à Montreuil. Pendant plus d’un an, on a organisé des assemblées devant chaque conseil municipal avec notamment l’envie de faire pression sur la Mairie pour qu’elle adopte un arrêté municipal contre les expulsions. C’est un arrêté qui a été adopté dans différentes communes d’Île-de-France, mais toujours pas à Montreuil, commune historiquement communiste... L’année dernière, avec la fin de la trêve hivernale, on a monté un campement sur la place de la Mairie. On voulait visibiliser le fait que la fin de la trêve hivernale, c’est le retour des expulsions et donc des personnes qui sont jetées à la rue. On a campé pendant trois jours, fin mars 2022 et tout ça sous la neige, cocasse pour soi-disant la fin de la trêve hivernale ! la Mairie nous a coupé la seule source d’électricité qu’on avait sur le campement et en a profité pour mettre une amende au camion qu’on a utilisé pour transporter le matos. A la fin des trois jours du campement, on a eu aucune nouvelle du Maire ou de ses adjoints, on a donc décidé de lui rendre visite. On est rentré dans la Mairie à une vingtaine, couverture sous le bras et slogans à la bouche. Au bout d’une heure, on a obtenu un rendez-vous avez un adjoint du Maire pour parler de certaines situations à Montreuil, notamment le squat EIF (qui a finalement été expulsé en août 2022). Le jour d’après (le 2 avril) on a organisé un grand carnaval festif et revendicatif. Plus de deux cents personnes hautes en couleurs se sont réunies et ont déambulé dans la ville, entrainées par le rythme des batucadas et n’hésitant pas à redécorer les agences immobilières croisées en chemin. Arrivé à la mairie, on a été accueilli par des dizaines de CRS et la BRAV (unité de police à moto), une personne a été arrêté sur le moment, et plusieurs autres ont été arrêté des mois après suite à une enquête menée par la police judiciaire pour des faits de dégradation (on parle de quelques tags sur des vitrines !) .

    Aujourd’hui, on est un an plus tard et on se retrouve encore pour le Grand Carnaval contre les expulsions ! En un an, la ville a bien changé, de nouveaux squats ont ouvert, d’autres ont été expulsé ou vont bientôt l’être. Malgré le manque d’eau sur le territoire, les résidences pour riches, elles, n’ont pas de mal à pousser.

    #logement #squat #Montreuil

  • Droit au logement : au Mipim de Cannes, cachez ces militants qui font tache

    Les militants de la Coalition européenne d’actions pour le droit au logement et à la ville sont-ils si dangereux, leur message si subversif, qu’il faille leur interdire de se réunir ? Mardi, une poignée d’activistes de cette coalition qui réunit 35 collectifs de 22 pays européens avait prévu de tenir une conférence de presse face au Mipim, le salon international de l’immobilier qui se tient comme chaque année à Cannes à la mi-mars. Rendez-vous était fixé au 1, boulevard de la Croisette, face au Palais des festivals – dont la façade était couverte pour l’occasion d’une immense affiche proclamant : « Invest Saudi », soit « Investissez en Arabie saoudite ». Mais cela, cette invitation à placer des fonds dans le pays du journaliste Jamal Khashoggi, assassiné au consulat d’Arabie Saoudite à Istanbul en 2018, dans le pays où trois membres d’une tribu s’opposant à leur expulsion pour construire Neom – ce projet de mégapole futuriste à 500 milliards de dollars dans le désert – ont été condamnés à mort en octobre dernier, personne n’y a trouvé à redire. En revanche, le préfet des Alpes-Maritimes a pris un arrêté interdisant toute manifestation sur la voie publique pendant la durée du salon dans le centre-ville. Pour éviter un incident fâcheux comme en 2020, quand des militants de Greenpeace avaient interrompu la cérémonie d’ouverture des Cannes Lions, le festival de la publicité (ils viennent d’être condamnés à plusieurs centaines d’euros d’amende) ? Ou par crainte de manifestations contre la réforme des retraites ? Quoi qu’il en soit, la main du préfet n’a pas tremblé pour censurer la liberté d’expression. L’association Droit au logement (DAL) et la section départementale de la Ligue des droits de l’homme (LDH), qui avaient déclaré en préfecture leur action le 8 mars, ont donc dû trouver au dernier moment une solution de repli, dans un local situé derrière la gare de Cannes.
    c’est là
    https://www.liberation.fr/societe/ville/droit-au-logement-au-mipim-de-cannes-cachez-ces-militants-qui-font-tache-
    par chance, je l’ai trouvé aussi là https://justpaste.it/8chc4

