• #Suisse - #Vaccination #Covid-19 : Un tiers des effets indésirables jugés graves
    https://www.rts.ch/info/suisse/12567153-pressions-politiques-pour-voir-le-certificat-covid-disparaitre-avant-la

    Un tiers des effets indésirables (34%), liés à la vaccination contre le Covid-19, est jugé grave. Mais pour la majorité des cas, ceux-ci se sont révélés inoffensifs, selon Swissmedic.

    A la mi-octobre, 8757 déclarations d’effets indésirables présumés, pour lesquels un lien temporel avec la vaccination a été constaté, ont été évaluées, a indiqué vendredi Swissmedic dans un communiqué.

    Un peu plus de la moitié des déclarations ont été effectués par des professionnels de la santé et 4206 (48%) provenaient directement de personnes concernées ou de patients.

    Les personnes concernées étaient âgées en moyenne de 53,3 ans, et parmi elles, 14,7% avaient 75 ans ou plus. Dans les cas considérés comme graves, l’âge moyen était de 56,1 ans et dans les déclarations faisant état de décès concomitants à la vaccination, la moyenne s’établissait à 79,8 ans.

    Les déclarations d’effets indésirables que l’institut a reçues et analysées jusqu’à présent ne modifient pas le profil bénéfice-risque positif des vaccins contre le Covid-19 utilisés en Suisse.

    #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique

    • Vaud suggère aux moins de 18 ans de se faire vacciner avec Pfizer
      Le canton de Vaud va recommander de privilégier dès vendredi de vacciner les jeunes de 12 à 18 ans avec Pfizer plutôt que Moderna. C’est pour l’instant le seul canton à proposer cette « priorisation » en Suisse, a indiqué à Keystone-ATS Blaise Genton, chef de la campagne vaudoise de vaccination, confirmant une information du Courrier.

      Cette décision des autorités politiques et sanitaires vaudoises se veut avant tout « un principe de précaution », souligne Blaise Genton. Elle devait être mise en pratique et communiquée aux jeunes dès vendredi après-midi, précise encore le médecin-chef d’Unisanté.

      Risque d’inflammations cardiaques
      https://www.rts.ch/info/suisse/12567153-la-suisse-reste-sous-la-barre-des-1000-contaminations-quotidiennes.html

      Cette recommandation fait suite à des études en Europe et surtout aux Etats-Unis montrant des cas de risques d’inflammations cardiaques, soit myocardites et péricardites. Blaise Genton tient toutefois à souligner que « l’incidence n’est que très légèrement supérieure » pour le vaccin de Moderna par rapport à celui de Pfizer. « La différence est donc très faible et les données des études pas forcément toujours très solides », insiste-t-il.

      « Mais puisque cette alternative Pfizer existe, nous proposons de prioriser ce vaccin pour les jeunes de moins de 18 ans », dit-il. Il reconnaît volontiers que le choix vaudois est en décalage avec la position de l’autorité de surveillance Swissmedic, pour qui il n’est actuellement pas justifié d’adapter l’autorisation du vaccin Moderna.

    • Vaud va aussi désormais systématiquement informer les personnes qui viennent se faire vacciner des éventuels risques de myocardites et péricardites. Le canton va surtout les sensibiliser aux symptômes (douleurs thoraciques, essoufflement ou palpitations) qui nécessitent une consultation médicale. Swissmedic demande d’ailleurs depuis mi-août aux professionnels de la santé de faire passer cette information.

  • Covid-19 | EnQuete+
    https://www.enqueteplus.com/content/covid-19-13

    Ouf de soulagement. Le Sénégal fait désormais partie des pays ‘’verts’’, c’est-à-dire les pays dans lesquels aucune circulation active du virus n’est observée et aucun variant préoccupant n’est recensé. L’annonce a été faite, hier, par le ministère du Tourisme et des Transports aériens. Ainsi, les voyageurs en provenance ou à destination du Sénégal ne sont plus soumis aux motifs impérieux qu’ils soient vaccinés ou non. Selon un document officiel publié sur le site du Quai d’Orsay, ces voyageurs ne sont pas soumis aux mesures contraignantes pour entrer ou sortir du territoire français. Les voyageurs non-vaccinés à destination d’un pays vert devront fournir les résultats du test RT-PCR ou antigénique négatif au départ et à l’arrivée, selon les règles du pays de destination. Ils peuvent être soumis à une quarantaine, toujours selon les règles du pays de destination. En provenance d’un pays vert, ces derniers devront également fournir les résultats négatifs du test RT-PCR d’au moins 72 heures exigé avant le départ. Ils ne seront pas soumis à des mesures d’isolement.
    Quant aux voyageurs vaccinés à destination d’un pays vert, ils présenteront la preuve de leur vaccination, le test RT-PCR ou antigénique négatif au départ et à l’arrivée, selon les règles du pays de destination. Ils peuvent aussi être soumis à une mesure de quarantaine. En provenance d’un pays vert, les voyageurs n’auront pas à présenter un test et ne seront pas isolés. S’agissant des autres pays sur la liste des pays verts, on compte des pays de l’espace européen ainsi qu’Andorre, l’Islande, le Liechtenstein, Monaco, la Norvège, Saint-Marin, la Suisse et le Vatican. A cette liste, viennent s’ajouter l’Australie, l’Arabie saoudite, le Bahreïn, Brunei, le Canada, le Chili, le Sénégal, la Corée du Sud, les Émirats arabes unis, Hong-Kong, le Japon, la Jordanie, le Koweït, le Liban, la Nouvelle-Zélande, le Qatar, le Rwanda, Singapour, Taïwan, l’Union des Comores, l’Uruguay et le Vanuatu.

    #Covid-19#migrant#migration#senegal#UE#sante#circulation#frontiere#listeverte#variant#tauxincidence#vaccination#test

  • Voyage : Une note de l’Union européenne place le Sénégal parmi les pays « Verts »
    https://www.dakaractu.com/Voyage-Une-note-de-l-Union-europeenne-place-le-Senegal-parmi-les-pays-Ver

    Voyage : Une note de l’Union européenne place le Sénégal parmi les pays « Verts »Seront admis dans l’UE les voyageurs à destination ou en provenance du Sénégal, qu’ils soient vaccinés ou non. Ils ne seront plus soumis aux motifs impérieux pour entrer ou sortir de l’espace Schengen au départ ou à l’arrivée du pays de la Téranga, placé parmi les pays « Verts ».L’annonce est parue dans une note de l’Union européenne (UE). Notre pays fait partie de ceux considérés comme étant des espaces où « aucune circulation active du virus n’est observée et aucun variant préoccupant n’est recensé ».
    Il s’agit des pays de l’espace européen : États membres de l’Union européenne ainsi que Andorre, l’Islande, le Liechtenstein, Monaco, la Norvège, Saint-Marin, la Suisse et le Vatican. S’y ajoutent les pays suivants : l’Australie, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, Brunei, le Canada, le Chili, la Corée du Sud, les Émirats arabes unis, Hong-Kong, le Japon, la Jordanie, le Koweït, le Liban, la Nouvelle-Zélande, le Qatar, le Rwanda, le Sénégal, Singapour, Taïwan, l’Union des Comores, l’Uruguay et le Vanuatu.

    #Covid-19#migrant#migration#senegal#UE#sante#circulation#frontiere#listeverte#variant#tauxincidence

  • Covid-19 : « environ 15.000 » professionnels soumis à l’obligation vaccinale ont été suspendu
    https://www.lefigaro.fr/social/covid-19-0-6-des-professionnels-soumis-a-l-obligation-vaccinale-ont-ete-sus

    Selon les annonces du ministère de la Santé, ce mardi, la population concernée est plus importante que ce qu’avait annoncé Olivier Véran au lendemain de l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale.

    Depuis l’instauration de l’obligation vaccinale pour les personnels soignants et professionnels associés, plusieurs milliers de suspensions ont été prononcées à l’encontre des récalcitrants. D’après les dernières données, communiquées ce mardi par le ministère de la Santé à l’occasion d’un point presse, 0,6% des professionnels soumis à cette obligation ont été suspendus depuis le 15 septembre.
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    #violence #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccination #santé_publique

  • La compagnie Southwest a annulé plus de 1 000 vols
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/la-compagnie-southwest-a-annule-plus-de-1000-vols-17229993

    La compagnie américaine Southwest a annulé plus de 1 000 vols, dimanche, prétextant des problèmes météorologiques et de contrôle aérien.


    Le transporteur a annulé plus de 1 085 vols dimanche, soit près de 29% de son trafic. (photo : AFP)

    Southwest Airlines a annulé plus de 1 000 vols, dimanche, lors d’un week-end marqué par les perturbations, que la compagnie explique par la météo et des problèmes de contrôle aérien.

