• Covid-19 : la Chine dit avoir enregistré ses deux premiers morts depuis plus d’un an
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/03/19/covid-19-la-chine-dit-avoir-enregistre-ses-deux-premiers-morts-depuis-plus-d

    Covid-19 : la Chine dit avoir enregistré ses deux premiers morts depuis plus d’un an
    Le président Xi Jinping a assuré jeudi que le gouvernement « s’en tient » à la stratégie dite « zéro Covid », selon la télévision publique.
    La Chine, qui subit sa plus grande recrudescence de coronavirus depuis le début de la pandémie, a dit avoir enregistré ses deux premiers morts du Covid-19 depuis plus d’un an, samedi 19 mars. Ces deux décès, officialisés par la Commission nationale de la santé, sont survenus dans la province de Jilin au nord-est du pays. Dans le même temps, le pays a enregistré samedi 4 051 nouvelles infections.Le pays, où les premiers cas de coronavirus sont apparus à la fin de 2019, a ensuite gardé l’épidémie sous contrôle grâce à un contrôle strict des frontières, de longues quarantaines et des confinements ciblés.
    Mais le variant Omicron, hautement contagieux, est venu menacer cette stratégie, obligeant les autorités à confiner des villes comme le centre technologique Shenzhen et ses 17,5 millions d’habitants dans le sud de la Chine. La deuxième économie du monde, qui enregistrait moins de 100 cas par jour il y a encore trois semaines, annonce plus d’un millier de nouvelles infections quotidiennes depuis une semaine.Le président Xi Jinping a assuré jeudi que le gouvernement « s’en tient » à la stratégie dite « zéro Covid », selon la télévision publique. « Nous devons toujours mettre au premier plan les gens et leur vie, nous en tenir (…) à la politique du zéro Covid, et enrayer au plus vite la propagation de l’épidémie », a-t-il ordonné.
    Des dizaines de millions de personnes sont actuellement confinées chez elles à travers le pays, et les autorités se sont efforcées de libérer des lits d’hôpitaux, craignant que l’épidémie ne mette le système de santé sous grande tension. Pékin a fait de son faible taux de mortalité un argument politique, assurant que cela démontrait la puissance de son modèle de gouvernance. La province de Jilin, qui a rapporté des milliers de cas la semaine passée, a construit huit hôpitaux temporaires et deux centres de quarantaine pour gérer l’épidémie. Hongkong, région chinoise semi-autonome, subit aussi la vague de coronavirus la plus importante depuis le début de la pandémie, enregistrant plus de 200 décès chaque jour, soit plus de 5 000 depuis le début de l’année.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#hongkong#sante#omicron#frontiere#circulation#zerocovid#quarantaine#gouvernance#confinement

  • Les Barbelés Awards : un palmarès satirique récompense les "pires dispositifs anti-migrants" à Calais Isabelle Girardin

    Des prix satiriques viennent d’être remis aux "pires mesures" prises pour décourager les candidats à l’exil vers l’Angleterre : arbres coupés, tentes lacérées, distributions de nourriture interdites... Une cérémonie de "Barbelés Awards" organisée par les 39 organisations du Collectif des Associations Unies (CAU).

    C’est dans le cinéma l’Alhambra de Calais que s’est tenue cette cérémonie, jeudi soir en présence de militants associatifs, d’habitants et de quelques exilés.

    Le jury a symboliquement élu les pires "dispositifs" lors d’une remise de prix satirique qui visait "à sensibiliser l’opinion publique à l’hostilité et à la cruauté urbaine à l’égard des exilés" explique Hélène Denise coordinatrice au sein du Collectif des Associations Unis 

    Grillages, murs, barbelés, technologies de pointe ou encore destruction de forêts, fermeture de plages, arrêtés anti-distribution alimentaire, stratégies de dispersion et autres dispositifs anti-exilés mis en place à Calais et Grande-Synthe figuraient parmi la liste des nominés dans sept catégories https://www.collectif-associations-unies.org/wp-content/uploads/2022/03/CAU-BARBELES-AWARDS-CU-A4-final-0903-2.pdf .

    Chaque association représentée parmi le jury a désigné son dispositif gagnant. "Le but n’est pas de hiérarchiser, ni de classer l’horreur. Pour nous, tous les dispositifs sont inhumains" précise Hélène Denise.

    Manuel Domergue, directeur des études à la Fondation Abbé Pierre et porte-parole du CAU, a ouvert et présidé la cérémonie avec Gilles Henry, responsable de la Boutique Solidarité de la Fondation Abbé Pierre à Valenciennes.

    Une cérémonie organisée sur le même modèle que les "Pics d’or" remis par la Fondation de l’abbé Pierre https://www.fondation-abbe-pierre.fr/actualites/ceremonie-des-pics-dor-la-fondation-recompense-de-facon-satiri concernant les pires dispositifs anti-SDF.


    "Une première édition spéciale à Calais, la ville de la dentelle, devenue ce soir la ville des barbelés" ironise Hélène Denise. Une cérémonie planifiée avant le début de la crise ukrainienne et de l’accueil des réfugiés en provenance de l’Est. "C’est toujours l’urgence à Calais, en ce moment on parle de la problématique des réfugiés, c’est très bien d’accueillir des ukrainiens mais il ne faut pas pour autant oublier que l’on traite de façon inhumaine d’autres exilés."

    Ont été primé :

    Dans la catégorie « Un pognon de dingue » 
    Plus de 300 CRS déployés à Calais et Grande-Synthe pour chasser des personnes exilées de leur lieu de vie le 6 janvier 2022.

    Dans la catégorie « Douce France » 
    Le cas de Bhrané, exilé Érythréen, victime le 11 novembre 2020 d’un tir tendu de #LBD40 en plein visage. Après une hospitalisation de 2 mois, il a porté plainte sans suites. Il a depuis été expulsé vers les Pays-Bas.

    Dans la catégorie « Make the planet great again »
    Le dispositif le moins écolo : 8 à 10 tonnes d’affaires personnelles prises aux exilés lors d’expulsions sont jetées tous les mois.

    Dans la catégorie « Arts de la table » 
    Le 20ème arrêté interdisant les distributions de denrées alimentaires émis par la #Préfecture du Pas-de-Calais depuis septembre 2020.

    Dans la catégorie « High Tech » 
    Le déploiement d’un avion militaire et deux hélicoptères pour renforcer la surveillance aérienne et empêcher les tentatives illégales de traversées.

    Dans la catégorie « Vas voir là-bas si j’y suis » 
    Les pierres installées sous le toit d’un Conforama abandonné, pour empêcher les personnes de s’y abriter la nuit.
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    A également été décerné un " Barbelé d’Or  » aux violences policières, incarnées par le cas de Bhrané.
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    Après avoir remercié le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin pour son "ingéniosité", les participants ont remis symboliquement les récompenses à la mairie de Calais.

    Environ un millier de migrants vivent autour de Calais, dans des campements provisoires d’où ils sont expulsés très régulièrement pour éviter la reconstitution de bidonvilles. 

    Au moins 348 personnes ont péri à la frontière depuis 20 ans, dont 5 depuis le début de cette année 2022.

    L’article complet : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/pas-calais/calais/les-barbeles-awards-un-palmares-satirique-recompense-le

    #calais #réfugiés #asile #migrations #france #migration #migrants #frontières #campement #jungle #solidarité #police #angleterre #uk #immigration #violences_policières #EnMarche #racisme #violence #emmanuel_macron #gerald_darmanin #natacha_bouchard #Côte_d_Opale #Pas_de_Calais #Hait_de_France #Awards #réfugiés #réfugiées qui ne viennent pas d’#ukraine

    • La famille Von der Leyen aux manettes de l’UE
      https://www.youtube.com/watch?v=X59KmSmK9mY


      Nicolas Ullens, ex-agent à la Sûreté de l’État qui a quitté ses fonctions pour dénoncer la corruption au sein de l’État belge, nous revient avec des informations concernant, cette fois-ci, la présidente de la commission européenne, Ursula von der Leyen. Cette dernière est soupçonnée d’être impliquée dans plusieurs affaires de « gros sous ». Malgré de nombreux articles dans la presse, sa légitimité au poste de président de la Commission européenne n’est nullement remise en question. Mais ne serait-ce pas justement parce qu’elle y a sa place ?

      #ue #union_européenne #commission_européenne #ursula_von_der_leyen_pfizer #corruption #nomenclatura #vol #escroquerie #dictature #prévarication

    • 200 euros, trop c’est trop, les bourgeois.e.s se révoltent : Les plaisanciers de La Ciotat vent debout contre la hausse de la redevance
      https://lemarin.ouest-france.fr/secteurs-activites/nautisme/42932-les-plaisanciers-de-la-ciotat-vent-debout-contre-la-hauss

      Le rendez-vous a été fixé le samedi 18 mars au matin, jour de l’inauguration du salon nautique de La Ciotat. L’occasion pour l’association des plaisanciers du Port Vieux de manifester leur colère contre l’augmentation annuelle de 200 euros de la redevance pour les embarcations des bateaux de catégorie A à D stationnées à sec et à flot, à l’exception des bateaux de tradition.

      Depuis 2018, l’association se bat contre le conseil départemental et La Ciotat shipyards pour la faire annuler en justice. Après une première victoire il y a deux ans devant le tribunal administratif, l’association vient de subir un revers judiciaire devant la cour administrative d’appel de Marseille.

      Le nouvel arrêt rendu le 4 février https://juricaf.org/arret/FRANCE-COURADMINISTRATIVEDAPPELDEMARSEILLE-20220204-20MA01157 estime que « les bases de calcul de tarifs ne sont pas entachées d’erreur de droit […] l’autorité compétente étant en droit de modifier les tarifs pour mieux prendre en compte les avantages effectifs procurés à chaque catégorie d’occupant du domaine public ». L’association a annoncé sa volonté de former un pourvoi auprès de Conseil d’État.