    #logement

  • Réforme des retraites : bloquer les chaînes d’approvisionnement est-il plus efficace que manifester ?
    https://theconversation.com/reforme-des-retraites-bloquer-les-chaines-dapprovisionnement-est-il


    Des manifestants se tiennent sur les voies ferrées avec une banderole indiquant « 64 ans, c’est non » lors d’une action appelée par la Confédération générale du travail (CGT) pour protester contre une réforme des retraites profondément impopulaire à Donges
    Bloquer les réseaux de transports peut aussi grandement ralentir l’activité économique d’un pays. Loic Venance/AFP

    Si la vulnérabilité du modèle des hubs n’est pas ignorée, elle reste en tout cas largement minorée. En effet, un hub est une sorte de nœud logistique vers lequel convergent des millions de produits avant d’alimenter les marchés, autrement dit la demande des consommateurs. Si une action coordonnée est conduite par quelques manifestants et syndicalistes pugnaces, qui bloquent les entrées et sorties du hub, le risque d’asphyxie de la chaîne logistique devient maximal. Si l’on devait prendre une image qui rappellera de mauvais souvenirs aux victimes d’un infarctus, c’est un peu comme si le sang (les produits finis) venait à ne plus circuler dans les artères (les points de réception des produits). Convenons-en : voilà un extraordinaire pouvoir de nuisance… ou de négociation musclée.

    Imaginons en outre un instant que les hubs se regroupent sur un même lieu, par exemple pour bénéficier de facilités d’accès à des infrastructures routières ou ferroviaires, mais aussi de la mise en commun de services aux professionnels. Là aussi, il suffit de s’intéresser au secteur de la logistique pour découvrir qu’il s’agit d’une réalité courante : celle des « centres de fret » et autres « zones logistiques », dont un exemple remarquable est fourni par la zone logistique de Saint-Martin-de-Crau, dans les Bouches-du-Rhône, au bord de l’autoroute qui relie Marseille à l’Espagne et à l’Europe du Nord. Dans ce cas, quelques dizaines de grévistes bien placés sur le site bloqueront sans difficulté… une vingtaine de hubs d’entreprises à la fois, voire plus.

  • A Marseille, le propriétaire de 122 logements insalubres renvoyé devant la justice

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/03/17/a-marseille-le-proprietaire-de-122-logements-insalubres-renvoye-devant-la-ju

    Cent-vingt-deux logements insalubres ou dangereux, dont le plus exigu n’atteignait pas les 5 mètres carrés. Quarante-deux foyers et une trentaine d’enfants vivant dans des lieux infestés de cafards, de punaises de lit, couverts de moisissures, parfois sans chauffage ni eau chaude, et sous la menace d’une électrocution. Des locataires, demandeurs d’asile ou sans papiers, qui témoignent : pour eux, il n’y a pas le choix. « C’est ça ou la rue. »

    Propriétaire d’immeubles délabrés disséminés dans les quartiers les plus pauvres de la cité phocéenne, Gérard Gallas, 49 ans, un ancien policier marseillais reconverti dans l’immobilier, sera jugé pour soumission de personnes vulnérables à des conditions de #logement indignes et mise en danger d’autrui. Il encourt sept ans de prison et une amende de 200 000 euros.

    L’amende représente quoi ? à peine 4 mois du loyer de ces 122 logements.

