• Bilan de la visite de la Haut-Commissaire, de l’ONU, en Chine ?
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4314

    Depuis 2005, c’est la seule visite d’un haut responsable des droits de l’homme de l’ONU en Chine. Elle a été officiellement sollicitée en 2018, avec la flambée des alertes. Ce qui fait que les autorités ont eu le temps de préparer le terrain de travail. La déception est consommée lors de la conférence de presse le 28 mai. Les thèses de Pékin sont reprises pleinement par la haut-commissaire des droits de l’homme. Grands événements : Gigantisme de l’inattendu.

    / Chine, réforme, développement, environnement, Asie, , #Data_-_Données, économie , #Socialisme,_Amérique_Latine,_Chine,_marxisme,_égalité,_pauvreté,_justice,_sociale, diplomatie, sécurité, commerce, économie (...)

    #Grands_événements_:Gigantisme_de_l’inattendu. #Chine,_réforme,_développement,_environnement,_Asie, #économie_ #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale

  • Vote présidentiel en Colombie, la gauche en tête ce 29/5/22.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4315

    En Colombie la constitution limite au chef de l’État un mandat unique. Le président sortant Iván Duque n’est donc pas éligible. Quelques mois après les élections législatives, organisées le 13 mars dernier, l’immense pays de Pablo Escobar et du prix Nobel littéraire Gabriel Garcia Marquez, intéresse bien des chancelleries et des observateurs. La percée de la gauche planait en l’air. Elle confirme une tendance exprimée lors de dernière consultation législative qui s’est déroulée aussi dans un climat très paisible, comme ce 29 mai 2022. Grands événements : Gigantisme de l’inattendu.

    / #Socialisme,_Amérique_Latine,_Chine,_marxisme,_égalité,_pauvreté,_justice,_sociale, #chômeurs,_emploi,_social,_syndicat,_revendication,_jeunesse,_travailleurs,_chômage, diplomatie, sécurité, commerce, économie (...)

    #Grands_événements_:_Gigantisme_de_l’inattendu. #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale

  • Enfants dans l’espace public : enquête sur une disparition - URBIS le mag
    https://www.urbislemag.fr/enfants-dans-l-espace-public-enquete-sur-une-disparition-billet-642-urbis

    Où sont passés les enfants ? Dans les rues de nos villes, combien en croise-t-on, cartables sur le dos, et rentrant de l’école ? Combien sont-ils à avoir l’autorisation parentale de jouer dans la rue ? De faire quelques courses dans un magasin proche de leur domicile ? Bien peu. Et même, de moins en moins. Clément Rivière, maître de conférences en sociologie à l’université de Lille, s’est penché sur la façon dont les parents du début du 21ème siècle encadrent les pratiques de leurs enfants dans l’espace public. Récemment publié aux Presses universitaires de Lyon, son travail met en lumière les mécanismes à l’œuvre dans la fabrication des « enfants d’intérieur ». De quoi donner à réfléchir aux urbanistes et plus largement, à tous ceux qui travaillent à la conception et à l’aménagement d’espaces publics pour tous.

    #transport #territoire #ville #enfants

  • Identité numérique : prouve que tu existes
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?article1685

    La Commission européenne prépare son « portefeuille européen d’identité numérique ». Rome et Bologne adoptent le « crédit social numérique » à la chinoise. La digitalisation de l’État et son corollaire, l’identification numérique, progressent dans l’indifférence des Smartiens, à la faveur des phases aigües de la Crise (épidémie, guerre, effondrement écologique). Il aura fallu moins de vingt ans pour que se réalisent nos pires anticipations sur la société de contrainte. Pour les nouveaux venus et les nostalgiques, on a ressorti quelques archives. Te souviens-tu de Libertys ? (Pour lire le texte, ouvrir le document ci-dessous.)

    Lire aussi : – Libertys – Carte d’identité électronique : ce n’est pas du canular – Aujourd’hui le nanomonde #10 – Après l’occupation de la CNIL – Au doigt et à l’œil (...)

    #Nécrotechnologies
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/prouve_que_tu_existes.pdf

  • Les sujets officiellement anti-sociaux et anti-écologiques du Bac 2022, ça tourne en ce moment, ça a bien l’air vrai. Quand même ouf.

    https://www.leparisien.fr/etudiant/examens/bac/bac-2022-le-sujet-de-sciences-economiques-et-sociales-specialite-jeudi-QM

    Question 2 (3 points)

    À partir d’un exemple, vous montrerez que l’innovation peut aider à reculer les limites écologiques de la croissance.

    Question 3 (3 points)

    À l’aide d’un exemple, vous montrerez que l’action des pouvoirs publics en faveur de la justice sociale peut produire des effets pervers.

    #éducation #bac #écologie #croissance #capitalisme #social #anti-social #libéralisme #pourriture #vomi

  • Arrestation en Espagne du blogueur ukrainien prorusse Anatoli Chariï
    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/arrestation-en-espagne-du-blogueur-ukrainien-prorusse-anatoli-charii-202205

    Réclamé par Kiev pour « haute trahison », le blogueur ukrainien prorusse Anatoli Chariï, célèbre dans son pays, a été arrêté mercredi dans le nord-est de l’Espagne, a appris l’AFP jeudi 5 mai auprès de la police espagnole.

    « Il a été arrêté hier (dans la province de) Tarragone par des agents de la police nationale sur la base d’un mandat d’arrêt international », ont déclaré à l’AFP des sources policières. Entendu jeudi à Madrid par un juge d’instruction de l’Audience nationale, haut tribunal chargé notamment des procédures d’extradition, Anatoli Chariï a été mis « en liberté provisoire » mais avec des mesures de contrôle judiciaire, a indiqué ce tribunal.

    « Délits de haute trahison et incitation à la haine »

    Le blogueur a interdiction de quitter le territoire espagnol, son passeport lui a été retiré et il devra pointer deux fois par mois dans un tribunal, a-t-il précisé. Les autorités ukrainiennes, qui qualifient Anatoli Chariï de « propagandiste », réclament son extradition pour des « délits de haute trahison et incitation à la haine », selon l’Audience nationale. Anatoli Chariï compte près de trois millions d’abonnés sur son compte YouTube, et possède également un site d’information, baptisé sharij.net.

    Le blogueur a commencé sa carrière comme journaliste d’investigation en Ukraine, ce qui lui a valu des menaces. En juillet 2011, des inconnus avaient ouvert le feu sur la voiture dans laquelle il se trouvait à Kiev. Il avait ensuite quitté l’Ukraine en 2012 par crainte de poursuites judiciaires, qu’il dénonce comme montées de toutes pièces. L’asile politique qu’il avait obtenu en 2012 en Lituanie a été révoqué en 2021. Affichant des opinions de plus en plus prorusses à partir de 2014, Anatoli Chariï se montre critique envers le mouvement du Maïdan, qui a permis l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement pro-occidental à Kiev, et envers la guerre contre les séparatistes prorusses dans la région du Donbass commencée cette même année.