    • Le gaz russe avance masqué Robin des bois
      https://robindesbois.org/le-gaz-russe-avance-masque

      Certains ports comme #Zeebrugge et #Dunkerque n’annoncent plus systématiquement les arrivées des navires sur leurs sites internet. Le port de #Nantes-Saint-Nazaire continue à afficher des prévisions fiables.


      Comité national de prévoyance et d’économies ; écolière anonyme, Paris, 1916

      Un transbordement (ship to ship) de Gaz Naturel Liquéfié (GNL) a eu lieu le 13 mars à l’abri de l’île de #Kildin près de #Mourmansk entre le méthanier brise-glace Georgiy Ushakov venant en pleine charge de la péninsule de #Yamal, Sibérie, et le méthanier conventionnel Clean Vision venant à vide de Dalian en Chine. Ces opérations de transfert en mer et au mouillage de cargaisons massives de Gaz Naturel Liquéfié sont délicates et dangereuses. Le Clean Vision (OMI 9655456) sous pavillon maltais est opéré par Dynagas Ltd (Grèce) qui opère 5 des 15 méthaniers brise-glace affectés aux exportations de gaz russe depuis Yamal en Sibérie. Le Clean Vision selon d’autres sources que le port de Zeebrugge devrait arriver dans l’après-midi… à Zeebrugge.

      Un nouveau transbordement (ship to ship) entre le Christophe de Margerie exploité par l’armateur russe Sovcomflot et le Clean Planet (OMI 9637507), un méthanier conventionnel battant pavillon des îles Marshall et opéré par Dynagas est en préparation à l’abri de l’île de #Kildin.

      Un autre problème de sûreté maritime et portuaire se profile à l’horizon proche. Les méthaniers brise-glace russes faisaient régulièrement des escales de maintenance dans des chantiers français et irlandais. Il est peu probable que dans les circonstances actuelles Damen à #Brest et d’autres chantiers navals européens continuent à accueillir pour réparation les méthaniers brise-glace dédiés à la livraison du gaz de Sibérie. Cependant, le Vladimir Rusanov après avoir déchargé au terminal méthanier de Zeebrugge est en approche du chantier naval de #Frederikshavn au Danemark. Les méthaniers brise-glace ou conventionnels sont des bombes flottantes. Pour réduire au maximum les risques, ils nécessitent des travaux de maintenance spécifiques et réguliers.


      Position des 15 méthaniers brise-glace livrant du Gaz Naturel Liquéfié (GNL) en Europe à partir du terminal Yamal GNL. 18 mars 2022, 7h15h tu.

      Les pleins
      Le  Nikolay Yevgenov  a quitté le terminal de Yamal le 9 mars. Il était attendu à #Montoir-de-Bretagne le jeudi 17 mars. Changement de destination, il se met finalement à quai à Bilbao le vendredi 18 mars.

      Le  Nikolay Zubov  a quitté le terminal de Yamal le 10 mars. Il est en mer du Nord. Sa destination est inconnue. Sa dernière escale européenne était Zeebrugge et depuis le début de la matinée, il se rapproche à nouveau du port belge.

      L’ Eduard Toll  a quitté le terminal de Yamal le dimanche 13 mars. Il est au large des côtes de la Norvège. Il est attendu à Montoir-de-Bretagne le lundi 21 mars.

      Le  Boris Vilkitsky  est reparti de Montoir-de-Bretagne le 6 mars. Il est remonté en Sibérie à vide. Il est reparti du terminal de Yamal le 15 mars. Sa destination est inconnue. Il est à l’heure actuelle au nord de la Norvège.

      Le  Fedor Litke  a quitté Zeebrugge le 7 mars à vide. Il s’est mis à quai au terminal de Yamal le 14 mars, il en repart le 16. Il est attendu à Montoir-de-Bretagne le jeudi 24 mars.

      Le  Boris Davydov  a quitté Dunkerque le 8 mars. Il est remonté en Sibérie à vide. Il s’est mis à quai au terminal de Yamal le 16 mars. Il vient de repartir.

      Le  Christophe de Margerie  était dans le secteur de l’île de Kildin hier matin. Il devrait être rejoint pour un « ship to ship » par le  Clean Planet. La destination finale du  Clean Planet  est pour l’instant inconnue. Ce sera à coup sûr un terminal gazier européen sur la façade atlantique.

      Le  Vladimir Vize  a quitté Sines (Portugal) le 6 mars. Il est remonté en Sibérie à vide, il vient de quitter Yamal en pleine charge. Sa destination n’est pas encore connue.

      Les vides
      
Le  Vladimir Rusanov a quitté Yamal le 8 mars. Il a déchargé au terminal méthanier de Zeebrugge le 15 mars. Il est reparti à vide vers la Sibérie le 16 mars mais semble se rapprocher du chantier de réparation navale de #Frederikshavn, Danemark.

      Le  Yakov Gakkel  a quitté Montoir-de-Bretagne le 14 mars. Il remonte en Sibérie à vide.

      Le  Georgiy Brusilov  a quitté le terminal de Yamal le 8 mars. Il est arrivé à #Rotterdam le 13 mars. Il en est reparti le 14 mars et remonte en Sibérie à vide.

      Le  Rudolf Samoylovich  a quitté Montoir-de-Bretagne le 12 mars. Il est en mer de Barents. Il remonte en Sibérie à vide.

      Le  Nikolay Urvantsev  a quitté Bilbao le 10 mars. Il remonte en Sibérie à vide, il est au nord des îles de #Nouvelle-Zemble.

      Le  Vladimir Voronin  a quitté Rotterdam le 11 mars. Il est remonté en Sibérie à vide. Il est à quai à Yamal. Il est en cours de chargement.

      Le  Georgy Ushakov  a quitté le terminal de Yamal le 8 mars. Après avoir transbordé sa cargaison sur le méthanier conventionnel  Clean Vision , il est reparti à vide vers Yamal.

      #gaz #énergie #transport

  • Coronavirus: Hong Kong shuts public beaches amid Covid-19 surge, but frustrated residents ask: why can’t we swim and relax? | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/health-environment/article/3170833/why-not-let-us-swim-and-relax-frustrated

    Coronavirus: Hong Kong shuts public beaches amid Covid-19 surge, but frustrated residents ask: why can’t we swim and relax?Government closes all public beaches amid outcry from mainland Chinese online users over social-distancing measures perceived as lax Residents react with mixed emotions, with one restaurant manager urging authorities to give clear deadline to allow businesses to adjust
    Residents have expressed their frustration at a decision by Hong Kong authorities to close all public beaches amid a Covid-19 outbreak, while some have called it necessary as a result of frequent social-distancing violations.On Wednesday, the government announced that all public beaches would close from Thursday until further notice to reduce social gatherings and the risk of virus transmission. The measure kicked in as the city confirmed 21,650 new coronavirus cases.A source had said the decision followed the circulation of posts on Chinese social media platforms Weibo and WeChat which compared scenes of Shenzhen’s empty streets and closed subway stations with Hong Kong’s crowded beaches and malls.
    The posts went viral among mainland online users, who criticised Hong Kong’s looser social-distancing measures, contrasting these with the lockdown across the border. They blamed Hongkongers for contributing to the surge in cases on the mainland.

    #Covid-19#migration#migrant#chine#hongkong#sante#frontiere#zerocovid#restrictionsanitaire#circulation#politiquesante

  • Coronavirus Hong Kong: use mainland Chinese help well, plan for next stage of battle and ensure social stability, top Beijing official tells local government | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/health-environment/article/3170759/coronavirus-hong-kong-use-mainland-chinese-help

    Coronavirus Hong Kong: use mainland Chinese help well, plan for next stage of battle and ensure social stability, top Beijing official tells local governmentHong Kong and Macau Affairs Office director Xia Baolong says city still facing uphill battle against pandemic. At high-level meeting in Shenzhen, he calls on local administration to plan for next phase of crisis, with focus on ‘three reductions’, referring to infections, severe cases and deaths
    Hong Kong’s government should distribute aid from the central government properly and plan for the next stage of the Covid-19 pandemic in an orderly way, a top Beijing official has told a high-level meeting in Shenzhen on the health crisis facing the financial hub. Hong Kong and Macau Affairs Office (HKMAO) director Xia Baolong also emphasised the need for local officials to safeguard social stability, according to the Hong Kong China News Agency. He was chairing the meeting on Wednesday after flying back to Shenzhen from the capital where he attended the annual “two sessions” of the nation’s parliament and top advisory body.Lau Siu-kai, vice-president of semi-official Chinese Association of Hong Kong and Macau Studies think tank, said Beijing believed reforms were needed after the pandemic was under control, such as improving the government’s managerial abilities and the leadership capabilities of the executive branch.It was the ninth meeting of the tripartite coordination task force, involving Hong Kong and mainland officials, and the second in less than a week, with the last one taking place on March 11.Xia said in the latest meeting that the current epidemic situation in the city was still serious and the fight against the virus has remained an uphill battle.
    During the meeting, he also spoke via video link with teams sent to assist Hong Kong and called on the local government to speed up the distribution of Chinese medicine, boost the occupancy rate of isolation facilities and make good use of the medical professionals sent from the mainland.
    Xia went on to instruct the local administration to plan ahead for the next phase of the outbreak, focusing on the strategy of “three reductions, three focuses and one priority”.The first element refers to reducing infections, severe cases and deaths. The second involves three specific areas of focus: boosting vaccinations among the elderly and enforcing closed-loop staffing arrangements in care homes; strengthening the work of clinics, hospitals and isolation facilities; and identifying high-risk premises for children, seniors and the disabled, and stepping up protections there.
    Think tank vice-president Lau said Xia’s remarks not only focused on offering guidance and supervision, but also showed that Beijing would hold Hong Kong’s government accountable for failing to control the epidemic.
    “There is a need for improvement of our health care system and formulating contingency plans within the government on how to deal with such kinds of crisis.”Central authorities would look at improving the local government’s managerial abilities and its executive role, Lau said, adding the city needed to “prepare well for any upcoming sixth or seventh waves”.
    Lau suggested it was very rare that Beijing had to be so “hands-on” on Hong Kong’s issues, calling it proof that the city government’s poor handling of the outbreak had already greatly affected national interests.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#macau#hongkong#pekin#sante#zerocovid#politique#retsrictionsanitaire#shenzen#pandemie

  • Covid-19 : la Chine enregistre son pire bilan de contaminations en deux ans et confine 17 millions d’habitants à Shenzhen
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/03/13/covid-19-avec-pres-de-3-400-cas-quotidiens-la-chine-enregistre-son-pire-bila

    Covid-19 : la Chine enregistre son pire bilan de contaminations en deux ans et confine 17 millions d’habitants à Shenzhen

    La Chine a fait état dimanche du triplement du nombre quotidien de contaminations par rapport à la veille. Un niveau qui n’avait plus été atteint depuis le premier épisode de la pandémie, au début de 2020.