    #marchand_de_sommeil #ancien_policier #marseille #insalubrité

    • (...) L’enquête va dévoiler l’étendue du patrimoine de Gérard Gallas. Les poursuites judiciaires visent quatre des dix immeubles qu’il possède, soit un total de 97 appartements devenus 122 logements à la suite de divisions de lots. Au 179, avenue Roger-Salengro (15e), frappé d’un arrêté de péril grave et imminent de juillet 2020 à mars 2021, les six appartements ont été transformés en 21 logements, une fois des cloisons montées et les combles sommairement et dangereusement aménagées. Un 6 mètres carrés peut y être loué 350 euros. Au 85, boulevard Viala (15e), les locataires témoignent de l’insalubrité : fissures, humidité, remontées dans les toilettes, nuisibles, cour transformée en dépotoir… « A trois, on paie 400 euros pour une pièce de 10 mètres carrés », raconte l’un d’eux.
      « Je voudrais juste une douche et l’eau chaude, également du chauffage, car j’ai 85 ans », rapporte un locataire présent boulevard Viala depuis 1983. Le retraité se déplace avec un déambulateur. Un Comorien explique qu’il vit avec son épouse et deux jeunes enfants dans un 9 mètres carrés réglé 393 euros par mois, un appartement sans ouverture. « On vit dans le noir, comme dans un frigo », explique-t-il aux enquêteurs, estimant que le propriétaire « fait de l’argent sur [leur] misère ».

      on trouve cet article là https://justpaste.it/b8tw8
      augmenté de Ces notables qui louent des logements insalubres

      #logement #Marseille

  • Échirolles libérée ! La dégooglisation (2)
    https://framablog.org/2023/03/17/echirolles-liberee-la-degooglisation-2

    Voici le deuxième volet du processus de dégooglisation de la ville d’Échirolles (si vous avez manqué le début) tel que Nicolas Vivant nous en rend compte. Nous le re-publions volontiers, en souhaitant bien sûr que cet exemple suscite d’autres migrations … Lire la suite­­

    #Enjeux_du_numérique #Migration #Témoignages de_« dégooglisation » #arborescence #big_data #cloud #DSI #Echirolles #équipe #feuille_de_route #GED #logiciel_libre #municipalité #Nextcloud #schéma_directeur #serveurs

  • Le marché de la ruine
    https://metropolitiques.eu/Le-marche-de-la-ruine.html

    Étudiant l’investissement #immobilier dans les quartiers en #déclin de deux métropoles états-uniennes, Florence Nussbaum met en lumière les pratiques prédatrices et spéculatives qui tirent parti de la vulnérabilité des populations reléguées dans des logements dégradés. La #crise financière de 2008, en accroissant rapidement le volume de propriétés disponibles à bas prix, a entraîné une intense activité spéculative sur les #marchés immobiliers dans les métropoles états-uniennes. Les médias ont mis en lumière #Terrains

    / immobilier, crise, #spéculation, #logement, marché, habitat dégradé, #États-Unis, déclin, #Chicago, (...)

    #habitat_dégradé #Houston
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_nussbaum.pdf

  • Mayotte : près de 10.000 enfants vivent dans un logement insalubre, sans leurs parents
    https://la1ere.francetvinfo.fr/mayotte-un-rapport-cache-accable-la-gestion-de-l-etat-sur-la-sit

    Révélé par #Médiapart ce jeudi 8 mars, un rapport « explosif » charge le gouvernement sur les multiples crises que connaissent #Mayotte. Selon le journal, le #rapport est dissimulé par l’exécutif depuis janvier 2022.

    #logement #pauvreté #misère #insalubrité

  • Pourquoi construire de nouveaux logements sociaux dans les villes en décroissance ?
    https://metropolitiques.eu/Pourquoi-construire-de-nouveaux-logements-sociaux-dans-les-villes-en

    Alors que leurs territoires sont en déclin démographique, de nombreux organismes de #logement_social continuent à construire. Marie Mondain explique ce paradoxe en pointant le rôle des politiques nationales du logement et des réformes récentes du secteur #HLM. « Même si on a 1 500 logements de trop, quand on démolit, il faut qu’on puisse reconstruire […]. Il faut qu’on reconstitue sinon on va bousiller nos équilibres d’exploitation. » L’impératif de reconstruction, formulé par ce directeur d’un organisme #Terrains

    / logement social, #décroissance, #bailleurs, #Normandie, HLM

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-mondain.pdf

  • About Guardian Project - Guardian Project
    https://guardianproject.info

    While smartphones have been heralded as the coming of the next generation of communication and collaboration, they are a step backwards when it comes to personal security, anonymity and privacy.

    Guardian Project creates easy to use secure apps, open-source software libraries, and customized solutions that can be used around the world by any person looking to protect their communications and personal data from unjust intrusion, interception and monitoring.