    Le transporteur a annulé plus de 1 085 vols dimanche, soit près de 29% de son trafic, le plus haut taux pour une compagnie aérienne, et a accusé des retards sur plus de 900 autres liaisons, selon l’outil de suivi de vol FlightAware. Southwest a aussi annulé plus de 800 vols samedi, assure FlightAware.

    Dans un communiqué, Southwest explique que les ennuis météorologiques ont commencé dans les aéroports de Floride au début du week-end et ont été aggravés par des problèmes inattendus de contrôle aérien qui ont provoqué des retards et entraîné de nombreuses annulations.

    Protestation
    « Nous avons continué à travailler avec diligence tout au long du week-end pour reprendre nos opérations en nous concentrant sur le repositionnement des avions et des équipages pour prendre soin de nos clients », a assuré la compagnie aérienne.

    L’Association des pilotes de Southwest Airlines (SWAPA) a réfuté les rumeurs selon lesquelles certains pilotes ou salariés de la compagnie participaient à un ralentissement de l’activité pour protester contre la décision de l’entreprise d’obliger ses employés à se faire vacciner contre le Covid-19.

    « La SWAPA est au courant des difficultés opérationnelles affectant Southwest Airlines, aujourd’hui, à cause de plusieurs problèmes, mais nous pouvons dire avec certitude que nos pilotes ne participent à aucune mobilisation officielle ou officieuse », a souligné le groupe, samedi.

    #grève  #transport_aérien #travail #luttes_sociales #vaccination #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique

  • Conséquence des mesures sanitaires, les généralistes allemands signalent une hausse des maladies infectieuses chez les enfants
    https://www.letemps.ch/sciences/consequence-mesures-sanitaires-generalistes-allemands-signalent-une-hausse-m

    En Allemagne, l’association des médecins de famille met en garde contre les effets collatéraux des mesures de protection, notamment sur les enfants. Leurs systèmes immunitaires ne seraient pas suffisamment entraînés pour lutter contre les virus saisonniers

    L’association allemande des médecins généralistes s’inquiète d’une hausse des maladies infectieuses. Les mesures sanitaires mises en place depuis la propagation du nouveau coronavirus ont permis d’amoindrir les conséquences des épidémies saisonnières. Seulement, elles ont aussi entraîné un affaiblissement des systèmes immunitaires.
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    La suite payante, mais le titre suffit.

    #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccination #santé_publique

    • Rhume, angine, gastro... pourquoi tout le monde (ou presque) est malade en ce moment - ladepeche.fr
      https://www.ladepeche.fr/2021/10/10/rhume-angine-gastro-pourquoi-tout-le-monde-ou-presque-est-malade-en-ce-mom

      Les virus de l’hiver ont fait un retour en force depuis quelques semaines. Rhumes, angines ou gastro sévissent et personne, ou presque, n’y échappe. Après deux ans d’hyper-protection contre le Covid-19, l’immunité de la population générale pourrait avoir baissé.

      Nez qui coule, éternuements, mal à la gorge, quintes de toux, et fatigue générale. Si vous avez la chance d’y avoir échappé, vous connaissez probablement un membre de votre famille, de vos amis ou de votre entourage professionnel qui a contracté un des virus traditionnels de l’hiver. L’organisation de la surveillance coordonnée des urgences confirme, dans une publication du 7 octobre, que les infections respiratoires sont en hausse depuis presque un mois. « L’hypothèse d’une épidémie en 2021-2022 doit être considérée », affirme de son côté le Conseil scientifique.

      L’an dernier, de nombreux Français y avaient échappé. Dans une période comprise entre la rentrée et le second confinement, le port du masque, la désinfection des mains et le respect de la distanciation sociale étaient encore la règle. Et tous ces gestes étaient fortement respectés. Ce qui n’est plus forcément le cas de tous cet automne.
      Éviter la bise et le serrage des mains

      « Il est tout à fait possible que l’immunité de la population générale ait diminué », explique l’épidémiologiste Sibylle Bernard-Stoecklin dans une vidéo mise en ligne par Santé publique France. « Du fait de cette baisse de l’immunité collective vis-à-vis du virus », il est possible que « les épidémies de cette année soient de plus grande intensité ».

      Comme le rappelle l’épidémiologiste Jonathan Roux au Figaro, « la bise et le serrage des mains favorisent grandement la propagation des virus ». Nous voilà prévenus.

      La Dr Fabienne Kochert, présidente de l’association française de pédiatrie ambulatoire", va plus loin. « Il faut garder en tête les mesures barrières de base comme une hygiène rigoureuse des mains. C’est typique avec la gastro : c’est une maladie des mains sales ». Les spécialistes des enfants ont déjà observé une hausse des pathologies ORL et respiratoires chez les enfants. Le nombre de bronchiolites du nourrisson a augmenté de 23 % en France entre le 27 septembre et le 3 octobre, selon le réseau Sentinelles.
      La grippe attendue en novembre/décembre

      Au-delà de ces infections bénignes - mais gênantes - se profile l’arrivée prochaine de la grippe. Les premiers malades sont touchés en général en novembre ou décembre. Peu de Français et de Français avaient été touchés l’an dernier en raison là encore des gestes barrières et du second confinement, beaucoup moins strict toutefois que le premier.

      Les personnes fragiles et les personnes âgées pourront se faire vacciner en même temps pour la grippe et avec la troisième dose de vaccin contre le Covid-19, six mois après la seconde injection. La campagne officielle de vaccination contre la grippe débutera le 26 octobre.

      Pour passer l’hiver sans trop d’encombre, il est donc primordial de continuer à respecter les gestes barrières, de se laver régulièrement les mains et d’éviter de faire la bise ou de se serrer les mains.

  • Marseille : Sans pass sanitaire, il présente le QR code d’Emmanuel Macron et termine en garde à vue
    https://actu17.fr/marseille-sans-pass-sanitaire-il-presente-le-qr-code-demmanuel-macron-et-term

    Un jeune homme de 19 ans a présenté le pass sanitaire du président de la République Emmanuel Macron, pour entrer dans un hôpital à Marseille ce mardi. Il a été interpellé et placé en garde à vue.

    Il a déclaré que c’était juste « pour rigoler ». Un homme de 19 ans a été interpellé ce mardi à Marseille, après avoir pénétré dans l’hôpital Sainte-Marguerite (9e). La raison ? Dépourvu de pass sanitaire, il a décidé de présenter celui du chef de l’État Emmanuel Macron, à l’entrée.
    https://actu17.fr/wp-content/uploads/2021/01/macron_220121.jpg
    Les agents de sécurité s’en sont rendu compte et l’ont laissé passer, avant de prévenir la police. Le jeune homme a été interpellé et placé en garde à vue.

    « Il a expliqué qu’il avait un rendez-vous et devait participer à un groupe de travail. Étant donné qu’il n’avait pas de pass sanitaire, il a décidé de présenter celui d’Emmanuel Macron, qui avait fuité sur internet il y a quelques semaines », détaille une source proche de l’enquête. Le QR code du président de la République a depuis été désactivé et les soignants à l’origine de cette fuite, fin septembre, ont été identifiés. L’assurance maladie a saisi le Conseil national de l’Ordre des médecins.

    Une contravention de 4e classe
    La garde à vue du jeune homme a été levée en début de soirée. Ce dernier a finalement fait l’objet d’une contravention de 4e classe pour « présentation d’un document sanitaire appartenant à un tiers lors d’un contrôle d’accès à un lieu dans le cadre de la lutte contre la propagation de l’épidémie ».

    #pass_sanitaire #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale

  • #Suisse : Pas de vaccin des enfants à l’école en Suisse romande, sauf à Genève
    https://www.rts.ch/info/suisse/12546681-pas-de-vaccin-des-enfants-a-lecole-en-suisse-romande-sauf-a-geneve.html

    Contrairement à certains Alémaniques, la majorité des petits Romands et Romandes n’ont pas accès à la vaccination contre le Covid directement à l’école. Ce type d’action est trop délicat à mettre en place, soulignent les autorités. Seul Genève va mettre sur pied ces prochains jours la possibilité de vacciner les enfants dans les écoles, avec l’autorisation de leurs parents.

    Depuis fin juin, la vaccination contre le Covid-19 est recommandée à partir de l’âge de 12 ans. Pour faciliter l’accès des plus jeunes à la piqûre, trois cantons alémaniques - Zurich, Argovie et les Grisons - ont mis en place des actions de vaccination dans les établissements scolaires. Les adolescents qui le souhaitent peuvent ainsi, moyennant l’accord de leurs parents, recevoir l’injection dans l’enceinte de leur école.