    C’est un revers pour la Chine. Les autorités de santé du pays ont recensé, dimanche 13 mars, près de 3 400 cas de coronavirus, son pire bilan en deux ans, et ont décidé de confiner les 17 millions d’habitants de la ville de Shenzhen.

    Dites Seenthis, si je comprends bien, le « pire bilan » et « revers » (dixit le monde) c’est 3400 cas pour 1,4 Milliards d’habitants ? (~ 1 / 400000 habitant)

    Tous Anti Covid me dit qu’hier on avait détecté 60 000 nouveaux cas en France, pour 0,07 Milliards d’habitants (~ 1 / 1160 habitant) ? Dans un climat ou a priori on teste moins qui plus est ?
    Et fiers de faire tomber les masques ?

    Du coup, il faudra quel qualificatif pour le bilan français ?

    #chine #france #covid19 #confinement

  • Covid-19 : la Chine confine les 9 millions d’habitants de la ville de Changchun
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/03/11/covid-19-la-chine-confine-les-9-millions-d-habitants-de-la-ville-de-changchu

    Covid-19 : la Chine confine les 9 millions d’habitants de la ville de Changchun
    Ce confinement est le plus important annoncé en Chine depuis celui de la métropole de Xi’an, au nord du pays, et de ses 13 millions d’habitants à la fin de l’année dernière.Confrontée à sa pire flambée épidémique depuis deux ans, la Chine a dû se résoudre, vendredi 11 mars, à confiner la grande ville de Changchun, dans le nord-est du pays. Les 9 millions d’habitants de la ville chinoise ont été placés en confinement, ont annoncé les autorités locales. Seule une personne par foyer est autorisée à sortir, une fois tous les deux jours, a fait savoir la mairie, qui se prépare à dépister toute la population. Ce confinement est le plus important annoncé en Chine depuis celui de la métropole de Xi’an, au nord du pays, et de ses 13 millions d’habitants à la fin de l’année dernière. La mairie a ordonné la fermeture des écoles et des commerces ainsi que des transports publics. Il est défendu de quitter la ville, qui a enregistré plusieurs centaines de cas au cours des derniers jours. Changchun, la ville de « l’éternel printemps », est la capitale de la province du Jilin, frontalière de la Corée du Nord. Ce pays fermé n’a jusqu’à présent jamais fait état de cas de Covid-19.Par ailleurs, la Chine a annoncé vendredi qu’elle allait introduire l’usage de tests antigéniques rapides du Covid-19 pour la première fois. La Commission nationale de santé a précisé que des kits d’autotest seraient disponibles à l’achat pour les établissements hospitaliers et les citoyens auprès « des pharmacies de détail, des plates-formes de vente en ligne et d’autres canaux ». Le pays, où le virus a été la première fois détecté fin 2019, a rapidement endigué l’épidémie dès le printemps 2020, en adoptant des mesures de confinement très strictes frappant des villes entières. Le géant asiatique est ainsi parvenu à largement enrayer la contagion, avec un bilan officiel d’un peu plus de 100 000 cas, dont 4 636 mortels exactement, en l’espace de deux ans. Le régime communiste y voit la supériorité de son système autoritaire par rapport aux nombreuses morts enregistrées par les pays démocratiques. Mais la souche Omicron est à l’origine de flambées localisées qui concernaient vendredi 1 369 personnes exactement au cours des dernières vingt-quatre heures, selon les données du ministère de la santé.
    Un bilan qui reste faible en comparaison avec le reste du monde mais qui n’en est pas moins le plus élevé pour la Chine depuis la première phase de l’épidémie, début 2020. Sur ce total, les autorités ont dénombré 158 cas importés et 814 cas asymptomatiques, qui font l’objet d’un décompte séparé. Ce pic intervient alors que les cas échappent à tout contrôle dans le territoire de Hongkong, au sud du pays, où les hôpitaux débordent de patients et où la population locale dévalise les supermarchés dans la panique, craignant un confinement. Les autorités chinoises redoutent que des habitants potentiellement contaminés se soient rendus clandestinement sur le continent en provenance de Hongkong, répandant la contagion.
    Les autorités n’ont toutefois pas laissé envisager un abandon de la stratégie du « zéro Covid » lors de la session annuelle du Parlement qui s’est conclue vendredi. « Nous devons constamment affiner les mesures » contre l’épidémie, a simplement dit le premier ministre, Li Keqiang, lors d’un discours fleuve devant les députés le 5 mars. De nombreuses parties du pays sont désormais confrontées à un durcissement des mesures antiépidémiques, notamment Shanghaï, la ville la plus peuplée de Chine, avec 25 millions d’habitants, où les élèves vont désormais devoir suivre leurs cours en ligne.Les autorités municipales se sont efforcées ces derniers mois d’imposer des mesures ciblées, imposant des confinements stricts seulement à quelques quartiers ou bien dans des lieux où des cas ont été répertoriés. Il arrive ainsi que des personnes se retrouvent coincées sur leur lieu de travail ou au restaurant en attendant de pouvoir être dépistées. L’attente du résultat peut aller jusqu’à quarante-huit heures.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#hongkong#sante#variant#omicron#zerocovid#circulation#confinement

  • The power in activism | The New Times | Rwanda
    https://www.newtimes.co.rw/lifestyle/power-activism

    Un très beau papier du principal journal du Rwanda sur l’activisme... qui bien évidemment fait référence au livre magistral de Zeynep Tufekci.

    It’s unclear why certain issues such as racism and gender disparity, among other inequalities, are still existent given all the efforts that have been invested over the years, if not decades.

    Activism matters. For better understanding of the concept, it is defined as efforts to promote, impede, direct or intervene in social, political, economic or environmental reform with the desire to make changes in society towards a perceived greater good.

    Forms of activism range from petitioning elected officials, running or contributing to a political campaign, preferential patronage (or boycott) of businesses, and demonstrative forms of activism like rallies, street marches, strikes, sit-ins, or hunger strikes.

    Of recent, online activism has also taken form.

    However, are means not justifying the end?

    A commentary on the problems with social media activism highlights that while spreading awareness is important to combating political or social issues, there is an extent to which mindlessly reposting the same trite artwork doesn’t contribute to meaningful change.

    Spreading awareness on social media without offering ways for others to combat the issue—also known as ‘slacktivism’—should be categorised as indifference rather than activism.

    Jeanette Murekatete, a customer care attendant, says activism carries a lot of significance, especially when it comes to dealing with social injustices.

    She, however, says at times, the way activism is done is the problem. “For example when you see how some people call for women empowerment, especially on social media is not appeasing,” she says.

    “It’s hard to address an injustice with another. How you approach things matters a lot if you want to achieve your desired results,” she adds.

    Writer Zeynep Tufekci says protests work, but usually not in the way and timeframe that many people think.

    Protests sometimes look like failures in the short term, but much of the power of protests is in their long-term effects, on both the protesters themselves and the rest of society.

    Olive Mugunga agrees, saying activism or protests yield results but not always immediately.

    “It takes so much effort and determination from those organising for it to bring about change. However, times are changing and I think we should think of other ways if the current ones aren’t working, she says.

    Mugunga also believes some people spearheading certain activism or campaigns might not have proper motives or use ineffective means.

    Protests are signals, according to Tufekci. In the short term, protests can work to the degree that they can scare authorities into changing their behaviour. “We are unhappy, and we won’t put up with things the way they are.” But for that to work, the “we won’t put up with it” part has to be credible.

    Nowadays, large protests sometimes lack such credibility, especially because digital technologies have made them so much easier to organise, when it can take as little as a few months or even weeks to go from a Facebook page to millions in the street.

    Legitimacy, not repression, is the bedrock of resilient power. A society without legitimate governance will not function well; it’s hard to coerce enthusiasm, competence, and creativity.

    For change to happen, people need to have the right motives and the right patterns in the first place. This is the only way activism will be as effective as it should be.

    dmbabazi@newtimesrwanda.com

    #Activisme #Zeynep_Tufekci #Rwanda

  • A letter to the Western Left from Kyiv
    25.02.2022 | Taras Bilous

    This is part of the wider phenomenon in the Western ‘anti-war’ movement, usually called ‘campism’ by critics on the Left. British-Syrian author and activist Leila Al-Shami gave it a stronger name: the “anti-imperialism of idiots”. Read her wonderful 2018 essay if you haven’t done so yet. I will repeat only the main thesis here: the activity of a large part of the Western ‘anti-war’ Left over the war in Syria had nothing to do with stopping the war. It only opposed Western interference, while ignoring, or even supporting, the engagement of Russia and Iran, to say nothing of their attitude to the ‘legitimately elected’ Assad regime in Syria.

    https://commons.com.ua/en/letter-western-left-kyiv

    #Ukraine #Zelenskyi #Donbas #war #Kyiv #Ukraine #Russia #Putin #nationalism #Left

    • extrait (google trad)

      Je terminerai en écrivant brièvement sur moi-même et mon point de vue.