    Whether you are an average person looking to affirm your rights or an activist, journalist or humanitarian organization looking to safeguard your work in this age of perilous global communication, we can help address the threats you face.

  • Cyberattaque de la mairie de Lille : « on apprend à travailler sans ordinateur » Alice Rougerie

    Retour au papier et au crayon à la mairie de Lille. Les ordinateurs restent éteints, les systèmes informatiques sont désactivés depuis la cyber attaque qu’a subi la ville mardi soir. Et cela pourrait durer.

    Ecran noir toujours sur les ordinateurs de la ville. A la mairie de Lille, une nouvelle organisation se met en place et cela pourrait durer plusieurs semaines. Trois, au moins. « Mais 95% des services fonctionnent normalement pour les usagers, rassure Audrey Linkenheld, première adjointe au maire de Lille, les plus touchés sont l’administratif et le support, cela ne change rien pour les Lillois. » Certes, le standard de la mairie restera coupé jusqu’à lundi mais les services courants fonctionnent : état civil, cantine, etc.

    Par mesure de précaution, tous les ordinateurs des employés restent éteints donc, jusqu’à nouvel ordre. « On se voit, on se parle, on va d’un bureau à l’autre, ça marche bien aussi », ironise l’élue. Une autre mesure, encore plus contraignante, a même été prise :

    Maintenir hors ligne tous les systèmes informatiques : une mesure décidée dès mercredi matin, quelques heures après la cyberattaque. Pas d’informatique, cela veut dire, plus de billetteries pour les services payants de la ville comme le zoo, les piscines ou les musées. Pas question pour la mairie de fermer ces lieux. Mais pas moyen non plus de payer par carte bancaire, seuls les chèques et espèces pourraient être acceptés. Alors sans parler de « gratuité » , la mairie parle pour l’instant de lieux « ouverts ». « Nous réfléchissons à un plan de continuité pour ces activités, précise l’adjointe au maire, il pourrait être présenté en début de semaine prochaine ». 
    . . . . .
    La suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille/cyberattaque-de-la-mairie-de-lille-c-est-une-source-de-

    #dématérialisation des #services_publics #Cyberattaque #mairie #Lille #administration

    • #Quebec La transition informatique à la SAAQ tourne au cauchemar pour certains commerçants Stéphane Bordeleau - Stéphane Bordeleau - Radio Canada

      Les perturbations entourant l’implantation du système SAAQclic à la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) causent de sérieux maux de tête à des commerçants du secteur automobile, dont certains se retrouvent dans l’incapacité complète de livrer des véhicules aux clients.

      C’est notamment le cas de Stéphane Laframboise, président d’Unik Auto Import, une entreprise d’importation de véhicules automobiles, dont les opérations sont paralysées depuis des jours faute de pouvoir mener à bien les processus d’immatriculation à la SAAQ.

      Lorsqu’ils achètent des véhicules à l’extérieur du Québec, les concessionnaires ou les entreprises doivent d’abord les faire intégrer à la banque des véhicules du Québec via les services de la SAAQ. Ils doivent ensuite faire subir une inspection mécanique obligatoire au véhicule et finalement le faire immatriculer au nom du client.

      Tout cela nécessite en moyenne trois rendez-vous à la SAAQ pour un petit commerçant comme Stéphane Laframboise. Du moins avant l’arrivée du nouveau système informatique SAAQclic, qu’il a rebaptisé “le crash”.

      En ce moment, il y a plein de mes véhicules qui sont pris au CN “. Je suis obligé de les laisser là. J’ai aussi un entrepôt que j’ai loué à Lachine [3500 $ par mois] qui est complètement plein de véhicules et j’en ai huit chez nous depuis hier. Ça n’a aucun sens !”

      “J’ai un petit marché. C’est 100 véhicules par année. Ça demande tout l’effort du monde. En ce moment, j’ai 100 000 $ en inventaire, je fais quoi avec ça ? Je ne suis pas Lexus”, s’inquiète l’importateur.

      Tout naturellement, Stéphane Laframboise s’est tourné vers la ligne téléphonique de soutien aux commerçants de la SAAQ, où il a passé des heures sans jamais parler à un humain. La ligne raccroche automatiquement après 3 h 20 d’attente. (#IA)

      Dans l’incapacité de faire intégrer, inspecter et immatriculer les véhicules qu’elle achète, l’entreprise de Stéphane Laframboise est complètement paralysée. “On est foutu, sincèrement […] qu’est-ce que tu veux que je fasse”, se demande le commerçant.