    En Suisse romande, on se montre plus frileux. Genève est le seul canton à vouloir organiser une telle campagne dans les établissements scolaires de l’enseignement obligatoire, une décision prise tout récemment. Confirmant une information du Temps, le Département de l’instruction publique a indiqué vendredi à la RTS qu’un courrier d’information était sur le point d’être envoyé aux parents.

    Dans les autres cantons romands, le pas n’a pas été franchi. « Nous avons mené des sondages cet été et nous avons renoncé à proposer la vaccination directement dans les écoles en raison de réserves de la part de ces dernières », confie le médecin cantonal neuchâtelois Claude-François Robert.

    « Je ne dis pas qu’on ne va jamais le faire, mais ça nous semble délicat », explique Claudia Lauper-Lüthi, secrétaire générale de la Direction de la santé à Fribourg. « L’école n’est pas un lieu approprié pour la vaccination. Le contexte sanitaire n’est pas bon et il y a un risque que l’enfant subisse une certaine pression sociale, soit influencé », poursuit-elle, à l’unisson des autres responsables de Suisse romande.

    Menaces contre des écoles dans les Grisons
    Dans plusieurs cantons, on mentionne également l’hostilité très forte de certains parents. « Nous recevons des lettres qui vont jusqu’à nous menacer de poursuites devant la justice », indique Claude-François Robert. A Neuchâtel comme ailleurs, on évite donc d’exacerber les tensions. « La priorité est d’assurer l’accès à la vaccination pour toutes les personnes qui le souhaitent, y compris les enfants », mais en dehors de l’école obligatoire, note le médecin cantonal.

    Lundi, les Grisons ont dû annuler une action de vaccination à la suite de menaces dirigées contre plusieurs établissements. Les autorités, qui ont porté plainte contre les auteurs de ces menaces, réfutent toute capitulation face aux anti-vaccins et assurent que la vaccination à l’école sera maintenue. A Zurich et en Argovie, la démarche n’a en revanche pas suscité de telles tensions.

    #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale #enfants

  • Evaluation of the relative virulence of novel #SARS-CoV-2 #variants: a retrospective cohort study in Ontario, Canada | CMAJ
    https://www.cmaj.ca/content/early/2021/10/04/cmaj.211248

    Results: Our cohort included 212 326 people. Compared with non-VOC SARS-CoV-2 strains, the adjusted elevation in risk associated with N501Y-positive variants was 52% (95% confidence interval [CI] 42%–63%) for hospitalization, 89% (95% CI 67%–117%) for ICU admission and 51% (95% CI 30%–78%) for death. Increased risk with the Delta variant was more pronounced at 108% (95% CI 78%–140%) for hospitalization, 235% (95% CI 160%–331%) for ICU admission and 133% (95% CI 54%–231%) for death.

    Interpretation: The increasing #virulence of SARS-CoV-2 VOCs will lead to a considerably larger, and more deadly, pandemic than would have occurred in the absence of the emergence of VOCs.

  • Effectiveness of mRNA BNT162b2 COVID-19 vaccine up to 6 months in a large integrated health system in the USA: a retrospective cohort study - The Lancet
    https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)02183-8/abstract

    Findings

    Between Dec 14, 2020, and Aug 8, 2021, of 4 920 549 individuals assessed for eligibility, we included 3 436 957 (median age 45 years [IQR 29–61]; 1 799 395 [52·4%] female and 1 637 394 [47·6%] male). For fully vaccinated individuals, effectiveness against #SARS-CoV-2 infections was 73% (95% CI 72–74) and against #COVID-19-related hospital admissions was 90% (89–92).

    Effectiveness against infections declined from 88% (95% CI 86–89) during the first month after full vaccination to 47% (43–51) after 5 months. Among sequenced infections, vaccine effectiveness against infections of the #delta variant was high during the first month after full vaccination (93% [95% CI 85–97]) but declined to 53% [39–65] after 4 months.

    Effectiveness against other (non-delta) #variants the first month after full vaccination was also high at 97% (95% CI 95–99), but waned to 67% (45–80) at 4–5 months.

    Vaccine effectiveness against hospital admissions for infections with the delta variant for all ages was high overall (93% [95% CI 84–96]) up to 6 months.

    Interpretation

    Our results provide support for high effectiveness of BNT162b2 against hospital admissions up until around 6 months after being fully vaccinated, even in the face of widespread dissemination of the delta variant. Reduction in vaccine effectiveness against SARS-CoV-2 infections over time is probably primarily due to waning immunity with time rather than the delta variant escaping vaccine protection.

    Funding

    Pfizer.

  • Pour qui sonne le glas ? lundi.am - anti-k.org
    https://www.anti-k.org/2021/10/06/pour-qui-sonne-le-glas

    Nous avons publié de nombreux articles sur le passe sanitaire, le monde qu’il charrie et toutes les raisons de s’y opposer. Comme dans la plupart des médias, nous avons pris soin de distinguer le refus de ce dispositif de contrôle du refus de la vaccination, probablement moins par fanatisme vaccinal d’ailleurs que par la nature des arguments convoqués par les « antivax ». Il est de bon ton, y compris par chez nous, de moquer celles et ceux qui se sont convaincus que « Big Pharma » nous injecterait des puces 5G pour contrôler notre cerveau ou que l’Arn messager serait une technologie pédo-sataniste visant à altérer l’espèce humaine (aussi fantaisistes soient-elles, ces croyances sont néanmoins significatives et méritent sûrement plus d’attention que des rires gras). Un lecteur, professionnel de santé qui refuse de se faire vacciner et vient d’être mis à pied, nous a transmis ce texte dans lequel il revient sur sa décision et sur la manière dont elle s’est articulée au fil des mois et des déclarations gouvernementales. L’enjeu ici n’est pas de convaincre mais de retracer les raisons d’un refus, bien loin des caricatures et auto-caricatures du milieu antivax.


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    La menace avait été clairement exprimée par Emmanuel Macron lors de sa communication du 12 juillet, et depuis sa validation partielle par le Conseil constitutionnel il ne devait plus guère faire de doute qu’elle serait mise à exécution. J’étais donc informé des sanctions qu’encouraient les professionnels du secteur sanitaire et social en cas de non respect de l’obligation vaccinale et, comme plus ou moins la moitié des soignants (selon les métiers et les secteurs d’exercice) qui refusaient encore, au milieu de l’été, de se faire vacciner, j’avais plus d’un mois pour me mettre en conformité avec la nouvelle loi. Le couperet annoncé étant tombé, me voilà donc comptant dans les rangs des quelques milliers (leur nombre semble faire partie de ce qui résiste à l’évaluation) d’illuminés privés de leur emploi – et, tout aussi bien, de leurs moyens de subsistance – pour n’avoir pas satisfait à l’obligation vaccinale dans le secteur de la santé.

    On peut débattre de tout sauf des chiffres : j’éviterai donc autant que possible d’en parler, étant moi- même – comme pourrait peut-être le laisser entendre ma profession – plutôt porté sur les lettres, et, mettant à profit le temps de vacance forcée auquel je suis assigné, j’essaierai de me remémorer le mauvais film qui, en quelques mois poisseux, m’a conduit insensiblement du côté obscur de la communauté nationale. Mon dessein n’est pas de revendiquer une vérité susceptible de guider qui que ce soit dans ses actions ou ses pensées, mais d’exposer, avec l’honnêteté dont je suis capable, mes ressentis et mes choix, et peut-être ce qui y a présidé, de manière consciente ou non, en espérant que cela puisse faire écho aux éprouvés, forcément différents, des uns ou des autres. Si elles ne se sont pas appuyées sur une opposition en mesure de bloquer sa mise en œuvre, de nombreuses critiques sont parues pour dénoncer le passe sanitaire, la dérive autoritaire dans laquelle il s’inscrit et le portrait-robot du monde d’après qu’il nous promet [1]. Elles s’accordent en revanche, ou refusent d’émettre un doute quant à l’intérêt supérieur de la vaccination : c’est la ligne brunâtre à ne pas franchir, celle au-delà de laquelle tout n’est que ravage de la pensée critique, infamie, complotisme. Mon inconséquence m’ayant rejeté dans ce marigot, dont on n’a pas manqué de dauber le faible niveau d’instruction de ceux qui y baignent, leurs capacités intellectuelles réduites, ou encore la sénilité de ses représentants (trois empêchements dont j’admets qu’ils puissent chacun m’être opposés, ça vous donne une idée), j’en viens malgré moi à m’interroger sur mon éventuel fond brun – après tout, les sujets que nous sommes sont les produits sociaux de leur temps – démasqué à la faveur de cette crise passion.