      Au cours des huit dernières années, la guerre du Donbass a été le principal problème qui a divisé la gauche ukrainienne. Chacun de nous a formé sa position sous l’influence de son expérience personnelle et d’autres facteurs. Ainsi, un autre gauchiste ukrainien aurait écrit cet article différemment.

      Je suis né dans le Donbass, mais dans une famille ukrainienne et nationaliste. Mon père s’est engagé dans l’extrême droite dans les années 1990, observant la décadence économique de l’Ukraine et l’enrichissement de l’ancienne direction du Parti communiste, qu’il combattait depuis le milieu des années 1980. Bien sûr, il a des opinions très anti-russes, mais aussi anti-américaines. Je me souviens encore de ses paroles du 11 septembre 2001. Alors qu’il regardait les tours jumelles tomber à la télévision, il a dit que les responsables étaient des "héros" (il ne le pense plus - maintenant il croit que les Américains les ont fait sauter exprès).

      Lorsque la guerre a commencé dans le Donbass en 2014, mon père a rejoint le bataillon Aidar en tant que volontaire, ma mère a fui Louhansk, et mon grand-père et ma grand-mère sont restés dans leur village qui est tombé sous le contrôle de la « République populaire de Louhansk ». Mon grand-père a condamné la révolution ukrainienne Euromaïdan. Il soutient Poutine qui, dit-il, a « rétabli l’ordre en Russie ». Néanmoins, nous essayons tous de continuer à nous parler (mais pas de politique) et à nous entraider. J’essaie d’être sympathique envers eux. Après tout, mon grand-père et ma grand-mère ont passé toute leur vie à travailler dans une ferme collective. Mon père était ouvrier du bâtiment. La vie n’a pas été tendre avec eux.

      Les événements de 2014 – la révolution suivie de la guerre – m’ont poussé dans la direction opposée à la plupart des Ukrainiens. La guerre a tué le nationalisme en moi et m’a poussé à gauche. Je veux me battre pour un avenir meilleur pour l’humanité, et non pour la nation. Mes parents, avec leur traumatisme post-soviétique, ne comprennent pas mes opinions socialistes. Mon père est condescendant à propos de mon « pacifisme », et nous avons eu une mauvaise conversation après que je me sois présenté à une manifestation antifasciste avec une pancarte appelant à la dissolution du régiment d’extrême droite Azov.

      Lorsque Volodymyr Zelenskyi est devenu président de l’Ukraine au printemps 2019, j’espérais que cela pourrait empêcher la catastrophe qui se déroule actuellement. Après tout, il est difficile de diaboliser un président russophone qui a gagné avec un programme de paix pour le Donbass et dont les blagues étaient populaires parmi les Ukrainiens comme parmi les Russes. Malheureusement, je me suis trompé. Si la victoire de Zelenskyi a changé l’attitude de nombreux Russes envers l’Ukraine, cela n’a pas empêché la guerre.

      Ces dernières années, j’ai écrit sur le processus de paix et sur les victimes civiles des deux côtés de la guerre du Donbass. J’ai essayé de favoriser le dialogue. Mais tout cela est parti en fumée maintenant. Il n’y aura pas de compromis. Poutine peut planifier ce qu’il veut, mais même si la Russie s’empare de Kiev et installe son gouvernement d’occupation, nous lui résisterons. La lutte durera jusqu’à ce que la Russie sorte d’Ukraine et paye pour toutes les victimes et toutes les destructions.

      Par conséquent, mes derniers mots s’adressent au peuple russe : dépêchez-vous et renversez le régime de Poutine. C’est dans votre intérêt comme dans le nôtre.

    • Admises enfin, et c’est probablement le plus consternant, par une gauche institutionnelle et partidaire oublieuse de ses fondamentaux, qui, plutôt que de combattre pied à pied l’atroce laisser-mourir macroniste, a semble-t-il fait le choix de sacrifier notre sécurité sanitaire et sociale – et en particulier celle des plus fragiles – à de misérables calculs électoralistes, et se tient coite face à la catastrophe, comme si elle redoutait, à deux mois de l’élection présidentielle, de s’aliéner les hautes consciences « protestataires » pour qui la liberté ne s’arrête pas là où elle menace la vie des autres.

      Par cette gauche accommodée au pire, qui regarde ailleurs quand des collectifs lancent des appels désespérés à « des pratiques de réduction des risques » ayant de longue date fait leurs preuves, et « une autodéfense sanitaire sur nos lieux de sociabilité, les lieux militants, les lieux de travail et d’étude ».

      Par cette gauche qui a oublié la simple évidence que « ces pratiques ne sont pas tant des “sacrifices” que la recherche de la mise en cohérence de notre refus du darwinisme social et du validisme qui l’accompagne ».

  • Covid-19 : L’Australie rouvre ses frontières aux voyageurs étrangers
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/02/22/covid-19-l-australie-rouvre-ses-frontieres-aux-voyageurs-etrangers_6114758_3

    Covid-19 : L’Australie rouvre ses frontières aux voyageurs étrangers
    Après vingt-trois mois d’isolement volontaire dans le cadre de sa stratégie « zéro Covid », l’île-continent,où plus de 93 % des plus de 12 ans ont déjà reçu au moins deux doses de vaccin, accueille à nouveau les visiteurs.
    Son fils n’a pas encore franchi les portes du hall d’arrivée de l’aéroport de Sydney qu’une larme perle déjà aux yeux de Glynnis Nancarrow. « Il vient de Tokyo, je ne l’ai pas vu depuis plus de deux ans », souffle cette mère de trois enfants. « Il vivait au Japon quand l’Australie a brusquement décidé de fermer ses frontières extérieures, en mars 2020. Il aurait pu rentrer plus tôt mais je ne voulais pas qu’il passe quatorze jours enfermé dans un hôtel de quarantaine. Je ne m’attendais pas à le perdre pendant si longtemps. » Lundi 21 février, après vingt-trois mois d’isolement volontaire, l’Australie a finalement rouvert ses portes à tous les voyageurs doublement vaccinés.
    Parmi les 5 000 premiers visiteurs, accueillis avec des koalas en peluche et des cafés gratuits sous les applaudissements d’un groupe de drag queen venu « mettre l’ambiance », les touristes sont rares et essentiellement Australiens. Ce sont eux qui, les premiers, ont été autorisés, le 1er novembre 2021, à traverser les frontières du pays transformé en forteresse. « Je suis partie voir ma mère au Vietnam. Elle est très malade. Ce fut extrêmement émouvant de pouvoir la serrer enfin dans mes bras », raconte Linh Huynh, qui a passé trois semaines auprès de sa famille.
    Comme un tiers de la population australienne, elle est née à l’étranger. Si elle a soutenu la décision du gouvernement de fermer les portes du pays pour se protéger de la pandémie, elle a souffert de ce long éloignement.
    Pour Leisei Giwmy, une étudiante en commerce, cette épreuve a été tellement douloureuse qu’elle a décidé de plier bagage et de retourner vivre au Vanuatu, l’archipel mélanésien dont elle est originaire. « Il a fallu attendre vingt mois pour que les autorités commencent à desserrer l’étau, pour qu’elles autorisent nos parents à entrer dans le pays, puis les étudiants internationaux, etc. Je ne veux plus jamais me retrouver coupée des miens », lâche la jeune fille qui attend sa sœur, les bras chargés d’un immense bouquet de fleurs. Dans un mois, elle repartira avec elle.
    A quelques pas de là, Charmaine Nair, une Néo-Zélandaise installée en Australie, et Desirel Calvin Lawrence, un Américain tout juste débarqué de Washington, cherchent quelqu’un pour les prendre en photo « devant le logo de l’aéroport de Sydney ». Ce couple, qui a survécu à des mois d’éloignement, a encore du mal à croire en la réalité de ses retrouvailles. « Jusqu’au bout, j’ai eu peur qu’il y ait un problème et surtout d’attraper le Covid-19. J’ai dû faire un test PCR et deux types de tests antigéniques différents avant de partir. Toute cette expérience a été hyperstressante », raconte le jeune homme.Si aujourd’hui, tout semble oublié, les amoureux gardent une dent contre les autorités australiennes ayant refusé de leur délivrer le laissez-passer qui pouvait être accordé pour motif impérieux d’ordre familial ou professionnel. « Beaucoup de couples ont bénéficié d’exemptions durant la pandémie. Le problème, c’est que nous n’avions jamais vécu ensemble. Notre dossier a été refusé », explique Charmaine Nair.
    Pour le gouvernement, qui avait abandonné la politique du « zéro Covid » après l’arrivée du variant Delta aux antipodes à l’été 2021, et attendait qu’un pourcentage suffisant de la population soit vacciné pour ouvrir ses frontières, le pari sanitaire est réussi : non seulement la pandémie n’a fait que 4 956 morts sur l’île-continent mais plus de 93 % des plus de 12 ans avaient reçu au moins deux doses de vaccin le 22 février.La priorité est maintenant d’œuvrer au retour à la normale le plus rapidement possible et surtout de remettre d’aplomb le secteur touristique. « Les touristes reviennent et mon message pour eux, pour les touristes du monde entier, c’est : faites vos valises, venez vivre l’une des plus belles expériences que vous puissiez imaginer (…). Et n’oubliez pas de prendre de l’argent, car vous trouverez une multitude de lieux où le dépenser, vivre le voyage et l’expérience d’une vie », a notamment lancé, le 20 février, le premier ministre Scott Morrison.L’agence gouvernementale Tourism Australia vient de déployer une vaste campagne publicitaire dans les pays anglo-saxons afin de redonner l’envie d’un pays, qui, en raison de ses mesures drastiques contre la pandémie, a parfois été comparé à la Corée du Nord. En 2019, quelque 9,5 millions de touristes étrangers avaient visité l’île-continent, injectant 45 milliards de dollars (39 milliards d’euros) dans l’économie locale. Une centaine d’avions atterrissaient chaque jour à Sydney. Lundi, ils ne sont que vingt-six à s’être posés sur le tarmac de l’aéroport international.