      La situation est aussi problématique dans les plus gros commerces et les concessionnaires de grandes marques, confirme Ian P. Sam Yue Chi, PDG de la Corporation des concessionnaires automobiles du Québec.

      “Oui, on vit des difficultés à l’échelle de tous les concessionnaires du Québec. Vous savez, on en a 890”, explique M. Sam Yue Chi.

      Or, pour les concessionnaires, qui doivent déjà composer avec des délais de livraison en raison des perturbations de la chaîne d’approvisionnement, l’ajout de délais supplémentaires dus aux problèmes informatiques à la SAAQ n’était pas envisageable.
      . . . . .
      La suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1960499/saaq-concessionnaires-commercants-delais-majeurs

      #voitures #immatriculation nouveau #logiciel #dématérialisation des #services_public #informatisation

    • #Canada : Hélicoptères militaires : Ottawa devra payer pour résoudre un problème de logiciel La Presse canadienne - Radio Canada

      Un problème logiciel toujours non résolu, défini comme la principale cause d’un accident mortel d’hélicoptère militaire au large des côtes grecques en 2020, sera éventuellement réglé, mais aux frais d’Ottawa − à un coût et dans un délai encore à déterminer.

      Le ministère de la Défense et le constructeur américain Sikorsky Aircraft ont déclaré qu’ils avaient convenu d’un plan pour résoudre le problème du pilote automatique, qui permet à l’ordinateur du CH-148 Cyclone de prendre la place des humains dans certaines situations. Mais près de trois ans après que cet ennui technique a provoqué la chute d’un Cyclone dans la mer Ionienne, tuant les six militaires canadiens à bord, on ne sait toujours pas à quel moment cette solution sera mise en oeuvre


      La porte-parole du ministère de la Défense, Jessica Lamirande, a indiqué dans un courriel qu’il était trop tôt pour discuter des coûts et du calendrier. Une chose a cependant été finalisée : c’est le fédéral qui paiera la note.

      Mme Lamirande a précisé que les mises à niveau prévues des logiciels ne sont pas couvertes par le contrat de 9 milliards de dollars conclu par le gouvernement canadien avec Sikorsky en 2004 pour la livraison et l’entretien de 28 hélicoptères Cyclone.

      . . . . . .
      La suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1960670/sikorsky-aircraft-helicoptere-militaire-canada-logiciel

  • En Tunisie, les migrants subsahariens ciblés par des arrestations et des agressions
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/02/27/en-tunisie-les-migrants-subsahariens-cibles-par-des-arrestations-et-des-agre