    J’aime l’#Ukraine ! socialistes(espagnols, qui ont déjà trahiles Sahraouis) #socialtraitres #espagne

  • Le #socialisme ne peut arriver qu’à #Vélo
    http://carfree.fr/index.php/2022/04/14/le-socialisme-ne-peut-arriver-qua-velo

    La phrase qui donne le titre à cet article n’est pas d’Anne Hidalgo, mais de José Antonio Viera-Gallo, juriste et homme politique chilien né en 1943. Viera-Gallo a été sous-secrétaire Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Destruction_de_la_planète #Fin_de_l'automobile #capitalisme #critique #économie #histoire #ivan_illich #société

  • Pendant ce temps, au Chili ...

    La Convention constitutionnelle tente de renforcer les droits de la nature face aux intérêts privés. Carolina Vilches, géographe et militante pour le droit à l’eau, siège dans la commission sur l’environnement. Elle explique les résistances qu’elle rencontre.

    par Mathieu Dejean / Mediapart

    Nous travaillons de la manière la plus ouverte possible, en essayant d’articuler les forces politiques et les mouvements sociaux qui cohabitent dans la Convention. C’est important de comprendre que ce processus est inédit. Nous avons réussi à faire en sorte que les mouvements sociaux débattent à égalité avec les partis politiques, et ça prend du temps, car ils n’avaient jamais eu d’espace de discussion pour arriver au consensus auparavant. Cette Convention est pensée pour qu’aucune force ne puisse s’imposer aux autres. C’est pourquoi il faut un quorum très majoritaire [des deux tiers de l’assemblée plénière – ndlr] pour valider une norme. La possibilité de reconstruire les normes tous ensemble permet d’arriver au consensus.
    [...]
    De manière générale, les médias de masse ont été très superficiels et confus. Les discours qu’ils ont tenus sur la validation des normes correspondent à une construction erronée de ce qui se passe en réalité. Par exemple, quand la commission parlait de mettre en place des autorisations pour l’usage de l’eau, les médias disaient que la Convention voulait exproprier les petits paysans et priver l’agriculture familiale paysanne d’accès à l’eau. En cela, ils ne faisaient que répéter les mots du patronat.
    [...]

    La nouvelle Constitution doit être approuvée le 4 septembre. N’est-ce pas court comme délai, pour un travail aussi ambitieux ?

    Sans doute, le délai est court. Les temps de la Convention sont dignes de marathons. Le 5 juillet, le brouillon de la Convention doit être entre les mains du président du Chili. Mais même si c’est court, nous sommes 154 – moins une trentaine – déterminés à mettre toutes nos connaissances et nos compétences pour respecter les délais et remplir le mandat populaire confié par les communautés à travers le Chili.

    L’arrivée de Gabriel Boric au pouvoir, et celle de Maisa Rojas au ministère de l’environnement, ont-ils changé quelque chose pour vous ?

    Je pense qu’il est encore trop tôt pour évaluer les changements provoqués par l’arrivée de Boric. La Convention est un organe autonome. C’est une conquête du peuple chilien. Et pas nécessairement d’une administration gouvernementale, même si, en l’occurrence, nous savons que nous pouvons compter sur le soutien de celle-ci.

    https://www.mediapart.fr/journal/international/120422/le-difficile-chemin-du-chili-vers-une-constitution-ecologique

  • La #théorie de la justification de #système

    « Théorie qui permet de mieux comprendre pourquoi les gens peuvent parfois avoir des affinités politiques contraire à leurs intérêts.

    Cette théorie explore nos affinités idéologiques sous l’angle des #besoins #psychologiques et des motivations émergentes. Ce ne sont donc pas ici nos intérêts qui détermineront nos affinités, mais bien nos besoins #psy, eux-mêmes orientés par la situation.

    Les chercheurs ont effet pu observer que plus les individus et groupes se sentiront menacés (par une crise type Covid par exemple), que leurs besoins seront sapés, plus ils seront potentiellement motivés à vouloir résister à tout changement #social.

    La motivation de justification de système est donc une motivation défensive.

    Non pas parce qu’ils en tirent un intérêt matériel, mais bien parce qu’il y a recherche de stabilité, de familiarité, de contrôlabilité.

    cette motivation favorisera les autorités en place et/ou les idéologies politiques conservatrice ou réactionnaire (et défavoriseront les idéologies progressistes de gauche qui ont pour caractéristique de prôner plutôt un changement social inédit). »

    https://www.hacking-social.com/2022/04/08/la-theorie-de-la-justification-de-systeme

    Ce n’est qu’une théorie mais je suis littéralement submergé par des proches qui votent contre leurs intérêts...
    C’est la 1ère fois que j’ai une piste d’explication.

  • Le Piège identitaire - Mon blog sur l’écologie politique
    https://blog.ecologie-politique.eu/post/Le-Piege-identitaire

    un ouvrage critique des tendances de la gauche à servir les besoins de reconnaissance des minorités tout en abandonnant toute prétention à lutter contre l’organisation socio-économique qui permet l’exploitation des travailleurs et travailleuses. Résumé comme ça, le livre semble rejoindre le lot de ces nombreuses imprécations moqueuses et convenues contre les « racialisateurs », les féministes post-modernes ou les poses de la bourgeoisie de gauche dans l’espace public. Mais l’exercice est bien plus subtil et cette publication, traduite et légèrement adaptée au contexte français de 2022 par Patrick Marcolini (1), est une réussite. Car il ne s’agit pas pour l’auteur de déclarer la nullité des demandes des groupes sociaux minorisés (femmes, personnes non blanches, LGBT, etc.) mais de les articuler à une critique sociale plus large et vigoureuse, celle d’un capitalisme en roue libre, qui ne rencontre plus guère d’opposition dans les sociétés européennes.

    […]

    Mais, contrairement à la vieille gauche avec ses fronts tellement secondaires qu’ils sont à vrai dire sommés de disparaître, Bernabé refuse de jouer la lutte des classes contre les luttes pour la reconnaissance, tant le symbolique et le matériel sont imbriqués : il est « difficile de séparer les questions de représentation et de redistribution, parce que les discriminations fondées sur le genre, la couleur de peau, l’orientation sexuelle sont fréquemment liées à l’exploitation économique » et à des violences bien matérielles. Parmi les activistes de la « diversité », il en crédite certain·es qui réussissent cette articulation (c’est possible, je citais ici quelques chantiers féministes qui ont pris à bras le corps ces questions), sans perdre trop de temps à conspuer les autres. Car dans l’impasse actuelle, il n’identifie pas seulement l’impuissance de la gauche à remettre en cause un ordre économique toujours plus dur et inégalitaire. Il s’inquiète surtout d’une montée du fascisme qui profite de chaque posture aux accents moralisateurs et bienveillante envers les minorités pour faire polémique et se poser en défense de la majorité opprimée ou en seule critique libre du « système » : « Le pire est que la plupart des gens ne perçoivent pas cette instrumentalisation hypocrite de la diversité. Ils y voient juste de la discrimination positive, ce qui finit par se retourner contre les groupes minoritaires eux-mêmes ». Tout en donnant à l’extrême droite une image subversive. Le peuple de gauche, coincé dans l’ornière néolibérale, ne semble avoir pour seule alternative que l’indignation.

    #recension #identité #social #politique #Daniel_Bernabé #Aude_Vidal

    • cf. aussi : https://consortiumnews.com/2022/03/28/chris-hedges-on-being-disappeared

      #censure #youtube #social_media #extinction

      [...]