    Plan de campagne
    La campagne de vaccination débute en France à la fin du mois de décembre 2020. Elle concerne alors exclusivement les personnes reconnues comme les plus à risque de développer une forme grave de la maladie. Sans être hostile, je note que le sentiment général vis-à-vis de ces nouveaux vaccins est plutôt circonspect qu’enthousiaste : on attend de voir quels seront leurs effets réels sur la pandémie, et, pour certains, qu’ils fassent la preuve de leur innocuité (sans que cela ne soit encore perçu comme une dérive sécessionniste menaçant le bien commun). Je partage alors globalement cette position attentiste, pas tant choisie en fait qu’imposée par l’organisation de la campagne vaccinale. Les annonces à répétition du nombre de vaccins « réservés » par les états, donnant à voir, avec ce que je ressens comme une certaine obscénité, la lutte que ceux-ci se livrent pour l’accès au médicament, dans une course où la puissance de chacun est mise en jeu, me procure un sentiment de vertige et de malaise, lié à la mise à nu d’un certain ordre du monde dans lequel s’inscrivent pleinement ces nouveaux produits de l’industrie pharmaceutique. La lutte contre la pandémie est mondiale, mais les populations n’ont visiblement pas toutes la même légitimité pour accéder aux moyens de s’en protéger. Pire, dans les mois qui vont suivre, certains états ayant thésaurisé des dizaines de millions de doses, se draperont de morale en faisant généreusement don d’une partie de leur excédent de stock à certains pays démunis.
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    Voilà le printemps
    Les vaccins deviennent accessible aux soignants. Exerçant dans l’enceinte d’un établissement sanitaire, proposition m’est faite, quoique non soignant, de me faire vacciner. Je décline. La pression monte sans doute d’un cran mais, étant donné mon peu d’appétence pour la chose tel qu’exposé plus haut, je ne peux que profiter du fait qu’elle ne soit pas obligatoire – et qu’il n’est pas question qu’elle le devienne – pour m’y soustraire. De surcroît, aucune évolution notable de la maladie, malgré la survenue des variants, ne suscite en moi le sentiment d’être en danger. Je ne m’estime pas à l’abri pour autant, de ce virus ou d’autre chose (j’ai généralement tendance à penser que vivre comporte des risques, y compris celui de mourir, et l’opinion inverse me provoque plutôt un sentiment d’étouffement, d’une vie à ce point sans horizon qu’elle en perd même celui de sa fin). Voilà en ce qui concerne ma petite personne, mais pour les autres ? Évidemment, je continue à respecter les « gestes barrières », et mets un point d’honneur à ne pas laisser échapper mes postillons, que mon interlocuteur appartienne à mon cercle proche ou non, d’autant plus s’il est âgé. Je le faisais déjà avant. Avec le recul, force est de constater que je suis très mal préparé aux annonces présidentielles de juillet, et que les semaines suivantes ne vont faire que révéler et augmenter une dérive qui était pour ainsi dire jouée d’avance.

    L’annonce, l’été
    Ma première réaction à l’écoute des annonces du 12 juillet est de totale incrédulité. Que des gens acceptent de présenter un passeport sanitaire pour entrer dans un bistrot, un cinéma, aller à la piscine… c’est impensable ; que d’autres prennent sur eux de télécharger une application pour contrôler leurs clients, c’est de la science fiction. Quant aux soignants, excédés qu’ils sont par leurs conditions de travail, le sous-effectif chronique, la suppression des lits, c’est une provocation à la révolte que de les menacer d’une suspension de salaire s’ils refusent de se faire vacciner.
    . . . . . . .
    C’est un peu le rêve d’une société libérale qui, en une intervention d’une demi-heure, par un soirée grise et humide indigne d’une mi-juillet, trouve la formule de son accomplissement le plus condensé : produire de l’exclusion et renvoyer à leur responsabilité ceux qui en sont victimes. Comme si l’exercice du pouvoir n’était l’exercice du pouvoir que s’il se montrait en mesure (ou en démesure) de priver de moyens de subsistance qui prétend s’y soustraire

    #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale

  • #Suisse : Les cantons peinent à détecter les attributions frauduleuses de certificats Covid
    https://www.rts.ch/info/suisse/12547588-les-cantons-peinent-a-detecter-les-attributions-frauduleuses-de-certifi

    Parmi les dizaines de milliers de certificats Covid émis chaque jour en Suisse, certains sont délivrés sans test ni vaccin. Des abus difficiles à détecter pour les cantons.
    On en trouve en quelques clics sur le darknet ou sur les applications de messagerie cryptée. Les dealers en ligne en font leur argument de vente : en échange de 75 à 600 francs, ils délivrent un document garanti authentique.

    Comment est-ce possible ? La RTS a contacté plusieurs de ces trafiquants pour le savoir. Ils expliquent qu’ils travaillent « en collaboration avec des médecins qualifiés ». Ces certificats sont donc émis via la plateforme officielle de la Confédération.

    Plus de 2300 failles humaines potentielles
    Les personnes qui ont accès à cette plateforme se trouvent dans tous les lieux qui vaccinent ou effectuent des tests : cabinets médicaux, pharmacies, centre de vaccination.

    L’enquête de la RTS relève qu’en Suisse romande, plus de 2300 personnes ont les accès à la plateforme : 169 à Neuchâtel, 178 dans le Jura, 323 à Fribourg, 350 à Berne, 500 à Genève et 858 en Valais.

    Parmi ces professionnels, certains se font approcher par des personnes qui tentent de négocier un certificat sans piqûre. C’est arrivé plusieurs fois à Michel Gindre. Mais le pharmacien valaisan a refusé. Il l’explique mercredi au 19h30 : « Techniquement, c’est faisable. Moralement, c’est difficile ».

    Tous les professionnels de santé n’ont pas la même éthique. Vaud et Genève ont détecté des cas de « certificats de complaisance ». S’en sont suivies des dénonciations pénales. On ignore combien de certificats sont concernés. Plusieurs enquêtes sont également en cours dans ces deux cantons.

    Surveillance difficile
    Ces quelques cas découverts pourraient bien être l’arbre qui cache la forêt. Plusieurs cantons reconnaissent avoir peu de marge de manoeuvre pour contrôler les abus.

    « Nous n’avons pas beaucoup d’outils de monitoring des utilisateurs de la plateforme, reconnaît Sophie Maillard, pharmacienne cantonale fribourgeoise. C’est dans les mains de la Confédération. Nous savons à qui nous avons octroyé les accès, mais pas ce qu’ils font avec ».

    Plus de contrôles pour les cantons
    Avec d’autres cantons romands, la pharmacienne cantonale fribourgeoise a donc interpellé la Confédération à plusieurs reprises pour obtenir davantage de moyens de contrôle sur la plateforme.

    Un appel que l’Office fédéral de l’informatique (OFIT) semble avoir entendu. Il mettra à disposition des cantons des outils pour pouvoir contrôler les attributions de certificats.

    Actuellement, ce système de détection est contrôlé par l’OFIT. Les cantons doivent donc solliciter son aide en cas de suspicion.

    #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale

  • La Suède suspend « par précaution » le vaccin moderna pour les moins de 30 ans
    http://www.lessentiel.lu/fr/corona/story/moderna-suspendu-pour-les-moins-de-30-ans-en-suede-13782575

    La Suède a annoncé mercredi suspendre « par précaution » le vaccin anti-Covid de Moderna pour les moins de 30 ans en raison d’un risque d’inflammation cardiaque chez les jeunes, en soulignant que la probabilité de cet effet secondaire était toutefois « minime ». L’autorité de santé publique (FHM), chargée de la campagne de vaccination, « a décidé de mettre en pause l’usage du vaccin Spikevax de Moderna pour tous ceux nés en 1991 et après, par principe de précaution », indique-t-elle dans un communiqué.

    Cette décision est prise « après des signes de risque accru d’effets secondaires comme les inflammations du myocarde et du péricarde », précise FHM. Selon l’agence, le risque est plus marqué après la deuxième dose et chez les sujets masculins. « Mais le risque d’être atteint est minime, c’est un effet secondaire très rare », souligne-t-elle. « La myocardite et la péricardite disparaissent souvent d’elles-mêmes, sans causer de problèmes durables, mais les symptômes doivent être évalués par un médecin », explique l’agence. Environ 81 000 personnes de moins de 30 ans ont reçu une première dose de Moderna en Suède et pas la deuxième.

    #Suède #enfants #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale

  • L’opération Vaxibus de Skyrock écourtée à Rennes après une manifestation
    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/l-operation-vaxibus-de-skyrock-ecourtee-a-rennes-apres-une-manifestation-20

    La tournée du Vaxibus de la radio Skyrock, destinée à inciter les jeunes à se faire vacciner contre le Covid-19, a été écourtée à Rennes après une première journée perturbée par des manifestants, a annoncé l’Agence régionale de santé (ARS) lundi soir. « L’opération de demain (mardi) est annulée », a annoncé une porte-parole l’ARS à l’AFP, sans plus de précision. En tournée dans toute la France, le Vaxibus devait s’arrêter lundi et mardi dans le centre-ville de la capitale bretonne, de 12H00 à 20H00.