    #Covid-19#migration#migrant#australie#sante#pandemie#frontiere#circulation#famille#retour#vaccination#zerocovid

  • ‘Today we rejoined the world’: hugs, tears and Vegemite as Australia reopens international borders | Australia news | The Guardian
    https://www.theguardian.com/australia-news/2022/feb/21/today-we-rejoined-the-world-hugs-tears-and-vegemite-as-australia-reopen
    https://i.guim.co.uk/img/media/cdc2546686ee1a7199bfe99db7bc413b6b89819b/0_195_8192_4918/master/8192.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    ‘Today we rejoined the world’: hugs, tears and Vegemite as Australia reopens international borders; There were tears, DJs, Vegemite and drag queens as families, friends and lovers reunited at Sydney airport after the resumption of all international travel to Australia.While a number of expert bodies including the US Centers for Disease Control and Prevention and the European Council have warned against travel to Australia due to soaring Covid-19 case numbers over summer, the federal government has vowed to keep the borders open.The federal minister for trade, tourism and industry, Dan Tehan, who was at the airport on Monday morning, said it was a “great day” for Australia’s tourism industry – battered by years of shutdowns.
    “It’s been a party out here at Sydney airport,” Tehan said, a bright blue T-shirt emblazoned with the words “Welcome back” visible underneath his suit jacket.“To see the way people have been united – the hugs, the tears – has been wonderful. The future is looking very, very bright.“I’ll do everything possible to keep the border open.”
    At 6.20am, a Qantas flight from Los Angeles was the first to touch down at Sydney airport, marking the end of 704 days of restrictions on international travel.Fifty-six flights were expected to arrive in Australia on Monday, more than half of them landing in Sydney.The New South Wales premier, Dominic Perrottet, said there was a “buzz and excitement” in the air as the state rejoined the world.“It’s been a long journey, a long journey through Covid,” he said.“But having our borders open, not just here, but around our country will make a real difference in people’s lives; we’re seeing families being reunited … international students return.“Today we rejoined the world, and what a positive thing it is.”At the arrivals hall, travellers were greeted with koala and kangaroo toys, Vegemite and eucalyptus sprigs, while a DJ atop a bus played Australian hits such as Men at Work’s Down Under and Yothu Yindi’s Treaty.(...)

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#pandemie#retour#tourisme#frontiere#circulation#famille#vaccination#zerocovid

  • Covid-19 : l’Australie rouvre ses frontières aux touristes vaccinés, après presque deux ans de fermeture
    https://www.lemonde.fr/international/article/2022/02/20/covid-19-l-australie-rouvre-ses-frontieres-aux-touristes-vaccines-apres-pres

    Covid-19 : l’Australie rouvre ses frontières aux touristes vaccinés, après presque deux ans de fermeture. Seuls cinquante-six vols internationaux devraient atterrir dans le pays dans les vingt-quatre heures suivant la réouverture, bien en deçà des niveaux d’avant la pandémie.
    Le premier vol international vers l’aéroport de Sydney devait arriver de Los Angeles lundi à 6 heures, heure australienne (20 heures dimanche, heure de Paris). Ici à l’aéroport de Sydney, le 1er novembre 2021, lorsque des Australiens avaient été autorisés à voyager pour la première fois. Près de deux ans que les touristes ne peuvent plus franchir les frontières australiennes, bloquées par des restrictions sur les voyages parmi les plus sévères au monde pour lutter contre la propagation du Covid-19. Mais « l’attente est terminée », a déclaré dimanche soir le premier ministre australien, Scott Morrison, lors d’une conférence de presse. L’Australie a rouvert, lundi 21 février, ses frontières extérieures à tous les touristes vaccinés « Faites vos valises », a lancé M. Morrison aux visiteurs potentiels de l’île-continent, en ajoutant : « N’oubliez pas d’apporter votre argent avec vous, car vous trouverez de nombreux endroits pour le dépenser ». La fermeture des frontières a coûté chaque mois 2,27 milliards d’euros, selon la Chambre de commerce et d’industrie du pays.
    Le premier vol international vers l’aéroport de Sydney a atterri de Los Angeles lundi matin à 6 h 20, heure australienne (dimanche à 20 h 20, heure de Paris), suivi d’autres en provenance de Tokyo, de Vancouver ou encore de Singapour. Seuls cinquante-six vols internationaux devraient atterrir en Australie dans les vingt-quatre heures suivant la réouverture des frontières, bien en deçà des niveaux d’avant la pandémie. Scott Morrison a cependant dit n’avoir « aucun doute » sur le fait que ce nombre augmenterait avec le temps.Pour attirer les touristes, le gouvernement australien a lancé une campagne publicitaire de 40 millions de dollars australiens (25 millions d’euros). Mais le Conseil australien (ATEC) chargé du tourisme international a évoqué des « signes inquiétants » concernant une possible réticence des étrangers à revenir en Australie, en raison des diverses restrictions internes sur les voyages, et de l’image qu’aurait laissée la fermeture draconienne du pays depuis deux ans.
    Les voyageurs ne pourront par exemple pas rejoindre le vaste Etat d’Australie-Occidentale avant le 3 mars. Dans cette région, les autorités ont conduit ces derniers mois une politique particulièrement stricte dite « zéro Covid », la coupant du reste de l’Australie.L’Australie avait fermé ses frontières en mars 2020, essayant de tirer partie de son insularité pour se protéger de la pandémie. Dans un premier temps, pendant plusieurs mois, cette fermeture draconienne et une politique stricte de dépistage et de traçage ont permis de contenir les effets du virus.L’arrivée du variant Omicron du SARS-CoV-2 a ensuite aggravé la situation, conduisant à des dizaines de milliers de contaminations et des dizaines de morts par jour. Au total, en près de deux ans, le Covid-19 a fait 4 913 morts en Australie. Plus de 15 200 nouveaux cas y ont été recensés dimanche, très en dessous du pic historique des 277 619 cas du 30 janvier.Pendant ces deux années, les Australiens n’ont, la plupart du temps, pas été autorisés à sortir de leur pays, et seuls quelques visiteurs ont obtenu une dérogation pour entrer sur le territoire, ce qui a valu au pays le surnom de « forteresse Australie ». Ces restrictions ont séparé des familles, mis à mal le secteur du tourisme et suscité des débats sur le statut de l’Australie comme pays ouvert, moderne et tourné vers l’extérieur.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#frontiere#pandemie#tourisme#economie#insularite#zerocovid#vaccination

  • « Grand remplacement » et ethnodifférentialisme, les nouveaux masques du racisme | Stéphane François
    https://afriquexxi.info/article4932.html

    La thèse raciste et complotiste du « grand remplacement », chère à Éric Zemmour, s’est imposée dans le débat public en France à l’approche de l’élection présidentielle. Elle n’est pourtant pas nouvelle : formulée pour la première fois dans les années 1950 en réaction aux décolonisations africaines, elle est depuis longtemps promue par les tenants de l’ethnodifférentialisme - des idéologues d’extrême droite pour qui l’immigration et le métissage ne peuvent qu’aboutir à un ethnocide. Source : Afrique XXI

  • « Me voilà intégré à une équipe fantôme » : les extraits d’un récit d’infiltration dans l’équipe de Zemmour
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/02/17/me-voila-integre-a-une-equipe-fantome-les-extraits-d-un-recit-d-infiltration

    Je viens de rejoindre un nouveau groupe de travail nommé « WikiZédia ». J’avais repéré cette initiative début octobre [2021], sur le canal Telegram « Groupe de discussion », ouvert à 1 400 personnes. Un membre proposait de « Contribuer à Zemmour & Wikipédia : ajouter du contenu qui concerne Zemmour, compléter et rectifier si nécessaire. = > contacter @Choucroutegourmande ».

    Je contacte @Choucroutegourmande, le 10 novembre, lui signifie mon envie de contribuer, et me voilà intégré à WikiZédia. Une fois de plus, personne ne vérifie mon identité. Et là, c’est vertigineux : j’ai désormais accès à des stratégies et à des tactiques officieuses, non assumées publiquement.

    Gabriel ajoute ce qu’il a appris de son expérience : « Je le déplore, mais il est quasiment impossible de procéder à des ajouts qui paraissent partisans sans s’appuyer sur des articles de presse “mainstream” (malheureusement…). Il faut donc la jouer assez finement. D’ailleurs, à mes débuts, j’ai fait l’objet de sanctions (blocages) pour des modifications trop engagées. » (…)

    La page « consignes » rappelle les priorités : « Mettre à jour les pages “CSA” ; “Face à l’info” ; page “Liste des épisodes Face à l’info” ». Et créer ainsi, au sein de Wikipédia, une myriade de nouveaux liens concernant de près ou de loin Eric Zemmour. Ça a l’air compliqué, mais c’est pourtant très simple. Il s’agit d’un lobbying numérique qui s’évertue à contourner les règles imposées par Wikipédia.

    Je sollicite Jules, l’administrateur de Wikipédia avec qui je suis entré en contact [Jules, sans aucun lien avec l’équipe Zemmour, aide l’auteur à repérer les manœuvres de celle-ci sur Wikipédia], pour obtenir plus d’informations sur Gabriel, alias « Cheep ». Pour rappel, dans la discussion de la cellule WikiZédia, Gabriel s’est présenté comme « chargé de la page Wikipédia d’Eric Zemmour ». Jules se montre tout de suite choqué quand il apprend que « Cheep » fait partie de la cellule WikiZédia. Car « Cheep » n’est pas n’importe qui dans la communauté des « wikipédiens » : d’après les statistiques fournies par l’encyclopédie en ligne, il totalise, depuis 2006, près de 169 000 contributions, ce qui en fait le 64e contributeur de Wikipédia en langue française. Il s’agit donc d’un utilisateur extrêmement expérimenté, que la communauté nomme « Autopatrolled 35 », c’est-à-dire dont les modifications sur les pages sont considérées comme vérifiées automatiquement.
    Lire aussi Comment des militants d’Eric Zemmour gonflent artificiellement la présence de leur candidat sur Twitter

    Le 3 décembre 2021, à 00 h 05, Gabriel- « Cheep » intervient sur la page Wikipédia consacrée à Eric Zemmour. Il ajoute des portraits photo du maréchal Pétain et de Pierre Laval, chef du gouvernement sous le régime de Vichy. Sous les photos, « Cheep » rédige la légende suivante : « Philippe Pétain et Pierre Laval, dont la responsabilité dans la Shoah en France est sujette à débat. » Une affirmation totalement fausse.