      I received no inquiry or notice from YouTube. I vanished. In totalitarian systems you exist, then you don’t. I suppose this was done in the name of censoring Russian propaganda, although I have a hard time seeing how a detailed discussion of “Ulysses” or the biographies of Susan Sontag and J. Robert Oppenheimer had any connection in the eyes of the most obtuse censors in Silicon Valley with Vladimir Putin. Indeed, there is not one show that dealt with Russia.

      I was on RT because, as a vocal critic of U.S. imperialism and militarism and, of the corporate control of the two ruling parties, and especially because I support the Boycott, Divestment and Sanctions movement against Israel, I was blacklisted.

      I was on RT for the same reason the dissident Vaclav Havel, who I knew, was on Voice of America during the communist regime in Czechoslovakia. It was that or not be heard. Havel had no more love for the policies of Washington than I have for those of Moscow.

      [...]

  • Die Bosse schlugen zurück – Mitterand und der »Sozialismus in 100 Tagen« 
    https://www.marx21.de/mitterand-frankreich-sozialismus-bosse-schlugen-zurueck

    On risque d’oublier qu’on a vu plusieurs moments dans l’histoire européenne depuis 1945 quand le socialisme a failli gagner contre ses adversaires et transformer le continent. La Grèce et l’Italie l’ont vu immédiatement aprè la guerre, le Portugal s’en est approché lors de la révolution des oeillets en 1974, et la France a commencé sa transformation socialiste en 1981 avec l’élection de François Mitterand. A chaque fois les partis socialistes et communistes ont brisé le mouvement révolutionnaire en plein essor. 40 ans après cet article décrit les forces qui ont mis fin au mesures révolutionnaires sous le président Mittérand.

    10.05.2021 - Die Präsidentschaft von François Mitterand in Frankreich startete 1981 mit einem radikalen linken Aufbruch und endete in einer neoliberalen Katastrophe. Luigi Wolf und Lev Lhommeau über die Gründe des Niedergangs und die Lehren für heute

    Am Abend des 10. Mai 1981 tanzen Hunderttausende auf den Straßen von Paris und im ganzen Land. Viele Geschichten gibt es über diese Nacht: etwa die der U-Bahn-Fahrer, die die ganze Nacht abwechselnd die Internationale und die Marseillaise über ihre Lautsprecheranlage laufen lassen. Der Grund für die Freude war die Wahl François Mitterands von der Parti Socialiste (PS) zum Präsidenten. Er versprach, den »Sozialismus in 100 Tagen« einzuführen. Immer wieder betonte Mitterand gegenüber der eigenen Partei und der Öffentlichkeit, dass es nicht um eine »Verwaltung« und »Regulierung« des Kapitalismus gehe. »Das wichtige ist, dass das Eigentum den Besitzer wechselt«. Radikaler sprach wohl kein anderer Präsident oder Regierungschef Europas: »Ich glaube, wie Lenin, dass jeder fundamentale Wandel durch eine Eroberung der Staatsmacht möglich ist«.
    Weitreichende Reformen

    Und tatsächlich hielt die Regierung Wort und setzte im ersten Jahr eine Reihe sehr weitreichender Reformen um. Es wurde die fünfte bezahlte Urlaubswoche eingeführt und die Regelarbeitszeit bei vollem Lohnausgleich von 40 auf 39 Stunden verkürzt – mit dem Ziel diese innerhalb der Regierungszeit auf 35 Stunden zu senken. Die staatlichen Löhne, Renten und Arbeitslosenunterstützung wurden um 10 bis 25 Prozent erhöht. Innerhalb eines Jahres wurden wesentliche Industrieunternehmen und der Bankensektor verstaatlicht, so dass der Anteil der staatlichen Unternehmen am Bruttoinlandsprodukt (BIP) innerhalb eines Jahres von 11 Prozent auf 17 Prozent anstieg.

    Der Staat kontrollierte nun 95 Prozent des Kredit- und Bankwesens, den Großteil der Schwerindustrie und auch 75 Prozent der Textilindustrie. Im staatlichen Sektor wurden 200.000 Stellen geschaffen und dazu noch einmal einige Zehntausend im staatlich subventionierten Vereinswesen. Außerdem wurde die Rente mit 60 durchgesetzt, ein großes Programm für die Erneuerung des sozialen Wohnungsbaus aufgelegt, die Todesstrafe abgeschafft und ein Ministerium für die Gleichstellung der Frau errichtet. Nach sechs Monaten erklärten 57 Prozent der Bevölkerung, sie hätten das Gefühl, einem Wechsel der Gesellschaftsordnung beizuwohnen.
    Dramatische Wende von Mitterand

    Fünf Jahre danach Katzenjammer: Die Linke verliert die Parlamentswahlen 1986. Der rechtsradikale Front National zieht erstmals mit 35 Abgeordneten in Fraktionsstärke in die Nationalversammlung ein. Der Grund für die Niederlage war, dass Mitterands Partei 1983 einen fundamentalen Politikwechsel vollzog – vom »französischen Sozialismus« zur Spar- und Kürzungspolitik. Seitdem hatte die Linke an der Regierung viele unpopuläre Maßnahmen durchgesetzt. Innerhalb weniger Jahre stand sie einem massiven Abbau der staatlichen Beschäftigung vor. Die Arbeitslosigkeit stieg bis zum März 1986 von 1,7 Millionen (Mai 1981) auf 2,6 Millionen – auf eine der damals höchsten Quoten in Europa. Dazu kamen ab 1983 unzählige Sparprogramme. Gleichzeitig wurden die Unternehmen entlastet.

    Der Ökonom Alain Cotta errechnete, dass allein durch die Entkoppelung der automatischen Lohnangleichung von der Inflation den Unternehmen 230 Milliarden Francs geschenkt wurden. Der rechte Politiker Alain Juppé, späterer Architekt der Reformen, die zu den Massenstreiks im Dezember 1995 führten, erklärte vor den Wahlen 1986 zusammenfassend: »Die Sozialisten helfen uns bei unserer Arbeit. Sie machen die Säuberungen, die wir niemals hätten tun können.«
    Gründe für die neoliberale Wende

    Wie konnte es so weit kommen? Was hat dazu geführt, dass eine Regierung, die mit radikal-linker Politik begann, so rechts endete? Dies soll dieser Artikel erörtern. Der Ausgangspunkt muss dabei die Wirtschaftspolitik der sozialistischen Regierung sein. Auf diesem Feld wurde ab Juni 1982 eine »Reformpause« und schließlich ab März 1983 die Wende zur Sparpolitik eingeleitet. Im Kern des Regierungsprogrammes stand ein keynesianisch inspiriertes Wirtschaftsprogramm. Mit Hilfe eines massiven Investitions- und Konsumprogrammes sollte die Konjunktur angekurbelt werden. Der Wissenschaftsetat wurde um 500 Prozent gesteigert, der Kulturetat um 101 Prozent. Ein riesiges Bauprogramm wurde aufgelegt und die Steigerung von Löhnen und Renten summierten sich zu einem Programm, das etwa einem Prozent des BIP entsprach.