    Mais dès 19H00 lundi, les équipes du Vaxibus étaient en train de ranger leur matériel sous le regard de quelques dizaines de manifestants anti passe sanitaire, a constaté un journaliste de l’AFP. « On n’est pas contre la vaccination », a assuré Franck, 50 ans, un des manifestants. « On est là pour dénoncer les effets secondaires que personne ne dit ». Le manifestant, qui dit « combattre pour rester libre », a accueilli avec satisfaction l’annulation de l’opération de mardi. « Si on peut avoir sauvé quelques enfants », a-t-il souri.

    Une cinquantaine de personnes étaient présentes au plus fort de la manifestation, selon lui. Certains manifestants ont hué les gens qui rentraient dans le centre de vaccination ambulant, d’après le quotidien régional Ouest-France, qui précise que seulement une dizaine de personnes âgées se sont fait vacciner entre midi et 18H00. Lancé en partenariat avec le ministère de la Santé, l’opération Vaxibus « Ça va ? Ça vax ! » propose aux plus de 12 ans de se faire vacciner puis d’enregistrer une dédicace diffusable sur Skyrock. Le Vaxibus Skyrock doit ensuite faire étape à Orléans mercredi et jeudi.

    #enfants #crise_sanitaire #EnMarche #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale #radio

    • Tout à fait normal qu’une radio nulle organise des vaccinations.
      C est ça le monde de demain.
      A quand une équipe cycliste sponsorisée par Pfizer avec Lance Armstrong comme entraîneur ?

  • #Suisse : Une 3e dose du vaccin anti-Covid ne sera pas nécessaire, selon Claire-Anne Siegrist RTS
    https://www.rts.ch/info/12538402-une-3e-dose-du-vaccin-anticovid-ne-sera-pas-necessaire-selon-claireanne

    Invitée sur le plateau du 19h30 dimanche, la cheffe du centre de vaccinologie des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) Claire-Anne Siegrist a répondu aux interrogations et réticences courantes concernant la vaccination contre le Covid-19.

    La spécialiste dit comprendre les hésitations qui persistent au sein d’une catégorie de la population quant à la vaccination. « Tout a été très vite et les chiffres sont compliqués à comprendre », dit-elle.

    Possibilités de transmission, effets secondaires graves, recul nécessaire... La vaccinologue a passé en revue les différentes réticences liées à la vaccination. Elle a également abordé la question de l’alternative offerte par le vaccin de Johnson & Johnson.

    Quant à la nécessité future d’une troisième dose, Claire-Anne Siegrist est catégorique : « Je n’y crois pas ». A part les personnes âgées et fragiles qui « vont bénéficier d’une troisième dose pour remonter leur taux d’anticorps », le reste de la population n’aura « pas besoin de vaccins réguliers », estime l’experte, qui souligne toutefois qu’elle se base sur les faits existants à ce jour.

    Interview vidéo sur le site de la RTS

    #pass_sanitaire #vaccin #vaccins #vaccination #obligation_vaccinale #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique #hôpital #hôpitaux #médecine

    • Claire-Anne Siegrist, sur wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Claire-Anne_Siegrist

      Biographie
      Elle fait ses études à l’université de Genève en pédiatrie et maladies infectieuses et se forme en immunologie avancée à l’Université d’Aix-Marseille. Sa thèse de doctorat, soutenue en 1998, porte sur la vaccination en bas âge.

      Elle dirige depuis 1996 le Centre collaborateur de l’OMS pour l’immunologie vaccinale et depuis 2013 le Centre de vaccinologie des Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG). Elle est nommée professeure de vaccinologie à Genève en 1999 puis crée la première chaire de vaccinologie en Europe. Elle préside de 2004 à 2014 la commission fédérale pour les vaccinations (CFV)1. Elle est nommée experte par le gouvernement britannique au comité pour la vaccination et l’immunisation de 2008 à 2016 et dans le groupe consultatif stratégique d’experts de l’OMS depuis 20102.

      En 2014, elle dirige l’essai clinique d’un vaccin contre la maladie à virus Ebola commandé par l’OMS3.

      Elle met en place InfoVac, une plateforme d’information et de consultation pour toutes les questions concernant la vaccination2.

      Travaux
      Elle mêne des travaux de recherche dans le domaine de l’immunologie vaccinale, étudiant notamment le fonctionnement des vaccins et les mécanismes de maturation des réponses infantiles.

      Distinctions
      • Prix mondial Nessim-Habif de la faculté de médecine de l’Université de Genève, automne 2017 lors du Dies academicus 20174.
      • Prix Best of ESPID Education Award 2018, 31 mai 2018, délivré par la Société Européenne pour les Maladies Infectieuses Pédiatriques (ESPID)5,6.
      • Chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur, 11 mars 20192.

  • Coronavirus: Hong Kong-mainland China border unlikely to reopen before February, government adviser says | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/health-environment/article/3151036/coronavirus-hong-kong-mainland-china-border

    Coronavirus: Hong Kong-mainland China border unlikely to reopen before February, government adviser says. Negotiations on reviving travel could stretch on for four to five months, according to government adviser’s estimate. Government steps up work on developing a health code for residents that must meet Beijing’s conditions for allowing quarantine-free travel. Reopening Hong Kong’s border with mainland China will take at least four to five months of negotiations, according to a Covid-19 adviser to the local government, which is also stepping up work on developing a health code for residents that must meet Beijing’s conditions for allowing quarantine-free travel.Professor David Hui Shu-cheong said the mainland border could only reopen to Hongkongers alongside the introduction of a health code app, adding the Innovation and Technology Bureau (ITB) was looking at requiring users to share their vaccination records and 21-day travel history.“The ITB is developing a cross-border code which needs to hold records of negative Covid tests and vaccinations, and state that the [user] is not a close contact of any confirmed case,” Hui said. The groundwork for the app, which was initially based on Covid-19 screening results, was completed last year but Hong Kong’s fourth wave of coronavirus infections ended the prospect of the border reopening and the scheme was never implemented. The inability to track Hongkongers’ movements and contact-trace any infection when they cross the border has long been a major obstacle to allowing quarantine-free travel, as the city’s health code is not linked to the mainland’s because of privacy concerns.
    Secretary for Innovation and Technology Alfred Sit Wing-hang confirmed that in preparation for the border reopening his bureau would look at how to refine the app. “We will conduct a full review to ensure more effective epidemic controls,” he said.But he did not answer any questions on whether the review would look at requiring residents to share their data with mainland authorities.Government adviser Hui, however, said that mainland authorities wanted the phone numbers required for signing up for the app to be registered under users’ real names.
    Earlier, Hui said in a television interview that his estimate for how long the border negotiations would take was based on Macau’s experience of reviving travel with the mainland.Hui, a respiratory medicine expert from Chinese University, said that authorities across the border would issue Hong Kong an action list for improving its current system of coronavirus controls, with mainland health experts likely to be sent to the city to inspect progress. “As long as we can prevent the coronavirus from entering the city from abroad, ensure there is no spread of the virus within the city and step up safety controls to the same level as China’s, then I believe we will be able to reopen the border,” he said. The government adviser added he expected a second meeting between health officials and experts from both sides after talks opened on September 26. As part of the initial discussions, Hong Kong has been asked to strengthen its epidemic controls through measures such as tightening quarantine exemption rules, as well as sharing data with the mainland.Hui added the city would also have to tighten its rules on discharging Covid-19 patients from hospital.In Hong Kong, coronavirus patients can be released if their cycle threshold (CT) value is above 33, suggesting they have a very low viral level. But that system is not used on the mainland, where patients can only be discharged after twice testing negative for the virus.“In Hong Kong’s case, we have seen that if the CT value is above 33, the body is essentially producing dead viruses and we haven’t seen any transmission from such patients,” Hui said. “But China says this standard is not recognised by the World Health Organization and does not have enough basis.”

    #Covid-19#migrant#migration#chine#hongkong#sante#circulation#frontiere#quarantaine#variant#test

  • A partir de dimanche, tous ceux qui n’ont pas reçu la troisième dose de vaccin verront leur passeport vert expiré. Deux millions d’Israéliens concernés.
    https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1630771486-israel-le-responsable-de-la-lutte-contre-le-coronavirus-appelle-a

    Le responsable de la lutte contre le coronavirus en Israël a appelé samedi à se préparer à l’administration d’une quatrième dose de vaccin contre le Covid-19.