    En Tunisie, les migrants subsahariens ciblés par des arrestations et des agressions
    Par Lilia Blaise(Tunis, correspondance)
    Publié le 27 février 2023 à 19h10, mis à jour hier à 09h52
    Jeudi 23 février, deux jours après le discours du président Kaïs Saïed sur les « hordes de migrants clandestins », source, selon lui, « de violences, de crimes et d’actes inacceptables » et destinés à changer la composition démographique de la Tunisie afin d’estomper son caractère « arabo-musulman », Dorothée a été licenciée de son travail de femme de ménage.
    Le lendemain, la mission diplomatique ivoirienne a lancé une vaste opération de recensement de ses ressortissants « désireux de quitter la Tunisie définitivement ». Une démarche d’autant plus urgente que les autorités tunisiennes ont accentué la pression sur les Subsahariens, malgré la manifestation contre le racisme qui a rassemblé un millier de personnes à Tunis, samedi, et les protestations venues de l’étranger. Les associations tunisiennes et subsahariennes ont enregistré ces dernières semaines de nombreux cas de migrants expulsés de leur domicile. Des évictions précipitées par l’application stricte d’une loi de 2004 qui oblige, sous peine de sanction, les propriétaires à demander une carte de séjour et à signaler au commissariat qu’ils hébergent un étranger. Cette loi, tout comme le code du travail, était jusqu’à présent très peu respectée dans le pays. « Elle pose problème depuis longtemps puisque la carte de séjour est très difficile à obtenir en Tunisie de manière générale », rappelle Alaa Talbi, directeur du Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES), une organisation non gouvernementale. (...)
    Du côté des autorités, le durcissement est net, revendiqué. Les Tunisiens qui ne respectent pas la loi sur l’hébergement d’un étranger sont passibles de quinze jours de prison et d’une amende, a souligné, jeudi, le porte-parole du tribunal de Sfax. Des sanctions sévères sont aussi prévues pour l’employeur qui embauche un étranger sans contrat de travail, a renchéri, le lendemain, le porte-parole de la garde nationale tunisienne, Houssem Jebali, à la télévision. Le 16 février, plusieurs associations tunisiennes de défense des droits humains étaient montées au créneau pour dénoncer l’interpellation, en une seule semaine, de 300 migrants. Dix jours plus tard, la garde nationale a annoncé l’arrestation de 151 Subsahariens accusés d’avoir « franchi illégalement la frontière tuniso-algérienne ». Près d’une cinquantaine de ces étrangers, parmi lesquels figurent des Congolais en majorité, sont aujourd’hui détenus à El Ouardia, un centre de détention administrative de Tunis dont le manque de statut juridique clair dans la loi tunisienne a souvent fait polémique. Parmi les prisonniers, certains sont des étudiants inscrits dans des universités. Kaïs Saïed avait pourtant assuré, dans un nouveau discours, jeudi, que les migrants en situation régulière n’étaient pas concernés par les mesures sécuritaires. Une garantie qui avait été aussi donnée aux associations estudiantines par le ministère de l’enseignement supérieur. (...)De nombreuses agressions à caractère raciste ont été également signalées. (...) Les autorités tunisiennes, elles, nient tout caractère raciste dans le discours du président ou les mesures prises par le gouvernement. « C’est vraiment un mauvais procès d’interprétation fallacieuse des propos des hautes autorités tunisiennes à ce sujet. Cela fait quelques jours que cela s’est produit, et il faut maintenant garder la tête froide, il faut apaiser, et les messages d’apaisement ont déjà été transmis par les canaux officiels et autres », a déclaré lundi, à l’AFP, le ministre des affaires étrangères, Nabil Ammar. Selon des chiffres officiels cités par le FTDES, la Tunisie compte plus de 21 000 ressortissants de pays d’Afrique subsaharienne, la plupart en situation irrégulière. « Pour les migrants qui sont légaux, il n’y a aucun problème. Au contraire, nous en voulons plus, a affirmé le ministre. Et les migrants illégaux sont appelés à retourner chez eux, mais dans le respect de leurs droits et de leur dignité. »

    #Covid-19#migrant#migration#tunisie#afriquesubsaharienne#etudiant#travailleurmigrant#travail#logement#racisme#droit#retour#migrationirreguliere#postcovid

  • En Tunisie, les migrants subsahariens ciblés par des arrestations et des agressions
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/02/27/en-tunisie-les-migrants-subsahariens-cibles-par-des-arrestations-et-des-agre