    (…) Un autre utilisateur de Wikipédia (dont le pseudo est « Lefringant ») annule une première fois la modification mensongère de Gabriel- « Cheep », une minute seulement après sa publication. A 00 h 10, « Cheep » revient à la charge en indiquant « Images appropriées ». « Lefringant » annule de nouveau la modification en commentant : « L’image peut-être, la légende absolument pas ». « Cheep » passe en force en disant : « Il suffit de lire l’article sur Laval. » « Lefringant » annule de nouveau. Une administratrice de Wikipédia (dont le pseudo est « Bédévore ») intervient pour stopper la « guerre d’édition ». Elle immobilise cette page pendant vingt-quatre heures, sans la légende de « Cheep ».

    Le lendemain, plusieurs contributeurs expérimentés reprochent à Gabriel- « Cheep » ses modifications contraires à la neutralité de point de vue, l’un des principes fondateurs de Wikipédia. Un administrateur propose un blocage d’une semaine pour « Cheep ». Pour se défendre, « Cheep » demande à ce que l’on suppose sa bonne foi, autre règle fondamentale sur Wikipédia. Il écrit : « Pas de procès d’intention. Il s’agit de l’article consacré à Zemmour, donc il me semblait relativement évident que la légende concernait son avis sur le sujet. » En tant que contributeur expérimenté, il sait pourtant que sa légende ne présentait nullement un point de vue, mais une affirmation générale. Son ancienneté le sauve, il n’est pas bloqué. Sa modification est néanmoins masquée pour « contenu illégal ».

    #Wikipédia #Zemour #Faschosphère #Communs #Enclosures

  • #Bonnes_feuilles, #le_monde

    Je viens de rejoindre un nouveau groupe de travail nommé « WikiZédia ». J’avais repéré cette initiative début octobre [2021], sur le canal Telegram « Groupe de discussion », ouvert à 1 400 personnes. Un membre proposait de « Contribuer à Zemmour & Wikipédia : ajouter du contenu qui concerne #Zemmour, compléter et rectifier si nécessaire. = > contacter @Choucroutegourmande.

    Je contacte @Choucroutegourmande, le 10 novembre, lui signifie mon envie de contribuer, et me voilà intégré à WikiZédia. Une fois de plus, personne ne vérifie mon identité. Et là, c’est vertigineux : j’ai désormais accès à des stratégies et à des tactiques officieuses, non assumées publiquement.

    Cette petite cellule de militants pro-Zemmour ne se réunit jamais physiquement. Les « wikizédiens » se coordonnent uniquement par Internet et échangent à travers différentes messageries. Ils sont huit à converser sur #Discord et onze à échanger sur #Telegram, principalement les mêmes personnes. (…)

    [...]

    Me voilà intégré à une équipe fantôme » : les extraits d’un récit d’infiltration dans l’équipe de Zemmour
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/02/17/me-voila-integre-a-une-equipe-fantome-les-extraits-d-un-recit-d-infiltration

    L’obsession de Samuel Lafont : saturer les réseaux sociaux et parfois même l’espace médiatique. Donner l’impression que des vagues spontanées se créent chaque fois. C’est la même idée avec la création de sites Internet annonçant des soutiens émanant de diverses professions (les agriculteurs, les maires, les profs, les avocats, les militaires…) : laisser entendre qu’une lame de fond extrêmement large pousse la candidature d’Eric Zemmour. En réalité, ces mouvements sont coordonnés. La dynamique Zemmour sur Internet est donc, du moins en partie, artificielle et à mettre au crédit de ces stratégies souterraines.

    #reseaux_sociaux #facebook

  • Faisons front pour construire l’autodéfense sanitaire et exiger des mesures solidaires, collectif Zero Covid Solidaire
    https://zero-covid.wixsite.com/accueil/post/faisons-front-pour-construire-l-autod%C3%A9fense-sanitaire-et-ex

    Il y a un an, nous faisions partie des initiateurs/trices de cette tribune « Pour une stratégie zéro covid solidaire » publiée sur Bastamag et Médiapart. Elle s’inspirait d’une campagne de nos ami.e.s allemand.e.s du collectif Zéro Covid [voir ici et ici] qui eux-mêmes avaient rebondi sur un appel paneuropéen de scientifiques paru dans The Lancet le 18 décembre 2020.

    Entre temps la situation a changé. Il y a eu les vaccins, les multiples variants, les manifestations dites « anti-pass » et la continuité de la politique du gouvernement qui nous enfonce dans le « vivre avec le virus » et les conséquences néfastes qui vont avec...

    Ces derniers temps nous avons eu l’agréable surprise de lire des textes qui rejoignent grandement ce que nous disons peu ou prou depuis quasiment deux ans.
    • un appel à ce que le camp des luttes sorte du déni
    • un texte contre le laisser-faire sanitaire, pour montrer que nous devons “ nous organiser ensemble et nous protéger tou·tes.”
    • une critique de certains discours et pratiques de déni que nous avons pu aussi observer dans des milieux militants
    • nous nous sentons également très proche politiquement de l’analyse de nos ami.e.s grecs ou zapatistes.

    #covid_19 #réduction_des_risques

    • Plein de bonnes intentions qui arrivent un peu #trop_tard semble-t’il.

      Le 1er mars 2021, Mireille Delmas-Marty alertait : "Après les discours musclés annonçant l’éradication du terrorisme, voici les discours savants sur le « #Zéro_Covid ». Et toujours la même obsession sécuritaire, le même rêve d’un monde sans risque, sans crime et sans maladie. On s’en réjouirait si l’on ne savait avec quelle facilité le rêve d’un monde parfait peut tourner au cauchemar des sociétés de la peur."

      https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/03/01/mireille-delmas-marty-le-reve-de-perfection-transforme-nos-etats-de-droit-en

    • tiens, j’ai trouvé l’article de Delmas-Marty https://justpaste.it/9por9

      elle ne dit rien sur la pandémie, si ce n’est qu’elle permet - à qui est-ce que ça aurait échappé ?- de multiplier les dispositifs sécuritaires, et conclue "on suggérera qu’une riposte plus démocratique et plus transparente à la pandémie serait possible s’il revenait au Parlement et à la société civile d’expliciter, outre les critères de gravité médicale, les critères d’acceptabilité sociale des différents risques." sans s’interroger sur le « risque » du masque ? le « risque » des vaccins ?
      elle se gausse du "rêve d’un monde sans risque" mais, la pandémie en tant que telle étant opportunément mise de côté, ne dit rien dit des pratiques de réduction des risques

      elle ne pouvait pas évoquer en mars 2021 un « passe sanitaire » instauré en mai 2021 dont l’une des dispositions, radicalement anti-sanitaire, prévoyait que leur détenteurs auraient le droit de fréquenter des lieux publics clos sans masque.

      on trouve toujours des cadavres à enrôler

    • Préjugés bien français

      En ces temps de coronavirus, le port du masque, assimilé à un choix personnel permettant de lutter contre la maladie, traduit aussi une forme de défiance envers les responsables politiques, les médias ou les experts sanitaires. « En Corée du Sud, la défiance est la plus élevée parmi les pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques. En portant le masque, les gens ont le sentiment de vraiment prendre leur protection en main », analyse le Pr Hyun.

      Covid-19 : porter le masque, une pratique ancrée en Asie de l’Est. Et chez nous demain ?https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/02/14/covid-deux-ans-porter-le-masque-une-pratique-ancree-en-asie-de-l-est-et-chez

  • #Éthiopie, inventer la #ville de demain

    Expédition en Éthiopie sur le chantier d’un nouveau type de ville, qui répond au défi démographique du pays. Conçu par l’urbaniste suisse #Franz_Oswald, l’idée est de construire des #micro-villes à la #campagne, autosuffisantes et durables. Pays à forte croissance démographique, l’Éthiopie, où plus de 80% de la population travaille dans le domaine de l’agriculture, est aussi caractérisée par un exode rural massif. Chaque année, des millions de jeunes en recherche d’emploi émigrent vers les villes, dont Addis-Abeba, la capitale, et y vivent dans la promiscuité et le dénuement des bidonvilles. Face à cette tendance préoccupante, une équipe composée d’architectes internationaux et d’agriculteurs locaux entreprend de réaliser un projet visionnaire, conçu par l’urbaniste suisse Franz Oswald. Leur idée : construire des micro-villes à la campagne, autosuffisantes et durables. Sur le chantier de la cité pilote de Buranest, ce documentaire part à la rencontre des participants, dont le paysan Tilahun Ayelew et l’architecte éthiopien reconnu Fasil Giorghis. Malgré les obstacles culturels et administratifs, une petite zone urbaine autonome en milieu rural voit progressivement le jour, avec un accès à l’eau, à l’électricité, à Internet et à l’école : une expérience source d’espoir pour désengorger les villes.

    https://www.les-docus.com/ethiopie-inventer-la-ville-de-demain
    #film #film_documentaire
    #Ethiopie #urbanisation #exode_rural #BuraNEST #Rainwater-unit #Zegeye_Cherenet #Fasil_Giorghis #architecture

    #TRUST #Master_TRUST

    • #Nestown

      Ethiopia’s present population of more than 90 million people is growing rapidly. In spite of the outstanding economic growth the multi-ethnic state on the Horn of Africa seems to be reaching its limits. It is confronted with inefficient cultivation of land and harmful migration to city centres. It lacks the experience to respond to the growth of its population with a sustainable settlement development approach. In order to develop a model town, the authorities in the Amhara region are working closely since 2007 with NESTown Group, including experts from ETH Zurich. It has been officially decided to implement this urban development proposal.