    « Le virus est là et continuera d’être là, nous devons également nous préparer à une quatrième injection », a déclaré le Professeur Salman Zarka à la radio publique Kan.

    Selon le responsable, ce prochain rappel pourrait être modifié pour mieux se protéger contre les nouvelles variantes du virus SARS-CoV-2, telles que la souche Delta hautement infectieuse.

    « Cela va être notre vie à partir de maintenant », a-t-il prévenu, sans préciser le moment où il sera temps d’envisager une quatrième injection.

    L’Etat hébreu avait lancé fin juillet une campagne pour permettre aux personnes âgées de 60 ans et plus de se faire injecter une troisième dose de vaccin, principalement du géant pharmaceutique Pfizer/BioNTech. 

    Il a depuis progressivement abaissé l’âge minimal d’accès, et annoncé dimanche dernier étendre à tous les adultes et adolescents âgés de 12 ans et plus l’éligibilité à ce rappel afin de lutter contre une hausse des contaminations liée au variant Delta.

    Le ministère de la Santé avait annoncé la semaine dernière que le passeport vert - document attestant d’un schéma vaccinal complet ou du rétablissement de la maladie - expirerait six mois après l’injection d’une deuxième ou troisième dose de vaccin, laissant déjà entendre qu’une quatrième injection était à prévoir.

    #Israel #pass_sanitaire #vaccin #vaccins #vaccination #obligation_vaccinale #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique #france #hôpital #hôpitaux #médecine

  • Coronavirus : la Belgique a commandé des vaccins en vue d’une éventuelle quatrième dose Belga avec C.Dath
    https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_coronavirus-la-belgique-a-commande-des-vaccins-en-vue-d-une-eventuelle-q

    Le gouvernement s’attend à ce qu’il faille sans doute à nouveau vacciner massivement en 2022 et 2023 contre le coronavirus, écrivent samedi les journaux du groupe Mediahuis.

    « La Belgique est partie prenante du gros contrat de la Commission européenne pour 900 millions de doses du vaccin Pfizer », confirme un porte-parole du ministre fédéral de la Santé publique, Frank Vandenbroucke. « Nous avons réservé dans ce cadre notre part pour 2022 et 2023 afin d’être sûrs que nous pourrons alors vacciner si nécessaire ».

    La Taskforce Vaccination suit les résultats des études scientifiques et formulera le cas échéant un avis si une troisième dose ou éventuellement une quatrième dose de vaccin est recommandée pour d’autres groupes au sein de la population. Actuellement, une troisième dose est recommandée seulement pour les personnes de plus de 65 ans et les personnes souffrant de certaines pathologies.

    « Cela va devenir comme la vaccination contre la grippe, où vous ne protégez peut-être pas chaque année mais une année sur deux vos groupes à risque », estime le virologue Marc Van Ranst (KU Leuven).

    Pour le reste de la population, ce contrat va permettre de donner une troisième dose à tous les citoyens. « Il y a suffisamment de vaccins », confirme le Professeur Dirk Ramaekers, président de la taskforce opérationnalisation de la stratégie de vaccination. "Il n’est pas exclu que le schéma optimal soit le schéma à trois doses 0, un mois et + 6 mois pour le vaccin à ARN", explique Jean-Michel Dogné, expert en pharmacovigilance et membre de la Task Force vaccination.

    Mais on n’y est pas encore, contrairement à Israël qui propose une troisième dose pour les personnes de plus de 12 ans. « Ce n’est pas considéré aujourd’hui, mais ce sera considéré par le Conseil Supérieur de la Santé, par la Task Force aussi, rappelle Jean-Michel Dogné. On a vacciné la population générale plus tard que la population des groupes à risque et donc on a moins d’informations sur la perte de l’immunité dans cette population ».

    C’est à partir de janvier que les premières données concernant la population générale seront accessibles.

    #Belgique #Israel #vaccin #vaccins #vaccination #obligation_vaccinale #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique #france #hôpital #hôpitaux #médecine

    • La cinquième dose, ils y pensent déjà, gouverner c’est prévoir.

      L’essentiel, c’est de ne pas avoir investi dans les médicaments contre ce virus.
      Enfin, a part en interdire des médicaments, . . . .

  • Chine : les coupures de courant étranglent l’atelier du monde fashionnetwork
    https://fr.fashionnetwork.com/news/Chine-les-coupures-de-courant-etranglent-l-atelier-du-monde,13397

    Usines au ralenti, ouvriers qui « ne peuvent plus assurer une production normale », machines à l’arrêt : dans les usines du sud de la Chine, les coupures de courant menacent la croissance et affectent les chaînes d’approvisionnement.
Les suspensions d’approvisionnement en électricité ont déjà frappé ces derniers mois quelque 20 provinces à des degrés divers.


    L’entrée d’un site industriel à Houjie, dans la province du Guangdong, une zone touchée par les coupures d’électricité, le 30 septembre 2021 - AFP

    Les raisons ? Elles sont multiples mais principalement liées à la forte dépendance du géant asiatique au charbon, lequel assure 60% de sa production électrique. Le prix de ce charbon atteint aujourd’hui des niveaux record. Les autorités effectuent également des rationnements préventifs afin d’atteindre les objectifs environnementaux en matière de limitation des émissions polluantes. Principale victime jusqu’à présent : l’industrie. Dans la province du Guangdong (sud), parfois surnommée « l’atelier du monde » en raison de ses milliers d’usines de produits électroniques ou de textile, les coupures sont durement ressenties.

    Des machines sont mises à l’arrêt et des ouvriers doivent réduire leur heures de travail ou travailler uniquement la nuit — lorsque les restrictions sont plus souples.
     "On demande à nos sous-traitants d’avoir recours au travail de nuit ou de faire tourner leurs groupes électrogènes pour assurer la production", déclare à l’AFP Sherman Chan, directeur général adjoint d’Express Luck, un fabricant de téléviseurs basé à Shenzhen. « Mais étant donné qu’ils doivent investir des capitaux supplémentaires, nos coûts augmentent aussi. »

    Moins 40%
    Ces frais en hausse mettent à rude épreuve les chaînes d’approvisionnement, déjà sous pression avec des carnets de commande qui débordent en raison de la reprise économique en Occident. Résultat : du géant des snacks Toly Bread, jusqu’aux fournisseurs du constructeur automobile Tesla, nombre d’entreprises ont déjà annoncé des retards de production.

A Dongguan, tentaculaire ville-usine où travaillent des millions d’ouvriers, beaucoup d’employés ont dû revoir leur emploi du temps. « Hier, on a dû travailler la nuit. Et c’est pareil aujourd’hui », déplore M. Cui, manutentionnaire dans une usine de chaussures contrainte de limiter sa production. « Bien sûr qu’on n’est pas contents. Mais on s’adapte aux horaires », explique-t-il, tout en refusant de révéler son nom complet.

Dans une usine de tuyaux, Mme Xu, une employée, estime que les pannes de courant ont fait chuter la production d’environ 40% en septembre, notamment car les machines ont besoin de plusieurs heures après l’allumage avant d’être opérationnelles.
"On ne peut plus assurer une production normale", déclare-t-elle à l’AFP. Les autorités tentent de désamorcer le mécontentement populaire.

Le fournisseur public d’électricité s’est engagé mardi à garantir l’approvisionnement des zones d’habitation, une mission qualifiée de « tâche politique prioritaire ».

    Spectacle annulé 
Les autorités de Pékin ont elles présenté des coupures d’électricité dans certains petits quartiers résidentiels de la capitale comme de la « maintenance ». Et à Shanghai, la mairie a annulé le traditionnel grand spectacle son et lumière prévu jeudi soir à la veille de la fête nationale, officiellement pour des raisons de « sécurité ».

Ces coupures arrivent alors que la demande énergétique de la Chine, où l’économie a largement repris depuis le printemps 2020, dépasse désormais les niveaux pré-pandémie. Les restrictions imposées par Pékin sur les importations de charbon australien, sur fond de brouille diplomatique avec Canberra, n’aident pas.

"Les principaux coupables, c’est la pénurie mondiale d’énergie et le contrôle des prix de l’électricité par l’Etat en Chine", estime dans une note Julian Evans-Pritchard, analyste du cabinet Capital Economics. « Les prix du charbon et du gaz naturel se sont envolés partout en raison des conditions météorologiques et des ruptures dans la chaîne d’approvisionnement », souligne-t-il.

La Chine contrôle les prix de l’électricité pour les usagers, afin qu’ils ne soient pas trop élevés. La hausse du coût du charbon se répercute donc principalement sur les opérateurs des centrales électriques. Les coupures ont atteint un niveau tel qu’elles menacent désormais la croissance du pays.