    En Tunisie, les migrants subsahariens ciblés par des arrestations et des agressions
    Par Lilia Blaise(Tunis, correspondance)
    Publié le 27 février 2023 à 19h10, mis à jour hier à 09h52
    Jeudi 23 février, deux jours après le discours du président Kaïs Saïed sur les « hordes de migrants clandestins », source, selon lui, « de violences, de crimes et d’actes inacceptables » et destinés à changer la composition démographique de la Tunisie afin d’estomper son caractère « arabo-musulman », Dorothée a été licenciée de son travail de femme de ménage.
    Le lendemain, la mission diplomatique ivoirienne a lancé une vaste opération de recensement de ses ressortissants « désireux de quitter la Tunisie définitivement ». Une démarche d’autant plus urgente que les autorités tunisiennes ont accentué la pression sur les Subsahariens, malgré la manifestation contre le racisme qui a rassemblé un millier de personnes à Tunis, samedi, et les protestations venues de l’étranger. Les associations tunisiennes et subsahariennes ont enregistré ces dernières semaines de nombreux cas de migrants expulsés de leur domicile. Des évictions précipitées par l’application stricte d’une loi de 2004 qui oblige, sous peine de sanction, les propriétaires à demander une carte de séjour et à signaler au commissariat qu’ils hébergent un étranger. Cette loi, tout comme le code du travail, était jusqu’à présent très peu respectée dans le pays. « Elle pose problème depuis longtemps puisque la carte de séjour est très difficile à obtenir en Tunisie de manière générale », rappelle Alaa Talbi, directeur du Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES), une organisation non gouvernementale. (...)
    Du côté des autorités, le durcissement est net, revendiqué. Les Tunisiens qui ne respectent pas la loi sur l’hébergement d’un étranger sont passibles de quinze jours de prison et d’une amende, a souligné, jeudi, le porte-parole du tribunal de Sfax. Des sanctions sévères sont aussi prévues pour l’employeur qui embauche un étranger sans contrat de travail, a renchéri, le lendemain, le porte-parole de la garde nationale tunisienne, Houssem Jebali, à la télévision. Le 16 février, plusieurs associations tunisiennes de défense des droits humains étaient montées au créneau pour dénoncer l’interpellation, en une seule semaine, de 300 migrants. Dix jours plus tard, la garde nationale a annoncé l’arrestation de 151 Subsahariens accusés d’avoir « franchi illégalement la frontière tuniso-algérienne ». Près d’une cinquantaine de ces étrangers, parmi lesquels figurent des Congolais en majorité, sont aujourd’hui détenus à El Ouardia, un centre de détention administrative de Tunis dont le manque de statut juridique clair dans la loi tunisienne a souvent fait polémique. Parmi les prisonniers, certains sont des étudiants inscrits dans des universités. Kaïs Saïed avait pourtant assuré, dans un nouveau discours, jeudi, que les migrants en situation régulière n’étaient pas concernés par les mesures sécuritaires. Une garantie qui avait été aussi donnée aux associations estudiantines par le ministère de l’enseignement supérieur. (...)De nombreuses agressions à caractère raciste ont été également signalées. (...) Les autorités tunisiennes, elles, nient tout caractère raciste dans le discours du président ou les mesures prises par le gouvernement. « C’est vraiment un mauvais procès d’interprétation fallacieuse des propos des hautes autorités tunisiennes à ce sujet. Cela fait quelques jours que cela s’est produit, et il faut maintenant garder la tête froide, il faut apaiser, et les messages d’apaisement ont déjà été transmis par les canaux officiels et autres », a déclaré lundi, à l’AFP, le ministre des affaires étrangères, Nabil Ammar. Selon des chiffres officiels cités par le FTDES, la Tunisie compte plus de 21 000 ressortissants de pays d’Afrique subsaharienne, la plupart en situation irrégulière. « Pour les migrants qui sont légaux, il n’y a aucun problème. Au contraire, nous en voulons plus, a affirmé le ministre. Et les migrants illégaux sont appelés à retourner chez eux, mais dans le respect de leurs droits et de leur dignité. »

    #Covid-19#migrant#migration#tunisie#afriquesubsaharienne#etudiant#travailleurmigrant#travail#logement#racisme#droit#retour#migrationirreguliere#postcovid

  • L’histoire du #logiciel  : entre collaboration et confiscation des libertés

    Le concept même de logiciel n’est pas évident. Comme le rappelait #Marion_Créhange, la première titulaire d’un doctorat en #informatique en France, la manière d’influencer le comportement des premiers ordinateurs était de changer le branchement des câbles. Un programme était littéralement un plan de câblage qui nécessitait de s’arracher les mains sur des fils.

    Petit à petit, les premiers informaticiens ont amélioré la #technologie. Ils ont créé des #ordinateurs « programmables » qui pouvaient être modifiés si on leur fournissait des programmes au format binaire, généralement des trous sur des cartes en carton qui étaient insérées dans un ordre précis. Il fallait bien évidemment comprendre exactement comment fonctionnait le processeur pour programmer la machine.

    https://ploum.net/lhistoire-du-logiciel-entre-collaboration-et-confiscation-des-libertes

    #unix #linux #logiciel_libre

  • At least one open source vulnerability found in 84% of code bases: Report | CSO Online
    https://www.csoonline.com/article/3688911/at-least-one-open-source-vulnerability-found-in-84-of-code-bases-report.h

    Almost all applications contain at least some open source code, and 48% of all code bases examined by Synopsys researchers contained high-risk vulnerabilities.