    Dieser Politik stellten sich allerdings schnell Hindernisse entgegen. Die Weltwirtschaft befand sich ab 1981 auf dem Weg in eine weltweite Rezession. Während französische Waren deswegen auf dem Weltmarkt schwerer Absatz fanden, konnten ausländische Unternehmen die gestiegene Nachfrage in Frankreich zum Verkauf ihrer Waren nutzen. Dazu kam eine massive Kapitalflucht aus Frankreich. Schon zwischen dem Wahltag am 10 Mai 1981 und der Amtseinführung von Francois Mitterand »verließen« 6 Milliarden Franc das Land. In der Folge verschärfte sich dieser Trend. Unternehmen und private Kapitalbesitzer investierten nicht mehr in Frankreich, sondern legten ihr Kapital im Ausland zu höheren Zinsen an. Die Kapitalströme aus dem Land raus führten dazu, dass der Kurs des Franc sank. Frankreich war aber durch den Europäischen Währungsvertrag gezwungen, den Kurs des Franc in einem gewissen Maß stabil zu halten. Die Zentralbank musste innerhalb kürzester Zeit fast ihre gesamten Reserven aufbrauchen, um Franc zu kaufen und so den Kurs zu stabilisieren.
    Die Politik des Kapitals

    Die Handelsbilanz Frankreichs kletterte auf Minus 93 Milliarden Franc. Allein mit dem wichtigsten Handelspartner Deutschland stieg das Defizit von 1980 auf 1981 um 34 Prozent, 1982 (im Vergleich zum Jahr 1980) sogar um 80 Prozent. Die Kapitalflüsse einerseits und das Handelsdefizit andererseits sind aber keine Naturgewalten. Sie waren das Resultat bewusster Politik seitens des Kapitals. Es war eine bewusste Entscheidung der großen privaten Kapitalgruppen, nicht weiter zu investieren und stattdessen lieber ihr Kapital im Ausland anzulegen. Grundsätzlich waren in der Problemlage zwei Lösungswege möglich.

    Der eine bestand darin, das gesamte keynesianische Programm aufzugeben und ebenfalls, wie es die anderen Staaten in der Rezession taten, die Staatsausgaben zu senken und in Kombination mit Lohnkürzungen die Wettbewerbsfähigkeit des französischen Kapitals wieder herzustellen und auf die Wiederaufnahme privater Investitionen zu hoffen. Dies war der Weg, den die französischen Sozialisten wählten. Ab Juni 1982 wurden Löhne und Gehälter eingefroren und ab März 1983 wurden die Staatsausgaben massiv gekürzt. Das Ausmaß der Kürzungen übertraf dabei weit das Ausmaß des vorherigen Konjunkturprogrammes. Während das Konjunturprogramm ein Volumen von 1 Prozent des BIP betrug, summierten sich die Gesamtkürzungen der Staatsausgaben auf zwei Prozent des BIPs. War einmal die Wettbewerbsfähigkeit der französischen Wirtschaft zum Hauptziel erklärt, wurden diesem alle anderen Politikbereiche untergeordnet.
    Es gab Alternativen für Mitterand

    Demgegenüber hätte es einen anderen Weg gegeben. Dieser wurde von den französischen Sozialisten im Vorfeld der Wahl lang diskutiert. In der Diskussion waren einerseits Schutzzölle – also der Schutz französischer Produkte vor ausländischer Konkurrenz. Andererseits war in der PS auch ein Ausstieg aus dem Europäischen Währungssystem mit einer Abwertung des Franc und der Einführung von Kapitalverkehrskontrollen diskutiert worden. Des Weiteren hätte durch weitere Verstaatlichung die Verfügungsgewalt des Kapitals über Geldkapital und Investitionsentscheidungen zunehmend eingeschränkt und schließlich gebrochen werden können.

    Hierzu hatte die PS bereits im Jahr 1979 ein Konzept verabschiedet, das es ermöglichen sollte, Nationalisierungen zu erzwingen, wenn die Mehrheit der Arbeiter eines Unternehmens dies in einem Referendum beschließen würde. Ausgangspunkt hätte dabei die Stärkung der Betriebskomitees sein können, die den 110 Wahlversprechen Mitterands entsprechend ein Vetorecht bei Entlassungen und Betriebsschließungen erhalten sollten. Sukzessive hätte so die Macht des Kapitals gebrochen werden können. Dies hätte eine direkte Mobilisierung der Bevölkerung benötigt. Die Voraussetzungen dafür existierten. Obwohl sie massiv polarisierte, hatte die Regierung für jede der kontroversen Maßnahmen den klaren Rückhalt der Bevölkerung. So unterstützten 59 Prozent die Verstaatlichung der Banken, 56 Prozent die der industriellen Unternehmen und 55 Prozent hielten die Verstaatlichungen für unumkehrbar.
    Arbeiterbewegung und soziale Kämpfe

    Der Weg der Mobilisierung der Bevölkerung gegen das Kapital wurde nie getestet. Im Gegenteil: Das neue Arbeitsgesetz wurde sogar noch zu den Versprechungen der 110 Forderungen Mitterands abgeschwächt, so dass das Vetorecht bei Entlassungen und Betriebsschließungen gestrichen wurde und die Betriebskomitees nur unwesentlich gestärkt wurden – von den Möglichkeiten der Verstaatlichungen durch Referendum ganz zu schweigen.

    Ob es den Sozialisten gelungen wäre, die Auseinandersetzung mit dem Kapital zu gewinnen, ist eine andere Frage. Denn die Wahl im Mai 1981 war nicht von einem allgemeinen Aufschwung sozialer Kämpfe begleitet gewesen. Vielmehr wurde die Arbeiterbewegung in den Jahren vor 1981 schwächer. Die Mitgliedszahlen der Gewerkschaften brachen ab 1977 ein. Sowohl die Kommunistische Partei (PCF) als auch PS verloren Mitglieder und die Anzahl der Streiks nahm dramatisch ab. Wurden 1976 noch 5,01 Millionen Streiktage registriert, so sank diese Zahl auf 1,49 Millionen im Jahr 1981 (1977: 3,66; 1978: 2,20; 1979: 3,65; 1980: 1,67). 1979 kam es zu einem großen Kampf um die Stahlindustrie in der Lorraine, der für dieses Jahr die Streikzahlen in die Höhe riss. Der Kampf der Stahlarbeiter, intensiv von der lokalen Bevölkerung unterstützt und begleitet von einer Solidaritätsbewegung im ganzen Land, ging verloren und hatte eine demoralisierende Wirkung auf die gesamte Arbeiterbewegung.
    Passive Unterstützung statt Selbstaktivität

    Dies führte dazu, dass es anders als sich viele Linke in PS und PCF erhofften, keine spontane Bewegung der Arbeiter nach dem Wahlsieg entfaltete. Die Arbeiter freuten sich zwar über den Sieg der Linken und hofften darauf, dass diese eine gute Politik für sie erreichte. Hier hätten PS und PCF einhaken und versuchen müssen, die passive Unterstützung in Selbstaktivität zu verwandeln. Trotz der schwierigen Ausgangslage hätte dies den Sozialisten die Möglichkeit eröffnet, ihr Programm durchzusetzen und tatsächlich dem Sozialismus einen Schritt näher zu kommen.