Plusieurs banques internationales comme Goldman Sachs ou Nomura ont ainsi abaissé cette semaine leurs prévisions de croissance annuelle du PIB chinois.

     #énergie #nucléaire #pétrole #électricité #gaz #environnement #écologie #énergies_fossiles #politique #économie #Chine #Pénuries #Travail #Charbon #tesla #variant #zoonose #mutation #virus_arn #covid-19 #santé #pass_sanitaire #coronavirus #confinement #crise_sanitaire #vaccination #pandémie

  • Coronavirus: China wants permanent quarantine centres built for inbound travellers | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/china/politics/article/3150796/coronavirus-china-wants-permanent-quarantine-centres-built

    Coronavirus: China wants permanent quarantine centres built for inbound travellers. City governments have been told to provide 20 rooms per 10,000 people in dedicated facilities by the end of October. Guangzhou is already making the shift away from using hotels with a new facility due to open with more than 5,000 rooms

    Health authorities have ordered cities in China to build or convert facilities into permanent quarantine centres for overseas arrivals, as Beijing pushes ahead with its zero-tolerance policy on Covid-19. City governments have been told to move away from using hotels for quarantine and instead provide dedicated facilities. There should be 20 quarantine rooms per 10,000 people available by the end of October, according to National Health Commission official Cui Gang. “Centralised quarantine of inbound travellers plays a key role in preventing the spread of Covid-19 to China. Implementing quarantine measures has always been an epidemic prevention task of the utmost priority,” Cui said at a briefing on Wednesday. Large port cities that see a high number of international arrivals – and potentially Covid-19 cases – have been urged to build large-scale facilities, or “health stations”, that could be used for regular health care as well as emergency needs, Cui said.Benjamin Cowling, an epidemiologist from the University of Hong Kong, said the question was how long the government was planning to continue the current strategy and require on-arrival quarantine in China.
    “It would make sense to construct specialised facilities, and the larger the better. The suggested ratio of 20 beds for 10,000 people sounds reasonable,” Cowling said.Drones and robots will deliver meals and disinfect rooms at the Guangzhou International Health Station, according to a government document. China has banned entry to most foreigners since March 2020, with returning nationals mandated to go through at least two weeks of hotel quarantine, followed by at least one week of at-home observation. Some cities, such as Beijing, have even more stringent rules, requiring 21 days of quarantine for some cases, followed by seven days of observation.
    Cui’s comments came as the first of the large-scale quarantine facilities
    – with more than 5,000 rooms – was due to open in the southern city of Guangzhou, with a second phase also planned. The Guangzhou International Health Station will offer contactless service, with digital check-ins and health and temperature updates, and drones and robots delivering meals and disinfecting the rooms, according to a city government document.The rooms all have their own air conditioning, ventilation and sewerage systems to prevent cross-infection and the facility includes 2,000 beds for staff to live on-site, it said.But the facility is just a start for Guangzhou to meet the new requirements – the city is home to 18.68 million people, meaning it will need about 37,350 quarantine rooms.
    Leading respiratory disease expert Zhong Nanshan has said that using hotels for quarantine would not be enough to contain highly infectious strains such as the Delta variant.Almost 80 per cent of mainland China’s international arrivals enter through Guangzhou and nearby Shenzhen, so there are plans to build a similar “health station” in Shenzhen, according to Zhong. Even without such facilities, Shanghai has managed to contain outbreaks quickly and the National Health Commission and Chinese Centre for Disease Control and Prevention have called on other places to learn from its experience. Wu Jinglei, director of the city’s health commission, was invited to share tips at a briefing on Wednesday.“Speed is a very important factor in outbreak control. Shanghai has introduced a flat command hierarchy … and cross-office collaboration remains activated since the start of the pandemic. These ensure we can respond quickly to new outbreaks,” Wu said.
    China has managed to stamp out at least two Delta variant outbreaks, in Guangdong and separately in Nanjing, and remains committed to a zero-tolerance strategy, with authorities using measures like mandatory testing, stay-at-home orders and travel restrictions to contain the spread of the virus.The mass vaccination drive is also part of that strategy, with 1.05 billion out of the 1.41 billion population fully inoculated as of Tuesday, and a third shot now being administered to high-risk and vulnerable groups to boost waning immunity.Guangdong, Henan and Zhejiang provinces have all announced a booster programme for medical and frontline workers, border staff, as well as elderly people and those with underlying conditions. But the Chinese CDC has said booster shots for the general population are still being studied.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#sante#quarantaine#variant#centredequarantaine#santepublique#circulation#frontiere#territoire

  • Covid-19 : confinement prolongé pour deux semaines en Nouvelle-Calédonie
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/10/01/covid-19-confinement-prolonge-pour-deux-semaines-en-nouvelle-caledonie_60966

    Covid-19 : confinement prolongé pour deux semaines en Nouvelle-Calédonie. Longtemps épargné par l’épidémie, l’archipel est durement touché par le variant Delta, qui a fait près de 130 morts en trois semaines.
    Le confinement, en vigueur depuis le 7 septembre en Nouvelle-Calédonie, est prolongé de deux semaines, en raison d’une circulation « encore trop élevée » du coronavirus, a annoncé vendredi 1er octobre le président du gouvernement local. Louis Mapou, indépendantiste, a précisé que, jusqu’au 10 octobre inclus, l’actuel confinement strict – fermeture des écoles et des commerces non essentiels, couvre-feu de 21 heures à 5 heures, déplacements soumis à une attestation – serait maintenu. Ensuite, « si les indicateurs évoluent favorablement, des adaptations pour une reprise progressive de l’économie » seront appliquées jusqu’au 17 octobre avant une probable mise en place du passe sanitaire.
    Pendant plus de dix-huit mois, la Nouvelle-Calédonie a pu se targuer d’être une des rares terres de la planète épargnée par la pandémie de Covid-19. Cet apanage s’est effondré le 6 septembre, avec la détection de trois cas locaux du variant Delta, dont la contagiosité a eu raison de l’étanchéité du sas sanitaire aux frontières. Depuis, l’épidémie flambe. Dix personnes ont succombé à la maladie au cours des dernières vingt-quatre heures, portant à 129 le nombre total de morts depuis le début de la crise liée au variant Delta.« Quatre-vingt-seize pour cent des morts étaient non vaccinés, leur moyenne d’âge est de 71 ans et le plus jeune avait 40 ans ; 56 % sont des Kanak, 22 % des Wallisiens et Futuniens et 22 % sont issus des autres communautés », a précisé M. Mapou. Grâce au confinement, le taux d’incidence du virus, qui atteignait 1 200 pour 100 000 habitants il y a dix jours s’établit actuellement à 588, mais la crise « va encore durer de longues semaines », a averti le chef de l’exécutif collégial.En tout, 7 619 personnes ont été jusqu’à présent contaminées et 4 300 d’entre elles ont guéri.
    Alors que près de 300 patients sont hospitalisés, dont 56 en réanimation, le centre hospitalier territorial est saturé et son personnel mis à rude épreuve. A cet égard, M. Mapou a rendu hommage aux soignants et aux « moyens colossaux mobilisés par l’Etat ». Patrice Faure, haut-commissaire de la République, a annoncé qu’un « deuxième contingent de 103 soignants » de la réserve sanitaire arriverait la semaine prochaine en provenance de l’Hexagone et s’ajouterait aux 174 personnels déjà dépêchés dans l’archipel. « La solidarité nationale durera autant que nécessaire », a-t-il affirmé.Les deux responsables ont une nouvelle fois exhorté la population à se faire vacciner, dans les nombreux centres ouverts à travers le territoire. Actuellement, 34 % de la population dispose d’un schéma vaccinal complet et environ 65 % a reçu au moins une dose.

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  • Le contrôle du juteux marché des tests Covid met à l’épreuve cantons et Confédération Ludovic Rocchi/iar
    https://www.rts.ch/info/suisse/12532990-le-controle-du-juteux-marche-des-tests-covid-met-a-lepreuve-cantons-et-

    Les tests de dépistage contre le Covid-19 génèrent près de 50 millions de francs de chiffre d’affaires par semaine. Les autorités sanitaires s’avouent parfois débordées pour contenir et contrôler ce marché, comme le démontre l’affaire du laboratoire de Boudry (NE). Plusieurs cantons romands et la Confédération sont impliqués depuis de nombreux mois, a appris la RTS.

    Les autorités sanitaires de plusieurs cantons interrogés par la RTS font part des difficultés à contenir et contrôler le marché en plein boom des tests Covid, avec des zones grises réglementaires et des pressions économiques et politiques face à la nécessité des tests.