    By Apurva Venkat

    Principal Correspondent, CSO | Feb 23, 2023 11:36 am PST

    At a time when almost all software contains open source code, at least one known open source vulnerability was detected in 84% of all commercial and proprietary code bases examined by researchers at application security company Synopsys.

    In addition, 48% of all code bases analyzed by Synopsys researchers contained high-risk vulnerabilities, which are those that have been actively exploited, already have documented proof-of-concept exploits, or are classified as remote code execution vulnerabilities.

    The vulnerability data — along with information on open source license compliance — was included in Synopsys’ 2023 Open Source Security and Risk Analysis (OSSRA) report, put together by the company’s Cybersecurity Research Center (CyRC).
    [ Learn 8 pitfalls that undermine security program success and 12 tips for effectively presenting cybersecurity to the board. | Sign up for CSO newsletters. ]

    The report is based on analysis of audits of code bases involved in merger and acquisition transactions and highlights trends in open source usage across 17 industries. (Synopsys’ Audit Services unit audits code to identify software risks for companies involved in merger and acquisition deals.)

    The audits examined 1,481 code bases for vulnerabilities and open source licensing compliance, and 222 other code basess were analyzed only for compliance.

    Open source vulnerabilities increase

    The OSSRA report is based on code audits done in 2022, in which the number of known open source vulnerabilities rose by 4% from 2021.

    “Open source was in nearly everything we examined this year; it made up the majority of the code bases across industries,” the report said, adding that the code bases contained troublingly high numbers of known vulnerabilities that organizations had failed to patch, leaving them vulnerable to exploits.

    All code bases examined from companies in the aerospace, aviation, automotive, transportation, and logistics sectors contained some open source code, with open source code making up 73% of total code. Sixty-three percent of all code in this sector (open source and proprietary) contained vulnerabilities classified as high risk, those with a CVSS severity score of 7 or higher.

    In the energy and clean tech sector, 78% of the total code was open source and 69% contained high-risk vulnerabilities.

    Though code bases from companies in these sectors had higher percentages of total vulnerabilities than other sectors, “similar findings, to lesser degrees, played out across all industries,” according to the report.

    Open source adoption jumps

    The percentage of open source code has risen in code bases in all industry verticals over the last five years, according to the OSSRA report.

    Between 2018 and 2022, for example, the percentage of open source code within scanned code bases grew by 163% in technology for the education sector; 97% in aerospace, aviation, automotive, transportation, and logistics; and 74% in manufacturing and robotics.

    “We attribute EdTech’s explosive open source growth to the pandemic; with education pushed online and software serving as its critical foundation,” the report said.
    High-risk vulnerabilities rise

    Meanwhile, there has been an increase in high-risk vulnerabilities across all sectors. For instance, aerospace, aviation, automotive, transportation, and logistics companies recorded a 232% increase in high-risk vulnerabilities in the 5-year period.

    “Much of the software and firmware used in these industries operate within closed systems, which can reduce the likelihood of an exploit and may lead to a lack of urgency in the need to patch it,” Synopsys said.

    High-risk vulnerabilities in IoT-related code bases have jumped 130% since 2018.

    “This is particularly concerning when we think about the utility of IoT devices; we connect many aspects of our lives to these devices and trust in the inherent safety in doing so,” the researchers noted.
    Available patches not applied

    Of the 1,481 code basess examined by the researchers that included risk assessments, 91% contained outdated versions of open-source components, which means an update or patch was available but had not been applied.

    The reason for this could be that devsecops teams might determine that the risk of unintended consequences outweighs whatever benefit would come from applying the newer version. Researchers say that time and resources could also be a reason.

    “With many teams already stretched to the limit building and testing new code, updates to existing software can become a lower priority except for the most critical issues,” the report said.

    In addition, devsecops teams may not know when there is a newer version of an open source component available — if they are aware of the component at all, the report said.
    SBOMs help maintain code quality, compliance

    To avoid vulnerability exploits and keep open source code updated, organizations should use a software bill of materials (SBOM), the report suggests.

    A comprehensive SBOM lists all open source components in applications as well as licenses, versions, and status of patches.

    An SBOM of open source components allows organizations to pinpoint at-risk components quickly and prioritize remediation appropriately, the report added.

    #Logiciels_libres #Sécurité #Maintenance