    Die Gründe für das Versäumnis, die Bevölkerung zu mobilisieren sind im Politikverständnis der Sozialisten zu suchen. Der französische Sozialismus vereinte eine radikale Rhetorik etwa des »Bruches mit dem Kapitalismus« mit einer Vorstellung, dass die sozialistische Wirtschaftspolitik die Beste sei, um auch die Interessen der französischen Unternehmer zu wahren. Das sahen die Unternehmer aber anders. Als nun die Umsetzung des Programms auf harten Widerstand von Seiten des Kapitals stieß und die Gesellschaft sich polarisierte, waren die französischen Sozialisten nicht darauf vorbereitet. Das führte innerhalb kurzer Zeit dazu, dass die Regierung auf Unternehmerkurs einschwenkte.
    Fehlende Demokratie

    Diese programmatische Entwicklung konnte auch deswegen so leicht vonstattengehen, weil die Sozialisten ihre ganze Kraft auf einen Sieg bei den Präsidentschaftswahlen gelegt hatten. Diese Konzentration prägte auch während der Regierungszeit die politische Kultur der PS. Die französische Verfassung der V. Republik etabliert den Präsidenten als zentrale Machtinstanz. Dieser wurde damals auf siebe Jahre gewählt und setzte die Regierung ein und konnte sie jederzeit umbilden und eine neue einsetzen – was unter Mitterand auch mehrmals geschah.

    Entscheidend für die Politik waren die Beraterteams des Präsidenten. An nächster Stelle dieser Hierarchie kamen die Minister, die verschiedene Strömungen in der Partei angehörten. Wichtige Entscheidungen – etwa die radikale Wende zur Austeritätspolitik, fällte Mitterand allein. Die Fraktion der PS im Parlament spielte eine untergeordnete Rolle. Sie hatte auf 285 Abgeordnete nur 17 Mitarbeiter und 12 Sekretärinnen. Oft wurde sie nur kurz vor Abstimmungen von der Regierung über den Inhalt von Initiativen informiert.

    Noch schlimmer verhielt es sich bei der Partei. Ein Parteilinker witztelte, dass sie »wegen Regierungsbeteiligung vorübergehend geschlossen« sei. Zur »Reformpause« äußerte sich das Führungsgremium erst zwei Monate nach seiner Verkündung und die Wende zur Austeritätspolitik wurde erst nach drei Monaten von der Partei kommentiert. Anstatt die Politik in demokratischer Weise zu bestimmen, verkam die PS zum Anhängsel der Regierung – schlechte Voraussetzungen, um einen Kampf mit dem Kapital in der Gesellschaft auszufechten.

    #Franc #socialisme #histoire #politique #parti_socialiste #néolibéralisme #capitalisme

    • propre lien:

      https://www.heise.de/tp/features/Querschlaeger-Querdenker-Querfront-6342176.html

      [...]

      Norbert Wohlfahrt: In der Tat sprechen die Neurechten davon, Marx, Lenin, Gramsci und Luxemburg für ihre Überlegungen nutzen zu wollen und sie für das, was sie Metapolitik nennen, einzuspannen.

      In meinem Buch zeige ich an verschiedenen Beispielen, dass die Neurechten sich bei den linken Theoretikern Versatzstücke herausgreifen, von denen sie meinen, dass sie damit ihre Sehnsucht nach einer wirklichen, nicht durch wirtschaftliche Einflüsse verschmutzten Volksgemeinschaft unterfüttern können.

      Aus der Kritik von Marx an einer Nutzung der Arbeitskraft im Kapitalismus, die diese ausschließlich am Maßstab der Rentabilität misst, wird bei den Neurechten ein die Gemeinschaftlichkeit des Zusammenwirkens von Kapital und Arbeit störender Prozess sinnloser Arbeitsverausgabung.

      Wenn Rosa Luxemburg den Parlamentarismus der Sozialdemokratie kritisiert, weil sie die Arbeiterbewegung nicht auf ihre repräsentative Vertretung festgelegt wissen will, dann machen die Neurechten daraus – kurioserweise – ein Plädoyer für die Ergänzung der AfD durch Querdenker und Pegida.

      Der Bezug auf linke Theoretiker ist an deren theoretischen Resultaten vollkommen desinteressiert, sie interessieren nur als Bezugspunkte für einen antikapitalistischen Gestus, mit dem die Neurechten ihre Kritik an einer liberalen Entartung und individualistischen Verseuchung der Volksgemeinschaft unterfüttern wollen.

      [...]

      #droite #socialisme #théorie #imitation #décalque

  • Lakhdar Bentobbal, le combattant algérien qui rêvait d’une révolution agraire
    https://orientxxi.info/lu-vu-entendu/lakhdar-bentobbal-le-combattant-algerien-qui-revait-d-une-revolution-agr

    Lakdar Bentobbal est un nom ignoré des Algériens d’aujourd’hui. Il fut pourtant en 1956-1957 un chef tout-puissant des maquis du Nord constantinois avant de devenir le troisième personnage du stratégique Comité de guerre avec Krim Belkacem et Abdelhamid Boussouf, pour disparaitre de la vie politique du pays après l’indépendance. C’est le seul des grands acteurs de la révolution algérienne à s’être entretenu durant cinq ans, entre 1980 et 1985, avec Daho Djerbal, alors jeune historien en quête de témoignages des héros de l’époque, et d’un de ses proches, Mahfoud Bennoun, disparu en 2004. Le livre devait être publié en 1985, mais pendant près de quarante ans, sa publication a été bloquée.

    #révolution_agraire #Lakdar_Bentobbal #évian #décolonisation #socialisme_agraire #algérie

  • #Frantz_Fanon

    Le nom de Frantz Fanon (1925-1961), écrivain, psychiatre et penseur révolutionnaire martiniquais, est indissociable de la #guerre_d’indépendance algérienne et des #luttes_anticoloniales du XXe siècle. Mais qui était vraiment cet homme au destin fulgurant ?
    Nous le découvrons ici à Rome, en août 1961, lors de sa légendaire et mystérieuse rencontre avec Jean-Paul Sartre, qui a accepté de préfacer Les Damnés de la terre, son explosif essai à valeur de manifeste anticolonialiste. Ces trois jours sont d’une intensité dramatique toute particulière : alors que les pays africains accèdent souvent douloureusement à l’indépendance et que se joue le sort de l’Algérie, Fanon, gravement malade, raconte sa vie et ses combats, déplie ses idées, porte la contradiction au célèbre philosophe, accompagné de #Simone_de_Beauvoir et de #Claude_Lanzmann. Fanon et Sartre, c’est la rencontre de deux géants, de deux mondes, de deux couleurs de peau, de deux formes d’engagement. Mais la vérité de l’un est-elle exactement celle de l’autre, sur fond d’amitié et de trahison possible ?
    Ce roman graphique se donne à lire non seulement comme la biographie intellectuelle et politique de Frantz Fanon mais aussi comme une introduction originale à son œuvre, plus actuelle et décisive que jamais.

    https://www.editionsladecouverte.fr/frantz_fanon-9782707198907

    #BD #bande_dessinée #livre

    #indépendance #Algérie #Organisation_armée_secrète (#OAS) #décolonisation #biographie #colonisation #France #souffrance_psychique #syndrome_nord-africain #violence #bicots #violence_coloniale #lutte_armée #agressivité #domination #contre-violence #violence_politique #violence_pulsionnelle #Jean-Paul_Sartre #Sartre #socialthérapie #club_thérapeutique_de_Saint-Alban #François_Tosquelles #Saint-Alban #Septfonds #narcothérapie #négritude #école_d'Alger #Blida #primitivisme #psychiatrie_coloniale #insulinothérapie #cure_de_Sakel #sismothérapie #choc #autonomie #révolution #Consciences_Maghrébines #André_Mandouze #Amitiés_Algériennes #Wilaya #Association_de_la_jeunesse_algérienne_pour_l'action_sociale (#AJASS) #Alice_Cherki #maquis #montagne_de_Chréa #torture #attentats #ALN #FLN #El_Moudjahid #congrès_de_la_Soummam #pacification_coloniale #Septième_Wilaya #massacre_de_Melouze #opération_Bleuite #histoire

  • « C’est vrai qu’il est agaçant Bruno Latour, mais… » Tribune de Paul Guillibert

    https://www.nouvelobs.com/idees/20211025.OBS50251/c-est-vrai-qu-il-est-agacant-bruno-latour-mais.html

    Anticapitalistes contre penseurs écolos : l’économiste Frédéric Lordon a ranimé la controverse en s’attaquant à Bruno Latour, « pleurnicheur du vivant ». Le philosophe Paul Guillibert répond : la question climatique est aussi une question sociale.