      The region aims to offer its mostly farming inhabitants a town and house type designed according to local conditions which they can build and manage themselves. The buildings are used to harvest rainwater and are built from local materials such as eucalyptus wood. The developed and tested construction is estimated to cost no more than the equivalent of 2000 - 3000 Swiss francs.

      To realize a sustainable town, other capacities have to be developed: cooperative communal living serving both the public good and the individual households, efficient water management, a productive and ecologically diverse agriculture for food security, continuous education, including appropriate technology transfer.

      By its nature, the implementation of a town is an open ended process emerging at various speeds and scales

      http://www.nestown.org

    • Ethiopia’s Plans to Bridge the Urban-Rural Divide

      Ethiopia’s population has tripled over the past few decades. Millions of farmers are leaving the fields only to end up living in the slums of huge cities. City planners believe they have found a solution — in the remote countryside.

      Stories about people embarking on their future usually start with a departure. But the story of farmer Birhan Abegaz is different. He plans to stay put right where he is in his quest for happiness — a treeless wasteland in northern Ethiopia.

      The crooked huts of his village, Bura, are surrounded by solitary thorn bushes and acacias. Birhan is cultivating rice on a patch of leased land behind his hut, at least during the rainy season. A few months have passed since the harvest. The dry season is here, and the earth is dusty. The Shine River, Bura’s lifeblood, is nothing but a trickle.

      Married with three children, Birhan is only 28 years old, but the hardness of rural life has taken its toll on him and he looks much older. He fetches the family’s water for drinking, cooking and washing from about a kilometer away. The nearest well is on the other side of the highway leading to the provincial capital of Bahir Dar, a two-hour drive away. In the past, many people from Bura and the nearby villages took this road, turning their backs on the countryside in search of a better life in the city.

      What Can Keep the Farmers in the Countryside?

      Since the 1970s, Ethiopia’s population has more than tripled, going from 30 million to over 100 million. In the countryside, overpopulation is leading to the overuse and overgrazing of fields and deforestation. More and more people are moving to the big cities, which are growing faster than the rest of the country. The provincial capital of Bahir Dar had about 60,000 inhabitants 30 years ago, but today it has 350,000. “Apartment buildings, streets, the drinking-water supply and the entire infrastructure can’t keep up with this tempo,” says Ethiopian city planner and architect Zegeye Cherenet.

      As a result, new arrivals end up living on the streets or in slums. In the early mornings in Bahir Dar, dozens of ragged young men stand at the intersections in the hope of picking up work as day laborers. In the evenings, their sisters and mothers go to the square and wait for johns.

      That’s supposed to change now, and the starting point is to be the barren wasteland next to the village of Bura. Birhan points to a construction site next to the highway. His new house is being built there, constructed out of eucalyptus wood and clay bricks. It’s supposed to be the first of many. An entire town is to be built here — with a school and a training center where the farmers from the surrounding area can learn new skills, which they can then put to use to earn money. The newly founded municipality, which is to gradually grow to around 15,000 residents, is called Buranest. The idea behind the project is that the city must come to the farmers in order to keep the rural population from flooding into the cities.

      The project is called Nestown, short for New Sustainable Town. The plan was primarily devised by Franz Oswald, a former professor at ETH in Zurich, and sociologist Dieter Läpple, the doctoral supervisor of Ethiopian city planner Cherenet at Hafencity University in Hamburg.

      Urbanization without Rural Depopulation

      An entire network of this new type of settlement is to be built as part of Ethiopia’s Nestown project — half village, half town. The inhabitants are to form cooperatives to build and run their towns themselves, as well as to make and sell agricultural and handcrafted wares. “The residents can remain farmers, which is familiar to them, but also simultaneously learn urban skills,” says Cherenet. Rural towns like Buranest are meant to keep the people in the countryside by offering them local opportunities like the ones they are moving to overpopulated cities to search for in vain.

      Work on the project began five years ago. First, model houses were built to show the skeptical farmers how useful it can be to have stable foundation walls, cisterns and toilets. The region’s usual dwellings are huts made of twigs, mud and cow dung — crooked housing often described as “dancing houses.”

      Birhan proudly opens the hatch of his cistern. He dug the pit for it together with his new neighbors. His home is also almost complete, a kind of row house that shares a large corrugated iron roof with the adjacent buildings. During the rainy season, the rainwater will drain into the cisterns using constructions called Rain Water Units (RWU). “With the water I can have not just one harvest per year, but several,” he says. A garden is being planted behind the house and his five cows “will even get their own shed.” Earlier, the animals lived in the old hut, under the same roof as the family.

      The construction style is unconventional for the region: The houses are two stories high, with a family housed on each floor in order to take up as little land as possible. Fertile land is valuable. One-half of a row house costs 75,000 Ethiopian birr, or about 2,200 euros, which is being financed partly through loans and partly with donations.

      The River Flows All Year Round

      The training center has been built on the village square — a building with cheerful red and green walls. The farmers will learn how to process food here, as well as household management and the basics of accounting. Their children are to take computer courses. Like his neighbors, however, Birhan has never been to school and doesn’t know how to read or write.

      A school, health center and church are to be built in the next construction phases — all largely by the new inhabitants. Swiss aid organization Green Ethiopia has planted a large vegetable garden as well as trees on the streets and along the banks of the Shine. For the first time in decades, the river is now flowing all year round.

      The rapid population growth has also left scars on the area surrounding Birhan’s village, Bura. The source region of the Shine River, 20 kilometers away, had been deforested, the fertile soil carried away by wind and storms. Since 2012, Green Ethiopia has planted almost 3 million trees on the hills of Lobokemkem. The organization also pays the local farmers to stop grazing their animals there.

      After five years, the successes are visible: The trees reach up to 5 meters high and a thin layer of topsoil has formed, with grass growing on top of it. Tree and grass roots hold down the soil. At several spots, the groundwater trickles out even in the dry season, which hasn’t been the case in two generations. Downriver, in Bunarest, there is enough water for the new gardens despite the drought. They are one of the most important foundations for the further development of the town. “What must I do to build a city? First, I plant a forest,” says Franz Oswald, summing up the seemingly paradoxical principle.
      The tree nursery is also part of the project. People from the region work here and raise the trees that are to be planted in Buranest.

      The Biggest Obstacle: Neighbors’ Skepticism

      Birhan Abegaz is already planning his transition away from farming to a life as an urban dweller. If one day he manages to get more land, he wants to plant more vegetables “and then open a restaurant,” he says. His family could work there. He hopes that his kids “can learn and have better career options. They shouldn’t remain farmers like me.”

      But his patience is repeatedly being put to the test. As a future urban dweller, he is dependent on the developments taking place around him. He is reliant on his neighbors. His house, as well as the first general construction phase, was supposed to be finished last year. The date has been pushed back repeatedly.

      It should be ready soon, but it’s hard to make predictions in Ethiopia. The cooperative of carpenters and stone masons, which was founded and trained specifically for the construction of the residential buildings, had to be dissolved again because as soon as they had their diploma, many of the trained tradespeople disappeared to find their luck in Bahir Dar or elsewhere. As a result, the construction site remained quiet for a year. The training center with the red-green exterior wall may be finished, but it remains empty because the local authorities are unable to agree on who will pay the instructors.

      Growth is nevertheless happening in Buranest, though not along the banks of the Shine where the planners had initially intended. The actual new town center has developed to the left and right sides of the highway. A kiosk has opened there, as well as a bar. About 300 people have built their traditional “dancing houses” there out of mud and twigs. Buranest, a city under construction, has attracted them from the surrounding villages, but most are still hesitating to sign onto the project. They shun the 40-euro fee for joining the cooperative, and an urban life with electricity and toilets in little sheds in front of the houses still seems alien and unfamiliar.

      The Government Wants to Build Thousands of New Towns

      Although the new settlement isn’t growing according to the Buranest planners’ intentions, they aren’t too bothered by it. The fact that so much is being built informally, says Dieter Läpple, is a sign that the people believe in the settlement’s future. He now hopes for what the founders call the “propaganda of the good deed” — that once families have moved into their new homes with water and gardens, neighbors will also soon recognize the advantages. The decisive factor, Läpple says, will be whether “the population makes the project theirs.”

      The government in Addis Ababa is already on board. In the city of 5 million, up to 80 percent of residents live in slums, according to UN estimates. And although migration into cities and urbanization used to be considered taboo, that’s no longer the case. By 2020, the Ethiopian Ministry of Urban Development and Housing wants to turn 8,000 rural settlements into “urban centers.” The government already has a concrete role model for their plans: Buranest.

      https://www.spiegel.de/international/tomorrow/ethiopia-plans-to-build-8000-new-cities-in-countryside-a-1197153.html

  • Le magnifique projet de Zemmour pour l’Europe...

    Migrants : France’s Zemmour wants to build EU border wall

    Far-right French presidential candidate Eric Zemmour called for the construction of a wall along all external EU borders to fight undocumented migration and promised financial support for countries ready to build it.

    In an interview with BFM-TV, the Reconquete movement candidate said France and Germany oppose the idea, as well as EU Home Affairs Commissioner Ylva Johannson.

