Gaza : Khaled Mechaal, chef en exil du Hamas, en visite historique - L’EXPRESS
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« Ceci est ma troisième naissance, après ma naissance naturelle, en 1956, et ma deuxième naissance après la tentative israélienne de m’assassiner en 1997 en Jordanie sur ordre de Netanyahu », a affirmé Khaled Mechaal, en référence au Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui exerçait ces fonctions en 1997. « J’espère que notre quatrième naissance sera la libération de la Palestine, toute la Palestine », a affirmé le chef du Hamas, évoquant la Palestine mandataire, qui couvrait Israël et les Territoires palestiniens. Aujourd’hui Gaza, demain Ramallah, et inchallah (par la grâce de Dieu), Jérusalem, Haïfa et Jaffa", a-t-il lancé au terminal de Rafah, à la frontière avec l’Egypte.
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Pourquoi la presse britannique a-t-elle tué la critique du livre ‘Tuez Khaled’ ?
►http://mounadil.blogspot.fr/2009/07/tuez-khaled-ou-la-pratique-de-la.html
jeudi, juillet 23, 2009
J’ai découvert un livre exceptionnel et des plus passionnants – une histoire politique sérieuse que l’auteur a rendue sous la forme d’un thriller à rebondissements. Au coeur de l’ouvrage, se trouve le récit de la manière dont, en 1997, les services secrets israéliens du Mossad ont tenté d’assassiner Khaled Meshaal, le chef du Hamas, en plein jour dans les rues d’Ammam en Jordanie. Sous couvert d’ouvrir une canette de coca-cola, les assassins avaient pulvérisé un poison violent dans son oreille.
Mais les agents du Mossad n’avaient pas pu s’enfuir. Les gardes du corps de Khaled [Meshaal] réussirent à en capturer deux et les autres durent se réfugier dans l’ambassade israélienne. Alors que Meshaal sombrait dans le coma, des troupes jordaniennes cernèrent l’ambassade israélienne et, après les protestations d’un roi Hussein de Jordanie furieux, Bill Clinton fit pression sur le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour qu’il tente de régler le problème.
Netanyahu avait d’abord affirmé qu’il était trop tard pour annuler les effets du poison. Mais quand Hussein ajouta la menace qu’en cas de décès de Meshaal, les agents du Mossad détenus par la Jordanie seraient tous pendus, l’antidote fut rapidement fourni. Meshaal survécut, de justesse, et le cadre de son ascension politique phénoménale était mis en place.