    Il existe bien sûr toute une série de lois et de règlements de base, mais la certification de la qualité des laboratoires d’analyses n’est par exemple pas obligatoire. Et, surtout, le marché des tests Covid attise les convoitises et attire de nouveaux acteurs, avec des centaines de millions de francs de chiffre d’affaires à la clé, provenant jusqu’ici principalement des caisses publiques.

    Problèmes détectés dès novembre 2020
    Le cas du laboratoire neuchâtelois de Boudry, désormais en mains de la justice, révèle la difficulté de réguler ce marché. Avant d’en arriver à l’extrémité d’une enquête pénale, ce laboratoire a fait l’objet de nombreux allers-retours entre plusieurs autorités sanitaires cantonales et fédérales, selon des informations de la RTS.

    Les autorités neuchâteloises disent avoir demandé de premiers ajustements en novembre 2020. D’autres cantons s’en sont ensuite mêlés. Grâce à des prix très attractifs, le laboratoire de Boudry a en effet décroché des contrats un peu partout en Suisse romande pour des tests rapides à l’entrée de diverses manifestations.

    Les cantons de Genève, Vaud et Fribourg ont tiré en premier la sonnette d’alarme sur les conditions de test potentiellement non conformes.

    Interdiction de pratiquer en dehors de Neuchâtel
    A la suite de ces alertes, l’autorité fédérale de référence Swissmedic a lancé une inspection et a ordonné l’arrêt de toute activité extérieure du laboratoire neuchâtelois. En plus des tests mobiles, l’établissement avait également constitué un réseau de rabatteurs de clients, avec des possibilités, par exemple, de se faire dépister dans un bureau en face de l’aéroport de Cointrin ou dans un salon de massage à Lausanne.

    Cette offre externe n’est désormais plus possible, a confirmé à la RTS Swissmedic. D’autres irrégularités ont néanmoins été dénoncées par la suite au sein même du laboratoire de Boudry. Autant d’indices qui ont mené la justice à procéder à des perquisitions et à ouvrir une enquête pénale, notamment pour soupçons de faux dans les titres concernant des certificats tant positifs que négatifs qui ne reposeraient sur aucun test réellement effectué ou sur des tests mal effectués.

    Lenteur des autorités critiquée
    De nombreux acteurs du marché critiquent le fait que le laboratoire accusé poursuive ses activités. « Les autorités tardent trop à sévir. Toute notre branche est discréditée », se plaint un concurrent. De son côté, Swissmedic dit redoubler d’efforts dans ses contrôles sur l’activité encore en cours et devoir laisser la justice faire son travail sur les événements passés.

    Mais le cas de ce laboratoire finit de mettre à l’épreuve les mécanismes de contrôle avec l’apparition d’une société dans le canton de Fribourg portant le même nom que celle de Boudry et dont la responsable scientifique est la même pour les deux sites. Et c’est la propre fille de cette personne qui a inscrit la société à son nom au registre du commerce fribourgeois.

    Situation floue à Fribourg
    En découvrant cette nouvelle société au mois d’août dernier, les autorités du canton ont d’abord ordonné sa fermeture, estimant que le laboratoire ne remplissait pas toutes les conditions, à commercer par une autorisation de Swissmedic.

    L’organe fédéral de surveillance a finalement concédé une autorisation partielle pour la réalisation de tests antigéniques. Des tests PCR sont malgré tout réalisés en sous-traitance avec le laboratoire de Boudry et le flou règne sur leur légalité. « Tout est en règle », rétorque la responsable scientifique. « Cessez de nous faire passer pour des criminels ». Elle concède toutefois qu’avec sa fille, elles ont choisi de retirer toute mention et publicité de leur société sur internet, préférant s’en tenir au bouche à oreille pour attirer des clients.

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  • En plein Covid, 5.700 lits d’hôpital ont été supprimés en 2020
    https://www.latribune.fr/economie/france/en-plein-covid-5-700-lits-d-hopital-ont-ete-supprimes-en-2020-893296.html

    « Sous l’effet des réorganisations et des restructurations », 25 établissements publics et privés ont fermé l’an dernier, relève une étude du ministère de la Santé. Alors que l’Etat a apporté un soutien au secteur avec le Ségur de la santé la même année, la baisse des capacités semble inexorable.


    Le nombre de lits de réanimation, qui a fortement varié au gré des vagues de Covid, a terminé l’année en hausse de 14,5% (soit environ 6.200). (Crédits : Reuters)

    Le Covid-19 n’a pas interrompu la réduction inexorable des capacités hospitalières. Au contraire, la crise sanitaire a en partie amplifié les fermetures de lits, et ce, malgré le soutien de l’Etat apporté au secteur. Plus de 5.700 lits d’hospitalisation complète ont ainsi été fermés en 2020 dans les établissements de santé français, qui ont créé dans le même temps, près de 1.400 places d’hospitalisation partielle, selon une étude menée par le ministère de la Santé et publiée mercredi (Drees).

    Pourtant, le gouvernement avait tenté de se montrer efficient sur les besoins du secteur médico-social, estimés à 6 milliards d’euros d’ici 2024 et 9 milliards d’euros d’ici 2030 par l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes).

    Dès l’été 2020, l’Etat s’était porté au chevet du système hospitalier avec le Ségur de la Santé, qui a abouti à une enveloppe de 8,2 milliards d’euros de revalorisation salariale ainsi que 15.000 embauches. A cela s’ajoutait la reprise de la dette hospitalière à hauteur de 13 milliards d’euros.

    Mais le déclin semble irréversible. La France compte désormais moins de 3.000 hôpitaux et cliniques. « Sous l’effet des réorganisations et des restructurations », 25 établissements publics et privés ont fermé l’an dernier, indique la Drees.

    Ces fermetures de lits, selon le syndicat FO, se poursuivent en 2021. En juin, le syndicat dénonçait la suppression de plus de 1.800 lits d’hospitalisation au premier trimestre. https://www.latribune.fr/economie/france/en-plein-covid-plus-de-1-800-lits-d-hopitaux-fermes-ou-supprimes-en-trois-

    Le nombre de lits en réanimation en hausse à la fin de l’année
    Les 2.983 structures encore ouvertes fin 2020 disposaient très exactement de 386.835 lits d’hospitalisation complète fin 2020, soit 5.758 de moins en un an - comparé au dernier bilan pour l’année 2019, publié en juillet par la même direction statistique des ministères sociaux.

    Cette baisse est « un peu plus marquée » que les années précédentes, ce qui « pourrait s’expliquer par le contexte d’épidémie », avec « de nombreuses chambres doubles transformées en chambres simples pour limiter la contagion », ainsi que des déprogrammations massives pour réaffecter les personnels soignants dans les services de soins critiques.

    Le nombre de lits de réanimation, qui a fortement varié au gré des vagues de Covid, a d’ailleurs terminé l’année en hausse de 14,5% (soit environ 6.200).

    L’hospitalisation à domicile en plein essor
    Cela n’a pas empêché la tendance de fond du « virage ambulatoire » - sur fond de « contraintes de personnel » - de se poursuivre : 1.369 places d’hospitalisation « de jour » ont été ouvertes en 2020, portant leur nombre total à 80.089.

    L’hospitalisation à domicile a dans le même temps connu une « croissance particulièrement vive » de 10,8 %, soit 21.276 patients « pouvant être pris en charge simultanément sur le territoire ».

    Ce mode de prise en charge représentait ainsi, fin 2020, « 7% des capacités totales en hospitalisation complète » hors psychiatrie, contre 2,1% en 2006.

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  • Australian Olympic swimmer Madi Wilson hospitalized with Covid in Italy By Tim Fitzsimons
    https://www.nbcnews.com/news/sports/australian-olympic-swimmer-madi-wilson-hospitalized-covid-italy-n1279654

    Wilson, 27, said her vaccination protected those around her and encouraged followers to get the shot: “Please continue to get vaccinated.”
    https://www.instagram.com/p/CT_o-RJJWXn

    Australian Olympic swimmer Madi Wilson announced that she has tested positive for Covid-19 and is hospitalized in Italy as a precaution because of “underlying chest and lung issues.”

    Wilson, who competes with the Los Angeles Current team in the International Swimming League, or ISL, wrote that she tested positive even though she is “double vaccinated and took the right precaution set in place through the ISL.”

    Wilson, who was in Naples, Italy, for an ISL competition, said she would be forced to miss the next match.

    “Covid is a serious thing and when it comes it hits very hard,” she wrote. “I’d be stupid to say I wasn’t scared.”

    Wilson guessed that she might have been more susceptible to a breakthrough Covid infection after “a crazy few months,” including the Tokyo Summer Olympic Games, had left her “run down physically and mentally.”
    #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccin #vaccins #vaccination #santé_publique #obligation_vaccinale #Australie #Italie