    • C’est vrai qu’il est agaçant Latour quand on est marxiste. Prenez Kyoto par exemple. Dans « Politiques de la nature », il s’enthousiasmait de la présence à la même table de grands scientifiques du climat, de dirigeants politiques et d’entrepreneurs capitalistes. Il y avait déjà là de quoi s’inquiéter. 25 ans après, les résultats accomplis par les marchés carbone dans la lutte contre le changement climatique sont catastrophiques. Entre 1995 et 2020, de COP3 en COP24, les émissions de CO2 mondiales ont augmenté de plus de 60 %. Belle réussite. Mais que pouvait-on attendre d’accords passés sans les principaux concernés, les syndicats et les travailleur·se·s ? Latour n’a pas vu que la transition vers une économie bas carbone implique non seulement l’usage de nouvelles techniques mais surtout la transformation radicale des procès de travail, l’abandon des secteurs les plus polluants, la réduction massive de l’extraction et de la production mondiales. Comment tout cela pourrait-il arriver sans celles et ceux qui produisent pour le profit des autres ?

      Latour a donc contribué (parmi d’autres) à vider l’écologie politique contemporaine des relations de travail qui structurent la crise climatique. Il a participé à la création d’un champ académique, artistique et politique où la conflictualité inhérente aux rapports économiques n’existe tout simplement pas. La manière dont les gens vivent, en dépensant une certaine force de travail pour effectuer des tâches - payées ou non - afin d’assurer leur condition de subsistance, n’a plus aucune place. La disparition des classes, de l’économie, du travail et de la production dans la pensée contemporaine est une belle claque à l’histoire du mouvement ouvrier et à la vie quotidienne.

      [...] Il est temps d’abandonner les vieilles oppositions mal construites à « la critique rongeuse des souris ». La reproduction des conditions matérielles de l’existence humaine engage des vivants autres qu’humains.

      #travail #écologie_politique #syndicat #travailleurs #reproduction #communisme #intellectuels

      comme Paul Guillibert cite « Nous ne sommes pas seuls. Politique des soulèvements terrestres » https://seenthis.net/messages/925337, autant évoquer, avec Jason Moore et d’autres, un concept dont il ne fait pas usage, celui de #mise_au_travail_du_vivant

      Pour ceux qui seraient dans le coin, une rencontre avec Paul Guillibert à propos de son livre Terre et Capital. Penser la destruction de la nature à l’âge des catastrophes globales aura lieu à l’invitation du café librairie Michèle Firk à la Parole errante à Montreuil le 20 janvier prochain.

    • Frédéric Lordon au sujet des #Latouriens :

      La destruction capitaliste de la classe ouvrière n’intéressait pas la #bourgeoisie-culturelle, il était donc simple et logique de la passer sous silence. Celle de la planète est plus difficile à évacuer, impossible de ne pas en dire « quelque chose ». Mais quoi — qui ne portera pas trop à conséquence ? Arrivent les latouriens, qui n’ont pas seulement trouvé une manière merveilleusement poétique de reformuler le problème — « où atterrir ? » —, mais en proposent également la réponse qui convient : n’importe où pourvu que ce ne soit pas en le seul lieu où la piste est vilaine et cabossée : la mise en cause du capitalisme. Tous les organes de la #Grande-conscience en frétillent d’aise : frisson de se porter, et surtout d’inviter les autres à se porter en hauteur ; paix de l’âme à être bien certain qu’il ne s’ensuivra aucun dérangement pénible, vis-à-vis ni de leur tutelle publique, ni de leur tutelle capitaliste, ni, et c’est bien le principal, de leur conviction profonde...

      Se retrouver propulsé dans la position très politique de la #pensée-à-la-hauteur-du-péril [ en faisant le jeu politique des institutions médiatiques, culturelles, qui savent très bien ce qu’elles font quand elles élisent qui elles élisent pour ne rien dire d’embêtant — le jeu très politique de la #dépolitisation ], sans jamais prononcer la seule parole politique à la hauteur du péril, sans jamais dire que la Terre est détruite par les capitalistes, et que si nous voulons sauver les humains de l’inhabitabilité terrestre, il faut en finir avec le capitalisme.

      C’est un exploit qui mérite bien une élection. Le jeu de la climatologie concernée auquel invitent les forces de l’ordre symbolique est le jeu de la climatologie sans idée des causes, et surtout sans aucun désir de les trouver : le jeu de la climatologie pleurnicheuse. C’est-à-dire compatible.

      Trouvé sur Wiki :

      En 2001, dans son tout dernier cours au Collège de France, le sociologue Pierre Bourdieu s’associait à son collègue Yves Gingras pour dénoncer la #fausse-radicalité de la tendance de sociologie des sciences illustrée par Bruno Latour et ses collègues, qui selon lui soulèvent avec fracas de faux problèmes et avancent par « une série de ruptures ostentatoires » surtout destinées à promouvoir leurs carrières.

      En novembre 2012, au moment du renouvellement de l’équipe dirigeante de l’Institut d’études politiques de Paris, Bruno Latour défend dans le quotidien Le Monde le bilan et l’ambition de Richard Descoings et de son successeur Hervé Crès au moment où celui-ci est fortement remis en cause par un rapport de la Cour des comptes dénonçant la gestion de l’institut.❞

  • #COVID19 , les dégâts sociaux ?

    Un fil de « Petite Loutre » récupéré sur l’oiseau bleu qui tente de répondre à cette question :
    source : https://twitter.com/TAtterre/status/1477540324696285185
    archive : https://threadreaderapp.com/thread/1477540324696285185.html

    #COVID19 , les dégâts sociaux ? Je vais essayer de répondre à ça. Ça va être un peu long.

    On parle énormément de l’impact immédiat de la pandémie, celui sur la santé physique. C’est normal, ça saute aux yeux, c’est déjà gravissime pour certains.
    Derrière cet impact évident, il y a d’autres conséquences plus larges qui mériteraient d’être prises en compte par nos gouvernants. Je fais qq détours pour m’expliquer.

    Je ne suis pas soignante. Mais pendant 10 ans j’ai été conjointement assistante sociale et conseillère en insertion professionnelle. (Si vous pensez que ces métiers ont pour objectif « d’aider les gens », détrompez-vous. Leur but c’est de réduire l’impact des galères de la population sur le fonctionnement de la société. Ça passe par une forme d’aide, mais c’est pas pour ça que l’état y injecte des thunes.)