    “But I will get the EU majority to pass in favour of the wall, which will be financed with EU funds,” Zemmour said.

    https://www.ansamed.info/ansamed/en/news/sections/politics/2022/02/10/migrants-frances-zemmour-wants-to-build-eu-border-wall_cf004fdb-589c-4df4-

    #Zemmour #Eric_Zemmour #murs #s'emmurer #frontières #migrations #asile #réfugiés #barrières_frontalières #UE #EU #Europe

    ping @isskein @karine4

  • As Hong Kong tightens Covid restrictions again, residents complain of being held ‘hostage’ | Hong Kong | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2022/feb/09/as-hong-kong-tightens-covid-restrictions-again-residents-complain-of-be
    https://i.guim.co.uk/img/media/b976a0a415c91e7b781e7750530e62b5ccec6d70/0_400_5702_3424/master/5702.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    As Hong Kong tightens Covid restrictions again, residents complain of being held ‘hostage’
    Last modified on Wed 9 Feb 2022 06.19 GMT
    A viral open letter from a member of Facebook group, HK Moms, marked something of a shift in public opinion. The group is the type not usually preoccupied with the city’s political upheavals, but the letter revealed a limit had been reached.
    Addressing Carrie Lam, Hong Kong’s chief executive, it accused the government of holding its citizens hostage with new Covid measures – the toughest restrictions since June 2020.
    “You have tried for two years, and failed. When will you stop holding the citizen of this once Asia’s city hostage? When does the goalpost stop moving further and further away every time we get closer? When do we say enough is enough Carrie Lam?”
    On Wednesday leaks to the media, which had become semi-regular, claimed authorities were set to announce a third consecutive record day, with 1,161 new confirmed cases and about 800 preliminary positives. The figure doubled Tuesday’s, which in turn had doubled Sunday’s.
    In response, from Thursday Hongkongers will be subject to intense social restrictions including limits of two people gathering in public, or two households in private. There were some exemptions for carers and tradespeople, but the city was warned that authorities have strong contact tracing mechanism, and would be watching.The government also added religious premises, shopping malls, department stores, supermarkets, markets and barbers or hair salons to the forthcoming compulsory vaccine pass system, and doubled the financial penalties for non-compliance with compulsory testing orders.Hair salons and religious venues will be shut for at least two weeks. Photos on social media showed queues out the door of one barber.
    The new rules add to existing measures which has already seen much of Hong Kong largely shut down, just as other countries – including those which had also once chased zero-Covid – begin to open. It also coincides with city-wide food shortages related to border closures and Covid cases among truck drivers who bring produce in from China to the import-dependant market, leading to stressful scenes, shop closures, and inflated prices.On Tuesday Lam conceded people felt the strategy known as “dynamic zero” came at a “great economic and social price”.“But I would like to make it clear, people’s lives and health, and for the local medical system not to collapse, these are more in line with Hong Kong’s public interest.”
    Hong Kong’s battle with Covid has been more successful than many other nations – it has recorded about 16,600 cases and 213 deaths – containing several major waves of outbreak and often bringing the number down to zero.But the tough methods have also drawn extensive complaints for frequent changes to unnecessarily convoluted rules, sudden blanket travel bans, occasional bouts of illogicality or farce like the closure of beaches or the mass cull of pet hamsters, and instances of failure or incompetence, like the overwhelming of the Penny’s Bay quarantine facility.The fact that this all kept continuing even as vaccination rates increased, treatments improved, and the world began to reopen to itself began to grate.“We have done all you ask,” the HK Moms letter said.“We sat quietly as mental health takes a toll, as families are torn apart and as businesses close down because it is all in the hope of China reopening our borders,” it said.Reopening borders to mainland China has community support, according to recent polling. But Beijing will not give the go-ahead unless Hong Kong can reach and maintain zero-Covid.Despite rising public anger, Lam is sticking to dynamic zero, a containment strategy with the constant goal of reaching zero cases. Health experts have said the method, of quickly controlling outbreaks and then relaxing once it’s done, is uncontroversial as long as it works.“The zero-phase is not too bad apart from for people who have to travel,” said Prof Ben Cowling, an epidemiologist at the University of Hong Kong, said.
    “The problem is if Hong Kong can’t sustain zero Covid what’s going to happen. If this outbreak gets bigger and bigger, what’s next? That could take a long time and there are costs in those measures.”

    #Covid-19#migrant#migration#hongkong#chine#sante#zerocovid#dynamiquezero#frontiere#circulation#economie

  • Coronavirus in China: travel restrictions should continue to avoid a resurgence, researchers say | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/china/science/article/3166171/coronavirus-china-travel-restrictions-should-continue-avoid

    Coronavirus in China: travel restrictions should continue to avoid a resurgence, researchers say. A key to controlling the pandemic lies in the development and widespread use of vaccines that are more effective in preventing infection, says research paper China’s continuous pursuit of the zero-Covid policy has come under scrutiny for its high social and economic costs
    Chinese researchers said allowing for the movement of people to Covid-zero regions like China would result in 234.2 million infections and 2 million deaths within a year. The key to controlling Covid-19 lies in the development and widespread use of vaccines that are more effective in preventing infection, according to a research paper published in China CDC Weekly, a bulletin of the Chinese Centre for Disease Control and Prevention.
    China has strictly enforced its “zero-Covid” policy with the use of tight border controls and lockdowns as it battles the highly infectious Omicron variant while hosting the Winter Olympics in Beijing.Across China, 45 new local Covid-19 cases were reported on Sunday, a rise from the low of nine cases last week during the Lunar New Year holiday.
    Are Hong Kong’s Covid-19 defences starting to collapse?
    Based on previous studies of vaccine effectiveness against infection in Britain and Chile, the researchers found that the baseline efficacy – indicated by efficacy against infection, against symptomatic disease and against death – was 30 per cent, 68.3 per cent and 86 per cent, respectively.Even if the vaccination rate reached 95 per cent, the paper said, allowing for transregional movement would result in 234.2 million infections and 2 million deaths within a year in unaffected regions.
    “No matter how effective the vaccine was, it could not eliminate Covid-19 in Covid-zero regions, i.e., regions with strong national commitments to suppressing Covid-19 transmission such as China,” according to the report.
    It said nations should continue to develop vaccines and explore new ways to improve vaccine protection against infection to eliminate Covid-19 at the global level.
    The paper also said that a higher level of vaccine protection would be necessary if the goal was to restore population mobility to the pre-Covid level in 2019. To reduce the annual incidence of Covid-19 to that of influenza, the vaccine’s effectiveness against infection and symptomatic disease needs to be increased to no less than 40 per cent and 90 per cent, respectively.The paper said non-pharmaceutical interventions such as travel restrictions and lockdown should be continued to avoid a resurgence of Covid-19. “In any case, resuming international population mobility should be treated with caution to avoid domestic outbreaks,” it said.
    Liang Wannian, the country’s top government adviser on the coronavirus, said in a recent interview with Hong Kong-based Phoenix Television that it was imperative for China to continue its “dynamic zero-Covid” policy through timely and decisive interventions.However, Liang also said the policy could not be permanent, but its implementation should take into account factors such as changes in the epidemic.
    Most countries have decided to “coexist” with the coronavirus to return to normal economic activity and daily living, while China’s continuous pursuit of the zero-Covid policy has come under increasing scrutiny for its high social and economic costs and sustainability.The spread of the Omicron variant will make China’s success in tackling Covid-19 “look more fleeting” and could undermine its efforts to present itself as a global health leader, wrote Yanzhong Huang, a senior fellow for global health at the New York-based Council on Foreign Relations.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#sante#zerocovid#circulation#deplacementinterne#mobilite#region

  • Covid-19 dans le monde : l’Australie rouvrira ses frontières aux touristes le 21 février
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/02/07/covid-19-dans-le-monde-l-australie-rouvrira-ses-frontieres-aux-touristes-le-

    Covid-19 dans le monde : l’Australie rouvrira ses frontières aux touristes le 21 février
    L’Australie rouvrira ses frontières aux touristes entièrement vaccinés le 21 février, a annoncé lundi 7 février le premier ministre, Scott Morrison, après avoir imposé des restrictions d’entrée sur le territoire parmi les plus strictes au monde.La pandémie de Covid-19 a fait officiellement plus de 5,7 millions de morts dans le monde depuis la fin de décembre 2019, selon un bilan établi par l’Agence France-Presse (AFP) dimanche 6 février à midi.
    « Si vous êtes doublement vaccinés, nous avons hâte de vous accueillir de nouveau en Australie », a déclaré lundi le premier ministre australien, Scott Morrison, à l’issue d’une réunion de cabinet sur la sécurité nationale. « Cela fait presque deux ans que nous avons décidé de fermer les frontières de l’Australie », a-t-il expliqué, précisant que le pays « rouvrira[it] ses frontières à tous les détenteurs de visa le 21 février ».
    L’immense île continent a fermé ses frontières en mars 2020, essayant de tirer parti de son insularité pour se protéger de la pandémie. Pendant ces deux dernières années, les Australiens n’ont, la plupart du temps, pas été autorisés à sortir de leur pays et seuls quelques visiteurs ont obtenu une dérogation pour entrer sur le territoire. Ces restrictions ont séparé des familles, mis à mal le secteur du tourisme et suscité des débats sur le statut de l’Australie comme pays ouvert, moderne et tourné vers l’extérieur.
    Peu à peu, les restrictions ont été assouplies pour les Australiens, les résidents de longue durée et les étudiants. Cette nouvelle ouverture s’inscrit dans l’abandon de la politique draconienne « zéro Covid » longtemps en vigueur avant d’être dépassée par la vague du variant Omicron du SARS-CoV-2.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#frontiere#circulation#zerocovid#tourisme#economie#visa#omicron

  • Interview : Phil Spencer’s Xbox journey, from intern to CEO - Axios
    https://www.axios.com/microsoft-gaming-chief-phil-spencer-interview-651bed60-4aec-4988-80e1-fa042d6

    Microsoft gaming CEO Phil Spencer’s career origin story — a chance encounter with a college classmate’s dad, who was a VP at Microsoft and offered him an internship — plays differently these days, and he knows it.

    On ne le répétera jamais assez : le plus gros facteur de réussite est le hasard (et les relations). Le travail et le talent ne sont pas étranger à la réussite, mais viennent seulement après.

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