    Au début de ma carrière je me disais naïvement que je ne bosserai pas dans le champ de la santé. Sauf que... derrière 70% des situations de galère, il y a une problématique santé. Plus cette problématique prend de place, plus il est difficile d’améliorer les choses.

    Si vous avez une vision réac des allocataires RSA (j’entends « ces feignasses qui ne veulent pas bosser »), dites vous qu’une proportion impressionnante fait face à des problèmes de santé/à un handicap. J’ai un jour décompté les allocataires que je suivais pour constater qu’environ 30% auraient plutôt dû ouvrir des droits à l’AAH. J’en ai accompagné certains dans la démarche, ils ont tous obtenu au minimum une RQTH, et pour la plupart l’AAH. (La France est aussi un pays de non recours aux droits...)

    La crise que nous vivons aujourd’hui est sanitaire. J’essaie de la comprendre au mieux, et j’en profite pour remercier l’énorme travail effectué ici. Merci donc @Le___Doc @EricBillyFR @SaiyanBio @mimiryudo @C_A_Gustave @LehmannDrC @corinne_depagne @FLAHAULT 7/n
    @nicolasberrod @nathanpsmad @nousaerons @Cote_Science @gforestier @GuillaumeRozier (j’en ai oublié évidemment) de nous apporter une vision bien moins bordélique de la situation que celle diffusée par les autorités. ❤️.

    Et donc, bien que toutes les conséquences de cette crise ne soient pas encore connues, on voit s’en dessiner certaines.
    Ce qu’on a aujourd’hui (hors hôpitaux)
    – Un nombre mal connu, non négligeable de #CovidLong, de séquelles diverses
    – Des personnes vivant avec les séquelles (physiques ou psychologiques) d’un passage en réa
    – Des familles ayant perdu un ou plusieurs membres
    _⚠️Cela ne représente pas une part importante de la population, mais cela s’ajoute à un contexte compliqué de manière SIMULTANÉE _
    – une méfiance envers le corps médical pour une part de la population
    – une économie pas franchement folichonne, ce qui n’aide en rien

    Quoi de neuf ? Hormis les spécificités dues au #covid, pas grand chose, puisque tout ça existait déjà auparavant.
    Ce qui change aujourd’hui, c’est que ces phénomènes sont massifs. Que l’arrivée d’omicron, qu’elle qu’en soit la gravité (ça c’est hors de mon champ de compétences) va encore les augmenter.
    Qu’ils vont donc entraîner des répercussions bien plus invalidantes pour la société.
    Le COVID19 a aggravé de nombreuses choses préexistantes. Omicron sera sans doute le level supérieur de cette aggravation.

    Pourquoi parler de dégâts sociaux ?

    Parce que les difficultés de santé, physiques ou psychologiques, sont un important facteur d’exclusion et que les personnes malades/handicapées par la pandémie n’arrivent pas au compte goutte mais toutes en même temps. Répercussions possibles : l’éloignement de l’emploi, l’isolement social, une baisse des ressources/du niveau de vie par ex.
    La maladie et le handicap sont aussi des facteurs favorisant la maltraitance (conjugale, familiale, infantile...) ou des facteurs éloignant du soin (plus grande difficulté à s’occuper de soi, donc à consulter si nécessaire). Il faut imaginer qu’une partie de la population va rejoindre celle qui était déjà avant « en difficulté », et que les personnes en difficulté au préalable ne verront pas leur situation s’améliorer. Que cette pandémie touche en particulier les classes sociales défavorisées, qui voient leur situation s’aggraver. Que cela ne peut qu’augmenter le nombre de personnes ayant recours à des aides sociales diverses, aux allocations chômage, à l’assurance maladie et/ou ne contribuant plus, ou moins, à l’impôt sur le revenu. N’oubliez pas qu’aux victimes directes du covid, il faut ajouter les victimes de déprogrammation et de saturation des hôpitaux, dont il est impossible d’évaluer le nombre aujourd’hui. N’oubliez que pour 1 victime c’est l’entièreté du foyer qui est souvent impacté, enfants y compris.
    N’oubliez pas que les dégâts sur la santé mentale sont invalidants également parce que notre système de santé est dans un état déplorable, que cela ne peut qu’entraîner une difficulté d’accès aux soins accrue, donc une prise en charge de la santé publique dégradée.

    Conséquences ? Les mêmes que précédemment. Ajouter une raréfaction des pro de santé dont certains iront grossir sans aucun doute les rangs des personnes en difficulté, pour cause de burnout ou de toute autre pathologie se développant dans un environnement de travail dégradé.
    Cette dégradation du système de santé viendra aussi aggraver la perte de confiance dans le monde médical si toute demande de soin s’apparente à un parcours du combattant. Donc une nouvelle fois, éloignement du soin des personnes en besoin, conséquences sur la santé physique et mentale, sur le niveau de vie, sur le contexte familial, etc.

    Toutes les personnes touchées par la pandémie ne vont pas automatiquement se retrouver sous le seuil de pauvreté (ou tout autre indicateur de galère), mais toutes risquent de subir au moins une part des difficultés évoquées. Et plus il y a de « maillons faibles » dans un système, plus le système rame, et plus il cherche à exclure ces « maillons faibles » pour retrouver un fonctionnement idéal. D’ailleurs, qui est chargé de faire en sorte qu’on en arrive pas là ? Le secteur social. Qui n’en est pas au point du secteur médical, mais qui alerte depuis des années sur le manque de moyens, de personnel, les conditions de travail dégradées et l’impossibilité de faire face à la charge de travail. Bien avant le covid. Donc de nombreux travailleurs en souffrance avec une charge de travail augmentée. Prochain secteur à imploser ?

    N’oublions pas que les enfants, moins touchés par les conséquences du virus, n’en sont pas moins victimes. Leur propre maladie (car il y a des covidlong pédiatriques) les impacte, mais aussi : les maladies ou les décès de proches, par covid ou par déprogrammation. Ces conditions favorisent d’éventuelles difficultés scolaires.
    Le secteur de l’enseignement est abîmé par la pandémie, ce qui entraîne des conséquences (voir plus haut again)

    Donc quand on fait semblant de croire que cette pandémie ne touche que les covid+ ou fragiles...

    #social #crise #effondrement

  • Am 8. und 9. Januar 2022 zur LLL-Demo nach Berlin ! Lenin-Liebknecht-Luxemburg-Gedenken
    https://www.rf-news.de/2021/kw52/lenin-liebknecht-luxemburg-revolutionaere-vorbilder-fuer-die-jugend

    Il est toujours possible, d’afficher un esprit révolutionnaire plus révolutionnaire que les autres. C’est un peu comme une course automobile sur le circuit Kurfürstendamm-Tauentzienstraße-Kleiststraße-Bülowstraße. Après on verra si le vainqeur sera toujours vivant et combien de victimes il aura laissé derriere. La majorité des participants de la marche de souvenir ne partage pas cet esprit mais rappelle simplement que le socialisme constitue toujours le meilleur avenir possible pour ce monde.

    Vous trouvez l’adresse du site web de l’organisation officielle avec toutes les informations essentielles au pied de ce billet.

    Der Jugendverband REBELL ruft auch in diesem Jahr zur Lenin-Liebknecht-Luxemburg-Demonstration in Berlin auf. Dort gedenken jährlich Zehntausende der Revolutionäre Rosa Luxemburg, Karl Liebknecht und Wladimir Iljitsch Lenin - trotz antikommunistischer Unterdrückung und Spaltungsversuchen.

    Von Verbandsleitung REBELL

    Mittwoch, 08.12.2021, 18:00 Uhr

    Die Demonstration in Berlin ist Europas größte Manifestation für den Sozialismus. Sie ist auch eine rebellische „Begrüßung“ der neuen Bundesregierung. Die Ampel-Koalition tritt mit dem Motto: „Mehr Fortschritt wagen“ an. Doch einzelne Verbesserungen lösen keine der tiefen Krisen dieses kapitalistischen Systems. Das wussten auch Lenin, Liebknecht und Luxemburg - und kämpften deshalb ihr Leben lang für den Sozialismus als gesellschaftliche Alternative! Aus diesem Grund werden sie von Antikommunisten verleumdet und bekämpft.
    Wer waren die drei?

    #Lenin war russischer Revolutionär. Er führte die siegreiche Oktoberrevolution und den Aufbau des ersten sozialistischen Landes der Welt 1917 in Russland an. Unter seiner Führung wurden weitgehende gesellschaftliche Fortschritte erkämpft: Der Erste Weltkrieg wurde beendet, der Acht-Stunden-Tag eingeführt, eine bis dahin unbekannte fortschrittliche Frauen- und Familiengesetzgebung eingeführt. Die Gründung der Kommunistischen Internationale geht auf seine Initiative zurück.

    #Karl_Liebknecht stimmte als einziger im Reichstag gegen die Kriegskredite. Er rief 1918 die sozialistische Republik aus. #Rosa_Luxemburg war eine Vorkämpferin gegen Nationalismus, Reformismus und für die Befreiung der Frau. Liebknecht und Luxemburg kritisierten den Sozialchauvinismus der SPD und propagierten die proletarische Revolution. Sie waren Mitbegründer des Spartakusbund und später der KPD. 1919 wurden sie mit Billigung des „Volksbeauftragten für Heer und Marine“, Gustav Noske (SPD), von faschistischen Freikorps ermordet.

    MLPD und REBELL kritisieren den offiziellen Aufruf der Aktionseinheit zum Gedenken 2022, der die revolutionäre Perspektive Sozialismus ganz gestrichen hat. Für uns ist das Gedenken an die drei Revolutionäre unauflöslich mit der sozialistischen Perspektive und dem Kampf zur revolutionären Überwindung des Imperialismus verbunden. Gib Antikommunismus keine Chance!

    Der REBELL begeht das LLL-Wochenende unter dem Motto „Gib Antikommunismus keine Chance!“. Am Samstagabend gibt es ein Konzert: Ab 19 Uhr; Ort: Nostalgie Festsäle, Askanierring 93a, 13587 Berlin. Die Veranstaltung findet, da im Saal, unter der Gesundheitsschutzregel 2G+ statt. Am Sonntag beteiligen wir uns gemeinsam mit dem Internationalistischen Bündnis an der Demo, die um 10 Uhr beginnt. Aus Corona-Schutzgründen wird es in diesem Jahr leider keine Busanreise geben. Wir empfehlen die Anreise mit dem Auto zu zweit oder dritt.

    https://okv-ev.de/aufruf-zum-stillen-gedenken-an-rosa-luxemburg-und-karl-liebknecht

    http://www.ll-demo.de

    #Berlin #manifestation #socialisme

  • A Poet’s Perspective: Seven Reasons Why Your Dataviz Team Should Include an Analyst from the #humanities
    https://nightingaledvs.com/a-poets-perspective-seven-reasons-why-your-dataviz-team-should-inclu

    I was once auto-rejected from a job I had written for myself. After several interviews, my soon-to-be manager asked me to delineate the responsibilities I..

    #adjacent_skills #Data_Humanism #Data_Visualization #diverse_teams #social_science #soft_skills


  • L’économiste politique et journaliste Sonja Lerch (1883-1918) est une socialiste révolutionnaire oubliée de la Grande Guerre en Allemagne. Elle s’était engagée dans la révolution russe de 1905, était membre du Bund, puis, en Allemagne, l’une des fondatrices de l’USPD (la branche dissidente de la SPD) et avait participé à l’organisation des grèves de janvier 1918. Ses prises de paroles lors des réunions n’ont pas été conservées… parce qu’elle était une femme. « Si, par exemple, un informateur de la police participait à la sténographie d’une réunion politique, il sténographiait bien entendu le discours de Kurt Eisner ou de Felix Fechenbach ou d’Ernst Toller. Si une femme prenait la parole, il cessait de sténographier et écrivait tout au plus : et puis une femme s’est manifestée, elle a dit quelque chose sur un ton hystérique. » (Günther Gerstenberg). Son mari universitaire divorça car l’engagement politique de son épouse aurait nuit à sa carrière. Celle qui a contribué à l’avènement de la révolution allemande fut retrouvée pendue dans sa cellule. Son personnage inspira la pièce {Masse Mensch. Ein Stück aus der sozialen Revolution des 20. Jahrhunderts} (1920) au dramaturge Ernst Toller, lui-même engagé dans la brève République des Conseils de Munich.
    https://www.br.de/radio/bayern2/die-vergessene-heldin-der-novemberrevolution-100.html

    Sur la révolution de 1918/1919 à Munich : http://raete-muenchen.de/start
    Sur Masse Mensch : https://www.historisches-lexikon-bayerns.de/Lexikon/Masse_Mensch_(Ernst_Toller,_1919/20)

    #Sonja_Lerch #révolution #socialisme #pacifisme #révolution_allemande #Ernst_Toller #histoire #visibilisation_des_femmes

  • Le socialisme est-il mort ? - Stéphanie Roza

    La chercheuse Stéphanie Roza nous présente son « Histoire globale des socialismes », formidable abécédaire des notions, figures et moments du socialisme, codirigé avec Jean-Numa Ducange et Razmig Keucheyan.
    La philosophe constate la cote toujours baissante du terme « socialisme », tout en invitant les penseurs et les acteurs politiques à le revaloriser.

    https://www.youtube.com/watch?v=SJyawmlwJdI&t=20s

    #socialisme #Roza

  • Faire du #logement_social un #bien_commun ? Regards vénézuéliens
    https://metropolitiques.eu/Faire-du-logement-social-un-bien-commun-Regards-venezueliens.html

    Peut-on faire du logement social un bien commun fondé sur une gestion participative ? Yaneira Wilson revient sur l’ambition et les ambiguïtés du grand programme pour le logement social lancé par Hugo Chávez au #Venezuela. De Hugo Chávez à la gouvernance actuelle de Nicolas Maduro, le Venezuela a engagé depuis 1999 un ensemble de réformes visant la création d’un « #socialisme du XXIe siècle ». Transformé, le pays a vu ses anciennes politiques publiques démantelées au profit de nouveaux dispositifs, les « #Terrains

    / bien commun, logement social, #architecture, socialisme, Venezuela, #Amérique_latine, #foncier, (...)

    #propriété
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_wilson.pdf